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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 19:01

L’agence américaine du médicament a approuvé un vaccin susceptible de provoquer la Mort Subite du Nourrisson et l'Autisme.

Cette information a ultérieurement disparu des sites internet.

 

D’après Jeffry Aufderheide, 18 septembre 2012

 

jeffry-Aufderheide.jpg

 

Une information plus que troublante vient de nous parvenir ! Nous apprenons que la notice du vaccin Tripedia a été supprimée sur le site de la Sécurité Vaccinale de l’Institut Johns- Hopkins. [1]

 

Nous avons également découvert que cette notice a aussi disparu de la liste de prix des vaccins du CDC. La raison « officielle » serait que Sanofi Pasteur ne produit plus ces vaccins.[2]

 

A y regarder de plus près, il s’avère que cette fameuse notice révélait une relation entre vaccination et autisme. (Site de la FDA)

 

Snapshot-of-FDA-Tripedia.jpg

 

Certains vaccins contiennent un mauvais ingrédient appelé thimerosal. Le but de ce conservateur mercuriel,  comme le précise la FDA, est d’empêcher la prolifération d’organismes pathogènes.[3] Pour les parents, il s’agit d’une importante source d’inquiétudes parce qu’ils savent que ce composé mercuriel est neurotoxique.

 

Le graphique de l’étude de Verstraeten du 29/02/2000 montre une relation statistiquement significative entre l’exposition au mercure et l’autisme. [4]

 

Graphique-Verstraeten.jpg

 

Le Tripedia  (diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) est un vaccin approuvé par la FDA. Le CDC recommande que ce vaccin soit injecté à 2, 4 et 6 mois. [6] Ce vaccin contient du Thimerosal.

 

Neuf mois APRES le colloque de Simpsonwood (où la relation entre le mercure et l’autisme avait été mise sur le tapis), la FDA a approuvé un vaccin Tripedia « sans Thimerosal » [7]

 

Le problème est à rattacher à la notice de vaccin qui date de décembre 2005, soit quatre ans après que le nouveau vaccin « sans thimerosal » ait été approuvé.

 

Il faut savoir que les vaccins qui contenaient du thimerosal n’ont pas été retirés du commerce. On a toujours pu les trouver dans les rayons des pharmacies et ces vaccins ont été injectés aux enfants. La raison de cette situation : si ces vaccins avaient été retirés du commerce, la confiance du public dans les programmes vaccinaux aurait été sérieusement mise à mal.

 

L’information qui suit pourrait à jamais changer le regard que vous portez sur les vaccins. La page 11 de la première notice du vaccin Tripedia stipulait :

 

« Les effets secondaires  rapportés après l’approbation du vaccin Tripedia comprennent : Purpura Thrombocytopénique, Mort Subite du Nourrisson (=SIDS pour Sudden Infant Death Syndrome), Réaction Anaphylactique, Cellulite, Autisme, Convulsions/ Convulsions Grand Mal, Encéphalopathie, hypotonie/hyporéactivité, Neuropathie, Somnolence et Apnée. »

 

Le  Syndrome de la Mort Subite du Nourrisson (SIDS) se produit généralement entre 2 et 4 mois. [9] Le vaccin diphtérie-tétanos-coqueluche acellulaire (vaccin DTaP) est lui administré à 2, 4 et 6 mois [6]  Etrange coïncidence, n’est-ce pas ?

 

La notice précise qu’il n’est pas possible d’établir une « relation causale » entre les réactions et les composants du vaccin. En d’autres mots, on ne peut pas incriminer le vaccin bien que ces « effets secondaires » soient cependant bel et bien rapportés.

 

Conclusion

 

Le colloque secret de Simpsonwood  avait fait ressortir une relation causale directe entre les vaccinations et l’autisme. Ces informations poussèrent les fabricants de vaccins à fabriquer rapidement et sans bruit un vaccin  sans thimerosal.

 

Quatre ans après que ce vaccin « sans thimerosal » soit devenu disponible, la notice du vaccin comportait un paragraphe évoquant la mort subite du nourrisson et l’autisme. Aujourd’hui cette information a été supprimée des sites gouvernementaux, comme des sites des fabricants.

 

Et ce n’est pas tout : aujourd’hui 2 mai 2012, les parents peuvent apprendre que La Sûreté des Vaccins de l’Institut John Hopkins est au courant que le vaccin Tripedia  comporte des traces de thimerosal. [10]

 

Références

  1. Communication with Marcella Piper-Terry regarding Johns Hopkins Institute for Vaccine Safety website. http://www.vaccinesafety.edu/package_inserts-bymanuf.htm
  2. http://www.ashp.org/DrugShortages/NotAvailable/Bulletin.aspx?id=764
  3. http://www.fda.gov/BiologicsBloodVaccines/SafetyAvailability/VaccineSafety/UCM096228
  4. http://vactruth.com/2009/09/16/confidential-thimerosal-vsd-study-phase-i/
  5. http://www.putchildrenfirst.org/chapter2.html
  6. http://www.cdc.gov/vaccines/schedules/hcp/child-adolescent.html#printable
  7. http://www.fda.gov/BiologicsBloodVaccines/Vaccines/ApprovedProducts/ucm101582.htm
  8. http://www.fda.gov/downloads/BiologicsBloodVaccines/Vaccines/ApprovedProducts/UCM101580.pdf
  9. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmedhealth/PMH0002533/
  10. http://www.vaccinesafety.edu/thi-table-12-0502.pdf

 

Source: Vactruth

 

Cette notice doit être particulièrement gênante pour les autorités qui n’ont jamais cessé d’affirmer avec aplomb qu’il n’y a aucun lien entre vaccination & autisme et entre vaccination & mort subite du nourrisson. Quelle immense contradiction de plus ! Cela fait inévitablement penser au déni farouche et ridicule de l’ONE par rapport au lien clair existant entre vaccination hépatite B et sclérose en plaques alors que toutes les notices (que l’ONE recommande pourtant de lire) mentionnent pourtant la sclérose en plaques dans les effets secondaires !

 

Toutes ces contradictions incessantes sont inévitables dès lors que les bases mêmes de la vaccinologie n’ont en réalité rien de scientifique.

 

L’expérimentation à grande échelle continuera donc de se poursuivre au quotidien avec des vaccins aux effets ô combien immaîtrisables mais « officiellement prétendus sûrs ». Et les parents qui n’auront pas conscience de toutes ces tentatives de camouflage continueront de ne pas bénéficier de leur droit au consentement libre et éclairé pour la santé de leur(s) enfant(s)…

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22 septembre 2012 6 22 /09 /septembre /2012 00:36

Initialement, la narcolepsie post-vaccin H1N1 ne concernait que les enfants. Une étude française démontre qu'elle concerne aussi les adultes. On avait initialement dit que cela ne concernait qu'une petite vingtaine de cas en France. Ce sont pas moins de 4000 personnes qui pourraient être concernées en France par cette maladie grave. [Cfr ce récent article-vérité du Canard Enchaîné]

 

Il est important de noter que, selon l'ANSM, ces cas de narcolepsie se sont manifestés entre 2 jours et 15 mois après la vaccination H1N1.

 

Officiellement, environ 340 décès ont été attribués en France au H1N1. Les autres cas d'infections H1N1 non létales se sont très majoritairement soldées par une guérison complète. Or ici, remarquez que nous sommes potentiellement déjà à 4000 cas de narcolepsie, une maladie grave et incurable et ce, sans même comptabiliser encore l'ensemble des autres effets secondaires graves du vaccin, incluant les décès post-vaccinaux, les maladies auto-immunes, les infections opportunistes graves (dues à l'immunodépression post-vaccinale les facilitant), etc

 

Tout ceci tend donc à démontrer que:

 

1°) Le vaccin H1N1 était bel et bien expérimental et que les essais cliniques bâclés n'ont pas du tout évalué les effets à moyen ou long terme.

 

2°) Le rapport bénéfices/risques de cette vaccination fut franchement défavorable.

  

3°) L'argent public a été gaspillé avec l'achat de vaccins mais l'est aussi avec le financement des soins de malades créés de toutes pièces et ce de façon complètement inutile (sauf pour les pharmas!)

 

4°) Les experts et les autorités qui ont recommandé cette vaccination aux citoyens ne méritent plus jamais leur confiance.

 

 

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 15:30

Le Figaro. 13 septembre 2012 [Extraits]

 

Deux professeurs de médecine, Bernard Debré et Philippe Even, publient un guide des médicaments dans lequel ils affirment qu'un médicament sur 2 est inutile et 1 sur 20 potentiellement dangereux.

 

La France, toujours citée parmi les pays consommant plus de médicaments que de raison, voit paraître un nouvel ouvrage alarmiste sur sa situation pharmaceutique. Dans leur Guide des 4000 médicaments utiles, inutiles et dangereux, Bernard Debré, chirurgien et député UMP, et Philippe Even, pneumologue, s'attaquent aux inefficacités du système français. Trop de molécules sans intérêt, voire nocives, sont tolérées sur le marché français et remboursées, notamment pour protéger l'industrie pharmaceutique hexagonale, dénoncent-ils. Le tout contribuant, selon eux, à plomber les comptes de l'Assurance-maladie.

 

Le livre recense ainsi «50% de médicaments inutiles, 20% de mal tolérés, 5% de “potentiellement très dangereux”». Ils en extraient une liste de 56 médicaments à suspendre immédiatement.

 

L'analyse des deux professeurs de médecine reçoit un accueil mitigé parmi les experts français en pharmacologie. Ceux-ci reconnaissent à l'ouvrage le mérite de soulever des problèmes structurels régulièrement dénoncés depuis une vingtaine d'années: trop de produits inefficaces conservent leur autorisation de mise sur le marché, les consultations des médecins débouchent trop souvent sur des ordonnances inutiles, par réflexe culturel. Mais toutes les conclusions de ce guide colossal - 900 pages, d'une utilisation pas forcément évidente pour le grand public - ne sont pas forcément partagées.

 

 

Quid alors des vaccins que les plus grands professeurs évitent cependant généralement d'aborder tant ils savent qu'il s'agit du tabou des tabous? Il est tout de même intéressant de relire dans cet article du Figaro l'avis d'un membre de l'Agence française du médicament qui rappelle que si les médicaments ne généraient pas d'effets secondaires, c'est qu'ils ne seraient tout simplement pas efficaces. Avec les vaccins pourtant, on ne cesse de les présenter comme terriblement efficaces mais tout en niant systématiquement tous leurs effets secondaires graves possibles... cherchez l'erreur!

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15 septembre 2012 6 15 /09 /septembre /2012 15:00

La Cour d'Appel de Turin a condamné la région du Piémont à indemniser une mère à hauteur de 1,8 million d'euros parce que sa fille est dans le coma depuis 24 ans suite à l'erreur d'un médecin qui n'a pas administré de la cortisone assez rapidement suite à une réaction anaphylactique survenue après un vaccin contre le tétanos et la diphtérie.

 

Les faits remontent à 1988. L'enfant de 5 ans reçoit une vaccination contre le tétanos et la diphtérie. Très peu de temps après, l'enfant développe une forte fièvre, des douleurs dans les jambes, des maux de tête et de la diarrhée.

 

Le médecin a alors refusé d'administrer les médicaments indiqués, ce qui a entraîné l'aggavation de l'état clinique jusqu'à ce que l'enfant entre dans  un état végétatif dans lequel il est encore aujourd'hui, à l'âge de 29 ans. Selon un expert désigné, l'administration de cortisone endéans les 5 jours qui ont suivi la vaccination aurait permis d'éviter cette issue.

 

Pour les avocats de la famille, cette décision judiciaire est tout à fait justifiée. Ils ont rappelé que leur cliente avait été déboutée en première instance mais qu'il y avait de quoi être satisfait de la décision rendue en appel parce que c'est ici la deuxième fois en Italie que les tribunaux reconnaissent que la faute d'un médecin des services de soins primaires doit être assumée par les autorités sanitaires compétentes.

 

Sur le plan financier précise aussi un des avocats de la famille, "nous ne sommes que partiellement satisfaits puisqu'il n'est accordé que 5000 euros par an en compensation d'une vie professionnelle normale que l'enfant aurait pu avoir s'il n'avait pas subi le préjudice en question."

 

L'avocat espère qu'il n'y aura plus de recours juridique devant la Cour Suprême du pays puisque sa cliente est pauvre et qu'elle a déjà dû faire beaucoup de sacrifices jusqu'ici. Alors âgée de 23 ans seulement quand sa fille tomba dans le coma, cette maman a été abandonnée par son mari et a dû renoncer à un emploi stable pour pouvoir s'occuper de son enfant malade.

 

Source: tgcom24     

 

photo: Flickr

 

Il est fondamental ici de considérer aussi la vaccination dans ce drame car sans cette vaccination, cette enfant n’aurait pas fait ce choc anaphylactique ou elle ne serait pas forcément tombée sur ce médecin incompétent-là.

 

Cette vaccination riche en aluminium et dirigée contre deux maladies rarissimes met potentiellement la vie en danger puisqu’elle fait encourir à chaque fois un risque de choc anaphylactique et qu’il est toujours conseillé aux médecins d’avoir de l’adrénaline injectable à portée de main. On conseille toujours aux médecins de surveiller au moins 15 minutes les personnes vaccinées mais il ressort de données relayées sur le site Vax Info que des réactions anaphylactiques peuvent encore se produire plus de 30 minutes et parfois même… 120 minutes après la vaccination !

 

Ce triste cas refait donc inévitablement penser à la phrase du Dr Kris Gaublomme qui estime que « cela n’est pas une décision médicale sensée que de risquer sa vie avec une intervention probablement inefficace destinée à prévenir une maladie qui ne surviendra probablement jamais. »

 

On remarquera aussi que ces services de « soins primaires » sont probablement à l’Italie ce que des services comme l’ONE sont aux jeunes enfants belges francophones. Les médecins de ces services sont donc juridiquement couverts par leurs institutions et par les autorités « publiques » de tutelle et le risque qu’ils soient personnellement mis en cause apparaît donc faible.

 

Une fois l’enfant victime (ou l’adulte c’est pareil), c’est un véritable parcours du combattant pour obtenir en fait cet « altruisme » que ces autorités publiques ne cessent pourtant d’invoquer pour pousser tout le monde à accepter docilement ces hasardeux vaccins. Est-ce qu’1,8 million d’euros rendront pour autant à cette enfant sa santé ? Combien d’autres drames de ce genre faudra-t-il encore pour que les parents soient toujours aussi informés de ce genre d’issue dramatique possible ??

 

 

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26 août 2012 7 26 /08 /août /2012 20:05

TEMOIGNAGE D’UNE MAMAN

Robert -  victime d’un vaccin

 

AVN – 7 avril 2012 [extraits]

robert-victime-d-un-vaccin.png

 

 

C’est l’histoire de notre famille après les effets dévastateurs de la loi de juin 1999 concernant la vaccination contre l’hépatite B.

 

Il m’est particulièrement pénible de tenter de décrire l’état de Robert  avant qu’il ne soit vacciné parce que tout ce qui en faisait un enfant brillant, curieux, prévenant, merveilleux à tous points de vue a disparu. Mon fils est toujours là, mais il n’est plus du tout le même. Il a vraiment changé du jour au lendemain, alors que peu de temps avant la vaccination un examen complet avait montré qu’il était en parfaite santé.

 

Le lendemain du jour où il reçut le vaccin hépatite B obligatoire, il était tout à fait différent, son aspect, son comportement, tout avait changé. Je n’arrête pas d’expliquer aux médecins toutes ces différences. Les paralysies dont il souffre sur un côté du corps ne représentent pour nous que la pointe émergée de l’iceberg. Il y a d’autres choses qui ne vont pas sur le plan mental, le plan physique, le plan de sa personnalité. C’est maintenant un enfant complètement différent.

 

Je suis vraiment désespérée ; je ferais n’importe quoi pour le sauver. S’il était mort, je pourrais commencer à faire mon deuil. S’il était perdu, je pourrais entreprendre des démarches pour le retrouver. S’il avait le cancer, je pourrais consulter les meilleurs médecins et lui donner les meilleurs traitements. Mais il est devenu quelqu’un d’autre et je ne sais plus quoi faire.

 

Robert ne supporte plus la douleur, ne se rappelle plus de rien, ne sait plus réfléchir, ne sait plus fermer son œil. La plupart du temps il ne parvient plus à fermer sa bouche et ne cesse de baver. Il éprouve aussi de grosses difficultés pour simplement avaler. Il mange en mettant la tête dans son assiette. Il ne parvient pas à accomplir la moindre tâche ; il ne supporte pas la lumière, le moindre bruit, le moindre stress ; il est d’une faiblesse extrême.

 

Toutes les personnes qui l’ont connu le regardent comme s’il venait d’une autre planète.

 

Nous essayons de lui dire qu’il va mieux et de le traiter comme s’il était normal, mais il sait. Que puis-je lui répondre quand il me demande « Pourquoi moi ? »… Comment une mère peut-elle expliquer quelque chose comme cela à son enfant ? Je veux savoir « Pourquoi lui ? »… A chaque jour qui passe, il devient de plus en plus difficile d’être courageux. [ …] Nous n’avons pas eu le choix de dire la vérité à ses frères. J’ai besoin de leur coopération et de leur compréhension parce que je consacre chaque minute de la journée à Robert. J’ai demandé à mes autres fils de traiter Robert de façon aussi normale qu’ils le peuvent. Ils n’y arrivent pas. Ils s’assoient à côté de lui et le touchent. S’il est dans la salle de bain, ils vérifient pour voir si ça va. Un de mes fils n’a pas été capable de le regarder en face pendant trois jours parce qu'autrement, ses yeux se remplissaient de larmes. Ils ont expliqué à Robert qu’ils avaient le rhume des foins et que c’est pour ça que leurs yeux étaient rouges et gonflés.

 

Deux jours plus tard, Robert a développé une paralysie de Bell et j’ai eu l’impression d’avoir mon thorax dans un étau. Je n’arrivais parfois plus à inspirer et à expirer. Je pensais que mon cœur allait s’arrêter. Je voulais pleurer mais je ne pleure pas encore. Je ne peux pas commencer à pleurer parce que sinon, je ne pourrais plus m’arrêter. Certains jours, je ne pense pas que je pourrais encore supporter cette situation une seule minute de plus. Je ne supporte plus de voir une autre amie qui n’est pas encore au courant de l’état de Robert et de devoir essayer de lui expliquer ce qui s’est passé. Chaque soir, le téléphone n’arrête pas de sonner, notre famille proche et nos amis ayant besoin de savoir s’il y a eu le moindre changement avec Robert. Y a-t-il quoi que ce soit de neuf qui puisse nous donner espoir pour passer au lendemain ? Combien de temps continueront-ils à appeler ? Et combien de temps encore répondrai-je ? Comment pouvons-nous recommencer à revivre à nouveau ? J’ai parlé à des gens qui font face à ce genre de situation depuis des années. Comment font-ils ? Comment peuvent-ils se lever chaque jour et affronter cela ? Comment justifient-ils le fait de faire quoi que ce soit d’autre, quand leur enfant exige autant d’attention et de temps ? Je ne peux même plus envisager d’aller chez le coiffeur ou d’aller faire une course comme je le faisais avant que Robert ne reçoive le vaccin. Si moi déjà, je me sens ainsi, je ne peux imaginer dans quel état se trouve Robert.

 

Tous ceux que j’ai contactés pour avoir des informations et savoir s’il existe des traitements disponibles m’ont dit la même chose : ils sont désolés. Je continue à lire et à chercher des informations pour pouvoir guérir et soigner mon fils. J’ai parlé à des médecins, des avocats, des parents et d’autres enfants comme Robert. Les gens sont si gentils. Ils écoutent et me disent avec empathie qu’ils sont désolés. Et moi j’attends qu’ils continuent. Mais ils ne continuent pas. Donc je me répète et explique que mon enfant a été gravement handicapé par le vaccin hépatite B et que je pensais qu’ils pourraient avoir des informations qui pourraient nous aider. Quoi que ce soit, s’il vous plaît ! Ils redisent alors qu’ils sont désolés. Certains me donnent le nom d’un avocat ou me racontent qu’ils ont reçu une indemnisation. Je pensais qu’ils me disaient cela parce que le traitement était cher. Tout ce qui m’intéresse, c’est la santé de mon fils et être sure qu’il puisse aller mieux. Ils écoutent encore tandis que je continue à expliquer tout ceci encore et encore. Ils sont gentils et ils comprennent. Ils sont désolés. Mais le fait d’être désolé ne me ramènera pas mon fils comme il était avant. Pas plus qu’une indemnisation. Nous avons besoin d’un médecin, pas d’un avocat. Donc, je continue à chercher et à prier. Je prie que si je recevais jamais un appel d’une autre mère désespérée, j’aurais autre chose à lui dire que « je suis désolée ».

 

S’il vous plaît, ne dites pas que vous êtes désolés. Rendez-moi Robert comme il était avant.

 

Source : Australian Vaccination Network

 

Combien d’autres enfants devront encore être détruits au nom d’une prétendue protection contre une maladie qu’ils n’auraient plus que probablement JAMAIS attrapée et tout cela, parce que de « grands experts » auront jugé à distance, de façon impersonnelle et standardisée, que telle cohorte d’enfants ou adolescents doivent faire l’objet d’une vaccination systématique – telle du vulgaire bétail - ?!

Cette médecine de masse est terriblement dangereuse car elle est aveugle, elle juge du futur mode de vie (et des risques) de vos enfants sans rien connaître d’eux. Quel scandale, une fois encore !

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24 août 2012 5 24 /08 /août /2012 18:05

Les effets secondaires des vaccins: c'est décidément la rubrique la plus riche et la plus fournie de ce site, et pour cause. L'insécurité des vaccins est une des grandes raisons suscitant à juste titre une des plus grandes controverses de l'histoire de la médecine depuis près de deux siècles.

 

Régulièrement, des médecins et autres professionnels de santé nous font part d'informations choquantes qui les ont abasourdis ou écoeurés en matière de vaccination. Dans ce cadre, un médecin nous a récemment fait parvenir une publicité tout à fait "éloquente" et révélatrice en la matière, en faveur du vaccin antigrippal Inflexal de Crucell (nouvellement Janssen-Cilag du groupe Johnson & Johnson).

 

Cette publicité tente en effet de faire passer le vaccin Inflexal comme plus séduisant et sûr qu'il n'est en réalité. Tant au niveau de ses composants que de sa tolérance.

 

Cette façon de procéder constitue un truc habituel des pharmas pour présenter leurs produits comme plus sûrs qu'ils ne sont. Décryptage.

 

- Première ficelle: vanter la technologie (en la présentant comme nouvelle, avant-gardiste, de façon à implanter l'idée fausse que ce qui est nouveau est forcément mieux et rime toujours avec "progrès")

 

- Deuxième ficelle: vanter l'absence de certains contaminants et/ou composants notoirement toxiques qui se retrouvent dans d'autres vaccins, mais tout en taisant ou en mettant peu en évidence la présence d'autres ingrédients toxiques et notamment cancérigènes toujours bien présents.

 

- Troisième ficelle: Evoquer de façon brève, simpliste et inconsistante (sans preuves) que le vaccin présenté a "une bonne tolérance".

 

- Quatrième ficelle (= l'indispensable "chaperon"): faire référence aux recommandations officielles d'instances prétendument publiques comme l'OMS en indiquant que le vaccin en question s'y conforme, de façon à faire croire que cela constitue une quelconque garantie. Parfois aussi, les pharmas utilisent comme "caution officielle", la seule mention du fait que tel ou tel vaccin est remboursé, ce qui amène ainsi beaucoup de gens à tomber dans le panneau en déduisant à tort que le vaccin en question est alors forcément utile, sûr et fiable.

 

Passons à présent à un visuel partiel de ladite publicité pour l'Inflexal:

 

Inflexal--2-.jpg

 

Voyons à présent ce que le fabricant indique sur la tolérance de son vaccin Inflexal dans sa notice...."97% des personnes vaccinées ont estimé sa tolérance "bonne" à "très bonne".

 

Ca peut sembler rassurant n'est-ce pas? MAIS, qu'en est-il vraiment, quand on gratte un peu ce pseudo-vernis scientifique??

 

Voici ce qu'il en est en réalité: "l'évaluation de la sécurité est effectuée pendant les 3 jours qui suivent la vaccination" dit le fabricant dans sa publicité au corps médical!

 

Inflexal--3-.jpg

On comprend que des médecins qui savent encore réfléchir aient pu être choqués par pareils aveux et se garderont bien de recommander tous ces vaccins insuffisamment évalués à leur patientèle, déontologie oblige! Pour info, il faut tout de même savoir que 75% des effets secondaires de vaccins (dont ceux pouvant augurer de maladies graves) se manifestent -parfois très subtilement- endéans les 60 jours qui suivent une vaccination ou un rappel, ce qui signifie que 25% des cas peuvent survenir bien au-delà de ce délai de 2 mois, tel que cela ressort du rapport du forum européen de vaccinovigilance sur les effets secondaires des vaccins de 2004. Et ici, avec l'Inflexal, on se limite à 3 jours! Vous l'aurez compris, la sécurité des vaccins n'a jamais été une priorité. Et certainement pas celle des pharmas bien sûr!

 

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 21:30

mort-enfant-vaccin.jpg21 août 2012-  Press Trust of India/ Khatmandu

 

Quatre enfants sont décédés aujourd'hui dans le district de Doti, à l'ouest du Népal après avoir reçu des vaccins contre la rougeole qui leur ont été administrés par des officiels du district.

 

Les corps des 4 enfants ont été identifiés. Il s'agit des enfants Anju BK, Gauri Chiral, Milan Damai et Sujata Nepali, d'un village du district. Ils sont morts aujourd'hui, un jour après que les assistants de santé du district leur aient administré le vaccin contre la rougeole.

 

La cause exacte du décès n'a pas pu être établie selon les officiels.

 

Douze autres enfants qui ont également reçu ce vaccin sont aussi tombés malades, selon ce qu'a déclaré le bureau des officiels de santé du district.

 

Une équipe médicale de la capitale a été envoyée sur les lieux pour procéder à des investigations.

 

Source: Business-standard.com 

 

Comme d’habitude, on nous prétend que « la cause du décès n’a pu être établie » et nous sommes censés le croire ! Qui sait si une autopsie a seulement été demandée ? Et surtout, quels seraient les critères valables pour conclure à une responsabilité éventuelle du vaccin ? Sans arrêt, nous sommes confrontés à des accidents graves et décès post-vaccinaux et c’est sans exception qu’on nous rabâche qu’il n’y a aucun lien avec la vaccination. De temps à autres, comme ça finit par devenir de plus en plus suspect, et à fortiori quand la maladie est rare ou plutôt « atypique », les officiels n’ont plus le choix et sont forcés d’admettre (comme ce fut le cas avec la narcolepsie post vaccin H1N1). C’est donc l’exception qui confirme la règle en somme.

 

Il est évident que cette enquête, comme les autres d’ailleurs sont toujours jouées d’avance et que cette mention ne sert donc qu’à donner l’ILLUSION au public que ces décès n’auront pas été vains ou qu’on leur porte la considération nécessaire, mais ce n’est hélas qu’un leurre. Voyons ainsi quelques autres cas de décès non exhaustifs du même genre pour mieux s’en rendre compte :

 

- Septembre 2010 : Le vaccin contre la rougeole cause la mort de deux jumelles de 9 mois à Ghaziabad, dans l’Etat de l’Uttar Pradesh en Inde.

 

- Août 2010 : 4 enfants meurent à Lucknow, après avoir reçu le vaccin contre la rougeole.

 

- Mars 2010 : 4 enfants sont morts à Damoh, au nord de l’Etat de Madhya Pradesh, après avoir reçu des vaccins contre le tétanos et la rougeole.

 

- Avril 2008 : Pas moins de 4 bébés ont perdu la vie peu de temps après avoir reçu le vaccin contre la rougeole à Tiruvallur, dans l’Etat indien de Tamil Nadu.

 

Suite au décès de 4 enfants, le district de Gujarat avait envoyé des échantillons de vaccin anti-rougeoleux pour analyse… à quoi cela aura-t-il servi ??

 

 

measles-vaccines-deaths-in-the-past.jpg

                   Plusieurs décès qui ont déjà eu lieu après le vaccin contre la

                   rougeole dans le passé. Traduction dans l'encadré ci- dessus.

                               

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 15:09

Samedi 18 août 2012- Heidi Stevenson [Extraits]

 

SMILEY-triste.jpg

[...] La science fait autorité : Non seulement le vaccin contre l'hépatite B est associé à cette maladie du foie, mais il la provoque. Les dégâts précis qu’il fait sont connus, clairement documentés. De faibles doses de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant aluminique entraînent la perte de l'intégrité mitochondriale, la mort cellulaire et l'apoptose, en particulier chez les cellules hépatiques.



Il est vraiment ironique qu'un vaccin dont le but prétendu est de protéger le foie, soit lui-même cause de maladie du foie.



Les auteurs de Hepatitis B vaccine induces apoptotic death in Hepa1–6 cells [Le vaccin contre l'hépatite B induit la mort par apoptose chez les cellules Hepa1-6], signalent clairement que leur inquiétude se porte sur l'adjuvant hydroxyde d'aluminium, et ses profondes répercussions, car l'aluminium est systématiquement utilisé dans les vaccins pour enfants.   

 

Voici leur conclusion :



"Nous concluons que l'exposition des cellules Hepa1-6 à une faible dose de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant entraîne la perte de l'intégrité mitochondriale, l’induction de l'apoptose, et la mort cellulaire ; l’effet de l'apoptose a été aussi observé dans la lignée des cellules myoblastes de souris C2C12 après traitement avec de faibles doses de vaccin (0,3, 0,1, 0,05 μg/ml). En outre l’effet apoptotique du vaccin contre l'hépatite B a été observé in vivo dans le foie des souris. "



FOIE-HEPATITE.jpg

Solde final : le vaccin contre l'hépatite B est responsable de la mort des cellules hépatiques. Cela ne serait pas en soi une grosse affaire, mais cette étude recoupe un nombre croissant de preuves montrant que la maladie du foie, avec d'autres troubles, résulte des vaccinations contre l'hépatite B et de l’adjuvant aluminique :



 

- Dans l'étude in vivo des effets du vaccin contre l'hépatite B sur l'inflammation et l'expression des gènes du métabolisme : L’expression de 144 gènes ayant des liens avec la fonction hépatique est modifiée.



- Vaccin contre l'hépatite B et réactions gastro-intestinales adultes associés : Analyse de suivi : Les fonctions gastro-intestinales et du foie sont associées à la vaccination contre l'hépatite B.



- Vaccin contre l’hépatite B et problèmes hépatiques chez l’enfant de moins de 6 ans, 1993 et 1994 : Les enfants ayant été vaccinés contre l'hépatite B sont 2,57 fois plus susceptibles de souffrir de problèmes de foie.

 

[…]

     

L’absence d’intérêt du vaccin contre l’hépatite B

 

Bien que la vaccination contre l'hépatite B prélève un lourd tribut d’enfants, une question reste toujours en plan : Quel est l’intérêt de vacciner des nouveau-nés, comme cela se pratique couramment dans les hôpitaux ?

 

La réponse à cette question est particulièrement troublante. La maladie contre laquelle ces bébés sont censés être protégés peut s’attraper seulement par contact sexuel ou être transmise par la voie sanguine. Il est possible de l’avoir de naissance quand la mère est infectée, mais les futures mères peuvent être protégées de l'hépatite B, de sorte qu’il n’y a aucun risque plausible pour le nouveau-né des mères non infectées.

 

Peut-être est-il logique de vacciner la femme enceinte afin de protéger son bébé ? Cette idée ne marche pas, car l’innocuité est très douteuse pour le fœtus.

 

Et la durée de l'efficacité du vaccin contre l'hépatite B ? On peut répondre de deux façons à cette question. Tout d'abord, même si le vaccin dure toute la vie, cela ne justifie pas de vacciner un nourrisson qui n’a même pas développé sa barrière hémato-encéphalique, en augmentant considérablement les risques.

 

La deuxième réponse, est encore plus convaincante : Selon la propre estimation des Centers for Disease Control eux-mêmes (qui, comme beaucoup d'entre nous en sommes conscients, sont suspects), la couverture maximale du vaccin dure 20 ans. Ainsi, juste au moment où l’enfant entre dans l’âge de la plus grande activité sexuelle, le vaccin ne procure plus aucun avantage. (Il convient de noter qu'il existe d'importantes questions quant à son efficacité, même quand il est récent.)

 

Il ne peut y avoir aucune justification à la vaccination généralisée des nouveau-nés contre l'hépatite B. Elle ne leur confère aucun atout possible.

 

Les raisons de vacciner contre l'hépatite B à la naissance

 

Vu l'absence totale d’intérêt du vaccin contre l'hépatite B à la naissance, pourquoi est-il pratiquement obligatoire aux Etats-Unis ? [Ndt : Il n’est pas obligatoire en France.]

 

La première raison, et la plus évidente, est naturellement les profits. Il y a de l'argent à gagner en assurant pratiquement que quasiment tous les nouveau-nés soient vaccinés. Il y a pourtant une possibilité encore plus perfide.

 

Il est désormais évident que les profiteurs de vaccins et leurs larbins gouvernementaux ne permettront pas que l’on se mette en travers de leurs profits. Tel que Jagannath Chatterjee l’a documenté dans Autisme : Conspiration du silence, peu importe que des carrières soient ruinées ou des vies détruites. Si les prébendes vaccinales sont menacées par la démonstration des préjudices des vaccins, alors cette information doit être étouffée, surtout s’il est question d'autisme.

 

L’une des choses que les parents d'un enfant autiste relèvent systématiquement, c'est sa normalité avant le vaccin. Leur enfant n’est pas né autiste. Ils le savent.

 

Seulement, si un bébé est vacciné à la naissance, il n'y a aucun moyen de savoir qu'il y a eu régression dans l'autisme. Pour les parents, il est impossible de savoir que le saccage définitif de leur enfant est dû à un vaccin fait à la naissance.

 

Étant donné le saccage de la réputation du Dr Wakefield et de ses recherches de haute qualité, et le fait que l'autisme a été clairement associé aux vaccinations dans d'autres études, et aussi la reconnaissance par des tribunaux spécialisés d’une relation de cause à effet entre symptômes et vaccinations, on doit se demander si le but réel d'injecter le vaccin contre l'hépatite B aux nouveau-nés n’est pas de cacher la vérité sur l'autisme, qu’il s’agit d’un état induit par les vaccins.

 

Par quel moyen un parent peut-il savoir que son bébé parfaitement normal a régressé dans l'autisme, plutôt que d’être né ainsi, si la régression de l'enfant a commencé avec un vaccin à la naissance ? Combien de parents d'aujourd'hui croient que leurs bébés sont nés autistes tout simplement parce qu'ils n'ont jamais eu l'occasion de le connaître normal ?

   

Sources :  Alter Info & Gaia Health

 

Quel comble ! Rien que cela devrait IMMEDIATEMENT faire lever toutes les obligations de vaccination anti-hépatite B pour le personnel soignant et les autres professions concernées car il est totalement inacceptable d’obliger les gens à troquer le risque d’hépatite B contre des dommages certains au foie, qui est un organe si crucial pour notre bonne santé !

 

Pour les enfants également, le forcing parental pour les faire accepter le vaccin le plus combiné (l’hexavalent, avec la valence anti-hépatite B) est totalement inadmissible.

 

Une fois encore, on remarque que les vaccins ne résolvent RIEN mais ne font « au mieux » que créer d’autres problèmes encore plus graves. Car qui dit un foie qui fonctionne moins bien dit aussi une moins bonne détoxification du corps vis-à-vis des très nombreux polluants cancérogènes et mutagènes qui nous entourent mais également un dysfonctionnement possible de toute une série de circuits métaboliques dans lesquels le foie est impliqué (conversion des précurseurs des hormones thyroïdiennes en hormone T3 bio-assimilable ; synthèse de la coenzyme Q10 endogène et participation à la synthèse de plusieurs hormones, participation à la régulation de l’équilibre glycémique,etc etc…).

 

En prétendant « protéger » les gens, on les affaiblit encore donc beaucoup plus puis le système profite hélas par après, sur le plan financier, de leurs maladies en faisant vendre des médicaments aux pharmas et en faisant tourner les hôpitaux et les machines.

  

Les vaccins anti-hépatite B actuellement disponibles sont en outre des vaccins transgéniques (c'est-à-dire fabriqués par génie génétique, avec tous les risques propres que cela comporte bien entendu). Les premières versions sont sur le marché depuis 1986 déjà soit depuis plus de 25 ans. Et c’est seulement en 2012 qu’une étude sort sur les dégâts cellulaires objectifs que ces vaccins peuvent causer au foie, l’organe pourtant cible de cette vaccination! Les vaccins anti-HPV prétendument « contre le cancer du col de l’utérus » sont soit disant déjà étudiés depuis plusieurs années. Pourtant, des données récentes indiquent que ces vaccins peuvent aussi favoriser et augmenter les taux de frottis anormaux, dysplasies du col et de cancer du col de l’utérus liés à des souches non vaccinales mais aussi aux souches vaccinales lorsqu’une jeune fille déjà contaminée se fait malgré tout vacciner (+ 44,6% de risque !)

 

Tout cela suffit donc à démontrer une fois encore que les vaccins sont en réalité des produits purement expérimentaux dont on sait bien trop peu des effets possibles avant de les utiliser massivement sur le public. Et d’ailleurs, même le Dr Anne-Marie Moulin du CNRS a admis en conclusion du documentaire « Vaccins, le virus du doute », qu’ « il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut, qui est le saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin qui, par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. »

 

Au prochain nouveau vaccin qu'on vous présentera, posez-vous donc la question de savoir s'il ne risque pas de faire pire que bien, et de vous faire échanger un risque incertain de maladie contre des dégâts certains de l'organe prétendûment protégé par la vaccination!

 

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19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 12:21

Mort mystérieuse d'un nourrisson 

   

17 août 2012- L'UNION

 

Sekoumar.jpg

REIMS (Marne). C'est une tragique histoire qui s'est déroulée à Reims le 10 juillet dernier. Après s'être fait vacciner, un nourrisson d'un mois est décédé sans explication apparente.

 

LE 10 juillet dernier, un mois après avoir donné naissance à son fils Sekoumar, Aminata Bach se rend à ce qui devait être un rendez-vous de routine à la PMI de l'espace Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge afin d'y faire vacciner le nourrisson.


D'après les parents, c'est une infirmière en stage qui s'occupe de lui administrer le vaccin BCG contre la tuberculose. Mais lorsque celle-ci plante l'aiguille et lui injecte le sérum, la réaction de l'enfant est inexplicable.


« Dès que l'aiguille a été introduite, mon enfant a commencé à pleurer et à vomir une grande quantité de sang. Le sang sortait même par son nez, c'était vraiment horrible. Puis, d'un coup, il a arrêté de respirer, j'ai bien senti que mon enfant était mort », explique la jeune femme de 28 ans.


La stagiaire avertit aussitôt sa responsable, pédiatre de la PMI, qui, dès son arrivée, constate que l'enfant est sans vie. Elle tente immédiatement de le réanimer.


Quelles sont les causes du décès ?


« Je suis très vite arrivé pour rejoindre ma compagne, j'ai tout de suite vu tout ce sang sur la table de soin, sur le sol… mon fils avait à ce moment-là été réanimé. Les secours avaient été prévenus mais tardaient à venir et mon enfant continuait à vomir du sang. Alors avec la pédiatre, nous avons décidé de l'emmener nous-mêmes à l'hôpital », ajoute Koita Sekou, le papa de 32 ans d'origine guinéenne.


Juste après leur départ, le pédiatre et le jeune couple croisent l'ambulance des secours qui prend le relais pour le transporter aux urgences pour enfants de l'Hôpital américain.


« Sur place, les différents médecins ont fait des diagnostics mais sans être sûrs de la piste à suivre. Ce n'était que des probabilités. Sekoumar a été pris en charge par les médecins et les infirmières dans le but de subir des examens complémentaires et éventuellement une intervention chirurgicale si celle-ci s'avérait nécessaire. Puis aux alentours de 19 heures, le docteur Béatrice Digeon est venue nous informer que notre enfant était décédé et que tout avait été fait pour le réanimer », précise le couple meurtri.


Personne ne semble pouvoir indiquer aux parents les causes exactes du décès du nourrisson et malgré le choc qu'ils viennent de subir, ils ont la lucidité d'exiger des explications. Dès lors, le docteur Béatrice Digeon répond à leurs demandes et leur fait signer les documents relatifs à toute procédure d'autopsie médico-légale.


« Cette autopsie n'a pas permis d'éclaircir la mort de Sekoumar. Par contre, elle dit bien que mon fils était en parfaite santé et vient appuyer les documents de la clinique Saint-André qui allaient également dans ce sens », affirme Koita Sekou.


Une information judiciaire est alors ouverte par le parquet de Reims puisque le décès a été jugé suffisamment inquiétant. Une seconde autopsie est ordonnée par le juge d'instruction saisi du dossier. Commence alors une interminable attente pour les parents.


« Je fais vraiment confiance aux institutions françaises, nous sommes dans un état de droit, mais toujours est-il que le médecin nous a conseillé de nous porter partie civile pour pouvoir avoir accès au dossier. Nous avons donc contacté l'aide juridictionnelle qui nous a mis en relation avec maître Élisabeth Rota-Gualtieri.
Aujourd'hui, cela fait plus d'un mois que notre fils est mort et nous ne savons toujours pas pourquoi. Personne pendant ce mois ne nous a communiqué quoi que ce soit sur le dossier hormis Mme Bezard de l'aide aux victimes. Ce que j'ai du mal à admettre c'est que notre avocate ne se soit pas plus impliquée que cela. Lorsque je lui posais des questions, elle me disait d'aller voir moi-même l'hôpital et nous venons d'apprendre qu'elle est partie en vacances. Sans nous expliquer s'il est possible ou non de récupérer le corps…C'est incompréhensible et en même temps inhumain de nous laisser dans le doute. Cela augmente notre douleur de ne pas savoir si le décès est en rapport avec le vaccin ou si c'est un problème génétique », soulignent les parents.


Hier, le docteur Béatrice Digeon a reçu les parents pour leur communiquer les résultats de la seconde autopsie effectuée à Lyon, mais là encore, les médecins sont dans l'incapacité d'expliquer la mort du petit Sekoumar.


Aminata Bach et Koita Sekou, à l'heure où nous écrivons ces lignes, ne savent toujours pas quand ils vont pouvoir récupérer la dépouille de leur enfant, ne connaissent pas les causes de son décès et surtout ne peuvent toujours pas commencer à faire le deuil de leur enfant qui aura passé plus de temps entre les murs d'une morgue qu'auprès de sa famille de son vivant.

 

Thierry ACCAO FARIAS

 

Source : l’Union.presse.fr  (Voir aussi ICI)

 

Cette triste nouvelle impose UNE SEULE QUESTION: Que faudrait-il exactement trouver comme éléments dans l'autopsie pour que les officiels puissent éventuellement considérer que le vaccin ait pu causer ou contribuer au décès?

Cette question se pose d'autant plus que les effets secondaires des vaccins font l'objet d'un déni carabiné et d'une véritable chape de plomb. En Belgique, le petit Xandro était mort une semaine après ses vaccins et nous avions déjà annoncé avant les résultats d'autopsie la teneur sans surprise des résultats. Pour la petite Stacy Sirjacobs, décédée aussi une semaine après ses vaccins en Belgique, l'autopsie a été carrément refusée. A un moment donné, il faut en revenir à l'élémentaire bon sens: l'autopsie a confirmé que Sekoumar était en parfaite santé? Alors la logique commande de considérer la vaccination comme LA CAUSE la plus probable jusqu'à preuve de contraire! C'est tout de même un acte qui n'est ni neutre ni anodin la vaccination qui consiste en un court-circuitage de tout notre système immunitaire puisqu'une injection ne respecte PAS les voies d'entrée immunologiquement prévues par la Nature pour la pénétration des microbes dans l'organisme (peau, muqueuses). Si vous installez mal des programmes sur un PC, il va "bugger", on considère ça comme normal et logique or ici, si on court-circuite un système aussi subtil et complexe que le système immunitaire d'un tout jeune enfant jusqu'alors en parfaite santé et qu'il décède brutalement, on innocentera le vaccin?? Absurde!

 

Un lecteur attentif et vigilant nous a par ailleurs communiqué un article sur la contamination par des moisissures de vaccins BCG de Sanofi Pasteur au Canada, à l'origine du fait que le pays s'approvisionnera désormais au Japon. Faudrait-il y voir un lien avec le décès du petit Sekoumar?

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18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 21:36

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6 août 2012. Philly.com

 

Médecine évolutionniste: Une recherche montre comment les vaccins peuvent accélérer l'évolution de parasites plus agressifs. [Analyse d'IC en fin d'article]

 

Quand le biologiste de l'Université d'état de Pennsylvanie, Andrew Read, a injecté aux souris le composant de plusieurs vaccins prometteurs contre la malaria, il a obtenu un résultat inquiétant: les parasites de la malaria se sont répandus parmi les souris vaccinées et ont évolué pour devenir plus virulents.

 

Les souris non vaccinées infectées par ces "super parasites" étaient encore plus malades que celles infectées avec le parasite ordinaire de la malaria.

 

Les résultats, a dit Read, ne devraient pas décourager la recherche sur des vaccins anti-malariques. [...] Entre 15 et 20 vaccins contre le paludisme sont actuellement au stade des essais cliniques un peu partout dans le monde, pour la plupart en Afrique. Read, qui est un biologiste évolutionniste expérimenté a dit espérer que ses résultats accéléreront l'analyse, par les chercheurs qui développent ces vaccins, de la manière dont ceux-ci peuvent affecter l'évolution des parasites.

 

Read a également travaillé sur l'évolution de bactéries résistantes aux antibiotiques. Dans une publication provocante sortie l'année dernière, il a suggéré que les doses d'antibiotiques habituellement prescrites peuvent parfois favoriser l'émergence de souches résistantes. Des doses plus faibles, qui permettent au système immunitaire de tuer les bactéries résistantes, pourraient constituer une meilleure approche à long terme.

 

Dans les maladies infectieuses, les microbes ou parasites se font concurrence à l'intérieur de l'hôte, comme le font les individus dans une population. Si un médicament ou un vaccin n'éradique ou ne prévient pas complètement l'infection, l'intervention peut faire basculer le champ des évolutions possibles  et éventuellement favoriser non seulement les insectes qui résistent à un médicament particulier, mais aussi ceux qui se répandent plus vite, ou causent des symptômes plus sévères, a encore dit Read.

 

Les résultats sur la malaria, publiés la semaine dernière dans le journal PLoS Biology, sont pris au sérieux par les chercheurs qui travaillent sur ces vaccins. "S'il y a un effet comme celui-là, nous devons être conscients de cela et prendre des mesures pour minimiser ce genre d'impact." a dit Patrick Duffy, le responsable du laboratoire sur l'immunologie de la malaria et la vaccination à l'Institut National de Santé (NIH).

 

Les résultats ne s'appliquent pas à la plupart des vaccins existants, comme ceux utilisés contre la variole, la rougeole et les oreillons. Ceux-là empêchent d'être jamais infectés d'où qu'il n'y a pas d'opportunité pour les virus d'évoluer chez les personnes immunisées, a dit Read. Mais le parasite de la malaria est un organisme plus complexe et aucun vaccin actuellement testé n'est capable de l'éradiquer complètement.

  

A ce jour, le mieux que les scientifiques puissent faire avec des vaccins, est de mettre l'infection en sourdine et d'améliorer les symptômes, de façon à ce que les enfants infectés aient moins de chances de mourir. Mais les personnes vaccinées restent encore porteuses du parasite et de ce fait, ces moustiques peuvent encore aller contaminer d'autres gens. De tels vaccins imparfaits sont en quelque sorte des vaccins "permissifs" car ils permettent encore la fuite des pathogènes qui peuvent encore se multiplier et évoluer à l'intérieur de l'hôte. D'autres vaccins "permissifs" pourraient éventuellement être utilisés pour le traitement du HIV.

 

L'évolution pourrait aussi jouer un rôle dans la façon dont les maladies réagissent aux vaccins. La coqueluche est l'une d'entre elles, a expliqué Read, depuis que les effets du vaccin s'amenuisent.

 

Les chercheurs devraient aussi être vigilants au sujet de l'évolution du papillomavirus humain (HPV) qui est impliqué dans le cancer du col de l'utérus a-t-il dit. Les vaccins actuels ne protègent pas contre toutes les souches du virus et pourraient ainsi permettre à des souches non ciblées de devenir progressivement plus virulentes.

 

"Nous nous dirigeons vers des situations où les parasites évoluent en présence de populations vaccinées" a-t-il dit. "Nous devons être sûrs que nous n'allons pas créer des situations qui permettront la diffusion de souches plus virulentes."

 

Tandis que le parasite de la malaria qui infecte les humains ne peut pas être transmis aux rats ou souris de laboratoire, ces animaux peuvent être infectés avec une version différente du parasite qui infecte dans la nature certains rongeurs africains. 



Pour un vaccin dans cette expérience sur souris, Read et sa collaboratrice Victoria Barclay ont choisi une protéine appelée AMA-1, qui est le composant-clé de plusieurs vaccins actuellement en développement en Afrique. Ils ont permis au parasite de se diffuser à 10 souris vaccinées différentes. Ensuite, ils ont laissé ces parasites infecter des souris non vaccinées.

 

Ce nouveau parasite de la malaria a rendu les souris non vaccinées encore plus malades qu'avec la forme classique de la malaria qui n'avait pas évolué chez les souris vaccinées. Read a dit qu'ils étaient encore en train de comprendre les mécanismes spécifiques par lesquels le parasite de la malaria est devenu plus agressif et plus virulent.

 

Il est possible, a-t-il dit, que la réponse immunitaire accélérée par le vaccin ait barré la route aux parasites les plus faibles, laissant ainsi les plus agressifs se répandre plus rapidement du fait d'une moindre compétition entre eux. 

 

Duffy, de l'Institut National, de Santé a dit que les résultats influenceront la manière dont ils conduisent les essais cliniques de vaccins sur les humains dans plusieurs pays africains. Dans l'expérience de Read, c'était les souris non vaccinées qui risquaient le plus de souffrir d'une maladie aggravée. Si les choses tournent donc de la même manière pour les humains que chez les souris, a-t-il dit, les vaccins pourraient bénéficier à certaines personnes mais rendraient la situation plus dangereuse pour ceux qui resteraient non vaccinés.

 

"Nous avons non seulement besoin de suivre les gens à qui nous avons donné le vaccin mais aussi les autres personnes de la communauté" a dit Duffy.

 

Les chercheurs sont en train d'explorer différentes tactiques de développement des vaccins, a dit Duffy. Ils sont en train de cibler le parasite à différents stades de son cycle de vie complexe, y compris la phase où il vit à l'intérieur du moustique. Certains de ces stades pourraient être moins favorables que d'autres pour l'évolution du parasite

 

Duffy et Read s'accordent sur le fait que cette nouvelle publication devrait accroître la conscience d'une possible évolution mais pas mettre le feu à des craintes irrationnelles envers les vaccins. (sic). "Les vaccins restent notre meilleur outil de santé public" (sic) a dit Duffy. "Ils sont notre meilleur moyen le plus rentable d'améliorer la santé publique." (resic)

  

Source: Philly.com

 

Hallucinant: Non seulement des scientifiques irresponsables jouent aux apprentis-sorciers avec les deniers publics en risquant de faire PIRE QUE BIEN mais en plus, ils finiront par mettre directement en péril la santé des non vaccinés et le DROIT de tout un chacun de ne pas se faire vacciner car bien entendu, la fameuse “solidarité” dont on ne cesse de nous parler en matière de vaccination va ici complètement s’inverser en se transformant en un égoïsme particulièrement lucratif, oppressant ainsi de plus en plus les non vaccinés tout en les mettant davantage en danger !

 

Ainsi, la question éthique sera de taille : le droit des gens de se faire vacciner en pensant ainsi se protéger eux pourra-t-il légalement primer sur le droit des non vaccinés de se protéger (et de protéger les générations futures également) de « super parasites » responsables de maladies encore plus graves qu’auparavant ??

 

Les non vaccinés vont donc pouvoir culpabiliser comme il le faut les sujets très égoïstes (mais surtout très désinformés) qui accepteront bêtement de recevoir ce vaccin sans aucune compassion pour la véritable « protection de groupe »…

 

Et le pire c’est que ces gens qui mettent ces énormes risques en lumière sont plus que probablement obligés de rester dans le « politiquement correct » en répétant les louanges éculées à la gloire des vaccins, tout en rappelant que cela ne doit pas amener « des craintes irrationnelles ». Des gens qui manifestent ceci dit de grosses lacunes dans leur connaissance des vaccins puisqu’on ne peut absolument pas dire qu’il n’y a pas d’évolution possible pour des vaccins comme les oreillons ou la rougeole ou autres ; la vérité est qu’ils n’en savent rien. Si on prend le cas des oreillons, on voit que le vaccin semble de moins en moins efficace (même en deux doses). Par ailleurs, pour ce qui est d’un vaccin comme celui contre l’hépatite B, il a été constaté en plusieurs endroits (dont en Italie où ils ont très massivement vacciné) des formes mutantes plus dangereuses encore du virus ! Pourtant, apparemment, on aurait pu aussi à priori croire que pour un tel virus (de l’hépatite B), il n’y avait pas « 36 versions ». La Nature a définitivement des parades que la Science doit avoir l’humilité de ne pas forcément pouvoir prévoir !

 

Soyons en tout cas « sans crainte », seuls les labos n’ont vraiment rien à craindre dans toute cette (sale) histoire !!

 

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