Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
15 juillet 2012 7 15 /07 /juillet /2012 15:23

C'est le journal le Monde des 14, 15 et 16 juillet qui s'en fait notamment l'écho: les vaccins vivants atténués massivement administrés aux volailles ont fait pire que bien et induisent ainsi jusqu'à 20% de mortalité dans les élevages!

 

Une étude, publiée le 13 juillet dernier dans la revue Science fait état de l'effet particulièrement pervers des vaccins à virus vivants atténués utilisés chez ces volailles (tout en sachant que d'autres vaccins à virus vivants atténués sont aussi utilisés chez l'Homme): la recombinaison des virus vaccinaux atténués avec d'autres pour former des virus bien plus corriaces et destructeurs encore.

 

Les volailles, qu'on vaccinait ainsi contre la laryngotrachéite infectieuse aviaire (sic!), une épizootie soumise à déclaration obligatoire et causée par un virus de l'herpès spécifique de l'espèce, IL-TV, sont à présent touchées par deux nouveaux "super virus" dont les séquences génétiques constituent en fait un "mix" de celles des trois virus vaccinaux utilisés (d'origine australienne et européenne), ce qui prouve donc bien que les souches vaccinales ont ainsi trouvé, via l'hôte vacciné, un terreau favorable pour se recombiner et donner lieu au pire.

 

Au lieu toutefois de comprendre qu'il est absurde de vacciner contre tout et de tirer ainsi de vraies leçons, il est probable que les changements de pratique vaccinale consisteront à recourir sous peu à un autre type de vaccin (tué ou inactivé mais plus à virus vivants atténués).

 

Pendant ce temps, de nombreux vaccins à virus vivants atténués continuent d'être massivement utilisés chez les humains (ROR, rougeole, oreillons, rubéole, fièvre jaune, varicelle, rotavirus, typhoïde etc) sans que personne ne s'interroge jamais sur les mêmes types de conséquences graves possibles en termes de facilitation de nouveaux virus émergents et possiblement épidémiques. Pourtant, plusieurs spécialistes, comme le Pr Delong, immunologiste et virologue américain (auteur du livre "Live Viral Vaccines, biological pollution), avaient déjà mis en garde et dénoncé cette introduction non nécessaire de virus infectieux dans des organismes sains au départ, et qui consiste en fait à faire des être vivants de véritables "réservoirs de virus latents", sortes de bombes à retardement en puissance... pour le plus grand Bien de tous, cela va sans dire!

 

On maltraite la nature, on agit en dépit du bon sens?.....

C'est simple: LA NATURE SE VENGE!

 

les-poules-se-vengent.jpg

 

 

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 22:30

Acad.-Medecine-photo.jpg

Dans un récent communiqué de presse, l'association française E3M pointait une contradiction effarante en matière d'aluminium vaccinal. En effet, alors que l'Académie française de Médecine a admis que l'aluminium vaccinal migre notamment au cerveau, la formulation vaccinale Tetagrip (qui demeurait depuis l'étrange retrait du vaccin DTP sans alu en 2008, la seule vaccination antitétanique sans aluminium) n'est plus commercialisée depuis le début de l'année.

 

Par ailleurs, et alors que l'Académie avoue dans un rapport l'imprégnation aluminique de divers organes nobles après vaccination (dans l'ordre suivant:  rein> rate> foie> coeur> ganglions> cerveau), cette instance défend cependant, de manière tout à fait illogique, le maintien de cet adjuvant dans les vaccins et s'oppose ainsi à tout moratoire, comme l'avait pourtant recommandé un groupe de députés de l'Assemblée Nationale il y a quelques mois.

 

La raison invoquée est bien sûr que cela freinerait la vaccination car les évaluations nécessaires à la mise au point d'un adjuvant de substitution prendraient 5 à 10 ans. Autrement dit: même si cela pose des risques, mieux vaut surtout continuer à vacciner que d'appliquer le plus élémentaire principe de précaution!

 

Mais ce qui est finalement le plus réjouissant, c'est la lucidité accrue des citoyens vis-à-vis de pareilles institutions et de leurs attitudes schizophrènes. Sur le site de laNutrition.fr par exemple, les commentaires sont assez unanimes. En voici d'ailleurs quelques uns:

 

« Honteux! »

 

« Agissons vite! »

 

« Consternant...mais pas étonnant : juste dans le prolongement de toutes les prises de position des instances concernées sur le sujet. Une (parmi bien d'autres) contradiction relevée: les 5 à 10 années nécessaires pour réaliser et analyser les essais nécessaires. L'industrie pharmaceutique a été beaucoup plus performante au regard des délais de mise sur le marché des doses de vaccins contre la grippe H1N1 qu'on a tenté de nous fourguer, avec l'appui aveuglé de la majorité de la profession journalistique, par ailleurs... » 

 

« Consternant! Des vieillards au service des multinationales. Et on s'étonne que la France aille si mal. Ce n'est pas avec des ignares pareils que la France va s'en sortir! J'ai honte pour mon pays. »

 

« L'aveuglement stupide de ces gens est consternant. Les vaccins peuvent être dangereux. Je connais personnellement un médecin qui travaille chez GSK, une multinationale pharmaceutique, et qui refuse les vaccins pour ses propres enfants... »

 

« Je ne trouve pas de mots pour "les" qualifier... ahh si : des monstres !
C'est en effet une secte au service de l'argent, mais qui œuvre également pour l'abrutissement de la population ! »

 

« Rien ne m'étonne venant de L'Académie de médecine, c'est une secte au service de l'argent! »

 

« Super comme ça nous continuerons à attraper des maladies rares et orphelines!!!!! BRAVO. »

 

 

Il est en fait intéressant de prendre un exemple parmi tant d'autres: l'AMIANTE...

  

"En 1996, l'Académie de Médecine votait à l'unanimité un rapport minimisant les risques de pollution par les fibres d'amiante alors qu'en 1906, un rapport rédigé par Denis Auribault, inspecteur départemental du travail à Caen, dénonçait déjà les dangers mortels de l'amiante. En 1918, un commissaire britannique du département du travail déplorait l'absence d'études épidémiologiques chiffrées. Il notait un fait qui ne trompe pas: "Les demandes d'assurance sur la vie concernant les travailleurs de l'amiante sont déclinées." [...] En conclusion, le risque de mortalité qui a servi de base à l'appréciation rassurante du rapport de l'Académie de Médecine n'est pas seulement sous-estimé, il est absurde, ce qui montre à quel point les experts qui ont signé ce rapport et ceux qui l'ont voté à l'unanimité sont peu dignes de la confiance du public à propos d'une question sanitaire controversée." (Bernard Cassou & Michel Schiff, "Qui décide de notre santé?", Siros 1998)

 

Est-il encore besoin d'ajouter d'autres commentaires après cela?

 

... OUI, peut-être ceci:

 

le courrier envoyé par l'association E3M à l'Académie de Médecine !

Partager cet article
Repost0
14 juillet 2012 6 14 /07 /juillet /2012 20:50

Cette étude doit avoir un goût amer pour les Drs Swennen, Van Laethem ou encore pour le Vif. Car pour rappel, l'article du Vif du 23 décembre dernier, assez scandaleusement "blanchi" d'ailleurs par le Conseil de Déontologie journalistique (et dans lequel les Drs Swennen et Van Laethem s'en donnaient à coeur joie), assimilait le syndrome de Guillain-Barré post- vaccination H1N1 à "une légende" !!!

 

Comme pour la sclérose en plaques après vaccination hépatite qui n'est pas une nouveauté et qui apparaît déjà dans les notices de vaccins hépatite B depuis 1995, le syndrome de Guillain-Barré, qui est une pathologie neurologique grave, apparaît en fait et ce depuis bien longtemps dans les notices d'une majorité de vaccins, preuve que les vaccinations peuvent toutes potentiellement induire des troubles neurologiques et auto-immuns.

 

Cette étude canadienne n'est donc pas une surprise. Souvenons-nous d'ailleurs à ce propos que les neurologues britanniques avaient reçu un courrier avant le début des campagnes de vaccination H1N1 pour les mettre en garde contre ce risque connu et prévisible de Guillain-Barré, preuve que les autorités officielles sont parfaitement au courant, bien qu'elles tentent publiquement de minimiser, comme le faisait par exemple cette porte-parole de l'Agence fédérale belge du Médicament dans un reportage télé consacré à une victime belge du vaccin H1N1 Pandemrix, qui avait développé une polyneuropathie après cette vaccination (la polyneuropathie faisant, tout comme le syndrome de Guillain-Barré, partie des maladies dites "démyélinisantes" c'est à dire associées à une destruction auto-immune de la myéline qui est en fait la gaine des nerfs).

 

Cette étude-ci, dont les résultats sont relayés par l'Agence Reuters, n'apporte donc rien de neuf en somme. Elle évoque un sur-risque léger mais ce dernier adjectif est bien sûr sujet à caution et à discussions dès lors que ce calcul du risque dépend toujours du surplus de cas par rapport à ce que les experts qualifient de "nombre de cas attendus". Or ce "nombre de cas attendus" (en l'absence de vaccination H1N1) ne correspond toutefois pas à un nombre de cas normalement attendus en l'absence de toute autre vaccination. Il y a donc un biais majeur qui tend à sous-estimer très fortement les chiffres réels de risques de telles paralysies, qu'on aime en général davantage imputer aux infections grippales ou autres plutôt qu'aux sacrosaintes vaccinations.

 

L'étude canadienne  évoque en fait 83 cas de Guillain-Barré au Québec dans les six mois qui ont suivi le début de la campagne vaccinale H1N1. Sur ces 83 cas, 25 seraient survenus chez des individus vaccinés, en-déans les 8 semaines qui ont suivi la vaccination.

 

Pour les auteurs qui ont publié jeudi dans JAMA, le risque de Guillain-Barré post-vaccinal serait seulement de "2 par millions de vaccinations" et seulement après l'âge de 50 ans.

 

Aux USA également, d'autres études avaient déjà mis ce risque en évidence et ce, notamment après la grande campagne vaccinale inutile de 1976 contre l'épidémie fantome de H1N1 qui avait justement dû être arrêtée suite à ce risque neurologique grave.

 

Il est cependant très révélateur que les officiels des Centre de Contrôle américains des Maladies (CDC), comme le Dr Claudia Vellozzi, prétendument chargée de la sécurité des vaccins au sein d'une telle institution, se soient empressés de minimiser et de relativiser les résultats de ce genre d'études en affirmant par exemple de façon machinale "Le risque est vraiment très faible" ou encore "La maladie grippale elle-même est bien plus sévère, entraînant un grand nombre d'hospitalisations. Je pense qu'il y a un consensus sur le fait que les bénéfices l'emportent certainement sur les risques."

 

En fait, ce discours de déni et de minimisation systématiques est propre à tous les vaccins. Il ne doit toutefois pas faire oublier d'une part que des gens jeunes ont déjà été affectés par des Guillain-Barré post-vaccinaux comme après Gardasil par exemple et d'autre part, que les effets secondaires des vaccins, aussi variés et graves qu'ils puissent être, sont et restent depuis toujours, considérablement sous-notifiés et sous-estimés. Par conséquent, toutes les affirmations gratuites selon lesquelles il y aurait un prétendu "consensus" sur le fait que les bénéfices l'emportent de toute façon sur les risques, doivent être considérées avec le recul et la lucidité nécessaires. Le consensus n'est que factice, car il émane en fait toujours des industriels et ne fait donc que leur revenir grâce à une boucle sans fin de conflits d'intérêts et autres experts à la solde.

 

 

Références de cette étude:

 

De Wals P. et al., Risk of Guillain-Barré syndrome following H1N1 influenza vaccination in Québec, JAMA 2012 Jul 11; 308(2): 175-81.

 

 

Partager cet article
Repost0
12 juillet 2012 4 12 /07 /juillet /2012 22:30

Les autorités canadiennes savent-elles ce qu'elle disent ou bien n'hésitent-elle pas à tromper sciemment le public en osant ainsi affirmer tout et son contraire?

 

C'est véritablement ce qu'on peut se demander à la lecture de plusieurs sites et documents des autorités canadiennes.

 

En effet, sur le site de l'Agence de Santé publique du Canada, on peut lire dans le "Guide des Parents sur la vaccination" les questions et les réponses suivantes:

 

Un vaccin peut-il rendre mon enfant malade?

 

Non. Dans les faits, les vaccins renforcent le système immunitaire de votre enfant en lui apprenant comment reconnaître et combattre les maladies. Le système immunitaire de votre bébé n’a aucun mal à s’attaquer et à détruire les germes tués ou affaiblis qui sont contenus dans le vaccin. Votre bébé pourra développer une légère fièvre, dormir un peu plus que d’habitude ou être de mauvaise humeur. Ce sont des réactions normales qui ne durent pas plus de deux jours après la vaccination. Certaines personnes s’inquiètent parce qu’elles croient que les vaccins peuvent causer d’autres problèmes de santé, tels que l’autisme ou d’autres troubles permanents du développement. Des chercheurs du domaine médical de partout dans le monde ont étudié les renseignements recueillis pendant de nombreuses années pour voir s’il existait un lien entre les vaccins et l’autisme. Les chercheurs n’ont trouvé aucune preuve permettant d’établir un lien entre la vaccination et l’autisme ou aucune autre maladie.  

 

LE SAVIEZ-VOUS?    

 

Les vaccins sont parmi les outils les plus sécuritaires de la médecine moderne. Au Canada, il est rare que des vaccins provoquent des effets indésirables graves (moins d’un cas pour un million de doses administrées), et lorsque de tels effets se produisent, ils peuvent être traités rapidement et efficacement. Les dangers liés aux maladies évitables par la vaccination sont beaucoup plus grands que les risques d’une réaction sévère à un vaccin."

   

A côté de ce discours édulcoré toutefois, il se trouve qu'on peut lire des choses bien différentes et ce, sur un autre site canadien, tout à fait officiel...        

 

En effet, sur le site de la Santé et des Services sociaux du Québec, on trouve une page intitulée "Programme d'indemnisation des victimes d'une vaccination".

   

Le programme couvre tous les vaccins, bien qu'ils ne soient pas obligatoires, et prévoit les indemnités suivantes:

   

- indemnités de remplacement de revenu;

- indemnités pour dommages corporels;

- indemnités pour aide personnelle;

- indemnités de décès y compris les frais funéraires;

- remboursement de frais occasionnés par l'incident, dont les frais médicaux;

- indemnités pour la réadaptation

 

On comprend donc assez mal POURQUOI il est nécessaire d'avoir mis sur pied un programme spécial d'indemnisation des victimes de vaccins si ces produits sont "parmi les outils LES PLUS SECURITAIRES de la médecine moderne" (aucun autre médicament ne faisant l'objet d'un tel programme). De même, si comme l'affirme le guide canadien des parents sur la vaccination, les effets indésirables graves peuvent être "traités rapidement et EFFICACEMENT quand ils se produisent", on ne comprend alors pas non plus pourquoi les indemnités prévues du programme québéquois d'indemnisation couvrent aussi les frais funéraires et les frais de réadaptation ou encore une "aide personnelle". Car dans tous ces cas, cela implique que les effets indésirables graves ne sont soit pas efficacement réversibles, soit à tout le moins, pas rapidement, ce qui signifie qu'il y a possibilité de séquelles, et qu'il y a donc parfois une notion d'irréversibilité des dégâts occasionnés, qu'on prend surtout bien le soin d'occulter aux parents!

 

Comment et pourquoi, si aucun lien n'a été trouvé entre les vaccins et aucune maladie, a-t-on mis sur pied un tel programme d'indemnisation des victimes de vaccins?

 

On sait les Etats et les administrations champions dans l'art de payer un minimum en indemnités et donc s'il n'y avait vraiment aucun lien, nous pouvons être sûrs qu'ils ne débourseraient pas un franc! Aux USA où le programme d'indemnisation a été mis en place en 1986, ce sont pas moins de 3 milliards de dollars qui ont déjà été versés par les autorités aux victimes de ces produits et ce, alors que 2/3 des plaintes sont malgré tout rejetées. Ces frais sont si colossaux que la Cour Suprême des USA a dû octroyer l'impunité juridique aux fabricants de ces produits qu'elle a qualifié d'"inévitablement dangereux", de façon à leur éviter la faillite sous le poids des poursuites.

 

Comment dès lors, les parents canadiens peuvent-ils encore faire confiance à l'Agence Santé Canada qui leur affirme que les vaccins sont parmi les "outils les plus sécuritaires de la médecine moderne", alors que dans le même temps, la Cour Suprême des USA les qualifie de "produits inévitablement dangereux", nécessitant de rendre les pharmas intouchables pour leur éviter une avalanche de poursuites? Cela ne tient tout simplement pas debout et une fois encore, on nage donc ici en pleine incohérence. On ment aux parents parce qu'on veut vacciner à tout prix leurs enfants et que les officiels savent bien que s'ils disaient la vérité, une majorité de parents bouderaient ces produits. 

 

Prétendre que les vaccins "renforcent le système immunitaire" est tout aussi faux puisque plusieurs études convergentes ont, au contraire, démontré que la vaccination, en leurrant nos défenses, les mine et les amoindrit, laissant ainsi la porte ouverte à toute une série d'infections opportunistes pouvant parfois s'avérer graves voire fatales. [cfr point (18) en pages 16 et 17/22 ] Des données qui sont d'autre part aussi corroborées par les rares études comparatives entre enfants vaccinés et non vaccinés, puisque celles-ci ont bien mis en évidence que les premiers sont sans cesse malades, consomment plus d'antibiotiques que les non vaccinés (voir ICI, ICI et ICI notamment)

 

Une fois encore, on se trouve donc en présence d'un discours simpliste et fallacieux. Ce qui est exactement le cas avec les mêmes affirmations, jamais vérifiées, selon lesquelles les effets secondaires graves seraient de "1 sur un million" (chiffre magique toujours répété mais jamais vérifié!) ou encore qu'il est bénéfique pour l'enfant de le vacciner et ce, "tout au long de sa vie". Dans les deux cas, ces affirmations générales sont fausses. Et ce n'est hélas guère difficile de démontrer cette inexactitude.

   

Voyons donc chacune de ces affirmations mensongères et passons-les au crible du "véritomètre" (un mot dont certains ont entendu parler à l'occasion de la précédente campagne présidentielle française où les journalistes allaient vérifier après le débat politique si les candidats avaient menti ou non; un exercice qui serait encore plus salutaire en matière d'affirmations officielles sur les vaccins mais qu'aucun journaliste n'aurait cependant le droit de mener!). Le véritomètre, ça peut paraître arrogant ou présomptueux comme terme. Sans prétendre détenir LA vérité, on peut cependant "paramétrer" un tel véritomètre avec des faits incontestables qui peuvent donc être considérés comme autant de références et d'indices sur le chemin de la vérité factuelle et également procéder à des déductions logiques qui font appel au bon sens le plus élémentaire.

 

Prenons ainsi par exemple la première affirmation, selon laquelle, les effets secondaires graves de vaccins ne seraient que de "un sur 1 million"...

 

Si c'était le cas, les firmes pharmaceutiques n'auraient déjà pas à craindre de devoir fermer leurs portes sous le poids de poursuites judiciaires et les autorités américaines n'auraient pas payé 2,5 milliards de dollars en indemnisation aux victimes, tout en sachant que 25 000 $ est un montant maximal (même en cas de décès).

  

Ensuite, les chiffres officiels d'effets secondaires (incluant décès et hospitalisations) du système officiel de recensement américain, le VAERS, indiquent qu'un enfant sur 10 000 a été annuellement victime de vaccins chez les moins de 6 ans, tous vaccins confondus, entre 1999 et 2002, ce qui, si on tient compte de l'énorme sous-notification des effets secondaires et du nombre d'enfants de moins de 6 ans aux Etats-Unis, peut porter ces chiffres à un enfant de moins de 6 ans sur 10 qui est donc victime de vaccins annuellement! Loin du "un sur 1 million" donc, comme le clament les officiels pour rassurer A TORT.

 

Une récente étude établit un lien entre vaccination H1N1 et syndrome de Guillain-Barré (une affection démyélinisante grave) et fait état de 25 cas officiellement rapportés de syndrome de Guillain-Barré chez 4 millions de gens vaccinés au Québec, ce qui fait dire aux auteurs que le risque est de 2 par millions. Toutefois pour arriver à ces chiffres, les auteurs se sont sans doute basés sur ce qu'ils appellent le surplus de cas par rapport au "nombre de cas attendus" or ce nombre de cas attendus est biaisé puisque que les gens qui auraient malgré tout fait ce syndrome de Guillain-Barré en l'absence de vaccination H1N1(et qui sont donc considérés comme des cas  "normalement attendus") auraient très bien pu développer cette maladie après toute autre vaccination, enlevant ainsi un peu de sa "normalité" au nombre de cas attendus, artificiellement gonflé en réalité par le fait que plus personne n'échappe de nos jours à la vaccination. Par conséquent, le risque vaccinal absolu de Guillain-Barré est fort probablement supérieur à celui évoqué par ces chercheurs. (25 cas sur 4 millions, cela fait 1 cas sur 160 000 vaccinations, en sachant que le syndrome de Guillain-Barré peut mener à la paralysie respiratoire nécessitant une trachéotomie et même au décès par asphyxie).

 

L'autre affirmation, consistant à prétendre que la vaccination est "bénéfique tout au long de la vie" relève là encore de l'imaginaire dès lors qu'aucune étude officielle sur les risques de vaccins n'a jamais porté sur les effets à long terme pas plus que les effets cumulatifs de toutes ces charges vaccinales croissantes qui ne cessent d'affaiblir l'immunité des populations mais qui semble aussi nuire à leur ADN avec une explosion de plus en plus préoccupante de maladies dites "orphelines" (avec composante dite "génétique" mais celle-ci n'aurait-elle pas pu être facilitée, en amont, par des générations de parents de plus en plus vaccinés qui ont ainsi pu transmettre un génome détérioré à leur descendance?).

 

Tout ceci démontre donc la contradiction permanente qui existe entre le discours promotionnel des officiels en faveur de la vaccination et l'amas d'évidences attestant du contraire. Comme l'avait déjà dit Sylvie Simon dans une interview radio: les incohérences sont vraiment légion quand on se penche un tant soit peu sur le sujet des vaccins. Nous-mêmes avions d'ailleurs déjà intitulé un de nos précédents articles du 24 mars dernier "La vaccination ou l'éloge de l'incohérence".

  

Les exemples sont vraiment innombrables et ils sont hélas loin de ne concerner que le seul Canada. En Belgique par exemple, l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE) qui vaccine une bonne motitié des jeunes enfants francophones en bas-âge, affirme par exemple dans son Guide de Médecine Préventive qu'il n'y a pas de relation causale entre le vaccin hépatite B et le développement de la sclérose en plaques ou encore qu'il est essentiel de lire les notices de vaccins et de connaître les effets secondaires alors que... ironie du sort, toutes les notices du vaccin hépatite B comportent pourtant la mention explicite de la sclérose en plaques parmi les effets secondaires graves possibles!!

 

Autre exemple avec la vaccination HPV, les officiels la disent sure et "offrant une bonne tolérance" mais les chiffres d'effets secondaires graves répertoriés en France dépassent pourtant déjà les chiffres de cancers du col dans ce pays et ce alors que l'agence française de sécurité sanitaire présente pourtant la sous-notification des effets secondaires de vaccins à la manière d'un iceberg! Et pendant que les autorités disent au public que ces vaccins, qui ont déjà débouché sur 114 décès de jeunes filles vaccinées aux USA (chiffres officiels donc combien en réalité, après correction de l'effrayante sous-notification?) sont vraiment sûrs et valent donc vraiment la peine d'être administrés, l'Assurance maladie belge, l'INAMI, répond à GSK dans un courrier que "le taux d'effets secondaires de son vaccin est assez élevé", document qui révèle également que, selon l'avis de l'Agence européenne du Médicament, le "profil d'effets secondaires est très similaire pour les deux vaccins" (Gardasil et Cervarix!)

 

Encore un autre exemple: le rapport de décembre 2007 du Conseil supérieur belge de la Santé sur ces vaccins anti-HPV pointe une infinités d'inconnues tant en matière d'efficacité que de sécurité de ces vaccins mais arrive cependant à recommander la vaccination de cohortes entières de jeunes filles, ce qui signe donc un énorme "grand écart" que seuls les conflits d'intérêts des experts engagés dans la rédaction d'un tel rapport, peuvent expliquer!D'ailleurs, c'est si vrai qu'une des co-auteurs dudit rapport, le Dr Swennen, n'a pas hésité à se contredire encore tout récemment sur le sujet, affirmant dans le Vif du 23 décembre 2011 que " Le recul de neuf ans permet d'affirmer qu'en termes de santé publique, il est très important que les filles se fassent vacciner", alors que le rapport auquel elle a participé affirmait encore 4 ans plus tôt que «Les effets de la vaccination systématique des pré-adolescentes sur l’incidence et la mortalité par cancer du col de l’utérus ne seront visibles que dans un délai de 20-30 ans. »!! 

 

On l'aura compris: certains se moquent de nous. Ils usent et abusent de la crédulité publique et seule la réappropriation de la santé par les citoyens pourra faire la différence. Seul le bon sens populaire pourra aider à déceler l'océan de contradictions et d'incohérences qui sont la marque fiable de ce qui ne l'est justement pas et qui mérite par conséquent toute notre vigilance!

 

contradictions.jpg

 

Partager cet article
Repost0
8 juillet 2012 7 08 /07 /juillet /2012 20:34

Fotolia-Cambodge.jpg

Plusieurs articles (sur Destinationsante, sur Asie-Info,...) font état de plus d'une soixantaine de morts d'enfants ces trois derniers mois au Cambodge. Les enfants auraient présenté une dégradation rapide de leur fonction respiratoire avec également des symptômes d'ordre neurologique.

 

Sur 62 enfants touchés, 61 en seraient décédés selon Destinationsante (Asie-Info faisant état de chiffres plus élevés d'hospitalisations), avec des décès qui survenaient dans les 24 premières heures d'hospitalisation. La maladie ne semble pas contagieuse et selon l'Institut Pasteur du Cambodge qui aurait déjà effectué plusieurs analyses, le virus H5N1 n'est pas en cause, pas plus qu'un autre virus grippal, le SRAS ou le Nipah. D'autres maladies qui sévissent également dans ce pays sont scrutées attentivement comme la dengue, le chikungunya ou la maladie pieds-mains-bouche (fièvre aphteuse).

 

Selon l'OMS, "il pourrait s’agir d’une combinaison de différentes maladies avec les mêmes signes cliniques, mais causée par différents pathogènes, ou de quelque chose de nouveau."

 

Hélas, ce n'est certainement pas l'OMS qui viendra suspecter un lien possible entre le décès de ces enfants et les vaccins qu'ils auraient précédemment reçus. Et pourtant, pour ceux qui connaissent un peu le sujet, un tel lien à ce stade reste à tout le moins possible puisque :

 

- les vaccins amoindrissent et affaiblissent les défenses immunitaires (contrairement aux fausses allégations comme quoi "ils renforceraient le système immunitaire"), laissant ainsi les individus vaccinés particulièrement vulnérables à une foule de maladies opportunistes pouvant s'avérer graves et même parfois fatales dans les suites d'une précédente vaccination. De ce fait, les vaccinations peuvent parfois avoir une responsabilité indirecte mais non moins décisive dans un nombre considérablement sous-estimé de situations, en plus de leurs effets secondaires directs, que ceux-ci soient plus ou moins rapides à se manifester ou plus différés dans le temps.

 

- les vaccins peuvent tout à fait donner lieu à des effets secondaires graves d'ordre respiratoire et également neurologique pouvant parfois s'avérer mortels.

  

- ces enfants pourraient avoir reçu certains lots de vaccins contaminés ou particuliers.

 

- les effets secondaires des vaccins sont pour la plupart non contagieux (sauf quand il s'agit de vaccins à virus vivants atténués pouvant se transmettre de personne à personne)

 

- les enfants font incontestablement partie des personnes les plus vaccinées puisqu'une majorité de vaccinations sont particulièrement concentrées dans l'enfance, avec un calendrier vaccinal de plus en plus démentiel, même dans les pays pauvres qui ne cessent d'imiter, sous l'instigation de l'OMS, les pays occidentaux dans leur inflation vaccinale des plus déraisonnables.

 

- les vaccins, de par leurs risques pour l'ADN humain (ils contiennent plusieurs subtances mutagènes) et les recombinaisons microbiennes qu'ils favorisent, sont une des grandes causes les plus vraisemblables de l'émergence d'une infinité de nouvelles maladies désespérantes dont plusieurs sont réétiquetées de façon bien commode "maladies orphelines".

 

Mais il y a bien sûr fort à parier que ce genre de question d’un lien possible avec les vaccinations ne sera même jamais envisagé ni officiellement évoqué et que le public ne sera donc jamais informé de tous les vaccins (et numéros de lots) reçus par les enfants hospitalisés et décédés….

 

George Bernard Shaw, Prix Nobel de Littérature 1925, le disait déjà à son époque où il y avait encore beaucoup moins de vaccins qu’aujourd’hui: « Si l’on pouvait mettre à jour tous les décès par vaccination dans le monde entier, ces chiffres feraient frémir Hérode lui-même. »

Partager cet article
Repost0
1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 21:17

nano

Voici un article des plus intéressants sur ce qui est peut-être déjà le cas ou pourrait bien se concrétiser dans un futur proche avec les vaccins également et qui sera sans doute permis grâce à un étiquetage des plus flous.

 

Un article du 29 juin dernier de Rady Ananda (Activist Post) fait état du souhait des pharmas d'inclure désormais des nanoparticules dans leurs médicaments dans le but de "grignoter" les contaminants génotoxiques (donc également cancérIgènes) qu'ils contiennent. Il s'agirait donc en quelque sorte de "charognards" synthétiques et développés en laboratoires, sous la forme d'un assemblage de nanoparticules.

 

Toutefois, cette méthode est-elle sure, ne peut-elle pas encore empirer et aggraver les risques initiaux des médicaments?

 

Une nouvelle étude explique que:

 

"Une variété de composés chimiques, d'intermédiaires et de réactifs sont utilisés durant le processus de fabrication des agents pharmaceutiques actifs (APIs). Certaines de ces substances chimiques, intermédiaires et réactives, de même que les sous-produits des procédés de synthèse, peuvent avoir des effets toxiques et être présents en tant qu'impuretés à de faibles niveaux dans le produit pharmaceutique final.

 

Dans cette étude, la cinétique et la capacité de "grignotage" de l'acroléine ( résine toxique) du médicament iodixanol ont été démontrées."

 

Les chercheurs ont découvert un nanopolymère si efficace qu'il "grignote" jusqu'à 97,8% de cette acroléine indésirable sans grignoter pour autant les composants actifs du médicament lui-même.

 

"Les impuretés pharmaceutiques génotoxiques  peuvent induire des mutations génétiques, des cassures ou des réarrangements chromosomiques et ont le potentiel d'induire le cancer chez l'humain" à indiqué le chercheur Ecevit Yilmaz au site In-Pharma Technologist. "Par conséquent, même l'exposition à de faibles niveaux de ce genre d'impuretés dans le produit pharmaceutique final peut poser des soucis significatifs de sécurité."

 

La recherche a sérieusement commencé après que l'Agence européenne du Médicament ait établi en 2006 ses lignes directrices sur les limites d'impuretés génotoxiques qui fixaient la limite à 1,5 microgramme/jour comme seuil de risque toxicologique (TTC):

 

"Un seuil de risque toxicologique de 1,5 µg/jour de prise d'impuretés génotoxiques est considéré comme étant associé à un risque acceptable pour la plupart des médicaments (soit un risque de cancer chez moins de 1 patient traité sur 100 000)

 

L'agence américaine de régulation FDA a emboité le pas en 2008.

 

Les chercheurs ont découvert que certains nanopolymères charognards sont plus ou moins sélectifs dans "leur grignotage" en fonction de leur structure chimique.

 

"Les nanopolymères qui sont les moins réticulés ont montré un haut degré indésirable de liaison non spécifique avec le ou les principes actifs du médicament."

 

(NB: au plus un polymère comporte de liaisons entre les différentes chaînes, au plus il est dit "réticulé" et donc au moins il a de facilité à grignoter de façon indésirable les principes actifs du médicament, selon ces chercheurs)

 

Dans une étude en 2008, il fut découvert que des nanoparticules de silice pourvues de mésopores (pores dont la taille varie de 2 à 50 nanomètres) ont permis de "restaurer les membranes cellulaires endommagées et d'améliorer le comportement mitochondrial anormal suite à la présence de substances génotoxiques (comme l'acroléine). "Ces nanoparticules de silicice avec mésopores ont apporté une neuroprotection significative contre les dommages habituellement létaux dus à l'acroléine."

 

Des questions liées à la sécurité de ces nanoparticules demeurent cependant. En raison de leur taille infime, on est confronté en réalité à une palette de nouveaux risques sanitaires imprévisibles et encore peu évalués. En somme, est-ce que ce genre de technologie ne troque pas un risque pour un autre?

 

En décembre dernier, un groupe dirigé par le Centre International pour l'Evaluation des Technologies, a intenté une action en justice contre l'agence américaine FDA en raison de l'absence d'évaluation et d'étiquetage des nanoparticules incorporées à notre nourriture, dans nos cosmétiques et dans nos médicaments. A l'instigation du Centre pour la Sécurité de la chaîne alimentaire (CFS), ce litige a obligé la FDA à apporter des modifications à sa règlementation en matière de nanoparticules.

 

Le CFS a expliqué qu'au regard de la nouvelle règlementation, "la FDA reconnaît qu'il y a des différences entre les nanoparticules et leurs homologues et que les nanomatériaux comportent de nouveaux risques potentiels qui pourraient nécessiter de nouvelles évaluations. Cependant, l'agence a refusé d'entériner à ce stade des modifications contraignantes de sa législation en la matière."

 

George Kimbrell, l'avocat du Centre pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire, fournit l'argumentaire suivant:

 

"Les nanotechnologies constituent un puissant arsenal de technologies pour l'observation, la participation et la reconstruction du vivant au niveau atomique et moléculaire. Malgré qu'ils se retrouvent déjà dans différents produits du commerce comme les crèmes solaires, les aliments ou les substances au contact des aliments, les nanoparticules échappent largement à l'étiquetage et à une évaluation adéquate de leurs effets sur la santé humaine. Des études existantes ont sonné l'alarme, indiquant que les nanoparticules ont la capacité de pénétrer dans le flux sanguin par un contact cutané, une ingestion ou une inhalation, ainsi que de se disséminer dans l'environnement naturel lorsqu'on souhaite s'en débarrasser."

 

Non seulement cela, mais aussi, il faut savoir que les nanoparticules franchissent facilement la barrière hémato-encéphalique et le placenta. Voici ce que l'auteur de cet article du site Activist avait déjà posté dans un précédent article de janvier dernier sur le sujet:

 

- Cette petite taille rend les nanoparticules capables de franchir la barrière hémato-encéphalique d'après ce qu'ont noté la chercheuse en matière alimentaire Ellin Doyle. En 2006, elle a publié une revue de la littérature sur les nanotechnologies et a mis en garde "Les nanoparticules sont facilement absorbées par beaucoup de types de cellules in vitro et l'on s'attend à ce qu'elles franchissent la barrière hémato-encéphalique dont le rôle est de faire barrage aux nombreuses substances pouvant léser le cerveau."

 

- Outre plusieurs études sur les dégâts que provoquent les nanoparticules et qui sont citées dans la pétition de 2006 du groupe ICTA, un autre groupe (l'ETC) a listé dix études de 1997 à 2004 qui font état de dommages génétiques et neurologiques, de dysfonctions pulmonaires et de bioaccumulation (et dans lesquelles des verres de terre et d'autres créatures ont absorbé, inhalé ou ingéré des nanoparticules qu'ils ont ainsi transmises au reste de la chaîne alimentaire.)

 

- Une étude de 2012 a même montré que les nanoparticules transportées dans la chaîne alimentaire affectaient le comportement et le métabolisme graisseux des poissons.

 

- Ceci est particulièrement significatif alors que la nanopollution s'accroît avec le relargage de tonnes de nanoparticules dans l'environnement, indiquent Les Amis de la Terre dans leur rapport en 2006, "Nanomatériaux, crèmes solaires et cosmétiques."

 

-  Le groupe ETC a aussi pointé des études démontrant que les nanoparticules peuvent se disloquer dans l'organisme en provoquant un empoisonnement aux métaux et qu'elles peuvent franchir la barrière placentaire pour atteindre le foetus en plein développement.

 

- Une étude britannique de 2010 a même confirmé que tout ce qui a une taille inférieure à 100 nanomètres pose de grands risques sanitaires parce qu'à cette taille, les substances peuvent "atteindre n'importe quel endroit du corps" et peuvent même pénétrer dans le noyau des cellules ou se trouve l'ADN.

 

- Plus solides que l'acier, les nanotubes de carbone ressemblent et agissent à la manière de l'amiante, qui provoque le cancer du poumon.

 

- Un autre rapport des Amis de la Terre cite également une réduction de la croissance rénale chez les animaux de laboratoire qui sont exposés aux nanomatériaux.

 

Bien que l'action en justice de l'ICTA ait exigé le retrait de ces nanoparticules à moins que leurs effets ne soient évalués et leur étiquetage instauré, le seul changement réel obtenu au terme de ces six ans de combat judiciaire fut que la FDA admet à présent les préoccupations liées à la taille de ces substances. Après avoir poursuivi le combat si longtemps, il est peut-être nécessaire d'adopter une autre stratégie juridique si on veut protéger le public de ces dangereuses substances que la FDA ne veut pas contrôler.

 

Pendant ce temps, on peut s'attendre à quelques études de toxicité commanditées par les industries qui auront créé en laboratoire ces nanopolymères "charognards" censés lutter contre les effets des impuretés génotoxiques de leurs médicaments que nous ingérerons.

 

On peut aussi s'attendre à ce que, comme pour les aliments génétiquement modifiés (OGM) et les nano-aliments, aucun étiquetage ne soit non plus exigé pour ces nano-médicaments.

 

Qu’en est-il des vaccins dont plusieurs ingrédients sont notoirement cancérigènes et génotoxiques mais pour lesquels aucun test de cancérogénicité ou de mutagénicité n’a encore jamais été exigé ? En effet, si on prend le cas des vaccins fabriqués par génie génétique (des vaccins dits « recombinants ») et dont la pureté ne peut jamais être parfaite, il faut savoir qu’ils contiennent des parties d’ADN et d’enzymes issues du procédé de fabrication et dont même l’OMS sait que cela pourrait constituer un risque de cancer pour des milliers de gens et d’enfants exposés depuis leur plus jeune âge ! C’est ainsi le cas des vaccins contre l’hépatite B ou le papillomavirus.

 

Qui donc peut prédire que les industriels ne vont pas tenter « d’échapper » à ce genre de réalité et de critiques en recourant à ce genre de « nanoparticules charognardes » ? Qui peut affirmer que ce faisant, ils auront l’obligation de signaler l’incorporation de ce genre de nanoparticules aux vaccins ? Et qui peut affirmer avec certitude que ce genre de technologie n’est pas déjà utilisée dans plusieurs vaccins actuels sans que nous en ayons été informés ? Selon feu Anita Petek-Dimmer, il y aurait possiblement des dizaines de substances chimiques incorporées aux vaccins dont la déclaration ne serait pas obligatoire au niveau des notices, tout simplement parce que ces substances seraient incorporées « en amont » du procédé de fabrication final des vaccins, c'est-à-dire non pas par l’industrie pharmaceutique mais par l’industrie chimique…

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 20:06

17 juin 2012. SaneVax

 

GSK.jpg

 

Le vaccin MenHibrix du fabricant GSK vient tout juste d'obtenir son autorisation de mise sur le marché américain sur base des données recueillies après l'inoculation de 7521 nourrissons et jeunes enfants issus de 5 pays et ayant reçu "au moins une dose". Le problème, c'est que ce vaccin s'administre selon un schéma de 4 doses. Comment l'agence de régulation américaine FDA a-t-elle donc pu déterminer que le vaccin était sûr et efficace avec un schéma de 4 doses alors que les participants aux essais cliniques ont seulement reçu "au moins une dose"?

 

Croyez-le ou non, il aura fallu à GSK pas moins de 3 tentatives pour obtenir l'autorisation de commercialiser ce vaccin. Il serait intéressant de savoir quel était le contenu et la base de leurs deux précédentes demandes d'autorisation de mise sur le marché. Au service de qui est véritablement l'agence de régulation FDA, on peut encore une fois se le demander.

 

Le charme de Glaxo en trois temps.

Zack de Equity Research

 

Pour qui la FDA travaille-t-elle vraiment?

Récemment, GSK a annoncé que l'agence de régulation américaine (FDA) a approuvé son vaccin combiné MenHibrix (contre les méningocoques des groupes C et Y ainsi que l'haemophilius influenzae de type b, conjugué à l'anatoxine tétanique). La FDA a homologué le MenHibrix qui est administré selon un schéma en 4 doses, pour la prévention des infections correspondantes.

 

L'approbation a été octroyée sur base des données provenant d'essais cliniques effectués sur une période de 7 ans aux Etats-Unis, au Mexique, en Australie, en Belgique et en Allemagne. Les essais ont porté sur un total de 7521 nourrissons et enfants en bas-âge ayant reçu au moins une dose.

 

Ces faits sont éminemment révélateurs du LAXISME coupable et osons-le dire, criminel, des agences dites « publiques » qui se sont en fait prostituées pour mieux servir les intérêts privés. Cela démontre donc à souhait le caractère absolument non fiable du label « approuvé par telle ou telle autorité de régulation » bien qu’une approbation américaine soit le plus souvent considérée comme « le label à suivre » de la part des affligeantes autorités sanitaires européennes.

 

Par conséquent, tous les médecins qui ferment les yeux en estimant que « si c’est approuvé officiellement, ils peuvent le prescrire tranquillement » se fourrent le doigt dans l’œil jusqu’au coude, en hypothéquant du même coup la santé des patients trop crédules qui leur font encore confiance.

 

Une autorisation de mise sur le marché ne constitue donc plus du tout une garantie de fiabilité ou de crédibilité d’un produit donné alors que quantité de produits naturels qui n’obtiendraient jamais, par pur opportunisme et jeux d’intérêts, une telle autorisation, peuvent cependant s’avérer infiniment plus sûrs !

 

Il est très important de rappeler aussi le mépris des autorités publiques pour les propres décisions d’approbation et d’AMM qu’elles ont-elles-mêmes octroyées ou qu’elles cautionnent car c’est là un aveu particulièrement criant de non fiabilité de la part de ceux-là même qui voudraient pourtant nous y faire croire.

 

Ainsi, en France où on continue d’imposer la vaccination DTP (diphtérie, tétanos polio) et où l’ancienne version du DTP sans aluminium a été retirée du marché en 2008 pour un étrange prétexte de « surplus de réactions allergiques », le seul vaccin DTP restant sur le marché est le Revaxis, riche en aluminium, mais surtout qui ne dispose d’aucune autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans, mettant du même coup les autorités qui l' imposent et les médecins qui l’administrent hors la loi, en réalité.

 

Autre exemple, les aveux accablants émanant de la revue VaxInfo du 26 avril 2012, et selon lesquels les autorités cautionnent et recommandent un schéma vaccinal « hors AMM » sur les enfants britanniques, ce qui revient en réalité à pratiquer sur eux une expérimentation illégale car sans consentement éclairé ! Ainsi, dans ce pays, le vaccin Menveo de Novartis qui n’est normalement pas prévu avant l’âge de 2 ans et qui ne comporte qu’une seule injection est déjà administré dès l’âge de… 2 mois avec un rappel seulement un mois plus tard et parfois encore un autre à l’âge de 12 mois « si le risque persiste » (la belle affaire !) et le plus grave est que ces bons experts de VaxInfo, revue sponsorisée par les pharmas rappelons-le, conseillent et suggèrent un tel schéma pour les jeunes enfants belges expatriés ou ceux qui voyagent alors que les autorités européennes et la Haute Autorité Française de Santé ne recommandent ce même vaccin qu’à partir de l’âge de 11 ans selon l'autorisation accordée par l'Union Européenne… là aussi, cherchez l’erreur !

 

Il est évident que ces gens qui conseillent et encouragent ainsi des expérimentations illicites sur des enfants, dont les parents ne seront bien entendu jamais informés que ces schémas sont « hors AMM », devraient être poursuivis et condamnés sans délai car ce serait cela, la véritable justice, la véritable démocratie et la véritable protection de la santé publique !

Mais, qu'à cela ne tienne, les firmes auront tôt fait de demander et obtenir les extensions d'AMM souhaitées, c'est en fait si simple et si facile, même quand le nombre de participants est infiniment trop faible et permet ainsi de ne pas déceler des effets dits "rares" mais graves qui risqueront ainsi d'impacter la santé de centaines de gens une fois que de telles vaccinations auront été aveuglément généralisées.

 

Partager cet article
Repost0
22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 19:00

Un communiqué de presse néerlandophone du 18 juin dernier tente de profiler le Centre de Vaccinologie de l'Université de Gand (le CEVAC) comme unique partenaire belge académique impliqué dans un consortium relatif à la sécurité des vaccins.

 

Que dit ce communiqué? (et puis nous verrons ensuite COMMENT le décrypter)

 

Ce communiqué précise tout d'abord que l'agence européenne pour l'Initiative de Médicaments Innovants a investi 17,4 millions d'euros dans cette entreprise.

 

Il s'agit d'un consortium de recherche sur les marqueurs biologiques destinés à améliorer la sécurité vaccinale et appelé "BioVacSafe", prétendument destiné à développer de nouveaux outils améliorés d'évaluation de la sécurité des vaccins.

 

Le communiqué évoque aussi une "nouvelle approche de la sécurité vaccinale".

 

A ce sujet, il est affirmé que l'on va étudier la façon dont les gens réagissent aux différents composants des vaccins, au niveau cellulaire, génétique et moléculaire. Ce faisant, ils espèrent ainsi identifier et codifier des marqueurs biologiques en mesure de prévoir si des nouveaux candidats vaccins pourront engendrer des effets secondaires.

 

Ce consortium serait en outre aussi en mesure de développer de nouvelles manières d'identifier et de classifier les effets secondaires des vaccins. Par ailleurs, l'équipe de BioVacSafe indiquera comment les maladies et les infections - en particulier les troubles du système immunitaire- interragissent avec les vaccins.

 

Bio Vac Safe compte mettre au point de nouvelles méthodes pour identifier et mieux comprendre les mécanismes qui sont à la base de tous les stades de développement de réactions aux vaccins. Ce qui fait dire à ce consortium qu'il va contribuer à un développement et une introduction plus rapides d'une nouvelle génération de vaccins plus efficaces et plus sûrs. Mais surtout, ce communiqué précise que "ces nouveaux instruments plus adaptés doivent aider à renforcer la confiance du public dans la sécurité des vaccins."

  

Le communiqué se termine par le refrain lancinant bien connu selon lequel "les vaccins sont un des moyens les moins chers et les plus efficaces de combattre les maladies infectieuses tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. Chaque année dans le monde, des milliards de doses de vaccins sont administrées." Et ce communiqué de prétendre aussi que la sécurité vaccinale est et reste par conséquent une des premières priorités des autorités et des industriels, tout en affirmant qu'il est grandement nécessaire de mettre en place de nouvelles méthodes et outils d'évaluation.

 

Sur le plan des informations liées au financement et aux partenaires de cette initiative, il est dit que l'agence européenne pour l'Initiative de Médicaments Innvovants finance le projet à concurrence de 17,4 millions d'euros et que la dite agence collabore avec l'EFPIA (la Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques). Parmi les partenaires de ce partenariat public-privé, on retrouve notamment GSK, Sanofi Pasteur et Novartis, trois des principaux fabricants mondiaux de vaccins.

 

Comment décrypter un tel communiqué (à la lueur de plusieurs faits incontestables)?

 

Il est somme toute assez curieux de vouloir améliorer la sécurité des vaccins qui est pourtant déjà présentée comme parfaite et irréprochable depuis des années par les officiels, au point justement de ne reconnaître comme seuls effets secondaires prouvés des vaccins que fièvre et douleur au point d’injection. On peut donc s’étonner à présent de lire dans un communiqué officiel que l’on va classer les effets secondaires de vaccins puisqu’il y en avait déjà si peu à en croire le discours lénifiant de l’establishment.

 

Certains, parmi ceux qui ne sont encore au courant de rien, pourraient s’enthousiasmer d’un tel enfumage mais les autres, à juste titre, ne pourront que déplorer, par contraste, que les officiels aient pu prétendre aveuglément et à tort  les vaccins aussi sûrs pendant des décennies alors que les prétendus scientifiques aux commandes n’avaient en réalité aucune idée des différents effets des composants de ces mêmes vaccins au niveau cellulaire, génétique et moléculaire ! Car il faut dire que cela fait déjà des années que les notices des vaccins le précisent, il n’existe absolument aucune évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène des vaccins, c'est-à-dire de leur capacité à provoquer le cancer, des mutations génétiques et des effets néfastes sur la descendance, ce qui n’a du reste jamais gêné ces mêmes pouvoirs publics de recommander la vaccination aux gens déjà cancéreux ou encore aux femmes enceintes… cherchez l’erreur !

 

Lorsqu’on parle de « nouvelle approche de la sécurité vaccinale », il faut surtout entendre et comprendre qu’on escompte faire du neuf avec du vieux, c'est-à-dire promouvoir de nouveaux DISCOURS promotionnels sur le même vieux terreau vicié de conflits d’intérêts et de collusions. Car le but et les moyens sont on ne peut plus clairs, il suffit de lire et de décrypter tout ça : le but est de regagner la confiance du public (beaux discours, belles paroles) car les nouveaux vaccins sont toujours en train de s’accumuler dans le pipeline de l’industrie pharmaceutique qui collabore, comme par hasard, à ce genre de projet bon enfant… ben voyons ! Il est manifeste, comme nous l’avons déjà démontré plus d’une fois sur ce site, que la sécurité des vaccins n’a jamais été la priorité ni des officiels ni des industriels et ce pour plusieurs raisons. Parmi celles-ci, il faut surtout citer le fait que les effets secondaires des vaccins en termes d’explosion des maladies chroniques qu’ils engendrent, constituent une véritable aubaine pour les pharmas en ce sens que les vaccins boostent et entretiennent donc du même coup les ventes des médicaments palliatifs coûteux aussi produits par ces mêmes firmes. Il n’a donc jamais été dans l’intérêt des firmes de faire des médicaments plus sûrs et ce d’autant plus qu’ils bénéficient de tous les passe-droits juridiques possibles et imaginables, au point de se faire octroyer l’impunité juridique par la Cour Suprême des Etats-Unis ou encore par les gouvernants nationaux via l’infâme contrat d’achat de vaccins H1N1. Le Dr Deborah Novicki de Novartis l’avait d’ailleurs déjà très clairement exprimé (cfr p. 391) : « Nous n’avons pas testé le potentiel cancérogène du squalène MF59 de notre vaccin H1N1 ni d’aucun autre de nos vaccins et nous n’avons pas l’intention de le faire. » Et, bien entendu, il n’est jamais venu à l’idée d’aucune autorité politique corrompue d’obliger à réaliser ce genre de test, sans laisser ces firmes dicter leur loi aux citoyens qui se font injecter leurs produits hasardeux à longueur d’années !

 

Ce genre de communiqué ne doit donc duper personne car même si des effets secondaires graves étaient mis en évidence, ils ne seront bien entendu jamais communiqués par voie de presse, ce serait bien trop dissuasif. Nous nous trouvons donc encore à présent dans cette même tentative déjà évoquée de retarder au maximum l’éclatement inéluctable de la bulle vaccinale : tantôt avec la méthode des vaccins combinés (qui permettent de faire entrer de nouveaux vaccins superflus sans que les parents finissent par se rendre compte que « trop c’est vraiment trop »), tantôt avec diverses tentatives de banaliser la vaccination (vaccination avec des seringues sans aiguilles, par nanopatch etc) ou encore nouveau discours relifté sur la sécurité. En fait, les officiels et les industriels ont fort bien compris que ce mouvement de prise de conscience au sujet des risques vaccinaux ne fera que croître, que c’est irréversible et que, pour eux « le vers est dans le fruit ». Il s’agit par conséquent pour eux de « courir » derrière les arguments citoyens de bon sens qui ne cessent d’émerger (vous vous interrogez sur la sécurité ? nous allons y travailler !). Trop tard… c’était bien avant de vacciner la terre entière qu’il fallait s’en préoccuper ! La vérité, c’est que ces gens-là espèrent à tout prix conserver cette méthode de vaccination envers et contre tout et d’ailleurs, toute l’immunologie est en réalité biaisée depuis ses origines par l’étude des vaccins. C’est notamment ce qu’explique le Dr Tetyana Obukhanych, docteur en immunologie, qui décrit à quel point l’immunologie actuelle est conditionnée et moulée sur le seul dogme possible des vaccins. Par conséquent, tout est conçu et envisagé sur base des effets de la vaccination mais pas de ce qui se passe réellement dans un organisme confronté à des maladies vraies et naturelles. Tout est donc biaisé, ce qui explique qu’ici aussi, il s’agira de voir comment les malades réagissent aux inamovibles vaccins qui doivent absolument rester le cadre de référence, le clou fixé une fois pour toutes et auquel il s’agira d’adapter les organismes qui devront décidément tous les recevoir !

 

Au final, il convient de se rappeler un chiffre : 2,5 MILLIARDS de dollars. C’est le montant des indemnisations versées par les autorités américaines aux victimes de vaccins depuis 1986 et encore, il faut savoir que 2/3 des plaintes sont rejetées ! Pendant ce temps, alors que les autorités indemnisent discrètement des victimes, elles continuent de prétendre au public que les vaccins sont très sûrs et de nier tout lien entre vaccination et effets secondaires graves. Tout menteur vit aux dépend de ceux qui le croient aurait pu dire ici Lafontaine...

 

  

 

Partager cet article
Repost0
8 juin 2012 5 08 /06 /juin /2012 22:07

Het Nieuwsblad  du 8 juin 2012 qui porte comme titre "L'enfant d'un an et demi meurt d'une attaque cardiaque quelques jours après la vaccination " signale qu'une autopsie a été pratiquée et que le médecin aurait conclu à une mort naturelle !

 

Bien sûr.... c'était prévisible, nous l'avions déjà annoncé avant la réalisation de cette autopsie: JAMAIS les officiels n'admettront.

 

Ce n'est JAMAIS la faute du vaccin.

 

Souvenez-vous, avec les 7 décès sur 2000 patients dans les essais cliniques du vaccin H1N1 Pandemrix, ce n'était non plus jamais la faute du vaccin.

 

Dans un essai clinique du vaccin anti-rotavirus Rotateq, il y a eu 44 décès d'enfants dans les deux groupes (groupe vacciné et faux groupe placebo) et là aussi les auteurs sont arrivés à conclure que le vaccin n'était lié à AUCUN de tous ces décès (alors que ça fait tout de même, dans les deux groupes confondus, un taux de mortalité  inquiétant de 0,2% soit un décès sur 500 enfants!)

 

Combien de temps encore le public va-t-il gober ces salades, sans voir qu'il s'agit en réalité TOUJOURS d'innocenter le vaccin et de protéger ainsi le juteux business que cela sous-tend, sans parler des sacrosaintes couvertures vaccinales?

 

Le scénario est en réalité le plus souvent le même: donner l'illusion d'une enquête soigneuse et sans parti-pris. Dans certains cas toutefois (pour varier un peu), l'autopsie est carrément refusée comme ce fut le cas pour les parents de la petite Stacy de Charleroi. Dans le cas de Xandro, le refus de l'autopsie aurait été trop risqué car cela aurait alors vraiment commencé à mettre la puce à l'oreille du public et donc, après avoir déjà refusé l'autopsie pour la petite Stacy, il n'était tout simplement plus possible d'opter pour cette même attitude dans cet autre cas de décès post-vaccinal embarrassant.

 

Kind & Gezin a dit partager la peine des parents. Toutefois, lorsqu'on sait l'attitude inqualifiable du médecin vaccinateur de cette institution qui pestait violemment sur Xandro déplorant que c'était "un enfant embêtant qui ne savait même pas rester assis et se tenir tranquille" alors qu'il pleurait avec force après le vaccin ROR qu'il venait de recevoir, on ne peut que mieux se rendre compte du toc de cette fausse compassion de Kind & Gezin, qui porte assurément une responsabilité dans l'engagement des praticiens qui travaillent sous sa bannière et qui bénéficient donc de son assurance professionnelle.

 

Déni & fausse compassion sont donc véritablement les maîtres mots des idéologues qui continuent de faire marcher à plein leur rouleau compresseur vaccinal, aveugle et agressif.

 

Plus le temps passe et plus l'assemblage des différentes pièces du puzzle apparaît net: un peu partout, la protection des vaccins s'organise (mais pas celle des enfants, à ne surtout pas confondre!). Aux USA, où la Cour Suprême a accordé l'impunité juridique totale pour éviter la faillite (sous le poids des poursuites) à ces fabricants de "produits inévitablement dangereux", en Europe avec les contrats d'achat de vaccins H1N1 qui accordaient eux aussi l'impunité concrète aux fabricants puisque seul "un défaut de fabrication", dans les faits totalement impossible à prouver pour les victimes, leur était imputable.

 

A présent et de façon plus pérenne, il importe de se pencher sur le sens et le rôle d'institutions comme Kind & Gezin ou comme l'ONE dans la protection du système vaccinaliste tel qu'il perdure depuis déjà des années. Car sous les étiquettes et bannières extérieures prétendant "favoriser la protection de l'enfance", il semble surtout que tant l'ONE que Kind & Gezin apparaissent juridiquement très pratiques pour couvrir les vaccinateurs d'une majorité d'enfants belges en bas-âge, numériquement les plus vulnérables au risque de décès post-vaccinal en raison de leur immaturité immunitaire (comparativement aux adultes).

Par conséquent, l'assurance professionnelle qu'offre Kind & Gezin ou l'ONE à ses vaccinateurs en cas de décès dus aux vaccins eux-mêmes (et non aux médecins eux-mêmes), constitue donc une véritable aubaine, surtout destinée à éviter la peur et le dégoût de tous les autres professionnels de devoir finalement, tel une épée de Damoclès, faire intervenir leur propre assurance personnelle en cas de pareil évènement.

 

Les médecins de l'ONE et de Kind & Gezin vaccinant à tour de bras, il est évident qu'ils sont ceux qui sont, en termes de probabilités,  les plus susceptibles d'être confrontés à des décès d'enfants fraîchement vaccinés.

 

Il serait par conséquent bon que ces médecins aient à répondre de leurs actes et notamment quant au fait d'avoir manqué de prudence et de vigilance (par rapport à l'attitude normalement prudente et diligente d'un autre professionnel normalement prudent et vigilant), en vaccinant un enfant déjà fragilisé, mais aussi quant au fait qu'ils ont violé la loi d'août 2002 sur les droits du patient en n'informant pas les parents des risques graves de vaccins comme le ROR.

 

Que ces médecins apportent la preuve, s'ils le peuvent, qu'ils ont réellement respecté leurs obligations d'information! Ont-ils par exemple expliqué aux parents comment se déroulent les tests de sécurité de vaccins à virus vivants, comme le ROR? A moins qu'ils ne le sachent même pas eux-mêmes ce qui est aussi très possible mais ne les excuse pas.

 

C'est là des éléments fondamentaux pour la constitution d'un consentement véritablement libre et éclairé. Car les exigences européennes en la matière sont plus que laxistes.

 

Voici à ce sujet, de quoi il retourne car chaque lecteur gagne à bien comprendre l'aberration de ces exigences fantoches et absolument non fiables et non protectrices pour les patients:

 

- Tout d'abord, si des singes vaccinés meurent en-déans les 48 premières heures après la vaccination, leur mort est considérée comme étant de "cause non spécifique" et ils peuvent être ainsi simplement "remplacés", ce test restant valable pour autant que la mortalité n'atteint pas 20%. Cela signifie, en d'autres mots, que si 10 ou même 19% des singes vaccinés enrolés décèdent précocément après leur vaccination, tout continue comme si le vaccin n'était pas incriminable. On imagine l'énorme faiblesse que ce genre de règle induit en matière de sécurité et on se rappellera aussi, à cet égard, la légèreté de l'Agence Européenne qui a fait comme s'il n'y avait pas eu de problèmes avec le vaccin H1N1 Pandemrix au cours des essais cliniques alors qu'il y avait cependant eu 7 décès sur 2000 patients (ce qui est énorme).

 

- Ensuite, autre biais: les vaccins injectés aux animaux ne sont pas des vaccins combinés (or le ROR, comportant 3 valences, rougeole, oreillons, rubéole, est un vaccin combiné!). Pourtant, on sait très bien, vu la complexité des organismes vivants, que les effets synergiques possibles des produits administrés sont un élément très important à prendre en compte! Et donc, en terme de sécurité également bien entendu!

 

[Source: Methods of Analysis  2.6.18 – Test for neurovirulence of live virus vaccines. EUROPEAN PHARMACOPOEIA, 5th Edition.]

 

Certes, le petit Xandro était déjà souffreteux au moment de cette vaccination de trop mais qui peut, sur base de cette simple autopsie (dont les résultats ne peuvent qu'être conformes au cadre idéologique du médecin légiste qui ne peut pourtant scientifiquement exclure une origine vaccinale sur base de sa seule grille de lecture de "substances toxiques retrouvées ou pas"!!), nier le probable travail de sappe immunitaire entamé par ses précédentes vaccinations, celles-là même qui ont vraisemblablement endommagé son immunité au point de le rendre éminemment plus susceptible à une infection opportuniste au virus respiratoire syncytial (RSV), qu'il n'était même plus en mesure de juguler par lui-même?

 

Qui peut aussi affirmer qu'il serait bel et bien mort en l'absence de cette vaccination ROR?

Bien au contraire, en l'absence de toute autre cause solide et patente, il apparaît plutôt vraisemblable que la vaccination soit la cause du décès JUSQU'A PREUVE DU CONTRAIRE, un enfant de cet âge ne mourrant pas si facilement comme ça d'"un arrêt cardiaque" et son infection traînante à RSV pouvant difficilement constituer, à elle seule, une raison suffisante.

 

Partager cet article
Repost0
6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 22:24

Xandro 1

Le journal néerlandophone De Morgen rapporte ce jour, sur son site internet, le décès à Renaix de Xandro, un enfant d'un an et demi, une semaine seulement après ses vaccins effectués à Kind & Gezin (l'équivalent néérlandophone de l'ONE).

 

Kind & Gezin dit mener l'enquête sur le décès de cet enfant. Les parents ont dit dans le cadre du journal de VTM que leur enfant était décédé suite à une vaccination mais Kind en Gezin a insisté pour dire qu'il était trop tôt pour tirer la moindre conclusion sur le lien entre le décès et la vaccination.

 

Selon les parents de l'enfant, c'est suite à cette consultation à Kind & Gezin que le bambin a fait un arrêt cardiaque. L'enfant a reçu les injections en dépit d'une santé fragile qui s'était détériorée depuis une infection au virus respiratoire syncytial (RSV), contractée six mois auparavant, ont encore expliqué les parents.

 

"Un médecin de Kind & Gezin a vacciné l'enfant le 25 mai dernier et le 3 juin, l'enfant est décédé" a réagi Leen Du Bois, porte-parole de Kind & Gezin. Celle-ci a bien insisté à ce stade pour dire qu'il était encore trop tôt pour considérer qu'il y a le moindre lien entre le décès et la vaccination. Kind & Gezin est présentement en train d'analyser ce cas a-t-elle aussi déclaré. "Nous allons maintenant, avec toutes les données dont nous disposons, chercher à établir ce qui s'est réellement passé".

 

Enfin, Kind & Gezin souligne que les parents ne devraient pas s'inquiéter inutilement au sujet des vaccinations.  

 

 

Selon cette vidéo, une autopsie a été ordonnée. Les parents déplorent le fait que le médecin ait quand même vacciné leur enfant alors qu'il était malade et estiment que celui-ci aurait dû s'abstenir dans pareilles circonstances. Selon ce que dit cette vidéo, s'il s'avère que Kind & Gezin a commis une faute, les parents introduiront une plainte. Ils ont déjà reçu plus d'une centaine de réactions sur leur page Facebook.             

 

parents-de-Xandro.JPG             Les parents de Xandro, dans une tristesse dont on imagine la profondeur

                                                              

 

Pour ceux qui connaissent un minimum le sujet des vaccins, il y a d'ores et déjà une certitude à ce stade : c’est que JAMAIS les officiels n’admettront le moindre lien entre ce décès et les vaccins et ce, qu’il y ait enquête ou pas.

 

Il est en effet crucial de prendre conscience des points communs entre tous ces cas qui se succèdent, que ce soit celui de cette petite fille paralysée par les vaccins et volée à sa mère par l’Etat en Grande-Bretagne, celui de la petite de Charleroi ou beaucoup d’autres cas encore : A CHAQUE FOIS, les officiels nient tout en bloc, tout simplement parce que reconnaître publiquement le lien entre leurs divins vaccins et le moindre décès éloignerait à fort juste titre des milliers de parents des vaccins qu’ils veulent fourguer à tous avec un minimum d’exceptions et de contre-indications médicales possibles.

 

Et on le voit, le résultat est tragique et horrifiant, c’est celui du sacrifice inacceptable d’enfants dont la vie est à jamais détruite, soit du fait du décès ou de séquelles graves et irréversibles qui sont une tragédie pour les familles en plus d’être un fardeau financier conséquent pour la société.

 

Il semble évident que la mauvaise foi des officiels est à l’œuvre puisqu’ils nient jusqu’au fait, pourtant scientifiquement établi, que les vaccinations affaiblissent le système immunitaire et induisent une immunodépression qui est la source possible de toute une série d’infections opportunistes potentiellement graves.(cfr références scientifiques indiquées au point (18) en page 16/22 du document pdf suivant) Exactement comme ils nient aussi le lien entre mort subite du nourrison et vaccination, une connexion pourtant établie par plusieurs publications scientifiques rigoureuses. Et puis rappelons aussi les travaux du Dr Viera Scheibner d'Australie qui a montré, elle aussi, un lien évident entre vaccination et mort subite du nourrisson avec la mise en évidence de ce qu'elle a appelé "la dynamique des jours critiques" et la démonstration que chaque dose de vaccin altère ainsi la respiration de l'enfant pendant 48 jours!

 

Le déni désespérant et définitif auquel on peut hélas s’attendre est pitoyablement illustré par l’attitude de l’ONE, qui a l’indécence de nier tout lien entre le vaccin anti-hépatite B et la sclérose en plaques alors qu’un tel effet figure pourtant dans la notice des vaccins et qu’ils conseillent pourtant, ironie du sort, de toujours bien lire!

 

Le discours de circonstance est donc toujours le même (« on va mener l’enquête pour savoir exactement ce qui s’est passé ») mais le résultat est étrangement toujours si prévisible et on sait tous que les vaccins sortiront toujours blanchis et que les parents resteront ainsi toujours trahis par rapport à la confiance non méritée qu’ils avaient mise en toutes ces instances qui se targuent pourtant de protéger la santé de l’enfant !

 

En réalité, comment s’étonner de tels décès d’enfants lorsqu’on sait qu’il n’y a JAMAIS de véritables groupes témoins/groupes placebos dans les essais cliniques de vaccins et que donc le taux d'effets secondaires est toujours artificiellement gonflé dans le faux groupe placebo ce qui permet de faire passer les vaccins comme beaucoup plus sûrs que ce qu'ils ne sont réellement ?

 

Comment s’étonner de tels décès d’enfants alors qu’il n’y a jamais, contrairement aux autres médicaments, d’analyse pharmacocinétique imposée aux vaccins, c'est-à-dire des analyses qui étudient le devenir des différents composants du vaccin une fois administré dans le corps après injection ?

 

Tant que les vaccins continueront de bénéficier de tels passe-droits, que l’évaluation de leur prétendue sécurité continuera d’être limitée à quelques jours, qu’ils continueront d’être dispensés de tests pour évaluer leurs potentiels cancérogène, mutagène et tératogène, qu’on ne tiendra pas compte de la sous-notification notoire de leurs effets secondaires et que les conflits d’intérêts régneront en maîtres ici en Belgique, au niveau européen ou celui de l’OMS, ces drames se reproduiront et la roulette russe fera que cela pourra potentiellement tomber sur chacun de vos enfants, à la manière d'un terrible terrorisme sanitaire hélas.

 

Une telle situation est déjà gravissime en soi mais si en plus, les parents ne sont même pas avertis du caractère, par définition, expérimental de TOUS ces cocktails de vaccins qu’on administre à la chaîne à leurs enfants, ils sont en droit et ont même le devoir moral de se retourner contre ces autorités indignes qui les ont ainsi volontairement trompés, en dépit du fait qu’elles ont été plus d’une fois alertées par des associations comme les nôtres.

 

 

Voir aussi:

 

Décès de Xandro: les résultats de l'autopsie n'étaient que trop prévisibles

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA