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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 15:30

Victime-vaccins-Prevenar---Infanrix-Quinta--Somme-.jpg

Je me permets de me joindre à vous afin de vous parler également de mon cas, j'avoue être rassurée de voir que je ne suis pas seule mais je reste tout de même paniquée à l'idée d'une nouvelle vaccination.


Voila, ma fille Eline a subi le 06/04/09 (elle avait 6 mois) la 3ème injection de l'infanrix quinta et la 2ème injection du prevenar (je précise qu'aucun effet secondaire n'est apparu aux précédentes injections). 

 

Le 09/04/09 sont apparues des difficultés à téter et une grande fatigue, puis progressivement une perte de tonus, jusqu'à devenir complètement hyporéactive et hypotonique en quelques jours. 

 

Nous sommes restées hospitalisées 11 jours pendant lesquels elle a subi scanner, angio-scanner, ponction lombaire, IRM, fond d'oeil, échographie, tests allergologiques, bilan endocrinien, bilan métabolique, caryotype... Tous normaux ainsi qu'un électroencéphalogramme qui s'est révélé ralenti, les potentiels évoqués auditifs (PEA) normaux et les potentiels évoqués sensitifs (PES) également ralentis... 

 

Le professeur de neurologie a finalement conclu qu'il s'agissait d'une rhombencéphalite post-vaccinale car sans aucun traitement, après avoir été au plus bas elle commençait a récupérer petit à petit. 

Elle est suivie par un neurologue qui, concernant les vaccinations, m'indique de ne pas poursuivre les injections de Prevenar, de changer le vaccin DTPCoq (infanrix) par le Pentavax et m'indique que pour le ROR, il n'existe pas de contre-indication.

Mon médecin traitant, lui, dit que c'est la coqueluche qui lui a fait cette réaction, donc ne veut pas de vaccin contenant cette valence.

Face à mon refus, le neurologue a fait une lettre pour l'école mais veut me revoir à ses 6 ans (elle en a 3) pour la faire vacciner avec le Revaxis.

Que ça soit pour mon fils de 6 ans ou ma fille, j'ai suspendu toutes vaccinations non obligatoires.

 

Barbara Chatelain,

France (Somme)

 

Source: Oser le Dire (OLD)

 

  Précisions complémentaires d'Initiative Citoyenne:

La-preuve-par-l-EEG.jpg

 

Il apparaît que pour une grande partie du corps médical, seule la mort semble constituer une contre-indication suffisamment valable et définitive à toute autre vaccination future...



 

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3 avril 2012 2 03 /04 /avril /2012 15:09

Le 13 mars dernier, le groupe d’études de l’Assemblée Nationale sur la vaccination, présidé par le député Olivier Jardé, rendait un rapport avec une série de recommandations qui ont déjà fait couler beaucoup d’encre. Analyse détaillée des perspectives et enjeux d’un tel rapport.

 

 

Lire la suite de notre analyse détaillée de ce rapport: sur Agoravox

 

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1 avril 2012 7 01 /04 /avril /2012 11:05

Ce qu'on peut lire à la Une du Télégramme du 29 mars dernier est tout simplement affligeant. L'Académie française de Médecine, visiblement en déroute, n'a pas craint le ridicule en osant qualifier les risques de l'aluminium vaccinal d'"hypothétiques"! Même avec le soutien de circonstance de  l'Académie des Sciences, il fallait oser!

 

Mais enrobés dans leur manteau d'arrogance, ces gens-là se croient sortis de la cuisse de Jupiter, c'est bien connu. Ils se prennent pour le nec- plus ultra du gratin médico-scientifique. CEUX QUI SAVENT face à un troupeau de gens ignares qu'ils se sont donnés pour mission de guider, les estimant trop inaptes à le faire.

 

Laissez bonnes gens, NOUS, nous savons et nous nous occupons donc de tout.

Voici en effet par quels mots le Pr Bach semble en effet avoir toisé la sagesse, la lucidité et le bon sens populaires:

 

«La diversité des opinions doit être respectée»,  mais «toutes les opinions n'ont pas les mêmes valeurs».«Nous savons, nous, scientifiques et médecins, qu'il faut des adjuvants. Nous essayons de trouver les meilleurs» Les adjuvants aident la réponse immunitaire aux vaccins. Les «signes désagréables» qu'ils peuvent entraîner «font partie de leur mode d'action», Quant au problème d'éventuels effets indésirables graves, il estime «qu'il faut en discuter sur des bases scientifiques».

 

Se bornant à parler de "signes désagréables" là où des milliers de gens (comme Maryvonne, Monique et tant d'autres) ont tout simplement leur vie détruite grâce à cet adjuvant que l'Académie de Médecine estime faire partie "des meilleurs" (sic!), l'Académie apporte une preuve de plus de ce qu'elle n'est tout simplement plus en phase avec la réalité du terrain.



Quant à "la discussion sur des bases scientifiques", il faut là aussi croire que cette Académie n'est vraiment plus à jour, à moins qu'il ne s'agisse d'un cruel manque de volonté de sa part, dès lors que des preuves scientifiques accablantes existent à foison mais qu'aucune autorité officielle n'a jamais daigné en tenir compte, comme il aurait pourtant convenu de le faire. Ce n'est en effet pas pour rien si aucun député effectif ou suppléant de la Commission santé de la Chambre fédérale belge n'a jamais daigné répondre à un ensemble de questions argumentées très précises sur les risques de l'aluminium vaccinal. Le sujet dérange. Les intérêts financiers des industriels sont en embuscade. Il ne faudrait surtout pas leur faire l'affront de revenir sur l'octroi passé (indu) d'une autorisation de mise sur le marché qui risquerait d'entraîner une crise mondiale de confiance dans les vaccins! Oh que non!



Et lorsqu'on lit par exemple dans le Télégramme que « Le groupe d'études présidé par Olivier Jardé s'était déclaré ébranlé par la démonstration que l'alumine ne reste pas dans le muscle, au point d'injection du vaccin, mais peut migrer au niveau cérébral», on ne peut que déplorer qu'ils ne s'en soient rendu compte que si tardivement, ce qui prouve bien la faiblesse méthodologique flagrante des évaluations dites "scientifiques" de la sécurité des vaccins qui n'exigent jamais la moindre analyse pharmacocinétique qui consiste, rappelons-le, en une étude du devenir précis du médicament (et de ses composants) dans le corps une fois administré. Une analyse pourtant requise pour tant d'autres médicaments et qui aurait précisément pu démontrer à temps les dangers d'un adjuvant déjà administré à des milliards de gens de par le monde depuis des décennies!!

 

De ce point de vue, cette demande de moratoire qui intervient si tardivement et que le Dr Edwige Antier, Vice-Présidente de ce Groupe d'études parlementaire, qualifie de "signal fort" vis-à-vis de l'industrie, pourrait tout aussi bien être qualifié de "signal faible" par rapport à la confiance que les citoyens peuvent encore avoir dans les décisions trop molles, trop complaisantes et surtout trop tardives des autorités en matière de santé publique!

 

Le scientifique canadien indépendant Chris Shaw, dont les recherches plaident en faveur d'un lien évident entre l'aluminium vaccinal et des maladies neurologiques comme Alzheimer, s'était déjà étonné en ces termes de l'absence d'évaluation rigoureuse de la sécurité d'une substance, pourtant déjà utilisée depuis plus de 80 ans dans les vaccins:

 

« C’est suspect. Soit ce lien est connu de l’industrie et n’a jamais été rendu public, soit l’industrie n’a jamais été obligée par le ministère de la Santé canadien de mener ces recherches. Je ne sais pas quelle hypothèse est la plus effrayante. »

 

Ayant passé en revue de nombreuses études bidon sur la prétendue sécurité de l'aluminium vaccinal, il avait alors exposé la supercherie en ces termes:

 

« Il existe environ 10 000 études démontrant l’innocuité de l’hydroxyde d’aluminium dans les injections. Mais je n’ai pu en trouver une seule qui ait été conduite au-delà des premières semaines suivant l’injection. J’invite tous les chercheurs qui détiendraient des résultats différents, à les présenter. Ca au moins, ce serait une démarche scientifique ! »

Mais en attendant, pour les Académiciens qui évoluent dans une bulle décidément très hermétique, "aucune étude ne permet de montrer un risque pour la santé» de l'aluminium dans les vaccins"!

 

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 20:55

Santé: on sous-évaluerait la toxicité de certaines molécules chimiques

 

28 mars 2012

 

De plus en plus de biologistes suspectent "des effets délétères de certains composés chimiques à des niveaux très inférieurs aux doses considérées comme sûres", lit-on dans Le Monde. Un sujet peu médiatisé mais capital pour la santé publique.

 

Des chercheurs américains présentent un rapport à l'issue duquel ils plaident pour une refonte de la méthodologie permettant d'évaluer la toxicité de nombreuses molécules mises sur le marché. Les chercheurs dressent une liste d'une trentaine de molécules dont les effets échappent à la toxicologie dite "classique".

 

Dans cette liste, on trouve par exemple le bisphénol A, la molécule la plus étudiée. Une molécule que l'on retrouvait auparavant dans les biberons et qui se trouve aujourd'hui à l'intérieur des boîtes de conserve et des cannettes. On y trouve aussi les phtalates (solvants présents dans les plastiques), le parathion (insecticide), le perchlorate (feux d'artifice) ainsi que certains pesticides.

 

Effets négatifs à faibles doses

  

Toujours selon Le Monde, les auteurs du rapport ont passé en revue plus de 800 études menées sur l'homme, l'animal ou encore sur des cultures cellulaires. La biologiste Laura Vandenberg explique que "les molécules qui imitent ou bloquent les hormones ont des effets négatifs à faibles doses, c'est-à-dire à des doses généralement considérées comme sûres chez l'homme".

 

"Les études de toxicologie classique partent du principe que 'la dose fait le poison', c'est-à-dire que plus on augmente la dose du produit que l'on veut tester, plus l'effet est important", explique un autre chercheur, Daniel Zalko. "Or, à plus faibles doses, et parfois à des doses inférieures à un niveau où la toxicité du produit semble avoir disparu, on retrouve des effets importants, d'une nature parfois différente".

 

Une dose admissible calculée mais jamais testée

  

Laura Vandenberg précise que la toxicologie se base la plupart du temps sur des expériences à hautes doses. Et puis les toxicologues extrapolent et déduisent la dose journalière admissible pour l'homme. Cette valeur est calculée mais jamais testée, explique la chercheuse.

 

L'autre problème est davantage d'ordre éthique. Certaines expériences sur les effets à longs terme notamment peuvent être faites en laboratoire sur des animaux. Mais, forcément, difficile d'imaginer de pareilles expérimentations sur un être humain.

 

Source: RTBF INFO

 

Et QUID des vaccins dont on parle de plus en plus ? Car les officiels et les Ministres nous rétorquent aussi toujours à leur sujet que leurs composants sont « en si petites doses » qu’ils sont sans danger. Pourtant, si on prend l’exemple du Borax (borate de sodium), contenu dans le Gardasil, prétendument « contre le cancer du col de l’utérus », on se demande comment il est possible qu’une telle substance puisse se retrouver dans ce vaccin alors que depuis le 6 nombre 2008, les sels de bore sont classés comme « toxiques » par la réglementation européenne et requièrent l’usage du logo à tête de mort ! Mais on pourrait encore citer beaucoup d’autres composants des vaccins comme le trométamol, le phénoxyéthanol, le thiomersal, le formaldéhyde etc… Quel est l’effet cumulatif de toutes ces substances ? Personne ne le sait puisque les officiels se refusent à mener de larges études sur le long terme pour comparer la santé des gens vaccinés à celle de gens ne l’ayant jamais été et ce, au prétexte… de l’éthique ! C'est vrai qu'il est sûrement plus "éthique" de continuer à sacrifier la santé de millions d'enfants pour après venir dire "qu'à l'époque, on ne savait pas et on ne pouvait donc pas se douter"!

 

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29 mars 2012 4 29 /03 /mars /2012 18:57

Mômes en santé, c'est le titre d'une nouvelle brochure éditée en 2012 par la Fédération Wallonie-Bruxelles sur la santé des enfants et ados de 3 à 18 ans, dans le cadre scolaire. On peut la trouver sur le site de l'asbl Question Santé, la même asbl qui exhibe d'ailleurs aussi fièrement sur son site la campagne publicitaire sur les vaccins à tout âge, jugée TROMPEUSE par le Jury d'Ethique Publicitaire en novembre dernier.

 

Si certaines informations sont très utiles comme celles liées aux premiers soins par exemple, d'autres sont trompeuses parce que trop partiales, comme le traditionnel discours simpliste sur la vaccination qui réinsiste sur la responsabilité collective de la vaccination mais qui omet complètement la question des risques graves que font courir les vaccins aux individus et donc bien sûr aussi aux enfants.

 

En semant la peur, de façon plus oiu moins subtile, au sujet des maladies infectieuses, on maintient ainsi les enfants et leurs familles dans la fatalité et la croyance que "seuls les vaccins" pourraient permettre de les protéger ce qui, bien sûr, est une absurdité.

 

Les enfants qui sont de plus en plus souvent malades, hyperactifs ou encore allergiques (l'allergie est évoquée dans ce livret) doivent en grande partie cette hausse aux vaccinations de plus en plus nombreuses, reçues dès le plus jeune âge, sur un système immunitaire encore immature.

Et bien sûr la cause de la cause d'une allergie donnée n'est pas l'allergène en soi mais bien le mécanisme immunologique qui a fait qu'à un moment donné cet allergène donné est devenu problématique. On comprend toutefois que dans le cadre de ce genre de communication simpliste, on n'ait guère envie d'évoquer les mécanismes immunologiques préalables aux phénomènes d'allergisation en tous genres!

 

 

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27 mars 2012 2 27 /03 /mars /2012 22:09

Alors que Wakefield et ses collègues ont été traînés dans la boue (bien que ses résultats aient été reproduits dans 5 autres pays) et que de nombreux médecins continuent de railler des parents convaincus qui leur signalent le changement de comportement de leur enfant  peu après un vaccin, un très intéressant article du Monde vient rappeler le lien scientifiquement établi entre "intestin et cerveau", entre qualité de la flore intestinale et comportement...

 

Cet article du Monde du 24 mars 2012 explique que la flore intestinale joue un rôle-clé dans la maturation immunitaire, donnant notamment comme exemples que l'administration précoce de certains antibiotiques aux nourrissons peut accroître leur susceptibilité à développer un asthme allergique. Pareil pour les enfants nés par césarienne parce qu'ils n'ont pas une flore intestinale similaire à celles des enfants nés par voie basse (qui ont été en contact avec la flore fécale et vaginale de la maman au cours de l'accouchement).

 

Mais il explique aussi, sur base de différentes études qui ont été menées sur le sujet, qu'il existe une relation bidirectionnelle entre intestin & cerveau. Ce qui, en d'autres mots, signifie que des perturbations du cerveau peuvent modifier la flore intestinale et inversément.

On peut par exemple lire: "Ces nouveaux résultats permettent de penser que les perturbations de la chimie du cerveau observées chez les patients souffrant de maladies neuropsychiatriques, comme l'autisme, la dépression et la schizophrénie peuvent modifier la physiologie du colon, en l'occurence le transit intestinal, et impacter la composition de la flore intestinale." estime Stephen Collins.



Si l'on veut bien se donner la peine de réflechir sans tabou(s), on se rend compte que ces résultats sont tout à fait cohérents et compatibles avec les découvertes d'Andrew Wakefield et de son équipe. Parce que selon leurs travaux, une vaccination comme le ROR était à même d'altérer le fonctionnement intestinal avec pour conséquence, le passage indésirable de substances alimentaires incomplètement digérées pouvant endommager les circuits cérébraux après franchissement de la barrière hémato-encéphalique par ces molécules.



Mais comme nous l'a très bien fait remarquer le médecin français qui nous a communiqué cette information: ce qui ici semble acceptable de façon générale, entraîne un total blocage dès lors que le mot "vaccin" surgit. C'est en effet un constat incontournable à faire dès lors que le rôle de médicaments comme les antibiotiques daigne lui, être envisagé!

Ainsi, qu'un médicament comme les antibiotiques puissent favoriser l'asthme allergique chez les jeunes enfants parce qu'ils modifient la flore intestinale, est tout à fait envisageable et non politiquement incorrect. En revanche, qu'un vaccin administré chez des enfants dont le système immunitaire est encore totalement immature, puisse lui aussi abîmer l'intestin et perturber leur flore avec entre autres conséquences, de favoriser l'asthme (ce qui est le cas au vu des chiffres comparatifs de l'asthme chez les enfants vaccinés et non vaccinés), cela est impensable et surtout indicible!  

 

top-secret.jpg

Dans un autre passage de cet article, il était question de la prise d'antibiotiques chez les rongeurs qui, lorsqu'elle s'arrête, s'accompagne d'un retour à la normale du comportement de ces rongeurs. Là aussi se trouve donc une autre raison du tabou qui entoure la simple évocation du rôle négatif des vaccins: un vaccin, par définition, ne peut pas "être arrêté" et une fois qu'il est fait, les conséquences enclenchées restent totalement non maîtrisables et hors de contrôle. Il ne fait donc définitivement pas bon rappeler aux citoyens qu'avec les vaccins, on les fait jouer à la roulette russe à leur insu!

 

 

 

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25 mars 2012 7 25 /03 /mars /2012 20:33

Voici un témoignage émouvant, celui de Rachel Celli, maman de Laetitia, qui a eu la gentillesse et le courage de nous faire parvenir ce témoignage sur la suite du parcours de sa fille. Un témoignage qui démontre de façon cruelle le peu d'égards qu'on réserve aux victimes de cette propagande, hélas bien huilée:

 

Rachel Celli

Bonjour à tous, 

 

J'ai reçu les conclusions finales de la commission qui devait statuer après l'expertise demandée par la CRCI au sujet de notre demande d'indemnisation.

Le résultat est bien sûr sans surprise, même s'il me dégoûte au plus au point.  

La commission dit : "Puisque le lien avec le Gardasil n'est pas explicitement confirmé, malgré la chronologie des faits,  la demande est rejetée".

 

 

Il faut tout de même savoir qu'il est très difficile d'affirmer à 100% que le Gardasil est responsable et que la soixantaine de médecins et professeurs consultés n'ont jamais voulu prendre cette décision. Le doute profite donc au laboratoire comme on pouvait le prévoir, puisque c'est à nous victimes d'apporter la preuve du fait que nous soyons victimes.

 

Il est intéressant de constater que si un français empoisonne son voisin, il va directement en prison et paye des dommages, alors que les labos, eux, empoisonnent nos enfants avec la bénédiction des instances de l'état, et bien sûr sans verser aucune indemnisation aux victimes.

On peut parler d'empoisonnement, puisque ce vaccin contient de l'aluminium, très controversé en ce moment, et du BORAX interdit par la réglementation Européenne puisque considéré comme toxique, et dont les emballages doivent comporter  la tête de mort.

 

Je reviens sur l'expertise que ma fille a subie et qui m'a appris plusieurs choses :

 

La première, c'est qu'il est inutile de consulter des cardiologues, gastro, gynéco, pneumo, neuro, psy, rhumato, et autres grands professeurs, car les experts sont des gens qui, en fait, sont tout ça à la fois. J'explique: un neurologue et un pharmacologue, déguisés en experts, se sont évertués pendant plus d'une heure à démonter point par point tous les examens de tous les médecins cités plus haut. Ces experts se sont uniquement basés sur les documents fournis par le labo, et ne semblaient pas du tout intéressés par les informations que je détenais. Ils ne voulaient absolument pas en entendre parler.

 

Alors qu'un psy avait affirmé que ma fille ne présentait aucun syndrome d’anxiété ni de dépression et qu'un suivi psy ne servait à rien, ces deux experts, eux, ont écrit sur leur rapport que ma fille était dépressive et que son état relevait d'un suivi psy ; et tout ça en un peu plus d'une heure. Ces gens sont vraiment SURNATURELS !

 

Ils détiennent un pouvoir fantastique, incroyable et sont capables de se substituer à n'importe quel médecin et poser un diagnostic irréfutable.

 

La deuxième chose, c'est que la France est divisée en 2 catégories de personnes : les médecins très, très intelligents et les autres, vous et moi, les débiles.

Explication : les experts examinent les pieds de ma fille : oui, oui, elle à une voûte plantaire creuse ???? Commentaire de l'expert : " ah, elle a les pieds creux, c'est bon, on arrête là, c'est neurologique… Je pose une question : "et ça veut dire quoi? "

Réponse : "On ne va pas vous faire un cours de médecine, vous ne comprendriez rien!!!"

Voilà, je ne suis pas médecin, donc je suis débile!!!!!!! Comme tous les gens qui ont les pieds creux. Ce qui m'amène à une réflexion : dans l'armée, étaient refusés tous les hommes qui avaient les pieds plats, donc ils étaient sûrement trop intelligents pour obéir bêtement aux ordres, ceci explique sûrement cela !

 

La troisième chose : les experts me disent :" Franchement presque 2 millions de gamines ont été vaccinées avec le Gardasil et seulement 2 d'entre elles se disent victimes, ce n'est pas sérieux et ça n'aboutira pas". Exact.

 

Depuis juillet, je n'ai pas arrêté de témoigner sur diverses chaînes de télévision, dans des tas de journaux, à la radio pour informer les gens, réveiller les consciences. J'ai passé des heures à répondre au téléphone à certains d'entre vous et à d'autres qui ne m'ont pas laissé leur adresse mail, et quand j'ai envoyé des journalistes vous contacter pour avoir d'autres témoignages et ainsi être plus crédible, ces journalistes sont revenus vers moi en me disant que personne ne voulait témoigner. Je vous comprends, car depuis toute cette médiatisation je n'arrive plus  à me faire soigner. Mais nous ne sommes pas crédibles si nous ne sommes que 4 ou 5 à faire parler du Gardasil ; il faut qu'il y ait d'autres témoignages, que les médecins et l'état se rendent compte de l’ampleur du carnage. A un moment, il faut arrêter d'avoir peur ou honte, de se cacher derrière les autres en attendant de voir ce qui va se passer, et il faut avoir le courage de s'élever contre toute cette machination très bien huilée qui consiste à dire :" Pour en sauver des centaines, il faut bien qu'il y ait un pourcentage de pertes ». Oui, cette phrase, des professeurs et médecins me l'ont dite, en rajoutant : «  Vous, vous n'avez pas de chance !" Voilà, ma fille fait partie d'un pourcentage de pertes acceptables, ni plus ni moins et je dois faire avec… !

 

Nous avons eu une vie avant le Gardasil et depuis plus de 4 ans nous avons une autre vie, qui tourne autour du Gardasil. J'ai dû arrêter de travailler pour m'occuper de ma fille, la trimbaler à travers toute la France pour diverses consultations, examens, biopsies, opérations… Tout cela a pris du temps, de l’énergie et beaucoup d'argent, car les frais de carburant, les billets de trains, les frais d’hôtel, les repas, les parkings, les autoroutes ne sont pas remboursés par la sécurité sociale. Notre vie de famille s'en est trouvée toute retournée, ainsi que notre vie sociale. Ma fille aujourd'hui n'a toujours pas de diagnostic posé, personne ne comprend ses crises de paralysie, de tremblements, ses nausées quotidiennes avec ses fièvres, ses bouffées de chaleur, ses névralgies, ses douleurs pelviennes, ses syncopes, personne ne propose de traitement. Pendant ce temps là, a 21 ans, elle doit composer avec tout cela, ne peut pas se rendre en fac plus de 2 h par jour, car elle est extrêmement fatiguée par des douleurs dans les jambes ; elle ne peut plus conduire ; je dois l'accompagner quand elle veut faire des courses, car le bruit et la lumière lui donnent des vertiges, elle ne peut pas accompagner ses amies dans des fêtes ou au cinéma, comme tous les jeunes de son âge, et je ne sais même pas si elle sera un jour capable de travailler et de subvenir à ses besoins.

 

Notre avocat n'a pas souhaité continuer à s'occuper du dossier, et peu d'avocats veulent bien le faire. Je vais donc me refaire une santé financière pour demander une contre expertise et relancer l'affaire. 

 

Il serait souhaitable que beaucoup de victimes commencent à faire parler d'elles par voix de presse pour qu'enfin la population, les médecins et nos instances de l'état prennent pleinement conscience du problème. Nous avons été seulement 5 à témoigner et ce n'est pas suffisant, tant que nous n'organiserons pas un mouvement d’ampleur, nous serons discrédités. C'est seulement le nombre qui fera en sorte que nous soyons crus et écoutés.

 

Pendant que nous sommes là à attendre bien sagement dans notre coin, muselés comme il faut, d'autres gamines se font vacciner en ayant l'illusion que ce vaccin est magique et qu'elles n'auront pas de cancer du col de l’utérus, sans connaître les dangers de l’aluminium et  du borax.

 

L'information ne circule que très mal, pour preuve : quand on me pose des questions dans ma ville et que j'informe sur le borax, on me regarde avec des yeux ronds en me répondant : « Ce n'est pas un poison, sinon Xavier Bertrand n'en aurait pas autorisé le remboursement" et quand je parle des 2 ans et demi d'essais cliniques seulement », on me répond la même chose.

 

Voilà comment l'état permet au labo de continuer à s'enrichir. Le peuple part du principe que l’état le protège et que si l'état autorise un produit, c'est qu'il est sans danger....alors quand on apprend à ce même peuple que le ministre a autorisé le remboursement quelque mois avant la décision de l'AMA, censé lui nous protéger, ce même peuple, ne le croit absolument pas.

 

Nous n'avons aucune chance de redonner la vue à des gens qui ne veulent pas voir.

 

Dans quelques semaines, on va me demander d'aller voter, d’élire un personnage qui devra avant tout nous gouverner et nous protéger, qui sera payé par nos impôts, et qui continuera sa formidable protection comme ses prédécesseurs l'ont fait, avec le sang contaminé, l'hépatite B, l'affaire Tchernobyl (je vous rappelle qu'ils nous ont pris pour des andouilles en nous assurant que les nuages n'avaient pas passé la frontière française), le médiator interdit depuis 10 ans en Allemagne, mais sans danger pour les français, les prothèses PIP et bientôt une affaire de prothèses de hanches... Comment ne pas penser à cet expert me faisant comprendre que j'étais débile, bien sûr ! Nous avalons toutes les couleuvres qu'ils nous envoient sans sourciller. Comment pourrait- il en être autrement d'ailleurs…

 

Le jour de l'expertise, j'ai gagné en intelligence, et tout ce que je vois aux informations est décortiqué et analysé. Et non, je ne les crois plus !

 

Je suis obligée de payer mes taxes et impôts qui vont bien sûr faire vivre confortablement tous ces gens qui nous gouvernent, mais il n'est pas question que je le fasse sans réagir. Toutes les lois votées ne sont pas faites pour nous protéger mais uniquement pour les protéger eux.

 

Pour preuve, une chose qui s’est passée cet été, interdisant aux victimes d'un médicament de s'attaquer au labo si elles sont victimes d’un effet indésirable marqué sur la notice. Regardez un peu la liste des effets indésirables du Gardasil et prenez conscience de cette loi ! Aucune victime ne pourra plus s'élever contre le labo, et cela à été pondu après la médiatisation des affaires Médiator et Gardasil, donc : bonne chance à tous !

 

J'ai voulu surprotéger mes enfants et j'ai donc été punie. A trop vouloir, on finit par ne plus rien avoir, et c'est bien vrai.

 

Pendant l'expertise, un des experts m'a dit cette phrase "MAIS MADAME, CE N'EST PAS LE LABORATOIRE QUI VOUS A OBLIGEE A FAIRE CE VACCIN SUR VOTRE FILLE, C'EST VOUS QUI AVEZ PRIS CETTE DÉCISION, VOUS N'AVEZ QU'A VOUS EN PRENDRE A VOUS MÊME."

 

Et oui, personne ne nous a forcées à faire ce vaccin… Un peu facile tout de même... 

                                                                                                                       

 J'ai perdu mon utérus à l'âge de 38 ans et à 40 j'ai subi une opération sur un sein, alors forcément, quand on me sort à grand renfort de publicité qu'il existe un moyen pour que ma fille ne subisse pas la même chose que moi, je fonce, c'est humain.  La corde sensible, voilà leur grande force, et ça marche, puisque bon nombre d'appels que j'ai eus venaient de mamans qui avaient elles aussi eu des problèmes de santé...

 

Tout ça pour vous avertir, que si dans votre dossier il existe le moindre doute sur le fait que le Gardasil soit en liaison avec les problèmes de santé de votre fille, la CRCI donnera le bénéfice du doute au labo, et refusera votre demande.

 

BON COURAGE  à tous et bravo à ceux qui ont lu ce message dans son intégralité, celui d'une mère qui n'est même plus en colère ; seulement dégoûtée par le comportement de beaucoup de personnes censées protéger à tout point de vue le peuple français.

 

Rachel Celli

 

 

 

 

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24 mars 2012 6 24 /03 /mars /2012 00:05

Le Monde du Droit, 14 mars 2012. Legalnews

 

La responsabilité de l'Etat peut être recherchée pour l'aggravation d'une sclérose en plaques à la suite d'une vaccination obligatoire.

 

Dans le cadre de l'obligation vaccinale liée à son activité professionnelle, Mme A. a reçu trois injections d'un vaccin anti-hépatite B, puis un rappel. Ayant développé une sclérose en plaques, elle a alors recherché, sur le fondement de l'article L. 3111-9 du code de la santé publique, la responsabilité de l'Etat à raison de cette affection qu'elle impute à la vaccination obligatoire.Dans un jugement du 28 décembre 2007, lequel le tribunal administratif de Toulouse a rejeté sa demande, confirmé par un arrêt du 30 juin 2009 de la cour administrative d'appel de Bordeaux.

 

Dans un arrêt du 17 février 2012, le Conseil d'Etat a jugé que si le fait qu'une personne ait manifesté des symptômes d'une sclérose en plaques antérieurement à la vaccination contre l'hépatite B qu'elle a reçue n'est pas, par lui-même, de nature à faire obstacle à ce que soit recherchée l'imputabilité de l'aggravation de cette affection à la vaccination, le lien direct entre la vaccination et l'aggravation de la pathologie doit être regardé comme établi lorsque des signes cliniques caractérisés d'aggravation sont apparus dans un bref délai à la suite d'une injection et que la pathologie s'est, à la suite de la vaccination, développée avec une ampleur et à un rythme qui n'étaient pas normalement prévisibles au vu des atteintes que présentait la personne antérieurement à celle-ci, ce qui est le cas en l'espèce.

 

Source: Le Monde du Droit.



Il s’agit d’une excellente nouvelle pour les victimes dans la mesure où les officiels recommandent par exemple aveuglément de vacciner comme les autres les personnes déjà atteintes de maladies auto-immunes et ceci alors que les essais cliniques portent toujours sur des volontaires sains et non des gens déjà malades.

Une telle mesure est donc de nature à faire comprendre que la vaccination peut, fort logiquement, dégrader encore bien davantage la santé de gens déjà malades sans qu’une telle aggravation ne soit forcément imputable à la progression ou à l’évolution de leur maladie préexistante.

 

 

 



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21 mars 2012 3 21 /03 /mars /2012 23:21

21 mars 2012

 

Radiotelevisão Portuguesa

 

L'Autorité Nationale des Médicaments et des Produits de Santé (Infarmed) a décidé, par mesure de précaution, la suspension immédiate de l'utilisation des vaccins RotaTeq et Prevnar 13 pour effets indésirables graves présumés chez les enfants.


Selon une circulaire d'information d'Infarmed, ont été suspendu les Lots no. 1590AA/0671579 avec validité jusqu'au 31 mai 2013 du RotaTeq solution buvable contre le rotavirus, cause majeure de gastroentérites chez les enfants, et les N° de lot. F73745 (917690), valables jusqu'au 31 mai 2014, du vaccin injectable Prevnar 13, pour la prévention de la pneumonie.

 
«Étant donné que ces médicaments sont distribués dans les pharmacies et administrés par des professionnels de soins de santé, les entités qui ont beaucoup de ces médicaments ne doivent pas les dispenser ou les administrer et ce, jusqu'à l'achèvement de l'évaluation résultant de cette situation », conclut la note de l'autorité.
 
Selon l'édition d'aujourd'hui du JORNAL DE NOTICIAS, cette décision d'Infarmed est liée à la mort, lundi, d'un bébé de six mois dans une pépinière de Camarate, à Loures, qui avait été récemment vacciné.


Selon le directeur général de la Santé, Francis George, cité par le même quotidien, le corps de l'enfant a été autopsié mardi au Département Sud de l’Institut de médecine légale, dont les experts sont en train d’ « essayer de comprendre ce qui s'est passé» avec la «volonté de clarifier les causes de la mort ", assurant que c'est le seul cas de cette nature.  

 

Source: Radiotelevisão Portuguesa (RTP)

 

Comme souvent au terme de ce genre d’investigations et vu les énormes enjeux commerciaux, il y a fort à parier qu’on déclarera finalement que « fort heureusement, les vaccins n’étaient pas en cause dans l’origine de ce décès ».

On a déjà tellement entendu ça !!

Hélas, contrairement à ce qu’affirme le Directeur de la Santé, il est fort peu probable que ce cas soit le seul survenu peu après ces cocktails vaccinaux, vu les dizaines de milliers de jeunes enfants ainsi vaccinés chaque année et l’ampleur mondiale de la sous-estimation des effets secondaires de vaccins. Ce cas rappelle immanquablement le décès en Belgique de la petite Stacy, survenu seulement une semaine après ses trois premiers vaccins (infanrix hexa,  prevnar et rotarix).

 

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13 mars 2012 2 13 /03 /mars /2012 18:48

Une sympathisante nous a communiqué un document sur les vaccins publié par Test-Achats en juin-juillet 2011, dans le n°103 du magazine Test-Santé. Nous l'avons lu et... nous sommes abasourdies par la multiplicité des contre-vérités diffusées par cette association qui se prétend pourtant servir les intérêts du consommateur!!

 

Nous invitons vraiment les lecteurs à lire ce document en question (cfr lien clicable ci-dessus) tant cela est instructif.  

 

Remarquons tout d'abord le caractère tout à fait incohérent de ce qui est dit dans l'introduction de l'article par rapport à sa conclusion. Le début d'article indique notamment que "si les vaccins sauvent des vies, ils ne sont pas exempts de risques." ou encore  "Entre avantages et risques éventuels, il convient toutefois de bien évaluer de quel côté penche la balance avant d'exposer gratuitement, au nom de la santé publique, toute une population à des effets secondaires potentiellement néfastes." Alors que la fin d'article indique elle: « Respectez scrupuleusement le calendrier vaccinal de base du Conseil Supérieur de la Santé. Ces vaccins sont sûrs; ils protègent votre enfant et vous prémunissent de maladies qui pourraient vous coûter la vie. Procédez aux éventuels rappels en temps utile. »

 

D'un côté, on dit qu'il existe des risques et qu'il ne faut pas aveuglément vacciner les gens contre tout et de l'autre, on exhorte à suivre "scrupuleusement" le calendrier vaccinal dit "de base" déjà bien chargé, qui est arrêté qui plus est par le Conseil Supérieur de la Santé dont les experts s'illustrent hélas par leurs nombreux liens d'intérêts avec les fabricants.

 

Première grosse inexactitude de Test-Achats

 

"Les vaccins reproduisent le fonctionnement de notre système immunitaire."

"Parfois, nous pouvons cependant prêter main forte à la nature, grâce à la vaccination. Les vaccins calquent le mode de fonctionnement de notre système immunitaire."

 

FAUX! Les vaccins ne reproduisent justement pas le fonctionnement de notre système immunitaire. Au contraire, ils le court-circuitent. Pourquoi: tout simplement parce qu'avec une vaccination (le plus souvent injectable), l'administration des substances étrangères ne passe pas par la peau ou les muqueuses comme c'est cependant toujours le cas lors d'une infection naturelle or ces voies d'accès des microbes ont justement toute leur importance sur le plan immunologique pour l'obtention d'une réponse immunitaire robuste, durable et harmonieuse. De là l'explication de nombreux effets secondaires graves et/ou invalidants après vaccination: allergies, auto-immunité, immunodéficiences et cancers, etc

 

Deuxième grosse inexactitude de Test-Achats

 

« Les vaccins vivants protègent à vie. Pas les vaccins inactivés. »

 

FAUX! Ceci est absolument inexact. Les vaccins à virus vivants ne protègent pas forcément toute la vie, cela n'était en fait qu'une affirmation gratuite et jamais vérifiée qui a été utilisée pour banaliser leur large usage mais ce qui s'est concrétisé avec la vaccination ROR s'est aussi concrétisé avec la vaccination contre la varicelle à savoir que l'unique dose initiale a démontré toutes ses limites et qu'on s'est alors enferré dans un dangereux cercle vicieux en préconisant alors une seconde dose sans qu'il soit impossible qu'on en vienne un jour à en recommander une troisième. De nombreuses personnes qui ont donc reçu une dose de ROR quand elles étaient enfants peuvent tout à fait vérifier qu'elles ne sont pas immunisés et n'ont plus d'anticorps contre des maladies comme la rougeole, la rubéole ou les oreillons.

 

Pourtant, le discours officiel initial était que 95% de la population était protégée à vie avec une dose unique et qu'on faisait ainsi subir (alors inutilement) une seconde dose à l'ensemble des gens pour soi-disant "faire enfin prendre" le vaccin chez les 5% chez qui il n'avait initialement pas pris. Et même lorsque le vaccin "prend", il n'est pas impossible et d'ailleurs pas si rare que ça que les gens fassent une varicelle ou une rougeole larvée, s'exprimant souvent de façon moins centrifuge, tandis que l'expression de ces maladies lorsqu'elles sont contractées naturellement entraînera une protection à vie avec anticorps persistants, la différence tenant à ce qui a été expliqué ci-dessus sur le mode d'action immunitaire différent de la vaccination par rapport au mécanisme naturel d'infection-immunisation.

 

Si les vaccins vivants protègent à vie, comment Test-Achats explique-t-il que le vaccin anti-amarile (=contre la fièvre jaune) qui est aussi un vaccin à virus vivant atténué doive être renouvelé tous les 10 ans et que ces rappels conditionnent l'entrée sur le sol de divers pays du monde? A moins que cela ne soit que pour raisons commerciales? Mais c'est soit l'un, soit l'autre et dans les deux cas, cela démontre la gravité de la situation et le décalage entre la véritable information comme celle-ci et celle diffusée par Test-Achats.

 

Troisième grosse inexactitude de Test-Achats

 

"La vaccination à grande échelle, permet aussi d'éradiquer certaines maladies, comme ce fut le cas de la variole."

 

FAUX! Test-Achats n'a visiblement pas lu le rapport final de l'OMS sur l'éradication de la variole (1979) car on peut pourtant lire noir sur blanc dans ledit rapport que:

 

« Les campagnes d’éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas ».

 

Et l'OMS de reconnaître également dans ce rapport qu'il fallait "changer de stratégie" compte tenu de l'échec de la vaccination même lorsque des populations étaient vaccinées à + de 90%.C'est donc bien la stratégie de surveillance-endiguement qui a permis d'éradiquer la variole et non la vaccination en tant que telle. Ce fait est d'ailleurs tout à fait confirmé par les taux accrus de variole et de mortalité par variole dans les zones les plus vaccinées du monde (par rapport à celles qui l'étaient moins ou pas du tout), comme de très nombreux exemples l'ont montré depuis le 19° siècle. Dans l'Allemagne d'après-guerre, le Dr Gerhard Buchwald a pu démontrer, chiffres à l'appui, que la mortalité par variole était infiniment plus grande chez les vaccinés que chez les non vaccinés. Cherchez l'erreur...

 

L'entretien de ce genre d'erreurs historiques est grave car il maintient les consommateurs dans une ignorance et un aveuglement peu propice à la réalisation de choix suffisamment libres et éclairés.



Quatrième grosse inexactitude de Test-Achats

 

« En règle générale, les vaccins sont très sûrs, car ils ont été étudiés et approuvés par les instances européennes et nationales compétentes avant d’être commercialisés. La plupart des effets secondaires sont temporaires et bénins. Ils ne sont sérieux que dans de très rares cas. »

 

FAUX! Décréter que les vaccins sont "très sûrs" au motif qu'ils ont été approuvés sur base de tests tout à fait biaisés par les autorités dites "compétentes" est d'une naïveté indicible. Si tel était vraiment le cas, tous les scandales sanitaires qui sont survenus avec des produits dûment approuvés par ces mêmes instances sanitaires n'auraient pu jamais avoir lieu.

 

La vérité est que ces agences ne sont pas indépendantes et qu'elles perçoivent des contributions financières de la part des firmes productrices des propres produits qu'elles sont censées évaluer. Ces agences ne font pas de contre-évaluations mais parcourent uniquement les données des dossiers que les firmes leur fournissent.  Or en matière de vaccination, il s'avère que les firmes bénéficient d'un tas de facilités. Elles sont par exemple dispensées, contrairement à ce qui est le cas pour d'autres médicaments, d'effectuer des tests de cancérogénicité, de mutagénicité et de tératogénicité afin de savoir si les vaccins peuvent favoriser le cancer, engendrer des mutations génétiques ou constituer un risque en termes de malformations sur la descendance.

 

Autre exemple, les firmes sont aussi dispensées d'effectuer une analyse pharmacocinétique des vaccins qui consiste normalement à évaluer le devenir du médicament et de ses composants une fois qu'il est administré. Ceci est évidemment un manquement très préjudiciable comme l'a montré le cas de l'aluminium dont les autorités avaient toujours prétendu en l'air qu'il était très vite éliminé du corps là où l'équipe de chercheurs du CHU Henri Mondor de Créteil a au contraire démontré qu'il allait notamment se loger dans le cerveau sans jamais pouvoir en sortir. Ce genre de triste découverte aurait normalement pu être obtenue plus tôt, sans faire autant de victimes, si des tests de pharmacocinétique avaient été légitimement requis pour les vaccins qui devraient d'ailleurs mériter d'autant plus de vigilance qu'une fois administrés, il n'est plus possible de revenir en arrière ou d'atténuer leurs effets, comme on peut par exemple le faire en diminuant ou en suspendant la prise d'un médicament classique qu'on prend sur une certaine période de temps!

 

Mais ce n'est pas tout: l'idéologie vaccinale conduit aussi à accepter comme valables des tests de sécurité vaccinale tout à fait non scientifiques puisqu'il n'est par exemple pas exigé de comparer valablement des gens vaccinés avec des gens encore vierges de tout vaccin, ceci causant un inévitable biais déformant puisque les vaccins sont par définition des médicaments qui peuvent agir et interférer dans le temps avec notre système immunitaire et par là même l'ensemble des autres systèmes du corps. C'est ainsi que les vaccinés sont comparés à d'autres vaccinés ou à des personnes ayant reçu de faux placebos, intrinsèquement toxiques.

 

En outre, les tests de sécurité sont nettement trop courts ne durant tout au plus que quelques semaines voire quelques jours, ce qui est un non sens lorsqu'on sait que les maladies auto-immunes mettent plutôt des mois et parfois des années à se manifester concrètement. Ces tests biaisés et non fiables, pourtant acceptés par les instances officielles derrière lesquelles Test-Achats se réfugie de façon totalement affligeante, expliquent pourquoi les effets secondaires de vaccins sont considérablement sous-estimés, très peu reconnus et décelés en tant que tels: les médecins désinformés ne se basant dans le meilleur des cas que sur les notices de vaccins, souvent incomplètes, ils nient à priori tout lien causal entre les vaccins et quantités d'autres troubles. Ce faisant, il n'apparaîtra évidemment guère surprenant au lecteur que l'Agence française de Sécurité Sanitaire (Afssaps) elle-même vienne faire mentir Test-Achats qui affirme que "les vaccins sont très sûrs", en représentant de façon particulièrement éloquente la sous-notification des effets secondaires de vaccins à la façon d'un iceberg:

AFSSAPS sous notification





Cinquième grosse inexactitude de Test-Achats

 

« Le fait que les vaccins combinés surchargent le système immunitaire et augmentent le risque d’effets secondaires est un effet négatif qui n’a encore jamais été prouvé. Nous sommes tous, surtout les enfants, exposés chaque jour de nouveaux antigènes, notamment via notre alimentation. Avant de procéder à une vaccination combinée, il convient de vérifier et de prouver que l’association de ces vaccins est sûre. »

 

FAUX! Il a déjà, au contraire, été démontré que les vaccins combinés augmentent le risque d'effets secondaires et notamment grâce à l'étude Pourcyrous, publiée dans la revue internationale très réputée Pediatrics en 2007 qui a démontré un taux significativement accru d'hémorragies cérébrales du nourrison prématuré vacciné avec des vaccins combinés comparativement à des monovaccins (24% vs 17%). De plus, cette étude a bien montré que les marqueurs de l'inflammation étaient plus élevés chez les enfants vaccinés avec des vaccins combinés qu'avec des monovaccins, corroborant ainsi tout à fait les propos du Dr Norbert Enders qui déclare dans son livre ("Homéopathie de l'Enfant") que «les vaccins combinés provoquent des dérèglements "en pagaille".»

 

Test-Achats n'a donc fait ici que relayer pitoyablement les affirmations gratuites de l'ONE et des officiels sans faire montre d'aucune rigueur ni aucun bon sens car il n'est pourtant guère difficile de reconnaître le caractère profondément anti-physiologique des vaccins combinés là où il n'arrive jamais qu'un enfant fasse 3, 4, 5 ou 6 maladies naturelles à la fois!

 

Mais Test-Achats ne s'arrête pas là: cette association reprend aussi les pseudo-arguments fallacieux des officiels qui confondent volontairement le mode d'administration orale avec le mode injectable pour mieux justifier leur politique de survaccination tout à fait insensée: en effet, il est notoirement connu en sciences et en médecine qu'une substance ingérée ou injectée n'aura pas les mêmes effets comme c'est le cas du squalène qui ingéré ne pose pas de problème mais qui injecté, entraîne un sur-risque considérable d'atteintes auto-immunes.

 

Test-Achats, qu'on a visiblement pas vu ni entendu à l'époque dans la défense de ces femmes enceintes belges qui désiraient un vaccin sans adjuvant, relaie cependant à propos de ce même squalène, de façon sans doute à essayer de protéger sa crédibilité à posteriori (?) que « Diverses sources – dont certaines sont jugées fiables – ont mis en garde contre les dangers de ce composant qui, apparemment, produirait davantage d’effets secondaires. »

 

En outre, Test-Achats suppose encore ici tacitement que ces vaccins combinés seraient sûrs au motif que les instances officielles les auraient approuvés alors que ces mêmes instances reçoivent des financements des industries concernées qui entravent bien évidemment leur indépendance et leur objectivité et que, d'autre part, elles se contentent de survoler les dossiers que les firmes daignent leur fournir.

 

Sixième grosse inexactitude de Test-Achats

 

« L’Haemophilus influenza de type B, la dangereuse bactérie responsable de la méningite Hib contre laquelle des vaccins combinés ont été mis au point. Ces vaccins apprennent au système immunitaire à reconnaître les antigènes de ces bactéries grâce à leurs glucides et à y réagir pour pouvoir défendre l’organisme par la suite. »

 

FAUX! Même s'il est certain que la peur fait vendre et que le mot "méningite" fait peur à de nombreux parents, il n'est pas honnête de déclarer "grave" une bactérie qui certes, peut dans de rares cas occasionner des méningites (comme de nombreux autres agents microbiens du reste) mais à laquelle 80% des enfants de moins de deux ans ont déjà été exposés, sans grande conséquence! Il est en outre pour le moins étrange que quantités de générations (dont celles des médecins qui vaccinent aujourd'hui à tour de bras contre cette bactérie) ont très bien survécu sans avoir "bénéficié" d'une telle vaccination qui, au surplus, entraîne un sur-risque de diabète de type 1, une maladie grave, incurable en pleine explosion chez les jeunes d'aujourd'hui (de plus en plus vaccinés).



Mais voici quelques chiffres de l'évolution de cette maladie en Belgique suite à cette merveilleuse vaccination (à en croire Test-Achats), introduite en 1993:

 

Hib Belgique 

En outre, il semble que cette vaccination ait pu perturber l'équilibre du microcosme microbien et favoriser les souches de méningocoques, beaucoup plus graves pour le coup:

 

Hib Belgique (2)

 

On voit donc là l'ampleur des "dégâts collatéraux" dont les consommateurs ne sont que trop rarement informés et qui changent inévitablement le regard à porter sur le rapport bénéfices/risques d'une telle vaccination au niveau sociétal.

 

Septième grosse inexactitude de Test-Achats

 

« De plus, un vaccin protège également l’entourage des vaccinés. Quand un nombre suffisant de personnes sont vaccinées, il y a moins de risque que les personnes non vaccinées contractent la maladie. Comme il n’y a plus assez d’individus pour transmettre le virus, la protection s’étend à l’ensemble du groupe. C’est ce que l’on appelle "l’immunité de groupe". »

 

FAUX! Il existe de trop nombreux exemples d'épidémies survenues dans des populations hautement vaccinées (à des pourcentages proches de 100%) pour démontrer la faiblesse et la fragilité du dogme culpabilisant de "l'immunité de groupe". Ce qui se passe actuellement en Australie avec la coqueluche n'en est d'ailleurs qu'une des innombrables illustrations.

 

Huitième grosse inexactitude de Test-Achats

 

« Une étude américaine sur la vaccination systématique des enfants a démontré que chaque dollar dépensé pour la vaccination permettait d’économiser 16 dollars au total, dont 5 liés au coût direct de la maladie. »

 

FAUX! Si la vaccination permettait vraiment de telles économies, on comprend assez mal pourquoi les firmes de vaccins auraient eu besoin que la Cour Suprême des Etats-Unis leur accorde l'impunité juridique en cas d'effets secondaires, sans quoi elles risqueraient, paraît-il, de faire faillite sous le poids des poursuites. En outre, si la vaccination permet d'économiser tellement d'argent, comment se fait-il que les autorités américaines aient déjà déboursé depuis 1986, année du Vaccine Injury Compensation Act, près de 2,5 milliards de $ en dédommagement des accidents vaccinaux et ce alors que 2/3 des plaintes sont rejetées et n'aboutissent donc pas à la moindre compensation financière?

 

Mais ce n'est pas tout, il faut aussi mentionner la publication de Miller et al. selon laquelle, à pays industrialisés comparables, la mortalité infantile est la plus forte dans les pays qui vaccinent le plus. Cherchez l'erreur...

 

Neuvième grosse inexactitude de Test-Achats



« Fin des années 90, une étude britannique "révèle" que le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole provoque l’autisme chez les enfants. De nombreux parents refusent alors de vacciner leurs enfants. S’ensuit une épidémie de rougeole, responsable de nombreuses hospitalisations et de trois décès. Sans raison, car il s’est avéré que l’étude initiale manquait de fondements scientifiques. Par contre, il est prouvé que la rougeole est une maladie grave dont les complications peuvent être fatales. »

 

FAUX! La publication de Wakefield dans le Lancet n'a jamais été déclarée fausse sur le fond. Il faut aussi remarquer qu'elle avait été cosignée par une dizaine de chercheurs différents et que, comme l'a d'ailleurs rappelé la presse britannique officielle, les résultats précédemment obtenus par l'équipe de Wakefield ont été plusieurs fois reproduits ensuite par d'autres équipes. Vu le caractère tabou et commercialement très sensible des effets secondaires de vaccins, Wakefield et ses collègues ont été l'objet de pressions, d'intimidations et de dénigrement. Wakefield a en effet été radié de la profession de même que son collègue, le réputé Pr John Walker-Smith, mais il s'avère que ce dernier a récemment été blanchi en appel, la Haute Cour de Justice britannique ayant estimé qu'il avait été victime d'une "chasse aux sorcières" et qu'il fallait absolument que le General Medical Council revoie de fond en comble la façon dont il tient ses auditions. Quant à Wakefield, il  a quant à lui introduit, il y a peu, une plainte en diffamation contre le journaliste du Sunday Times Brian Deer (qui avait juré en public de "détruire Wakefield") ainsi que le British Medical Journal. Il continue de recevoir le soutien de nombreux autres scientifiques de par le monde pour son courage et sa détermination et a encore eu l'occasion de s'expliquer en détails sur cette affaire à l'occasion du 68° meeting annuel de l'Association Américaine des Médecins et Chirurgiens (AAPS), en 2011.

 

Par conséquent, il apparaît de plus en plus difficile, rationnellement parlant, de présenter Wakefield comme un scientifique isolé, indigne et fautif que tant d'autres scientifiques et chercheurs soutiendraient naïvement sans sourciller.



Présenter la rougeole comme "une maladie grave" est aussi intellectuellement malhonnête car il s'agit, dans nos pays occidentaux, d'une maladie infantile statistiquement bénigne. Ceci ne signifie bien sûr pas qu'aucune complication ou décès ne peut en découler mais que ceux-ci sont l'exception et non la règle (et dans ce cas toutes les maladies ou presque pourraient être déclarées "graves"). Il est classique de dramatiser la survenue du moindre cas au profit du vaccin mais si on veut bien, en toute honnêteté, se rappeler qu’avant 1975, il y avait plus de 50 000 enfants qui faisaient annuellement la rougeole en Belgique et que cette maladie était encore pleinement considérée comme « une maladie d’enfance bénigne » dans les revues médicales françaises avant 1983 (année de lancement du vaccin dans ce pays), on comprend que les intérêts commerciaux en jeu jouent sûrement ici un grand rôle.

 

Si la proportion de cas graves s'accroît parmi les cas de rougeole déclarés, c'est à cause de l'usage massif du vaccin qui, de par le côté éphémère et imparfait de la "protection" conférée, a fini par déplacer l'âge naturel de survenue de la maladie chez les enfants de moins d'un an d'une part et chez les jeunes adultes d'autre part, chez qui la maladie est en effet plus risquée.

 

Mais, est-ce pour autant une raison rationnelle de s'enfoncer plus avant dans le cercle vicieux des rappels et dans le cycle infernal de la vaccination qui a elle même provoqué ce problème?

Quant au côté très rarement mortel de la rougeole, il ne devrait cependant pas éclipser le possible côté mortel du vaccin (et toute la morbidité associée) et si l'on tient compte de la sous-notification notoire des effets secondaires de vaccins, il est bien évident que depuis 1998 et la publication de Wakefield, le vaccin ROR a causé bien plus que 3 décès et quelques hospitalisations au Royaume-Uni et à fortiori à l'échelle du monde. 

 

Dixième grosse inexactitude de Test-Achats



« Les vaccins contre le tétanos et la diphtérie doivent, par exemple, être renouvelés tous les 10 ans après 25 ans. »

 

FAUX! Là encore, quelle est la base scientifique d'un tel catéchisme répété à longueur de journées et de consultations? Non seulement il faut savoir que les gens peuvent encore développer un tétanos en dépit d'un taux suffisant d'anticorps antitétaniques (British Medical Journal, 2000) mais en plus, quand bien même les anticorps seraient un gage de protection absolue, il est aberrant d'établir, sans avoir vérifié concrètement par des dosages sanguins individuels, qu'il faut absolument revacciner tout le monde tous les 10 ans de façon systématique. Certes, c'est commercialement rentable mais cela multiplie le risque d'effets secondaires, plus élevé s'il reste encore beaucoup d'anticorps résiduels dus à de précédentes vaccinations (dont le taux dépend de variations individuelles). Il convient aussi d'ajouter, même si peu de gens le savent, que depuis bientôt 10 ans, lorsqu'on leur injecte une vaccination anti-tétanique, ils reçoivent "en prime" aussi celle contre la diphtérie et ceci parce que les "grands experts" l'ont décidé ainsi.

 

En résumé, un festival d'inexactitudes!

 

On l'aura compris, la crédibilité de Test-Achats en matière de vaccinations est plus que vacillante. Leurs amalgames entre refus de vaccination pour effets secondaires et motifs religieux sont plus que douteux et leur inversion même du principe de précaution, totalement contraire à la mission même d'une association dite de "protection des consommateurs".

 

On comparera donc utilement leur affirmation gratuite et non scientifique à celle du Dr Norbert Enders lorsqu'il est question "d'hystérie" en matière de vaccins:

 

Test-Achats:

 

« L’hystérie populaire liée aux effets secondaires insuffisamment prouvés d’un vaccin n’a aucune raison d’être. »

 

Dr Norbert Enders ("Homéopathie de l'enfant"):

 

"La vaccination, en tant que produit industriel, obéit aux lois de manipulation médiatique. Autrement dit, l'information diffusée par rapport à la vaccination, vise à dresser les masses afin d'utiliser l'humain à des fins qu'il ne connaît pas. En insistant sur les grands dangers encourus par les épidémies, on veut nous rendre hystériques afin que nous succombions aux produits tant vantés."

  

Et les deux auteurs de conclure avec non pas une paille mais bien une poutre dans l'oeil: "On est jamais trop prudent: soyez toujours en ordre de vaccination!"

  

Et lorsque nous parlions de l'incohérence de Test-Achats, nous ne croyions pas si bien dire car à en lire un article du 1er mars dernier qu'ils ont posté sur le problème des prothèses de hanche, on comprend évidemment encore moins ce triste deux poids deux mesures alors que les problèmes de risque de cancers, de concentration de métaux dans le sang et de sous-estimation des effets secondaires existe tout autant dans le domaine des vaccins! Voici à titre d'exemples plusieurs passages de Test-Achats au sujet de ce problème de prothèses de hanche, visiblement moins politiquement incorrect que le sujet de la sécurité vaccinale:

 

« L’impact à long terme sur la santé d’une concentration élevée de ces particules de métal dans le sang n’est pas encore très clair. L’an dernier, nous attirions déjà l’attention de l’Agence Fédérale des Médicaments (AFMPS) sur cette problématique et leur avions demandé de passer à l’action.

 

Entre-temps, de plus en plus d’informations préoccupantes paraissent au sujet des concentrations de métal dans le sang des patients dotés de telles prothèses de la hanche, ou du moins certains modèles. Non seulement ces concentrations seraient plus élevées chez bon nombre de patients par rapport à ce que l’on pensait dans un premier temps, mais en outre, certaines études font état d'un risque accru de cancer.

 

L’impact à long terme d’une concentration élevée de particules métalliques dans le sang n’est pas suffisamment clair pour l’instant. C’est la raison pour laquelle nous avons demandé l’an dernier à l’Agence Fédérale des Médicaments (AFMPS) d’enquêter sur le sujet et de communiquer à ce sujet sur leur site web. […] En réaction à notre demande formulée l’an dernier, l’Agence Fédérale des Médicaments avait estimé que les signalements de problèmes étaient insuffisants pour passer à l’action. Un mauvais raisonnement ! En effet, il n'est pas rare que les incidents ne soient pas portés à leur connaissance. »

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