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25 novembre 2011 5 25 /11 /novembre /2011 22:14

24/11/11. Par CM [NB: la vidéo n'est déjà plus disponible...]

 

La vaccination contre la grippe A serait à l'origine de la narcolepsie dont souffre une jeune auboise de 12 ans.

 

Soraya a 12 ans. Depuis décembre 1999, date de sa vaccination contre la grippe H1N1, elle souffre de narcolepsie, une maladie qui entraîne des troubles du sommeil et se manifeste notamment par des endormissements soudains à n'importe quel moment de la journée. Sa mère pense que le vaccin est à l'origine de cette maladie.

 

Depuis la campagne de vaccination, une centaine de cas de narcolepsie auraient été diagnostiqués en France. Pour l'heure, rien ne peut faire le lien de cause à effet avec certitude entre la vaccination et l'apparition de la maladie neurologique, mais il y a des présomptions quant à une éventuelle incidence.

L'Agence européenne du médicament (EMA) a ouvert une enquête pour déterminer l'existence d'un lien entre le vaccin contre la grippe A (H1N1) Pandemrix et les cas de narcolepsie observés en Europe (en France, en Finlande et en Suède notamment.

 

 
La mère de Soraya a décidé de monter une association pour se regrouper avec d'autres malades présentant les mêmes troubles qu'ils imputeraient au vaccin.
Les personnes intéressées peuvent la contacter à l'adresse suivante :

sosomanel10@yahoo.fr

 

 

Source: France 3 Champagne-Ardenne

 

Le site Canoe.ca mentionne en date du 12/12 le cas d'un autre enfant (britannique) dans ce cas: Josh Hadfield, 6 ans, qui n'avait jamais souffert de narcolepsie avant février 2010.

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 02:29

Bébé Fotolia

Le journal Le Soir du vendredi 18 novembre dernier publiait un article de Frédéric Soumois, intitulé "Davantage de vaccins pour les prématurés".

 

Cet article relatait notamment au public  la regrettable mise en scène politicienne de Muriel Gerkens en faveur d'un pseudo "vaccin" (en réalité un anticorps monoclonal, le Palivizumab, du nom de Synagis) fabriqué par génie génétique mais surtout cultivé sur des cellules cancéreuses (de myélome) de souris, tel que le confirme d'ailleurs la notice intégrale, disponible sur le site de l'Agence Européenne du Médicament:

 

"En Belgique, environ 8 % des enfants naissent avant 37 semaines de gestation et 2 %, dits les « grands prématurés » le font avant 32 semaines. Leur développement n’étant pas achevé, ils sont pris en charge par des centres de néonatologie intensive, équipés pour diminuer les risques liés à cette naissance anticipée. Parmi les multiples périls, le danger du VRS, virus respiratoire syncytial, qui s’attaque aux voies respiratoires des bébés d’octobre à mars. Il est impliqué dans 45 % des hospitalisations pour bronchiolite.


Des solutions existent pour « doper » la résistance des prématurés à ce virus : des injections d’anticorps synthétiques, des immunoglobulines. Mais ce « vaccin » est aujourd’hui réservé aux bébés jusqu’à 32 semaines s’ils ont dû être aidés par une ventilation assistée.

 

Pourtant, plusieurs études récentes, notamment aux Pays-Bas et en Italie, ont montré que les prématurés nés jusqu’à 35 semaines en bénéficient autant que les plus jeunes. En Belgique, ils sont 2.240 qui en bénéficieraient. C’est pour réclamer cet élargissement que des parlementaires, dont la députée Muriel Gerkens (Ecolo), co-autrice d’une résolution sur les prématurés, ont déposé ce jeudi 2.240 dragées au cabinet de la ministre de la Santé Laurette Onkelinx (PS).


« Depuis notre première demande, on a avancé sur la question des prématurés. Deux millions ont été dégagés pour enfin suivre ces enfants jusqu’à l’âge de 7 ans, afin de connaître leur véritable état de santé, explique la parlementaire. Mais l’extension de cette vaccination est une des mesures les plus fortes qui est demandée par les néonatologues et les pédiatres. » Elle est estimée à 8 millions d’euros. Selon le cabinet de la ministre, la procédure de remboursement est en cours, mais il faut notamment que la firme productrice fournisse encore les preuves médicales que le bienfait est avéré. Les représentants des médecins ont également souligné la nécessité de modifier l’offre en lits spécialisés, certains centres étant surchargés, tandis que d’autres offrent trop de lits."

 

 

On a donc, en temps de crise financière qui plus est, une élue écologiste qui pousse à l’élargissement du remboursement (pour une somme de 8 millions d’euros !) d’un médicament fabriqué grâce à des cellules cancéreuses de souris et ce alors que le fabricant lui-même n’a pas encore fourni les preuves que « le bienfait est avéré »… on croit rêver !

 

Il n’en fallait pas plus pour que nous écrivions à l’intéressée pour lui faire part de notre profonde perplexité. C’est ainsi que nous lui avons rappelé, ainsi qu’à plusieurs élus du même parti, que les risques de ce produit viendraient s’ajouter aux risques déjà accrus des vaccins multiples faits aux prématurés (étude Pourcyrous, parue en 2007 dans Pediatrics, mentionnant un pourcentage non négligeable de troubles cardio-respiratoires et d’hémorragies cérébrales chez les prématurés vaccinés).

 

Voici un extrait de notre courrier à l’intention de Mme Gerkens (avec copie à plusieurs de ses collègues) :

 

« Nous déplorons profondément cet illogisme et nous vous invitons, Mme Gerkens, à faire preuve du même "enthousiasme" lorsqu'il s'agira de déposer "des dragées" en mémoire des enfants décédés, gravement handicapés ou malades chroniques à la suite de vaccinations. Mais il y a hélas fort à parier, qu'il y en aura bien plus que "2240" sur une année civile entière. Puisque déjà, de l'aveu même de l'ONE & de Provac dans une enquête de 2009 [cfr p.43], ce sont pas moins de 5% de tous les enfants vaccinés qui doivent consulter un médecin endéans les 48 heures suite aux effets secondaires immédiats des vaccins. (NB: l'ONE vaccinant environ la moitié des enfants francophones, ce sont donc des milliers d'enfants qui sont concernés, avec là aussi, un coût non négligeable pour la Sécurité Sociale et la collectivité.)»

 

Pour lire la totalité de notre courrier du 18/11 : ICI

  

Pour lire la réponse de Mme Gerkens du 18/11 : ICI & ici (document annexe joint par Mme Gerkens)

 

 

 

Lire aussi ICI comment prévenir autrement la bronchiolite du nourrisson. 


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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 01:01

Voici tout d'abord, histoire de se rafraîchir la mémoire, ce qu'Initiative Citoyenne disait dès le 24 septembre 2009 (sur la RTBF):

 

 
   
Voici à présent ce qu'on pouvait lire, le 15 novembre dernier dans la DH:
 
DH-du-15-novembre-2011--H1N1-.jpg

 

 

JT 19H30 de la RTBF du 12 déc. 2011: 

 

Il est important de comprendre que les victimes de vaccins n'ont jamais été informées au préalable des risques qu'elles encouraient (en totale violation avec les dispositions légales exigeant pourtant que tout patient soit correctement informé des risques encourus AVANT tout type d'acte médical). Voici encore un autre exemple, particulièrement tragique: celui de Joan, vaccinée contre la grippe saisonnière, qui ne sait à présent plus rien faire, sans l'aide 24h/24 de sa fille et d'une machine:

 

 

Pour avoir une petite idée des risques graves et scientifiquement documentés que fait, par exemple, courir aux patients une vaccination antigrippale classique, il suffit de se rendre ICI.

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10 novembre 2011 4 10 /11 /novembre /2011 22:28

10 novembre 2011, Jonathan Benson

 

Baxter, la même compagnie qui avait laissé passer des vaccins contre la grippe contaminés, retire de la vente 300.000 vaccins contre la grippe suite à des effets secondaires.

 

Vacgrippe.JPG

 

Baxter a annoncé qu’il retirait de la vente quelque 300.000 doses de son vaccin Preflucel contre la grippe à la suite d’un nombre excessif d’effets secondaires. C’est dans les vaccins de cette même compagnie qu’on avait, en 2009, retrouvé le virus de la grippe aviaire.

 

Le Daily Mail Britannique rapporte qu’un nombre élevé de personnes auxquelles avait été injecté un vaccin apparemment contaminé, le Preflucel, ont fait état d’effets secondaires comme fatigue, douleurs musculaires et maux de tête.

 

Le vaccin qui avait été spécialement conçu pour les personnes allergiques aux œufs n’a été utilisé que depuis mars, époque à laquelle il venait d’être approuvé pour le Royaume Uni.

 

Le vaccin a été retiré de la vente suite à des effets secondaires plus fréquents, a déclaré le porte-parole de Baxter. Ce porte-parole a aussi tenté de réassurer le public en précisant que les personnes qui avaient déjà été vaccinées avec le Preflucel n’avaient aucune raison de s’inquiéter.

 

Baxter a simultanément donné instruction à tous les officiels de santé de ne plus administrer le Preflucel aux patients quelque en puisse être le lot de provenance. Depuis cette annonce beaucoup de pays Européens qui utilisaient ce vaccin ont renoncé à l’utiliser et ont eu recours à des alternatives.

 

[…]Baxter n’a donné aucune autre explication en ce qui concerne la cause même de l’augmentation des effets secondaires. Si le vaccin est à ce point dangereux que la compagnie s’est vue obligée de retirer du commerce plusieurs centaines de milliers de doses et d‘en arrêter toute administration ultérieure, comment est-il possible que des officiels de santé peuvent déclarer qu’il n’y a pas de problème pour les personnes auxquelles ce vaccin a déjà été injecté ?  

[…]

 

Sources: Naturalnews & Daily Mail 

 

 

 

 

 

 

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5 novembre 2011 6 05 /11 /novembre /2011 00:38

D'après une interview vidéo du National Vaccine Information Center (NVIC)

 

C’est l’interview bouleversante de Joan, ancien Professeur à l’Université du Connecticut (Ecole d’Infirmières).

 

 

 

 

Sa fille Katie raconte qu’elle fut atteinte d’un Guillain Barré ( quadriplégie) à la suite d’une vaccination contre la grippe, alors que jusque là elle avait  été en parfaite santé, forte et indépendante. Elle aimait coudre pour ses enfants, elle aimait jardiner. Bien que professeur dans une école d’infirmière, elle ignorait que le vaccin contre la grippe, qu’elle avait d’ailleurs déjà elle-même administré, pouvait provoquer pareilles paralysies.

 

De très nombreux examens et analyses furent entrepris pour expliquer le cas ; des échantillons furent envoyés dans tous les coins…Tous ces examens et toutes ces analyses ont permis de tout exclure sauf le vaccin. Les médecins ont finalement dû reconnaître que rien d’autre que le vaccin ne pouvait expliquer ce drame.

 

Katie explique avoir été terriblement choquée de n’avoir pas été avertie que pareille chose pouvait se produire : dommages cérébraux, paralysies, mais aussi atteinte de nombreux nerfs partout dans le corps qui la faisait crier, pleurer. Le fait que plusieurs organes du corps étaient aussi atteints rendait les médecins très perplexes. Finalement la maman est devenue incontinente ; elle est tombée dans le coma. Un moment, elle est devenue aveugle. Elle qui aimait tant lire, ne sait aujourd’hui plus lire. Certaines fois la douleur était telle que nous ne pouvions même plus la toucher, explique Katie. Alors elle criait et pleurait ! « Joan, mon mari et moi étions terrifiés », explique Katie, sa fille. - Joan est passée d’un hôpital à l’autre, d’un centre de revalidation à l’autre Elle est actuellement complètement paralysée, souffre horriblement physiquement et psychologiquement ; elle ne peut  se nourrir elle-même ni pourvoir à aucun de ses besoins. Elle est totalement dépendante 24 heures sur 24.  A certains moments même la morphine n’agit plus. Ces problèmes ont bouleversé toute la vie de la famille.

 

Tous les médecins qui furent consultés reconnurent avoir déjà vu ce genre de complications après la vaccination contre la grippe, ils reconnurent que la chose était connue et pas spécialement rare. Dans l’hôpital où se trouvait Joan, 7 autres personnes avaient, elles aussi, eu des réactions graves au vaccin. Katie fait remarquer que rien que dans leur entourage proche 4 autres personnes avaient eu un Guillain-Barré après le vaccin contre la grippe !

Les médecins ont expliqué à Katie que la plupart des cas n’étaient pas déclarés au gouvernement. De ce fait beaucoup sont dans l’ignorance. A l’hôpital, Katie a dû plusieurs fois s’interposer quand on a voulu faire d’autres vaccins à sa maman !

 

Tous ces soins, visites et séjours dans les hôpitaux, centres de revalidation ont été terriblement coûteux. Sans l’épargne et la pension de Joan, explique son beau-fils, il y a longtemps qu’elle ne serait plus là !

 

Katie et sa maman expliquent que la famille a accepté cette interview pour informer, éclairer et peut-être venir en aide aux personnes qui ont eu la même expérience, pour qu’en quelque sorte elles se sentent moins seules. Elles veulent que l’on puisse se rendre compte  des dommages que certaines vaccinations peuvent produire, comme de l’importance qu’il y a à être complètement informé avant d’accepter une vaccination.                                                     

 

Vidéo intégrale (en anglais), à voir ICI (réalisation: Barbara Loe Fisher, présidente du NVIC) 

 

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9 octobre 2011 7 09 /10 /octobre /2011 23:58

5 octobre 2011

 

HELSINKI – Le gouvernement Finlandais, ainsi que les principales compagnies d’assurances ont annoncé mercredi qu’ils allaient dédommager les enfants atteints de narcolepsie après avoir reçu le vaccin contre la grippe H1N1. Ces instances ont décidé de leur payer les soins médicaux à vie.

 

La Ministre de la Santé et des Services Sociaux, Paula Risikko, a précisé que ce dédommagement allait apporter une aide financière bien nécessaire aux familles, reconnaissant cependant que cette aide ne pourrait pas résoudre la détresse émotionnelle provoquée par l’état de ces enfants.

 

Les chercheurs Finlandais et internationaux ont récemment trouvé un lien concluant entre le vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 et les nouveaux cas de narcolepsie, un trouble nerveux chronique qui provoque souvent l’endormissement incontrôlé des personnes atteintes de cette maladie.

 

Le Groupe Pharmaceutique Finlandais d’Assurances (LPV) qui représente les compagnies d’assurances a déclaré mercredi qu’il allait honorer toutes les demandes d’assurance de cette catégorie de personnes.

 

Le LPV a aussi déclaré qu’il examinerait chaque demande individuellement pour calculer le montant de la contribution.

 

Le gouvernement Finlandais s’est engagé à couvrir tous les frais médicaux qui dépasseraient les montants alloués par les assurances.

 

En Finlande, 79 enfants entre 4 et 19 ans ont développé une narcolepsie après avoir reçu le vaccin Pandemrix en 2009 et 2010.

 

Parmi ces cas, un nombre anormalement élevé, 76 ont aussi souffert d’épisodes de catalepsie, d’hallucinations, d’effondrements paralytiques, selon ce qu’a précisé la recherche Finlandaise

 

Source: AFP

 

 

Voilà bien la preuve que jouer avec des vaccins expérimentaux n’est pas sans risque. Lorsqu’il est trop tard pour les victimes, les autorités ont enfin daigné admettre les risques de la vaccination, ce qui ne suffira hélas pas pour inverser la tragédie que vivent ces victimes et qui est bien entendu sans commune mesure avec la fausse gravité statistique de cette grippe H1N1.

 

Ces victimes, qui devront maintenant vivre le restant de leurs jours avec des soins adaptés, mais aussi leurs parents, doivent amèrement regretter d’avoir fait confiance au discours officiel faussement rassurant au sujet du vaccin et scandaleusement alarmant au sujet de cette grippe A. Ici en Belgique, on se souviendra notamment du discours du Pr Goubeau, virologue à l’UCL, qui ne parlait,  en octobre 2009 sur la RTBF, que « de fièvre, d’une douleur ou d’une rougeur au point d’injection », osant affirmer au public, en totale contradiction avec la notice du fabricant qu’on ne pouvait pas sortir paralysé d’une telle vaccination !

 

Les officiels estiment sûrement qu’il vaut mieux « sortir le portefeuille » maintenant et faire illusion de profil bas s’ils espèrent encore pouvoir écouler dans le futur quelques vaccins expérimentaux contre une prochaine pandémie tant attendue, aux quelques pigeons qui resteront.

 

Toutefois, il est très clair que toutes les autres victimes de ce vaccin expérimental ou d’autres vaccins soi-disant bien évalués et « très sûrs » seront laissées sur le bord du chemin et condamnées à souffrir dans leur coin, tout simplement parce que si les états ou les compagnies devaient soudain indemniser financièrement toutes les victimes qu’on n’a jamais vraiment eu envie de rechercher, ils feraient tous faillite.

N’est-ce pas la Cour Suprême qui a encore récemment empêché toute poursuite des fabricants de vaccins pour les dommages causés par leurs produits au motif que ceux-ci sont « des produits inévitablement dangereux » et qu’à défaut, les producteurs seraient forcés de fermer leurs portes ??

 

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 14:47

27/09/11. Citizenside

 

(Extrait):

 

"Cela fait presque une semaine que la nouvelle est tombée sans qu'elle ne soit, semble-t-il, passée dans la grande presse française, pour une raison ou pour une autre.

L'un des plus grands laboratoires pharmaceutiques japonais, Daiichi Sankyo, a produit des vaccins pour la grippe saisonnière dont la moitié s'est révélée contaminée. Par conséquent, pas moins de 2 360 000 doses ont été déclarées impropres à la distribution. Communiqué de presse ici. Et pour confirmation directement sur le site officiel dudit laboratoire ici.

La catastrophe a été évitée et c'est déjà beaucoup. Mais cela ne manquera pas de rappeler un peu l'étrange affaire du laboratoire américain Baxter qui, fin février 2009, au plus fort de la crise de la grippe aviaire, avait livré à l'Europe des doses porteuses de la souche virale de la grippe H5N1 singulièrement mélangée à la souche grippale particulièrement virulente dite H3N2. Un cocktail périlleux qui aurait pu déclencher, s'il avait été effectivement injecté aux Européens qui l'avaient reçu en toute confiance, une épidémie monstre, possiblement de même visage que la grande épidémie de grippe qui a tué tant de monde au debut du XXème siècle.

 

 

Daiichi Sankyo, il faut le savoir, est liée à Sanofi Pasteur dont ils commercialisent notamment au Japon le vaccin Act-Hib (contre l’haemophilius influenzae b).

Or, en mars dernier déjà, le vaccin Act-Hib de Sanofi Pasteur, commercialisé par Daiichi Sankyo était suspendu, de même que le Prevnar 7 de Pfizer/Wyeth suite au décès de 6 enfants de moins de 20 mois.

 

A l’époque déjà, la firme Daiichi Sankyo demandait « la compréhension du public » au prétexte que la contamination n’était pas de nature bactérienne et que le rappel des vaccins était « volontaire ».

 

Hélas, lorsque des personnes sont victimes de vaccins, elles ne peuvent guère espérer la moindre « compréhension » des officiels car, c’est bien connu, les conseilleurs ne sont pas les payeurs…Et quand des enfants en meurent, il est difficile de se satisfaire d’une pseudo-compréhension compatissante qui ne fera guère revenir les enfants disparus.

 

Il est du reste assez révélateur que le lendemain même de la décision japonaise de suspension de ces produits le 7 mars dernier, « un panel d’experts » décrétait déjà l’absence de lien de causalité entre ces très lucratifs vaccins et les décès d’enfants.

 

Aujourd’hui, la même firme qui demandait déjà « la compréhension » du public, s’apprêtait à commercialiser des vaccins contaminés qui n’ont sans doute été détectés que de justesse. Cette situation pourrait laisser penser à tort que, malgré tout, des filtres de sécurité existent et fonctionnent.

 

En réalité, cette situation ne doit pas occulter les nombreux autres cas de contaminations de vaccins parmi lesquelles des contaminations aux effets dévastateurs que nous payons encore aujourd’hui comme celle de centaines de millions de doses de vaccins polio oraux et injectables avec le virus cancérigène SV40 (virus simien) administrés dans les années 50’ et 60’ !

 

Là aussi, les victimes de cette contamination-là qui sont d’ores et déjà décédées ou qui luttent encore aujourd’hui contre un cancer imputable à une telle contamination auraient pu ou pourraient légitimement espérer une certaine « compréhension » de la part des autorités et une indemnisation à la hauteur du préjudice. Reconnaissance qu'elles n'auront bien sûr jamais.

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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 21:26

29 septembre 2011

Le Monde

 

 

(Extrait):

 

"La nouvelle liste comprend également 19 médicaments ou classes thérapeutiques faisant l'objet d'un suivi national de pharmacovigilance en raison de signaux d'alerte : sont concernés le Ketum, un anti-inflammatoire ; le Lévothyrox (hormone thyroïdienne) ; certains antidépresseurs, collyres, immunoglobulines et sclérosants veineux. Pour leur part, 28 médicaments sont assortis d'un PGR, parmi lesquels Alli (aide à la perte de poids) et Champix (aide au sevrage tabagique).

Les vaccins, les stupéfiants et les psychotropes sont listés à part, car faisant l'objet d'une procédure de surveillance spécifique et systématique. C'est le cas des vaccins Gardasil et Cervarix (contre le papillomavirus), Prévenar 13 (contre le pneumocoque), et de ceux contre l'hépatite B, le virus grippal A (H1N1) et la grippe saisonnière, même si leur rapport bénéfice-risque positif a été confirmé."

 

NB: PGR veut dire "plan de gestion des risques" c'est à dire un simulacre de précautions à posteriori, après essai massif sur la population, mesure autorisée par la Commission Européenne en remplacement des tests précédents plus exigents avant commercialisation.

 

 

Comme toujours les vaccins bénéficient de « passe droits » et sont ainsi « listés à part » ! Il est toutefois cocasse de constater que la Secrétaire d’Etat française à la Santé, Nora Berra, vient de lancer un appel aux professionnels de santé pour les inciter à se faire vacciner avec des vaccins antigrippaux figurant sur cette liste de « médicaments dangereux » !

Comme il est tout aussi cocasse de lire que « leur rapport bénéfice-risque positif a été confirmé » alors qu'un document de l’Afssaps elle-même sur la pharmacovigilance des vaccins représente la notification des effets indésirables des vaccins sous la forme d’un ICEBERG, la majeure partie des effets secondaires restant non rapportés !

 

 

 

 

 

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3 octobre 2011 1 03 /10 /octobre /2011 17:18

Lire ici l'excellent article de Sylvie Simon.

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23 septembre 2011 5 23 /09 /septembre /2011 21:42

CHICAGO - Après l'épidémie de coqueluche en Californie en 2010, la plus importante depuis 1947, autorités et médecins américains redoublent d'efforts pour combattre la suspicion frappant les vaccins chez certains parents qui entraîne une réduction préoccupante de la vaccination.

Cette épidémie en Californie a eu un impact sur quasiment tous les Etats faisant que cela est devenue une grande question de santé publique dans le pays, a expliqué lundi le Dr David Witt, du Permanente Medical Center à San Rafael (Californie, ouest) lors d'une importante conférence sur les maladies infectieuses (ICAAC) réunie à Chicago (Illinois, nord).

Onze nourrissons sont décédés en Californie et plus de 8.000 personnes ont été malades.

Le Dr Witt a présenté une étude sur cette épidémie menée dans le comté de Marin au nord de San Francisco, où le taux de non-vaccination pour la coqueluche et autres maladies infantiles était particulièrement élevé.

Ce comté où j'exerce a l'un des taux les plus importants de personnes faisant objection à la vaccination sur la base de leurs convictions, a-t-il expliqué.

La recherche du Dr Witt a montré que l'épidémie --qui persiste mais avec une moindre ampleur-- a touché les enfants de huit à douze ans pour lesquels la Californie rend désormais obligatoire une vaccination ou un rappel.

Mais cet Etat maintient le système d'exemptions, ce que peu d'autres Etats autorisent.

Le Dr Witt a aussi observé que la protection du vaccin anti-coqueluche disparaissait quasiment après trois ans, soit plus tôt qu'estimé ce qui pourrait requérir de faire un rappel avant 12 ou 13 ans et aurait pu contribuer à l'épidémie. Cependant ces résultats doivent être encore confirmés.

Ce médecin a aussi jugé que les adultes devraient se faire vacciner contre la coqueluche pour mieux protéger les nourrissons, les plus à risque de forme grave de l'infection car trop jeunes pour être vaccinés.

Les exemptions à la vaccination en Californie font que jusqu'à 10% des Californiens pourraient être sans protection contre la coqueluche et d'autres maladies infantiles, selon cet expert.

Vu qu'un vaccin n'est jamais efficace à cent pour cent, plus le nombre de personnes non protégées est grand plus la protection conférée par ce vaccin à l'ensemble de la population est faible, a-t-il noté.

Je pense que nous avons une population à risque et que nous réussirons de nouveau à la protéger quand les parents voudront activement faire vacciner leurs enfants, a-t-il dit.

Le problème ne se limite pas à la Californie. Un rapport du National Committee for Quality Assurance montre que le taux de vaccination des enfants de deux ans couverts par des assurances privées a baissé de près de 4% en 2009 aux Etats-Unis.

Le Dr Paul Howard, directeur du Centre de l'Institut de Manhattan pour le progrès médical, explique que cette hystérie anti-vaccin remonte en partie à une étude britannique de 1974, prouvée erronée, évoquant un lien entre le vaccin anti-coqueluche et de rares affections cérébrales.

Aux Etats-Unis, les taux de vaccination se sont maintenus jusqu'en 1982, année de la sortie du documentaire de la journaliste de NBC, Lea Thompson, intitulé Vaccine Roulette qui a semé la peur dans le public, note Paul Howard.

Ce film, sans fondement scientifique selon lui, a eu un impact durable, suscitant des enquêtes du Congrès américain et des actions en justice contre l'industrie pharmaceutique.

Certains vaccins ont aussi été accusés de contribuer à l'autisme, ce que des études ont démenti.

Cette fureur a mis les laboratoires pharmaceutiques dans une situation précaire conduisant le Congrès à intervenir en 1986 pour créer un programme de compensation, le Vaccine Injury Compensation Program ou VICP.

Le VICP a retiré depuis toutes les actions en justice des tribunaux pour les confier à une juridiction spéciale mais les laboratoires restent réticents.


(AFP / 20 septembre 2011) 

 

Source: Romandie

 

 

loupe

Les officiels qui tiennent un tel discours le font dans la peur, parce qu’ils sont littéralement acculés, mais ils ne se rendent en réalité pas compte du ridicule qui est le leur. Car leur discours selon lequel le lien entre la vaccination anti-coquelucheuse et troubles neurologiques n’est pas scientifiquement prouvé, est faux. Non seulement, la littérature a mis en évidence des liens entre cette vaccination et des désordres neurologiques comme des convulsions ou l'encéphalopathie mais elle a aussi mis en évidence des liens entre bien d’autres vaccins et des accidents neurologiques, comme en témoigne par exemple, ce qu’il est arrivé au Pr Tardieu, neuropédiatre français, privé de conférence de presse, tant il était tabou de dire que le vaccin anti-hépatite B occasionnait bien un sur-risque de sclérose en plaques (révélé par Libération fin 2008).

 

De même, l’étude Pourcyrous, parue dans Pediatrics en 2007, a mis en lumière le fait que respectivement 17% et 24% des enfants prématurés font une hémorragie cérébrale lorsqu’ils sont vaccinés avec un vaccin unique ou un vaccin combiné !

 

Ces officiels sont en fait alarmés de voir que leur bon vieux discours insipide et faussement rassurant ne prend tout simplement plus et que leurs dissimulations sont désormais vaines. C’est pourquoi, ils continuent de parler des vaccins comme Ptolémée parlait de la terre plate avant les découvertes de Galilée.

 

Mais, pendant que ce discours surréaliste est diffusé, un nombre croissant de gens peuvent découvrir à leur aise que la Cour Suprême des Etats-Unis a qualifié les vaccins de « produits inévitablement dangereux » (comme relayé dans le New England Journal of Medicine) ou encore que le Québec dispose d’ un programme d’indemnisation des victimes de vaccins couvrant différentes indemnités dont celles pour dommages corporels et indemnités de décès, y compris les frais funéraires !

 

Mr Tout le monde qui a pour le coup davantage besoin de son bon sens plutôt que de science, peut ainsi très facilement comprendre que si ces effets secondaires graves étaient si rares ou non prouvés, ces propos de la Cour Suprême et ce programme canadien n’auraient respectivement jamais été tenus et mis en place.

 

Mais si les officiels ont encore envie de se ridiculiser, qu’ils continuent donc comme ils ont commencé. Ca n’arrêtera pas pour autant le train de l’information qui est bel et bien en marche et que rien ne pourra plus arrêter.

 

Car là où l’aluminium vaccinal est systématiquement blanchi et vanté pour ses soi-disant « vertus cachées », d’autres chercheurs comme le canadien Shaw nous disent que les risques de cette substance ont été beaucoup trop peu étudiés, que les expériences tendent à montrer sa grande toxicité et que les risques des vaccins sont sûrement sous-estimés.

 

Là où les officiels et nombre de médecins font une promotion éhontée des vaccins, l’enquête de l’INPES de 2005 a révélé que 58% des médecins se posent des questions sur l’utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité !

 

Là où les officiels qui s’expriment dans cet article tentent de dénigrer le documentaire mentionné, "La Roulette russe vaccinale/Vaccination Roulette" (diffusé dans les années 80’ sur NBC) en prétendant qu’il n’a « aucun fondement scientifique », d’autres documentaires ont depuis vu le jour et sont venus confirmer son contenu, comme l’excellent documentaire « Silence, on vaccine » de la canadienne Lina Moreco  qui a bien dû avouer qu’en réalisant un tel documentaire (sur un sujet aussi tabou), elle a eu l’impression de « se retrouver au Moyen-Age, en train de questionner l’existence de Dieu ».

 

Là où les officiels s'entêtent à prétendre que les effets secondaires se limitent pour la plupart à "des douleurs, une rougeur au point d'injection voire un peu de fièvre", des scientifiques plus scrupuleux et plus intègres comme le Dr J.B Classen, dénoncent dans les journaux médicaux la désinformation en titrant notamment que "le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme."

 

Il est aussi à souligner que ces officiels qui semblent si sûrs d’eux-mêmes, sont visiblement très frileux à participer au moindre débat contradictoire avec des scientifiques dissidents. Car, les gens de la cellule Provac (qui élabore les programmes vaccinaux en Communauté Française ou plutôt qui en fait à la fois « la promotion et l’expertise ») qui avaient été invités par le groupe des Objecteurs de Croissance au prochain débat du 14 octobre prochain à l’ULB (« Vacciner à tour de bras ? ») ont décliné cette invitation, de même que Mme Laanan ou son collègue Nollet, ce dernier n’ayant toujours pas répondu.

 

La vérité, c’est que les officiels ne veulent surtout pas voir à aborder du fond de ce dossier très sensible, conscients qu’ils sont qu’ils ne peuvent alors que s’embourber encore davantage dans toutes les contradictions et dissimulations passées.

 

C’est la raison pour laquelle, ils se cantonnent à ce qu’ils appellent « faire de la pédagogie », c'est-à-dire un discours paternaliste, du « grand docteur  au petit patient » ou d’un leader d’opinion s’exprimant, à l’abri, à couvert, dans une revue sponsorisée par les pharmas. Courageuse « science » va...

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