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4 avril 2011 1 04 /04 /avril /2011 20:36

Au JT de 19H30 de la RTBF du 3 avril 2011, on pouvait voir un petit reportage sur un phénomène en hausse constante: les allergies.

 

On pouvait notamment entendre que les allergies constituent la 4° cause de maladies chroniques dans notre société et qu' en 2020, 1 personne sur 2 sera allergique, en général.

 

Ces chiffres devraient nous interpeller car cela n'est pas du tout normal et parce qu' il s'agit d'un phénomène invalidant. Qui plus est, cette hausse constante, dans une société qui vaccine de plus en plus, constitue une tendance inquiétante.

 

 
 
Au cours de ce reportage, la pneumo-allergologue du CHU de Charleroi interrogée, le Dr Valérie Dufresne expliquait:

 

"Dans nos populations, notre système immunitaire n'est plus habitué à combattre des infections, des bactéries. On vit vraiment dans un monde aseptisé et notre système immunitaire trouve une voie d'échappement. Il commence à produire des anticorps un petit peu contre n'importe quelle molécule qu'il rencontre et voilà, l'allergie se met en route."

 

Ces propos, sans citer explicitement les vaccins, y font assez nettement référence car les vaccins symbolisent, mieux qu'une quelconque autre technique, cette lutte effrénée et cette peur maladive des microbes en tous genres.

 

Ces propos sont d'ailleurs aussi très nettement recoupés par ceux du Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste et chercheur à l'INSERM:

 

"L’hypothèse la plus avancée est l’hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l’utilisation des antibiotiques ; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires: diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires de l’intestin, mais aussi les allergies."

 

Ces propos de spécialistes en immunologie et en allergologie témoignent de ce qu' une partie croissante du corps médical est au courant des effets pervers des vaccins et qu'il sera de plus en plus malaisé, à l'avenir, de faire croire au public que ces risques sont minimes ou qu'ils n'existent pas. Du reste, ces preuves selon lesquelles le monde médical sait rendent de facto la moindre obligation vaccinale encore plus illégitime que ce qu'elle est actuellement.

 

Autre constat, toujours au sujet des allergies (Le Figaro): "La fréquence des allergies alimentaires chez les enfants a doublé en vingt ans." "Les allergies alimentaires touchent entre 3 et 7 % des enfants des pays industrialisés, et tendent également à augmenter dans les pays en voie de développement. Au Québec, on estime que de 6 à 8 % des enfants seraient affectés. Aux États-Unis, entre 1997 et 2007, la prévalence des allergies alimentaires a augmenté de 18 % chez les jeunes de moins de 18 ans."

 

Remarque intéressante: en 20 ans, on est passé de 7 vaccins dans l'enfance (polio, tétanos, coqueluche, diphtérie, rougeole, oreillons, rubéole) à 14 vaccins.

En effet, à l'heure actuelle sont aussi préconisés en routine pour les enfants: le vaccin HiB, le vaccin hépatite B (HB), le vaccin contre le pneumocoque (Prevnar), le vaccin contre le rotavirus et aux USA, aussi le vaccin contre la varicelle, celui contre l'hépatite A ainsi que l'injection antigrippale annuelle, même pour les enfants!

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3 avril 2011 7 03 /04 /avril /2011 12:58

2 février 2011

 

Hépatite auto-immune causée par la vaccination

 

Dans un article du quotitien Aftonbladet, en Suède, on y rapportait dernièrement l’histoire malheureuse d’une jeune adolescente de 16 ans qui, après s’être fait vacciner pour se protéger de la “petite” grippe A H1N1 en 2009, s’est retrouvée avec une maladie pour le reste de ses jours: le Pandemrix serait en cause.

 

Ellinor vit depuis avec une maladie chronique, soit une hépatite auto-immune. Elle doit prendre des médicaments quotidiennement, comme si elle avait reçu une transplantation hépatique, afin que son système immunitaire ne rejette pas son foie, en plus de devoir se rendre à l’hôpital pratiquement chaque semaine. Son histoire a été rapportée dans le Aftonbladet

 

1 le premier avril, mais ce n’est pas un poisson d’Avril.

 

L’histoire d’Ellinor: un cauchemar

 

Dix jours après avoir reçu le vaccin contre la grippe A H1N1 en novembre 2009, le ventre d’Ellinor s’est mis à enfler. Au début,  on ne s’est pas trop inquiété, mais lorsque la fièvre a monté à 41 dégrés celcius, elle a été admise à l’hôpital d’urgence. Elle y est restée durant cinq semaines.

 

À son arrivée à l’hôpital, elle souffrait d’un empoisonnement du sang et elle a reçu des antibiotiques par voie intraveineuse, sans que la fièvre diminue. Les médecins ont remarqué que sa vésicule biliaire était dangereusement enflée, et on a donc pris la décision de la lui enlever. C’est lors de l’opération qu’on s’est rendu compte que le système immunitaire d’Ellinor s’attaquait à son foie. Le Pandemrix  est encore mis en cause, alors que c’est un fait que la vaccination peut causer des maladies auto-immunes. Une autres victimes de la vaccination. Et combien dont on entend pas parler? Les médias étaient rapides pour annoncer les quelques décès de personnes âgées causés par la grippe A H1N1 afin de faire peur au monde, mais où sont les médias pour nous donner l’autre côté de la médaille?

 

Rappelons que dès octobre 2009, et même avant, des médecins et autres spécialistes à travers le monde avaient averti que la pandémie était loin d’être aussi grave que le laissait entendre l’OMS. Imaginez, un pays comme en Pologne où personne ne s’est fait vacciner, on n’a même pas remarqué une augmentation des décès dus à la grippe. Le monde s’est fait totalement leurrer. Et maintenant? Des gens doivent vivre avec des maladies chroniques pour le restant de leur vie. Qui en profite? Encore les pharmaceutiques, qui vendent des médicaments à Ellinor, ou encore à ces dizaines et dizaines d’enfants et adolescents qui vivent avec la narcolepsie causée par le Pandemrix.

 

Notes et références

 

1.   Tog vaccinet – då stöttes levern bort

 

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29 mars 2011 2 29 /03 /mars /2011 19:06

C’est confirmé: le pandemrix, vaccin en prévention de la grippe H1N1, augmente de quatre fois le risque de narcolepsie chez les enfants et les adolescents.

 

L’Agence des médicaments en Suède1 , dans une étude commune avec entre autres Karolinska Institutet et plusieurs régions de la Suède, arrivent à la conclusion que le pandemrix causerait la narcolepsie, particulièrement chez les enfants. Le pandemrix est un vaccin en prévention de la grippe H1N1 et une trentaine de millions de personnes se le sont fait injecter, parmi elles beaucoup d’enfants.

 

On a comparé les cas de narcolepsie déclarés entre deux groupes, soit les enfants et les adolescents vaccinées et les non vaccinés. Pour le groupe des vaccinés, on a remarqué que 0.97 cas sur 100 000 de narcolepsie ont été rapportés. Chez les vaccinés, c’est 4.06 cas sur 100 000 personnes. Donc, le risque de se faire diagnostiquer la narcolepsie est quatre fois plus élevé si l’on a été vacciné avec le pandemrix.

 

Rappelons que le pandemrix est fabriqué par Glaxosmithkline et est en quelque sorte l’équivalent de l’arepanrix du Canada. Le pandemrix avait été approuvé par la Commission européenne le 29 septembre 2009.

 

La narcolepsie

La narcolepsie, selon la Revue médicale suisse2 , est un trouble primaire du sommeil. La est une dyssomnie chronique avec présence d’une hypersomnolence due à des attaques irrésistibles de sommeil survenant plusieurs fois par jour, ayant une durée de quelques secondes à plusieurs minutes. L’hypersomnolence ne doit pas être confondue avec une fatigue chronique, dans laquelle il n’y a pas d’endormissement. Ainsi, entre risquer une bonne grippe ou d’être pris avec la narcolepsie, plusieurs préféreront la grippe. Il sera difficile de convaincre les gens de se faire vacciner la prochaine fois.

 

Notes et références

 

1.  lakemedelsverket.se []

2.  Narcolepsie: le point actuel []

 

 

Source: Sante.ameriquebec

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10 mars 2011 4 10 /03 /mars /2011 15:35

Comme vous le savez, Initiative Citoyenne est un groupe mixte qui a donc à la fois des contacts avec des citoyens mais aussi avec divers professionnels de santé.

 

C'est dans le cadre de ces contacts qu'un travailleur du Centre Néonatal du CHR de Namur nous a signalé une hausse tout à fait anormale des cas d'atrésie duodénale du nourrisson sur un laps de temps déterminé.

 

Alors que, des dires mêmes de cette personne, ils ne rencontrent habituellement aucun cas de cette pathologie sur l'année, ils en ont vu 6 en l'espace d'un an et demi.

 

L'atrésie duodénale, qui fait partie des anomalies congénitales, est une atteinte rare mais grave qui correspond à une interruption de la partie initiale de l'intestin grêle (duodénum) nécéssitant une intervention chirurgicale en urgence. Le site Orphanet explique aussi que "20 à 30% des enfants ayant une atrésie duodénale sont porteurs de trisomie 21 et 20 à 25% ont des anomalies cardiaques." Et le site de préciser que d'autres malformations associées ont été fréquemment décrites.

 

Au niveau épidémiologique, l'incidence habituelle de l'atrésie duodénale se chiffre entre 1/5000 et 1/10 000 naissances vivantes. Sur les 120 000 naissances annuelles en Belgique, cela correspond à un nombre d'enfants atteints par an oscillant entre 12 et 24 enfants pour l'ensemble du pays.  Sur un laps de temps d'environ un an et demi, ces chiffres devraient donc normalement varier dans une fourchette moyenne de 18 à 36 cas, sur l'ensemble du territoire.

 

Au vu de ces chiffres, il apparaît en effet quelque peu anormal qu'un seul hôpital comme le CHR de Namur ait pu être confronté, à lui seul, en un an et demi, au tiers ou même au sixième du nombre de cas normalement attendu pendant cette période sur l'ensemble de la Belgique.

 

Contactée par nos soins, une autre employée ayant travaillé de longues années dans le même centre néonatal, nous a d'ailleurs confirmé n'avoir vu que 5 à 6 cas en l'espace de 15 ou 16 années.

 

Certains nous rétorqueront que l'atrésie duodénale faisant partie des embryopathies c'est à dire des maladies s'installant durant les 4 premiers mois de vie intra-utérine (phase embryonnaire), il est peu probable qu'une vaccination des mères au cours du troisième trimestre en soit à l'origine. Mais il faut savoir que la vaccination des femmes enceintes a été conseillée dès le début du deuxième trimestre et ce sur les saisons hivernales 2009-2010 et 2010-2011. Sans parler des femmes qui ont pu être vaccinées au cours du premier trimestre, sans savoir qu'elles étaient déjà enceintes.

 

Sur la période 2009-2010, le vaccin préconisé aux femmes enceintes par les autorités et nombre de gynécologues était le vaccin adjuvanté de GSK, le Pandemrix.

Sur la période 2010-2011, le vaccin préconisé était le traditionnel vaccin saisonnier trivalent, ne comportant pas de squalène mais contenant la fameuse souche H1N1.

 

Or, nous tenons à rappeler qu'un document issu de la firme GSK elle-même, et relative a son vaccin H1N1 adjuvanté destiné au marché canadien, l'Arepanrix (de même composition que le Pandemrix) stipule:

 

 

"Deux études de reproduction menées chez des rats sur le vaccin H5N1 contenant  l’adjuvant AS03 ont évalué l’effet du vaccin sur le développement embryo-foetal, péri et postnatal suivant son administration intramusculaire. Bien qu’aucune conclusion définitive n’a pu être tirée quant au lien possible avec le traitement au moyen du vaccin H5N1 avec ou sans l’adjuvant AS03 et que d’autres observations ont été jugées normales, les constatations suivantes sont dignes de mention. Dans le cadre de la première étude, on a observé une incidence accrue de malformations foetales avec déformation et épaississement marqués des côtes et inclinaison de l’omoplate sur le plan médian ainsiqu’une incidence accrue de dilatation de l’uretère et de retard de la maturation neurocomportementale. Dans la deuxième étude, on a observé une incidence accrue de perte post-implantatoire ainsi qu’une modification au niveau de la dilatation de l’uretère du foetus. Ces constatations n’ont pas toutes été observées dans les deux études, leur importance sur le plan toxicologique est donc incertaine."

 

 

En outre, en ce qui concerne les vaccins saisonniers "classiques", sans squalène, et recommandés aux femmes enceintes lors de cette dernière saison 2010, il convient tout de même de rappeler que les fabricants ne disposent pas de données d'innocuité suffisantes sur la population des femmes enceintes. C'est entre autres, ce qu'avaient rappelé les scientifiques du Réseau Santé Environnement, dans leur communiqué de presse du 21.09.09, faisant notamment référence à la notice du vaccin Vaxigrip qui fait état de "données limitées" pour cette population.

 

En conclusion, ce délai d'un an et demi nous semble étrangement compatible avec le timing de la vaccination des femmes enceintes sur les saisons 2009-2010 et 2010-2011 et il nous apparaît qu'une investigation approfondie de la vaccination éventuelle des mères concernées doit être menée.

 

Nous attirons également l'attention de parents d'enfants qui auraient souffert de la même pathologie alors que la maman a été vaccinée, enceinte, ainsi que celle de tous les personnels soignants de l'ensemble du pays, confrontés à cette pathologie.

  

Hélas, lorsqu'il est question des effets secondaires de vaccins, force est de constater qu'il existe un tabou difficile à briser. Il est en effet difficile pour le personnel soignant de considérer qu'un acte censé prévenir peut s'avérer contre-productif et même dommageable.

Comme l'a si bien dit le Pr George Dick dans le British Medical Journal, en 1971, «Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu'ils ont eux-mêmes recommandée et à laquelle ils croient

 

Voilà pourquoi il y a sans doute fort peu de chances que le médecin assistant du CHR de Namur qui a, selon nos informations, l'intention de faire une publication sur ces cas d'atrésie duodénale, prenne vraiment la peine de considérer la possible vaccination des mères comme une des causes possibles de ce surnombre de cas sur un si court laps de temps.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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8 février 2011 2 08 /02 /février /2011 18:03

Souvenez-vous, tout d'abord, des propos du Dr Reynders et des médias à ce sujet, il y a seulement quelques mois:

 

 

 

A présent, les autorités finlandaises reconnaissent le lien évident entre cette maladie et le vaccin Pandemrix......

 

 

Une étude lie un vaccin contre le H1N1 à des cas de narcolepsie. (Le Monde, 1/2/2011)

 

Fabriqué par le laboratoire GlaxoSmithKline, le vaccin Pandemrix contre la grippe H1N1 a probablement contribué à la multiplication subite des cas de narcolepsie chez les enfants et les adolescents finlandais en 2009 et 2010, a estimé mardi 1er février la plus haute autorité sanitaire finlandaise.

 

"Actuellement, l'explication la plus probable est que l'augmentation des cas de narcolepsie est due à l'effet conjoint du vaccin et d'un ou plusieurs autres facteurs", indique l'Institut national finlandais pour la santé (THL) dans un communiqué. Rare, la narcolepsie, ou maladie de Gélineau, est une affection neurologique qui se traduit par des accès de sommeil irrésistibles qui surviennent de façon inopinée et par une fatigue extrême.

 

Soulignant que des recherches plus poussées sont encore nécessaires d'ici à un rapport final promis pour août, l'autorité estime que les enfants et adolescents de 4 à 19 ans ont un risque neuf fois plus élevé de souffrir de narcolepsie s'ils ont été vaccinés avec le Pandemrix. "L'association observée est si évidente qu'il est improbable que d'autres facteurs dits 'collatéraux' puissent expliquer le phénomène", selon le THL.

 

QUATRE-VINGT-DIX MILLIONS DE PERSONNES VACCINÉES

 

Le Pandemrix a été injecté à plus de 90 millions de personnes dans 19 pays lors de campagnes de vaccination contre la grippe H1N1, dont environ 2,5 millions en Finlande depuis l'automne 2009. La Suède, l'Islande et la Finlande ont rapporté une augmentation de cas de narcolepsie et lancé des enquêtes sur les raisons de ce pic, sans que le lien puisse être établi dans le cas islandais. En 2009-2010, les médecins finlandais ont diagnostiqué des cas de narcolepsie chez 60 enfants et adolescents de 4 à 19 ans, soit près de trois fois plus que lors des deux années précédentes.

 

Dans près de 90 % des cas, ceux-ci avaient été vaccinés avec le Pandemrix, et les symptômes s'étaient déclarés dans la plupart des cas de deux à dix semaines après l'injection, selon THL. En août 2010, la France avait signalé 6 cas, sans pouvoir établir de lien avec le vaccin.

 

Source : Le Monde

 

 

LA MAUVAISE NOUVELLE : LE PANDEMRIX A RISQUE

 

MARTINE BETTI-CUSSO ET CHRISTOPHE DORÉ 
07/02/2011

 

Le Pandemrix, vaccin anti H1N1 du laboratoire Glaxo SmithKline, injecté à plus de 90 millions de personnes dans 19 pays lors des campagnes de vaccinations l'an dernier, serait «probablement» responsable de la survenue de nombreux cas de narcolepsie, selon l'Institut national finlandais pour la santé. Cette affection neurologique, caractérisée par une fatigue extrême et des accès de sommeil impromptus, ne connaît pas de traitement curatif. Le Pandemrix rejoindra-t-il la liste des traitements sous surveillance ?



Source: Le Figaro

 

 

 

FINLANDE: LA VACCINATION DES ENFANTS CONTRE LA GRIPPE … PEUT-ETRE UNE ERREUR selon le médecin chef de l'Institut de Santé publique!

 

 

 

 

 

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25 janvier 2011 2 25 /01 /janvier /2011 16:27

Alison Smith Squire, Daily Mail, 24 janvier 2011. (traduction)

 

 

Une ambulancière a été paralysée après avoir reçu le vaccin contre la grippe porcine.

 

Mère de deux enfants, Sara Hornsey s’est fait vacciner parce que les services ambulanciers avaient recommandé la vaccination pour le personnel de « première ligne ».

 

Deux jours plus tard, la dame d’une trentaine d’années se réveilla terrifiée en constatant qu’elle ne sentait plus ses jambes.

 

Les médecins diagnostiquèrent une myélite transverse, complication rare, souvent associée aux vaccins. Cette complication était en fait le signe que les nerfs du canal rachidien avaient été endommagés.

 

Un an plus tard, Madame Hornsey de Little Hampton dans le Sussex de l’Ouest parvient encore à marcher à l’aide d’une canne et doit aussi avoir recours à une chaise roulante.

 

Le cas de cette dame met en évidence les risques qui peuvent être liés aux vaccins et fait apparaître la possibilité d’innombrables autres cas souffrant de complications de ce vaccin. 

 

« Ca a été terrifiant », raconte cette dame. « Initialement je pensais que mes jambes étaient simplement endormies, mais quand j’ai essayé de sortir du lit, je me suis effondrée sur le sol.»

 

« Jusqu’à ce que ceci arrive, j’avais toujours été une maman en bonne santé et toujours très active. J’étais heureuse parce que j’avais un job que j’adorais et puis… j’aimais aider les autres. »

 

Madame Hornsey a été vaccinée en novembre 2009. Cinq mois plus tard la direction des services d’ambulance – où elle travaillait depuis deux ans – l’a licenciée au lieu de lui permettre de reprendre du service à un poste de bureau.

 

Quelque temps plus tard elle vit que le département passait une annonce pour un travail de bureau et elle voulut se renseigner.

 

On lui présenta alors un travail et un dédommagement.

 

« A ce moment-là  j’avais perdu toute confiance et j’étais trop perturbée pour rentrer en service. » ajoute Madame Hornsey.

 

« La vie a été très dure. Les médecins ne savent pas si je pourrai un jour me rétablir complètement. »

 

Source: Daily Mail 

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16 janvier 2011 7 16 /01 /janvier /2011 21:42

Les choses bougent et la prise de conscience évolue, y compris dans les médias.

C'est ce qu'on peut conclure quand on voit la manière salutaire dont le titre de cet article est noté sur le site du journal anglais Daily Mail:

 

 

"Grandmother dies from swine flu AFTER she has the jab"

 

"Une grand-mère meurt de la grippe porcine APRES qu'elle ait été vaccinée."  (traduction)

 

14 janvier 2011

 

Une grand-mère, mère de 3 enfants se croyait protégée de la grippe porcine après qu'elle ait reçu le vaccin il y a quelques mois.

 

Mais Eleanor Carruthers, de Merseyside, 68 ans est devenue la dernière victime en date de l'épidémie de samedi.

 

Mme Carruthers était sérieusement malade, souffrant d'emphysème et d'un cancer du poumon mais avait reçu la vaccination en octobre pour se protéger de la maladie.

 

Malgré cela, elle a été emmenée d'urgence au Royal Liverpool Hospital la semaine passée et y est décédée un peu plus tard. Le virus H1N1 de la grippe porcine a été enregistré comme étant une des possibles causes de son décès.

 

Elle laisse derrière elle trois enfants et son mari, Alf de 69 ans. Aujourd'hui, sa fille de 46 ans, Carole, a dit qu'ils avaient tous été choqués par la rapidité avec laquelle sa santé s'est détériorée.

 

Elle a dit: " Ce que nous ne comprenons pas, c'est que maman avait reçu le vaccin en octobre, parce qu'elle était dans un "groupe à risque"."

 

"Et bien qu'elle était malade, elle allait bien jusqu'à se que sa respiration ne s'altère très rapidement ce samedi matin."

 

"Cela s'est produit si soudainement. Elle est décédée cette nuit."

 

"J'ai été malade au Nouvel An et j'avais demandé aux médecins si je devais rester à l'écart de ma mère mais ils m'ont dit que le vaccin la protégerait contre la grippe."

 

Carole ajoute: " Je me sens totalement perdue sans elle et mes deux frères Alan et John  ne savent pas quoi faire eux non plus."

 

"Mon père est également tellement perdu, il connaissait ma mère depuis qu'il avait 7 ans et cela faisait 47 ans qu'ils étaient marriés."

 

"Elle était une femme heureuse et aimante, elle se serait sacrifiée pour vous. Elle était à ce point pleine de vie que la famille sera bien vide sans elle, qui en était le centre."

 

Les services nationaux de santé (NHS, National Health Services) disent que le vaccin octroie une protection de l'ordre de 70 à 80% contre la grippe.

 

Une porte-parole de la section des soins de premières lignes de Liverpool a dit: "Bien que nous ne pouvons pas commenter des cas individuels, c'est évidemment un triste évènement pour la famille de la personne concernée et nos pensées vont à eux."

 

"Les avis des experts de l'OMS, du comité de liaison sur les vaccinations et du ministère de la santé consistent à dire que la vaccination antigrippale est une vaccination hautement efficace et le meilleur moyen pour les groupes à risque de se protéger du virus."

 

Suivant les dernières statistiques en dates, la grippe a fait 112 décès depuis octobre et le nombre d'entre eux a plus que doublé par rapport à la semaine passée.

 

Parmi ces décès, 95 personnes étaient porteuses de la souche H1N1 et la majorité d'entre eux sont survenus chez des gens de moins de 65 ans.

 

L'Agence pour la Protection de la Santé a dit que bien que les décès liés à la grippe aient plus que doublé par rapport aux 50 survenus jusqu'à la semaine passée, la plupart d'entre eux sont survenus en décembre.

 

"En raison de la surcharge de travail accumulée suite aux vacances d'hiver, ces cas ont seulement été confirmés cette semaine." a expliqué un porte-parole.

 

Le Pr John Watson, chef du service des maladies respiratoires à l'Agence de Protection de la Santé s'est exprimé en disant: " Notre dernier rapport sur la grippe suggère que le nombre de consultations pour symptômes grippaux a atteint son pic mais cela pourrait être trompeur vu la récente période de vacances."

 

Le nombre de gens en soins intensifs en Angleterre a baissé de 783 personnes la semaine dernière à 661. La majorité de ces cas concernent des adultes dans la force de l'âge avec 70 décès parmi les 15-64 ans. Il y a eu 9 cas parmi les 5-14 ans et 6 décès chez des enfants de moins de 5 ans.

 

 

Source: The Daily Mail

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16 novembre 2010 2 16 /11 /novembre /2010 00:34

Le vaccin contre le virus de la grippe H1N1 fait toujours débat.  158 cas d'effets indésirables ont été recensés entre mi- octobre 2009 et mi-février 2010.

 

12 novembre 2010

 

On a dénombré en Belgique, entre mi-octobre 2009 et mi-février 2010, 158 rapports d'effets indésirables à la suite de la vaccination contre le virus de la grippe H1N1, selon les experts de la pharmacovigilance en Belgique. Sur un total de 2,2 millions de vaccinations, le chiffre de 158 cas n'est pas énorme, indiquent les quotidiens du groupe Sud Presse, mais certains cas, comme des décès, interpellent. L'Agence européenne du médicament (EMEA) n'établit toutefois pas "de lien causal" avec le vaccin.

 

Pas de syndrome Guillain-Barré en Belgique

 

Aucun syndrome de Guillain-Barré (une maladie neurologique souvent suspectée d'être déclenchée par la vaccination antigrippe) n'a été rapporté en Belgique et la majorité des réactions indésirables sont celles prévues dans la notice du vaccin (syndrome grippal, allergies jusqu'au choc anaphylactique et des troubles neurologiques comme des névrites et des vertiges).

 

 

Source: RTL INFO 

 

 

 

Commentaires d'Initiative Citoyenne:





1°) La sous-estimation des effets secondaires des médicaments en général (dont font partie les vaccins) est NOTOIRE. C'est ainsi que la Déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance de 2003 rappelle que SEULS 3 à 5%  des effets secondaires de TOUS les des médicaments sont effectivement rapportés...

Et cette déclaration de préciser et d'expliquer les raisons concrètes et nombreuses de cette sous-notification incontestable. Dans le scénario le plus optimiste, il y a donc eu au moins 20 XPLUS d'effets secondaires suffisamment graves que pour justifier un rapport à la pharmacovigilance soit 158 X 20= 3160.

Ce nombre peut bien sûr inclure ENCORE PLUS DE DECES qui sont passer "inaperçus" et pour lesquels les familles n'ont tout simplement pas fait le lien ou ont été égarées sur des fausses pistes par un corps médical peu enclin à incriminer ce qu'il avait lui-même conseillé ou recommandé...

 



2°) Etant donné, comme expliqué ci-dessus, que ce nombre réel de VICTIMES DU VACCIN H1N1 est bien plus élevé que ce qu'on veut bien dire -n'en déplaise à Sud Presse- il est somme toute fort peu probable que l'une ou l'autre personne n'ait pas pu effectivement présenter des symptômes compatibles avec un syndrôme de type Guillain-Barré en post vaccination. Comme on peut lire dans cette déclaration de Berlin sur la pharmacovigilance, les raisons invoquées par les médecins pour ne PAS rapporter des effets sérieux sont nombreuses!



3°) L'agence européenne du médicament (EMA) n'a plus aucune crédibilité pour parler d'effets secondaires de ce vaccin dès lors qu'elle est financée à 80% par l'industrie.

 

C'est ce qu'ont bien compris un nombre croissant de citoyens, en témoigne cette réaction d'un certain Freden:

 

"L'Agence européenne du médicament (EMEA) n'établit toutefois pas "de lien causal" avec le vaccin.
Cet évident! Comment pourraient-ils y voir un lien causal puisque cela ferait le plus grand tort à l'industrie qu'ils soutiennent. Enfin, messieurs, arrêtez de prendre les gens pour des imbéciles.

 

 

Les victimes de ce vaccin- dont la vaste majorité s'ignorent, déni médical oblige- ont présenté, présentent encore ou présenteront dans un futur proche ou lointain des atteintes diverses aux conséquences variables: pour certaines des conséquences réversibles, pour d'autres des conséquences chroniques dont ils ne guériront jamais.

 

Voici, un exemple illustratif d'une issue heureuse (mais pour combien d'autres issues désastreuses vouées à l'oubli et à l'indifférence?):

 

"Mon épouse a fait une prééclampsie à 7 mois et demi de grossesse et ce quelque temps après avoir fait le vaccin anti H1N1. Cela nous avait été conseillé par notre gyné. Alors... Y a-t-il un rapport ou pas ??? Nous ne le saurons jamais. (Je rassure tout le monde, notre petite Chloé a maintenant 11 mois et elle est en pleine forme)" - Victor Moris

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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21 octobre 2010 4 21 /10 /octobre /2010 22:43

DAILY MAIL ONLINE, 16 OCTOBRE 2010

Jo Macfarlane

  

Précédemment, le gouvernement avait toujours insisté sur le fait qu'il n'y avait pas de preuves permettant d'établir un lien entre la paralysie et le vaccin H1N1.

 

Le dernier rapport du MHRA signale que la position du gouvernement aurait changé. Une légère élévation du risque de Guillain Barré (GBS) à la suite de la vaccination H1N1 ne pourrait plus être exclue. Les études épidémiologiques se poursuivent pour vérifier cette possibilité.

 

On ne sait pas exactement ce qui provoque la paralysie (GBS) mais la maladie attaque la gaine des nerfs, ne leur permettant plus de transmettre correctement les signaux aux muscles

 

 * * *

 

Madame Hilary Wilkinson, 58 ans mère de deux enfants a développé un GBS après une infection des poumons. Elle a dû être hospitalisée pendant 3 mois pour réapprendre à parler et à marcher. Elle déclare: " C'est une maladie terrible. Je pense que davantage de recherches doivent être réalisées sur les effets possibles du vaccin contre la grippe".

 

Source: Daily Mail

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27 août 2010 5 27 /08 /août /2010 18:06

(27/08/2010 09:26)

PARIS (AFP)

  

Six cas de narcolepsie chez des personnes vaccinées contre la grippe pandémique A/H1N1 ont été signalés en France, a annoncé jeudi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps).

 

La narcolepsie avec cataplexie est une maladie rare caractérisée par des accès de sommeil dans la journée associés à des "attaques de cataplexie", de brusques relâchements du tonus musculaire, déclenchées par une forte émotion.


Cinq de ces cas sont survenus après l'administration du vaccin Pandemrix produit par le laboratoire pharmaceutique britannique GlaxoSmithKline (GSK) et un après l'administration du vaccin Panenza de Sanofi-Pasteur (groupe Aventis).


"A ce stade, un lien entre la vaccination contre la grippe A/H1N1 et la survenue de narcolepsie na pas été établi", souligne dans un communiqué l'Afssaps, précisant que les cas français sont survenus chez 3 enfants et 3 adultes.

 

"Il s'agit, comme dans d'autres pays, de vaccinations qui remontent à plusieurs mois", a précisé Carmen Kreft-Jais de l'Afssaps.


"Dès lors que l'attention est attirée par un signal - lancé par Suède il y a dix jours - les cas de narcolepsie, qui se trouvent aux mains des neurologues spécialistes de cette maladie, remontent vers l'Afssaps", ajoute-t-elle pour expliquer que ces cas aient été signalés à l'Afssaps seulement lundi.


En France, près de 6 millions de personnes ont été vaccinées, rappelle-t-elle.

 

L'agence ajoute que ces données et celles concernant l'ensemble des cas européens "font actuellement lobjet dune évaluation par l'agence européenne du médicament (EMEA)* en collaboration avec les autorités de santé européennes, dont l'Afssaps".

 

En Europe, la prévalence de la narcolepsie (avec cataplexie) est de 20-30 cas pour 100.000 personnes. Il y a annuellement "de lordre de 7 à 8 nouveaux cas par million" d'habitants, "soit en France lapparition denviron 500 nouveaux cas par an", note l'Afssaps.


Depuis l'information diffusée le 18 août par lagence suédoise (6 cas de narcolepsie un à deux mois avec la vaccination avec Pandemrix d'enfants âgés de 12 à 16 ans), des cas de narcolepsie ont été signalés en Finlande (6 cas) et maintenant en France.


L'agence suédoise a reçu par ailleurs 4 nouvelles notifications, indique l'Afssaps.


"A ce jour, au total, 22 cas de narcolepsie ont été signalés en Europe après vaccination".

 

L'ensemble de ces données de pharmacovigilance est analysé et évalué par lagence européenne (EMEA) en collaboration avec les autorités de santé européennes.

 

Plus de 30 millions de personnes ont été vaccinées en Europe, rappelle l'Afssaps.

 

* Agence Européenne du médicament (EMEA)= agence financée à plus de 70% par l'industrie.

 

Source: la DH

 

 

Suite à ces "révélations", il fallait coûte que coûte prendre l'avis des "spécialistes" officiels. Au micro de la RTBF, le coordinateur stratégique de la cellule Influenza, le Dr Reynders:

  

 

 

Et cette "gentille" cellule Influenza qui essaie encore de vanter le bon fonctionnement de la pharmacovigilance (alors qu'il ne s'agit déjà plus que d'un simple plan de "gestion des risques"), il fallait oser!

 

 

L'avis du Dr Marc Girard, spécialiste en pharmacovigilance et en pharmaco-épidémiologie, sur ces cas de narcolepsie:  ICI

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