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6 décembre 2017 3 06 /12 /décembre /2017 23:10

C'est important de le signaler, en cette époque où les "experts" officiels acculés et leurs amis des médias, se plaisent à fustiger les "antivaccins" comme ils les appellent, ceux qui seraient soi disant dans le complotisme, le non sérieux absolu etc etc. Sauf qu'il ne fallait pas être devin pour annoncer que le vaccin contre la dengue, promu avec la complicité de l'OMS, serait un désastre et un danger de plus pour toutes les populations qui le recevraient. Et c'est ce que notre collectif citoyen indépendant avait dit et expliqué, arguments scientifiques à l'appui dès 2012.

Désastre du vaccin contre la dengue Dengvaxia: nous avions vu juste (il y a déjà 5 ans!)

Petit rappel des faits sur les titres et contenus extrêmement explicites que nous avions publiés: en 2012 déjà puis, en 2014.

 

Futur vaccin contre la Dengue: grand espoir ou grosse désillusion en perspective?

 

Vaccin contre la Dengue de Sanofi: un désastre en perspective? 

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

Et voici à présent ce qui arrive quand on fait confiance aux prétendus experts officiels et à toute leur "science": 

 

Le vaccin contre la dengue est dangereux pour certains malades

La dengue, maladie potentiellement mortelle, est tranmsise par le moustique Aedes aegypti. 122345770/frank29052515 - stock.adobe.com

La dengue, maladie potentiellement mortelle, est tranmsise par le moustique Aedes aegypti. 122345770/frank29052515 - stock.adobe.com

Anne-Laure Lebrun, 4 décembre 2017.

Une étude du fabricant Sanofi Pasteur montre un surrisque de cas de dengue sévère après la vaccination chez des personnes n’ayant aucun antécédent de cette maladie virale.

La campagne de vaccination massive contre la dengue a été suspendue ce vendredi aux Philippines, le fabricant français Sanofi ayant prévenu que le vaccin Dengvaxia pouvait dans certains cas aggraver la maladie. Ce risque mis en évidence par une nouvelle étude menée par le laboratoire qui devrait être publié prochainement avait déjà été souligné en juillet 2016 par des experts français réunis au sein du Haut Conseil à la Santé Publique (HSCP).

L’archipel des Philippines est devenu en 2016 le premier pays à utiliser à grande échelle ce vaccin conférant une protection contre les 4 souches de ce virus potentiellement mortel. Autorisé chez les individus de 9 à 45 ans, le vaccin a d’ores et déjà été administré à quelque 500.000 enfants dans le pays.

Il faut dire que la promesse de ce premier vaccin contre la dengue est grande: «prévenir 8 hospitalisations liées à la dengue sur 10, et jusqu’à 93 % des cas de dengue sévère, dont une forme rare mais potentiellement mortelle appelée dengue hémorragique», a assuré Sanofi lors de l’annonce du lancement de cette campagne de vaccination.

Mais un an plus tard, le laboratoire est forcé de faire machine arrière. Une analyse à long terme montre qu’il existe des «écarts de performance» entre les personnes déjà infectées par le virus et celles qui ne l’ont jamais contracté. Le vaccin protège effectivement les premières contre la dengue et les manifestations sévères qu’elle peut entraîner. En revanche, chez les personnes vaccinées qui n’ont aucun antécédent de dengue, on constate «davantage de cas sévères de dengue» lorsqu’elles sont exposées au virus.

Un risque connu

Dans un avis rendu en juillet 2016, le HCSP a évoqué ce risque d’une exacerbation de la dengue chez des patients dits naïfs. Ils ont alors expliqué que les analyses intermédiaires des essais de phase 3 suggéraient «un risque relatif accru d’hospitalisation pour dengue chez les enfants vaccinés les plus jeunes par rapport aux non vaccinés».

Questionnés sur l’intérêt d’introduire ce vaccin sur l’île de la Réunion et Mayotte, les experts du HCSP ont alors répondu par la négative, jugeant que ces territoires sont trop peu exposés à ce virus pour être considérés comme des zones endémiques et en tirer bénéfice.

Cette accumulation de preuves a maintenant convaincu les Philippins d’interrompre ce programme de vaccination. «À la lumière de cette nouvelle analyse, le ministère de la Santé va suspendre le programme de vaccination dans l’attente de consultations avec les experts, les parties prenantes et l’Organisation mondiale de la santé», a déclaré le gouvernement dans un communiqué.

De son côté, le laboratoire Sanofi va demander aux agences réglementaires des pays où le vaccin est approuvé (Mexique, le Brésil et le Salvador) de mettre à jour les notices. Cette nouvelle version précisera que la vaccination «n’est pas recommandée aux personnes n’ayant aucun antécédent d’infection par le virus de la dengue».

Chaque année dans le monde, 390 millions de personnes seraient infectées par cette maladie infectieuse transmise par le moustique Aedes aegypti, selon l’OMS. Parmi elles, 500.000 personnes atteintes de dengue sévère, dont une très forte proportion d’enfants, nécessitent une hospitalisation, et environ 2,5 % en meurent.

Source : Le Figaro

 

Vaccin anti-dengue suspendu :

les Philippines se préparent "au pire"

 

Les Philippines sont préparées à un "scénario catastrophe" suite aux annonces selon lesquelles le vaccin anti-dengue administré à des milliers d'enfants pourrait aggraver la maladie dans certains cas, a déclaré samedi le ministère de la Santé.

© NOEL CELIS / AFP

© NOEL CELIS / AFP

"Le ministère de la Santé est préparé à un scénario catastrophe", a déclaré Eric Tayag, porte-parole du ministère de la Santé, sur la chaîne de télévision ABS-CBN, un jour après avoir annoncé la suspension de son programme de vaccination de masse. M. Tayag a indiqué que le pays avait déjà pris des précautions contre de potentiels incidents, lorsque le pays est devenu le premier à utiliser ce vaccin inédit en 2016.

Un vaccin déconseillé 

Le groupe pharmaceutique français Sanofi, fabricant du vaccin, a déconseillé mercredi dans un communiqué l'utilisation du Dengvaxia, premier vaccin contre la dengue autorisé dans le monde, aux personnes n'ayant jamais été infectées.
 

Zone où la dengue était répandue

Les Philippines ont vacciné plus de 733.000 enfants contre le virus, ce qui fait craindre que beaucoup d'entre eux puissent développer la forme la plus sévère de la maladie potentiellement mortelle. M. Tayag a indiqué que le gouvernement avait pris soin de ne mettre en œuvre le programme de vaccination que dans les zones où la dengue était déjà répandue et ne l'avait donné qu'aux enfants âgés de neuf ans ou plus. "Ils sont suivis pour les effets indésirables après la vaccination", a-t-il dit.

© AFP Dengvaxia

© AFP Dengvaxia

M. Tayag a ajouté que le ministère, qui avait précédemment déclaré qu'il n'y avait pas de cas d'infection aggravée chez les personnes vaccinées, vérifiait également les cas graves de dengue dans les hôpitaux. Mais Sanofi a déclaré que de tels cas de dengue aiguë ne deviendraient visibles que cinq ans après la vaccination, a ajouté M. Tayag. Le laboratoire pharmaceutique avait initialement annoncé que son vaccin était "crucial" dans la lutte contre la dengue, le plus répandu des virus transmis par les moustiques dans le monde.

Avantages de Dengvaxia

Sanofi a indiqué mercredi qu'une nouvelle étude a confirmé les avantages de Dengvaxia pour "ceux qui avaient eu une infection antérieure". Cependant, "pour ceux qui n'étaient pas précédemment infectés (...), l'analyse a révélé qu'à plus long terme, davantage de cas de maladie grave pourraient survenir après la vaccination en cas d'infection à la dengue". Un millier de Philippins sont morts de la dengue en 2016 sur 211.000 cas, selon les statistiques officielles.

Source : Franceinfo.tv

Hallucinant de bêtise : car évidemment, les personnes précédemment infectées n’ont pas d’intérêt à se faire vacciner ; et celles encore non infectées non plus. > Sanofi a donc empoché des millions d’euros pour « offrir » uniquement un désastre sanitaire de plus au monde mais à part ça, ce genre de firme se profile avec des slogans comme « l’essentiel, c’est la santé. Franchement, qui les croit encore ?

 

Voir aussi :

Vaccin contre la dengue: Les Philippines réclament 51 millions à Sanofi

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur/OMS : « On ne sait pas comment marchent les  vaccins ! »

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

Mary Holland, prof de droit à l'université de New York, interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg

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30 novembre 2017 4 30 /11 /novembre /2017 23:13

La Ministre Agnès Buzyn, qui ne pense décidément qu'au business des pharmas, imaginait sans doute qu'avec tous ses mensonges sur les vaccins, ça serait "ça passe ou ça casse" (mentez, mentez, il en resterait quand même toujours qqch...)! Force est maintenant de constater de plus en plus, que ça casse, ça casse et maintenant, cela explose même! En témoigne par exemple cette vidéo du Pr Chris Exley, un chercheur britannique réputé qui a beaucoup étudié cette question de la toxicité de l'aluminium, un des composants notoires d'une majorité de vaccins. Ce professeur explique notamment que de l'aluminium a été retrouvé en doses importantes dans le cerveau de patients autistes...

Vidéo réalisée par l'association E3M (site http://www.asso-e3m.fr/)

A présent, confrontons les propos du Pr Exley avec les mensonges éhontés d'Agnès Buzyn: voir ici !! Quel contraste, n'est-ce pas... et dire que cette personne a en charge l'avenir sanitaire des générations futures...

 

Il faut réellement être soit aveugle, soit de mauvaise foi, pour oser encore nier de nos jours que les risques graves des vaccins à base d'aluminium (pas qu'eux, mais eux également!) sont notoirement sous-estimés. Ecoutons la sénatrice Laurence Cohen pour bénéficier d'une grande bouffée de bon sens! La réponse de Buzyn par contre est une fois encore émaillée d'une litanie de mensonges. Par exemple, oser décréter que le problème des syndromes de type "myofascite à macrophage" ne serait que franco-français, se référer à l'OMS comme au comble du sérieux (cf cette rubrique OMS sur notre site pour mieux se rendre compte du ridicule, ou plutôt de la tragédie...)

Si la situation n'était pas aussi lourde et grave pour la santé de milliers d'enfants qui chaque jour, risquent le handicap irréversible avec cette politique scandaleuse, on pourrait se contenter de dire qu'à ce train-là, Agnès Buzyn pourra aller chercher son costume de Pinocchio pour le prochain Carnaval. Mais là, il y a urgence, urgence de comprendre, de lire, de s'informer, de dénoncer, de signer et de partager des pétitions comme celle par exemple de Nathalie Beaufrère, qui dénonce à si juste titre "le mensonge HALLUCINANT de la Ministre Agnès Buzyn". Pourquoi aussi, ne pas reprendre le problème à la racine, et lutter pied à pied contre cette désinformation mortifère, en organisant par exemple chez vous des "soirées tupperware", avec des petites vidéos qui démasquent littéralement l'enfumage intolérable des officiels sur les vaccins. Epluchez notre site, vous en trouverez de très nombreuses. La vérité n'a pas besoin de béquilles ou de mille et un commentaires, elle s'offre d'emblée par la confrontation pure et simple des menteurs.

 

SIGNEZ CETTE PETITION: ICI

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26 novembre 2017 7 26 /11 /novembre /2017 08:44

Voici ci-dessous, une vidéo traduite en français, de l'intervention du Dr Suzanne Humphries, néphrologue, au sujet de la rougeole et du vaccin (ROR):

Pour d'autres toutefois, le virus de la rougeole représente en revanche une véritable aubaine, comme base de diverses manipulations de laboratoires, pour assembler d'autres mix de virus en vue de la fabrication d'autres vaccins (considérant ainsi le virus rougeoleux comme un "véhicule/vecteur de vaccinations")... regardez à ce propos, à partir de la 13e minute de la vidéo suivante de l'INSERM:

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11 novembre 2017 6 11 /11 /novembre /2017 10:36

Les Pr Joyeux et Montagnier contre la « dictature vaccinale »

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6 novembre 2017 1 06 /11 /novembre /2017 23:15

FACULTE DE MEDECINE DE YALE :

Troubles neuropsychiatriques associés aux vaccins

Par Lori M. Gregori – Health Impact News, 15 septembre 2017

Troubles neuropsychiatriques associés aux vaccins

En fonction des résultats d’une étude pilote publiée dans Frontiers in Psychiatry/ Child & Adolescent Psychiatry [1] publiée le mois dernier, des questions se posent à propos des enfants chez lesquels on a diagnostiqué des troubles neuropsychiatriques en association avec les vaccinations.

L’étude, menée par des chercheurs de la Faculté de médecine de l’Université de Yale et du Département des Sciences en Santé Publique (Collège de médecine de médecine de l’Université de Pennsylvanie) repose sur le principe selon lequel le système immunitaire joue un rôle clé dans le développement normal du cerveau et dans la pathologie de plusieurs troubles neuropsychiatriques. En conséquence, les troubles auto-immuns et inflammatoires affectant le système nerveux se sont révélés « temporellement associés à l’administration antécédente de divers vaccins. »

Les données suggèrent un lien entre le vaccin antigrippal et le diagnostic « d’Anorexia Nervosa »

Les chercheurs ont examiné l’association entre l’administration de vaccins chez des enfants âgés de 6 à 15 ans qui ont été diagnostiqués avec des anomalies d’anorexie mentale, des troubles obsessionnels compulsifs (TOC), des tics, des troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité (TDAH), troubles dépressifs majeurs et troubles bipolaires.

Ce qu’ils ont découvert, ce sont des données qui suggèrent que les enfants récemment diagnostiqués avec anorexie mentale étaient davantage susceptibles d’avoir été vaccinés au cours des 3 mois précédents par rapport au groupe témoin.. Ils ont également constaté que les enfants vaccinés contre la grippe au cours des 3, 6 et 12 mois précédents présentaient aussi un diagnostic d’anorexie mentale, des TOCS, ainsi que des troubles anxieux.

Plusieurs autres associations ont également été significatives, y compris les corrélations entre l’hépatite A avec anorexie mentale et TOC ; hépatite B avec anorexie mentale et méningite, avec anorexie mentale et TOC chronique.

Les principaux résultats suggèrent que les enfants atteints de TOC, d’anorexie mentale, de troubles anxieux étaient davantage susceptibles d’avoir reçu un vaccin antigrippal au cours de l’année précédente.

Le Tribunal spécial des réclamations des Etats-Unis reconnait une augmentation de 1188% des payements accordés pour dommages de santé causés par le vaccin antigrippal

La découverte d’un lien possible entre le vaccin contre la grippe et les troubles neurologiques est significative dans cette étude, en particulier compte tenu du fait que le Tribunal spécial des réclamations des Etats-Unis  a connu une augmentation de 1188% de payements pour dommages de santé à la suite du vaccin contre la grippe, et ce, de 2014 à 2015. [2, 3]

(C’est en 1986 que le Congrès Américain a adopté une loi qui garantit aux firmes pharmaceutiques une protection juridique contre toute poursuite. De ce fait, les Américains dont la santé a été endommagée doivent intenter une action en justice contre le Gouvernement des Etats-Unis et ce, par l’intermédiaire d’un Tribunal spécial (pour réclamations).

L’étude de Yale/Penn State cite également le rapport Karussis [4] qui constate que l’apparition de certains troubles auto-immuns et inflammatoires affectant le système nerveux central a été associée à divers vaccins, y compris le purpura thrombocytopénique idiopathique, l’encéphalomyélite aiguë disséminée, le syndrome de Guillain-Barré et autres problèmes [5]. Des données récentes sont apparues, indiquant une association entre l’administration du vaccin contre la grippe H1N1 et le nouveau déclenchement de la narcolepsie dans plusieurs pays du nord de l’Europe [6-11]

Les chercheurs ont également mentionné qu’il y avait des limites dans la façon dont les données étaient signalées aux compagnies d’assurance et qui rendent difficile la compréhension complète de la portée du risque.

A titre d’exemple,  ils n’ont pas été en mesure d’identifier des risques spécifiques, étant donné que de nombreux fournisseurs d’assurance désignent les codes de facturation pour les vaccins en général, sans préciser le vaccin particulier dont il s’agit. Ils utilisent également des données administratives qui ont des variables qu’ils ne peuvent identifier, y compris le fait que les vaccins de la petite enfance sont regroupés au cours de 15 premiers mois de la petite enfance, et sont donnés à différents moments, et dans différentes combinaisons.

Les données de 2002-2007 ont été utilisées pour l’étude de Yale/Penn State, qui contenait un échantillon d’enfants assurés privés dans chaque groupe de diagnostic neurologique, et qui ont été inscrits à l’école pendant au moins un an avant leur premier diagnostic. Les auteurs expliquent également le fait que les vaccins sont administrés de façon saisonnière (avant les camps d’été ou le début de l’école), en exigeant que les témoins aient eu une visite chez le médecin, alors qu’aucun vaccin ne devait pas avoir été administré dans les 15 jours avant la date à laquelle le premier diagnostic de la maladie avait été posé. Les sujets devaient correspondre à des contrôles selon l’âge, le sexe, la zone géographique et la saison.

Pour tester la spécificité des modèles, les chercheurs ont également inclus des enfants présentant des fractures et des plaies ouvertes.

Ceux d’entre nous qui cherchent à obtenir une indemnisation pour dommages vaccinaux sont souvent mis en difficulté par le fait que les scientifiques et les médecins refusent souvent, par peur de répercussions professionnelles, de témoigner, a déclaré Robert Krakow qui représentait des familles au Tribunal des vaccins.

« En outre, de nombreux professionnels de santé ne sont pas formés à reconnaître les dommages liés aux vaccins, attribuant souvent l’étiologie des troubles à des causes inconnues ou d’origine psychologique. Tous ces problèmes intimident et dissuadent les plaignants, ainsi que les professionnels de la santé de se présenter.

En outre, même le gouvernement admet que le programme de compensation des dommages a été diffusé de manière inadéquate, en violation de la loi sur les vaccins. Ces facteurs contribuent tous, à notre point de vue, à réduire très fort le nombre de cas qui se présentent au tribunal pour obtenir un dédommagement. »

Les partisans de la liberté médicale savent lire entre les lignes

Comme c’est souvent le cas dans des journaux scientifiques qui publient des données qui remettent en question le système vaccinal, les auteurs se montrent très prudents pour faire définitivement des allégations substantielles en déclarant rapidement que les résultats « justifient une enquête approfondie. » Ils utilisent un langage particulier destiné à informer la communauté médicale et le monde entier que les découvertes qui leur sont présentées sont effectivement « très modestes ».Ces documents indiquent en outre que le lien entre autisme et vaccin a été de manière convaincante complètement écarté, malgré qu’une partie du public persiste à voir un lien entre les deux. » Cependant, les experts et membres de la communauté qui revendiquent la liberté médicale savent que les scientifiques, les chercheurs – quand il s’agit de remettre en question le système de vaccination en général, restent souvent cantonnés dans un langage standard, des formules toutes faites pour qu’en fin de compte leurs recherches soient finalement publiées. L’étude Yale/ Penn ne fait pas exception. Ce fait apparait clairement dans la dernière phrase des auteurs quand ils disent clairement que «  nous encourageons les familles à suivre les recommandations ayant trait au calendrier vaccinal du CDC ».

Les partisans de la liberté vaccinale reconnaitront facilement dans ce langage une certaine mesure protectionniste pour empêcher que les auteurs ne subissent le même sort que Wakefield (« Wakedielded »), terme qui est apparu quand le Dr Andrew Wakefield a perdu sa licence médicale pour des raisons douteuses, alors qu’il avait entrepris d’examiner un lien possible entre la santé gastro-intestinale, l’autisme et le ROR.

Les médias traditionnels ignorent les résultats de l’étude Yale/Penn State sur le vaccin

Malheureusement, les résultats de l’étude de YalePenn State ont été largement ignorés par les médias traditionnels, malgré la volonté du président Trump de répondre publiquement aux préoccupations du public concernant les vaccinations. La semaine dernière, Robert Kennedy et Robert De Niro se sont tenus côte à côte au National Press Club offrant une récompense de 100.000 $ à tout journaliste qui pourrait prouver que la composante thimerosal des vaccins était sans danger. Ceci a également été largement ignoré par les médias traditionnels, à l’exception du récit « débile » occasionnel qui émerge chaque fois de façon prévisible chaque fois que quelqu’un cherche à se poser des questions sur l’industrie pharmaceutique.

Alors que l’étude, qui était une analyse épidémiologique pilote, déduit qu’il existe suffisamment de données convaincantes reliant l’apparition de certains troubles neuropsychiatriques, on soulève la question « Quoi de neuf ? »

Les chercheurs de l’étude de Yale Penn State indiquent que les prochaines étapes nécessiteront une réplication sur une base de population plus importante reprenant des facteurs variables tels que l’origine génomique et épigénomique des individus, le microbiome, et autres facteurs, y compris les vaccinations administrées.

Références

[1] Temporal Association of Certain Neuropsychiatric Disorders Following Vaccination of Children and Adolescents: A Pilot Case–Control Study, Frontiers in Psychiatry.

[2] U.S. Special Claims Court, 2014-2015 Vaccine Court Judgment Report, http://www.uscfc.uscourts.gov/reports-statistics.

[3] U.S. Vax Court Sees 400% Spike in Vaccine Injuries,
Flu Shot Wins Top Honors for Biggest Payout, The Mom Street Journal, Nov., 2016, http://www.themomstreetjournal.com/increase-in-vaccine-injuries/

[4] Karussis D, Petrou P. The spectrum of post-vaccination inflammatory CNS demyelinating syndromes. Autoimmun Rev (2014) 13(3):215–24. doi:10.1016/j.autrev.2013.10.003

[5] Pellegrino P, Carnovale C, Perrone V, Pozzi M, Antoniazzi S, Clementi E, et al. Acute disseminated encephalomyelitis onset: evaluation based on vaccine adverse events reporting systems. PLoS One (2013) 8(10):e77766. doi:10.1371/journal.pone.0077766

[6] Pellegrino P, Carnovale C, Pozzi M, Antoniazzi S, Perrone V, Salvati D, et al. On the relationship between human papilloma virus vaccine and autoimmune diseases. Autoimmun Rev (2014) 13(7):736–41. doi:10.1016/j.autrev.2014.01.054

[7] Perricone C, Ceccarelli F, Nesher G, Borella E, Odeh Q, Conti F, et al. Immune thrombocytopenic purpura (ITP) associated with vaccinations: a review of reported cases. Immunol Res (2014) 60(2–3):226–35. doi:10.1007/s12026-014-8597-x

[8] Prestel J, Volkers P, Mentzer D, Lehmann HC, Hartung HP, Keller-Stanislawski B, et al. Risk of Guillain-Barre syndrome following pandemic influenza A(H1N1) 2009 vaccination in Germany. Pharmacoepidemiol Drug Saf (2014) 23(11):1192–204. doi:10.1002/pds.3638

[9] Rinaldi M, Perricone C, Ortega-Hernandez OD, Perricone R, Shoenfeld Y. Immune thrombocytopaenic purpura: an autoimmune cross-link between infections and vaccines. Lupus (2014) 23(6):554–67. doi:10.1177/0961203313499959

[10] Heier MS, Gautvik KM, Wannag E, Bronder KH, Midtlyng E, Kamaleri Y, et al. Incidence of narcolepsy in Norwegian children and adolescents after vaccination against H1N1 influenza A. Sleep Med (2013) 14(9):867–71. doi:10.1016/j.sleep.2013.03.020

[11] Partinen M, Kornum BR, Plazzi G, Jennum P, Julkunen I, Vaarala O. Narcolepsy as an autoimmune disease: the role of H1N1 infection and vaccination. Lancet Neurol (2014) 13(6):600–13. doi:10.1016/S1474-4422(14)70075-4

Source: Vaccine Impact

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27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 22:04

À lire avant de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale

Senta Depuydt

Article paru dans le journal Alternative Santé nº 50

À lire AVANT de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale!!

Nous relayons une tribune qui a été rédigée pour informer les parlementaires des enjeux autour de la loi sur la vaccination qui sera très prochainement voté: il résume des réalités trop souvent occultées dans les débats publics autour de la vaccination. 
 

Ce texte est signé par

INFO VACCINS France, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, le REVAHB (association des victimes du vaccin Hépatite B), Senta Depuydt, Dr Nicole Delépine, Dr Michel de Lorgeril, Lucienne Foucras, Bernard Guennebaud, Jean-Pierre Eudier, Thierry Fenoy, Lucie Michel (Les Mamans courage), Raphaël Sirjacobs & Béatrice Dupont (Parents de Stacy), Patrice Maillard.

Pour trouver le député de votre circonscription et lui transmettre toutes ces informations essentielles par mail, vous pouvez vous rendre sur ce site. 

Vous pouvez également trouver et contacter votre sénateur sur ce site

 

L’obligation vaccinale n’est pas une nécessité de santé publique. Tandis que la Suède a déclaré cette pratique non constitutionnelle plus tôt dans l’année, Angela Merkel vient de se prononcer contre une telle mesure et de rappeler l’importance du libre choix des citoyens sur cette question.


Ci-dessous, plusieurs choses à savoir avant d'engager votre responsabilité sur une loi imposée dans la précipitation et sans concertation.   

Effets secondaires non rapportés et dommages neurologiques graves pour les vaccins soumis au vote de l’Assemblée.


ROR (Priorix – laboratoire GSK)


Une collaboration Cochrane de 2012 souligne le caractère « largement inadéquat» des tests d’évaluation de sûreté, après avoir constaté que le vaccin ROR augmentait le risque de survenue de méningite non infectieuse (aux conséquences parfois létales) par 14, même si certaines études parlent d’un risque multiplié par 25 (études concernant 15 millions d’enfants). (1)


Vaccins combinés : Infanrix Hexa (GSK) + Prevenar (Wyeth-Pfizer). 
Le risque de dommages neurologiques graves liés à l’administration simultanée de ces deux vaccins est multiplié par 3 ! (2)


Infanrix Hexa (Hexavalent GSK)

Le rapport de suivi de 2011 de GSK à l’AEM a dénombré plus de 825 effets secondaires : 503 effets secondaires, dont 56 effets secondaires graves, n’avaient pas été déclarés avant la mise sur le marché du vaccin. (3a) 

Vaccin Hépatite B 

Les données de la Commission nationale de pharmacovigilance faisaient état chez l’enfant de moins de 15 ans, en 2010, de 117 notifications d’affections démyélinisantes centrales (dont 67 cas de sclérose en plaque) et de 24 cas d’atteintes périphériques (Syndrome de Guillain-Barré) après la vaccination hépatite B. Malgré les demandes des associations, ces données chiffrées ne sont pas accessibles sur la période ultérieure (3b).


En outre, tous vaccins confondus « seuls 1 à 10 % des effets secondaires graves seraient rapportés », d’après notamment La Revue du praticien (4, 5).


Il est urgent de mener une évaluation sérieuse de la sécurité des vaccins pédiatriques, notamment concernant les risques de dommages neurologiques graves. Sinon, il est impossible de déterminer une quelconque balance bénéfices/risques.

Décès par vaccins pédiatriques 


Hexyon – Hexavac (Sanofi)


Mis sur le marché en 2000 et retiré en 2005 suite à une augmentation élevée du nombre de décès dans les deux jours suivant la vaccination. (6) Le vaccin Hexyon qui le remplace semble être identique à part un taux d’aluminium plus élevé. Est-il plus sûr ? 


Infanrix Hexa : 


- D’après le rapport de suivi de 2011, on peut dénombrer 73 cas de décès depuis la mise sur le marché du vaccin en 2000. (7, 8)


- Un nombre de décès, pourtant signalés dans le 16e rapport de suivi de GSK à l’Agence Européenne du Médicament, ont disparu de la « comptabilité » du 19e rapport par des jeux d’écriture. En minimisant ainsi le risque de décès suivant la vaccination, le rapport contrevient à un devoir de transparence. Cette nécessaire transparence aurait pu conduire à son retrait du marché, comme ce fut le cas pour l’Hexavac. (9). 


Suite à un nombre élevé de décès rapportés pour le vaccin pentavalent, l’OMS a modifié les critères de notification des effets secondaires en abandonnant la « classification de Brighton », un standard international créé en 2000 pour évaluer la sécurité des vaccins. En pratique, il est depuis devenu presque impossible de notifier des décès post-vaccinaux. (10)


Il est urgent de mener des études sérieuses sur l’administration des vaccins hexavalents et la mort subite du nourrisson. 

 

L’éradication de la rougeole a peu de chances d’être atteinte, même avec 100 % de couverture vaccinale.

- Le vaccin ROR est peu efficace. Seuls 25 % des vaccinés sont encore immunisés après 10 ans. (11). L’immunité vaccinale est largement inférieure à l’immunité naturelle acquise par la maladie et la durée de l’immunité par la vaccination ne cesse de décliner. (12, 13)

- Entre 2 et 10 % des personnes ne « répondent pas à la vaccination», quel que soit le nombre d’injections administrées (raisons génétiques) (14).

- Le virus de la rougeole circule aussi de manière silencieuse, sans présentation de signes cliniques manifestes de la maladie. Cette circulation silencieuse existe chez les vaccinés et les non-vaccinés. (15) Il est inutile de calculer les taux de couverture vaccinale requis pour l’élimination d’une maladie, si la vaccination n’est pas entièrement efficace et que celle-ci circule de manière invisible. Ce fait extrêmement important a été présenté dans la communication de Mr Bernard Guennebaud, mathématicien, au Congrès d’Épidémiologie de la Sfsp-Adelf à Amiens, le 6 octobre dernier. (16).


En diminuant l’immunité générale à long terme, la vaccination a aussi augmenté le risque et la gravité de la rougeole pour les catégories plus fragiles. Les nouveau-nés courent de plus grands risques, car les mères n’ont plus l’immunité solide acquise par la maladie naturelle. La rougeole à l’âge adulte entraîne des complications plus importantes. (17, 18, 19, 20).Dans quelques années, nous risquons de voir la première génération de seniors n’ayant pas eu la rougeole naturelle. Que se passera-t-il pour eux ? Ces faits résultent de la vaccination.


Selon les rédacteurs de la revue Vaccine :

« En réalité, on ne peut savoir si l’élimination de la rougeole peut effectivement être atteinte et maintenue. Il y a des limites de l’approche en termes d’immunité collective, qui ignore la variabilité individuelle dans la réponse immunitaire et la disposition génétique des uns ou des autres à réagir à la vaccination ou à souffrir d’effets indésirables » (21). 


Faible efficacité des vaccins pédiatriques 

- Le vaccin contre les oreillons. Les épidémies dans les campus américains l’ont confirmé, car tous les sujets affectés avaient été vaccinés : l’immunité a disparu et le risque s’est déplacé vers l’âge où la maladie entraîne plus de conséquences lourdes (stérilité). (22)

- Le vaccin contre la coqueluche. Le bacille Bordetella pertussis mute vers des souches plus virulentes. Les épidémies circulent malgré une forte couverture vaccinale.(23, 24)

- Le vaccin contre la polio. Toutes les épidémies de polio actuelles sont dues à des virus vaccinaux qui ont muté et retrouvent leur virulence. (25) En Inde, la campagne polio Pulse a fait 50 000 cas de paralysie flasque aiguë. (26). Tout comme pour la rougeole, une éradication de la polio est peu probable.

- Le vaccin contre les pneumocoques n’est actif au mieux que sur quelques-unes des 100 souches. Après avoir constaté l’augmentation des cas suite aux campagnes avec Prevenar 7, on est passé à un vaccin avec 13 souches. (27a).

- Le vaccin contre l’hépatite B n’est pas pertinent pour les nourrissons. D’une part parce que le virus se transmet principalement par voie sanguine ou sexuelle. D’autre part parce que de nombreuses études constatent non seulement une disparition des anticorps anti hépatite B 5 à 15 ans après l’acte vaccinal, mais aussi parfois une moindre efficacité du vaccin lors des rappels à l'adolescence, période où il serait le plus nécessaire (27b).


Les concepts de couverture vaccinale et d’immunité collective ne sont pas pertinents pour le vaccin contre le tétanos (non contagieux). En outre toutes les maladies contagieuses ont disparu grâce à l’hygiène, l’eau potable, la nutrition et leur cycle d’évolution naturel. Dans certains cas, comme la variole, le succès a été obtenu par une politique efficace de détection et d’isolement des cas et de leurs proches. (Rapport de l’OMS sur la variole) (Voir les ouvrages de Michel Georget détaillant ceci pour toutes les maladies.) (28)


Il est indispensable de réévaluer l’utilité de la vaccination pour ces maladies et de développer des stratégies alternatives visant à renforcer l’immunité naturelle de la population.

 
La jurisprudence récente évolue en faveur des victimes


La Cour Suprême des États-Unis a estimé que les vaccins sont « inévitablement risqués » (« unavoidably unsafe ») (29). Entre 1988 et 2011, le gouvernement américain a ainsi dû payer 3,5 milliards de dollars en compensation de 16 600 cas d’accidents vaccinaux (pour 1 300 d’entre eux, des problèmes cérébraux) et 1 200 morts liées aux vaccins. (30)

La Cour de Justice de l’Union européenne a refusé d’exclure le lien entre sclérose en plaques et vaccination contre l’hépatite B, et rendu un jugement de principe selon lequel un faisceau d’indices « graves, précis et concordants » peut suffire en l’absence de consensus scientifique. (Vaccin hépatite B de Sanofi) (31). 

Ce jugement confirme qu’il n’est plus acceptable d’imposer toute la charge de la preuve aux plaignants s’ils ne peuvent s’appuyer que sur des éléments susceptibles d’être produits par la partie adverse. 


Il est urgent d’évaluer en termes humains et financiers l’ensemble du coût des campagnes de vaccination et montants d’indemnisation pour dommages subis et de le comparer au coût du traitement des maladies. Supprimer l’obligation permettrait de renvoyer la responsabilité juridique et financière auprès des fabricants. 

Conflits d’intérêts au sein des instances pilotant les politiques de santé
 


Les avis du Center for Disease Control américain sont repris par l’Organisation mondiale de la santé et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, et ensuite transmis dans les recommandations nationales. 

Le CDC (Center for Disease Control aux États-Unis, relayé par l’ECDC en Europe) a un chiffre d’affaires annuel de 4 milliards de dollars en vaccins et détient des brevets sur près de 30 vaccins. Une majorité des experts du comité de recommandation du calendrier vaccinal a des liens d’intérêts avec l’industrie (65 % déclarent des liens officiels), ou même des dividendes sur certains vaccins (Paul Offit, co-inventeur d’un vaccin contre le rotavirus fabriqué par Merck et ancien membre du Comité Consultatif sur les Pratiques d'Immunisation du CDC, a fait 30 millions de dollars de bénéfice sur le brevet RotaTeq, par exemple.) (32).

L’Organisation mondiale de la santé est financée et dirigée en ordre d’importance par : les États-Unis, la fondation Bill Gates (lui-même actionnaire de l’industrie pharmaceutique), la Grande-Bretagne et l’Alliance GAVI (un partenariat privé-public avec l’industrie). La contribution des autres États membres représente à peine 20 % (voir l’émission d’Arte L’OMS dans les griffes de lobbyistes). (33) 

Les obligations vaccinales ont été au cœur de la campagne présidentielle américaine. Le président Donald Trump s’est opposé à l’extension des obligations, car il a été témoin de dommages vaccinaux graves chez un de ses enfants. Sa première déclaration politique a été son intention de créer une commission d’enquête sur la sûreté des vaccins. Si Trump y parvient, tout peut basculer d’un instant à l’autre. Le 12 octobre dernier, 5 millions d’Américains ont introduit une demande officielle pour obtenir de vraies études sur la sûreté des vaccins avant d’introduire une action collective contre le responsable de l’Institut Nationale de la Santé. (34)

En Italie, le chef du cabinet de la ministre de la Santé siège au conseil d’administration de la fondation SmithKline Beecham. Le même laboratoire GSK a investi un milliard d’euros dans de nouvelles usines de production de vaccins. 

L’extension des obligations crée un chaos en Italie 


Les recours contre le décret italien imposant l’extension de l’obligation vaccinale et les procès pour dommages vaccinaux se multiplient. Le président honoraire de la Cour suprême de cassation italienne Ferdinando Imposimato, ancien héros de l’opération « mains propres » qualifie la loi de mafieuse et de contraire à la Constitution et appelle à la désobéissance civile. Loin d’instaurer la confiance, la loi divise et radicalise. L’Ordre des Médecins italien traque les praticiens pour les radier. Certains parents de victimes ont agressé des médecins refusant de reconnaître les dommages après un vaccin. Les mères de famille résistent et paralysent le système médical, scolaire et administratif.


La Vénétie a refusé l’application du décret et exigé un moratoire sur l’obligation vaccinale. Le 22 octobre 2017, la Vénétie et la Lombardie ont tenu un référendum où les citoyens se sont massivement prononcés en faveur d’une plus grande autonomie, notamment en matière de santé. (35)


Il est urgent d’analyser les conséquences politiques et juridiques de l’imposition accélérée des obligations dans un contexte similaire à celui de la France et d’en tirer les leçons. 


Risques pour la santé non ou peu évalués pour les vaccins 


- La question des adjuvants aluminiques et du préservant à base de mercure. (36)
- La présence de nanoparticules cytotoxiques contaminant tous les vaccins. (37)
- La présence de rétrovirus contaminant la majorité des vaccins.
- On ne connaît pas leurs effets sur la fertilité ou leurs risques cancérigènes.
- Les vaccins ne sont pas testés contre placebo, ni en administration combinée, ni sur le moyen ou le long terme.


Rappelons que 60 millions de personnes ont été contaminées par le virus de singe SV40 présent dans les vaccins anti-polio, soupçonné d’être associé à de nombreux cancers et au lymphome de Hodgkin. (38) 


Le vaccin Hexavac a dû être retiré du marché, Hexyon est-il plus sûr ? 
Le vaccin Infanrix est toujours en circulation alors que des décès pourraient être évités. 


Il n’y a pas d’urgence à vacciner, ni à passer cette loi. 


De plus en plus de vaccins bénéficient d’une procédure accélérée de mise sur le marché. Celle-ci signifie que moins de tests sont réalisés que pour la procédure normale d’approbation des médicaments. Face au risque accru que cela implique, on ne devrait rendre ces vaccins obligatoires que dans des circonstances exceptionnelles. 

Imposer un acte médical ou un médicament dont on ne peut prouver la sécurité revient à de l’expérimentation médicale forcée. Prendre ce risque à l’échelle collective est un acte d’inconscience.


Il est nécessaire de demander un moratoire sur la vaccination et d’évaluer l’utilité, l’efficacité et les risques associés à chaque vaccin. Tout comme il faut réévaluer la «balance bénéfices-risques » en termes de coût humain et financier.


Pour légitimer une limitation des libertés individuelles au nom de la santé publique, une loi doit répondre aux principes de nécessité et de proportionnalité. Au vu de ce qui précède, ces deux conditions ne sont pas réunies.

Références :

 
1. "Vaccines for measles, mumps and rubella in children", 15 février 2012, Cochrane Database Systematic
Review,  http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/14651858.CD004407.pub3/full
2. Infanrix + Prevenar                                                                             
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-20-dec.-2012.pdf
3a. Infanrix Hexa 

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf  
3b. http://pediablogdlh.blogspot.fr/p/le-vaccin-la-myeline-et-lenfant.html
4. 1 à 10% effets secondaires : Revue du Praticien « La pharmacovigilance des vaccins », 27/10/2011, p715. 


5. Hazell L, Shakir S « Under-reporting of adverse drug reactions. A systematic review. Drug saf. 2006, 29 : 385-96

6. Hexavac von Kries R et al. « Sudden and unexpected deaths after the administration of hexavalent vaccines (diphtheria, tetanus, pertussis, poliomyelitis, hepatitis B, Haemophilus influenzae type b): is there a signal? Eur J Pediatr. 2005 Feb »; 164(2):61-9. Epub 2004 Dec16.

7.http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf et http://initiativecitoyenne.be/article-infanrix-hexa-le-document-confidentiel-accablant-113251207.html
8. Zinka, B.; Rauch, E.; Buettner, A.; Ruëff, F.; Penning, R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2006, 24, 5779–5780.
9. J. Puliyel et al. « Infanrix and Sudden Death : a Review of the Periodic Safety Update Reports Submitted to the European Medical Agency », Indian Journal of Medical Ethics, 7 sep. 2017. 

10. J. Puliyel, A. Phadke, « Deaths following Pentavalent Vaccine and the Revised AEFI Classification », Indian Journal of Medical Ethics, Vol. 2, n04, 2017. 
11. Le Baron “Persistance of measles antibodies after 2 doses of measles vaccine in a postelimination environment”, PMID, 17339511

12. D.I. Levy, “The future of Measles in Highly Immunized Populations : A Modelling Approach”, American Journal of Epidemiology, vol. 120, n°1, July 1984, pp. 39-48.

13. Davidkin, Diminution de l’immunité, 1998, Pubmed9815205
Coqueluche 
14.“Personalized vaccines: the emerging field of vaccinomics” (Expert Opin Biol Ther. 2008 Nov ; 8 (11) : 1659–1667.), Gregory A Poland, Inna G Ovsyannikova, Robert M Jacobson
15. Diane Ninkam Nghemning “Souches africaines du virus de la rougeole : étude de l’interaction virus-cellule et analyses phylogénétiques” thèse doctorale en faculté de biologie à l’Université J. Fourier, Grenoble 1, 9 juillet 2002

16. Bernard Guennebaud “Sur des fautes méthodologiques et leurs conséquences, l’évaluation d’actions de santé publique” sur questionvaccins.canalblog.com
17.Perte de l’immunité chez le nourrisson, Lennon 1986, PMID 3701511
18. Comparaison avec l’immunité naturelle, Itoh 2002, Pubmed, 11980952. 
19. Aggravation chez la femme enceinte et le bébé, Aaby 2003, 12505179
20. Rapport sur les épidémies de rougeole en France, BEH n°33-34 du 20 septembre 2011, p. 356.W. Moss, P. Strebel

21. G.A Poland and R. Jacobson « The Re-emergence of measles in developed countries : time to develop the next Generation Measles Vaccines » (Vaccine, 30, 2012, p. 103-104)

22. www.cdc.gov/mumps/outbreak.html
23. C ; Gill, « The relationship between mucosal immunity, nasopharyngeal carriage, asymptomatic transmission and the resurgence of Bordetella pertussis », F1000Research 2017, 6, 1568

24. C. Weber et al « Polymorphism of Boredetella pertussis Isolates Circulating for the last 10 years in France, where a Single Effective Whole Cell Vaccine Has Been Used for More than 30 Years », J. Clin. Microbiol. 2001, 39 (12) : 4296-4403

25. F. Delpeyroux et al. «Éradication de la poliomyélite et émergence de poliovirus pathogènes dérivés du vaccin. De Madagascar au Cameroun ».

26. J. Puliyel, N. Vashisht,V. Sreenivas « Trends in Non-Polio Acute Flaccid Paralysis Incidence in India 2000-2013 », Pediatrics, 2015 Feb. 135, sup. 1 :S16-7 et Excellence in Pediatrics, Dubai, 6 December, 2014

27a. Impact de la vaccination par le vaccin pneumococcique conjugué 13-valent sur l’incidence des infections invasives à pneumocoques, Epibac et CNR des pneumocoques (réseau CNR-ORP).

27b.http://pediablogdlh.blogspot.fr/2016/03/vaccin-hepatite-b-quelle-protection.html)
28. Michel Georget, La vaccination, vérités indésirables, Dangles. 

29. “Unavoidably safe” Bruesewitz v.Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L. Ed. 2d 1 (2011)
30. Institute of Medicine of the National Academies. Adverse Effects of Vaccines, 2011. www.hrsa.gov/vaccinecompensation/resources/adverseeffects.pdf
31. Hepatite B. Communiqué de presse 66/17 du 21 juin 2017. Affaire C-621/15 N.W vs Sanofi Pasteur

32. Robert Kennedy Jr., https://worldmercuryproject.org/mercury-facts/merc... 

33.  “L’OMS dans les griffes des lobbyistes”, Enquête de 2016 menée par Jutta Pinzler et Tatjana Mischke pour la chaîne allemande NDR. Reportage diffusé sur Arte
34. Informed Consent Action Network 
www.icandecide.com
35www.comilva.org et http://tg24.sky.it/politica/2017/09/27/referendum-autonomia-lombardia-veneto.html
36. Travaux du prof. Romain Gherardi et « Toxic Story », Actes Sud, 2016.
37. Serge Rader, Antonietta Gatti et Stefano Montanari “Vaccins, oui ou non ?”, éd. Talma, 2017

38. CIF Vaccinologie 2011 « Fabrication et contrôle des vaccins » cours dispensé à l’Institut Pasteur par Jean-François Saluzzo, directeur de production des vaccins viraux et chef de recherche pour les vaccins anti-SIDA, conseiller à l’OMS. Voir aussi S. Kops « Debate on the Link between SV40 and Human Cancer Continues », Journal of National Cancer Institute, vol. 94, n°3, Feb. 6, 2002, p. 229-230.

Source: Alternative Santé

Voir aussi

Onze vaccins obligatoires: débat sensible en vue à l'Assemblée

Vaccins obligatoires: les sanctions seront plus lourdes

Michel Georget, agrégé de biologie sur la manière dont la "sécurité" des vaccins est "testée"...

Serge Rader, pharmacien sur les dangers des vaccinations

Dr Bernadine Healy, ex directrice du National Institute of Health, estimant que le lien vaccins et autisme n'a pas pu être valablement exclu compte tenu de la méthodologie inadaptée des études

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18 octobre 2017 3 18 /10 /octobre /2017 20:27

Une maman médecin raconte comment les vaccins ont tué son bébé de 6 mois

Health Impact News, 4 octobre 2017

Une maman médecin raconte comment les vaccins ont tué son bébé de 6 mois

L’équipe VAXXED a récemment interviewé le Dr Stéphanie Christner de Tulsa en Oklahoma qui possède sa propre clinique « Verum Health », à Tulsa, et qui était pro-vaccins jusqu’à ce que sa petite fille décède à 6 mois de complications vaccinales.

Quand elle était enceinte de sa fille, le Dr Christner avait deux amies qui s’interrogeaient sur les vaccins. Elle les a écoutées sans émettre de jugement personnel. Elle a cependant entamé des recherches sur le site du CDC et en a parlé à son pédiatre qui lui a expliqué qu’elle ne pourrait garder son poste si elle ne faisait pas vacciner sa petite fille.

Le Dr Christner affirme que, dans sa propre formation médicale, pratiquement rien ne lui a été enseigné sur la science vaccinale et la fabrication des vaccins. Elle précise qu’au cours de sa profession, on s’attend à ce qu’elle vaccine tout le monde, et que si des complications se présentaient après l’administration de vaccins, personne ne penserait associer la complication aux vaccins.

Ses deux premiers petits garçons avaient été vaccinés et ont connu des retards de développement, ainsi que des allergies.

Quand sa petite fille est née, elle n’a pas été vaccinée à l’hôpital. Au cours de ses deux premiers mois, elle a toujours été en parfaite santé.

Quand elle a reçu ses vaccins de deux mois, les choses ont commencé à changer. Bien que sa petite fille présentait des problèmes de santé, la maman est restée dans le déni, ne reliant pas les problèmes de santé de son bébé aux vaccinations. Bien que la santé de sa petite fille ait continué à se dégrader, la maman a voulu poursuivre le calendrier vaccinal.

Sa petite fille est morte alors qu’elle avait à peine 6 mois.

Jusqu’alors, le Dr Christner n’avait jamais pu soupçonner une quelconque relation avec les vaccins. Elle déclare :

« Je me sens comme toutes les mamans du monde – j’étais d’une telle naïveté – je pensais qu’il n’était pas possible que l’on administre une chose qui pourrait s’avérer nuisible et qui n’avait pas été complètement étudiée, à ce que nous avons de plus précieux au monde, nos enfants ».

Aujourd’hui, le Dr Christner voit les choses différemment. Elle réalise que tellement de gens ont encore les yeux fermés. Elle croit que les pédiatres pourraient changer d’avis au sujet des vaccins s’ils se donnaient la peine d’effectuer les recherches qu’elle avait elle-même entreprises.

Quand elle a revu son pédiatre après le décès de sa petite fille, celui-ci aurait, par rapport à ce décès, exclu toute cause médicale et aurait suggéré à la maman de soupçonner la « nounou » qui s’occupait de son bébé.

Dans sa pratique médicale actuelle, elle ne cesse de voir les preuves des effets secondaires des vaccins. Elle fait tout ce qui est en son pouvoir pour détoxifier le corps des enfants et ainsi les aider à guérir.

Source : Vaccine Impact

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15 octobre 2017 7 15 /10 /octobre /2017 22:53

Interview du Dr Paul Thomas sur les vaccins (extraits)

« Si dans ma pratique, j’observe des retards de développement chez les enfants, je crois qu’il faut arrêter de vacciner »

Même quand l'enfant commence à manifester les signes d'un problème neurologique, ils continuent (de vacciner)!

Même quand l'enfant commence à manifester les signes d'un problème neurologique, ils continuent (de vacciner)!

J’ai eu tellement de patients auxquels leur pédiatre avait dit : « Oh non, il n’y a aucun lien. Il faut faire tous les vaccins ». Et même si l’enfant présente des signes d’un problème neurologique, ces pédiatres recommandent de continuer la série des vaccins. Cette attitude me parait imprudente et irresponsable. Quand on sur-vaccine, on surcharge le système immunitaire avec le risque de faire évoluer la situation vers des problèmes allergiques et/ou auto-immuns.

Les maladies chroniques que nous voyons aujourd’hui sont en partie dues à ce problème. Il nous faut changer notre façon de travailler, il nous faut individualiser la médecine. On ne peut plus se satisfaire d’une médecine passe-partout.

Depuis 2011, il y a eu pas mal de changements au CDC (Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies) en ce qui concerne les recommandations officielles ayant trait à la vaccination diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire (DTCa) des femmes enceintes. Dans les documents que j’ai publiés à ce sujet, j’aurais dû mettre en grandes lettres : « Pas question de DTCa !»

Tous les jours, je reçois des couples qui s’interrogent et qui veulent faire ce qu’il y a de mieux pour leur enfant à naître. Ces couples s’interrogent beaucoup sur les vaccins. Je leur réponds qu’il y a quelques dizaines d’années, la grossesse était une « période sacrée ». Il n’était pas question alors d’introduire des toxines dans le ventre d’une femme enceinte. Au cours de cette période, il convenait de se nourrir de produits biologiques, d’éviter les médicaments, et de protéger le fœtus de toutes sortes de toxines.

Surtout PAS de vaccin contre la coqueluche chez les femmes enceintes!!

Surtout PAS de vaccin contre la coqueluche chez les femmes enceintes!!

En 2013 et 2014, le CDC a recommandé d’injecter le vaccin DTCa à toutes les femmes américaines qui étaient enceintes, surtout à cause de son composant « coqueluche ». C’est comme cela qu’environ 4 millions de fœtus ont été exposés à des doses de produits neurotoxiques.

Dans un de ses documents, la FDA recommande de ne pas dépasser 5 microgrammes par kilo, tout spécialement chez les prématurés parce que des études ont montré qu’il pouvait y avoir des retards de développement et de troubles cérébraux. Mais cette information a été ignorée.

Personnellement, je m’interroge : cela vaut-il vraiment la peine d’empoisonner 4 millions de fœtus pour éventuellement sauver, 2, 3, 4, 5 vies ? Je ne veux pas prendre cette décision pour qui que ce soit, mais si mon épouse était enceinte, je n’accepterais pas d’empoisonner mon enfant, alors qu’il n’y a qu’une chance sur un million de pouvoir venir en aide à mon enfant.

La dose maximale d’aluminium est de 5 microgrammes par kilo. Il arrive qu’un fœtus ne pèse même pas un kilo. Il ne devrait donc pas recevoir plus de 5 microgrammes. Or, selon les marques, ces vaccins comportent de 250 à 300 microgrammes. Il s’agit d’une dose ridiculeusement toxique. En ce domaine, nous ne disposons pas d’études sur le long terme. Ce qu’il y aurait lieu de faire, c’est de comparer d’importants groupes d’enfants vaccinés à d’autres groupes d’enfants non vaccinés, et de les suivre pendant 5, 10, 15 ans. Ces études n’ont pas été effectuées.

Il y a en fait pas mal d’études, mais ce qui manque ce sont des études contrôlées et randomisées avec de véritables placebos.

Pour le HPV, par exemple, on utilise comme contrôle placebo les mêmes doses d’aluminium que celles qui se trouvent dans le vaccin ! En fait, cela revient à dire qu’il n’y a pas de véritable comparaison possible du fait que l’on injecte les mêmes quantités de toxines dans les deux groupes…

Le fait que nous sommes en train de perdre le principe du consentement libre et éclairé m’attriste beaucoup.

Quand je faisais mes études de médecine dans les années 1980, nos professeurs, ne cessaient de nous marteler constamment l’importance du consentement éclairé. Ils nous disaient : vous ne pouvez rien entreprendre sur un patient avant d’avoir très explicitement expliqué les risques et les bénéfices de tel ou tel traitement. Il fallait aussi que nous communiquions les alternatives possibles. […]

L'épidémie silencieuse. L'histoire non dite des vaccins...

L'épidémie silencieuse. L'histoire non dite des vaccins...

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5 octobre 2017 4 05 /10 /octobre /2017 22:33

Justice pour Jodie Marchant

Jodie Marchant: handicapée à vie par les vaccins, sa famille lance un appel à l'aide

Chers amis,

J’ai rendu visite à Jodie Marchant et à sa famille. J’ai décidé de me lancer dans une énorme tâche juridique pour leur venir en aide… Lisez l’histoire de Jodie.

Jodie a maintenant 25 ans. Elle est handicapée à 80% ; ses dommages cérébraux ne lui permettent pas de parler. Elle souffre, en outre, de crises d’épilepsie quotidiennes. Alors que Jodie était petite et en parfaite santé, sa maman l’avait conduite un jour chez un médecin pour qu’elle reçoive le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole).

Immédiatement après la vaccination, Jodie a commencé à faire des crises d’épilepsie et n’a jamais pu récupérer. Des années plus tard, les parents ont pris connaissance que les dossiers médicaux de leur fille révélaient  qu’on lui avait administré 8 vaccins.

Cinq de ces vaccins avaient été administrés dans une seule seringue, sans que les parents aient été informés et sans qu’ils puissent donner leur accord !

La complexité du problème, les démarches pour obtenir une aide juridique et le dédommagement financier, les erreurs médicales rencontrées, autant de difficultés qui ont fait en sorte que la famille n’ait jamais été dédommagée, alors même que le médecin chef, le Dr Peter Fletcher avait bien précisé qu’il n’y avait aucun doute que le handicap de Jodie était bien dû aux vaccins qu’elle avait reçus.

La maman de Jodie et son papa Bill ont réellement besoin de soutien. Ils doivent s’occuper de Jodie 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7. Ils doivent changer ses couches, sans cesse s’occuper d’elle et ont actuellement grand besoin d’un plan de soins pour l’avenir. Bill a 77 ans. Il a dû vendre sa maison et a dû arrêter de travailler pour pouvoir s’occuper de sa fille.

J’ai pu trouver un brillant avocat qui a accepté de défendre la famille Marchant pour un prix considérablement réduit. Il nous reste cependant à trouver la somme de 10.000 £. L’affaire devrait encore durer environ 6 mois. Les parents, avec le groupe ARNICA ont pu rassembler l’argent pour les frais de septembre, mais il reste un important déficit pour octobre. La collecte de fonds vient d’être lancée, et j’ose espérer que nous parviendrons à réunir la somme nécessaire. Nous apprécierions beaucoup une aide assez rapide.

Veuillez trouver le lien de la page Web que vous pourriez partager avec vos amis : http://www.arnica.org.uk/justice-for-jodie-appeal

Le payement peut être effectué par virement bancaire, ce qui est préférable pour éviter des frais inutiles.

Arnica Barclays

Ou par PayPal https://www.paypal.me/arnicauk

(Veuillez indiquer « Jodie » comme référence)

Saviez-vous que plusieurs vaccins pouvaient être administrés DANS UNE SEULE SERINGUE ?  Le cas de Jodie doit mettre en évidence les problèmes potentiels de sécurité de cette pratique pour les enfants.

Merci beaucoup de bien vouloir prendre ce cas dramatique en considération.

Anna Watson (ARNICA, U.K.).

 

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1 octobre 2017 7 01 /10 /octobre /2017 22:18

Des documents d'assurance reprennent l'expression limpide d' "EMPOISONNEMENT PAR VACCINS"

"Poisoning by vaccines" > empoisonnement par des vaccins...

"Poisoning by vaccines" > empoisonnement par des vaccins...

L'image ci-dessus est issue d'un répertoire de codes d'assurance, permettant aux compagnies d'assurance de retracer les raisons de votre maladie ou de votre décès. Les gens intelligents comprendront par eux-mêmes ce que l'expression "EMPOISONNEMENT PAR DES VACCINS" signifie; les autres continueront de demander à l'Etat et aux médias de leurs mentir et de se laisser empoisonner par les vaccins, eux et leurs enfants... au nom d'une prétendue "gratuité" et d'une prétendue "solidarité" qui n'existent toutefois respectivement ni pour le contribuable et la société, ni pour les victimes une fois tombées dans ce sinistre panneau...et qui se verront alors officiellement rangées parmi les coïncidences ou "la faute à pas de chance"...

 

Voir aussi

 

Les vaccins, des produits inévitablement dangereux (dixit la Cour suprême américaine)

 

Pourquoi la Suède refuse les obligations vaccinales: des raisons dérangeantes pour Big Pharma!

 

Si les vaccins étaient si sûrs, les autorités (de certains pays) ne dépenseraient pas des sommes folles en indemnisations

 

Vaccins: l'énorme contradiction des autorités canadiennes

 

Infanrix hexa: le document confidentiel accablant

 

Prevenar 13: documents confidentiels accablants/ risques neurologiques de la double vaccination

 

Le vaccin Prevenar est-il sûr et sans danger?

 

Méningite C: le vaccin plus risqué que la maladie (les chiffres sont là!)

 

Vaccin Meningitec: le rapport italien accablant sur les dangereuses nanoparticules

 

Scientifiquement prouvé: le vaccin hépatite B détruit les cellules du foie... un comble!

 

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Vaccins: le vrai scandale des faux placebos

 

Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins"!

 

Vaccins: l'OMS admet qu'elle met la santé du monde en danger

 

Mary Holland, prof de droit à l'Université de New York interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg

 

Vaccins: le Jury d'Ethique publicitaire donne raison à Initiative Citoyenne (sur la pub vaccinale trompeuse de la Communauté française)

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