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14 juin 2018 4 14 /06 /juin /2018 09:16

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Dr Jacob PULIYEL, 26 mai 2018

Des questions éthiques se posent par rapport au vaccin destiné à réduire la fertilité

Le prestigieux journal Nature Medicine, rapportait dans son numéro de février, que le Conseil indien de la recherche médicale (ICMR) devait faire l’essai clinique d’un vaccin antitétanique (TT) associé à une hormone de grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hCG). Ce vaccin devait être étudié sur 120 femmes indiennes.

Ce « vaccin » contre la grossesse a été développé par le Dr G.P. Talwar en 1972. L’idée était de faire produire des anticorps contre l’hormone de grossesse, pour que les femmes ne puissent pas être en mesure de mener à terme une grossesse normale. Les femmes enceintes devaient avorter, et celles qui ne l’étaient pas devaient devenir stériles. Le rapport est en effet troublant. Quelques mois plus tôt, un article intitulé « HCG trouvé dans le vaccin de l’OMS au Kenya contre le tétanos a suscité des inquiétudes dans les pays en voie de développement » Cet article a été publié par Oller et collègues dans l’ « Open Access Library Journal ».

Le rapport Oller décrit des jeunes femmes au Kenya qui ont été vaccinées avec ce vaccin Talwar » sous prétexte de prévenir le tétanos maternel et néonatal. Un grand nombre d’échantillons du vaccin contre le tétanos qui ont été testés positifs à l’hCG provenaient du Sérum Institute of India.

Le programme de vaccination qui a été promu par l’OMS et le gouvernement du Kenya a été financé par la Fondation Gates. Les futures mères ont été encouragées à prendre le vaccin pour prévenir le tétanos chez leur bébé à naître, sans qu’on leur dise que le vaccin empêcherait le bébé à naître. Le rapport Oller souligne certains aspects intéressants de la campagne. Les vaccins utilisés au cours de cette campagne n’ont pas été stockés localement, mais ont été distribués directement à partir de Nairobi. Ces vaccins ont, en outre, été gardés par la police. Chaque flacon de vaccin utilisé a été retourné à Nairobi sous escorte militaire et à des frais considérables. – Il a été conseillé que le vaccin soit administré cinq fois à six mois d’intervalle. Cette façon de faire diffère complètement du calendrier de l’anatoxine tétanique partout dans le monde. Il s’agit en fait du calendrier recommandé pour le « vaccin Talwar ».

Les publications de l’OMS décrivent apparemment un objectif à long terme de réduction de la croissance démographique dans les « pays moins développés » instables et travaillent sur un vaccin anti-fertilité plus puissant, en utilisant de l’ADN recombinant.

Dans le contexte de ces rapports sur l’utilisation non éthique de « vaccin Talwar » au Kenya, fabriqué par le « Serum Institute of India », les nouvelles de l’étude de l’ICMR sont alarmantes. On prétend que l’effet du vaccin n’est pas permanent, mais il n’existe aucune preuve claire que les femmes seront capables de concevoir à volonté, après avoir été immunisées avec ce vaccin.

La crédibilité de l’OMS et de la Fondation Gates a été irrémédiablement entachée par cette stérilisation non éthique des femmes du Kenya. Il est important que l’ICMR, qui a déjà été critiqué par le 72ème Comité parlementaire permanent sur la santé et le bien-être familial pour sa participation à l’essai HPV, reconsidère sérieusement la nécessité de ce nouvel essai clinique. Le Parlement et le public doivent chercher à savoir qui ou quoi a incité l’ICMR à étudier ce vaccin développé et abandonné en Inde, il y a 45 ans.

Jacob Puliyel est pédiatre. Les opinions exprimées sont les siennes.

 

 

 

 

Source : Sunday Guardianlive

 

Voir aussi: 

Eugénisme et vaccination: qu'en penser?

Kenya: des médecins dénoncent la vaccination antitétanique des seules femmes en âge de procréer

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Mary Holland, prof de droit à l'université de New York interpelle les Nations-Unies sur les politiques vaccinales qui violent le Code de Nuremberg

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9 décembre 2016 5 09 /12 /décembre /2016 23:14

Vaccin anti-HPV : une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

Vaccin anti-HPV: une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

 

Des médecins dénoncent la manière dont l'institution liée à l'UE a traité tous les signalements d'effets secondaires sur des vaccins antipapillomavirus. 

Vaccin anti-HPV : une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

Le Point, 9 décembre 2016.

 

Un nouveau conflit d'intérêts pharmaceutique est-il sur le point d'être révélé ? Lundi 5 décembre, une plainte de plusieurs institutions de santé, médecins et chercheurs contre l'Agence européenne des médicaments (EMA) a été jugée recevable par la médiatrice européenne. Objet du recours : les plaignants reprochent à l'EMA une "incurie" dans le traitement d'une alerte de médecins danois suspectant des effets indésirables – rares mais sérieux – consécutifs à la vaccination contre le papillomavirus (HPV), virus à l'origine de cancers du col de l'utérus. L'information est révélée par Le Monde qui met en lumière les liens financiers de certains membres de l'EMA – comme Andrew Pollard de l'université d'Oxford – avec des laboratoires comme Sanofi ou GSK.

 

Quand l'EMA ne vérifie pas les données des labos

 

Les plaignants insistent sur la manière dont l'EMA a conduit son enquête pour statuer sur la dangerosité du vaccin. « Nous ne disons pas que ce lien de causalité est certain ou que le rapport bénéfice/risque de ces vaccins est défavorable, dit Peter Gotzsche, l'un des plaignants, professeur de médecine cité par Le Monde. Ce que nous contestons, c'est la manière dont l'EMA a traité cette alerte. » Un contre-rapport plombant l'EMA a été rédigé par les demandeurs et met en lumière les errements de l'étude diligentée par l'Agence européenne. Celle-ci avait demandé à ce que ce soient les laboratoires eux-mêmes qui fournissent les bases de données quant aux cas d'effets indésirables, sans vérification derrière de la part de l'EMA.

 

« Dans toute la documentation à laquelle nous avons eu accès, nous n'avons vu aucune trace d'une analyse indépendante des données par les experts de l'EMA », insiste Tom Jefferson, coauteur de la plainte. L'EMA a posé une série de questions aux fabricants, qui ont interrogé eux-mêmes leurs propres bases de données. Mais l'EMA n'a pas vérifié ces données, elle n'a pas conduit les analyses par elle-­même ! C'est comme si vous demandiez au chat de surveiller le lait... » Une information qui ne va pas rassurer les Français, une population où le taux de couverture vaccinale est l'un des plus bas en Europe...

 

Source: Le Point

 

Vaccin contre les papillomavirus : les autorités européennes dans la tourmente

 

Des médecins danois accusent l’Agence européenne des médicaments d’avoir biaisé une expertise sur les vaccins contre le cancer du col de l’utérus.

Vaccin anti-HPV : une enquête accablante pour l'Agence européenne des médicaments

Le Monde, 9 décembre 2016

 

Cette fois, ce ne sont pas des associations de malades qui se plaignent, mais des institutions médicales au-dessus de tout soupçon de croisade anti-vaccins. Lundi 5 décembre, les services de la médiatrice européenne ont déclaré recevable les aspects majeurs d’une plainte déposée contre l’Agence européenne des médicaments (EMA) par le Nordic Cochrane Centre, ainsi que d’autres institutions, médecins ou chercheurs.

 

Les plaignants accusent l’agence européenne d’« incurie » dans le traitement d’une alerte de médecins danois suspectant des effets indésirables – rares mais sérieux – consécutifs à la vaccination contre le papillomavirus (HPV), virus à l’origine de cancers du col de l’utérus.

 

La plainte, détaillée sur plus de cinquante pages, jette une lumière crue sur les procédures de l’agence chargée des autorisations de mise sur le marché des médicaments dans l’Union européenne (UE).

 

L’affaire commence à l’été 2015. Louise Brinth, médecin à l’hôpital Frederiksberg de Copenhague, signale aux autorités sanitaires danoises plusieurs dizaines de cas de jeunes filles ayant été vaccinées contre le HPV et ayant présenté, dans les mois suivants, des troubles peu spécifiques, rassemblés sous diverses appellations : « syndrome de fatigue chronique », « syndrome douloureux régional complexe », « syndrome de tachycardie orthostatique posturale »…

 

Epuisement tenace, vertiges, douleurs musculaires ou articulaires persistantes, nausées et migraines, troubles de l’attention et de la mémoire : les effets peuvent être très invalidants. (suite de l'article du Monde? Mis en mode payant/abonnés alors que finalement, il faut bien le dire, l'affaire n'a pas du tout "commencé à l'été 2015" contrairement à ce qu'affirme Le Monde, mais dès 2006 et la mise sur le marché du vaccin Gardasil aux USA, moment où tous ces effets secondaires décrits avaient déjà commencé à apparaître en réalité!!)

 

Source: Le Monde

 

Vaccin anti-papillomavirus :

plainte contre l'Agence européenne du médicament

 

 

Des experts médicaux dénoncent la manière dont l’Agence européenne du médicament (EMA) a traité les signalements d’effets secondaires sur des vaccins anti-papillomavirus. Sans se prononcer sur la validité scientifique des conclusions – rassurantes – de l’EMA, ils jugent que les garanties d’objectivité et de transparence ne sont pas réunies. Déposée fin mai, la plainte est aujourd’hui médiatisée par un article du Monde.

 

Des experts médicaux dénoncent la manière dont l’Agence européenne du médicament (EMA) a traité les signalements d’effets secondaires sur des vaccins anti-papillomavirus. Sans se prononcer sur la validité scientifique des conclusions – rassurantes – de l’EMA, ils jugent que les garanties d’objectivité et de transparence ne sont pas réunies. Déposée fin mai, la plainte est aujourd’hui médiatisée par un article du Monde.

 

En 2015, le Danemark demande à la commission européenne que soit déterminé si divers symptômes, ponctuellement signalés comme de possibles effets secondaires d’une vaccination anti-HPV, sont réellement liés à cette injection. Cette demande fait suite à la description par la médecin danoise Louise Brinth (voir encadré) de quelques cas qui soulèvent cette hypothèse.

 

Saisie du dossier, l’Agence européenne du médicament doit rapidement déterminer si ces symptômes apparaissent plus fréquemment chez les personnes vaccinées que chez des personnes non vaccinées. Un rapport, publié fin 2015, conclut à l’absence de lien de causalité.

 

Mais les conditions d’objectivité et d’indépendance nécessaires à la constitution d’un tel rapport n’auraient pas été réunies, de l’avis du chercheur Peter Gøtzsche (voir encadré), qui a formulé en juin une plainte à l’encontre de l’EMA (plainte dont "les aspects majeurs" ont récemment été déclarés "recevables" par le Médiateur européen).

 

Dans un article du Monde, daté du 9 décembre, Peter Gøtzsche précise l’intention derrière cette plainte : "Nous ne disons pas que ce lien de causalité est certain ou que le rapport bénéfice/risque de ces vaccins est défavorable. Ce que nous contestons, c’est la manière dont l’EMA a traité cette alerte."

 

Des données issues des fabricants, non vérifiées par l’EMA ?

 

Les soupçons de Gøtzsche se fonderaient sur la lecture d’une version de travail, confidentielle, du rapport de l’EMA.

 

Tom Jefferson, co-auteur de cette plainte, affirme au Monde que la documentation à laquelle il a eu accès ne contient "aucune trace d’une analyse indépendante des données par les experts de l’EMA". L’Agence, poursuit-il, "a posé une série de questions aux fabricants, qui ont interrogé eux-mêmes leurs propres bases de données. Mais l’EMA n’a pas vérifié ces données, elle n’a pas conduit les analyses elle-même !"

 

Or, rappelle le quotidien, la façon dont les effets secondaires sont recensés dans les bases de données des laboratoires fait que les signalements spécifiques aux agences sanitaires sont parfois minorés.

 

Ces bases de données sont loin d'être les seuls éléments sur lesques se fondent les recommandations de l'EMA. Parmi eux se trouvent de nombreuses études épidémiologiques et observationnelles indépendantes, qui ne font pas l'objet de critiques de la part des auteurs de la plainte.

 

Un consensus obtenu dans des conditions "confidentielles"

 

Par ailleurs, explique Peter Gøtzsche, alors que la rapport final donne "une impression d’unanimité des experts", le rapport intermédiaire montrerait au "contraire que certains d’entre eux se montrent très critiques vis-à-vis de certains arguments". Certains auraient ainsi considéré que l’argument selon lequel la fréquence des symptômes étudiés n’était pas augmentée dans la population qui avait reçu le vaccin anti-HPV "manquait de solidité". Interrogée par Le Monde, l’Agence européenne du médicament affirme que les échanges entre les membres de la commission ont permis de parvenir à un consensus : "le premier rapport contenait un certain nombre d’hypothèses et de questions à traiter, qui ont été discutées et résolues dans le rapport final".

 

Les clauses de confidentialité très strictes qui encadrent les délibérations rendent toutefois difficile la confirmation ou l’infirmation de ces propos. Ce manque de transparence de l’institution est au centre des griefs des plaignants.

 

Manque de précautions concernant les conflits d’intérêts ?

 

Troisième point litigieux, mis en exergue par l’article du Monde : le fait qu’Andrew Pollard, le président de l’un des groupes scientifiques de l’EMA avait mené entre 2010 et 2014 des études financées par des laboratoires commercialisant par ailleurs des vaccins anti-HPV.

 

Alors que d’autres experts présentant de potentiels conflits d’intérêts n’ont pas été autorisés à être présents lors des délibérations, comme le veut le règlement de l’EMA, M. Pollard n’aurait pas été écarté. Le Monde précise que l’intéressé n’a pas répondu aux sollicitations de son journaliste sur ce point.

 

Il est important de souligner que l'EMA n'est pas la seule institution a avoir travaillé sur le rapport bénéfice/risque des vaccins anti-HPV. Sur la base de ses propres investigations, l'Agence française de la Sécurité du Médicament (ANSM) avait confirmé en 2013 que ce rapport bénéfice/risque restait favorable. Fin 2015, une étude française portant sur 2,2 millions de jeunes femmes (ce qui en fait probablement l'étude la plus importante sur la question) avait conclu que ces vaccins ne présentaient aucun danger pour leurs utilisatrices.

 

la rédaction d'Allodocteurs.fr

 


[1] Tom Jefferson est connu pour défendre des positions très controversées sur le vaccin anti-grippal; il affirme ainsi que ce vaccin n’entraîne pas de réduction substantielle de taux de mortalité, et qu’il relève "du marketing, et non de la science". Ces allégations et les méthodes employées pour les argumenter font l’objet de vives critiques de la part de ses homologues. Concernant d’autres aspects de la vaccination, ses positions n'ont longtemps pas sensiblement divergé d'un consensus scientifique international. En 2004, Tom Jefferson a ainsi mené pour la collaboration Cochrane une évaluation de l’innocuité des adjuvants à base d’aluminium, concluant à l’absence de preuve de leur dangerosité.

 

Les signataires de la plainte

 

M. Gøtzsche est directeur d’une section scandinave de la collaboration Cochrane – référence internationale en matière d’analyse de la pertinence des études médicale. Sa plainte a notamment été cosignée par la danoise Louise Brinth (auteure de la publication à l'origine des requêtes du Danemark à l'Union Européenne en 2015) et par l’épidémiologiste Tom Jefferson [1].

 

La question des groupes témoins

 

Dernière critique des plaignants : la qualité des essais cliniques réalisés autour des vaccins anti-HPV. Les essais destinés à déterminer l’innocuité de ces produits pharmaceutiques auraient été menés en comparant ceux-ci "à d’autres vaccins, ou à des placebo contenant des adjuvants aluminiques". Ils estiment que pour certifier l’innocuité du vaccin, l’expérience aurait dû être réalisée contre un placebo sans aucune substance susceptible d’interagir avec l’organisme (ce qui n'a été fait "que dans une seule étude de petite envergure"). L’argument porte toutefois peu, au vu des données scientifiques accumulées au niveau international sur l’innocuité de ces adjuvants aux doses présentes dans les vaccins – une importante méta-analyse en ce sens ayant même été réalisée par l'un des cosignataires.

 

Source : Franceinfo.tv

 

Conclusion/moralité: les médias mainstream font passer comme une sorte de "scoop" ce qui était déjà détectable et dénonçable en termes de dangerosité quasiment 10 ans plus tôt par des associations et activistes bénévoles sur base des taux déjà largement anormaux d'effets secondaires signalés très précocement pour qui avait la lucidité de les voir. Cela signifie en d'autres termes que ceux qui ne se fient qu'à ce qu'ils lisent dans les "grands journaux" seront prévenus 10 ans trop tard (au risque d'y laisser leur santé, leur vie ou celle de leurs enfants!)... c'est ce qui s'appelle de l'efficacité médiatique et informationnelle ça! La triste vérité est qu'hélas, il n'y a plus de liberté de la presse dans nos pays dits "Etats de droits"; les médias sont muselés, cadenassés, ils ne daignent lâcher un mot ou deux que quand tout le monde où presque ose largement dénoncer, sauf que le temps perdu entre-temps, il se marque véritablement dans la chair des milliers des victimes inutiles dont les tragédies étaient totalement évitables. Le journalisme d'investigation a quasiment disparu, les rédactions n'ont jamais la liberté, sauf rarissime exception, d'offrir un temps de parole véritablement équitable et contradictoire pour la diffusion des différents points de vue (et ce déséquilibre criant dure déjà depuis plus de 200 ans de vaccination effrénée, pas étonnant dès lors que certains naïfs croient toujours que les vaccins sont le salut des saluts....)

 

En 2011, Initiative Citoyenne écrivait à toutes les directions d'écoles secondaires francophones ainsi qu'aux associations de parents pour leur faire part des dangers évidents que représentait la vaccination HPV dans le cadre scolaire fraîchement instaurée et promue par la Communauté française de Belgique (dont la publicité en faveur des vaccins tout au long de la vie a été jugée TROMPEUSE et "de nature à induire le consommateur en erreur" par le Jury d'éthique belge publicitaire en novembre 2011). Un document de l'assurance maladie belge en réponse à GSK, fabricant du vaccin Cervarix, établissait que le taux d'effets secondaires de ces deux vaccins était comparable et "assez élevé" (un essai clinique post-commercialisation de GSK, qui a comparé son vaccin anti-hépatite A Havrix et son vaccin anti-HPV, Cervarix a obtenu les taux horrifiants d'effets secondaires graves de respectivement 8,9% et 9% pour l'Havrix et pour le Cervarix!). Faut-il alors s'étonner qu'une méta-analyse publiée dès la fin 2011 dans la revue médicale Annals of Medicine concluait à un rapport bénéfices/risques et coût/bénéfices clairement défavorables?! Nous vous laissons répondre à cette question par vous-mêmes...

Voir aussi: 

 

L'agence européenne du médicament censure les données de pharmacovigilance, avertit la revue Prescrire

 

L'ancien directeur de l'EMEA travaillait aussi pour les labos...

 

Lettre recommandée aux Ministres Laanan et Simonet sur la vaccination scolaire contre le cancer du col de l'utérus

 

Vaccination scolaire "contre le cancer du col": IC écrit à toutes les directions d'écoles secondaires et aux associations de parents

 

Vaccination scolaire anti-HPV: Initiative Citoyenne réécrit aux écoles secondaires et aux associations de parents

 

Vaccins anti-HPV : rapport bénéfices/risques défavorable (Annals of Medicine)

 

Désastre du vaccin Gardasil au Danemark: le documentaire

 

Déclaration fallacieuse au sujet des vaccins contre le HPV

 

"Voilà ce que le vaccin contre le HPV a fait à ma fille..."

 

Une ado hospitalisée et mise sous sédation chaque fois qu'elle a ses règles après le vaccin Gardasil

 

Le vaccin Gardasil administré sans le consentement des parents ruine la vie d'une fille de 14 ans

 

Après 3 ans d'horribles souffrances, une jeune fille de 19 ans décède des suites du vaccin Gardasil

 

Le calvaire de Cali après le vaccin Gardasil

 

Calvaire post-vaccin Gardasil

 

Gardasil: une expérience qu'aucun enfant ne devrait vivre!

 

Vie gâchée, morphine et arrêt d'études: une maman dénonce le Gardasil

 

"Je veux que ma fille retrouve la santé qu'elle avait avant le Gardasil"

 

Lésions cérébrales après le Gardasil: parents & ados doivent le savoir AVANT la vaccination!

 

Décès de Karen, 16 ans, après des troubles auto-immuns déclenchés par deux injections de Gardasil

 

Le vaccin contre le cancer du col a coûté la vie à notre fille

 

Plus jamais bien depuis le Gardasil?

 

Le Gardasil détruit les ovaires d'une jeune fille

 

Devenues stériles après le vaccin Gardasil: deux soeurs déposent plainte

 

Médaillée d'or aux JO mais vaccinée contre le HPV: elle décède... d'un cancer du col de l'utérus!

 

Irlande: les survivantes du Gardasil lancent un groupe de soutien

 

Irlande : protestations parentales contre les effets infernaux du Gardasil

 

Manifestations dans les rues de Colombie contre le Gardasil  (où certains ont aussi osé dire que "c'était psychologique"!!)

 

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins Gardasil et Cervarix

 

La justice chilienne suspend la vaccination contre le papillomavirus dans la région de Maule

 

Gardasil: les dessous des essais cliniques menés en Inde

 

Essais cliniques du Gardasil et du Cervarix en Inde: la Cour suprême accepte la requête des plaignants

 

Les juges indiens veulent des réponses après la mort d'enfants dans des essais d'un vaccin contre le cancer du col de l'utérus

 

Vaccins HPV: fausse protection et vrais risques: démêler le vrai du faux?

 

Vaccins anti-HPV: quand le slogan de Merck "une de moins" devient "une de plus"

 

Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!

 

Traitements orthomoléculaires des effets secondaires des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

 

Un documentaire essentiel sur les risques mortels de la mafia médico-pharmaceutique (Vioxx, Gardasil etc...)

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13 novembre 2016 7 13 /11 /novembre /2016 22:40

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

 

Le Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien, chef de service à l'hôpital St. Stephan's de Delhi, a récemment publié sur son site un commentaire à une publication parue dans la revue Vaccine pour dénoncer la façon biaisée dont l'OMS et ses experts traitent et soi-disant "enquêtent" quand des décès d'enfants surviennent après vaccination dans les pays pauvres. Il est clairement ici question une fois encore d'idéologie; il s'agit de sauver à tout prix l'image des vaccins plutôt que la vie des enfants. Nous avons donc très logiquement procédé à la traduction intégrale du commentaire éclairant de ce médecin à cette parution dans Vaccine, revue ayant pignon sur rue en matière de vaccinologie, fausse science s'il en est! Pour notre part, cela fait déjà des années que nous dénonçons sur notre site ainsi qu'auprès des journalistes l'inconsistance, la corruption et le manque total de crédibilité de l'OMS en matière de sécurité vaccinale ou de vaccins tout court, l'épisode du H1N1 n'ayant hélas pas du tout été le seul, bien qu'il fut cependant déjà très éclairant pour quiconque a des yeux... 

Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien- lanceur d'alerte en matière de vaccination

Dr Jacob Puliyel, pédiatre indien- lanceur d'alerte en matière de vaccination

Commentaire : Etablissement de la causalité dans la survenue d’effets indésirables individuels après vaccination (AEFI/ EIAV) : un outil de l’OMS pour un usage mondial. Tozzi AE. Vaccine. 2013.

 

Jacob Puliyel

 

Download (PDF)

 

In: PubMed Commons [Internet]. Bethesda (MD): National Library of Medicine; 2014 Feb 4. Available from: http://www.ncbi.nlm.nih.gov/myncbi/puliyel/comments/

 

LES DECES DANS LES PAYS EN DEVELOPPEMENT COMPTERONT POUR MOINS

 

Tozzi et al. décrivent l’établissement de la causalité pour les effets indésirables post-vaccinaux en utilisant les critères du groupe de travail sur la pharmacovigilance de l’OMS/ CIOMS (Council for International Organizations of Medical Sciences). Les effets indésirables après vaccination (AEFI) constituent tout type d’évènement médical indésirable après vaccination, qu’il soit considéré ou non lié au médicament (une relation causale n’est pas nécessaire dans cette définition). La collaboration de Brighton a classé les réactions selon qu’elles sont : très probables/certaines ; probables ; possibles ; improbables ; non liées ; inclassables, basées sur des critères temporels et des preuves d’explication étiologique alternative. Les décès survenus peu après la vaccination sans explication alternative ont été classés dans la rubrique « probablement liés au vaccin ».

 

LE BESOIN D’UNE NOUVELLE CLASSIFICATION

 

Avec l’usage du vaccin pentavalent (diphtérie, tétanos, coqueluche, Hib et hépatite B) dans les pays en développement, il y a eu beaucoup d’effets indésirables post-vaccinaux mortels. Les experts de l’OMS ont investigué ces décès au Sri Lanka. Ils n’ont pas pu trouver d’explication alternative pour trois décès. Les experts écrivent dans leur rapport qu’ils ont effacé les catégories « probables » et « possibles » de la classification de Brighton et après cela, bien qu’ils ne pouvaient pas imputer ces décès à une autre cause, ceux-ci furent déclarés comme « probablement pas liés au vaccin ». Normalement, l’association à la vaccination aurait dû être classée comme « probable ». Le British Medical Journal (BMJ) a publié une lettre au sujet de cette situation (Saxena KB, 2010).

 

Le rapport du CIOMS/OMS est arrivé après la lettre du British Medical Journal. Le comité, composé de 40 membres (dont 19 étaient des représentants de l’industrie pharmaceutique) ont proposé des changements dans la manière dont les effets indésirables post-vaccinaux sont investigués et rapportés. Le document de 194 pages a de sérieuses conséquences pour les pays en développement.

 

Les définitions des différents cas de figure pour les différents effets indésirables ont été détaillés. Illogiquement, les critères d’inclusion pour les définitions de cas proposées sont trop stricts pour avoir une valeur scientifique dans la plupart des pays. Par exemple, pour diagnostiquer une encéphalite, on a besoin qu’un enfant fiévreux vive au moins 24H après la survenue de l’effet indésirable, qu’il ait subi une ponction lombaire, un électro-encéphalogramme ou une imagerie du système nerveux et au moins un de ces examens doit être revenu positif pour atteindre un niveau 2 de diagnostic (cf p. 73).
 

Supposons qu’une enfant en bonne santé soit vaccinée. Supposons qu’elle développe une forte fièvre endéans les deux heures suivantes, qu’elle soit prise de convulsions, tombe dans un coma puis décède endéans les 10 jours (des variations de pareil scénario se sont produites de façon répétée avec le vaccin pentavalent). En utilisant les définitions du CIOMS/OMS, comme l’encéphalopathie a duré moins de 24H, elle ne peut pas être classée dans la rubrique des encéphalites. Dans beaucoup de pays, les moyens pour la réalisation d’une ponction lombaire peuvent faire défaut, encore plus pour un électro-encéphalogramme (EEG) ou un CT scan/IRM. Sous ce schéma de rapport de cas, ce cas sera classé dans la rubrique des cas pour lesquels « l’information est insuffisante pour distinguer l’encéphalomyélite aigüe disséminée et l’encéphalite » et donc dans les cas « impossibles à classer de façon définitive ».

 

Plus loin, à la page 170 (écrit en très petit), le rapport précise que ce genre de cas doit être classé comme « n’étant pas un effet indésirable post-vaccinal » (« not an AEFI »). Cette dernière étape, qui classe un effet indésirable post-vaccinal en son contraire (un non-effet indésirable post-vaccinal) s’avère de façon flagrante non scientifique, illogique et digne d’Orwell.

Théorie de la dissonance cognitive: quand un acte survient et qu'il est contraire aux croyances (des évaluateurs), ceux-ci tentent de réduire la contradiction en faveur de leurs croyances, d'où qu'ils suppriment des catégories (ex: probable et possible) pour que, dans le doute, cela soit d'office classé comme "non lié"

Théorie de la dissonance cognitive: quand un acte survient et qu'il est contraire aux croyances (des évaluateurs), ceux-ci tentent de réduire la contradiction en faveur de leurs croyances, d'où qu'ils suppriment des catégories (ex: probable et possible) pour que, dans le doute, cela soit d'office classé comme "non lié"

Le scénario décrit pourrait bien avoir été causé par une réaction généralisée de plusieurs systèmes corporels en réaction à un ou plusieurs composants des vaccins. (p. 50) L’encéphalopathie, la fièvre, les convulsions pourraient faire suite à une réponse inflammatoire mais le CIOSM n’a pas de définition pour cela, et leur incapacité à exclure les causes d’encéphalopathie, est suffisante pour classer cette réaction comme n’étant « pas un effet indésirable post-vaccinal ».



Le risque n’est pas simplement théorique. En mars 2013, l’OMS a investigué 12 décès survenus au Vietnam après ce même vaccin pentavalent. Le rapport vietnamien indique qu’ « aucun effet indésirable post-vaccinal mortel n’a jamais été associé à ce vaccin ». Les experts de l’OMS avaient déjà antérieurement classé les décès au Sri Lanka comme étant des « effets indésirables post-vaccinaux probablement pas liés au vaccin ». Le rapport vietnamien établissant qu’aucun effet indésirable post-vaccinal n’a jamais été associé au vaccin suggère que les effets indésirables post-vaccinaux survenus au Sri Lanka ont maintenant été reclassifiés comme n’étant « pas un effet indésirable post-vaccinal ».



Tossi et al. proposent que suite à des évènements pour lesquels il existe une relation temporelle mais avec des preuves insuffisantes que le vaccin en soit la cause, selon des études épidémiologiques bien conçues, des études complémentaires soient encouragées si d’autres évènements similaires ont été également identifiés. Il y a eu 54 décès temporellement liés au vaccin en Inde. Au lieu de les considérer comme un groupe de cas, le nouveau système recherche des cas individuels d’effets indésirables post-vaccinaux pour ensuite les étiqueter comme « n’étant pas liés au vaccin », ouvrant ainsi la voie à beaucoup d’autres décès.
 


Tozzi et ses collègues rapportent différents scénarios cliniques (matériel supplémentaire). Le scénario en Asie vaut aussi la peine d’être considéré. Le vaccin pentavalent est promu de façon sélective dans les pays en développement dotés de systèmes de surveillance insuffisants. 83 décès après la vaccination par le vaccin pentavalent ont été recensés dans les pays asiatiques. Il n’y a pas d’autre explication alternative plausible. La plupart des décès sont survenus après la première dose de vaccin, un peu moins après la deuxième et beaucoup moins encore après la troisième. Ce profil de répartition des décès plaide en défaveur du simple hasard. Ce qui n’empêche pas l’OMS de maintenir qu’une relation de cause à effet n’a pas été établie.

 

Ceci contraste avec ce qui s’est passé en 1998 quand le vaccin Rotashield a été approuvé aux Etats-Unis. Quand les malrotations intestinales ont été rapportées au système de pharmacovigilance américain  (VAERS) et que seuls 12 enfants en furent affectés, le vaccin a été retiré du marché. Personne n’avait alors besoin d’une certitude (pour agir).
 

Un expert de santé publique en Inde, le Dr Y. Jain, a introduit une demande (d’intérêt public) en justice auprès de la Cour suprême pour que ces décès soient investigués. Sa requête stipule que dans les six premiers mois, quand 40 000 doses furent administrées aux enfants dans l’état du sud de Kerala, au moins 5 enfants sont morts. Si on extrapole ces proportions aux 25 millions de bébés nés chaque année en Inde, on pourrait s’attendre à 3125 décès liés au vaccin chaque année. En utilisant les meilleures preuves issues de l’étude de Minz (2008), l’incidence de la méningite à haemophilius influenza b (Hib) en Inde est de 7 cas pour 100 000 enfants de moins de 5 ans. En utilisant la méthode rapide de l’Unicef pour estimer les cas de pneumonie par Hib, 350 cas de pneumonie mortelle par Hib seront évités sur une période de 5 ans en vaccinant une cohorte de 25 millions de nouveau-nés. 3125 décès post-vaccinaux ne peuvent pas être acceptables pour prévenir 350 décès liés au Hib.
 

Le taux de mortalité infantile (IMR) à Kérala est de 14. Sept de ces décès surviennent au cours du premier mois. Les autres sept cas se produisent dans les 11 mois restants de la première année de vie. Le vaccin pentavalent est administré six semaines après la naissance aux bébés qui ont survécu à la période néonatale. Sur les cinq premiers décès post-vaccinaux, quatre se sont produits entre 24 et 48H après la première dose de ce vaccin. Le taux de mortalité des bébés dans les premiers jours après vaccination est de deux à 4 fois plus élevé que le taux habituel de mortalité infantile à Kérala.

 

Les premiers 14 décès au Kérala ont été investigués par les experts en effets indésirables post-vaccinaux. Ils ont rapporté que 6 enfants avaient des facteurs de co-morbidité et que les 8 autres sont décédés de « mort subite du nourrisson » (MSN). Ce taux de mort subite du nourrisson le jour suivant la vaccination est plus élevé que toutes les autres causes de mortalité infantile.

 

Sous ce nouveau schéma, des effets indésirables post-vaccinaux mortels survenant dans les pays en développement seront faussement enregistrés comme n’étant pas liés au vaccin, simplement parce qu’un délai ou certains critères d’évaluation ne seront pas réunis. Le décès est le pire effet indésirable possible. La poursuite de l’usage de ce schéma d’investigation du CIOMS/OMS conduira à manquer des occasions importantes de détecter des signaux d’alerte qui permettraient de sauver des vies. Ceci est dangereux. Peut-être devrions-nous revenir à l’ancienne classification de Brighton.


Source : Jacob.puliyel.com  

 

Le powerpoint complet du Dr Puliyel (en anglais) sur l'investigation biaisée des effets secondaires post-vaccinaux (AEFI)

Vaccins: comment l'OMS manipule les critères pour camoufler les décès

Voir aussi: 

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

Le pipot hypocrite de l'OMS sur son site qui prétend, malgré ce genre d'attitude, veiller à la sécurité des vaccins... !!

 

OMS, faites ce que je dis... mais pas ce que je fais, Editorial de la revue Prescrire de septembre 2007. (Permet de mieux comprendre la schizophrénie de l'OMS, ses doubles discours et le pourquoi d'articles hypocrites comme ceux ci-dessus...)

 

L'OMS continue de trafiquer ses propres critères!

 

L'OMS modifie une nouvelle fois ses critères de pandémie! 

 

Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger

 

L'OMS: pourquoi il ne faut plus la suivre ni en faire partie

 

Politique et corruption à l'OMS (Dr Pascal Sacré) 

 

L'OMS: une menace pour notre santé et nos libertés?

 

L'OMS embourbée dans un nouveau conflit d'intérêts!

 

L'OMS refuse de publier un rapport sur l'utilisation d'uranium appauvri par les Américains en Irak

 

26 enfants décèdent dans des pays pauvres après un vaccin qui avait été approuvé par l'OMS

 

L'histoire tragique de 37 décès d'enfants à la suite d'un "bon vaccin"

 

L'Unicef pétoche et surveille le "sentiment anti-vaccins" sur les sites internet et dans les médias sociaux

 

Mortalité infantile plus élevée dans les pays qui vaccinent le plus

 

Les experts indiens en matière de vaccination s'interrogent sur le programme de vaccination

 

Vaccination polio en Inde: la maladie causée par le vaccin, deux fois plus meurtrière

 

"Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme" (Dr J.B Classen, BMJ)

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21 novembre 2015 6 21 /11 /novembre /2015 13:56

L'Afrique est en train de se réveiller sur les vaccins et elle a la gueule de bois

Dénonciation par la population camerounaise des essais du vaccin anti-Ebola, critiques des médecins kenyans sur les vaccins antitétaniques (contaminés par des hormones stérilisantes), scandale des vaccins anti-papillomavirus et maintenant aussi des vaccins anti-malaria,... la population africaine s'éveille de plus en plus à l'ampleur du scandale vaccinal.

 

Cameroun - Vaccin contre Ebola: Un essai du vaccin annoncé au Cameroun divise les opinions

 

Yaoundé, 2 novembre 2015

 

Géraldine Ivaha, Cameroon-Info.net

 

Le test du vaccin ChAd3-EBO-Z serait, pour certains, un moyen d’inoculer le virus aux personnes saines.

 

André Mama Fouda, Ministre camerounais de la Santé controversé 

Vendredi 30 octobre 2015 le Ministre de la Santé (MINSANTE) André Mama Fouda a annoncé que le Cameroun a été choisi parmi les 5 pays africains qui devront servir de cobayes pour les essais de phase 2 du vaccin ChAd3-EBO-Z. Un échantillon de 3000 “volontaires” adultes est visé pour administration par voie intramusculaire d”une dose de vaccin expérimental. Les laboratoires GlaxoSmith-Kline ont jugé les résultats expérimentaux sur des macaques -une espèce connue de singe- concluants.

 

Les populations du Mali, du Sénégal, du Nigeria, du Ghana et du Cameroun sont donc la cible de cette phase expérimentale du vaccin sur l’Homme. D’après le Quotidien Emergence du lundi 2 novembre 2015, la moitié de ces sujets recevra le vaccin au premier jour, alors que l’autre moitié recevra un placebo avant de subir une injection de vaccin 6 mois plus tard.

 

“La décision de conduire l’essai au Cameroun a été prise, car, la population sera différente de la population incluse dans les études de phase 1 et pour garantir une population d’étude se rapprochant le plus possible de la population globale ciblée pour un vaccin éventuel de protection contre la maladie a virus Ebola en Afrique Centrale”, explique Andre Mama Fouda MINSANTE.

 

Pour lui, bien que n’ayant pas été touché par l’épidémie, la position géographique du Cameroun lui octroie le droit de faire partie de cette liste de pays car étant proche des pays ayant été touchés par l’épidémie.

 

Par contre, pour un biologiste, enseignant à la faculté de médecine de Yaoundé, qui a requis l’anonymat, rien ne prouve alors que ce n’est pas le virus d’Ebola qui vient d'être inoculé en lieu et place du vaccin en question. “Quand on parle de vaccin, il s’agit d’une préparation qui a été faite à base du virus, des antitoxines du microbe qui ont été extraites. Autrement dit, ce sont des anatoxines du microbe qu’on inocule à l’être vivant afin qu’il puisse résister contre les toxines que le virus pourrait produire”, confie-t-il dans les colonnes du journal.

 

Pour le biologiste, le vaccin pourrait plutôt rendre les organismes vulnérables au virus de la fièvre Ebola. “Cela a été le cas du Synosil qui avait été employé comme pour le virus du SIDA avec les prostituées à Douala”.

 

Par ailleurs le Gouvernement camerounais rassure qu’en cas d’urgence, “un système de référence au centre des urgences de Yaounde, au centre hospitalier d’Essos et à l’hôpital régional de Bamenda est envisagé(…) pour prendre en charge ou indemniser les candidats aux essais”. Ce qui n’est pas pour rassurer le biologiste car d’après lui, “en parlant d’épidémie virale, le fonctionnement d’une veritable cellule d’urgence ne correspond pas à ce que nous voyons au Cameroun”, renchérit-il.

 

La vétusté des centres hospitaliers au Cameroun ne sont pas vraiment un gage de sécurité sanitaire quant à la maitrise des échantillons cibles. A en croire les lignes du journal les laboratoires auraient beaucoup à gagner dans ce genre de “business du vaccin et il est “impensable et inadmissible qu’on teste un vaccin dans un pays à propos d’une maladie qui n’existe pas dans ledit pays”, lit-on.

 

Le virus Ebola a surgi il y a deux ans en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée Conakry. Jusqu’ici, aucun cas n’a été détecté au Cameroun.

 

Pour cette raison, les biologistes pourraient penser que les essais du vaccin anti-Ebola ne seraient qu’un moyen de faire des rentrées d’argent dans les caisses de l’Etat, au détriment de la santé des populations. L’épidémie d’Ebola a déja fait 2097 morts en Afrique de L’Ouest d’après un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié le 15 septembre 2015.

 

Géraldine IVAHA

 

Source: Cameroon-Info.net

 

Cameroun - Test d’un vaccin à virus Ebola: Les populations de Bamenda inquiètes de l’engagement des pouvoirs publics

 

Yaoundé, 19 novembre 2015, Onana N. Aaron, Cameroon-Info.net

 

Elles réclament plus d’information sur le procédé, et s’indignent sur l’accord du gouvernement pour l’exécution de ce test au Cameroun.

 

La maladie à virus Ebola a fait des ravages en Afrique occidentale. Notamment, au Libéria, en Guinée et en Sierra Léone. La communauté scientifique internationale sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé s’active à trouver des voies et moyens pour barrer définitivement la route à cette épidémie.

 

Au Centre agréé de l’hôpital régional de Bamenda (Nord-Ouest), l’un des deux sites choisis par les pouvoirs publics, l’on enregistre déjà 170 personnes qui se sont soumises volontairement au test du vaccin contre la fièvre à virus Ebola. Seulement, la campagne a été interrompue sur instruction des autorités sanitaires. Celles-ci attendent de faire le point sur la polémique qui enfle autour de cette campagne. En effet, les habitants de la ville se plaignent de n’avoir pas reçu plus d’information sur la campagne. D’où la désinformation et l’idée qui se répand selon laquelle la maladie est en train d’être injectée aux personnes saines.

 

Le ministre de la Santé publique (MINSANTE), André Mama Fouda, a donné un point de presse à Yaoundé mercredi 18 novembre, pour apporter des éclairages sur ce test du vaccin à virus Ebola. «Cette phase II vise à recueillir les données fiables sur la sécurité d’emploi et l’immuno génicité du vaccin après une dose intramusculaire unique du vaccin expérimental. Ainsi, les effets secondaires éventuels seront enregistrés chez tous les sujets et la qualité de la réponse immunitaire, ce pendant un an», a indiqué le MINSANTE.

 

Au Cameroun, deux sites ont été sélectionnés par le ministère de la Santé publique : le Centre Pasteur du Cameroun à Yaoundé et l’hôpital régional de Bamenda. Et chaque site va inclure deux cent sujets, apprend-on. «L’essai a reçu l’autorisation du Comité national d’éthique et de la Division de la recherche opérationnelle en santé du ministère de la Santé publique, et vient de débuter fin du mois d’octobre», a souligné André Mama Fouda.

 

Comme pour rassurer les sceptiques, le ministre de la Santé a indiqué que «les deux sites disposent des capacités de vaccination, des suivis cliniques, d’analyse de laboratoire. Et en cas d’urgence médicale, un système de référence au Centre des urgences de Yaoundé, au Centre hospitalier d’Essos, de même qu’au service des urgences de l’hôpital régional de Bamenda, ce dispositif a été mis en place».

 

En rappel, le recrutement des sujets se fait d’une manière volontariste et consentante dans diverses communautés de Yaoundé et Bamenda : dans les quartiers, dans les établissements de santé, dans nos universités, dans les marchés… Ces essais exigent que les sujets qui souhaitent y participer soient en bonne santé.  

 

Onana N. Aaron

 

Source: Cameroon-info.net
 

Vaccins contraceptifs : le boycott de l’Église d’Afrique

 

EXCLUSIF MAGAZINE - Pour la deuxième année consécutive, l’Église d'Afrique boycotte une curieuse campagne de vaccination organisée par le ministère de la Santé, en lien avec l’Onu. 

©Stuart-Price-CC

Le torchon brûle entre l’Église kenyane et le ministère de la Santé du pays. Pour la deuxième fois consécutive, la Conférence épiscopale kenyane a choisi de boycotter une campagne officielle de vaccination. Après la polémique entourant le vaccin contre le ténanos l’an dernier, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants, c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans.

« Nous demandons, déclaraient ceux-ci le 28 juillet dernier, le report de cette campagne prévue à partir du 1er août, dans l’attente de garantie sur la sûreté de ces vaccins. En cas contraire, nous demanderons aux Kenyans de ne pas participer à cet exercice. »

Des vaccins contre les naissances

Cette demande étant restée lettre morte, les évêques ont sans plus tarder demandé à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique – et elles sont nombreuses – de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé. « Je peux vous certifier », explique le Dr Wahome Ngare, de l’Association des médecins catholiques kenyans, « qu’aucune institution de santé catholique n’a participé à la campagne de vaccination contre la polio. » D’où vient une telle réticence des évêques, qui entretiennent habituellement des relations plutôt correctes avec l’État kenyan, à l’égard d’une campagne de vaccination orchestrée par le ministère de la Santé ?

Elle s’enracine en premier lieu dans la suspicion née autour de la campagne de vaccination contre le tétanos menée en 2014 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Unicef, avec la bénédiction de l’État kenyan. Avant la deuxième phase de cette campagne, en octobre 2014, l’Église avait posé « quelques questions » dans un communiqué de presse, en particulier sur la fiabilité des vaccins utilisés. « Nous ne sommes pas convaincus, disaient-ils, que le gouvernement ait pris les mesures adéquates pour s’assurer qu’au vaccin tétanos-toxoïde n’ait pas été ajoutée l’hormone Béta-HCG. » Une hormone produite lors de la grossesse par l’ovule fécondé qui fait depuis plusieurs décennies l’objet de recherches et de tests, à des fins « immuno-contraceptives » , menées par les plus grandes instances mondiales préoccupées de réduire la population et d’améliorer toujours plus les techniques contraceptives ou crypto-abortives.

L’Église fait mener des tests

« Lorsqu’est injecté à une femme non enceinte un vaccin associant tétanos-toxoïde et hormone Béta-HCG, expliquent encore les évêques, cet alliage développe des anti-corps à la fois contre le tétanos et contre l’HCG, de sorte que lorsqu’un ovule est fécondé, l’hormone HCG qu’il produit est détruite, en rendant cette femme de manière permanente infertile. » Autant dire que l’accusation est grave. L’histoire prend alors un tour dramatique. Fort de cette inquiétude, l’Église demande alors au ministère de la Santé kenyan de procéder à des tests sur les vaccins employés. Celui-ci s’y refuse. L’Église fait alors elle-même mener des tests par des laboratoires indépendants. Sur neuf vaccins, trois contiennent l’hormone Béta-HCG. Ces résultats sont rejetés par le gouvernement, qui critique la méthodologie employée pour les tests.

Le ministère kenyan indique de son côté avoir fait des tests et assure que les vaccins employés sont sûrs. Devant cette contradiction, la Commission parlementaire kenyane chargée de la santé demande la mise en place d’une Commission conjointe alliant Église et ministère de la Santé. Celle-ci est notamment chargée de vérifier les tests effectués par les deux parties. Au cours des travaux de cette commission, il apparaît clairement que le ministère de la Santé n’a en fait procédé à aucun test préalable.

La reconduction des analyses sur les neuf vaccins précédemment testés par l’Église confirme les résultats initiaux : trois d’entre eux contiennent l’hormone Béta-HCG. Sur la base de cette conclusion, l’Église catholique demande début 2015, dans un communiqué signé des évêques kenyans, le cardinal John Njue en tête, qu’aucune autre campagne de vaccination de masse contre le tétanos n’ait lieu au Kenya sans que les vaccins aient été préalablement testés et qu’on ait prouvé qu’ils étaient sûrs.

Assurer des vaccins de qualité

Avec la malaria, l’accusation de l’Église catholique est portée de manière un peu différente. Elle n’exprime pas directement d’accusations anti-natalistes.

Assez habilement, elle se concentre sur la qualité du vaccin, exigeant de l’État qu’il fournisse des « garanties » sur les produits employés, et demandant le boycott tant que celles-ci n’ont pas été données. « Nous ne sommes pas en conflit avec le ministère de la Santé, assurent les évêques, mais nous avons un devoir apostolique et moral de garantir aux Kenyans un accès à des vaccins sûrs. » L’association des médecins catholiques, de son côté, n’a pas attendu pour faire de nouveaux tests. « Nous avons constaté que le vaccin était contaminé avec de l’estradiol », disent-ils. « Chez beaucoup de filles, explique le Dr Karanja, président de l’association, cela entraîne une puberté précoce, avec des règles qui peuvent arriver entre 7 et 9 ans. Chez les garçons, leur développement est au contraire altéré, avec de nombreuses pathologies testiculaires. C’est du contrôle de la population impitoyable et barbare. »

Source: Famillechrétienne.fr

Gardasil: le danger se précise pour les fillettes rwandaises et africaines 

 

23 juillet 2011, Clarisse Rugwiro, Jambonews.

 

Ce mardi 19 juillet a été lancée une semaine contre le cancer du col de l’utérus au Rwanda. Rappelons que la campagne de vaccination a été lancée depuis la fin du mois d’avril 2011, avec les vaccins gracieusement offerts par Merck®.

 

Vaccination d'une fille rwandaise

Vaccination d'une fille rwandaise

 

Par ailleurs, ces campagnes de vaccination massives se poursuivent ailleurs sur le continent africain, notamment au Sénégal, à l’île Maurice ainsi que dans certains territoires de la France d’outre-mer.

 

A propos de la France, c’est de là que part une nouvelle controverse, cette fois-ci avec des preuves vivantes. En effet, le 8 juillet deux jeunes filles ont déposé des demandes d’indemnisation auprès de la CRCI (Commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux )de Lyon, suite aux problèmes de santé chroniques apparus après administrations du Gardasil®. En effet, les deux jeunes filles ont présenté des symptômes de types paralysie temporaire des membres inférieurs, des vertiges des crampes abdominales, la photophobie, qui sont devenus chroniques. Un diagnostic de polyradiculonévrite chronique a été posé chez l’une d’elles (Laura Agnès, 16 ans, elle en avait 14 quand elle a reçu le vaccin).

 

Aussi un collectif de médecins de la Réunion (France d’outre mer) a adressé un courrier au ministre de la santé français, Mr Xavier Bertrand, pour lui faire part de ses inquiétudes par rapport aux campagnes de vaccination massive des fillettes un peu partout dans ces territoires. Selon ce collectif, ces campagnes sont basées sur une « peur injustifiée », qui est entretenue surtout par des campagnes médiatiques et publicitaires. En effet, depuis 1980, on n’observe qu’une baisse de recrudescence de ce cancer, essentiellement due au dépistage précoce du HPV (Papilloma virus). Selon ce collectif, le dépistage reste le plus grand moyen de prévention de ce cancer. Ils vont plus loin en demandant une remise en question de l’autorisation de mise sur le marché européen du Gardasil®, ainsi que la suspension du remboursement de ce dernier en France, en attendant d’avoir les preuves solides sur son efficacité.

 

De plus un article du New England Journal of Medecine paru en 2008 affirmait qu’il manquait encore des preuves tangibles quant à l’efficacité du vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

 

Partant de ces informations, il serait judicieux de se demander ce que cachent ces campagnes massives de vaccination.

 

S’agit-il d’une campagne massive de test à grande échelle du même vaccin controversé ?

 

Ou encore d’une autre variante en étude rapide et à grande échelle, pour pouvoir remplacer la variante défectueuse sur le marché européen ?

 

Ou alors une manière d’écouler le stock défectueux tout en faisant une étude clinique, avant de le retirer ou de lancer un autre à la place ?

 

Quoi qu’il en soit, avec ce vaccin, les futures femmes rwandaises et africaines courent un danger imminent.

 

Il serait temps de lancer une campagne anti – Gardasil sur le continent africain.

 
Clarisse Rugwiro
 
Source: Jambonews.net
 
Quelques éléments additionnels de réflexion laissés à l'appréciation de chacun:
 
* La vidéo de Bill Gates, extrait de son discours lors de la conférence "Innover vers zéro" en Californie, en 2010 dans laquelle il disait notamment: « si nous faisons réellement un bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de médecine reproductive, nous pourrions réduire la population mondiale de 10 à 15% » (voir à partir du temps 2'06''):

* Article de Nexus n°68 de mai-juin 2010 sur le lien entre surpopulation et eugénisme (médical) ainsi que sur les vaccins stérilisants

 

* Propos de Christian De Duve, Prix Nobel de Médecine (en 1974), parus dans le Journal du Médecin en 2009: 

 
"Si nous continuons à nous multiplier au rythme actuel, nous courrons à la catastrophe. Durant ma vie, la population du monde aura quadruplé. C'est un train fou qui est lancé et cela ne peut que continuer de manière exponentielle si nous ne prenons pas de mesures adéquates. Il vaut mieux limiter les naissances plutôt que d'éliminer les gens par des guerres. Mais je sais que le contrôle démographique pose des questions éthiques. Je laisse ce type de discussions aux spécialistes, mais je leur dis quand même: faites-le comme vous voulez, pourvu que vous le fassiez. C'est le résultat qui compte."
 
* Propos du philosophe Hans Jonas dans son livre "Technique, médecine et éthique" (1985), ce philosophe étant considéré comme une des grandes références philosophiques en matière d'éthique:
 
« La science médicale et l’art ont ici une responsabilité particulière et inédite car eux seuls peuvent imaginer et employer les méthodes humaines encore éthiquement acceptables de limitation des naissances, qui devancent le génocide et l’infanticide impitoyables dans une situation catastrophique où ne prévaut plus que le « sauve qui peut ». [ …] La médecine est d’autant plus obligée de prévenir par ses moyens propres la malédiction menaçante née de sa propre bénédiction […]. Puisque moralement, elle ne peut pas remédier au problème par l’interruption de sa propre causalité, c’est-à-dire par le retrait de ses services qui favorisent la vie, elle doit le faire en les maintenant joints à des contre-services qui la freinent, en guise de correctifs à ses succès. » (p.55-56)
 
 
Voir aussi: 
 
La vaccination en Afrique pose de gros problèmes éthiques
 
De l'eau et de la nourriture? NON! Des vaccins, oui
 
Vaccin contre la malaria: vers une grande expérimentation en Afrique, contraire au Code de Nuremberg
 
Malaria: le vaccin encore moins efficace qu'annoncé chez les nourrissons
 
Les vaccins contre la malaria peuvent rendre le parasite plus agressif
 
Vaccin (Prevenar) dans le Tiers Monde: le principe des soldes
 
Vaccinations forcées contre la polio en Afrique (récit des Drs Eudier et Tarte au terme de leur voyage au Congo)
 
Le harcèlement vaccinal en Afrique: voici comment ça se passe
 
Les essais forcés du vaccin Ebola se poursuivent au Ghana
 
Afrique: les mères fuient la vaccination des enfants suite aux craintes engendrées par les essais du vaccin Ebola
 
Ebola: prétexte en or pour une vaccination forcée? Enquête...
 
Ebola: "le vaccin est sûr ...mais les effets secondaires sont intenses!"
 
Hausse de 300% des cas de polio après des grandes campagnes vaccinales en Afrique comme le rapportait l'Encyclopédia Universalis de 1988.
 
Aveux explosifs sur les vaccins contre la variole et la polio
 
Variole: aveux explosifs sur le vaccin a posteriori
 
La fin de la vaccination contre la variole a pu contribuer à la flambée du VIH
 
Variole: le mythe de la vaccination éradicatrice (s'informer AVANT que cela ne recommence)
 
L'Unicef, prête à tout pour fourguer ses vaccins, même à manipuler les groupes religieux?
 
Vaccins: l'OMS avoue qu'elle met la santé du monde en danger
 
Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi
 
Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "On ne sait pas comment marchent les vaccins!"
 
Pr Luc Montagnier: "Les vaccinations de masse ont été désastreuses" 

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20 mai 2015 3 20 /05 /mai /2015 08:41

Le harcèlement vaccinal en Afrique: voici comment ça se passe

Santé : un médecin congolais s’oppose à la vaccination de son enfant

 

 

C’est rare de voir qu’un professionnel de santé, de surcroît un médecin,  puisse refuser que son enfant soit vacciné. Et pourtant, c’est bien ce qui vient de se passer à Matadi dans la province du Kongo-central.

 

Dans le cadre de la commémoration de la semaine africaine de vaccination du 27 avril au 2 mai sur le thème "Communautés vaccinées, communautés sauvées", six provinces de la RDC ont organisé des journées locales de vaccination contre la polio intégrée à la supplémentation en vitamine A et au déparasitage au mebendazole. Il s’agit du Nord-Kivu, Kinshasa, Equateur, Bandundu, Province- Orientale et Kongo-central, ex-Bas –Congo.

 

Dans la province du Kongo-central, dans la zone de Santé de Matadi, si globalement la campagne de vaccination des enfants contre la polio s’est bien déroulée, comme l'a  déclaré la ministre provinciale à la Santé, le Pr Mambu Niangi, à l’issue de la réunion du comité provincial de coordination qu’elle a présidée dans la salle de réunion de la Direction provinciale du programme élargi de vaccination, on a toutefois noté des cas de résistance dans les neuf aires de santé de la zone de santé de Matadi, notamment dans l’aire de santé de Mpozo, Hygiène B, Soyo.

 

Mais tous ces cas de refus ont été récupérés parce qu’après la descente du médecin chef de zone de Matadi, par exemple  à l’aire de santé Hygiène B au quartier Nsansa ditumba, des enfants dont les parents avaient refusé qu’ils soient vaccinés l’ont été. Dans la zone de santé de Nzanza,  treize cas de refus ont tous été récupérés.

 

Treize autres cas de résistance ont été signalés dans la zone de santé de Nzanza dans le district sanitaire de Matadi. Mais ils ont tous  été récupérés. Il s’agit de l’aire de santé de Banana où six enfants ont été vaccinés, Epon deux enfants, Baobab trois enfants, Kitomesa un enfant et Nzinga lutete, un enfant.

 

Cependant le cas de refus, qui a suscité plus de bruit dans la ville de Matadi, est celui d’un chirurgien–dentiste. Celui –ci a tout simplement refusé que son enfant soit vacciné contre la polio. Les vaccinateurs qui s’étaient rendus en sa résidence ont été surpris de constater qu’un professionnel de santé puisse s’opposer à la vaccination. Le cas a été rapporté à la réunion du soir du comité local de coordination.

 

À l’issue de cette réunion, le médecin chef de zone, le Dr Goethe Makindu, décidera le lendemain d’aller voir son collègue. Mais quelle ne sera pas la surprise de l’équipe qui accompagnait le médecin chef de zone de Matadi ? La femme reçoit froidement le collègue de son mari. A la fin, l’équipe du médecin chef de zone  de Matadi a été éconduite par l’épouse du chirurgien-dentiste qui a refusé de prêter attention aux explications de la superviseure provinciale du programme national de nutrition.

 

Toutes tentatives pour vacciner l’enfant  du chirurgien-dentiste se sont avérées sans succès. Car, joint au téléphone par le chef de division provincial à la santé, le Dr Jacques Kimfuta, le chirurgien-dentiste fait savoir qu’il est à Kinshasa. Jusqu’au dernier jour de la campagne de vaccination, l’enfant du médecin n’a pas malheureusement été vacciné.

 

Aline Nzuzi

 

Source : Adiac-Congo.com

 

L'article qui précède démontre l'absence totale de liberté vaccinale dans ces pays où, quand les parents (qui ont en général fort mûrement réfléchi leur décision avant) disent "non aux vaccins!", les autorités disent "oui" à leur place et "récupèrent" leurs enfants, c'est-à-dire les vaccinent quand même de façon forcée et contre l'avis parental, comme cela se fait déjà dans nos pays riches dits "plus démocratiques". L'attitude partiale des médias (ici de ce média congolais) montre aussi que les journalistes occidentaux n'ont pas à être particulièrement fiers puisqu'ils sont finalement tout aussi soumis que les journalistes des pays pauvres (qui eux, ont nettement moins de moyens disponibles pour investiguer vraiment les sujets qu'ils relatent).

 

Voir aussi: Afrique & vaccination (chronique d'un voyage au Congo par deux professionnels de santé français, en 2007)

 

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 11:00

Convention européenne de Minamata: le mercure doit être banni mais pas des vaccins!

MERCURE fotoliaLa Commission Européenne soumet l'application de la Convention de Minamata sur le mercure à une consultation ouverte à tous jusqu’au 14 novembre. L'une des questions de cette consultation concerne le mercure dentaire et son éventuelle interdiction Par contre sont exclus les vaccins contenant du thimérosal comme conservateur. Ben oui, il faut bien que les pauvres enfants du Tiers-Monde continuent d’être arrosés de mercure puisque ceux-ci reçoivent en majorité des vaccins de fioles multidoses plus riches encore en mercure. Merci Bill Gates, Unicef, OMS etc. autant d’instances en faveur de ces pratiques non éthiques…ce qui est dangereux dans les dents des occidentaux serait bon dans les seringues pour les enfants du Tiers Monde, allez comprendre…

 

Convention de Minamata sur le mercure

Les Parties à la présente Convention,  

Reconnaissant que le mercure est une substance chimique préoccupante à l’échelle mondiale ….

 

Article premier

Objectif

L’objectif de la présente Convention est de protéger la santé humaine et l’environnement contre les émissions et rejets anthropiques de mercure et de composés du mercure…

 

Mais voilà, on peut lire …

 

Annexe A

 

Produits contenant du mercure ajouté


Les produits ci-après sont exclus de la présente Annexe :


a) Produits essentiels à des fins militaires et de protection civile;

b) Produits utilisés pour la recherche, pour l’étalonnage d’instruments, comme étalon de référence;

c) Lorsqu’aucune solution de remplacement faisable sans mercure n’est disponible, commutateurs et relais, lampes fluorescentes à cathode froide et lampes fluorescentes à électrodes externes pour affichages électroniques et appareils de mesure;

d) Produits utilisés dans des pratiques traditionnelles ou religieuses; et

e) Vaccins contenant du thimérosal comme conservateur.

 

Texte de la convention : ICI

 

NB: Intéressant de voir comment on peut aussi faire dire tout et n'importe quoi à des études dites "scientifiques". Ici, une publication de 2007 dans le New England Journal of Medicine qui osait affirmer,  tenez-vous bien, "qu'une exposition pré-natale accrue au mercure à été associée à de bien meilleures performances sur l'évaluation neuropsychologique du développement", tout en trouvant d'autre prétendus meilleures performances du développement pour les enfants lors d'une exposition dans les 28 premiers jours de vie ainsi que dans les 7 premiers mois. Ils ont donc été capables de rédiger une étude scientifique pour tenter de convaincre la population, non seulement que le mercure, neurotoxique notoire, n'est pas néfaste pour la santé, mais carrément qu'il permettait d'améliorer les performances neuropsychologiques des enfants. Incroyable pour qui ne sait pas comment la science fonctionne, voir notamment ici notre article explicatif: Ethique vaccinale & prostitution de la Science

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9 octobre 2014 4 09 /10 /octobre /2014 19:56

Vaccins et décès d'enfants: l'Inde poursuit la Fondation Bill Gates

Vaccins : L’Inde poursuit la Fondation Bill et Mélinda Gates

 

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Édifiant – Vaccins : L’Inde poursuit la Fondation Bill et Mélinda Gates pour avoir testé sans leur consentement des vaccins sur des enfants (lls auraient provoqué 10 000 décès liés à la vaccination rien qu’au Pakistan) !

 

Décidément, le nom de GATES et de leur fondation ressort beaucoup en ce moment, notamment quant à l’EBOLA dont on a déjà parlé :

 

Un laboratoire d’armes biologiques US en Sierra Leone , à l’épicentre de la flambée de fièvre Ebola : De la Fondation Soros a la Fondation Bill et Melinda Gates !

 

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Lisez c’est édifiant, ils ont forcé des enfants à se faire vacciner, initié et diffusé des programmes de vaccination « préventifs » nocifs voir mortels, testé des vaccins sur les populations locales, notamment les enfants, et beaucoup en sont morts ou sont tombés malades… en Inde , Afrique etc …

 

Alors, théorie du complot ?

 

Ça provient d’un rapport de quatre pages qui a été récemment publié par the Economic Times en Inde (et aussi d’autres rapports, dont officiels) …c’est du sérieux !


Ah le gentil Bill GATES qui met ses dizaines de milliards de $ pour sauver les enfants d’Afrique (déjà il ne dépense que les intérêts de sa fortune …), n’est qu’un mythe, pire, c’est un mensonge éhonté !  

 

C’est tout le contraire en fait, ils répandent la mort chez les enfants pauvres, et on a des sources indéniables.

 

Revue de presse 2013-2014 Z@laresistance

 

Bill Gates face à un procès pour avoir testé sans consentement le vaccin sur des enfants en Inde; il semble que ses crimes contre l’humanité l’ont finalement rattrapé.


Un récent rapport publié par Health Impact News a indiqué que la Fondation Gates s’est trouvée face à un procès en cours, en raison d’une enquête qui est menée par la Cour suprême de l’Inde.

 

Health Impact News a déclaré: 

 

« Bien que la fraude et la corruption soient révélées sur une base quasi quotidienne maintenant dans l’industrie du vaccin, les grands médias US continuent d’ignorer largement ces histoires hors des États-Unis, cependant, les empires de la vaccination commencent à s’effriter, tout comme les informations provenant des versions anglaises des médias grand public qui sont disponibles sur Internet. 

 

Un de ces pays est l’Inde, où la Fondation Bill & Melinda Gates et leur empire de vaccins sont sous les feux des projecteurs, une instance contre eux est actuellement en cours d’étude par la Cour suprême de l’Inde ». [1] 

 

L’article de Health Impact News est centré en grande partie sur un rapport de quatre pages qui a été récemment publié par the Economic Times en Inde. 

 

Désireux d’en savoir plus, j’ai étudié leur histoire et découvert que l’Organisation mondiale de la Santé, la Fondation Gates et deux organismes financés par eux, le PATH (Programme for Appropriate Technology in Health) et l’Alliance GAVI (Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination), se sont retrouvés sous les feux des projecteurs après une pétition à l’origine soumise à la Cour suprême de l’Inde, par Kalpana Mehta, Nalini Bhanot et le Dr Rukmini Rao en 2012, qui  a finalement été entendue par les tribunaux…

 

Les pétitionnaires ont déclaré:

 

« BMGF, PATH et l’OMS ont été criminellement négligents dans des expérimentations de vaccins et leurs effets secondaires, sur une population vulnérable, sans instruction et sous-informée  dont les administrateurs scolaires , les étudiants et leurs parents n’ont pas été informés et ont donné leur consentement sans être éclairés ou conseillés sur les effets indésirables potentiels ou qui doivent être surveillés. » [2]   

 

Les jeunes filles testées avec des vaccins HPV

 

L’Economic Times of India a publié son rapport en Août 2014. Ils ont déclaré que, en 2009, des tests ont été effectués sur 16 000 enfants des écoles de  l’Andhra Pradesh, en Inde, en utilisant le vaccin papillomavirus humain (HPV), le Gardasil.

 

Selon le rapport rédigé par KP Narayana Kumar, dans le mois de la réception du vaccin, de nombreux enfants sont tombés malades et, en 2010, cinq d’entre eux étaient morts. Deux autres enfants auraient trouvé la mort dans Vadodara, Gujarat, où l’on estime à 14.000, les enfants des tribus  locales qui ont été vaccinés avec une autre marque du vaccin contre le VPH, Cervarix, fabriqué par GlaxoSmitheKline (GSK).

 

Ce qui est choquant, c’est que le rapport indique que la plupart des formulaires de consentement utilisés pour vacciner les jeunes filles ont été signés «illégalement», soit par les gardiens des auberges où beaucoup de filles résidaient, ou en utilisant les empreintes digitales de parents analphabètes.

 

Cette parodie n’a pas été découverte jusqu’à ce qu’une équipe de militants de la santé de l’organisation non gouvernementale SAMA, une organisation spécialisée dans la santé des femmes, ait décidé d’enquêter sur ce qui s’était passé.

 

Selon le rapport, ils ont été choqués de découvrir qu'un total de 120 filles étaient malades, souffrant d’une variété de symptômes, y compris « des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. »

 

Cette information est d’autant plus choquante quand vous découvrez que l’organisation qui avait financé l’étude n’était autre que la Fondation Bill et Melinda Gates, qui a déclaré le projet comme étant une réussite totale.

 

Kumar a écrit:

 

«Selon la Fondation Gates, l’OMS, la Fédération internationale de gynécologie et d’obstétrique, et la Fédération des sociétés d’obstétrique et de gynécologie de l’Inde ont tous recommandé la vaccination » à titre préventif, éprouvée et très efficace pour le cancer du col utérin. ‘ Les vaccins  utilisés dans ce projet sont autorisés en Inde et ont été administrés en toute sécurité des dizaines de millions de fois dans le monde , ce qui a empêché d’innombrables cas de maladies, de cancer , et de décès », soutient un porte-parole de BMGF dans une réponse envoyée par courriel (voir GAVI et PHFI … »

 

«Le rôle de BMGF dans le financement des études controversées, cependant, a conduit de nombreux militants de la santé en Inde à exprimer leurs appréhensions. « Le BMGF doit assumer l’entière responsabilité parce que ce domaine est financé par lui. C’est également contraire à l’éthique quand les gens qui défendent la cause des vaccins sont les mêmes que ceux qui investissent dans le développement de vaccins », a déclaré V Rukmini Rao, l’un des militants qui ont déposé une pétition devant la Cour suprême dans le cadre des études sur les vaccins contre le VPH. » [3]

 

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La Fondation Gates, l’OMS, le PATH, GAVI, l’UNICEF derrière les désastres des vaccins au Tchad

 

En Décembre 2012, dans le petit village de Gouro, au Tchad, en Afrique, situé sur le bord du désert du Sahara, cinq cents enfants ont été enfermés dans leur école, menacés que s’ils n’étaient pas d’accord pour être vaccinés de force avec un vaccin contre la méningite A, ils ne pourraient pas poursuivre leurs études.

 

Ces enfants ont été vaccinés à l’insu de leurs parents. Ce vaccin est un produit sans licence qui en est toujours à ses troisième et quatrième phases de test.

 

En quelques heures, cent six enfants ont commencé à souffrir de maux de tête, de vomissements, de convulsions incontrôlables sévères et de paralysie. L’attente d’un médecin par les enfants a commencé. Ils ont dû attendre une semaine complète pour qu’un médecin  arrive, alors que l’équipe de vaccinateurs avait procédé à la vaccination d’autres enfants dans le village.

 

Lorsque le médecin est finalement arrivé, il ne pouvait rien faire pour les enfants. L’équipe de vaccinateurs, en voyant ce qui était arrivé, a fui le village dans la peur.

 

Le rapport original fut rapporté  dans un petit journal local appelé La Voix, le seul journal à avoir publié l’histoire originale; il a déclaré que quarante enfants ont finalement été transférés dans un hôpital de Faya et envoyés plus tard par avion à deux hôpitaux de N’Djamena, la capitale du Tchad.

 

 


Une enquête gouvernementale dit que le GAVI est responsable de multiples décès


Malgré le fait que la Fondation Gates dit de ses vaccins que c’est  « l’un des meilleurs achats pour la santé mondiale», une enquête gouvernementale au Pakistan a découvert tout le contraire.

 

En 2011, l’Express Tribune a publié un article indiquant que:

 

« ISLAMABAD: Une enquête du gouvernement a constaté que les vaccins contre la polio pour les enfants, financés par l’Alliance mondiale pour les vaccins, et la vaccination sont à l’origine de décès et d’incapacités dans tous les pays régionaux, y compris le Pakistan.

 

Cette révélation surprenante fait partie d’un rapport d’enquête préparé par la Commission d’inspection du Premier ministre (PMIC) sur le fonctionnement du Programme élargi de vaccination (PEV). Le PMIC, dirigé par Malik Amjad Midi, qui a recommandé que le Premier ministre Youssouf Raza Gilani suspende immédiatement l’administration de tous les types de vaccins financés par le GAVI « Selon l’ Express Tribune , les principales vaccinations en question étaient le vaccin contre la polio et le vaccin 5-en-1 pentavalent, dont on a prouvé qu’ils sont responsables de la mort et de l’invalidité d’un certain nombre d’enfants au Pakistan, en Inde, au Sri Lanka, au Bhoutan et au Japon.

 

Les vaccins ont été financés par l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) une organisation financée par le Programme de vaccination de la fondation pour enfants Bill et Melinda Gates , la Fédération internationale des associations de fabricants de produits pharmaceutiques, la Fondation Rockefeller, le Fonds (UNICEF) des Nations Unies pour l’enfance, l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) et la Banque mondiale.

 

Sur le rapport officiel, l’Express Tribune, qui l’a examiné en exclusivité,  a déclaré :« Le rapport indique que : « Les vaccins achetés ne sont pas testés dans les laboratoires afin de confirmer leur efficacité et leur authenticité. Cela laisse place à l’utilisation de vaccins parasites et de contrefaçon. » [7] (souligné dans l’original)

 

Si cela est vrai, alors une fois de plus la Fondation Gates a été liée à des initiatives de vaccination de masse en utilisant des vaccins non testés,  pratiquant des vaccinations dangereuses.

 

La Fondation Gates blâmée pour 10 000 décès liés à la vaccination

 

En 2013, un autre rapport a dénoncé la Fondation Gates et l’Alliance GAVI comme étant responsable de plusieurs décès à l’aide de vaccins non testés sur les enfants du monde en développement.

 

Le rapport, publié sur le site Occupy corporatism et écrit par Susanne Posel, a déclaré:

 

« Il a été découvert par le biais d’une enquête, que le GAVI a utilisé un vaccin non testé; qu’il administrait  ce vaccin dangereux aux enfants pakistanais, ce qui montre le manque d’empathie associé à ces organisations.


Le GAVI a été blâmé pour la mort de 10 000 enfants au Pakistan quand ils sont venus et ont  administré des vaccins contre la polio qui ont abouti à des pertes ».

 

Sources : Vactruth; resistanceauthentique ; Reseauinternational.net

 

 

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20 septembre 2014 6 20 /09 /septembre /2014 12:40

La Commission Européenne décide de rattacher l'Agence Européenne des Médicaments à la Direction Générale des Entreprises

« Prescrire » et « British Medical Journal » s'en prennent à la Commission européenne

 

Le Monde.fr avec AFP, 16.09.2014

 

emea-grandLa décision de Jean-Claude Juncker, de rattacher l'Agence européenne du médicament (EMA) et la politique des produits de santé à la branche « entreprises » de la Commission est une régression selon la revue française Prescrire et le British Medical Journal (BMJ).

 

Qualifiée d'« incompréhensible retour en arrière », cette décision du nouveau président de l'exécutif européen « suscite l'incompréhension de tous ceux qui donnent la priorité à la santé publique en Europe », insite la rédactrice en chef du BMJ et le directeur de la revue indépendante française.

 

Ils rappellent dans cette missive intitulée « Le médicament n'est pas une marchandise... » et rendue publique mardi 16 septembre, que son prédécesseur José Manuel Barroso avait au contraire choisi en 2009 de rattacher la politique des produits de santé (médicaments et dispositifs médicaux) et l'EMA à la direction générale « sanco » (santé et consommateurs). Une mesure saluée à l'époque.

 

Ce rattachement, « réclamé depuis longtemps », est un « meilleur gage d'une priorité donnée à la santé publique et aux patients, plutôt qu'aux intérêts industriels et économiques à courte vue ».

 

« LES INTÉRÊTS INDUSTRIELS PUISSAMMENT DÉFENDUS »

 

« Trop de médicaments mis sur le marché européen ne représentent pas de progrès tangible pour les patients, voire sont de véritables régressions », relèvent encore les auteurs, qui avertissent M. Juncker :

 

« Rapprocher encore davantage l'EMA des firmes met en danger la protection de la santé des citoyens européens. »

 

Observateurs de l'activité de l'EMA depuis sa création en 1995, Prescrire et le British Medical Journal soulignent que « les intérêts industriels y sont en permanence puissamment défendus ».

 

Ils en citent un exemple récent : « En 2010, l'EMA a annoncé une politique volontariste de transparence et d'accès public aux données sur lesquelles l'agence base ses avis, qui intéressent la santé des Européens ». Or, « la position de l'EMA s'est retournée de manière spectaculaire au cours des derniers mois, concomitamment avec la prise de fonctions à l'agence d'un responsable juridique issu des firmes ».

 

Source : Le Monde

 

Initiative Citoyenne a une position quelque peu différente de celle de Prescrire et du British Medical Journal : nous trouvons au contraire qu’une telle mesure contribuera à PLUS DE CLARTE sur le caractère purement privé de cette Agence Européenne des Médicaments qui est déjà financée à plus de 80% par les industriels. Du temps où cette Agence était sous une autre Direction générale, elle affirmait déjà ce qui faisait les affaires des industriels, comme par exemple prétendre que les vaccins H1N1 sont sûrs alors qu’ils ont entraîné des milliers de cas graves -dont des narcolepsies - et qu’il y a eu pas moins de 7 morts sur 2000 patients dans les essais cliniques du Pandemrix…

 

N'oublions pas non plus de rappeler qu'une revue comme le British Medical Journal - qui a essayé de salir le Dr Andrew Wakefield - a noué, depuis 2008, un partenariat d'éducation permanente avec Merck, fabricant mondial de vaccins (dont le vaccin ROR), ce qui est d'ailleurs aussi le cas du Lancet qui avait retiré 12 ans plus tard la publication initiale du même Andrew Wakefield.

 

Quant à la revue Prescrire, il est bon aussi de rappeler son espèce de cécité troublante sur le scandale des vaccins HPV (Gardasil etc.) ainsi que sur le vaccin anti-hépatite B. Alors que ces deux vaccins sont parmi ceux ayant entraîné le plus d'effets secondaires graves, la revue n'a pas jugé bon d'alerter ses lecteurs, ce qui témoigne d'une certaine partialité dans l'analyse des publications scientifiques existantes sur le sujet (démontrant par exemple le lien entre vaccin HB et sclérose en plaques; démontrant le rapport bénéfices/risques tout à fait négatif des vaccins HPV etc...) Si on prend le cas des vaccins HPV, Prescrire osait encore écrire si tard qu'à la mi-2013 et de façon tout à fait contradictoire, nous citons: « Mi-2013, le pari de proposer cette vaccination aux jeunes femmes reste une option raisonnable. Les résultats en termes de cancers invasifs, voire de mortalité, ne seront pas disponibles avant plusieurs années.» (Prescrire en questions: vaccin papillomavirus : quelle efficacité, quels risques ? Rev Prescrire 2013 ; 33 (357) : 552-556).

 

En outre, bien qu'alertée par nos soins sur le scandale notoire des documents confidentiels liés à l'Infanrix hexa et au Prevenar et des risques exorbitants qu'une telle vaccination concomittante fait encourir aux nouveau-nés qui la reçoivent (3 X + de risques neurologiques tout de même!!), Prescrire n'a semble-t-il là encore pas jugé bon d'en faire quelque chose de concret, se bornant à nous dire que ces documents confidentiels devraient être publics...

 

Ces revues peuvent donc apparaître selon nous, à tort, comme "immaculées" et occulter, par ce genre de positionnement médiatique, le reste de leurs positions plus problématiques en matière de santé publique. Les titres des grands médias sont donc souvent racoleurs et "généreux" envers ce type de dénonciateurs. Prudence et investigation doivent donc être de mise!

 

N'oubliez pas non plus de regarder cette vidéo précieuse qui traite des scandales ENORMES que constituent les vaccinations HPV (Gardasil etc) et anti-hépatite B, sur lesquels la revue Prescrire a pourtant gardé un silence assourdissant jusqu'ici....

 

 

Quelques remarques: Cela fait bien longtemps qu'Initiative Citoyenne plaide pour un contrôle EXTERNE par un pannel mixte de citoyens (médecins et non médecins) des avis et décisions des experts officiels, de façon à ce qu'ils n'aient plus l'impunité d'affirmer n'importe quoi, tout en faisant encourir aux patients des risques exorbitants... Ne déléguer ce genre de tâche qu'aux seuls médecins serait une nouvelle erreur car les médecins, même sans liens d'intérêts particuliers avec des firmes, ont encore, pour beaucoup, un conflit d'intérêts ou plutôt de conscience, car ils ont eux aussi quasi tous déjà vacciné massivement (pour ce qui est des généralistes et des pédiatres du moins) et que la vaccination constitue 12,6 % des revenus annuels des généralistes en moyenne et 33% de ceux des pédiatres (rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, p. 114), sans compter leurs suites, c'est-à-dire leurs effets secodaires eux-mêmes générateurs de nouveaux revenus. Il y a donc une idée qui doit absolument faire son chemin dans l'esprit du public au sens large: celle de créer de toutes pièces et donc de financer de façon autonome des personnes qui auront ainsi toute l'indépendance de se consacrer exclusivement à pareille tâche et qui pourront ainsi vivre de leur travail totalement indépendant... Bien entendu, jamais l'Etat ne financera pareille tâche, ce sera donc aux citoyens, pour se prémunir eux-mêmes, à court-circuiter l'Etat qui les a déjà tellement trompés dans le domaine de la Santé comme dans bien d'autres.

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26 juin 2014 4 26 /06 /juin /2014 17:04

UE: l'achat groupé de vaccins devient une réalité mais c'est une très mauvaise nouvelle!

L’achat groupé de vaccins et de médicaments devient une réalité dans l’UE

 

 par Paola Testori Coggi, directrice générale de la DG Santé et consommateurs

 

TestoriLe 20 juin, les ministres de la santé réunis à Luxembourg au sein du Conseil ont signé l’accord de passation conjointe de marchés pour l'achat de contre-mesures médicales. Cet accord est un nouveau résultat positif de notre action visant à protéger les Européens contre les menaces transfrontières pour la santé, telles que les maladies transmissibles. Il définit le cadre des achats communs et permet aux pays de l'UE d’acquérir conjointement, et non plus individuellement, des vaccins pandémiques et d’autres contre-mesures médicales.


Grâce à la masse critique des signataires, les États membres vont pouvoir garantir, au moyen d'achats groupés, la disponibilité de vaccins pandémiques et de médicaments en quantités suffisantes — et à des prix corrects — en cas de menace transfrontière pour la santé.


Ce mécanisme profitera à tous les pays de l’UE, notamment à ceux qui, en 2009, ont rencontré des difficultés pour se procurer des vaccins élaborés pour la pandémie du virus H1N1. C'est en effet cette pandémie, et les enseignements qui en ont été tirés, qui ont poussé la Commission européenne à prendre des mesures dans ce domaine.


L'accord va toutefois au-delà de l'achat de vaccins pour faire face aux pandémies. Les États membres pourraient étendre à l’achat de contre-mesures médicales pour lutter contre d’autres maladies infectieuses, telles que le VIH/sida, l’hépatite B ou le papillomavirus humain (HPV).


La signature de l’accord repose sur une base strictement volontaire. Jusqu'à présent, 14 pays de l’UE se sont engagés en faveur de cette mesure sans précédent. Huit pays supplémentaires ont convenu de signer une lettre d’intention en vue de la signature ultérieure de l’accord.  Je félicite les pays qui ont signé l’accord et j’invite tous ceux qui n'ont pas encore accordé leur soutien à cette initiative importante à saisir l'occasion qui leur est offerte et à signer l'accord le plus rapidement possible, afin d'assurer la protection de leurs citoyens et de la population européenne.


  • Projets du programme de santé publique

 

Analyse de la rentabilité des stratégies européennes d'alerte et de réaction à la pandémie de grippe humaine

 

L’objectif est de redéfinir les grands scénarios de pandémie humaine au niveau européen, de décrire et de regrouper les stratégies de réaction possibles, et de les évaluer dans le cadre d'analyses de rentabilité multi‑critères.

 

FASTVAC: un cadre générique pour la production et l’évaluation rapides (FAST) de VAccins d’urgence

 

L’objectif général de FastVac est de définir un ensemble complet de règles prévisionnelles qui permettront d'accélérer l'élaboration, l'évaluation, la production et la mise sur le marché de vaccins d’urgence.

 

Exercices de contrôle de la qualité et mise en réseau des méthodes de détection des agents pathogènes extrêmement infectieux 

 

Cette action commune vise à relier et à consolider les objectifs de deux réseaux existants qui travaillent sur des bactéries et des virus extrêmement infectieux et résultent des projets EQADeBa (financé par l’UE) et ENP4-Lab.


Source : Newsletter n°132 de l’Union Européenne du 24 juin 2014


Cette affaire d’achat groupé de vaccins constitue une très mauvaise nouvelle pour la santé et les libertés publiques en Europe mais c’était prévisible et nous l’avions annoncé et mis très clairement en garde à ce sujet, dès 2009-2010.

 

Vu le fiasco du baratin pro-vaccinal à l’occasion de la fausse pandémie de H1N1 et tous ces préparatifs tellement incessants qu’ils en deviennent forcément suspects en vue des prochaines pandémies tant attendues, il est clair que ceux qui ont voulu à tout prix fourguer à toute l’Europe – et même au monde entier- des vaccins bâclés, superflus et dangereux, n’ont pas abandonné leurs rêves aussi facilement depuis lors. Bien au contraire, ils ont redoublé d’efforts et investi tellement d’argent dans de futurs vaccins qu’il est difficile de croire qu’ils l’ont fait sans garanties minimales de retour sur investissement dans un avenir plus ou moins proche…

 

Ces mesures d’achat groupé de vaccins, qui avaient même été soutenues/approuvées par Europe Ecologie les Verts à l’époque (!) ne feront qu’entraver TOTALEMENT la liberté des Etats membres tout en renforçant la pression vaccinale sur les populations, c’est évident comme le nez au milieu du visage. Il suffit de constater les foudres sous lesquelles a été la Ministre (médecin) polonaise de la santé, Ewa Kopacz, qui avait commis « le crime » aux yeux des officiels de refuser de gaspiller l’argent des citoyens tout en leur faisant risquer de graves dommages post-vaccinaux avec le Pandemrix. A l’époque, pour essayer de désinformer le public, certains officiels, comme Roselyne Bachelot, n’avaient pas hésité à prétendre que le choix de la Pologne était dû à leur manque de moyens financiers.

 

Ce qui gêne surtout les officiels, c’est toute possibilité de comparaison quelle qu’elle soit. Ce qui est recherché avec l’achat groupé de vaccins, c’est un parapluie aux divers ministres nationaux et l’impossibilité qu’il y aura alors de remarquer par contraste que tout s’est beaucoup mieux déroulé au final dans les pays qui n’auraient pas opté pour la vaccination. C’est exactement la même technique qui est adoptée avec les essais cliniques biaisés de vaccins en général avec tout refus systématique et anti-scientifique de comparer ce qui est comparable à savoir des vaccinés à des non vaccinés. Tout cela contribue de façon fallacieuse à faire croire à tort que la vaccination est incontournable, au détriment d’autres solutions plus économiques, plus écologiques et plus sûres qui ne sont alors même pas envisagées. Nul doute que tous les inconscients qui ont soutenu cette proposition d’achat groupé de vaccins au niveau européen s’en mordront les doigts lors de la prochaine pandémie tant attendue.

 

Quant à Madame Testori (non élue) de la DG Santé qui semble se féliciter de cette (triste) nouvelle sur l'achat groupé de vaccins, elle s'était déjà publiquement réjouie le 5 octobre 2010 à l'idée que ce soit dans le futur la Commission Européenne (là aussi non élue) qui décide quels humains doivent être vaccinés à l'occasion des futures pandémies, comme ça se fait déjà chez les animaux disait-elle...

 

Des vaccins fabriqués et évalués toujours plus vite pour soi-disant protéger la santé publique ? Regardez ce que ça donne comme résultats, ici avec le vaccin H1N1 qui avait soi-disant été très bien évalué et n’était pas expérimental et dans la deuxième vidéo avec le vaccin pandémique de 1976 contre la grippe porcine aux USA…

 

 

 

Voir aussi:  

 

Audition du 5 octobre 2010 au Parlement européen sur le H1N1: les masques sont tombés !

 

Pandémies: l'UE accroît son pouvoir pour sonner l'alerte et imposer la vaccination

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Le vrai scandale des faux placebos

 

Les aveux accablants du Dr Saluzzo de Sanofi Pasteur: "on ne comprend pas comment marchent les vaccins"


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25 mai 2014 7 25 /05 /mai /2014 09:05

L'Union Européenne continuera à gaspiller votre argent en vaccins

Programmes de vaccination dans le monde: l'UE va fournir une aide de 25 millions d'euros par an et doubler ses efforts pour la période 2014-2020

 

L’UE va plus que doubler son aide pour financer des vaccins et des programmes de vaccination dans le monde entier, afin d’améliorer la santé de millions de personnes dans les pays en développement.

 

1,5 million d’enfants meurent chaque année de maladies qui pourraient être évitées par un simple vaccin. C’est pourquoi l’UE va augmenter son aide, qui passera à 25 millions d’euros par an pour la période 2014-2020, contre 10 millions d'euros les années précédentes. 

 

Ces fonds aideront l'Alliance GAVI, une organisation à but non lucratif dont la mission est d'élargir l'accès à la vaccination, à protéger des millions d'enfants supplémentaires contre des maladies mortelles dans les pays les plus pauvres de la planète. 

 

Sombre-Europe-qui-sombre--jpg

 

L'Alliance GAVI représente tous les principaux acteurs de la vaccination à l’échelle mondiale: pays donateurs, autorités sanitaires, société civile, industrie pharmaceutique et entreprises privées.  

 

Une aide ciblée 

 

L’aide est adaptée aux besoins de chaque pays. S'appuyant sur la force de ses membres, l'Alliance GAVI centralise les demandes de chaque pays et garantit ainsi un financement prévisible à long terme. Cette pratique fait baisser les prix, ce qui permet de vacciner et de sauver le plus grand nombre possible d'enfants.  

 

Les pays d'Afrique, des Caraïbes et du Pacifique reçoivent environ les deux tiers de l'aide. Grâce à des donateurs comme l'UE, près de 500 millions d'enfants ont été vaccinés depuis 2000 et 6 millions de vies ont pu ainsi être sauvées. 

 

L'Alliance GAVI finance 11 vaccins, dont ceux contre le pneumocoque et le rotavirus, qui constituent les principales causes de pneumonies et de diarrhées évitables par la vaccination, et contre le Papillomavirus humain, responsable du cancer du col de l'utérus. 

 

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L'aide de l’UE dans le secteur des soins de santé 

 

La mission de l'Alliance GAVI est étroitement alignée sur la politique de développement de l'UE, qui vise à diminuer la pauvreté et à atteindre les objectifs du Millénaire pour le développement d'ici à 2015. 

 

Afin d'améliorer les conditions globales et de renforcer l’efficacité et la viabilité des systèmes de santé dans les pays en développement, l’UE agit également dans d’autres secteurs des soins de santé comme l’alimentation, l’eau, l’assainissement et la sécurité routière. 

 

Outre le financement des soins de santé par le Fonds européen de développement et par l’instrument de financement de la coopération au développement, l'UE a mis en place le programme thématique concernant les biens publics mondiaux et les défis qui les accompagnent , qui est axé sur des aspects sanitaires transfrontaliers tels que la lutte contre les maladies contagieuses. 

 

Depuis 2004, l'aide aux soins de santé apportée par l'UE a permis de vacciner 18,3 millions d'enfants de moins d'un an contre la rougeole, de construire, de rénover ou d'équiper plus de 8 500 dispensaires et d'effectuer 17 millions de consultations dans le domaine de la santé reproductive.

 

Communiqué de presse – L’UE redouble d’efforts pour améliorer la santé de millions de personnes dans les pays en développement

 

Communiqué de presse – Partenariat de l’UE avec l’Alliance GAVI

Commission européenne – Développement et coopération

 

Alliance GAVI

 

Source : Commission Européenne

 

Une fois encore du grand n’importe quoi mais qui ne se fera hélas pas sans souffrances ! Car voyons les choses en face : chaque année, depuis déjà des décennies, les officiels affirment sans preuve que la vaccination sauve des millions de vies. Cela fait bien 10 ans au moins qu’ils affirment que cela sauverait au moins 3 millions de vie chaque année, c’était même encore un des leitmotifs de la Semaine mondiale de la vaccination 2014 de l’OMS et ici, on nous parle tout à coup de 1,5 millions de vies. Si la vaccination était si efficace, ça fait longtemps que ces chiffres auraient été revus à la baisse !

 

La vérité, c’est que ces populations pauvres sont inondées et surtout FORCEES de recevoir des vaccins dont on veut faire croire qu’elles seraient elles-mêmes demandeuses mais qui les rendent malades sans assurer leurs besoins les plus vitaux/fondamentaux et urgents qui continuent de faire bien plus sûrement des décès et des maladies que les maladies censées être prévenues par ces vaccins !

 

Avec les deniers des contribuables européens, l’Union européenne, par l’intermédiaire d’Etats membres complices et coupables, va transférer des fonds aux firmes pharmaceutiques (dont Gates, grand collaborateur du GAVI est actionnaire et bénéficiaire) sans que cet argent aille dans le même temps à des dépenses plus urgentes comme l’accès à l’eau et à la nourriture. Cet argent en faveur des vaccins fera à coup sûr des victimes et créera des handicapés de toutes pièces alors que l’investissement total de tout cet argent dans l’eau et la nourriture n’aurait nui à personne tout en sauvant de façon certaine des vies.

 

Il y a une terrible idéologie qui sous-tend les vaccins et qui se concrétise notamment par l’automatisme d’inclure dans les programmes vaccinaux des pays pauvres tous les derniers « nouveaux » vaccins utilisés initialement dans les pays riches et qui sont là-bas, aussi inutiles que chez nous, au détriment de solutions plus sûres et moins coûteuses –comme par exemple les solutés de réhydratation orale qui ne coûtent que quelques euros et qui sont sans risque pour lutter contre les complications possibles des gastro-entérites à rotavirus-, là où les vaccins sont sources d’invaginations intestinales qui nécessitent des opérations lourdes et complexes inaccessibles dans ces pays où cette complication vaccinale signifie donc la mort pure et simple ! En plus, ces vaccins contenant des produits chimiques, des circovirus porcins et des résidus des processus de génie génétique (technologie OGM !) ne peuvent qu’être encore plus dangereux sur des corps déjà affaiblis par le poids du travail harassant, de la malnutrition et du manque d’eau potable !

 

 

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