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26 mai 2012 6 26 /05 /mai /2012 20:01

Un article du 22 mai de Sciende Daily reparle des prétendus bienfaits de la vaccination anti-H1N1 sur la grossesse et l'enfant à naître, évoquant respectivement un moindre risque de fausses couches (de 34%), d'accouchement prématuré (28%) et d'avoir un faible poids à la naissance (19%).

 

Les chercheurs de différentes institutions, parmi lesquelles l'Université d'Ottawa et l'Institut Canadien de Recherche en Santé, ont utilisé les données du fichier de naissances BORN, de la Province de l'Ontario, et analysé ainsi 55 570 naissances (grossesses uniques). Ils ont publié dans le American Journal of Public Health.

 

Selon les chercheurs, il s'agit d'une étude "suffisamment large que pour évaluer la relation entre vaccination antigrippale de la mère et le risque de fausse couche."

 

Ces chercheurs se disent avoir été "très surpris par la solidité des bénéfices protecteurs qu'ils ont trouvés".

 

L'article de Science Daily poursuit alors en disant notamment que "l'étude n'a pas retrouvé d'effets négatifs sur la mère ou l'enfant dans les semaines qui ont précédé et suivi la naissance (période périnatale)."

 

Il est pourtant capital de se rappeler les tout récents propos d'autres chercheurs qui ont, eux, expliqué que l'exposition précoce aux substances chimiques (or tout vaccin en contient) dans cette très délicate période périnatale, pouvait donner lieu à des modifications épigénétiques, c'est à dire induire des perturbations dans l'expression des gènes, ce qui peut occasionner des maladies graves de façon retardée et qui n'apparaissent alors qu'à l'âge adulte. Ceci suffit donc déjà à relativiser les propos faussement rassurants ou d'emblée trop enthousiastes de ces chercheurs, même si ceux-ci comptent suivre également les enfants dans leur première année de vie de façon à voir s'il n'y aurait pas d'autres "bénéfices à long terme" de la vaccination (toujours cette position idéologique qui consiste à aller chercher des "bénéfices au long terme" alors que ceux-ci sont nettement moins probables que les risques à long terme qui, eux, restent bien sûr toujours non évalués).

 

Il est assez choquant que le bon sens et la prudence aient totalement quitté ces chercheurs, également praticiens, au point qu'ils se retrouvent complètement verrouillés dans une idéologie, n'étant même plus capables d'envisager les risques possibles à long terme ou de se tenir au courant de ce qui est scientifiquement découvert à ce sujet aux quatres coins du monde.

 

Ainsi, voici notamment ce que déclarait sans complexe un des co-auteurs de cette étude, le Dr Mark Walker, obstétricien spécialisé dans les grossesses à haut risque à l'Hôpital d'Ottawa et également professeur à l'Université d'Ottawa, "Les femmes enceintes sont généralement très très prudentes avec tout ce qu'elles font entrer dans leur organisme. Pour les professionnels de santé comme moi, une telle étude à large échelle qui ne montre pas d'effets négatifs du vaccin H1N1 dans la période périnatale, sera d'une extrême utilité lorsqu'il s'agira de discuter de la vaccination de la mère."

 

Or hélas, comme on l'a vu, pas d'effets manifestes ou significatifs pendant cette période ne signifie pas encore pour autant pas d'effets négatifs graves du tout!

 

Par ailleurs, il faut tout de même se rappeler des travaux des chercheurs qui ont publié leur étude dans la prestigieuse revue Science en décembre 2010 et selon lesquels le système immunitaire du foetus est éminemment permissif aux substances étrangères (dont les toxines et toxiques) affectant la mère.

   

Voici en effet ce que disait le Dr Mihalovic à ce sujet: « Le fait qu’un fœtus doive tolérer les toxines ingérées par la mère ou injectées à la mère, nous fait voir sous un angle tout à fait nouveau pourquoi il est particulièrement dangereux de vacciner les femmes pendant leur grossesse.» a-t-il déclaré.  

 

Car n'oublions pas non plus la hausse spectaculaire des fausses couches (+ de 700%!) qui sont survenues aux USA chez les femmes vaccinées contre le H1N1. Et encore, il s'agissait dans ce cas-là d'un vaccin sans adjuvant. Chez nous, en Belgique, les femmes enceintes n'avaient droit qu'au seul vaccin adjuvanté Pandemrix...

 

Enfin, concernant cette étude canadienne quasi triomphaliste, on peut se poser la question une fois encore des conflits d'intérêts, pas forcément au niveau des chercheurs qui ont conduit cette étude mais au niveau de leurs institutions d'appartenance qui elles, ne sont pas forcément sans lien avec l'industrie pharmaceutique concernée.

 

Ainsi, il faut savoir que l'Université d'Ottawa, l'Institut canadien de Recherche en Santé et GSK ont un partenariat qui a permis de créer, pour 2 millions de dollars, la chaire de neurologie et de troubles psychiatriques de cette Université.

 

Dans un document relatif à ce partenariat, on peut notamment lire que "Selon NeuroScience Canada, plus de 10 millions de Canadiens et de Canadiennes (1 sur 3) de tout âge souffrent de troubles neurologiques et psychiatriques." puis à la suite les propos du Ministre du Commerce intérieur:

 

« La chaire de recherche annoncée aujourd’hui montre bien comment la recherche en santé peut transformer notre système de soins de santé.  Les travaux de nos talentueux chercheurs permettront non seulement de mieux comprendre et de traiter ces troubles, mais aussi de favoriser l’élaboration de nouveaux produits et services, de stimuler les investissements et de créer des emplois pour les travailleurs hautement qualifiés du Canada

 

Un peu plus bas, on peut encore lire ceci:

 

«La coopération est la pierre angulaire de l’excellence en éducation, de la recherche et de l’avancement de la science », a commenté le recteur de l’Université d’Ottawa, M. Gilles Patry. «Notre population étudiante, notre corps professoral et nos chercheurs et chercheuses tireront profit de ce partenariat prometteur

 

«La société GlaxoSmithKline appuie la recherche cruciale qui se fait pour venir en aide aux personnes souffrant de troubles neurologiques et psychiatriques», a dit M. Paul Lucas, président et directeur général de GlaxoSmithKline Inc. « Nous contribuons par le biais du Fonds Pathfinders pour les leaders de la recherche en sciences de la santé au Canada.»

 

GSK est alors présenté à la fin de façon particulièrement élogieuse:

 

"À titre de géant voué à la recherche dans le domaine des médicaments et des soins de santé, GlaxoSmithKline Inc. est résolue à améliorer la qualité de la vie en aidant les gens à être plus actifs, à se sentir mieux et à vivre plus longtemps. GlaxoSmithKline Inc. est l'une des 20 entreprises qui investissent le plus dans la recherche et le développement au Canada et a consacré à ce secteur plus de 140 millions de dollars en 2004 seulement. Pour de plus amples renseignements."

 

Tout cela est bien beau comme discours de façade mais loin de profiter aux patients et aux étudiants, ce genre de partenariat cadenassera surtout les enseignants dont aucun n'osera remettre en cause les médicaments psychiatriques (de GSK notamment) déjà maintes fois mis en cause pour des problèmes de sécurité, comme le Paxil par exemple.

 

En outre, quand on est confrontés à une telle proportion de malades neurologiques ou psychiatriques au sein de la population d'un pays, de deux choses l'une: soit ces chiffres sont gonflés de façon à recourir à une stratégie bien connue des pharmas et destinée à transformer progressivement tous les bien portants en malades potentiels (stratégie notamment dénoncée par le Dr Marcia Angell, ancienne rédactrice en chef du New England Journal of Medicine, dans l'excellente émission "Les vendeurs de maladies", récemment diffusé sur France 2), soit ces chiffres ont une part de vérité mais alors, plutôt que se limiter à vouloir "trouver des traitements", il serait logique d'essayer d'éviter les cas en faisant ainsi une véritable prévention en amont, plutôt que de réjouir platement des futurs nouveaux emplois que ce genre de partenariat suscitera!

 

Et ceci n'est bien entendu qu'un exemple. Il est somme toute fort probable que cette Université, comme toutes les autres ou presque (Stanford est un cas assez rare il faut le dire) détiennent bien d'autres liens avec divers fabricants.

 

Dans ces conditions, en tenant notamment compte de cet exemple ci-dessus et en sachant que GSK est un des grands fabricants mondiaux de vaccins et un des principaux auxquels le Canada a fait appel à l'époque du H1N1, comment peut-on imaginer une seule seconde que le contenu de l'étude menée par ces chercheurs canadiens aurait pu donner lieu à d'autres types de résultats ou à des résultats contraires?

 

C'est bien simple, cela aurait été impossible et de tels résultats négatifs n'auraient tout simplement jamais fait l'objet d'une publication de ces chercheurs-là, avec les institutions d'appartenance qui sont les leurs. Ils sont donc verrouillés dans une voie idéologique à sens unique même si plusieurs d'entre eux sont peut-être sincèrement convaincus de la prétendue solidité de ce qu'ils déclarent avoir trouvé. 

 

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17 mai 2012 4 17 /05 /mai /2012 23:02

Un article du Monde du 17 mai vient encore démontrer tout le caractère hasardeux de l'administration de produits chimiques (donc fort logiquement aussi de vaccins) dans la très sensible période pré et post-natale. Cette exposition aux produits chimiques étant donc susceptible de modifier l'expression de certaines gènes et donc d'engendrer des maladies graves, dont l'apparition est parfois retardée, ne se déclarant alors qu'à l'âge adulte.

 

Bien évidemment, l'article ne cite pas le mot "vaccin", tabou oblige, mais il est pourtant clair que sont donc AUSSI concernés les vaccins administrés aux femmes enceintes ainsi que ceux faits aux tous jeunes enfants, puisque ceux-ci contiennent de nombreux produits chimiques notoirement toxiques, même à des doses dites "infimes".

 

Et lorsqu'on lit par exemple qu'ils "ne savent pas encore si un produit chimique entraîne une maladie particulière.", cela ne peut que nous faire froid dans le dos de constater que ces officiels recommandent malgré tout aveuglément l'administration aussi précoce et aussi répétitive de cocktails vaccinaux aussi mal évalués!

 

Il ne faut pas être un surdoué pour comprendre que des produits chimiques qui n'ont aucune place prévue dans l'organisme sont tous susceptibles, en fonction des seuils de tolérance individuels, de donner lieu à de véritables catastrophes sanitaires, à fortiori si on en arrose les individus en plein développement, dès le berceau ou même encore avant, dès le ventre de la mère. Mais pour l'establishment, il semble que le plus important soit de voir si tel ou tel produit chimique peut induire une entité pathologique bien individualisée et non d'éviter en priorité que divers poisons ne produisent un magma d'effets débilitants hélas parfois très peu spécifiques avec, à la clé, un véritable nivellement par le bas de la santé publique.

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3 mars 2012 6 03 /03 /mars /2012 23:03

29 février 2012,

Dr Suzanne Humphries MD, néphrologue.

International Medical Council on Vaccination. (Traduction d'extraits)

 

Fotolia--femme-enceinte.jpg

Il n’y a aucun doute que les obstétriciens et les médecins généralistes de par le monde ne manqueront pas de faire l’éloge d’une publication toute récente « Résultats néonataux après la vaccination anti -grippale pendant le grossesse : une étude randomisée et contrôlée. »

Les médecins, les comités consultatifs, ainsi que les représentants des firmes pharmaceutiques ne rateront pas l’occasion de citer cette étude étant donné le fait que leur travail consiste à augmenter les taux de vaccinations et les ventes en prenant pour cible les femmes enceintes.

 

On dira aux femmes enceintes que se faire vacciner contre la grippe pendant leur grossesse est non seulement sans danger, mais protégera contre l’une des conséquences possibles de faire une grippe en étant enceintes – le faible poids à la naissance.

 

Combien de médecins se donneront-ils la peine de lire le résumé (Abstract), voire l’étude entière ? Dans la vie trépidante de la pratique médicale, ils risquent de prendre pour argent comptant l’avis d’un collègue et s’empresseront de rassurer les mères sans méfiance qu’il faut absolument faire ce vaccin.



Cette étude fait apparaître plusieurs problèmes dont le moindre est le fait qu’elle a été financée par la Fondation Bill et Melinda Gates, ainsi que par plusieurs compagnies pharmaceutiques. Après tout, Bill n’a-t-il pas promulgué « la décennie de la vaccination » après avoir donné un chèque de 10 milliards de dollars pour pouvoir réaliser son projet ? Une grande partie de sa donation vise l’Inde et l’Afrique pour l’achat de vaccins polio, ainsi que de camions pour la livraison des vaccins dans les villages les plus reculés. Aujourd’hui les vaccins contre la grippe et destinés aux femmes enceintes sont en bonne voie d’être aussi adoptés. La rumeur veut que ce Monsieur soit candidat AU PRIX NOBEL, pour avoir eu le mérite de fournir le vaccin polio oral à des millions de nouveaux-nés et d’enfants de par le monde. Il semble maintenant que les fœtus soient devenus l’un de ses objectifs et cet article est empreint de la désinformation typique à un ralliement destiné à injecter des vaccins non testés à des femmes enceintes. Cet article s’en réfère à l’étude principale qui a également été financée par sa fondation. Avant que trop de médecins prennent les informations de cette étude pour argent comptant, jetons un coup d’œil à sa conception même, ainsi qu’à son interprétation.

 

Problème numéro un : Cette étude est intitulée «  essai contrôlé et randomisé ». En voyant ce titre, la plupart des médecins sans méfiance penseront que, pour sa validité, cette étude correspond aux critères et normes de référence classiques. Après tout ne nous a-t-on pas enseigné que ce type même d’étude était la meilleure manière de tester toute intervention.

 

- Par définition une étude contrôlée et randomisée  est une étude expérimentale, où les patients éligibles, sélectionnés pour une intervention thérapeutique, sont répartis de manière aléatoire en 2 groupes: le premier groupe reçoit le traitement, tandis que le second reçoit en général un placebo

 

- Répartition au hasard ayant pour but d'assurer que les patients répartis dans les 2 groupes de l'essai sont rigoureusement semblables en tous points, excepté en ce qui concerne l'intervention projetée

 

-  Importance clinique certaine ou probable de l'issue recherchée



Les variables étudiées doivent absolument être les seules variables entre le groupe qui reçoit le traitement et le groupe qui reçoit le placebo.



Le problème réside dans le fait qu’en qualifiant cette étude de « contrôlée », il s’agit de savoir ce qui en fait est utilisé comme contrôle. L’injection de contrôle pour la seconde moitié des personnes qui faisaient partie de cette étude a été un vaccin antipneumocoque 23 valences (« 23-valent pneumococcal ») injecté aux mères au cours du troisième trimestre de leur grossesse. Cette période de la grossesse correspond à la maturation  des valvules cardiaques, de la thyroïde, des glandes surrénales, des muscles, des poumons, du cerveau, des yeux, des systèmes nerveux et à la descente des testicules. A l’heure actuelle, la plupart d’entre nous ne sont pas encore choqués parce que le tout paraît bien emballé dans la pseudo science traditionnelle qu’est la vaccinologie.

 

L’autre question concerne l’élément « variable » parmi les deux groupes. Y a-t-il des éléments variables ? Si les deux groupes sont vaccinés comment est-il possible de pouvoir évaluer des différences en matière de sécurité, d’effets secondaires et de protection par rapport à l’infection ?

 

Donc pour résumer, l’étude a porté sur 340 femmes enceintes pour ce « Projet Cadeau de la Mère » au cours de leur troisième trimestre de grossesse. La moitié des mères reçurent le vaccin inactivé contre la grippe et l’autre moitié a reçu le vaccin antipneumocoque 23 valences en tant que « contrôle ». Après leur naissance,  les nourrissons ont reçu soit le vaccin Hib ou le vaccin antipneumocoque 23 valences, en plus des vaccins habituels du programme de vaccination à 6, 10 et 14 semaines.

 

Problème numéro 2 : l’étude a été effectuée au Bengladesh, et c’est une seconde analyse des données provenant de L’ETUDE ORIGINALE qui a évalué l’immunogénicité de la vaccination anti pneumocoque sur les femmes enceintes et les nourrissons.

 

Au départ, pratiquement un quart des bébés (24%) naissent au Bengladesh avec un DEFICIT DE POIDS . Tandis qu’aux Etats-Unis ce déficit s’élève approximativement à 8,2% des naissances. Dans les pays sous-développés, le déficit de poids provient des carences de la mère et de problèmes nutritionnels, et seulement très rarement - d’infections grippales. Au Bengladesh il n’existe aucune référence qui lui soit spécifique. Les auteurs de l’étude notent donc : « nous avons utilisé les normes nord-américaines ». La plupart des gens réfléchis pourraient normalement penser que les nourrissons du Bengladesh sont généralement plus petits que les nourrissons américains,  européens, canadiens etc. et que les normes à leur appliquer doivent être les leurs et non celles des Nord- Américains.

 

Certes, le Bengladesh a connu en 2011 un TAUX TRES ELEVE DE MORTALITE DES NOURRISSONS qui le classait à la 47 ème place par rapport aux Etats-Unis qui détenaient la 167ème place. Le Bengladesh est le huitième pays qui a la plus forte densité de population au monde. Parmi des populations aussi denses, il devrait être relativement facile d’enrôler suffisamment de mères pour former un groupe de contrôle, n’est-ce pas ?

 

Il me semble cependant qu’il y a bien d’autres moyens positifs et efficaces d’aider les habitants du Bengladesh, et tout spécialement si nous ne connaissons rien des effets à long terme de ces vaccins sur les enfants. En outre, personne ne semble se soucier de faire une recherche sur le sujet.

 

Peut-être penseriez-vous comme moi… ? «  Pourquoi Bill et Melinda ne dépenseraient-ils pas des milliards de dollars pour améliorer les conditions de vie et ne mettraient-ils pas en œuvre des programmes permettant d’assurer une alimentation durable, un approvisionnement en eau pure et une hygiène correcte dans le tiers monde, plutôt que de vacciner tout ce qui bouge sur deux jambes ? »

 

Cette étude soulève aussi d’autres questions importantes. Elle signale en fait qu’il n’existe PAS de différences quant au nombre de fausses couches des deux groupes. Cependant dans le tableau 1 on peut voir qu’il y a eu 3 fausses couches dans le groupe des vaccinés contre la grippe et aucune dans le groupe qui a reçu le vaccin contre le pneumocoque. Cela fait donc 3 fausses couches sur 172 soit 1,7%. En outre, huit nourrissons furent exclus des données d’évaluation dans le groupe ayant reçu le vaccin contre la grippe et un seul dans le groupe ayant reçu le vaccin contre le pneumocoque. Je ne puis que m’interroger sur les raisons qui ont valu l’exclusion de ces nourrissons et je me demande quels auraient été les résultats si ces 4,6% des nourrissons étaient restés inclus dans l’étude.

 

[…] Soyez rassurés, ce vaccin sera proposé à toutes les femmes enceintes du monde – avec la promesse qu’elles auront un magnifique bébé bien portant. Mais qu’adviendra-t-il des petits enfants ou des adolescents ? Aujourd’hui l’OMS essaye de solutionner les problèmes ayant trait à de MYSTERIEUSES MALADIES chez les enfants de 5 à 15 ans et ne semble pas pouvoir trouver de réponses. Combien de ces enfants, pensez-vous, n’ont-ils pas eu leur système immunitaire compromis par d’anciennes vaccinations ? Est-ce que l’OMS pourra ne fût-ce qu’envisager que les vaccins aient pu être un cofacteur ?

 

La notice du vaccin contre la grippe précise :

 

La sécurité et l’efficacité n’ont pas été établies chez les femmes enceintes et les mères qui allaitent.

  

Dans une étude clinique faite sur des enfants  de moins de 3  ans, les titres d’anticorps se sont avérés être plus bas après qu’ils aient reçu le FLUARIX qu’avec un comparateur actif. Il n’existe cependant pas d’étude adéquate et bien contrôlée chez les femmes enceintes.

  

Du fait que les études animales ne peuvent, en toute certitude, prédire la réponse humaine, le FLUARIX ne devrait être administré à des femmes enceintes  que si la chose est vraiment nécessaire.

  

Dans une étude sur la toxicité en matière de reproduction et de développement, l’effet de la sécurité et de l’efficacité n’a pu être établi chez les femmes enceintes.

  

… ET les choses risquent bien de rester comme elles sont ! Qui finalement lira cette étude, à part les parents dont l’enfant aura eu sa vie détruite après un vaccin… en espérant qu’ils la lisent à temps pour pouvoir protéger l’ enfant à venir ?

 

[…] Nous ne saurons jamais le fin mot de l’histoire, à moins que des fonds puissent permettre une étude avec véritable placebo, de préférence sur des rats et non des mères du Bengladesh et leurs enfants.

 

Source: International Medical Council on Vaccination (IMCV)

 

 

Une fois encore, nous pouvons donc constater l’illogisme total de la vaccination des femmes enceintes à qui on interdit expressément tous les médicaments non strictement nécessaires mais pour qui les vaccins seraient ainsi devenus si « indispensables » ces dernières années -et encore, ici il n'est question que de la vaccination antigrippale alors que, dans la pratique, les officiels prétendent également qu'il est sûr et efficace de vacciner les femmes enceintes et celles venant d'accoucher contre la coqueluche (vaccin Boostrix) !

Par ailleurs, autre incohérence, ce vaccin Fluarix n’est pas conseillé chez les enfants de moins de 6 mois (ces 6 mois s’entendant après la naissance) : on voit donc assez mal comment un fœtus en plein développement pourrait donc sans risques y être exposé via sa mère. Encore une preuve de plus donc d’une affirmation gratuite et cousue de fil blanc ! Enfin, soulignons le caractère particulièrement contestable de cette expérimentation sur des femmes enceintes vulnérables du Bengladesh, plus que probablement non consentantes au regard des règles élémentaires de l’éthique médicale. Et dire que cela est le fait de chercheurs et d’instances complices de pays qui n’hésitent pourtant pas à donner, à la moindre occasion, des leçons de Droits de l’Homme à toute une série d'autres Etats!

 

Voir aussi: cet article de Sylvie Simon sur la vaccination des femmes enceintes

(une information que nous avions relayée, dès décembre 2010, dans cet article-ci)

 

 

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19 novembre 2011 6 19 /11 /novembre /2011 13:32

Seules 2% des femmes enceintes vaccinées contre la grippe

BRUXELLES 18/11 (BELGA).

 

  

Parmi les femmes enceintes, seules 2% ont été vaccinées contre la grippe durant l'hiver 2008-2009, peut-on lire dans le troisième rapport de l'Agence Intermutualiste (AIM), dont les chiffres des campagnes de vaccination 2007-2008 et 2008-2009 ont été rendus publics vendredi.

 

Pour l'AIM, ce groupe cible doit être mieux sensibilisé aux avantages de la vaccination contre la grippe.  

 

Dans l'ensemble de la population, le taux de vaccination s'élève à 15,5 % pour l'hiver 2008-2009.

 

Ce chiffre, comme celui relatif aux femmes enceintes, est toutefois légèrement sous-estimé, précise l'AIM qui ne dispose en effet pas des données relatives aux vaccinations liées aux services de médecine du travail.    

 

Pour les plus de 65 ans (dont les données sont, elles, complètes), 63 % ont été vaccinés au cours de l'hiver 2008-2009. Ce qui représente une légère amélioration par rapport aux deux études précédentes (60 % durant l'hiver 2006-2007 et de 59 % durant l'hiver 2003-2004). Pour les plus de 65 ans, l'Organisation mondiale de la Santé avance pour objectif un taux de vaccination de 75 %. Environ 82 % des résidents de maisons de repos ont été vaccinés durant l'hiver 2008-2009.   

 

Si certains groupes spécifiques atteignent l'objectif de vaccination de l'OMS de 75 %, comme les résidents de maisons de repos, ce n'est pas le cas pour les personnes de plus de 65 ans résidant à domicile, déplore l'AIM. Celle-ci plaide dès lors pour une meilleure sensibilisation à la vaccination contre la grippe chez les malades chroniques et autres personnes vulnérables. "L'importance de la vaccination doit également être mise en avant pour les femmes enceintes", insiste l'AIM, qui s'étonne du très faible taux de vaccination pour cette catégorie de personnes. 

 

Le moins que l’on puisse dire, c’est que cette Agence Inter-Mutualiste doit se baser sur des données extrêmement partielles et partiales pour oser « s’étonner » du très faible taux de vaccination chez les femmes enceintes !!

 

En effet, est-il besoin de rappeler qu’une règle générale de bon sens qui prévaut chez les femmes enceintes, comme encore rappelé dans cette vidéo RTBF, c’est justement de ne pas de donner de médicaments ! On comprend donc qu’un vaccin, à fortiori aussi peu utile et si peu vital, emporte peu l’adhésion des soignants et des patientes, particulièrement vulnérables !

 

Mais, rappelons au passage également d’autres incohérences particulièrement graves quant aux pressions vaccinales exercées par cette instance :

 

Cette agence, qui est en réalité « une union d’organismes assureurs » comme l’indique son site, dispose d’un Conseil d’Administration lui aussi très révélateur puisque, selon son site toujours : « Le Conseil d'Administration de l'AIM se compose de représentants des 7 organismes assureurs et de 4 partenaires externes : l'INAMI, le Centre fédéral d'Expertise des Soins de Santé, les services public fédéraux (SPF) de la Santé Publique et des Affaires Sociales. »

 

Le Ministère de la Santé dans le Conseil d’Administration, celui-là même qui a osé signer le contrat imbuvable d’achats de vaccins H1N1 « soi disant pour le Bien Commun ! » !!! Et le Centre Fédéral d’Expertise des Soins de Santé (KCE), celui-là même qui se prétend « indépendant » tout en permettant à des experts en conflits d’intérêts de signer ses rapports !

 

Alors que cette même agence inter-mutualiste « pousse » à la vaccination et « INSISTE », tout en courant derrière les diktats de l’OMS et sa course idiote aux chiffres  et aux pourcentages, il est tout de même bon de rappeler qu’il n’existe aucune assurance ou aucune garantie en cas d’effets secondaires du vaccin antigrippal, de la même manière que la compagnie Ethias a expressément REFUSE de couvrir les risques que le vaccin antigrippal pandémique H1N1 pouvait poser !

 

La vaccination antigrippale dans les homes de personnes âgées ne répond le plus souvent pas aux exigences légales et démocratiques car combien de personnes sont vaccinées sans leur accord express, sans qu'on les ait jamais informées des risques possibles ? Et combien d’entre elles souffrent ou meurent en silence suite à une telle vaccination standardisée ?

 

Il s’agit véritablement d’une question de société à se poser d’autant plus que les exemples ne manquent pas.

 

Ainsi, voici ce que disait Mme Catherine Goor, infirmière et directrice d’une maison de retraite à Bruxelles dans un document de la Communauté Française :

 

« Je m’occupe d’un lieu de vie, pas d’un hôpital : les résidents et le personnel sont autonomes. Ils décident librement s’ils veulent se faire vacciner contre la grippe. Pour ma part, je n’en vois aucunement l’utilité. Bien au contraire », assure Catherine Goor, la directrice. Catherine Goor a travaillé quatorze ans comme infirmière, en salle d’opérations. Elle a ensuite géré une maison de repos qui abritait de nombreuses personnes démentes.

« Les médecins devaient souvent décider, à leur place, de les faire vacciner contre la grippe. Or, il s’avère qu’à plusieurs reprises, après des vaccinations pratiquées systématiquement, l’état de ces personnes fragiles s’est considérablement détérioré. Nous avons eu des décès. En toute conscience, avec les infirmières, nous avons préféré arrêter de pratiquer les injections nous-mêmes », raconte-t-elle. »

 

Mais voyez aussi cet autre cas évoqué dans ce document où on voit bien que les victimes sont finalement mises en accusation… un comble (!) :

 

« Cela dit, la palme va quand même à cet infectiologue d’un hôpital bruxellois, qui avait eu un malaise lors d’une vaccination contre la grippe. Cela n’aurait pu être qu’un incident, un épisode exceptionnel lors de ce type de vaccination. Mais il s’est empressé de le raconter à tous vents, sans soupçonner à quel point il dissuadait ainsi d’autres soignants de se faire vacciner… »

 

Quand on est en faveur de cette vaccination, il est bon de le faire savoir mais les victimes, elles, sont plutôt personae non gratae et très « commercialement incorrectes » en somme ! Il est vrai que cet autre cas (les cas ne manquent pas !), celui de Joan, ex infirmière dont la vie a basculé à jamais suite à une vaccination antigrippale annuelle, n’est pas très « vendeur ». En effet, Joan ne sait tout simplement plus rien faire, ni bouger, ni marcher, elle est quadriplégique et nécessite l’aide de sa fille et d’une machine 24H sur 24. Et là encore, voilà quelqu’un qui n’avait pas du tout été informée !  

 

Ces risques valent-ils la peine d’être encourus ? C’est une question qui mérite d’être d’autant plus posée qu’en 1993, la Caisse Primaire d’Assurance Maladie de Nantes  réalisait une enquête** qui révélait que les seniors non vaccinés font légèrement moins la grippe que les vaccinés et que les premiers consomment moins en frais de santé que les seconds.

 

Au final, il serait peut-être bon que cette Agence Inter-Mutualiste se rende compte que ses messages sont si partiels et taisent à ce point les risques, qu’ils pourraient s’assimiler à une publicité déguisée en faveur des fabricants. Or, pour rappel, le Jury d’Ethique Publicitaire a récemment rendu une décision extrêmement claire sur la partialité du message publicitaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles sur les vaccins, « de nature à induire le consommateur en erreur ».

 

** Etude de l’incidence de la vaccination antigrippale sur la consommation de soins ambulatoires des personnes âgées de 60 à 69 ans CPAM de Nantes Peter C. et Fremont C.. Communication au congrès de ADELF 3/6 juillet 1995 à Nancy

 

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5 août 2011 5 05 /08 /août /2011 21:03
2 août 2011
Enceinte, on se vaccine
Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) vient de publier ses nouvelles recommandations contre la grippe saisonnière, qui devrait faire son retour cet hiver.
Suite au grand nombre d’hospitalisations l’année dernière, majoritairement liées au virus H1N1, le HCSP préconise aux populations les plus fragiles, notamment les futures mamans, de se faire vacciner. Chez les femmes enceintes, la vaccination est possible à partir du 2ème trimestre de grossesse.
Le vaccin saisonnier 2011-2012 sera identique à celui de l’an passé. Vous pourrez le trouver en pharmacies dès l’automne prochain.
Source : Le quotidien du médecin, relayé par le site Infobébés
 

Si on ne sait même pas respecter le plus élémentaire principe de précaution chez cette catégorie normalement « protégée » que sont les femmes enceintes, on comprend ce qu’il en est pour toute le reste de la population en général...

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27 décembre 2010 1 27 /12 /décembre /2010 22:03

 

"Je ne puis imaginer chose plus insensée que le fait de vacciner des femmes enceintes." Dr Russel Blaylock

 

IMG_9013.JPG

 

Comme indiqué dans un de nos précédents articles, il est très risqué de se faire vacciner pendant la grossesse.

 

Nous souhaitions toutefois apporter plus de précisions, études scientifiques à l'appui, concernant les propos du Dr Russel Blaylock, neurochirurgien.

  

Selon ce médecin, les mamans vaccinées contre la grippe durant leur grossesse ont 1 chance sur 50 de donner naissance à un enfant qui risquera d'être autiste ou schizophrène.

    

Comment peut-il en arriver à dire cela?

  

Pour répondre à cette question, il faut se pencher sur deux grands types d'études scientifiques:

     

1°) Les études et les données sur la toxicité pour le foetus du thiomersal utilisés comme conservateur dans les vaccins antigrippaux.

   

2°) Les études portant sur les effets sur les enfants de l'infection prénatale de la mère par le virus de l'influenza (qui, contrairement à ce qu'on pourrait penser, ne sont pas en faveur d'une "protection" vaccinale...)

     

1°) Au sujet du Thiomersal/thimérosal (=mercure des vaccins):

   

- Dans une lettre au journal médical Neuroendocrinology, en 2005 (Neuroendocrinology Letters Vol 26 N°5, October 2005), les auteurs , qui font référence à toute une série d'études scientifiques écrivent notamment que:

  

" Une telle future étude devrait prendre en compte l'exposition au mercure y compris via les vaccinations pendant la grossesse parce que ces expositions semblent être cruciales dans la pathogénésie de l'autisme."

  

- Pour le Pr Boyd Haley, professeur de biochimie à l'Université du Kentucky et expert mondial en matière de toxicité mercurielle: IL N'EXISTE AUCUN SEUIL SÛR de dérivé mercuriel. En fait, il semble même que l'éthylmercure (thiomersal) soit encore plus toxique que le methylmercure (ingéré via les poissons contaminés)

 

 

FEDER

Pour le Dr Lauren Feder, pédiatre:

Le vaccin est-il sûr pour les bébés? Le Centre de contrôle des maladies (CDC) et les médecins qui recommandent la vaccination antigrippale pensent que oui. Cependant, le vaccin contre la grippe contient du mercure. Le mercure peut passer au travers du placenta et s'accumuler chez l'enfant à naître. Le mercure est toxique et peut endommager le cerveau et le système nerveux des foetus en développement, des nourrissons et des jeunes enfants."

 

- Cerise sur le gateau (ou sur le vaccin c'est selon), n'oublions pas non plus les propres aveux du fabricant du thiomersal, Eli Lilly qui dit notamment dans sa "safety data sheet" (feuille avec les données sur la sécurité du produit) que cette substance a des effets sur le foetus.

Ainsi, il est mis dans cette feuille notamment que:

  

" (En matière de) REPRODUCTION: le thiomersal décroît, affaiblit les chances de survie de la descendance" et peut aussi causer chez la descendance "des effets sur le système nerveux avec un retard mental sévère à modéré et des troubles de la coordination motrice"

 

C'est assez clair, n'est-ce pas?

 

2°) Au sujet de l'infection de la femme enceinte par l'Influenza:

 

Différentes études ont été faites sur le sujet. Ces études associent l'infection naturelle de la maman à un risque accru d'autisme et de schizophrénie chez l'enfant. A première vue donc, on serait tenté de croire que ces études plaident en faveur d'une vaccination de la mère....

 

Maternal Influenza Infection Causes Marked Behavioral and Pharmacological Changes in the Offspring [J Neuroscience, Jan 1, 2003;23(1):297–302]
“Maternal viral infection is known to increase the risk for schizophrenia and autism in the offspring.”

 

(Traduction: "L'infection virale de la mère est connue pour augmenter le risque d'autisme et de schizophrénie chez la descendance")

Prenatal Viral Infection Leads to Pyramidal Cell Atrophy and Macrocephaly in Adulthood: Implications for Genesis of Autism and Schizophrenia
[Cell Mol Neurobio Feb 2002; 22,1:25-33]


“The results of these experiments provide preliminary evidence for a prenatal viral effect transmitted in utero on neuronal cell production and brain development which is seen as early as Day 0 and persists to adulthood.”

 

(Traduction:"Les  résultats de ces expériences apportent les preuves préliminaires d'un effet prénatal du virus transmis in utero sur la production de cellules nerveuses et sur le développement cérébral, qui est observé du jour de la naissance et persiste à l'âge adulte")

 
Serologic Evidence of Prenatal Influenza in the Etiology of Schizophrenia [Arch Gen Psychiatry. 2004;61:774-780]
“These findings represent the first serologic evidence that prenatal influenza plays a role in schizophrenia.”

 

(Traduction: "Ces découvertes représentent la première évidence sérologique que l'infection prénatale par le virus de l'influenza joue un rôle dans la schizophrénie.")

 

Prenatal human influenza viral infection... caused significant upregulation of 21 genes and downregulation of 18 genes in brain... Viral infection impacted genes involved in signal transduction/cell communication, solute transport, protein metabolism, energy metabolism, nucleic acid metabolism, immune response, and cell growth and maintenance.” [Synapse 57:91–99 (2005)] 
 

(Traduction: "L'infection prénatale par l'influenza provoque une sur-régulation significative de 21 gènes et une sous-régulation de 18 gènes dans le cerveau.")

    

Ce type de recherches a été, depuis un certain temps, utilisé comme argument en faveur de la vaccination des femmes enceintes...

 

Mais ce qui est intéressant, c'est que le mécanisme selon lequel l'infection de la mère était dommageable pour le foetus était inconnu depuis longtemps et on considérait que le foetus était lésé à cause de sa contamination directe via la mère. Dans cette optique, on pensait que prévenir l'infection chez la maman empêcherait la survenue des dommages chez l'enfant.

 

Une série d'études apportent en fait un éclairage capital à ce sujet:

 

"Comment l'infection de la mère exerce-t-elle ses effets sur le développement cérébral du foetus?" [Int.J.Devl Neuroscience 23 (2005)299-305]

 

"La question la plus vaste est la suivante: comment l'infection virale de la maman affecte-t-elle le cerveau foetal en développement?" [J Neuroscience, Jan 1, 2003;23(1):297-302]

 

"Une question fondamentale qui émerge de ces résultats est de savoir si les altérations du comportement que nous avons pu observer chez la descendance de mères infectées sont attribuables à l'infection virale du foetus OU la conséquence de la réponse immunitaire de la mère à cette infection." (ibidem)

 

" L'infection de la mère par le virus de l'influenza altère probablement le cerveau foetal en développement de façon indirecte: le virus n'est PAS détecté chez le foetus."

[Int.J.Devl Neuroscience 23 (2005) 299-305]

 

"Les résultats indiquent que les anormalités détectées chez la descendance peuvent être causées par la réponse maternelle anti-virale de type inflammatoire... l'infection par le microbe ne s'est PAS avérée nécessaire pour altérer le cerveau foetal en développement."

 

"L'altération du développement du cerveau foetal qui conduit aux troubles du comportement observés chez la descendance de mères infectées n'est PAS due à l'infection des foetus (via leurs mères). Par conséquent, les effets de l'infection maternelle sur le développement cérébral du foetus sont probablement indirects, impliquant sans doute la réponse inflammatoire maternelle."

 

"L'infection virale maternelle a un profond effet sur le comportement de la descendance à l'âge adulte, probablement via un effet de la réponse immunitaire de la mère sur le foetus." [J Neuroscience, Jan 1, 2003; 23 (1): 297-302]

 

"Depuis que l'on pense que le virus de l'influenza atteint rarement le placenta, un effet indirect sur le cerveau foetal en développement est le mécanisme pathogénique le plus plausible pour expliquer le risque accru de schizophrénie. Un tel mécanisme implique que les anticorps maternels anti IgG suscités par une infection au virus de l'influenza, traversent le placenta et interfèrent avec les antigènes du cerveau foetal selon un processus de mimétisme moléculaire à même de perturber le développement du cerveau foetal et donc d'accroître le risque de schizophrénie. Un autre médiateur immunologique potentiel est une surproduction de cytokines maternelles induite par l'infection à l'influenza, laquelle peut endommager le cerveau foetal en développement." [Arch Gen Psychiatry. 2004;61:774-780]

 

  TOUBIB

 

  

En résumé :

 

Il semble que ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui soit dangereux pour le fœtus, puisque celui-ci n’atteint que rarement le placenta, mais bien la réaction immunitaire de la maman. Celle-ci peut interférer avec le développement du bébé parce que les anticorps et d’autres composants du système immunitaire maternel peuvent traverser le placenta.

 

OR, lorsqu’on vaccine la maman, en essayant de « mimer l’infection », on suscite aussi chez elle ce type de réaction immunitaire : des anticorps IgG sont aussi produits suite à la vaccination de même que des cytokines due à la réaction inflammatoire induite par tout vaccin.

 

Il est donc simpliste de croire que se faire vacciner, c’est protéger son bébé.

De la même façon qu’un vaccin comme celui contre la rougeole- maladie qui peut de façon très rare causer des encéphalites- peut aussi causer des encéphalites, la vaccination antigrippale peut aussi léser le cerveau des fœtus comme le virus de l’influenza peut le faire de façon indirecte, via la réponse immunitaire de la mère !

 

Il est donc plus sage et surtout plus rationnel donc de tenter d’éviter l’infection par des moyens plus doux, plus sûrs et qui vont renforcer la résistance, l’ « effet barrière » du système immunitaire de la maman que de le leurrer avec un vaccin aux effets hasardeux et aux composants notoirement toxiques pour le foetus.

D’autant que, comme tout médicament comporte un risque, se faire vacciner c’est courir de façon certaine un risque d’éviter une maladie, par définition incertaine.

 

 

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26 décembre 2010 7 26 /12 /décembre /2010 21:28
 
"Le fond du problème est qu'il est dangereux de vacciner des femmes enceintes tant pour la mère que pour le bébé."  
                                                            Dr Russel BLAYLOCK, neurochirurgien
 
Russel Blaylock 
 
Le Dr BLAYLOCK, neurochirurgien, explique que les femmes qui sont vaccinées pendant leur grossesse ont 1 chance sur 50 de donner naissance à un enfant qui risquera d’être autiste ou atteint de schizophrénie.  [ces estimations se basent sur diverses données &  études dont les résultats sont détaillés dans un autre article, ICI]
 

Or le Dr Michael Bronze, professeur de médecine interne à l'Université d'Oklahoma, précise que, d'après l'expérience de l'hémisphère Sud,  les mêmes femmes ont 1 chance sur 300.000 d’être admises à l’hôpital à la suite d’une complication de la grippe....

 
Sources: Sites de J. Mercola & JChristoff
 
Bien entendu, les officiels recommandent tout de même la vaccination aux femmes enceintes. Que ce soit en Europe ou aux USA. Aux Etats-Unis, le Center for Disease Control (CDC) va même jusqu'à recommander la vaccination aux femmes enceintes à quelque stade de grossesse que ce soit donc même au premier trimestre!
 
Qu'y a-t-il derrière tout ça? Car il y a forcément quelque chose.
On voit, en effet, mal comment le CDC, qui recommande aux femmes enceintes d'éviter toute exposition aux polluants chimiques, pesticides etc pourrait sinon leur recommander une vaccination qui comporte des substances notoirement toxiques pour le foetus. Ce serait tout à fait illogique!
 
Quand les officiels disent que le risque du vaccin est plus faible que celui de faire une complication de la grippe, BIEN EVIDEMMENT cette affirmation est fausse parce qu'ils ne disposent tout simplement d'aucune étude pour estimer, évaluer ce risque du vaccin chez les femmes enceintes. Ils prétendent donc comparer deux risques alors qu'ils n'ont absolument aucune étude pour évaluer un des deux termes de cette comparaison. C'est se moquer du monde!
 
 loupe
 Souvenons-nous que:
 
- l'ESWI, le groupe "scientifique" sur la grippe, financé à 100% par l'industrie, qui se dit indépendant sur son site a conseillé l'OMS....
 
- le groupement des gynécologues-obstétriciens de langue française (GGOLFB) compte GSK parmi ses sponsors
 
mais on pourrait rajouter bien d'autres relations de ce type comme la société belge de pédiatrie qui compte elle aussi GSK ou Wyeth parmi ses sponsors et dit, sur sa page de sponsors "se faire un devoir de  promouvoir la vaccination des enfants."
 
- Les scientifiques, toujours les mêmes, qui appellent, à la télé, à la vaccination sont ceux qui sont liés aux firmes...
 
N'est-ce pas comme cela que le système fonctionne? 
N'est-ce pas là, la seule façon d'expliquer les si graves incohérences des officiels quand ils osent recommander la vaccination aux femmes enceintes?
 
Souvenez-vous de ce qui s'est passé en 2009.... La vaccination recommandée tardivement par les gynécologues aux femmes enceintes et dès le départ par les autorités et leur "cellule Influenza".
 

Dans l'émission Question à la Une du 17 février 2010 sur la grippe H1N1 ,on pouvait notamment entendre le Dr Luc Erpicum dire ceci concernant la vaccination des femmes enceintes: " Ils (le fabricant) marquent qu'ils n'ont pas fait d'études cliniques sur un nombre suffisant de femmes enceintes pour avoir des données statistiques suffisantes. L'Etat qui le reçoit, et les scientifiques puis les gynécologues disent, tardivement, alors qu'il n'y a pas eu d'études en plus, "faites-le!" Il y a eu suffisamment que pour ne pas le faire. Donc le fabricant dit non. Eux, ils disent "ben si, on va l'autoriser." Je ne comprends pas. Je ne comprends pas, honnêtement." A la question de la journaliste qui lui demande si l'adjuvant du vaccin était dangereux, il répond "Il y a un principe de précaution pour les femmes enceintes. Nous ne mettons pas de médicaments aux femmes enceintes. Quand il faut un antiémétique ou quoi, on va regarder dans nos livres. Et si il y a quelques trucs animaux tératogènes, on ne le met pas." (voir à partir du temps 25' 35'' environ).

 

On a donc en fait, bafoué le plus élémentaire principe de précaution.

Et cela, bien entendu, a déjà eu des conséquences néfastes sur la grossesse de quantité de femmes de par le monde.
   
Ainsi, aux USA, c'est surtout à une épidémie de fausses couches qu'on a assisté (et sans doute pas que là-bas...): + de 700% d'augmentation alors que 50% environ des femmes enceintes ont été vaccinées et encore, là-bas, c'était avec un vaccin sans adjuvant....
 
Et de la même façon que le Pr Van Ranst a prétendu, chez nous, qu'il n'y avait pas eu le moindre problème chez les femmes enceintes vaccinées, c'est exactement le même son de cloche outre Atlantique puisque là-bas, le Dr Mc Cormick, du Ministère de la Santé, a assuré qu'il n'y avait eu aucun effet indésirable chez les femmes enceintes.
 
 
"Mon épouse a fait une prééclampsie à 7 mois et demi de grossesse et ce quelque temps après avoir fait le vaccin anti H1N1. Cela nous avait été conseillé par notre gyné."
                                                                                                         Victor-Moris (RTL INFO)
 
"Grippe A (H1N1): une femme enceinte perd son bébé après s'être fait vacciner.
 
19 nov.2010
 
SANTE - Elle a reçu une dose contenant des adjuvants, mais le lien de causalité n'a pas été établi...
 
Une femme enceinte a perdu son bébé deux jours après s'être fait vacciner contre la grippe A (H1N1), a indiqué ce jeudi l'Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé (Afssaps), chargée d'étudier la question.  
 
Professionnelle de la santé, la femme concernée était enceinte de 38 semaines, soit huit mois et demi. Elle a reçu une dose de vaccin avec adjuvant, Pandemrix, du laboratoire GlaxoSmithKline. L'effet de ces composants n'étant pas connus chez les femmes enceintes et les enfants, il est pourtant recommandé d'utiliser les vaccins n'en contenant pas."
 
Source: 20minutes.fr (France)
  

 

La vaccination antigrippale de cette année ne comporte pas d'adjuvant.

Est-elle pour autant sans risques chez la femme enceinte?

 

Cette question est très importante. Nous l'avons-vu, aux USA, même avec un vaccin sans adjuvant, utilisé lors de la saison 2009-2010, cela a donné lieu à une hausse de 700% des taux de fausses couches. Cette donné n'est donc pas à prendre à la légère.
 
- Même sans adjuvant, le vaccin peut contenir de dangereux excipients (additifs) comme des dérivés de mercure, utilisés en tant que conservateurs.
 
Le mercure n'est pas anodin pour le foetus. L'étude des Drs Ayoub et Yazback (USA) conclut notamment en disant:
 
"Etant donné les risques potentiels de l’exposition de la mère, comme du fœtus  au mercure, l’administration de thimerosal pendant la grossesse est à la fois injustifiée et imprudente."
 
- Même sans adjuvant, le vaccin saisonnier classique n'a PAS été testé pendant la grossesse et les notices des fabricants précisent ne pas avoir de données spécifiques pour cette catégorie de la population.
Ainsi, les scientifiques du Réseau Santé Environnement (RES) ont repris, dans un de leurs communiqués, les propos du fabricant du Vaxigrip (un vaccin saisonnier classique):
 
"Pour la grippe saisonnière, le fabricant du Vaxigrip® (Sanofi Pasteur) annonce en date d'avril 2009 sur son site au Canada « Comme l’effet de VAXIGRIPMD sur la reproduction n’a pas fait l’objet d’études chez l’animal, on ignore si l'administration de VAXIGRIPMD à une femme enceinte risque de nuire au foetus ou de compromettre les capacités de reproduction. Les données concernant l’administration de ce vaccin à la femme enceinte sont limitées. VAXIGRIPMD ne doit être administré à la femme enceinte qu’en cas de nécessité clairement établie et après une évaluation des avantages et des risques ».
 
- "Ce qui m’inquiète énormément, déclare le Dr Mercola, c’est que la plupart des médecins, comme aussi les médias ignorent complètement les recherches qui montrent que les vaccins contre la grippe n’ont aucune incidence sur le fait que les femmes enceintes puissent ou non être malades de la grippe ou d’une maladie qui ressemble à la grippe. [...] L’étude réalisée par des chercheurs de Kaiser Permanente, ainsi que du programme national d’immunisation du CDC montrent qu’il n’existe aucune raison de vacciner les femmes enceintes."
 
- Une récente étude, parue dans la prestigieuse revue scientifique "Science", le 17 décembre dernier, apporte un éclairage nouveau quant aux risques pour le bébé d'une vaccination de la mère pendant la grossesse.
 
Le système immunitaire du foetus étant extrêmement permissif, il est donc d'autant plus vulnérable à toutes sortes de polluants qui pourraient aboutir dans le corps de la mère au cours du développement.
                                    

 

Marco Torres, Prevent Disease, 17 décembre 2010

 

VACCINS MEURTRIERS PENDANT LA GROSSESSE

 

LE SYSTEME IMMUNITAIRE DU FŒTUS EST COMPLETEMENT DIFFERENT  

___________________________________________________________________

 

Des chercheurs ont montré pour la première fois que le système immunitaire humain fœtal se formait à partir d’éléments complètement différents de celui de l’adulte. Cette découverte pourrait mener à une meilleure compréhension du fait que de nombreux bébés naissent avec des troubles dus à des surcharges toxiques des mamans qui ont choisi de se faire vacciner pendant leur grossesse.

 

Cette découverte pourrait également aider les scientifiques à mieux comprendre comment les allergies infantiles se développent. Elle pourrait également être utile dans le domaine des transplantations d’organes. Ces découvertes sont décrites dans le numéro de Science du 17 décembre.

 

Jusqu’à aujourd’hui on a cru que le système immunitaire du fœtus et du jeune enfant était simplement une forme immature du système immunitaire de l’adulte, un système qui réagissait différemment du fait de l’absence de menaces immunitaires en provenance de l’environnement. Les toutes dernières recherches ont pu monter que le système immunitaire du fœtus était complètement différent vu qu’il se formait à partir de souches cellulaires différentes de celle qui permettent au système immunitaire de l’adulte de se former.

 

Nous avons découvert que le rôle du système immunitaire du fœtus était de lui indiquer qu’il devait se montrer tolérant vis-à-vis de tout ce qu’il rencontrait, y compris sa propre mère et ses différents organes, déclare Joseph M. McCune, M.D., PhD. Professeur de médecine expérimentale à l’ UCSF.

 

C’est après la naissance qu’un nouveau système immunitaire se forme à partir de souches cellulaires différentes et qui a comme objectif de combattre tout ce qui est étranger...

 

L’équipe des chercheurs avait précédemment découvert que le système immunitaire du fœtus était éminemment tolérant vis-à-vis de cellules étrangères qui se trouvaient dans leur propre corps. L’équipe de chercheurs avait formulé l’hypothèse que ce mécanisme empêchait le fœtus de rejeter les cellules de la mère pendant la grossesse.

 

Le système immunitaire de l’adulte par contraste est programmé pour attaquer tout ce qu’il considère comme « étranger ». C’est ce qui permet au corps de lutter contre les infections.

 

[…] Ce que nous avons découvert c’est que ces cellules immunitaires du fœtus sont particulièrement capables de repérer (« voir ») des substances étrangères. Mais au lieu des les attaquer, elles permettent au fœtus de les tolérer.

 

Le Dr Dave Mihalovic a expliqué que les résultats de l’étude permettaient de mieux comprendre les troubles fréquents qui atteignent les nouveaux-nés après que des vaccins soient entrés dans le flux sanguin de la mère. « Le fait qu’un fœtus doive tolérer les toxines ingérées par la mère ou injectées à la mère, nous fait voir sous un angle tout à fait nouveau pourquoi il est particulièrement dangereux de vacciner les femmes pendant leur grossesse.» a-t-il déclaré.

 

[…] Nous savons que les vaccins contiennent souvent des taux dangereux d’excipients, de conservateurs et d’adjuvants. Beaucoup de ces produits n’ont jamais été testés dans aucune étude sur les bébés, ni non plus sur les fœtus. Les résultats de notre étude nous obligent à reconnaître qu’il nous faut être vigilants, qu’il nous faut également informer les femmes enceintes au sujet des conséquences possibles sur la santé de leur enfant à naître si elles devaient choisir de se faire vacciner. Nous ne disposons tout simplement pas d’éléments suffisants concernant le système immunitaire du fœtus pour pouvoir vacciner les femmes enceintes, a conclu Mihalovic

   

«Vaccines Deadly During Pregnancy. Fetal Immune System Arises From entirely Different Source»

 
Source: Prevent Disease 
 
- Et puis enfin, il n'est jamais inutile de le rappeler: ne pas se faire vacciner, cela ne veut en aucun cas dire se retrouver démunie face à la grippe!
Veiller à une bonne hygiène de vie, combler les carences en vitamines (D, C etc) et en oligo-éléments et compléter au besoin par des méthodes naturelles douces et non toxiques sont les conseils de bon sens d'un nombre croissant de thérapeutes confrontés à cette question dans leur patientèle...
 
"Je le déclare en tant que médecin, nous sommes des apprentis sorciers et de nombreuses générations jouent au quitte ou double avec nous."
Dr Bernard WOESTELANDT
 
 
Voir la suite et les explications complémentaires à cet article ICI

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1 octobre 2010 5 01 /10 /octobre /2010 19:48

U.S.A. -  AVERTISSEMENT POUR TOUTES LES FEMMES ENCEINTES:

 

LE NOMBRE DE FAUSSES-COUCHES POURRAIT ATTEINDRE

LES 3.587 CAS

 

Un rapport choquant de l'Union Nationale des Femmes (NCOW, 11 août 2010) fait état de documents émanant de deux sources différentes et qui montrent que les vaccins H1N1 de 2009-2010 auraient contribué à provoquer, selon l'estimation,1.588 fausses-couches. La correction de cette première estimation pourrait faire apparaître qu'il y aurait en fait eu 3.587 cas. (cfr ici)

  

L'Union Nationale des Femmes a récolté ses données auprès de femmes enceintes de 17 à 45 ans. Les données brutes disponibles sont accessibles sur le site <ProgressiveConvergence.com>

 

En général on estime qu'approximativement 15% seulement des cas de fausses-couches en relation avec la vaccination sont rapportés. (cfr ici)

 

L'Union Nationale des Femmes souligne le fait que le CDC a négligé de porter à la connaissance des fournisseurs de vaccins les données concernant les derniers rapports d'éventuelles morts fœtales.

  

loupeEt ceci ne doit pas nous faire oublier qu'aux USA, le vaccin utilisé était SANS adjuvant, le squalène, une substance notoirement connue pour EXCITER le système immunitaire et présente dans plusieurs vaccins H1N1 dont le Pandemrix...

 

En quoi le squalène peut-il être particulièrement craint chez la femme enceinte?

 

1. Chez la femme enceinte, le système immunitaire est naturellement affaibli et ce pour permettre au corps de la mère de tolérer la présence du bébé dont l'ADN est différent de l'ADN maternel (un mix d'ADN maternel ET paternel) et donc de mener la grossesse à terme. On peut donc parler d'"immunomodulation physiologique".

 

Le squalène, dans la mesure où il excite le système immunitaire et sert à le faire réagir fortement à une substance étrangère (antigène) contre lequel le corps ne réagirait pas du tout sans la présence d'un adjuvant, peut dérégler ce phénomène naturel d'immunomodulation et provoquer une fausse couche. Bien entendu, le corps médical (surtout celui qui aura recommandé la vaccination) aura tendance à nier cette éventualité tout à fait rationnelle.

 

2. Le squalène, générateur de nombreuses maladies auto-immunes chez l'animal a montré un profil inquiétant en matière de reprotoxicité dans les études sur les rats.

De l'aveu même de GSK, les études faites sur les rats avec le vaccin adjuvanté ont donné lieu:

 

- à des fausses couches

- à des décès chez la mère

- à des malformations (notamment de l'uretère)

 

3. Malgré ces données, pourtant très concrètes, les agences de validation ont affirmé de façon mensongère que les essais n'avaient donné lieu à aucun résultat problématique ou inquiétant et ont prôné le recours aux vaccins H1N1, même ceux adjuvantés, chez les femmes enceintes!

Et ce, alors que le propre règlement de telles agences était bafoué...

 

En effet, le 30 septembre 2009, Initiative Citoyenne qui se trouvait à Ciney, pour assister à "une séance d'information" donnée par le Dr Daniel Reynders de la cellule Influenza, a eu l'occasion de demander à ce dernier comment l'agence européenne du médicament (EMA) avait pu donner la recommandation de vacciner les femmes enceintes alors que dans les "guidelines" de cette agence, il était indiqué que des tests de reprotoxicité sont nécessaires avant d'utiliser le produits chez cette catégorie. Nous lui avons alors demandé OU SONT CES ETUDES? Le Dr Reynders nous a alors benoitement répondu qu'il ne pouvait pas donner de réponse à la place de l'EMA et qu'il n'était pas au courant de telles études ni si elles ont ou n'ont pas été faites! Oui, vous avez bien lu, le coordinateur stratégique, celui qui était pendant des mois sur les plateaux télés, en radio, dont les propos étaient relayés dans les journaux et qui recommandait la vaccination aux femmes enceintes n'avait AUCUNE connaissance d'études spécifiques de tolérance pendant la grossesse et en post-accouchement! Et puis, comme si la cellule Influenza n'avait pas à ce point déjà accumulé suffisamment de contradictions comme ça, voilà que le Pr Van Ranst déclarait le 20 octobre 2009 en commission santé de la chambre que: " Les tests assortis d'une médication ne sont en effet jamais réalisés sur les femmes enceintes. L'EMEA dispose pourtant de suffisamment d'éléments attestant que la vaccination de femmes enceintes est sûre. Les tests en laboratoire et les tests réalisés sur des animaux se sont déroulés sans problème."

 

Inlassablement, les officiels ne faisaient que répéter que "les femmes enceintes ont 4 fois plus de risques de complications de la grippe A", sans même se soucier d'évaluer aussi l'autre côté de la balance c'est à dire les risques du vaccin chez cette population spécifique!

 

Nous avons là une preuve éclatante, mais non moins préoccupante de la négligence coupable des autorités "scientifiques' qui se sont donc révélées être, une fois de plus, en plein dogmatisme!  Si ces "autorités" n'avaient pas été dans l'idéologie du "tout vaccin", alors elles auraient comparé des "bénéfices" aux risques réels, chose qui ne s'est pas produite... et des femmes enceintes en ont fait les frais bien entendu, y compris en Belgique!

 

Mais, qu'à cela ne tienne, ça n'empêche pas ces folles autorités scientifiques de remettre le couvert en recommandant encore et toujours la vaccination antigrippale saisonnière aux femmes enceintes à partir du 2° trimestre et cela, alors même que les fabricants stipulent dans leurs notices ne pas avoir de données sur l'administration de ces produits dans ces populations!!

 

Belgique & femmes enceintes vaccinées: quelle est la situation?

 

En Belgique, de nombreux médecins s'étaient positionné fort logiquement en défaveur de la recommandation vaccinale (H1N1) chez les femmes enceintes. Citons par exemple, le Dr Eric Beeth d'Initiative Citoyenne mais aussi le Dr Erpicum, médecin généraliste (cfr émission "Question à la Une" du 17/02), le Dr Michel Vermeulen, médecin généraliste sur son blog (ICI), le Dr Philippe Vandermeeren, président du Groupement Belge des Omnipraticiens (GBO) qui laissait également entendre ses réticences personnelles à cet égard à Nathalie Malleux, l'automne dernier...

 

Bien sûr, le groupement des gynécologues-obstétriciens de langue française avait fortement recommandé ladite vaccination des femmes enceintes mais, faut-il le rappeler, cette association médicale comptait la firme GSK (fabricant du Pandemrix) parmi ses sponsors officiels sur son site...

 

Tout récemment encore, une personne, que nous remercions ici, nous a fait transféré un courriel échangé avec le commissaire interministériel Influenza, le Pr Marc Van Ranst. Voici ce qu'il  a osé affirmer au sujet des femmes enceintes vaccinées:

 

"Toutes les mères qui ont été vaccinées pendant leur grossesse ont mis au monde des bébés en parfait état de santé. Il y a maintenant plus de 9 mois que la campagne de vaccinations a eu lieu. Toutes ces femmes ont accouché. Un calcul rapide sur un bout de papier ( sans citer toutes les sources): Dans le vaccin on il y a 4,86 milligrammes de polysorbate à O,4%. Ce qui représente 0,4% de O,5 ml = 0,002 ml injecté dans le corps d'une femme d'un poids moyen de 50Kg = 0,00004 ml/kg de poids corporel.

 

Au cours de l'expérience sur des jeunes rats (20 grammes) on a utilisé 0,1 ml d'une solution à 5%. Ce qui représente 5% de 0,1ml = 0,005 ml dans un rat de O,02 Kg = 0,25 ml/kg de poids corporel. La différence: une dose 6250 fois plus forte chez ces petits rats...

 

Si on reçoit une balle de badmington ( 5;5g) sur la tête: aucun problème.

Si par contre on reçoit un bloc de 34Kg ( c.a.d. 6250 X plus lourd) on est mort.

Tout le monde peut rester 10 secondes sous l'eau sans respirer. Si on reste 17 heures (c.a.d.6250 X plus longtemps) sous l'eau sans respirer, on est certainement mort. Tout peut donc être comparé à tout.  Informer les gens et leur permettre de réfléchir est excellent. Mais il s'agit de leur donner une information correcte et non une information trompeuse qui n'est pas de l'information." (Dr Marc Van Ranst)



[Pour l'information des lecteurs, il faut savoir que le polysorbate, un des nombreux ingrédients du vaccin Pandemrix (un émulsifiant) s'est révélé avoir un effet stérilisant chez la souris. Il convient aussi de savoir que, d'une espèce à l'autre, les seuils de toxicité peuvent être extrêmement variables, raison pour laquelle l'expérimentation animale est très critiquée, l'extrapolation aux humains pouvant s'avérer excessivement dangereuse. Ainsi, des doses très hautes chez une espèce peuvent être à tort interprétées comme "sûres" chez l'humain qui, peut très bien être déjà sensible à des doses infimes, sans compter les autres sources d'intoxication et de pollutions connexes.]



Nous avons, pour notre part, reçu des informations tout à fait contradictoires par rapport aux affirmations du Pr Marc Van Ranst....



Bien sûr, lesdites informations n'ont pas été officiellement publiées (qui s'en étonnera?) mais nous nous devons, dans un souci d'honnêteté et de transparence d'en faire part au public. Nous tenons ces informations d'infirmières, de sages-femmes, de médecins et de gens proches du personnel médical. Ces informations nous remontent aussi bien de Bruxelles que d'autres zones comme Liège et la province du Luxembourg.



- Une accoucheuse de la Province de Liège rapporte en effet fin juillet que:

"les fausses couches et les bébés morts nés ont été plus fréquents il y a un mois ou deux et la majorité des mères étaient vaccinées contre le H1N1."



- Une infirmière de Bruxelles s'étant renseignée auprès du personnel d'une grande maternité nous a aussi rapporté un nombre accru d'enfants morts nés.



- Des médecins bruxellois nous ont rapporté leur discussion avec des médecins en néonatologie au sujet d'enfants prématurés, tous ou presque nés de mères vaccinées.



- Une autre personne enfin nous rapportait ceci de tristement significatif:



"Une amie de mes amies travaille dans un hôpital à Bruxelles. Elle est super POUR les vaccins mais elle a raconté que cette année-ci, ils ont eu 5 femmes enceintes avec un accident vasculaire cérébral (chose rare). Point commun entre elles: toutes vaccinées contre la grippe A. L'hôpital se posait quand même des questions. Je n'ai pas vu cette information reprise dans les articles officiels d'effets secondaires."



En effet, 5 femmes enceintes avec un AVC dans un même hôpital, c'est plus que troublant !



4. Le cynisme du monde politique est lui aussi sans limites...Songeons par exemple aux propos de Laurette Onkelinx qui disait, le 20 octobre 2009, en commission Santé de la Chambre que:



"Pourquoi propose-t-on de vacciner les femmes enceintes? Parce qu'avec un syndrôme de grippe, elles risquent plus que d'autres de faire une fausse couche. Elles vont devoir en parler avec leur gynécologue et comparer ce risque-là avec les effets secondaires du vaccin." (Laurette Onkelinx)



Jusque là, les choses pourraient sembler "normales" au simple quidam MAIS...

Comment donc les patientes auraient pu avoir une bonne chance de recevoir des informations objectives de leur gynécologue au vu de la position de leur groupement professionnel (cfr supra), sponsorisé officiellement par le producteur du vaccin, GSK?

Comment aussi les médecins pouvaient-ils correctement informer leur patientèle dès lors que le contrat secret conclu entre l'état belge et GSK contenait une foule de dispositions gravissimes et contraires à la santé publique?

 

Bien qu'ayant signé ce contrat secret, au nom de l'état belge, en juillet 2009, Mme Onkelinx osait pourtant encore affirmer ceci le 20 octobre 2009 en commission Santé de la Chambre, soit postérieurement à sa signature:



"Tout d'abord, nous voulons travailler en toute transparence. Rien ne sera caché. Tout sera connu. Tout sera public. Toutes les informations figureront sur les sites et les brochures d'information. Comme la vaccination est volontaire, la décision de se faire ou de ne pas se faire vacciner relève de la responsabilité individuelle. Pour prendre cette décision, il faut être bien informé. Nous avons donc à coeur de poursuivre un travail d'information très spécifique. Il suffit d'aller consulter le site Influenza qui vient d'être relancé pour voir combien nous avons la volonté d'être précis en la matière." (Laurette Onkelinx, 20 oct 2009, Commission Santé de la Chambre)



La vérité c'est que seuls 4% de la totalité du contrat était disponible sur le "très précis" et "très fiable" site Influenza et que les 96% autres (les plus importants) ont été cachés au public jusqu'à la révélation du texte intégral, le 6 mai 2010, soit après la période-clé de décision pour des centaines de milliers de Belges... En signant un tel texte en juillet 2009, Mme Onkelinx savait donc pertinemment bien qu'elle s'engageait à une clause de confidentialité stricte (au sujet de laquelle GSK a expliqué que l'état en était, au moins en partie, demandeur!), ce qu'elle a elle-même avoué dans le JT de RTL du 6 mai 2010 dernier. Elle a donc permis, par sa signature, que les parlementaires ne puissent pas contrôler la validité du marché et la valeur du produit. Quant aux parlementaires, ils ont permis par leur docilité et leur manque de curiosité que ces informations restent si longtemps tues et ne "sortent" pas plus tôt.



Pour d'autres détails concernant la vaccination expérimentale chez les femmes enceintes, voir l'article "Arepanrix: une expérimentation illégale; Vaccination des femmes enceintes avec Pandemrix" par le Dr Eric Beeth, ICI.

 

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