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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 13:05

Voici un très bon exemple d'une pédiatre qui nous débite le calendrier vaccinal appris par coeur et qui récite aussi le catéchisme habituel concernant les effets secondaires des vaccins, réduits à une fièvre ou aussi souvent, à une douleur au point d'injection.

 

Une vidéo relayée par Doctissimo, site pro-vaccins sur lequel les fabricants de vaccins font régulièrement de la pub et qui n'hésite pas à censurer plusieurs messages dérangeants sur ses forums lorsqu'il s'agit de vaccins....

 

 

Où est l'esprit critique chez cette pédiatre? Comment encore accorder sa confiance à des praticiens qui jouent aux perroquets, alors qu'ils ne font sûrement pas part aux parents d'informations pourtant cruciales et vitales comme par exemple le fait que GSK liste 825 effets secondaires possibles au vaccin "6 en 1" Infanrix Hexa (dont l'autisme, la mort subite du nourrisson et le syndrome de l'enfant maltraité/secoué) ou encore que la co-administration de l'Infanrix hexa et du Prevenar lors d'une même consultation multiplie par 3 le risque d'effets secondaires neurologiques?

 

Ces données émanent pourtant de documents confidentiels des fabricants eux-mêmes!

 

Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement comptabilisés (Revue du Praticien, novembre 2011). Comment dès lors peut-on affirmer que leur bénéfices/risques est de toute façon positif? Et la vérité c'est que nombre de médecins s'en doutent, le savent ou le sentent bien puisque lors d'une enquête menée par l'INPES et l'Institut de Sondage BVA en 2005, 31% des médecins pédiatres et généralistes interrogés (anonymement) ont déclaré se poser des questions sur la sécurité de ces vaccins faits aux enfants. "Comme par hasard", ces résultats n'ont jamais été publiés contrairement à ceux d'autres enquêtes qui indiquent que 98% du corps médical soutiendrait la vaccination! Hélas, ces médecins qui savent ou qui se doutent qu'il y a problème, n'osent tout simplement pas répercuter leurs doutes et leurs interrogations "à visage découvert" devant leurs patients.

 

On le voit, les enfants sont les premières victimes de cette médecine sourde et aveugle aux signaux d'alarme pourtant les plus criants. Vos enfants n'ont QUE vous, parents, pour les protéger des actes inconscients de médecins trop lâches, ou ceux,  désinformés et ignorants des données confidentielles-clés, jalousement gardées par les pharmas dont le chiffre d'affaires en dépend!

 

Utile aussi à comparer: le discours édulcoré et simpliste du Dr Balzamo et la façon ci-dessous dont l'Afssaps représente "la sous-notification inévitable" des effets secondaires de vaccins dans un document de 2007 sur la pharmacovigilance des vaccins....

 

AFSSAPS sous notification

 

Le Dr Balzamo, qui est encore jeune, n'est sans doute pas au courant non plus des résultats obtenus par le Pr Marc Tardieu, neuropédiatre de la Pitié Salpétrière, dont l'étude a montré un sur-risque significatif de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés avec l'Engerix B (= vaccin inclus dans l'Infanrix hexa) et ce, plus de 3 ans après avoir été vaccinés! Le Dr Balzamo sait-elle seulement que le Pr Tardieu a été purement et simplement interdit de conférence de presse, selon le journal Libération du 14 octobre 2008?? Cela ne lui pose-t-il pas question?

 

Ironie du sort, le Dr Balzamo répondait notamment dans une interview à Doctissimo en septembre 2010 sur les objectifs de son livre "Guide de santé pour les enfants de 0 à 14 ans" que « depuis quelques années, des parents viennent paniqués par ce qu'ils ont lu des informations angoissantes sur internet, notamment sur les forums» Peut-être que si le Dr Balzamo avait passé davantage de temps sur Internet à vérifier la validité des affirmations vaccinales des instances officielles dont elle se revendique (OMS, HAS, etc), cela lui aurait permis de ne pas s'enliser dans un ton aussi surréaliste qu'inadapté face au matraquage vaccinatoire actuel.

 

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 21:55

Un médecin nous informe de ce que le Journal du Médecin du 22 mars dernier vient de publier au sujet de l'Office de la Naissance et de l'Enfance (ONE).

 

L'ONE n'attire plus peut-on lire....

 

Jdm-ONE-rebute.jpg

Comment franchement s'étonner de l'image "peu attrayante" d'une telle fonction???

 

Les médecins ONE vaccinent à la chaîne des séries d'enfants tous différents avec les mêmes vaccins au prétexte que c'est ce que de "grands experts" venus d'en haut ont décidé "pour leur Bien"!! Où est la valorisation intellectuelle d'une telle médecine de robots?

 

Et lorsqu'un enfant a une contre-indication à un vaccin, il faut soumettre cela aux "conseillers pédiatres" qui jugent à distance (= médecine illégale et contraire au droit belge) et qui refusent dans l'immense majorité des cas au prétexte que ce serait "des fausses contre-indications à la vaccination" selon leur littérature scientifique bien sélective.

 

"Sans praticiens, c'est à terme la mort de l'ONE." peut-on encore lire.

 

"Tous les conseillers pédiatres et tous les gynécologues- ainsi que la direction médicale de l'ONE (qui n'est même pas capable de répondre sur le fond à notre courrier recommandé sur la sécurité des vaccins)- multiplient les interventions publiques aussi bien dans les programmes télé qu'au cours de colloques, dans la presse, via des appels à candidatures dans divers sites médicaux, etc. afin d'informer largement les praticiens sur ce métier."

 

Plusieurs médecins nous ont confié avoir été racolés dans le cadre de cette course désespérée aux candidats à de tels postes et ils ont tous décliné. Forcément, quel médecin censé peut se réjouir d'injecter à longueur de journée des vaccins tous expérimentaux par définition (les aveux de médecins de GSK comme le Dr Nathalie Garçon ou le Dr Saluzzo de Sanofi sont sans équivoque à ce sujet) à de malheureux nouveaux-nés dont toute la santé future pourrait en pâtir et qui n'ont cependant jamais leur mot à dire?

 

Que tous les vaccins administrés aux enfants soient expérimentaux est un fait indéniable. Cela peut ébranler les parents qui vaccinaient sans savoir et sur base d'une confiance aveugle jusqu'à présent mais c'est ainsi.

 

Les médecins issus de ces firmes sont encore mieux placés que les vrais faux experts "indépendants" pour savoir si la "Science" qui sous-tend la vaccination est solide ou pas et la vérité, c'est que SI elle l'était, JAMAIS ils n'auraient eu besoin de faire de tels aveux!

 

Dr Nathalie Garçon, responsable du centre mondial des adjuvants vaccinaux chez GSK:

 

"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." [cfr page 220 de ce workshop aux USA]

 

Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur et consultant OMS:

 

« Une des raisons essentielles de l’histoire des vaccins, c’est qu’on ne comprend pas comment marchent les vaccins. Tout simplement parce que quand un vaccin a été mis au point, plus personne ne s’intéresse au vaccin, si bien que de nos jours quand un nouveau virus apparaît, on ne sait pas comment les autres vaccins ont marché et est-ce qu’on peut s’inspirer d’autres vaccins ? Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »

 

Le caractère expérimental des vaccins signifie qu'AUCUNE étude n'a jamais porté sur une longue période, de façon à évaluer l'impact potentiellement fort négatif de ces batteries de vaccins sur la susceptibilité à développer plus tard de graves maladies (cancers, maladies auto-immunes) et surtout, de façon réellement comparative en comparant des gens vaccinés à des gens jamais vaccinés.

 

Le caractère expérimental signifie que les prétendus experts qui jouent en réalité au casino avec la santé de vos enfants (mais qui ne l'admettront cependant jamais!) n'ont absolument AUCUNE idée du devenir dans l'organisme des différents ingrédients chimiques toxiques qui composent les vaccins et encore moins de la façon précise dont les vaccins peuvent affecter dans le temps et en intensité les fonctions effectrices du délicat et complexe système immunitaire.

 

Si jamais un médecin ONE (ou tout autre médecin) vous informait du caractère franchement expérimental des vaccins qu'il va injecter à votre enfant ET que vous y consentiez au nom de votre enfant, alors et seulement alors il serait dans la légalité mais ce n'est hélas pas du tout ce qui se passe dans la réalité, l'ONE se contentant de dire aux parents que la vaccination va protéger leurs enfants au prix en général d'une fièvre et d'une simple douleur au point d'injection.

 

Imaginez un peu quels pourraient être les résultats - et en 200 ans de vaccination, il eût pourtant été possible de les obtenir, si les officiels en avaient vraiment eu la volonté et le courage!- si on comparait pendant 70 ans des gens vaccinés avec un groupe similaire de gens absolument non vaccinés mais vivant donc dans les mêmes conditions (d'exposition aux polluants, d'alimentation etc). Ce faisant, en ne faisant varier qu'un paramètre notable (le statut vaccinal), on pourrait comparer les taux d'allergies, de maladies auto-immunes, de cancers, de maladies neurodégénératives, toutes ces maladies qui sont un tel fardeau financier et qui sont la source de tant de souffrances pour les malades concernés et leurs familles.

 

Après de telles études, et après de telles études seulement, on pourrait commencer à pouvoir dire s'il est éthique, et scientifiquement et médicalement fondé, de recommander "la vaccination tout au long de la vie" comme continue de le répéter inlassablement la pub trompeuse de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui continue de repasser à la radio ces temps-ci. (Et personnellement, si nous détenions des études aussi sérieuses et solides qui attestent que les vaccins sont réellement si sûrs, nous en prendrions bien sûr acte.)

 

cages-a-bebes.jpg

 Vaccinomanie: prison idéologique & physique des bébés?

 

Nous avions posé, dans un esprit de responsabilité et de concertation et dans l'intérêt suprême des enfants, un certain nombre de questions à la direction médicale de l'ONE. Si vraiment ce que nous disons ci-dessus, preuves à l'appui, était factuellement faux,  POURQUOI diable ne fournissent-ils aucune réponse à ces questions très graves et sérieuses, et dont la légitimité à être un jour posées est tellement criante?? La raison, c'est parce qu'ils n'en ont aucune. Ils savent très bien qu'ils sont face à un problème de crédibilité majeur qui ne pourra aller qu'en empirant.

 

Tout simplement parce qu'ils ont trop menti. Ils ont trop tu et minimisé les risques vaccinaux et ont été jusqu'à nier des risques pourtant admis dans les notices par les fabricants eux-mêmes! Ainsi, le risque de sclérose en plaques (= "multiple sclerosis" en anglais) figure en toutes lettres dans la notice du vaccin Engerix B depuis 1995 au moins. Cette valence Engerix est incluse dans le vaccin "6 en 1" Infanrix Hexa. Que ce soit pour l'Engerix ou l'Infanrix Hexa, l'ONE déclare dans son Guide de Médecine Préventive édition 2011 qu'il n'existe aucune relation causale entre la sclérose en plaques et le vaccin contre l'hépatite B.

 

Il y a un peu plus d'un an maintenant, l'ONE osait déclarer dans la presse que:

 

"Pour la quasi-totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'y a pas de complication grave des vaccins." (cela doit en effet être pour cela que depuis 1986, les autorités américaines ont déjà versé plus de 2,5 milliards de dollars aux victimes, alors que 2/3 des plaintes sont rejetées d'emblée!)

 

« Jamais les vaccins n’entraînent les complications de la maladie contre laquelle ils protègent. » (cela doit être pour ça que la littérature médicale fait état par exemple de cas d'encéphalites non seulement après la rougeole mais aussi après le vaccin, ou encore de dégâts au foie et d'hépatites auto-immunes après des vaccins anti-hépatite B!!)

 

La conclusion à autant de mensonges, est peut-être celle donnée par Abraham Lincoln, ancien président des Etats-Unis, lorsqu'il disait:

 

"On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps."

 

"Au parlement de la Fédération Wallonie-Bruxelles, la députée CDH Anne-Catherine Goffinet, donne ses pistes afin d'attirer les jeunes diplômés à l'ONE. Pour elle, il serait intéressant de réfléchir à la façon d'améliorer l'image et la visibilité de la médecine préventive ainsi que de faire valoir son importance dans la société où les inégalités sociales en termes de santé ne cessent de croître. "Nous pourrions imaginer un système de tutorat où un médecin plus expérimenté accueillerait le jeune diplômé au sein de l'ONE et l'aiderait à développer ses compétences, lui ferait découvrir son réseau, le conseillerait et lui transmettrait ses connaissances. Outre son aspect attractif, cette formule contribuerait à l'intégration du nouveau venu et renforcerait les liens dans l'équipe."

 

Peut-être Madame Goffinet devrait-elle s'interroger sur la mauvaise image de la médecine préventive qui a en réalité été tellement dévoyée et dénaturée pour n'être plus réduite qu'à la vaccinomanie qu'elle séduit de moins en moins dans un monde où, cependant, personne ne peut dire qu'il souhaite tomber malade. Dans ces conditions, son tutorat apparaît comme une solution aussi sérieuse à la crise de crédibilité que traverse l'ONE que le récent décret des autorités sur la rebaptisation des noms des congés scolaires ne solutionnera la baisse préoccupante de la qualité de notre enseignement!

 

Alors que "la maison brûle", des députés très éclairés ne pensent qu'à arroser les fleurs! Ils ne semblent pas conscients du caractère profondément désespérant et intellectuellement très rebutant d'une médecine de masse, faussement préventive et qui annihile en réalité les particularismes biologiques des individus pour les fondre dans un moule aussi restrictif qu' oppressant. Les 1000 médecins "plus expérimentés" que compte l'ONE sont-ils seulement au courant des dangers constamment tus et minimisés des vaccins qu'ils auront administrés pendant des années et si oui, auront-ils seulement la liberté d'en informer les jeunes diplômés sans les refroidir de facto avant de commencer dans ce genre de fonction??

 

Parmi les "compétences" à développer, l'obéissance au dogme vaccinal ne figurera-t-elle pas en bonne place, si pas en place numéro 1? Car quelle consultation ONE peut tourner sans médecin qui accepte de vacciner un enfant après l'autre? Si l'ONE oblige tous ces vaccins pour l'admission en crèches et qu'elle perd les médecins prêts à soumettre sans états d'âme autant d'enfants à pareilles exigences aussi hasardeuses, sa tyrannie va progressivement s'étioler. Et ça, l'ONE le sait. La vaccination est devenue une des pierres angulaires de l'ONE depuis la fin des années 80.

 

Pour le Dr Christian Tal-Schaller, la vaccination aveugle d'autant d'enfants est assez révélatrice du peu de cas fait de la santé des générations futures. C'est l'exemple même de l'anti-médecine:

 

"Cette inconscience des effets toxiques à moyen et long terme des vaccins est caractéristique de la vaccinologie. Comme presque toutes les études sont financées par les marchands de vaccins, comment voulez-vous obtenir des informations qui contrecarrent leurs intérêts? Et quels sont les partisans des vaccins qui se sont inquiétés du sort des générations futures? Ce qui compte, c'est de vendre le plus possible de vaccins au plus de gens possible, et le reste on s'en lave les mains! Cela fait penser à ces mafiosi napolitains qui ont enterré des tonnes de déchets toxiques dans les campagnes du sud de l'Italie sans réaliser que leurs enfants et petits enfants n'auront plus d'eau et d'aliments non pollués pendant des siècles!"

 

"La "médecine au pistolet vaccinal", cette médecine de masse qui traite tous les individus d'une manière uniforme est une véritable anti-médecine, qui ne tient aucun compte de l'état immunitaire de chaque personne, et impose à tous les mêmes produits et les mêmes doses, d'une manière tout à fait contestable tant sur le plan humain que sur le plan scientifique. Comme l'a écrit le journaliste médical Nicholas Regush: "J'appelle cela de la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n'est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans un corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire, frise la criminalité."

 

Pour Sophie Pécriaux du parti socialiste, qui semble aussi éclairée sur les fausses solutions-miracles à apporter que sa collègue CDH Goffinet, "Il faut améliorer rapidement l'informatisation de l'ONE, notamment pour les prescriptions de vaccins. On prend là un retard important aussi pour la qualité de nos statistiques de santé."

 

Pendant ce temps-là, nos enfants, eux, s'ils pouvaient parler le diraient, ils ne rêvent que d'une seule chose: qu'on arrête de ne les considérer que comme des statistiques et des pelottes à aiguilles et surtout, surtout, comme des cobayes interchangeables, tous aptes à supporter les mêmes vaccins expérimentaux!!

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 22:30

Alors qu'à l'occasion de la fausse urgence grippale de cet hiver à New-York, c'était les pharmaciens qu'on autorisait à vacciner (y compris les enfants) dans leurs officines, c'est à présent au tour des infirmières d'espérer avoir "leur part du gâteau"...

 

C'est ainsi qu'on pouvait lire dans le Journal du Médecin n°2304 du 8 mars dernier qu' "en France, les infirmières pourront bientôt prescrire vaccins et dépistages" !

 

Jdm-8-mars-2013.jpg

 

Jdm 8 mars 2013 (1)

Jdm-8-mars-2013--2-.jpg

 

 

Cette décision s’inscrit dans le contexte actuel de BANALISATION & DE HARCELEMENT VACCINAL. Tout est donc bon pour vacciner le plus possible : offrir des cadeaux aux vaccinés, les piquer dans les pharmacies, leur présenter les futurs vaccins « non douloureux » sans aiguilles et autres foutaises. Ne manquait donc presque plus au tableau que la prescription de vaccins par des infirmières, alors que… la vaccination est pourtant un acte médical à part entière.

 

Et pour cause, il s’agit rien de moins que l’initiation d’un processus immunologique incontrôlable et irréversible une fois le produit injecté (expérimental par définition vu les carences graves dans l’évaluation de TOUS les vaccins actuellement sur le marché). Et on va donc confier ce geste à des infirmières… pourquoi ne pas leur confier aussi les chirurgies ou les sutures tant qu’à faire ?

 

Ah oui, c’est vrai, elles diront que ça, elles ne savent pas faire. Sauf qu’en matière de vaccination, il ne s’agit pas de seulement savoir pratiquer le geste technique de l’injection, il faut aussi en savoir assez sur les risques qui peuvent modifier toute une vie plutôt que piquer à la chaîne. Et un des indices qui montrent cruellement que les infirmiers et infirmières n’en savent généralement pas assez du tout sur le sujet, c’est l’affirmation FAUSSE d’Alda Dalla Valle, présidente de la Fédération belge des Infirmières, quand elle prétend que « les risques sont fortement réduits lors des injections de rappel » (par rapport aux injections initiales). Cela montre bien que ces gens réduisent les risques aux seules éventualités d’anaphylaxie (allergie grave) ALORS QUE l’on peut au contraire lire dans le rapport du Forum européen de vaccinovigilance de 2004 que :

 

 « La plupart du temps, l’apparition des troubles est progressive : au début, apparaissent quelques petits dysfonctionnements auxquels on ne prête pas une très grande attention. L’aggravation se produit après les rappels de vaccins. […] Plus on reçoit de doses vaccinales, plus les problèmes s’aggravent. »  (cfr p. 61/81)

 

Il est peu probable que les infirmières soient en mesure de détecter ces « petits dysfonctionnements» inauguraux  quand on sait que 61% de ceux (y compris des médecins) qui administrent le vaccin antigrippal sont incapables de reconnaître un effet secondaire.  Le risque est donc grand que des gens ayant en réalité mal supporté la première dose de vaccin mais ne faisant pas la connexion au moment du rappel, se trouvent aggravés de façon irréversible par un rappel effectué en toute insouciance par une infirmière ou un infirmier. Songeons-y avant d'accepter cette malencontreuse délégation de responsabilités !!

 

 

Voir aussi l'article du Monde intitulé "La vaccinaion, casus belli des professions de santé".

 

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11 mars 2013 1 11 /03 /mars /2013 18:00

ordre et désordres

Le livre

 

Protocoles et dépistages sont les maîtres mots de la médecine d'aujourd'hui, une médecine « de masse » appliquée mécaniquement au gré des études épidémiologiques et des essais cliniques menés par les laboratoires pharmaceutiques.

Contre ce système qui nuit à la santé des patients en refusant de tenir compte des spécificités de chacun, certains médecins ou pharmaciens ont décidé de résister. Ils veulent appliquer une médecine plus humaine, une médecine qui soigne des personnes et non des maladies.


Mais c’est sans compter sur l'administration, qui veille à ce que les protocoles de traitements médicaux soient appliqués à la lettre, les enfants vaccinés à tour de bras et les adultes dépistés en masse, parce qu’il en a été décidé ainsi. Si les recommandations des autorités ne sont pas strictement mises en application, les divers Conseils de l'Ordre et la mission de lutte contre les sectes savent s'unir pour que tous les praticiens retrouvent le droit chemin... celui de la médecine robotisée et «rentable» (pour l'industrie pharmaceutique, pas pour la Sécurité sociale).

 

Dans cet ouvrage, Sylvie Simon donne la parole à des praticiens humains, lucides, qui souhaitent que la santé de leurs patients reste, malgré tous les obstacles, tous les ennuis à affronter, la seule priorité.

 

L’auteur

 

Sylvie Simon est journaliste et écrivain. Elle milite depuis de nombreuses années pour que chacun connaisse les vrais enjeux de notre système de santé. On lui doit de nombreux ouvrages et essais dans ce domaine (La Nouvelle Dictature médico-scientifique, Votre Santé n’intéresse que vous, Vaccins, mensonges et propagande…)

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14 février 2013 4 14 /02 /février /2013 21:30

abus-de-conscience

Voici une interview salutaire du Dr Alain Perrier dans le Journal La Savoie du 7 février 2013 dernier sur les vaccins de l'inconscience médicale.

 

Extraits:

 

" J'ai pris conscience, avec les mamans qui venaient me voir pour leurs enfants qui, après une ou des vaccinations, étaient malades tout atteints des maladies dont ils auraient dû être protégés."

 

"Piquer, piquer, piquer... c'est de la prévention nous dit-on, mais est-ce un acte médical? Un acte médical est avant tout un travail de diagnostic. Tout bon médecin devrait faire un diagnostic, celui de ma protection immunitaire. Sans cela, comment évaluer le remède à prescrire?"

 

"On pique parce que c'est la loi, mais cette loi est dirigée dans l'ombre par les lobbies. Lobbies qui sont en permanence à l'Assemblée à soutenir telle ou telle source de profit."

 

Vacciner, est-ce un acte scientifique? (journaliste)

 

Dr Alain Perrier: "C'est une honte immunologique! Le vaccin entraîne en réalité un effondrement du système immunitaire. Avec lui, on prend le risque d'un antigénisme croisé."

 

"Pourquoi voit-on des maladies se déclencher après une vaccination, des maladies persister malgré tout? Quel est cet homme de demain que la science est en train de nous programmer? Un homme objet, docile, sans conscience? [...] La santé officielle, ne va-t-elle pas faire de nous tous, des malades? "

 

L'avis d'Initiative Citoyenne sur la notion de "contagion":

 

Initiative Citoyenne est un peu plus nuancée que le Dr Perrier sur la notion de contagion mais est d'accord sur le fait que la seule contagion n'explique en effet pas tout: de là en effet le fait que tout le monde ne contracte pas forcément une maladie, fusse-t-elle contagieuse et fussent les gens non immunisés. Le terrain individuel est en effet une notion complètement ignorée par la pseudo-science qu'est la vaccinologie. De là aussi de nombreux accidents, systématiquement niés. On remarquera quand même ici avec bonheur l'ouverture d'un tel média, en déplorant hélas que c'est loin d'être le cas de tous! Certains médecins, bien plus souvent en fin de carrière d'ailleurs, ont aussi plus de courage que d'autres...

 

 

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9 février 2013 6 09 /02 /février /2013 20:00

Bien que les médecins et les autorités de santé soient toujours très promptes à agiter l'épouvantail, avec les soi-disant trop nombreux décès liés à la grippe (dont le vaccin est pourtant largement inefficace!), elles ne sont en revanche jamais pressées de vous présenter une autre réalité, bien plus dérangeante, celle des erreurs médicales:

 

Allemagne : 44.000 cas d'erreurs médicales dont 17.000 morts !

 

C'est au 'détour' d'une émission "Hallo Deutschland" diffusée le 1er février 2013 par la chaîne de télévision allemande ZDF, dont un sujet était consacré à une erreur médicale, que ces chiffres ont été révélés. A mettre en parallèle avec les chiffres concernant la Belgique : 20.000 erreurs médicales dont 2.000 morts..

 

Rappelons qu'il ne s'agit que d'estimations et que la réalité pourrait fort bien être bien plus catastrophique.

 

Que valent les vies de victimes d'erreurs médicales ? moins que celles de victimes de la route ?

 

Source: asbl  Action Erreurs médicales

 

 QUESTION D'INITIATIVE CITOYENNE: Et quid si on devait encore ajouter à ces chiffres  d'erreurs médicales, celles des médecins qui vaccinent aveuglément tout ce qui bouge, y compris celles des médecins ONE, qui vaccinent des enfants malades, au prétexte que leur hiérarchie scientifique ou administrative considère qu'il s'agit de "fausses contre-indications" aux vaccins, avec des séquelles irréversibles et des morts possibles à la clé??

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2 février 2013 6 02 /02 /février /2013 20:40

Nous partageons totalement l'avis de Jean-Paul Pellet d'Alis lorsqu'il titre "Le temps de l'impunité des vaccinateurs doit cesser!" 

 

Voici en effet ce qu'il écrit dans un document inspirant, qui a tout lieu de nous éclairer aussi sur les recours juridiques possibles et transposables en droit belge, contre des médecins ONE imprudents qui ne reconnaissent quasiment aucune contre-indication aux vaccins ou des médecins n'ayant tout simplement pas fait leur devoir d'information en matière de vaccination.

 

Le temps de l’impunité des vaccinateurs doit cesser !

 

Il n’appartient qu’à nous de le décider. Alors décidons-le !

 

Pourquoi ?

 

1. En cas d’accident vaccinal, le principal responsable est bien celui qui a réalisé l’acte vaccinal, et non celui qui fabrique le vaccin. De même, quand un criminel tue, il est bien plus responsable que la firme qui a fabriqué l’arme, c’est lui qui a commis l’acte et qui doit répondre de son geste. Il faut cesser de couvrir le « bon » médecin de famille et appeler un chat un chat : un médecin qui estropie son patient est un coupable qui doit rendre des comptes. Et qu’on ne vienne pas nous dire que les médecins sont désinformés : même la presse médicale française, qui est connue pour son manque d’indépendance, évoque les accidents médicaux.

 

2. Le système compte sur les médecins pour relayer sa politique vaccinale. Mais ne croyez pas qu’ils subissent cela contre leur gré. Au contraire, la plupart des médecins se prêtent au jeu car la vaccination est pour eux une rente. Si les procès se multipliaient contre eux, ils changeraient d’attitude et cesseraient d’être les valets de l’administration sanitaire.

 

Sur quelles bases légales attaquer ?

 

 Les éléments ne manquent pas.

 

 Lire la suite: ICI

  panique des médecins, ils sont responsables!

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20 janvier 2013 7 20 /01 /janvier /2013 17:30

Récemment, on apprenait qu'un médecin français avait été condamné à verser 3000 euros à un patient pour défaut d'information puisque le praticien n'avait pas informé sur les risques graves associés au vaccin anti-hépatite B et notamment sur celui de sclérose en plaques.

 

Il est donc possible de responsabiliser les prescripteurs par le biais de la menace d'une action en justice. C'est triste qu'il faille bien sûr en arriver là car il suffisait que les médecins lisent les lois et connaissent leurs obligations.

 

Le 10 janvier dernier, le journal Le Point consacrait un article au scandale des pilules contraceptives. Et justement, on pouvait notamment y lire l'avis d'un avocat, Me Jean-Christophe Coubris, qui défend une centaine de victimes de la pilule contraceptive:

 

"Je suis persuadé que nous pouvons faire condamner des prescripteurs, et pas seulement des laboratoires."

 

Et le journaliste-médecin du Point de poursuivre: "Ce serait un tournant, tant la responsabilité des médecins de terrain a toujours été épargnée dans les scandales sanitaires ces trente dernières années. Le sang contaminé? La faute à Garretta et sa clique. Le Mediator, celle de l'abominable Servier. Comme si dans la première de ces retentissantes affaires, les médecins spécialistes de la collecte et de la transfusion sanguine n'avaient pas existé, ni dans la dernière, des praticiens qui font maigrir leurs patients à tout prix. Mais depuis la parution du Monde du 15 décembre révélant le dramatique accident vasculaire de Marion Larat survenu à la suite de la prescription d'une pilule dite de troisième génération, le public se pose une question très simple: comment se fait-il que les rares mais très sévères risques entraînés par la prise de ces pilules soient connus depuis des années d'un certain nombre de médecins (dont l'auteur de ces lignes) mais ignorés par d'autres qui les prescrivent à tour de bras?

 

Et en effet, les dangers de ces pilules sont connus depuis 1995.

 

Mais que dire alors des vaccins dont les risques graves sont dénoncés depuis la fin du 18° siècle (invention de Jenner), au sujet desquels des milliers d'études existent, mais qui ne sont jamais assez pris en compte par le corps médical?

 

A en croire les chiffres d'une enquête aux résultats "étrangement" non publiés de l'INPES, les pédiatres et généralistes sont pourtant 58% à se poser des questions sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité. Un tiers des médecins vaccinateurs se posent donc au moins des questions sur la sécurité de ces produits sans que 1/3 de ceux-ci ne s'abstiennent pour autant de vacciner, ce qui signifie en d'autres termes que parmi les médecins qui vous vaccinent vous ou vos enfants, certains ont des doutes mais ils n'osent tout simplement pas vous le dire. Faites ce que je dis, pas ce que je fais...

 

Il est certain que critiquer les pilules est davantage "politiquement correct" que critiquer les vaccins. Les pilules cependant offrent un service réel: une contraception effective (c'est tangible comme "service médical rendu") là où le bénéfice des vaccins est par définition incertain puisque RIEN ne permet d'affirmer qu'une personne aurait forcément contracté la maladie en l'absence de vaccination et encore moins qu'elle aurait développé une complication de la maladie contre laquelle on vaccine! Sans contraception, le risque de grossesse est CERTAIN dans un certain intervalle de temps (sauf pour les gens stériles bien sûr) là où, sans vaccins, l'organisme humain n'est PAS dépourvu puisqu'il dispose déjà, de façon innée d'un système immunitaire très performant et d'une rare complexité.

 

On notera également que l'accident vasculaire de cette jeune fille sous pilule, dont fait état Le Point, a eu un gros impact. Pourquoi: parce que le public a COMPRIS que cette jeune fille aurait pu être la leur, que ça aurait pu être leur soeur, leur amie ou eux-mêmes. Pourtant, avec les vaccinations, c'est exactement la même chose, ce terrorisme sanitaire donnant forcément lieu à des victimes sans qu'on sache d'avance sur qui ça tombera! En outre, pourquoi Le Point n'a-t-il pas abordé le thème des accidents vasculaires cérébraux causés par les vaccinations? 

 

Ce qui fera changer la donne, ce sera donc la mise en cause individuelle des prescripteurs et vaccinateurs : si les médecins ONE se permettent de vacciner aveuglément des enfants malades AU PRETEXTE que leur institution estime que c’est une fausse contre-indication, c’est le bon sens et la logique DE CES MEDECINS qui doivent être au besoin remis en cause devant un tribunal, sans laisser à ces gens irresponsables la possibilité de se réfugier « dans les jupes de leurs institutions » ! Ne pas agir ainsi, c’est même irrespectueux pour l’intelligence des médecins ONE car c’est partir du principe qu’ils agissent tous comme des robots et des automates, incapables de la moindre réflexion !

 

Il est donc évident que la mise en cause de tous les individus, y compris médecins, s’étant rendus coupables d’imprudence et de manque de bon sens en matière sanitaire est une des CLES de la sécurité médicale des générations futures mais on voit déjà la réponse politicienne affligeante : rendre les médecins et les firmes inattaquables, comme aux USA. Est-ce cela que nous voulons, est-ce cela le respect que nous avons pour nous-mêmes, notre intégrité et celle de nos enfants ??

 

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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 11:30

Livre-Coderre.JPG

Les fanatiques des vaccins ont pour habitude de rappeler dans un discours pour le moins contradictoire que le corps médical soutient unanimement la vaccination mais que, d'autre part, les critiques sur la vaccination existent depuis le début de cette pratique. Selon ce qu'ils se contentent de dire, ces critiques étaient essentiellement d'ordre religieux ou philosophique.

 

Dans un document rare d'époque publié en 1875 par le médecin Dr J Emery-Coderre, de l'Université de Montréal, on peut découvrir avec surprise que les raisons de la controverse médicale sont exactement les mêmes qu'aujourd'hui et qu'elles ne sont absolument pas d'ordre religieux ou philosophique:

 

 

- déni systématique du moindre effet secondaire, assimilé à une "coïncidence" ou "une exception" et très vite attribué à tout autre chose.

 

- sur-estimation de l'efficacité des vaccins, sans cesse présentés comme "infaillibles".

 

- conflits d'intérêts des médecins qui vaccinent.

 

- collusion entre l'Etat et les vaccinateurs (de nos jours c'est surtout entre l'Etat et les firmes) et entre l'Etat et la presse.

 

- effets tout à fait contre-productifs de l'obligation vaccinale qui favorisait les flambées épidémiques par rapport aux zones non ou moins vaccinées.

 

- manque de rigueur scientifique des travaux de Jenner

 

- démonstration, sur base des données épidémiologiques officielles(!), de l'inefficacité criante de la vaccination

 

- fuite du débat de la part des officiels qui attaquaient ad hominem les contestataires par incapacité de répondre SUR LE FOND.

 

etc etc

 

C'est assez surprenant de découvrir cela parce qu'il n'existait à l'époque qu'un seul vaccin, celui contre la variole alors qu'il en existe à présent plusieurs dizaines.

A l'époque, la liberté de ton des médecins était beaucoup plus grande et cela se sent par les mots nettement plus tranchants qu'ils osaient utiliser comparativement à aujourd'hui.

 

Il y avait plus de 100 000 personnes dans ce qu'ils appelaient "la Ligue des Anti-Vaccinateurs" en Angleterre à cette époque avec quantité de médecins, de notables etc... comment alors a-t-on pu en arriver au stade de harcèlement, pressions et tyrannie vaccinales d'aujourd'hui?

 

Les raisons en sont déjà données dans cet ouvrage du Dr Coderre avec, en raison N°1: le manque d'indépendance et la partialité des médias qui avaient déjà pour triste habitude de marginaliser et de villipender les médecins contestataires. Ce faisant, il n'est guère difficile d'imaginer comment l'opinion a pu être "ajustée" en un peu plus d'un siècle de matraquage médiatique et de déséquilibre informationnel constant entre les deux points de vue.

 

Car, il faut le souligner: à l'époque, le public osait se battre vigoureusement pour empêcher les obligations vaccinales et il y arrivait. En Angleterre, l'obligation a fini par être levée grâce à la légitime contestation populaire. Certaines personnes préféraient déjà aller en prison, payer des amendes et se faire confisquer leurs biens plutôt que de devoir subir la vaccination pour eux et leurs enfants.

 

Et il faut croire que ces gens étaient très inspirés et avaient BIEN RAISON quand on lit les aveux des officiels sur le vaccin anti-variolique actuel (dit de deuxième génération) qui est déjà considéré comme "dangereux" alors qu'il est censé l'être beaucoup moins que celui dit "de la première génération" qui ne "répond plus aux standards actuels" mais qui est sans doute celui (ou proche de celui) que ces gens étaient forcés de recevoir sous la menace de sanctions.

 

Voici quelques extraits, encore particulièrement d'actualité (Dr J. Emery-Coderre):

 

"Je puis affirmer que mes recherches qui datent de plus de 20 ans, n'ont été faites que dans le but de connaître les résultats de la vaccination, et toujours j'ai pu me convaincre de l'inefficacité de cette pratique, et de l'erreur dans laquelle sont tombés les médecins qui en sont partisans. Cette erreur s'est perpétuée et se perpétue encore, malheureusement, malgré les efforts de ceux qui ne cessent de se récrier à la vue des maux qu'elle cause."

 

" Je n'en finirais plus si je voulais rapporter tous les mauvais cas de vaccination qui sont à ma connaissance."

 

"La plupart des médecins ont préféré, plutôt que d'étudier la vaccination, la pratiquer sans s'occuper de ses résultats ni tenir compte de l'opposition des anti-vaccinateurs. Pour beaucoup de vaccinateurs, la vaccination est une question de lucre; en Angleterre surtout, les officiers de santé font de £1200 à £1500 stg. et même plus, par année."

 

"Les arguments de Jenner en faveur de sa théorie sont réellement futiles. Encore aujourd'hui, selon les fidèles disciples du maître, lorsque la vaccine (= vaccin anti-variolique de l'époque) ne préserve point ou que des accidents surviennent après l'inoculation du vaccin, c'est dû à ce que les gens n'ont pas été bien vaccinés...[...] et Jenner n'avait d'autre raisonnement que le persiflage à l'adresse de ceux qui ne partageaient pas ses vues. Selon lui, il n'y avait que des ignorants qui pussent s'opposer à sa découverte, comme aujourd'hui ceux qui s'opposent à la vaccination devraient être envoyés dans les maisons de santé."

 

"D'après Sir James Paget, la vaccination produit un véritable empoisonnement du sang. Mais dans quel but empoisonne-t-on ainsi le sang? Dans le but de prévenir une maladie que l'on n'aura peut-être jamais; car il ne faut pas croire que tout le monde est condamné à avoir la variole; et il ne faut pas croire, non plus, que tous ceux qui sont vaccinés et qui sont exempts de variole, le doivent à la vaccine (= au vaccin.)."

 

" En Autriche, le Dr Josef Hermann, médecin en chef de l'hôpital des syphilitiques à Vienne, ayant été nommé pour faire le service des variolés dans l'hôpital impérial de Wiede, depuis le mois d'août 1858 jusqu'à la fin de l'année 1864, a donné le résultat des observations qu'il a faites pendant cette période de temps; et il en est venu à la conclusion que la vaccination était la plus grande erreur médicale des temps modernes."

 

"Si la vaccination n'était qu'une opération inutile, sans inconvénient pour celui qui s'y soumet, vous auriez bien peu de raison de la combattre; mais les faits et l'expérience sont là pour prouver qu'elle est toujours dangereuse et souvent suivie d'accidents fâcheux." (Dr A. Dagenais dans une lettre au Dr J. Emery-Coderre)

 

Dr Terzé (de France): " L'erreur que nous combattons aujourd'hui a déjà coûté des millions d'êtres à l'Europe. Quand donc voudra-t-on la détruire? Quand on songe aux graves conséquences des erreurs qui, comme de mauvais génies, escortent l'homme depuis le sein de sa mère jusqu'à la tombe, on est péniblement affecté de cette fatale condition.

 

Les erreurs en médecine, ne s'opposent pas seulement au progrès de la science, à la pratique de l'art; elles donnent souvent naissance à la routine, qu'il faut ensuite des siècles de luttes pour détruire."

 

"Tel est le préjugé que nous cherchons à renverser aujourd'hui, en démontrant de la manière la plus évidente la triste influence que la vaccine a eue sur l'espèce humaine, dont elle a opéré la dégénérescence physique et morale." (Science Populaire, Tome 1, pp 333 et 334.)

 

"Depuis que nous avons des vaccinateurs publics, la maladie s'est accrue d'année en année; ce fait a été attesté devant le bureau de santé et personne n'osera le nier. Et pourtant, le même bureau suggère de nouveaux moyens d'augmenter la vaccination. Est-ce pour se venger de n'avoir pu jusqu'à présent faire adopter sa loi compulsoire (= loi d'obligation vaccinale)?

 

J'ose espérer que, pour l'honneur de Montréal, le bureau de santé ne renouvellera pas les tentatives qu'il fit en 1875 pour nous imposer forcément la vaccination.

 

Il est heureux que les citoyens aient alors ressenti aussi vivement  quel crime allait commettre le Conseil de ville en passant des règlements qui, s'ils fussent devenus loi, eussent trop souvent froissé les chefs de famille dans leurs sentiments les plus chers."

 Montreal Manif des antivaccinateurs

 Scènes en face de l'hôtel-de-ville, par les anti-vaccinateurs, dans la soirée du 28 septembre.

Le Monde illustré, vol. 2 no 76. p. 185 (17 octobre 1885) ...

 

"La population de la cité, représentée par plus de 10 mille personnes qui envahissaient les alentours et les salles du Conseil-de-ville en imposaient par leur présence, manifeste sa volonté et fit comprendre aux conseillers tout le danger de la position, s'ils adoptaient ces règlements. Le sentiment d'indignation qu'éprouvait cette assemblée était tel, qu'il eût suffi d'un seul mot adressé imprudemment à la foule pour que l'Hôtel-de-Ville fût saccagé et la vie des conseillers mise en danger. Et encore que ces fameux règlements aient été abandonnés, les fenêtres de l'Hotel-de-Ville furent brisées, ainsi que les lustres de la salle des délibérations, et plusieurs personnes furent blessées.

 

Cette démonstration populaire fit comprendre tout l'odieux de cette mesure et le manque de confiance qu'on avait dans l'action préservative de la vaccination. Si le Bureau de Santé et le Conseil-de-Ville ont oublié les quelques heures de malaise qu'ils ont passées lors de cette assemblée monstre, les citoyens, eux, ne les ont pas oubliées.

 

Cette démonstration indiquait clairement que les citoyens ne se laisseraient jamais imposer la vaccination compulsoire (= obligatoire) sans y opposer de la résistance."

 

Le continuum de la mauvaise foi des officiels, englués dans leur idéologie, devrait nous faire prendre conscience à tous de l'urgence qu'il y a, dans l'intérêt des générations futures, à ne surtout pas continuer tête baissée dans cette voie des vaccins à tout prix. Car si l'on compare l'épidémiologie des maladies chroniques affectant les adultes et les enfants à cette époque et ce qu'il en est aujourd'hui, force est de constater que les maladies chroniques ont plus qu'explosé, sans parler des cancers et des atteintes neuro-dégénératives (certains qu'on voit déjà venir, vont invoquer d'autres facteurs pour espérer ainsi nier purement et simplement le moindre rôle néfaste des vaccinations systématiques!)

 

Ceux qui prétendent que l'espérance de vie ira encore en augmentant se trompent selon nous. Il y a au contraire fort à parier que l'espérance de vie va aller en régressant,  et ce d'autant plus que l'incidence des cancers ira notamment en augmentant. L'espérance de vie en bonne santé ne cesse déjà de se réduire avec, à l'heure actuelle, déjà pas moins de 80% des plus de 65 ans atteints d'au moins une maladie chronique! (selon les chiffres des Mutualités Neutres, cfr page 5/41)

 

Dans quel état de santé les bébés et les jeunes d'aujourd'hui, ayant reçu l'Infanrix Hexa + Prevenar + Rotarix + Priorix+ Menjugate + Revaxis + Boostrix +Gardasil ou Cervarix, seront-ils à 30, 40 ou 50 ans? Les parents désinformés n'en ont absolument aucune idée, pas plus que le moindre expert et ces parents sont donc hélas en train de plonger malgré eux, par inconscience, leurs enfants dans une vaste expérimentation que leur descendance risque bien de regretter amèrement. Car il n'y a absolument AUCUN expert au monde en mesure de prouver scientifiquement que ces vaccinations incessantes du berceau à la tombe, ne sont pas un facteur majeur de maladies et de souffrances inutiles.

 

 

 

«Celui qui ne connaît pas l'histoire  est condamné à la revivre.»

Karl Marx

 

NB: Merci au site Presse libre internationale d'avoir mentionné l'existence de ce document très intéressant!

 

Article également publié sur Agoravox

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 21:00

Vichy--Ordre-des-Medecins.gif

L'Ordre des Médecins, c'est cette institution poussiéreuse et arrogante qui a émergé du régime de Vichy....

 

Censé réguler la profession, l'Ordre des Médecins s'avère au contraire, dans les faits, un fervent défenseur de la pensée unique en médecine, véritable obstacle au développement de la Science, et ce, pour le plus grand bonheur des pharmas.

 

Institution opaque, les patients qui portent plainte devant celle-ci n'auront jamais de réponse sur la suite qui y aura été donnée. Les médecins peu scrupuleux sont la plupart du temps assurés d'une tranquillité parfaite, là où tous ceux qui osent sortir des sentiers battus font le plus souvent l'objet d'une féroce chasse aux sorcières (le Dr Andrew Wakefield et ses collègues en ont d'ailleurs fait les frais avec le General Medical Council, l'équivalent britannique de l'Ordre des Médecins.)

 

Les exemples à cet égard sont nombreux: Dr Gardénal en France, fut accusée à tort de charlatanisme et condamnée à 6 mois de suspension, dont 3 avec sursis, pour avoir notamment manqué d'autorité vis à vis de patients qui ne voulaient tout simplement pas suivre les traitements anti-cancer traditionnels!! Dans une vidéo assez accablante, elle révèle que les médecins français sont tenus, depuis UNE LOI DE 2005, de dénoncer, par recommandé avec accusé de réception, les patients jugés "déviants" au Conseil de l'Ordre ainsi qu'à la Sécurité Sociale!

 

Le Dr Gardénal a écrit en 2006, dans une lettre adressée au Président de la République:

 

« Une cinquantaine de mes patients est convoquée, et soumise à un flot de questions, le plus souvent sans leur expliquer qu'il s'agit d'une enquête à mon sujet. Exemple de questions : Comment est décoré le cabinet? Le Docteur imposait-il les mains ? Fait-il des prières ? Utilise-t-il un pendule? Ils ont parfois subi de la part de ces enquêteurs des pressions pour les obliger à suivre des traitements dont ils ne voulaient pas, en particulier pour une de mes patientes atteinte de leucémie. Pratiquement soumis à « la question » ils ont fini par avouer qu’ils suivaient d'autres traitements, non prescrits par moi-même, mais pratiqués partout en Europe, et ne faisant pas partie de l’arsenal allopathique français. Mes patients, totalement responsables de leur santé, se tiennent informés de tout ce qui existe. La plupart d'entre eux est sortie totalement traumatisée de ces interrogatoires inquisitoriaux. »

 

Ou encore :

 

"Il est honteux que des médecins soient  poursuivis tout simplement parce que depuis qu'ils sont sortis de la faculté, ils ont amélioré leurs connaissances et obtiennent d'excellents résultats en prescrivant un minimum d'allopathie et d'autres thérapeutiques. Ils font faire des économies à la Sécurité Sociale  qui devrait les féliciter.

 

Avec plus de 182 000 morts par an en France par le cancer, on ne peut pas prétendre que les traitements allopathiques (chimiothérapie et radiothérapie) même s’ils ont parfois quelques succès soient « des techniques scientifiquement avérées ».

 

Les malades ont conscience de cela. Il y a eu l'amiante, le sang contaminé, la vache folle, le distilbène, le Vioxx… Il y aura bientôt le cancer. »

 

Le Dr Philippe Bry, pédiatre, a écopé de 3 mois de suspension après avoir été dénoncé par un confrère. Il lui était reproché de "jeter la suspicion sur l'utilité des vaccinations" et de "recourir à des traitements insuffisamment éprouvés alors qu'il ne faisait qu'essayer d'aider un enfant victime de vaccins! La journaliste de La République du Centre Ouest n'a pu évidemment que s'indigner de pareil scandale et écrivait en 2001 à ce sujet:

 

« C'est là un comble: accuser quelqu'un de mettre la vie en danger, alors qu'il tente de soigner un patient dont la vie a été mise en danger par des vaccins. Les accusateurs mesurent-ils le paradoxe? D'autant que les isothérapiques sont des médicaments vendus en pharmacie, qu'ils sont employés par de nombreux médecins pour des drainages vaccinaux et que même l'lnstitut Pasteur les préconise ! (Réponse d'un responsable de l'lnstitut Pasteur à une victime du vaccin hépatite B atteinte de troubles qu'elle ne savait pas comment soigner) [1]. 

 

"Philippe BRY, pour sa part, analyse la mesure qui le frappe comme un procès en sorcellerie: " On m'a déjà enlevé mes cours auprès des sages-femmes, on m'a supprimé les gardes pédiatriques et mes interventions à l'hôpital Clocheville. J'ai été parmi les premiers à tiquer contre le vaccin de l'hépatite B. Il y a un tabou médical sur les vaccins, il ne faut pas entacher le dogme selon lequel le vaccin va sauver le monde. Je paie pour ma liberté de parole".

 

[…]  Rappelons que le Dr P. BRY était intervenu, parmi tous les autres orateurs, au colloque « Faut-il avoir peur des vaccinations » le 16 octobre 1999 à Paris, ce qui lui avait valu d'être cité, lui seul, dans le journal Impact Médecin hebdo (n° 466 du 22 octobre 1999, p. 45) qui rapporta ses paroles: "Les médecins devraient être mieux formés à la connaissance des effets secondaires des vaccins", et: "  Mieux informées, les familles devraient choisir librement les vaccins de leurs enfants". Jugez vous-même du sacrilège ! »

 

Plus récemment, le cas du Dr Moulinier, médecin cancérologue français, s'est fait connaître au public, grâce aux meilleurs moyens de communications (internet, vidéo etc) mais il faut savoir que ce médecin fait en réalité l'objet d'une chasse aux sorcières depuis des années. L'Ordre des Médecins lui reproche de ne pas utiliser des traitements dont l'efficacité est avérée et de recourir à des méthodes dangereuses (ce qui rejoint les mêmes stratégies que celles utilisées pour tenter de discréditer le Dr Gardénal donc). En dépit de l'absence d'une quelconque plainte émanant de ses patients - et ceci constitue un point commun saillant entre tous ces cas de médecins pourchassés-, l'Ordre des Médecins a cette fois condamné le Dr Moulinier a un an de suspension. Cela signifie donc qu'il ne peut plus donner des soins aux assurés sociaux pendant une longue année alors qu'il avait dans sa clientèle quantité de gens souffrant de cancer, satisfaits de ses traitements, et ne pouvant pas être laissés à leur sort pendant tout ce temps. Mais non, il fallait punir le Dr Moulinier pour faire un exemple: on n'a pas le droit de sortir du carcan des protocoles classiques de chimio ou radiothérapie sous peine de coups de bâton, parce que cela serait bien trop dérangeant pour l'establishment que le bruit se répande que leurs standards de soins sont hélas en la matière, ceux de la souffrance et de la médiocrité, à en juger par les réactions des malades et les statistiques officielles de "succès" de ces traitements prétendument "avérés".

 

Mais, dans le même temps, des médicaments dangereux et totalement inefficaces comme l'Afinitor (de Novartis) sont approuvés et remboursés en dépit de leur coût prohibitif, au terme de décisions surréalistes et incohérentes, qu'on peine à comprendre si on ne prend pas en compte la collusion évidente qui règne entre autorités sanitaires et pharmas. Le Dr Moulinier explique à très juste titre ce paradoxe écœurant, preuves à l'appui.

 

Plus récemment sur son site, le Dr Moulinier nous apprenait également les magouilles fiscales de ces grands pontes de l'Ordre des Médecins qui se placent finalement au-dessus des lois tout en toisant et en jugeant ceux qu'ils considèrent comme des subordonnés (le parallèle nous a d'ailleurs sauté aux yeux avec la Fédération Wallonie-Bruxelles, ex Communauté Française, qui fut sévèrement désapprouvée par le jury d'Ethique publicitaire en novembre 2011 pour sa publicité trompeuse sur les vaccins mais qui décida tout de même de continuer à diffuser une telle publicité trompeuse en estimant cette instance décisionnelle non compétente. Dans le même temps, des journalistes à la solde de cette instance tentaient de disqualifier Initiative Citoyenne en nous présentant comme "virulents et bien organisés"!)

 

Voici un extrait délectable tel qu'on peut d'ailleurs le lire sur le site de ce médecin courageux:

 

« En 2007 un scandale éclatait au sein de notre institution ordinale suite à une enquête de l’IGAS.(voir ICI). L’ensemble de la profession médicale française apprenait avec stupeur que certains de nos représentants aux conseils de l’Ordre des médecins  étaient  grassement rémunérés.   Il me paraît important de préciser que la loi interdit aux syndiqués et aux conseillers ordinaux de percevoir une quelconque rémunération mais ne les empêche pas de percevoir des indemnités qui, jusqu’à une période très récente, étaient non imposables. Sur Bordeaux nous avons essayé par deux fois de connaître le montant de ces indemnités et, bien évidemment, nous n’avons jamais reçu de réponse. Bien-sûr ce scandale a été vite étouffé car notre sainte institution doit rester irréprochable. Toutefois votre serviteur avait la mauvaise habitude d’étudier le bilan comptable annuel du conseil national de l’Ordre des médecins  qui était publié dans sa revue. L’institution se glorifiait  d’avoir une comptabilité certifiée par un haut  commissaire  aux comptes agréé par le gouvernement sous la haute surveillance bienveillante des conseillers d’État délégués pour surveiller la bonne marche juridique de l’institution. En somme que des gens irréprochables qui du fait de leur statut sont d’une compétence incontestable et d’une intégrité absolue. Mais alors comment est ce possible, car personne n’a été surpris de voir apparaitre à partir de 2008 deux nouvelles lignes de comptabilité conséquentes (voir ICI) ? Cela est étonnant non ? Et permet de s’assurer un complément de retraite non négligeable bien au chaud au sein de la noble institution. […] Vous ne rêvez pas,  nos braves conseillers, du moins pour ceux qui décrochent les bonnes places, arrivent à encaisser sur le dos de nos cotisations  plus de 2 millions d’euros et leurs frais sont remboursés jusqu’à hauteur de 1,715 millions d’euros. L’ensemble de la profession accepte tout cela sans même s’y intéresser vraiment. [ …] Celui qui a été la cheville ouvrière de ma condamnation, à savoir Mr Jean François de Vurpillières,  conseiller d’État âgé de 75 ans , sauf erreur de ma part , ancien vice-président du conseil d’État en 2009 , actuel président de la commission des infractions fiscales serait également conseiller d’État au conseil de l’Ordre des dentistes, aurait touché de manière non conforme à la législation 31 000 € (selon maître RUDYARD BESSIS)  d’indemnités annuelles  pour ses prestations auprès des dentistes . »

 

Dans un article paru dans Le Monde le 21 juin dernier, on pouvait notamment lire ceci:

 

"[...] François Mitterand avait inscrit la fin de l'Ordre dans ses 10 propositions. [...] Cet ordre, créé en 1940, puis dissous et recréé dans sa forme actuelle en 1945- il avait été un serviteur zélé du régime de Vichy."

 

Mais aussi ceci concernant les propos de Michel Legmann, actuel président du Conseil National de l'Ordre des médecins français:

 

"Le temps où les médecins n'avaient pas de comptes à rendre est révolu. Il faut rentrer dans la normalité..."

 

Ces propos ne peuvent bien sûr que faire bondir ceux qui ont compris le petit manège répétitif avec des cas comme ceux de Gardénal, Bry ou encore Moulinier. On ne peut que frémir à l'idée de ce que ces gens considèrent comme "LEUR normalité" qui est finalement un carcan idéologique extrêmement lucratif pour certains mais éminemment dommageable pour une majorité d'autres. 

  

Mais ces propos doivent aussi sembler bien hypocrites à cette maman de Menton qui s'était adressée en vain à l'Ordre des Médecins pour y dénoncer l'attitude pourtant gravissime d'une pédiatre locale qui l'a littéralement agressée verbalement parce que cette maman osait poser quelques questions sur la sécurité des vaccins!

 

L'Ordre des Médecins couvre donc des médecins fanatiques à partir du moment où ils sont respectueux des dogmes et peu importe si ce genre de fous furieux sont bons à enfermer ou dangereux pour leur patientèle!

 

Mais il faut dire qu’en France, le vice-président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, le Dr Jean Pouillard, avait, semble-t-il, déjà donné l’exemple dans un document de 2004 intitulé « Comment faire face à un refus de vaccination ? »

 

Ce document écœurant qui parle notamment des efforts à déployer par les praticiens pour « venir à bout des réticences », stipulait également que « les vaccinations recommandées ne doivent pas être considérées comme facultatives » ou encore, tenez-vous bien, que « Le médecin ne doit pas s’incliner face à un refus vaccinal systématique car ce refus constitue en effet une mise en danger de l’enfant, une maltraitance, un refus de soins. », l’auteur étant même en faveur d’un retrait de la garde parentale et d’un signalement au Procureur de la République en cas de refus vaccinal !

 

Chez nous, en Belgique, la question de l'Ordre des Médecins a recommencé à faire débat il y a quelques mois suite à différentes dérives médicales. Laurette Onkelinx a alors prétendu souhaiter une réforme mais tout dépend bien sûr du résultat concret attendu avec ce genre de réforme.

 

Laurette Onkelinx a déclaré que l'Ordre des Médecins ne "correspond plus aux valeurs actuelles de la société" mais il est vrai qu'en matière de transparence, le contrat secret d'achat de vaccins H1N1 que Laurette Onkelinx a signé  au nom de l'Etat belge, a montré que ses valeurs étaient sans doute bien différentes de celles du reste de la société.

 

Dans un article du 4 avril dernier qui titrait "Faut-il réformer l'Ordre des Médecins?", l'association Médecine pour le Peuple indiquait notamment:

 

« Plusieurs médecins contactés par nos soins le pensent mais n'osent s'exprimer publiquement sur le sujet, par crainte de sanctions de l'Ordre. En revanche, un médecin généraliste de Herstal a décidé d’en faire une question de principe. Non seulement il parle, mais en plus il refuse de payer toute cotisation à l'Ordre des médecins depuis 30 ans. "Ne pas payer sa cotisation est une sorte de désobéissance civile", explique Johan Vandepaer qui se veut pratiquant d’une "médecine solidaire pour le peuple". Le docteur Vandepaer "ne se retrouve pas dans cet ordre, censé représenter l’éthique médicale", mais qui est à ses yeux «complètement hors du temps». 

 

Ou encore :

  

 

« A la médecine pour le peuple, on propose tout simplement d'abolir l'Ordre des médecins et de le remplacer par un Conseil supérieur de déontologie. Pour le docteur Vandepaer, cet organisme doit représenter toutes les professions. "Juristes et spécialistes d’éthique devraient y prendre place, ainsi que les mutualités, soit tous les acteurs de soins de santé", conclut-t-il. »

 

Marrant, voilà une association qui semble mal porter son nom puisque "Médecine pour le peuple" oublie ... le peuple (les patients donc) parmi les acteurs des soins de santé alors que ce sont justement les principaux, l'essence même du système: pas de patients, pas de médecin et pas de système médical non plus! C'est quand même un comble! Mais cela doit sans doute être là les vestiges d'un paternalisme qui colle littéralement à la peau d'une majorité de médecins.

 

Mais voici ce qu'on pouvait lire d'autre dans cet article:

  

« L’Ordre a déjà déposé son propre projet de réforme dans lequel on peut notamment lire que  les audiences disciplinaires pourraient devenir publiques. On saurait alors par exemple si un médecin qui monnaie des certificats est sanctionné. Et le docteur Kerzmann d’ajouter : "vous imaginez bien que vous pourrez compter sur le public présent aux audiences disciplinaires pour assurer le battage médiatique". »

 

La meilleure défense est donc toujours l'attaque: présenter un projet plutôt que de le voir s'imposer à soi, quoi qu'avec Laurette Onkelinx... auraient-ils vraiment quelque chose à craindre?



Le Dr Sophie Merckx, également de l'association Médecine pour le Peuple, refuse elle aussi de payer sa cotisation à l'Ordre des Médecins depuis des années. Son dossier a révélé au public qui ne le savait sûrement pas, que la loi impose normalement aux médecins de financer cette sorte de police interne qui s'avère bien davantage selon les cas français évoqués ci-dessus, être une police de la pensée (or l'Ordre belge diffère-t-il beaucoup de l'Ordre français? Et si oui, en quoi?).



Dans l'article posté à ce sujet sur RTBF Info, on apprend que c'est le 3 décembre prochain que la justice rendra une décision dans ce dossier où l'Ordre des Médecins réclame à ce jour pas moins de 1500 euros au Dr Sophie Merckx...



« "Aujourd’hui, en Belgique, déclare Sofie Merckx, ce sont uniquement des médecins qui jugent des médecins. C’est justement cela que nous mettons en cause. A nos yeux, c’est une espèce de guilde comme on en connaissait au siècle passé. J’estime qu’en refusant de payer, je continue quelque part le débat démocratique." A Anvers, depuis 1985, ajoute-t-elle, "on a été devant le même juge des saisies. Celui-ci a déclaré qu’il s’agissait d’un conflit politique et a donc prononcé la non-recevabilité de la plainte de l’Ordre des médecins."

 

« A Anvers mais aussi à Liège ou encore dans le Limbourg, ceux qui ne payent pas ne sont plus poursuivis. Ce n’est pas le cas en Hainaut. Pour le docteur Jean-Marie Bourgeois (président du conseil provincial de l’Ordre des médecins), ces cotisations sont pourtant nécessaires afin de faire tourner une structure qui contrôle la profession. "Cela permet de réguler la profession en intervenant dans pas mal de situations plus ou moins scabreuses que les patients ou les autres médecins nous révèlent." »



L'Ordre des Médecins joue en réalité un jeu d'hypocrite car d'un côté, il prétend défendre la déontologie mais d'un autre, et de la bouche même de ce président du conseil provincial encore bien, il démontre dans les faits qu'il encourage la délation entre confrères, ce qui est par définition contraire à la notion de confraternité qui se trouve au cœur même de la déontologie médicale. Il s'agit en fait bien de délation, comme au temps de Vichy ou il fallait aussi dénoncer et "rentrer dans la normalité"... le Dr Bry a d'ailleurs pu en faire les frais car il a été dénoncé par un confrère.



Ici aussi, en Belgique, nous avons connaissance de cas de médecins qui ont été dénoncés par des confrères, soit pour leurs positions vaccinales soit sous de faux prétextes (mais avec en toile de fond aussi des positions vaccinales). D'autres médecins encore ont décidé volontairement de rendre leur numéro Inami et de se radier eux-mêmes tant ils étaient  écœurés des dérives mercantilistes de la profession et de l'encouragement malsain à agir comme un robot distributeur de pilules.



Sur le site Pediablog, le Dr Jean-Pierre Lellouche écrit d'ailleurs dans son article intitulé "Convictions vaccinales":



« Lorsqu’un médecin milite pour les vaccins, lorsqu’il affirme que la cause est entendue, qu’il n’y a aucun doute et qu’il faut vacciner, il attire vers lui ceux qui pensent de la même manière. […]  Lorsqu’un médecin est convaincu qu’il y a un danger majeur et que le vaccin va éradiquer ce danger, il se perçoit comme celui qui va sauver un  grand nombre de personnes. Cela suffirait à le mobiliser, mais de plus, il  sait qu’il existe des médecins (des fous, des criminels, des ignorants à ses  yeux) qui ne veulent pas de ce vaccin. Il perçoit sa mobilisation comme  une lutte contre la maladie, mais aussi comme une lutte contre la bêtise criminelle de certains de ses confrères. »



Le 11 octobre à la Chambre, la Ministre Onkelinx disait être d'accord de faire de la réforme de l'Ordre des Médecins "une priorité absolue".

 

La Ministre a encore ajouté: "Je crois qu'au-delà des règlements déontologiques, il faudra trouver les moyens de supervision ad hoc pour éviter que les faits se produisent en amont et ce, par un travail de prévention et de contrôle des praticiens."



Vu les attitudes des autorités avec leur publicité trompeuse sur les vaccins fièrement revendiquée ou encore leur pacte de stabilité en faveur des pharmas, nul doute que ce "contrôle des praticiens" ne s'exercera sûrement pas en faveur de la liberté thérapeutique et des chances de santé des citoyens.

 

"Ce qu'il faut savoir et les gens n'en ont pas du tout conscience, c'est que le Conseil de l'Ordre, le corps médical, la Sécurité Sociale marchent main dans la main avec les lobbys pharmaceutiques, ce qui signifie que nous sommes dans un cadre et que nous n'avons pas le droit de sortir de ce cadre." Dr Martine Gardénal, médecin homéopathe, Présidente du Groupement français des Médecins spécialistes homéopathes.

 

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