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5 juin 2014 4 05 /06 /juin /2014 18:20

Marianne-9-au-15-mai-2014.jpg

 

Réponse d'un lecteur déçu de la propagande de Marianne:

 

Reponse-d-un-lecteur--Marianne--9-au-15-mai-2014-.jpg

 

En effet, ce lecteur a totalement raison! Les autorités sont d'ailleurs si fiables qu'en Belgique, le Jury d'Ethique Publicitaire a décrété leur publicité vaccinale officielle comme étant TROMPEUSE et "de nature à induire le consommateur en erreur"! Pour quelles raisons les autorités françaises seraient-elles donc plus honnêtes? D'autant qu'un rapport du Sénat français de 2007 qualifiait les pharmas de "partenaires naturels" des autorités...

 

Voyons les choses en face: la vaccination est dangereuse car elle n'a toujours pas été évaluée scientifiquement avec une méthodologie honnête et rigoureuse.

 

Même les plus hauts experts travaillant dans les firmes pharmaceutiques et à l'OMS le reconnaissent et avouent qu'ils ne comprennent pas comment marchent les vaccins et que le système immunitaire avec lequel ils interfèrent reste insuffisamment connu et étudié! On en arrive donc à une situation ubuesque où des journalistes moralisateurs tapent sur des parents qui n'ont comme seul "tort" que celui de refuser que leurs enfants servent de COBAYES suite aux conseils d'autorités qui non seulement n'assument aucun dégât mais en plus, n'hésitent pas, par leurs folles recommandations vaccinales, à multiplier sciemment les risques d'effets secondaires neurologiques par 3 avec des vaccinations simultanées dangereuses comme il ressort de documents confidentiels des fabricants eux-mêmes!!

 

Hélas, ce genre de ridicule peut tuer. Certains parents culpabilisés par ce genre de papier qui iront faire vacciner docilement leurs enfants, auront immanquablement à constater chez ceux-ci des handicaps lourds et irréversibles dus à ces produits au développement bâclé et dont le fondement-même réside sur une idéologie dont le bienfondé n'a jamais été confirmé par les données de l'immunologie moderne.

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12 avril 2014 6 12 /04 /avril /2014 15:00

Concernant Marianne (devenu M.Belgique) et leur conception du droit de réponse:

 

 

Concernant la RTBF (qui n'en n'est pas à son coup d'essai en matière d'intox et d'enfumage sur les vaccins, voir notamment ICI, ICI, ICI et ICI), elle avait fait une émission radio biaisée sur les vaccins le 6 mars dernier sur la Première [Ecoutez ou réécoutez ici cette émission biaisée] puis visionnez notre réponse en vidéo et puis plus bas, sous la vidéo, voyez enfin la copie de ce que nous avions envoyé la veille de l'émission au journaliste Robin Cornet par mail:

 

 

Echange de mails avec la RTBF peu avant cette émission radio "Connexions" sur les vaccins:

 

From: "Robin CORNET" <rcor@rtbf.be>

Sent: Wednesday, March 05, 2014 8:35 PM

To: <initiative.citoyenne@live.be>

Subject: Connexions, RTBF La Première

 

Bonsoir,

Ce jeudi à 8h40, l’émission citoyenne participative Connexions, sur La Première, sera consacrée à la vaccination. Je n’ai pas été en mesure de trouver un numéro de téléphone pour vous contacter mais si vous souhaitez donner votre point de vue dans l’émission, contactez nous au 02 737 23 48. Vous pouvez également enregistrer un commentaire, en sélectionnant vos principaux arguments, sur le répondeur de l’émission au 02 737 33 33. Nous le diffuserons et y ferons réagir notre invité.


Bien à vous,

 

Robin Cornet

 

From: Initiative Citoyenne  

Sent: Thursday, March 06, 2014 12:42 AM

To: Robin CORNET

Subject:AU CAS où les liens indiqués dans le précédent mail n'étaient pas activés/cliquables, voici le renvoi du mail précédent.

 

Bonsoir Monsieur Cornet,

 

Certains lecteurs nous ont en effet informé de cette émission.  Nous avons appris qu'il n'y aura qu'un seul invité et qu'il s'agit du Pr Jack Lévy, quelqu'un qui est donc en conflit d'intérêts avec l'industrie pharmaceutique, notamment GSK (il est expérimentateur clinique donc rémunéré par la firme pour un vaccin contre le cytomégalovirus notamment, voir ici:
http://www.gsk-clinicalstudyregister.com/study/113134#loc )

 

Or selon une publication de la revue belge d'Evidence Based Medicine Minerva sur les conflits d'intérêts (que nous citons):

 

" En Belgique, la déclaration de conflits d’intérêts est loin d’être systématique et, de plus, son intérêt est souvent remis en cause. Les personnes interrogées à ce sujet déclarent souvent que leur jugement médical n‘est en rien influencé par des contacts ou des cadeaux, petits ou grands, sous quelque forme que ce soit. De nombreuses études ont pourtant montré l’influence de conflits d’intérêts, survenant quand des praticiens ont des motifs ou se trouvent dans des situations dans lesquelles de bons observateurs peuvent conclure que la rigueur morale de leur rôle de médecin est ou pourrait être compromise 1. Dans le cadre d’influences possibles de l’industrie, des conflits d’intérêts financiers surgissent quand le praticien est tenté de s’écarter de ses obligations professionnelles en raison d’un bénéfice personnel économique ou autre, et ce n’est certes pas l’importance du cadeau qui modifie le libre arbitre. De nombreuses études ont montré que le comportement d‘un individu n’était pas toujours rationnel, qu’un cadeau modifiait l’objectivité et influençait le choix, appelait à une réciprocité 1. Pour les praticiens notamment, leurs prescriptions étaient substantiellement plus importantes après des visites de délégués médicaux, après une participation à un symposium sponsorisé par une firme ou après acquisition d’échantillons.  Une synthèse méthodique de la littérature 2 montre qu’une écrasante majorité de ces interactions produit des effets négatifs sur les soins cliniques. L’introduction de ce biais nuit à l’intégrité de jugement en situation, au respect des références en matière d’intégrité scientifique, mais surtout, in fine, aux intérêts du patient1. Il est donc indispensable de témoigner d’une totale transparence des conflits d’intérêts potentiels. La seule déclaration de conflits d’intérêts suffit-elle, cependant, à résoudre le problème ? Des collaborateurs de Centres Académiques du monde médical 1 répondent que non."

 

Source : http://www.minerva-ebm.be/fr/article.asp?vol=6&nr=5

 

La question est donc de savoir pour nous s'il est encore utile de participer à un faux débat déséquilibré avec un "expert" dont la situation "nuit à sa propre intégrité scientifique ainsi qu'à l'intérêt de ses patients comme de vos auditeurs." ?

 

Il y aurait 1000 questions à poser à votre auditeur et à dire à l'antenne mais ce que ce genre d'invités n'apprécient guère, c'est le risque d'un débat en direct et en face à face. C'est cela que les gens attendent et qu'ils sont, selon nous, en droit de recevoir.  Compte tenu de ce précédent-ci avec la RTBF:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-la-rtbf-nous-traite-de-complotistes-mais-nous-ne-sommes-pas-des-pigeons-120862554.html

 

Nous nous posons par exemple la question de savoir si votre émission va par exemple oser rappeler que:

 

- En novembre 2011, suite à notre plainte, le Jury d'Ethique Publicitaire a reconnu comme TROMPEUSE et "de nature à induire le consommateur en erreur" la publicité vaccinale de la Fédération Wallonie-Bruxelles en faveur des vaccins tout au long de la vie, publicité qui aura coûté 80 000 euros d'argent public et que votre chaîne a continué de diffuser des mois et des mois après cette décision. Il y est tout de même dit, et ce n'est pas rien (!) que les exigences de loyauté et de véracité ont été violées, en présentant les avantages de façon trop absolue et en taisant les risques graves!

http://www.initiativecitoyenne.be/article-vaccins-le-jury-d-ethique-publicitaire-donne-raison-a-initiative-citoyenne-88379580.html

 

- La loi sur les droits des patients du 22 août 2002 et plus spécialement son article 8 alinéa 2 est quotidiennement et systématiquement bafouée en matière de vaccination puisque l'immense majorité des vaccinateurs n'évoquent jamais que la douleur ou rougeur au point d'injection alors que des documents confidentiels des fabricants (GSK notamment) tels que fuités de l'Agence belge du Médicament et tels que publiés sur notre site internet, listent plus de 800 effets secondaires possibles pouvant affecter tous les systèmes dont autisme, diabète, épilepsie, mort subite, syndrome du bébé secoué etc. http://www.initiativecitoyenne.be/article-infanrix-hexa-le-document-confidentiel-accablant-113251207.html

 

- Le fait d'administrer l'Infanrix hexa et le Prevenar lors d'une même séance de vaccination, comme cela reste officiellement recommandé, multiplie par 3 le risque d'effets secondaires neurologiques, comme cela est pourtant CONNU par les autorités européennes, les fabricants et les autorités sanitaires belges, cf ces documents confidentiels-ci:
http://www.initiativecitoyenne.be/article-prevenar-13-documents-confidentiels-accablants-113700156.html

 

- L'ONE (ni aucun "expert" auquel nous avons posé des questions) n'a jamais pu ou voulu répondre sur le fond aux questions que nous lui avions adressées par recommandé fin 2011:
http://www.initiativecitoyenne.be/article-securite-des-vaccins-l-one-se-derobe-et-n-assume-pas-ses-propos-94164173.html

 

http://www.initiativecitoyenne.be/article-vaccins-le-dr-kinda-schepers-ne-sait-elle-pas-repondre-109573083.html

 

- Pourquoi les vaccins sont-ils dispensés contrairement aux autres médicaments de l'évaluation de leur potentiel cancérogène alors qu'ils contiennent pourtant différents composants cancérogènes, comme le formaldéhyde qui est un cancérigène certain (de classe 1) et qu'un rapport de 1987 de l'OMS évoque expressément un risque de malignité??
http://whqlibdoc.who.int/trs/WHO_TRS_747_fre.pdf

 

- Pourquoi les experts continuent-ils d'affirmer DANS LE VENT ET LE VIDE que le rapport bénéfices/risques reste positif alors qu'ils n'en savent strictement RIEN et cela transparaît en définitive des aveux du Dr Saluzzo, Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi et aussi consultant pour l'OMS quand il avoue dans un cours de vaccinologie en ligne "qu'ils ne savent pas comment marchent les vaccins et que si on veut développer de nouveaux vaccins à l'avenir, il faudra d'abord commencer par étudier le système immunitaire" ce qui signifie clairement que ceux qui recommandent les vaccins n'ont absolument aucune idée claire du domino morbide précis qui peut découler d'un tel acte sur un système immunitaire éminemment complexe et encore en bonne partie méconnu:

http://www.youtube.com/watch?v=rnKnp_nuMeA

 

- Pourquoi les officiels continuent de faire croire de façon mensongère que c'est la baisse des vaccinations qui est responsable de la hausse des cas de coqueluche et qu'il faut vacciner les adultes et ados pour protéger les plus jeunes nourrissons alors que 1) Une étude très rigoureuse parue en mars 2012 dans Clinical Infectious Disease par l'équipe du Pr De Serres de l'Université Laval a montré que cette stratégie "cocon" était INEFFICACE dans nos pays occidentaux et 2) Même un journal officiel comme le New York Times a bien dû admettre que la hausse des cas de coqueluche constatée aux Etats-Unis était bien davantage due à l'inefficacité du vaccin qu'aux réticences des parents à vacciner.

http://www.initiativecitoyenne.be/article-coqueluche-l-echec-cuisant-de-la-vaccination-cocoon-102102298.html

 

http://www.greenmedinfo.com/blog/finally-truth-emerges-about-whooping-cough-vaccine-obs-and-pediatricians-stand-1

 

Etc Etc.

 

Donc voilà, nous n'avons rien à vendre. Vous faites ce que vous voulez, si vous avez envie de reprendre à l'antenne en les lisant des passages de ce mail-ci, libre à vous.
Nous ne serons pas disponibles à l'heure dite demain de toute façon. Vous avez cependant ci-dessus des éléments à la fois utiles, importants si vous souhaitez servir à la fois la déontologie journalistique mais surtout la santé de vos auditeurs. A vous de pouvoir discerner si ces éléments relèvent du "complot"  ou de "rumeurs" comme disent quasiment hebdomadairement les experts interviewés par les médias, pourtant bien incapables de répondre concrètement à ces interpellations et d'ailleurs de plus en plus embarrassés de la perspicacité du public.

 

Bien à vous,

 

Pour Initiative Citoyenne,

 

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans, Muriel Desclée.

 

 

Concernant Le Soir, voir leur article tout à fait biaisé et partial du 5 mars dernier puis notre réponse en vidéo:

 

 

Rarement, vous avez l'un ou l'autre média qui fait encore quelque chose de correct ou d'équilibré mais ça ne dure jamais car les officiels manquant d'arguments, ils n'ont guère envie de débats contradictoires qui les mettent mal à l'aise et permettent de montrer les invraisemblances de leurs discours! Voyez ici un exemple typique d'un débat équilibré qui met à mal les officiels et leur baratin (inutile de vous dire que les autres "Forums de Midi" alignaient toujours après ça 3 invités strictement sur la même ligne à la gloire des vaccins!):

 


 

 

 

 

Il y a un gros problème dans le chef de beaucoup de journalistes: ils n'ont plus les capacités et/ou LA LIBERTE rédactionnelle de faire un minimum de travail d'INVESTIGATION. Ce faisant, ils ne cherchent qu'à régurgiter pour beaucoup des dépêches d'agences (AFP, Belga, Reuters etc) ou alors uniquement à ne relayer QUE des témoignages (pour le côté vendeur et sensationnel que ça donne). Entendons-nous bien: les témoignages ont toute leur place MAIS en se bornant à ne relayer que ça, on donne à tort au public l'impression que ce n'est "que" du sensationnel alors que c'est avant tout un DRAME qui est scientifiquement explicable et qu'on pouvait totalement prévoir et éviter au vu d'une abondante littérature médicale pré-existante mais taboue. C'est ainsi que des journalistes attachent la charrue avant les boeufs et attendent que des témoignages leur arrivent ALORS même qu'ils n'ont jamais informé leur lectorat au préalable des symptômes concrets déjà rencontrés dans d'autres pays et des analyses scientifiques pré-existantes qui auraient permis à ces lecteurs de FAIRE LE LIEN entre des dégradations de leur santé et la vaccination!! De là à déduire à tort que dans notre pays, il n'y aurait pas de problème de sécurité, il n'y a qu'un pas que des journalistes peu prudents peuvent évidemment franchir allègrement!

 

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6 avril 2014 7 06 /04 /avril /2014 10:00

Fotolia-censure.jpg

Le journal suisse l'Impartial avait repris en février dernier un article partial du Figaro. Il n'en fallait pas plus à une maman pour leur envoyer une brillante réponse, parfaitement documentée qui plus est. Voici in extenso la réponse de cette maman à cet article du Figaro/de l'Impartial et à la suite, ce qui en a été publié (soit une version écourtée). Si tous les parents lucides et conscients prenaient la peine de faire savoir ici ou là leur opinion face à la désinformation vaccinale, nous sommes convaincus que cela ferait la différence, pour le plus grand bien des enfants, de leur santé et de leurs libertés futures...


Le Mag Santé reprenait jeudi un article du Figaro sur la vaccination. Je souhaite apporter quelques détails à ce sujet pour donner des éléments aux jeunes parents face au choix de faire vacciner leurs enfants ou non.

 

En novembre 2013, le New York Times[1] soulignait que la recrudescence de la coqueluche est due aux défauts des vaccins actuels bien plus qu’à la résistance des parents face au vaccin, et que même les personnes récemment vaccinées peuvent continuer à répandre l’infection sans tomber malades.

 

Concernant la polio, il faut savoir que l’OMS[2] tient un compteur des cas de polio sauvage et de polio vaccinale (le vaccin utilisé dans les pays endémiques étant fait d’un virus vivant, il peut dans certains cas donner la polio au vacciné). Les chiffres sont très impressionnants : en 2012 en Afrique, 128 cas de polio sauvage et 40 cas de polio vaccinale !

 

Quant à la diphtérie, elle est effectivement réapparue en Russie après la chute du Mur, mais selon The Lancet [3], 81% des enfants malades étaient vaccinés.

 

Et la rougeole ? Avant l’ère de la vaccination, le taux d’hospitalisation rapporté était d’env. 11.5 pour 1'000 malades et la létalité de 0.2 pour 1'000 malades[4]. Aujourd’hui, la rougeole touche parfois plus de 50% de personnes vaccinées[5]. Et d’après l’OFSP[6], une rougeole vaccinale survient dans environ 2% des vaccinations.

 

Concernant la rubéole, il faut savoir que quatre cas de rubéole congénitale ont été recensés en Suisse entre 1995 et 2000. Deux  des  femmes étaient  vaccinées[7].

 

Pour conclure, soulignons que les effets secondaires des vaccins sont systématiquement passés sous silence, car considérés par les médecins comme des coïncidences. Pourtant, les notices signalent par exemple la bronchiolite[8],[9] ou l’otite[10] comme effet secondaire dans 1 à 10 pour cent des cas (!) pour le seul vaccin Infanrix destiné aux nourrissons. Mais il existe des problèmes bien plus graves : des publications scientifiques parfois très récentes laissent supposer que la vaccination augmenterait le risque d’allergies[11],[12], d’autisme[13],[14],[15],[16],[17] et de mort subite du nourrisson[18], par exemple.

 

Le consentement éclairé des parents avant une vaccination exige qu’ils soient conscients de ces choses-là… mais aussi du fait que l’incidence des maladies contre lesquelles on vaccine aujourd’hui avait déjà commencé à diminuer avant l’ère de la vaccination [19]   .

 

Références

 

[1] Tavernise, Sabrina, « Whooping Cough Study May Offer Clue on Surge ». The New York Times, November 25, 2013. http://www.nytimes.com/2013/11/26/health/study-finds-vaccinated-baboons-can-still-carry-whooping-cough.html?emc=eta1&_r=2&  

[2] WHO, Immunization Monitoring,  Diseases, Poliomyelitis Case Count, 2012. http://apps.who.int/immunization_monitoring/en/diseases/poliomyelitis/case_count.cfm

[3] Vitek CR, Brennan MB, Gotway CA, Bragina VY, Govorukina NV, Kravtsova ON, Rhodes PH, Bisgard KM, Strebel PM., « Risk of diphtheria among schoolchildren in the Russian Federation in relation to time since last vaccination. » Lancet. 1999 Jan 30;353(9150):355-8. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/9950440  

[4] D. L. Miller, "Frequency of Complications of Measles, 1963". Br Med J. 1964 July 11; 2(5401): 75–78. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC1815949/  

[5] Amélie Daoust-Boisvert, "Rougeole - Des enfants touchés en Mauricie étaient vaccinés". Le Devoir, 20 décembre 2011, http://m.ledevoir.com/societe/sante/338807/rougeole-des-enfants-touches-en-mauricie-etaient-vaccines

[6] Recommandations de l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) et de la Commission suisse pour les vaccinations (CSV), Supplément XII: Classeur «Maladies infectieuses – Diagnostic et prévention». Prévention de la rougeole, des oreillons et de la rubéole. Etat: Juin 2003. http://www.kompendium.ch/(X(1)S(%7Bce4a269e-77fe-4d14-b857-99d4186d3750%7D))/mpro/mnr/8331/html/fr#7450

[7] Cf. Office fédéral de la santé publique, Bulletin 36/01, p.662. Disponible sur http://www.bag.admin.ch/dokumentation/publikationen/01435/01801/index.html?lang=fr

[8] European Medicines Agency, "Infanrix hexa. CHMP assessment report for paediatric use studies submitted according to Article 46 of the Regulation (EC). No 1901/2006". 15 November 2012, http://www.ema.europa.eu/docs/en_GB/document_library/EPAR_-_Assessment_Report_-_Variation/human/000296/WC500144787.pdf 

[9] Vidal 2008, "INFANRIX HEXA". Notices du dictionnaire Vidal site du Revahb,  http://www.revahb.fr/Notices-du-dictionnaire-Vidal.html

[10] Vidal 2008, "INFANRIX HEXA". Notices du dictionnaire Vidal site du Revahb,  http://www.revahb.fr/Notices-du-dictionnaire-Vidal.html

[11] Vassilev TL., "Aluminium phosphate but not calcium phosphate stimulates the specific IgE response in guinea pigs to tetanus toxoid." Allergy. 1978 Jun;33(3):155-9. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/707792  

[12] Hurwitz EL, Morgenstern H., « Effects of diphtheria-tetanus-pertussis or tetanus vaccination on allergies and allergy-related respiratory symptoms among children and adolescents in the United States. » J Manipulative Physiol Ther. 2000 Feb;23(2):81-90. Traduction par mes soins. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/10714532

[13] Uhlmann V, Martin CM, Sheils O, Pilkington L, Silva I, Killalea A, Murch SB, Walker-Smith J, Thomson M, Wakefield AJ, O'Leary JJ., "Potential viral pathogenic mechanism for new variant inflammatory bowel disease." Mol Pathol. 2002 Apr;55(2):84-90. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11950955  

[14] Goldman J. S. & F. E. Yazback, « An Investigation of the Association Between MR Vaccination and Autism in Denmark », Journal of American Physicians and Surgeons, vol. 9, n°3, Fall 2004, p.74

http://www.jpands.org/vol9no3/goldman.pdf

[15] Geier DA, Geier MR., "An assessment of the impact of thimerosal on childhood neurodevelopmental disorders." Pediatr Rehabil. 2003 Apr-Jun;6(2):97-102. Traduction par mes soins. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/14534046

[16] Janet K. Kern, Boyd E. Haley, David A. Geier, Lisa K. Sykes, Paul G. King and Mark R. Geier, "Thimerosal Exposure and the Role of Sulfation Chemistry and Thiol Availability in Autism." Traduction par mes soins. Int. J. Environ. Res. Public Health 2013, 10, 3771-3800. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23965928  

[17] Stephanie Seneff, Robert M. Davidson and Jingjing Liu, « Empirical Data Confirm Autism Symptoms Related to Aluminum and Acetaminophen Exposure », Entropy 2012, 14(11), 2227-2253. Massachusetts Institute of Technology, 7 November 2012. Traduction par mes soins. Disponible sur http://www.mdpi.com/1099-4300/14/11/2227

[18] Aaby P, Ravn H, Roth A, Rodrigues A, Lisse IM, Diness BR, Lausch KR, Lund N, Rasmussen J, Biering-Sørensen S, Whittle H, Benn CS. « Early diphtheria-tetanus-pertussis vaccination associated with higher female mortality and no difference in male mortality in a cohort of low birthweight children: an observational study within a randomised trial. » Arch Dis Child. 2012 Aug;97(8):685-91. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22331681 

[19] Info-vaccination.be, Les épidémies ont disparu grâce aux vaccins, 22 août 2010: http://www.info-vaccination.be/?Les-epidemies-ont-disparu-grace-aux-vaccins

 

2014_03_18---Impartial.jpg

Voici aussi, ci-dessous, une autre réaction de cette maman publiée à la mi-février dernier dans le journal Le Temps (il est important de savoir à ce propos que la paralysie flasque aiguë (= PFA) est un effet secondaire direct du vaccin polio oral qui est un vaccin à virus vivant pouvant se réactiver et donner lieu à une polio véritable qui est en effet deux fois plus meurtrière que la polio naturelle)

 

LT-polio.JPG

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9 mars 2014 7 09 /03 /mars /2014 13:15

Marianne--Vaccinations-halte-a-la-desinformation.jpg

Marianne Belgique, c'est déjà fini, eh oui, comment s'étonner qu'une revue qui applique une politique éditoriale exactement inverse au slogan qu'elle essaie de faire croire aux gens ("Indépendance, Intelligence, Irrévérence") n'ait pas eu le vent en poupe?

 

Leur petite équipe a néanmoins décidé de continuer sous un autre nom encore tenu secret, en espérant sans doute que cette apparence de nouveauté fera oublier à son ancien lectorat que les chiens ne font pas des chats.

 

Voici ici l'article partial et injurieux qu'ils avaient publié le 1er février dernier.

  

(NB: Concernant leur déontologie journalistique, il est bon d'indiquer qu'ils ont contacté Marie-Rose Cavalier environ un an avant la parution de cet article puis repris tardivement ses propos bien que ceux-ci n'aient pas pris une ride, mais cela montre en tout cas leur volonté de ne surtout pas confronter les points de vue, ne serait-ce que de façon différée, en posant les mêmes questions aux uns et aux autres. Par ailleurs, ils ont repris des extraits d'un de nos communiqués de presse mais en omettant soigneusement les passages les plus dérangeants qui démasquaient de facto la fragilité et l'inconsistance des affirmations des autres intervenants interrogés.)

 

Voici maintenant la version intégrale de notre réponse

 

(Nous leur en avions envoyé, par la voie de notre avocat, des extraits - une version courte -, de façon à éviter comme prétexte pour ne pas publier le nombre trop élevé de caractères mais il faut dire et constater que le courage n'est pas vraiment le fort de ces gens-là. Ce genre de médias apparaît bien davantage comme un outil au service d'officiels en manque de crédibilité, essayant ainsi de salir à bon compte des contestataires trop dérangeants auxquels ils n'arrivent de toute façon pas à répondre. C'est du reste aussi ce que fait présentement sur le plan audio et télévisuel la RTBF et Vivacité avec une publicité oppressante, répétitive et intrusive en faveur de la vaccination contre la coqueluche, même pour les femmes enceintes, qui ne cesse de nous être assénée à toute heure de la journée! Il n'y a en fait aucun argument solide, tout est basé uniquement sur un aspect quantitatif (la répétition du message) et le déséquilibre qualitatif (défaut ou absence totale de la moindre voix dissidente)

 

 

Voilà chers lecteurs, nous ne pouvons que vous inviter à confronter leur article et notre réponse et à vous demander ce qui vous paraît le plus étayé, le plus sérieux et le plus sensé, de façon à pouvoir faire les meilleurs choix possibles pour votre santé et celle de ceux qui vous sont chers. 

 

Marianne Belgique disparaît... ne tirons pas sur l'ambulance (des officiels)???

ambulance-fotolia.jpg

 

 

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17 décembre 2013 2 17 /12 /décembre /2013 20:00

Vaccin Gardasil

Tempête dans un verre d'eau ou scandale sanitaire ?

 

gardasil image

Le vaccin Gardasil est indiqué à partir de 9 ans pour la prévention des lésions génitales précancéreuses du col de l'utérus (HPV 16 et 18) et des verrues génitales (HPV 6 et 11). © Julien Cassagne/Maxppp

 

Le 17 décembre 2013.

Mise à jour le 18 décembre 2013


Vanessa Boy-Landry

 

Les instances sanitaires continuent de recommander le vaccin Gardasil, commercialisé en 2006 dans la prévention du cancer du col de l’utérus. Un vaccin qui fait débat au sein des professionnels de la santé et dont la controverse est née à l'étranger.

 

Il n’y a pas d’affaire Gardasil. Nos autorités de Santé et le Syndicat des gynécologues (Syngof) ont réaffirmé avec force l’intérêt démontré de ce vaccin recommandé par l’OMS, la FDA, et l’Agence européenne du médicament dans la prévention du cancer du col de l’utérus et dont « le bénéfice est supérieur au risque ». La bulle médiatique, fin novembre, déclenchée par la plainte de Marie-Océane, 18 ans, contre le laboratoire fabricant (Sanofi Pasteur MSD) a pourtant mis le feu aux poudres. Admise aux urgences hospitalières, fin 2010, avec une perte de la vue, de la marche, et une paralysie faciale, la jeune Bayonnaise vit un calvaire depuis qu’elle a reçu une deuxième injection de Gardasil. Probablement atteinte d’une sclérose ou plaques (ou d’une encéphalomyélite aigue disséminée), l’étudiante, qui vit toujours dans la peur d’une nouvelle poussée inflammatoire, incrimine le vaccin, armée d’une expertise de la Commission d'indemnisation des accidents médicaux (CRCI) qui montre un lien d’imputabilité. Sanofi Pasteur MSD conteste les conclusions de la CRCI qu’elle estime « en contradiction avec les données de la littérature scientifique et les avis des autorités de santé nationales et internationales ». Et regrette, alors qu'elles « ne sont fondées sur aucune preuve scientifique», qu'elles «jettent le discrédit sur le vaccin Gardasil et la vaccination anti-HPV (papillomavirus humains) en général. »

 

Une controverse amplifiée dans le climat bouillonnant des dernières crises sanitaires. « Des effets pervers éventuels montés en épingle », réagissait dans « Le Point » le président du Comité des vaccinations, qui rappelait, sur RTL, la controverse sur le vaccin contre l’hépatite B, fin des années 90 : « Il n’y a qu’en France que l’on croit cela. Il n’existe aucune preuve à ce jour que le vaccin contre l’hépatite B donne la sclérose en plaques. Aujourd’hui, on repart là-dessus avec le Gardasil ». Constatant la montée d’un sentiment « anti-vaccin », comme il le déclarait à « Libération » en juin, le Pr Floret déplore que la vaccination par Gardasil, alors qu’elle a fait l’objet d’un suivi de pharmacovigilance renforcé, soit « plombée par une série de polémiques, d’articles de presse nationale, mettant en cause la sécurité d’emploi du vaccin et évoquant des incidents graves, peu nombreux et surmédiatisés». 

 

Elena Pasca : «Les critiques de la première heure sont venues d'Espagne, d'Allemagne, d'Autriche».

 

« On ne peut pas abattre le Gardasil sur la base d’histoires singulières, il faut une démonstration scientifique. Mais il existe un faisceau de présomptions à l’encontre de ce vaccin», affirme Elena Pasca, philosophe et chercheuse en sciences sociales, qui souligne avant tout qu’elle n’est pas une « anti-vaccin » et qui met en garde contre les interprétations faites « à la lumière des polémiques ».  Sorte de lanceur d’alerte, elle livre sur son blog* une expertise éthique de la commercialisation du Gardasil. Ses recherches ont démarré dès 2007 « sur la base des critiques médicales étrangères «   car « le débat scientifique, en France, n’a pas eu lieu ». « Aux Etats-Unis, où la vaccination a démarré, un certain nombre d’éditoriaux sont parus, dans des revues telles que le « New England Journal of Medicine » qui montrent l’absence de preuve d’efficacité du vaccin. Des médecins ont reporté et publié des effets secondaires graves possiblement liés au vaccin : nécrose du pancréas, problèmes allergiques et respiratoires... »

 

En Europe, les critiques de la première heure sont venues d’Allemagne, d’Espagne, et d’Autriche. Dans les trois pays, les « milieux indépendants dénoncent l’homologation trop rapide de ce vaccin onéreux [135 euros la dose, à raison de trois injections] qui ne fait ni la preuve de son efficacité ni de son utilité, alors que celle du dépistage par frottis est démontrée dans la prévention du cancer du col de l’utérus. En Autriche, le vaccin n’est plus recommandé depuis le décès, en 2008, d’une jeune fille de 17 ans. « Ce drame a été un accélérateur, mais la ministre de la Santé qui est aussi médecin, était déjà convaincue que ce vaccin n’avait pas de raison d’être. Elle s’est basée sur une étude réalisée par un institut indépendant pour arrêter de le recommander», précise Elena Pasca.  Le rapport en question est une modélisation qui démontre l’inefficacité du vaccin: « Même si l’on vaccinait 85% des jeunes filles de 12 ans par Gardasil jusqu’en 2060 - et ce en supposant qu’il est efficace à 100% et immunise à vie - on n’atteindrait au bout de 52 ans qu’une diminution de 10% des cas de cancer du col de l’utérus. Et la mortalité ne baisserait que de 13%... » En Allemagne, c’est la revue indépendante « Arznei-Telegramm » (l’équivalent de «Prescrire») qui épingle le Gardasil : après analyse des résultats des études, elle révèle que l’efficacité du vaccin n’est que de 17% sur la prévention du cancer du col de l’utérus.

 

Parmi la centaine de souches HPV, une quinzaine sont susceptibles de produire des cancers. « Quand on a un virus HPV à haut risque qui, pour différentes raisons, persiste dans les voies génitales, il va s’implanter sur le col de la femme et déclencher des lésions précancéreuses qui, si elles ne sont pas traitées, vont déclencher des cancers », explique le Dr Spinosa**, gynécologue en Suisse, qui précise que la maladie évolue naturellement lentement (depuis l’infection jusqu’au cancer), sur une quinzaine d’années. Comment le Gardasil, qui cible efficacement les virus les plus agressifs peut-il avoir une si mauvaise note en matière de prévention des cancers? Le gynécologue explique ce qui relève pour lui d’une erreur conceptuelle et d’une «tricherie» : « A la base de toute l’affaire, il y a un concept biologique qui semblait correct au départ et qui s’est révélé faux. On a créé un vaccin qui cible les virus 16 et 18 parce que les études démontrent qu’ils sont responsables de 70% des lésions précancéreuses. On a déduit que si on les anéantissait, on allait du coup diminuer le nombre de lésions précancéreuses, (et donc de cancers), à hauteur de 70%. Les études ont montré l’efficacité du vaccin proche de 100% sur les virus 16 et 18, et on s’est arrêté là. »

 

Dr Spinosa : «L'efficacité du Gardasil n'est pas au rendez-vous»

 

Pour le gynécologue, l’erreur de concept est de considérer uniquement la présence du virus dans l’apparition d’un cancer. « La maladie précancéreuse et cancéreuse est la conséquence de la présence d’un virus, mais aussi et surtout d’un déficit immunitaire. Sur un terrain « permissif », si ce n’est pas le virus 16 ou 18, ce sera un de ses «frères» (le 31, le 33…) qui déclenchera un cancer. Le fait de vous faire vacciner n’aura absolument rien changé. Les études sur lesquelles se base le monde entier reposent sur une efficacité spécifique du vaccin (les lésions précancéreuses liées aux virus 16 et 18), mais ça ne suffit pas ! Or l’efficacité sur l’ensemble des lésions précancéreuses a été évaluée, mais le chiffre n’a jamais été officialisé : 16,9%. On est très loin des 70% attendus. »

 

Un vaccin dont le résultat « n’est pas au rendez-vous » et dont l’utilité, dans nos sociétés industrialisées, est mise en doute par plusieurs études indépendantes (en Espagne, en Autriche, aux Etats-Unis), comme le signale Elena Pasca sur son blog, qui établissent la présence des souches 16 et 18, majoritairement dans les pays pauvres.

 

La médiatisation de l’hospitalisation de deux jeunes filles en 2009 (malaises, convulsions, pertes de connaissance) et le décès d’une troisième, en 2012, ont suscité beaucoup d’émoi en Espagne, où le mouvement de résistance civique est fort. L’épidémiologiste Carlos Alvarez-Dardet dénonce les conflits d’intérêts qui entourent la promotion du vaccin et parle même, dans la presse, d’une « expérimentation menée sur les jeunes filles ». Sur Internet, les témoignages dramatiques foisonnent à travers le monde. Autant de vies brisées par la maladie et que l’on associe à la vaccination Gardasil. « Fatigue chronique, hypersensibilité à la lumière, paralysie…», sont des symptômes qui reviennent souvent dans les troubles ressentis par les filles, raconte la mère de Julie, de l’association française « Les filles et le Gardasil ». Sclérose en plaques, encéphalite disséminée aigue, maladie de Verneuil, syndrome de Guillain Barré… autant de maladies diagnostiquées. 

 

Le lien entre le vaccin et des effets secondaires graves: rapidement écarté par les autorités?

 

Convaincue de la faible déclaration des effets secondaires graves auprès des instances, Sophie Meulemans, de l’association belge «Initiative Citoyenne»,  regrette que la déperdition importante du nombre de candidates au vaccin, surtout entre la deuxième et la troisième injection, n'ait pas constitué un signal de pharmacovigilance. Tout comme « Les signaux récurrents, sur Internet, dès 2007, de thromboses, de cycles menstruels perturbés, de décès brutaux...» Et cite l’exemple***, publié dans «The British Medical Journal» en 2012, d’une ménopause précoce survenue trois ans après l’injection du vaccin. Les auteurs décrivent un « possible effet secondaire de la vaccination qui pourrait soulever des implications potentielles en termes de santé publique et requiert des investigations urgentes. » Il semble, selon des chercheurs anglais**** que « de nombreuses autorités médicales ont trop rapidement écarté un lien possible entre les vaccins anti-HPV (Gardasil et Cervarix) et des effets secondaires graves ».

 

Pour Elena Pasca et le Dr Spinosa, la question de l’effet secondaire ne devrait même pas se poser car «en l’absence de preuve d’efficacité d’un vaccin qu’on administre à des adolescentes en bonne santé, aucun risque n’est justifié ». D’autant que l’incidence et la mortalité de ce cancer ont chuté depuis l’amélioration de l’hygiène de vie et l’apparition du dépistage par frottis. Au point qu’il peut devenir demain, dans notre pays, une maladie rare, comme l’indique l’Institut de veille sanitaire. « Le faisceau de présomptions est fort et devrait inciter aujourd’hui l’Etat à financer une recherche sur des fonds publics. » La seule façon responsable, pour Elena Pasca, de sortir de la controverse.

 

* Le blog d'Elena Pasca, Pharmacritique.

** Jean-Pierre Spinosa, coauteur avec Catherine Riva de «La piqûre de trop», éd. Xenia.
*** Premature ovarian failure 3 years after menarche in a 16-year-old girl following human papillomavirus vaccination, BMJ Case Reports 2012.

**** Etude de Christopher A.Shaw et Lucija Tomljenovic, "Annals of Medicine" (2011).

 

Source: Paris-Match

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 19:45

Article rédigé par Susan Rohwer et traduit en français par IC (bien sûr, notre réponse se trouve plus bas ci-dessous car comment ne pas commenter pareille "mythologie"?!

Publié dans le Los Angeles Times en date du 5 novembre 2013:

Mouvement anti-vaccinal: il est temps que les médecins prennent position

Les médecins sont-ils en train de nourrir malgré eux le mouvement anti-vaccinal?

Une étude publiée lundi dans The Journal of Pediatrics a analysé plus de 100 discussions impliquant 16 professionnels de santé et a trouvé que la façon dont les médecins formulent la question des vaccins avait un impact sur la décision de vacciner ou pas des parents indécis.

L’étude a trouvé que lorsque les médecins disent aux parents qu’il est temps de vacciner (« C’est le moment pour Bobby de recevoir ses vaccins. ») plutôt que de présenter les choses sous forme de question (« Que souhaitez-vous faire au sujet des vaccinations de Bobby ? »), les parents étaient plus enclins à accepter la vaccination. Comme le suggère l’étude du Dr Douglas Opel, professeur assistant de pédiatrie à l’école de Médecine de l’Université Washington de Seattle, il est nécessaire que les médecins cessent de présenter la vaccination comme une question et qu’ils promeuvent avec plus d’assertivité les vaccinations pouvant potentiellement sauver la vie de jeunes enfants.

Bien sûr, les parents ne devraient pas être mis sous pression pour vacciner. Ils devraient recevoir des réponses à leurs questions et ils devraient prendre des décisions sur base d’un consentement éclairé. Mais d’un point de vue de santé publique, la vaccination ne devrait pas être présentée comme un choix, impliquant des options équitablement valables, et ceci plus particulièrement encore dans le contexte d’une désinformation rampante en matière de vaccination.

Depuis la conception (de l’enfant), les parents d’aujourd’hui sont noyés dans un torrent d’informations qui constituent un obstacle sans fin aux choix à poser. Internet regorge d’informations relatives à chaque choix imaginable qu’un parent doit poser. Les parents n’ont pas besoin d’aller très loin pour trouver une opposition à la vaccination, que ce soit dans des groupes de jeu ou en ligne. Bien que la suspicion à l’encontre des vaccins ne soit pas neuve, une étude de 1998 à présent largement discréditée liant le vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole à l’autisme, a porté la panique au sujet des vaccins à son paroxysme. Et les zélés de l’anti-vaccination comme Jenny Mc Carthy continuent d’accroître la « controverse ». (le « débat »)

Alors que les communautés médicale et scientifique continuent de supporter massivement la vaccination, le scepticisme au sujet de la sécurité et de l’efficacité des vaccins est devenu vraiment très commun. Tout comme ceux qui nient les changements climatiques, le mouvement anti-vaccinal continue de semer le doute en présentant le consensus scientifique à la manière d’une controverse.

Les parents essaient habituellement de faire ce qu’il y a de mieux pour leurs familles. Pourtant, la décision de vacciner ou non affecte non seulement la famille individuellement mais aussi la communauté toute entière. A la lueur des épidémies de coqueluche et de rougeole liées au refus de vaccination, il est nécessaire que les médecins, les scientifiques et les parents repensent à la façon dont ils parlent des vaccins. Il y a trop d’échappatoires possibles à la vaccination pour le public qui peut ainsi décider de refuser la vaccination pour des raisons philosophiques ou religieuses, alors que les conséquences de ce choix peuvent être fatales.

Il est nécessaire que les médecins et les professionnels de santé prennent position par rapport au mouvement anti-vaccinal et qu’ils reprennent leur expertise. Les rapports entre les patients et les médecins ont changé de manière significative depuis le modèle paternaliste des années ’60 où le médecin était « celui qui savait le mieux » pour évoluer vers un modèle de partenariat davantage orienté vers le client/patient. Bien que ce changement de modèle ait été une bonne chose en bien des façons – permettant aux parents de prendre la responsabilité des décisions de santé pour leurs familles -, cela a aussi eu pour conséquence inattendue d’ouvrir la possibilité pour les parents désinformés de prendre des décisions médicalement insensées. L’abondance des informations disponibles en ligne a instillé le sentiment que nous serions tous experts, juste parce que nous utilisons Google. Mais n’oublions pas qu’une session de recherche sur le Web ne peut pas remplacer les années d’études, d’entraînement et de recherche qui vont de pair avec l’expertise médicale et scientifique.

Les médecins sont en mesure d’influencer les parents indécis qui se posent des questions sur la vaccination, et cette étude montre que cette influence est puissante. Le parent peut individuellement penser qu’il ou elle effectue un choix pour son seul enfant, mais sa décision s’avère avoir un impact sur l’ensemble de la communauté.

IC's answer to Susan Rohwer's article in LA Times (sent to the newspaper)

Réponse d'Initiative Citoyenne en français ci-dessous:

Rapport bénéfices/risques des vaccins:

 il est temps pour les citoyens de choisir entre la croyance et la connaissance

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Nous souhaitions réagir par rapport au récit particulièrement édulcoré que Susan Rohwer nous a offert il y a peu dans ce journal sur les vaccins car le conte de fée qu’elle a dépeint est malheureusement très éloigné de la réalité concrète des choses.

 

En ces temps de rage vaccinatoire, où l’establishment médico-pharmaceutique tente de faire croire que « plus (de vaccins), c’est forcément mieux » [1], l’immense majorité des études consiste à étudier le meilleur discours possible pour persuader les gens de se faire vacciner à tout prix plutôt qu’à évaluer sérieusement leur véritable rapport bénéfices/risques, rapport qui est toujours considéré comme positif à priori, à la manière d’un dogme inquestionnable.

 

Partant de là, obligatoirement, il n’y a plus de place pour la connaissance neutre et objective du sujet et pour la prise en compte des aveux et des données toutes plus accablantes les unes que les autres qui émanent finalement des firmes productrices de vaccins elles-mêmes. Données et aveux dont Mme Rohwer semble n’avoir aucune idée, peut-être parce qu’elle n’a pas su manier et utiliser internet de façon suffisamment habile ?

 

Car tout de même, quand elle tente de faire croire à la fausse unanimité médicale autour de la vaccination, il y a vraiment de quoi bondir… dans la réalité, c’est plutôt le « faites ce que je dis, pas ce que je fais » qui prévaut et c’est d’ailleurs si vrai qu’une enquête officielle réalisée par l’Institut National français de Prévention et d’Education à la Santé (INPES) en 2005 auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins pédiatres et généralistes a montré que 58% d’entre eux se posent des questions sur l’utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité[2]. Comme par hasard, ces résultats dérangeants pour l’establishment n’ont pas été publiés. Car le public doit bien sûr continuer d’être maintenu dans une illusion.

 

Mme Rohwer estime que les médecins doivent promouvoir la vaccination auprès du public et qu’ils doivent reprendre leur expertise. Mais c’est vraiment à se demander de quelle expertise elle parle, compte tenu des aveux fracassants du Dr Jean-François Saluzzo, directeur de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur et aussi consultant pour l’OMS qui avouait dans un cours de vaccinologie en ligne qu’ « ils ne savent tout simplement pas comment marchent les vaccins » et que « si on veut développer d’autres nouveaux vaccins dans le futur, il faut commencer par étudier le système immunitaire » ![3]  La vaccinologie apparaît donc pour ce qu’elle est, une fausse science au service d’un commerce mais dont la substance est tout à fait vide.

 

Nous pourrions aussi reprendre d’autres propos comme ceux du Dr Nathalie Garçon, responsable du Centre mondial des adjuvants de GSK qui avouait dans un symposium de 2002 aux USA que personne ne connaît la biodistribution de l’aluminium dans le corps et que selon elle, si l’aluminium arrivait aujourd’hui sur le marché, elle pense qu’il ne serait pas accepté.[4]

 

Comment Mme Rohwer explique-t-elle aussi que les vaccins soient dispensés d’analyse de leur potentiel cancérigène et mutagène alors que des cosmétiques qui eux ne sont jamais obligatoires, y soient soumis ? Pourtant, une majorité de vaccins contiennent du formaldéhyde qui a été reconnu depuis 2004 cancérigène certain par le CICR qui dépend de l’OMS.[5] Pourquoi ce refus de savoir, ce refus de la Science ?

 

Pourquoi ne pas oser enfin comparer pendant plusieurs années des sujets et des enfants vaccinés à des sujets non vaccinés (0 vaccins), de façon à ne pas biaiser la comparaison et à ne pas présenter les vaccins comme plus sûrs qu’ils ne sont ?

 

Comment parler aussi de « consentement éclairé » vu l’ampleur des inconnues volontairement entretenues par l’establishment sur les effets à court, moyen ou long terme des vaccins ? Mais peut-être que Mme Rohwer considère que le consentement est déjà libre et éclairé si on se limite à évoquer la simple douleur ou rougeur au point d’injection ? Nous avons pourtant publié sur notre site internet en décembre 2012 et en janvier 2013 plusieurs documents confidentiels de GSK et de Pfizer qui sont accablants : plus de 800 effets secondaires possibles et différents pour l’Infanrix hexa dont des cas listés comme tels par la firme d’autisme, de mort subite, de diabète et même aussi de syndrome du bébé secoué pour n’en citer que quelques uns ! [6] En outre, les officiels sont aussi au courant que la co-administration du vaccin Infanrix hexa et du Prevenar lors d’une même consultation, comme cela se fait en Europe, multiplie par 3 le risque d’effets secondaires neurologiques [7] mais tout continue malgré tout comme si de rien n’était !

 

Alors où est-il l’intérêt des enfants et de la communauté quand on transforme par milliers des biens portants en malades en oubliant au passage qu’ils avaient déjà, à la base, un système immunitaire merveilleusement perfectionné ? Où est-il l’intérêt de la communauté quand on restreint les libertés publiques au point d’enfermer des enfants dans des palais de justice comme au Maryland, pour les piquer de force contre la varicelle et l’hépatite B [8] ? Où est-il Mme Rohwer l’intérêt public quand on en vient à priver des chercheurs de crédits de recherche parce que ça dérange qu’ils étudient les risques vaccinaux ou qu’on les interdise de conférence de presse, comme ce fut le cas du neuropédiatre français Pr Marc Tardieu parce qu’il avait mis en évidence un sur-risque de sclérose en plaques après le vaccin anti-hépatite B (journal français Libération du 14 octobre 2008)[9] ?

 

Où est aussi l’intérêt de la communauté quand des journalistes mal informés se contentent d’essayer de salir le Dr Wakefield en omettant (sciemment ou non) de rappeler que ses travaux ont déjà été plusieurs fois confirmés[10] et reproduits par d’autres équipes de chercheurs sans que ces derniers soient salis de la sorte ? Sans parler des autres études incriminant la vaccination dans la genèse de l’autisme par d’autres mécanismes ou avec d’autres vaccins (les uns n’excluant pas les autres !) [11]

 

La société à laquelle Mme Rohwer aspire est une société qui substitue la croyance à la connaissance, une société qui agite l’altruisme pour culpabiliser les parents et les pousser à vacciner mais qui applique en réalité une fausse solidarité, qui est à sens unique car elle laisse honteusement une majorité de victimes graves de vaccins à leur triste sort (nous rappelons à ce propos que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement comptabilisés ; le Dr Kessler parlait de 1% dans JAMA en 1993. [12] La Revue française du Praticien évoquait 1 à 10% d’effets graves en novembre 2011).[13]

 

Nous, nous voulons la vraie Science et le choix et si cette vraie Science fait défaut, alors il devient éthiquement indéfendable de vouloir imposer quoi que ce soit à quiconque. Souvenons-nous aussi pour conclure de quelques chiffres forts : 65% de gens dociles obéissant aveuglément aux ordres d’une autorité extérieure susceptible de les « impressionner » selon l’expérience de Milgram dans les années 60 ; respectivement 12,6% et 33% au moins des revenus annuels des médecins généralistes et pédiatres qui découlent de la vaccination selon le rapport d’octobre 2012 de la Cour des Comptes française. [14]

 

Références

 

[1] http://www.pharmatimes.com/Article/12-04-24/US_biopharma_nearly_300_vaccines_in_R_D.aspx#.T5hUbtlFLuM.facebook

 

[2] http://ddata.over-blog.com/3/27/09/71/INPES--guide-pratique-pour-le-medecin.pdf

(voir en page 12 du livret (14 du curseur pdf) et en page 35 du livret (37 du curseur pdf)… « non publiée » !)

 

[3] http://www.canal-u.tv/video/canal_u_medecine/cif_vaccinologie_2011_fabrication_et_controle_des_vaccins.7080 (temps 51 ième minute)

 

[4] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/NATHALIE-GARCON--ADJUVANTS.pdf (p 220)

 

[5] International Agency for Research on Cancer (June 2004). IARC Monographs on the Evaluation of Carcinogenic Risks to Humans Volume 88 (2006): Formaldehyde, 2-Butoxyethanol and 1-tert-Butoxypropan-2-ol. Retrieved June 10, 2011, from: http://monographs.iarc.fr/ENG/Monographs/vol88/index.php .

 

[6] http://www.initiativecitoyenne.be/article-infanrix-hexa-le-document-confidentiel-accablant-113251207.html

 

[7] http://www.initiativecitoyenne.be/article-prevenar-13-documents-confidentiels-accablants-113700156.html

 

[8] http://www.youtube.com/watch?v=r6Vj0EX_STU

 

http://www.youtube.com/watch?v=G6z3htbpq70

 

[9] http://www.liberation.fr/sciences/2008/10/14/cachez-ce-risque-que-je-ne-saurais-voir_114959

 

[10]  http://www.dailymail.co.uk/news/article-388051/Scientists-fear-MMR-link-autism.html

 

[11] http://mercury-freedrugs.org/docs/00mmdd_EISAbstractSubmission_IncreasedRiskOfDevelopmentalNeurologicImpairmentAfterHighExposureToThimerosal-containingVaccine_.pdf

 

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/MIT--aluminium--autisme.pdf

 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/18482737

 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20424565

 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3774468/

 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/20628444

 

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/21299355

 

http://www.ane.pl/pdf/7020.pdf

 

[12] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/dec-2011/KESSLER--JAMA--1993.pdf

 

[13] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Pharmacovigilance-vaccins-Jonville-Bera--Revue-du-Praticie.pdf

 

[14] http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Rapport-2013-Cour-des-Comptes-vaccinations.pdf (p 114)

 

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31 octobre 2013 4 31 /10 /octobre /2013 22:05

La RTBF nous traite de complotistes mais...

nous ne sommes pas des pigeons!

 

fotolia-presse.jpg

   

Ceux qui connaissent un peu le domaine des vaccins et de leurs effets secondaires savent que c'est un sujet tabou à propos duquel les médias ne sont tout simplement pas libres de faire preuve d'une objectivité et d'une impartialité totales.

 

Mais s'il en était besoin, voici encore un nouvel exemple particulièrement révélateur: l'extrait d'interview audio d'Initiative Citoyenne diffusée ce mardi dans le JT de la radio RTBF La Première au sujet de la vaccination obligatoire des enfants (la RTBF souhaitant rebondir sur l'article particulièrement dérangeant d'une maman dans la Libre Belgique de ce week-end).

 

 

Lundi en fin de matinée, le journaliste de la RTBF Maxime Paquay, qui a réalisé le reportage, contacte par mail Initiative Citoyenne en vue de réaliser son sujet. L'interview est réalisée le même jour par téléphone aux alentours de midi et dure environ 10-15 minutes.

 

Plusieurs questions ont été posées par le journaliste et notamment la question (habituelle) demandant si nous considérions qu'il s'agit d'un complot des autorités en lien avec l'industrie pharmaceutique. Nous répondons extrêmement clairement que nous ne voyons pas les choses ainsi, insistant sur les passe-droits en matière de règlementation pharmaceutique qui sont accordés aux pharmas en ce qui à trait aux vaccins (et qui sont un fait incontestable et vérifiable dès lors que les vaccinés ne sont pas comparés à des non vaccinés; que l'évaluation des effets secondaires se fait sur un temps beaucoup trop bref et sur un nombre beaucoup trop faible de sujets, qu'on n'évalue pas leur potentiel cancérogène, contrairement aux cosmétiques etc.).

 

De même, nous mentionnons également l'exemple incontournable de la publicité trompeuse (et reconnue comme telle par le JEP) de la Communauté Française en faveur des vaccins tout au long de la vie, une pub qui était un véritable cadeau (payé par le contribuable) pour le business des pharmas et que la RTBF a continué à diffuser bien après que le Jury d'Ethique Publicitaire l'ait considérée comme trompeuse en novembre 2011!

 

Nous indiquons également dans le cours de l'interview qu'il y a, selon nous, des indices graves que le rapport bénéfices/risques des vaccins est défavorable et loin de ce que des instances officielles comme l'ONE affirment (évoquant par exemple le hiatus hallucinant entre leur affirmation selon laquelle "Pour la quasi totalité du monde médical à l'échelle de la planète, il n'existe pas de complication grave des vaccins" et les plus de 2,7 milliards de $ déjà déboursés à ce stade par les autorités américaines en dédommagement des victimes d'effets secondaires vaccinaux qui sont donc loin d'être si rares que cela.)

 

Nous n'avons pas indiqué que nous vaccinons contre des maladies qui ont quasiment disparu ni formulé les choses ainsi, nous avons au contraire tenté de faire passer la nuance suivante: vacciner... mais à quel prix?

 

Nous avons parlé au journaliste du caractère expérimental des vaccins mais nous avons fourni de solides preuves concrètes de cette affirmation qui ne se retrouvent étrangement pas dans cet extrait soigneusement sélectionné. Nous avons par exemple rappelé les propos du Dr Jean-François Saluzzo qui est tout de même Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi Pasteur et consultant pour l'OMS et qui avoue de façon limpide dans un cours de vaccinologie en ligne qu'"ils ne savent pas comment marchent les vaccins" et qu' "à l'avenir, si on veut développer d'autres nouveaux vaccins il faudrait commencer par étudier le système immunitaire." Si cela n'est pas la preuve que les vaccins sont tous et depuis le début des produits expérimentaux, on se demande ce que c'est?

 

Mr Paquay a sûrement un diplôme universitaire mais il n'a visiblement pas pu (ou voulu?) comprendre cela... et c'est d'ailleurs d'autant plus décevant que nous avions d'emblée commencé l'entretien en signalant notre volonté d'étayer nos propos, en proposant bien sûr de lui fournir toutes les preuves qu'il souhaiterait quant à nos affirmations/nos déclarations, proposition qu'il a déclinée prétextant avoir déjà largement parcouru notre site internet.

 

Mr Paquay a manifestement préféré s'en remettre aux apparences des diplômes et des titres de personnes ou d'institutions (indépendamment des liens d'intérêts accablants qui les concernent!) oubliant au passage le plus élémentaire bon sens puisqu'il a laissé dire au Dr Van Laethem dans sa sélection visiblement très partiale que nous serions "à 95% dans les mensonges scientifiques" ALORS même (cf plus haut pour la source) que le Dr Jean-François Saluzzo de Sanofi Pasteur et également consultant pour l'OMS a révélé en une seule phrase tout le toc de la vaccinologie qui n'est qu'une fausse science, parfaitement vide et creuse, dont les moindres affirmations ne reposent malheureusement que sur du vent (la base élémentaire des données sur les effets immunologiques des vaccins faisant totalement défaut) !

 

S'il n'y a pas d'indices graves de collusion entre les industries pharmaceutiques, que Mrs Paquay et Van Laethem expliquent donc au public (s'ils en sont du moins capables) pourquoi:

 

- L'ONE dit qu'il n'y a pas de complication grave des vaccins et que les documents confidentiels des firmes pharmaceutiques listent pour un seul vaccin plus de 800 effets secondaires possibles dont plusieurs dizaines de décès de nourrissons, dont l'autisme, dont la mort subite du nourrisson, dont même aussi le syndrome de l'enfant maltraité/secoué ?

 

- Les autorités qui ont connaissance de ces dossiers confidentiels des firmes pharmaceutiques n'en font jamais part aux parents en se contentant de leur parler de simple douleur, rougeur au point d'injection et cela même alors que ce sont ces mêmes autorités qui ont hypocritement fait passer la loi du 22 août 2002 sur les droits des patients qui prévoit en son article 8 l'obligation d'informer suffisamment complètement et objectivement les patients sur les bénéfices des traitements mais aussi sur leurs risques (en termes de nature des risques, gravité et fréquence possibles)??

 

- Pourquoi aussi les autorités n'imposent-elles pas des évaluations réellement scientifiques, c'est à dire avec une méthodologie suffisamment rigoureuse, aux firmes pharmaceutiques AVANT d'autoriser la moindre mise sur le marché du moindre vaccin? Peut-être que Mr Paquay devrait oser regarder la vidéo ci-dessous qui est celle d'une officielle américaine, ex directrice du National Institute of Health des USA (un poste sans commune mesure avec celui de Mr Van Laethem...) qui expliquait elle aussi que les autorités se refusent à des évaluations sérieuses de peur de ce qu'elles pourraient trouver, c'est à dire qu'elles se refusent à une véritable Science tout en sacrifiant inutilement des enfants, chose qui la déçoit elle aussi (mais devient-elle alors elle aussi pour autant "complotiste"????):

 

 

On notera que le Dr Healy affirme que la question du lien entre vaccins et autisme n'est donc toujours pas réglée/tranchée alors que le Dr Van Laethem osait lui affirmer dans une émission sur RTL que cette histoire d'autisme en lien avec les vaccins a été "montée à la manière d'une pièce de théâtre"!! C'est donc dire tout le sérieux scientifique des invités conviés par la RTBF censés jeter plein de poudre aux yeux aux citoyens du haut de leur titre qui ne semble malheureusement pas aller de pair avec une simple lecture des données scientifiques et des carences méthodologiques existantes.

 

Si le Dr Van Laethem affirme que nous sommes "à 95% dans le mensonge scientifique", c'est qu'il n'a du reste pas dû lire non plus le célèbre journal JAMA du 3 septembre 2008 dans lequel l'ex éditrice en chef  du prestigieux New England Journal of Medicine, le Dr Marcia Angell déclarait, nous citons : « […] Il serait naïf de conclure que les conflits d’intérêts et les biais qu’ils induisent ne sont que le fait de quelques instances isolées. En réalité, ils imprègnent le système dans son ensemble. Les médecins ne peuvent plus compter sur la littérature médicale comme une source d’informations valides et fiables. C’est la conclusion que j’ai dû tirer, à contrecœur, vers la fin de mes 20 ans à la tête de la rédaction du New England Journal of Medicine, et cette conclusion n’a fait que se renforcer depuis. Les cliniciens n’ont plus moyen de savoir quels sont l’efficacité et le profil de sécurité réels des médicaments qu’ils prescrivent, et il est fort probable que ces produits sont loin d’avoir les qualités que leurs prêtent les publications médicales. » (lire la suite des propos de Marci Angell ici)

 

Les lecteurs et visiteurs intéressés compareront aussi l'idéologie du Dr Van Laethem et des médias complaisants qui lui ont déroulé le tapis rouge aux propos pondérés et rationnels du pédiatre américain Dr Lawrence Palevsky:

 

 

Pour les êtres d'intelligence même moyenne, il n'est guère difficile de se rendre compte que le secteur vaccinal fait partie des secteurs économiques stratégiques des Etats qui les hébergent (USA, France, Grande-Bretagne, Belgique,...) et qu'ils sont dès lors assimilés pour cela à une sorte de "raison d'Etat" qui passe évidemment bien avant les victimes d'effets secondaires soi-disant si rares des vaccins.

 

Cela s'est vu en France lors de la campagne de propagande monstre en faveur des vaccins anti-hépatite B dans les années 90 (lors de laquelle les contestataires étaient fichés par les Renseignements généraux - ça ne s'invente pas - que Mr Paquay ose donc prendre connaissance de la copie d'une note officielle des Ministères français à cette époque, reproduite dans le livre de Lucienne Foucras, "Le Nouveau dossier noir du vaccin contre l'hépatite B" !).

 

Dans un rapport du Sénat français de 2007, les autorités déclarent que le secteur pharmaceutique est "leur partenaire naturel". (là encore ce sont leurs mots que nous reprenons fidèlement... on notera qu'ils n'écrivent pas que les citoyens sont leurs "partenaires naturels" en revanche, juste de vulgaires électeurs dans leur esprit probablement.)

 

Le 14 octobre 2008, le journal Libération rapportait que le Pr Marc Tardieu, neuropédiatre, avait été interdit de conférence de presse pour qu'il ne puisse ainsi pas trop faire de bruit au sujet des résultats dérangeants qu'il avait obtenus et qui montraient que le vaccin anti-hépatite B de GSK (qui est inclus dans le vaccin hexavalent Infanrix hexa) entraîne un sur-risque de sclérose en plaques.

 

Le contrat léonin d'achat de vaccins H1N1 (qui était confidentiel et est "tombé du camion") a lui aussi montré une proximité nettement plus grande entre l'Etat et GSK que ce qu'on veut bien dire et un article de ce contrat indiquait même expressément que les 2 co-contractants devaient se garder d'attitudes pouvant laisser penser qu'ils sont plus que 2 simples co-contractants! Lors de nos actions en justice contre l'Etat belge dans le contexte du H1N1 fin 2009 et début 2010, nous avions demandé la publication de ce contrat d'achat de vaccins H1N1, une demande rejetée, bien que l'Etat n'avait en réalité fourni dans le cadre de ces procédures qu'une partie ridicule (4% seulement!) du texte et que celui-ci avait été largement caviardé, comme la comparaison avec le texte intégral a pu le montrer quand celui-ci a été révélé en mai 2010 par Le Soir.

 

En Grande-Bretagne, trente années de documents confidentiels des autorités en matière d'effets secondaires de divers vaccins ont pu être obtenus en vertu du Freedom of Information Act (Loi sur le droit d'accès à l'information) et leur contenu montre sans l'ombre d'un doute possible tous les efforts de dissimulation délibérés déployés par les membres du Comité de Vaccination anglais pour que les programmes vaccinaux continuent à tout prix et que le public ne soit pas informé de ces risques. En outre, révéler au public la situation telle qu'est est pose aussi un problème de responsabilité juridique insurmontable pour les autorités qui ont recommandé de façon inconséquente tous ces vaccins depuis autant d'années.

 

Dans n'importe quel autre domaine, avec de tels indices aussi solides et aussi convergents, chacun se sentirait obligé de conclure à juste titre qu'il y a une situation au minimum anormalement laxiste vis-à-vis du secteur industriel concerné. Mais non, ici, on ne peut surtout rien dénoncer sans se faire traiter de complotistes. Tout simplement parce que les officiels n'ont plus que ce pseudo-argument, cette seule béquille-là (et souvenez-vous bien qu'ils nous ont fait le même coup au moment du H1N1, essayer de diviser l'opinion en 2 fausses catégories avec d'une part un public raisonnable et docile qui croyait le baratin officiel sur le bienfondé du vaccin et de l'autre, tous les gens qui contestaient sur base de fantasmes car ils étaient paranos et "dans la théorie du complot"... entre temps, les données statistiques ont montré qu'un pays comme la Pologne qui n'a pas acheté de vaccins, a eu moins de cas, moins de décès et aussi que ces vaccins hasardeux et coûteux étaient responsables sans le moindre doute possible d'effets neurologiques et auto-immuns graves comme la narcolepsie, toujours incurable et redoutable pour les malheureux enfants et adultes qui en sont les victimes)

 

Ce qui est ici le plus grave, c'est finalement que les médias n'ont plus l'intelligence, le bon sens mais surtout l'humanité et la liberté d'inciter le public à se réunir largement, au-delà des clivages, pour exiger enfin conjointement la vraie Science. Parce qu'il y a urgence mais aussi parce que tous les citoyens gagnent à ce que les exigences règlementaires des vaccins soient durcies de façon à pouvoir prouver qu'ils sont réellement si sûrs que cela!

 

En lieu et place, nous avons des médias qui diffusent des publicités trompeuses en faveur des vaccins, qui travestissent le discours de certains intervenants selon les consignes éditoriales qu'ils reçoivent et qui se refusent à faire barrage aux lamentables tentatives de division du public par des officiels davantage soucieux de monter les gens les uns contre les autres (pour faire diversion) que de régler valablement et courageusement la situation.

 

La bulle vaccinale (comme toutes les bulles) éclatera tôt ou tard. C'est là une certitude, la seule question étant de savoir combien de victimes en auront fait les frais d'ici là. Difficile à calculer précisément mais guère difficile de voir qui aura à cet égard eu une responsabilité. Celle des médias apparaît d'emblée éclatante (et cette responsabilité était d'ailleurs déjà dénoncée en 1875 par des médecins à une époque où il n'existait encore qu'un seul vaccin, c'est donc dire si les procédés n'ont malheureusement pas changé!).

 

Pour ce qui est d'Initiative Citoyenne et compte tenu que c'est loin d'être la première fois que la RTBF déforme nos propos (droit de réponse refusé en mai 2012, reportage de Question à la Une biaisé et orienté en octobre 2012 pour nous assimiler là aussi plus ou moins subtilement à des complotistes,...), nous leur fermons la porte, estimant que la confiance est définitivement rompue. Cela sera désormais à eux de prouver qu'ils respectent leur public et son droit à l'information et qu'ils traitent suffisamment impartialement le sujet.

 

Dans le même temps, chacun restera libre aussi de se demander s'il trouve sain et normal que:

 

- La ministre de tutelle de la RTBF soit la même Ministre que celle ayant en charge la Santé (Mme Laanan)?

 

- Que la Ministre de tutelle de la RTBF soit aussi la ministre de tutelle de l'ONE (?) et que par ailleurs,

 

- la Ministre de tutelle de l'ONE, de la RTBF et aussi de la Santé ait deux de ses soeurs qui travaillent chez GSK bien qu'elle n'avait jamais signalé cela clairement au public avant son entrée en fonction ?

 

Article 19 de la Déclaration Universelle des Droits de l’Homme :

 

« Tout individu a droit à la liberté d'opinion et d'expression, ce qui implique le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions et celui de chercher, de recevoir et de répandre, sans considérations de frontières, les informations et les idées par quelque moyen d'expression que ce soit. »

 

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

La stratégie de développement des vaccins: les vraies questions qui se posent



Ethique vaccinale & prostitution de la Science

 

Tous les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi

 

Liberté vaccinale & information (conférence d'Initiative Citoyenne en mars 2012 à Sart- Bernard)

 

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17 octobre 2013 4 17 /10 /octobre /2013 19:45

journal-du-patient-aout-sept-2013-copie-1.jpg

Nous souhaitions vous mettre en garde contre le degré de désinformation mis en oeuvre par le Journal du Patient, journal "gratuit" mais non indépendant, tiré à 48 000 exemplaires et notamment disponible dans plusieurs pharmacies du pays et qui comporte également une version spéciale réservée aux salles d'attente des médecins (c'est d'ailleurs l'un d'eux qui nous en a envoyé un exemplaire...)

 

C'est le numéro 13 du mois d'août/septembre de cette revue qui motive cet article tant les affirmations mensongères en matière de vaccination sont é-di-fian-tes!!!

 

D'ailleurs c'est bien simple, il y en a tellement que c'est impossible de tout lister ici. Mais reprenons-en ici pêle-mêle plusieurs d'entre elles.

 

"C'est à cause des oublis de rappels DTP que le tétanos n'est pas encore éradiqué! " (sic!)

 

On voit déjà mal comment un vaccin triple serait vital pour éradiquer une seule maladie, mais surtout, surtout,... le tétanos est impossible à éradiquer étant donné que le réservoir du bacille (bactérie) se trouve dans le sol et qu'on ne sait bien évidemment pas supprimer ou stériliser le sol du monde entier!! Mais que ne ferait-on pas, n'est-ce pas pour faire l'éloge des vaccins faussement incontournables!

 

"L'efficacité de la vaccination contre la grippe est bien établie." (dixit Dr Van Laethem)

 

Est-ce parce que le Dr Van Laethem est à ce point lié aux pharmas qu'il a une vision aussi sélective de la Science et qu'il ignore les nombreuses publications indépendantes et toutes les autres données ayant démontré que:

 

- Les 60 à 70% d'efficacité du vaccin antigrippal sont un trucage

 

- Plus on vaccine et moins c'est efficace

 

- Les effets graves de la grippe sont si rares que des hôpitaux n'organisent plus la vaccination pour leur personnel

 

- Le vaccin contre la grippe provoque 5,5% plus d'infections respiratoires

 

- La vaccination antigrippale des soignants ne protège pas les personnes âgées

 

- Selon l'étude (indépendante) de Cochrane, le vaccin antigrippal n'a aucune valeur

 

" Les effets indésirables du vaccin (antigrippal) restent minimes."

 

Minimes, vraiment? Quid alors de ceci:

 

- cette femme handicapée à vie après une deuxième injection annuelle de vaccin

 

-  le grand nombre de publications scientifiques qui relèvent des effets secondaires graves

 

- le vaccin antigrippal pourrait favoriser les accidents vasculaires cérébraux

 

"Vaccination rime avec raison."

 

Ahh oui? Et l'éthique rime sans doute aussi avec les conflits d'intérêts. Pfff!!

 

"Pour vieillir en bonne santé, la prévention des maladies infectieuses fait figure de priorité."

 

Le gros problème c'est que nos pseudos experts actuels n'ont plus vraiment de bon sens et donc le sens des vraies priorités. Quelques chiffres officiels (Mutualités Libres): 80% des gens de 65 ans et + en Belgique ont au moins une maladie chronique et 85% des 75 ans et + en ont au moins 3. Or cela fait des années et des années qu'on assomme le système immunitaire des gens et notamment des seniors avec des vaccins (dont le vaccin antigrippal) alors que les maladies infectieuses sont loin d'être une priorité objectivement parlant. A force donc d'inverser les priorités, on fait pire que bien et au final, plus personne ne vieillit en bonne santé (mais pour tirer les gens en longueur avec toutes sortes de marchines, là on fait fort! Ne pas confondre donc longévité et espérance de vie EN BONNE SANTE qui sont deux concepts radicalement différents!)

 

" Le vaccin contre la grippe ne provoque pas la grippe."

 

Il s'agit là d'une affirmation fausse très classique des promoteurs de vaccins. Ils tablent classiquement sur le fait que le vaccin traditionnellement utilisé dans nos pays est un vaccin injectable (inactivé) et pas un vaccin à virus vivant (bien que le vaccin antigrippal nasal peu recommandable soit de ce type). Mais les vaccinalistes se gardent bien de dire que toute vaccination, quelle qu'elle soit, déprime le système immunitaire (l'affaiblit) et donc favorise n'importe quelle autre maladie infectieuse dans la foulée, dont la grippe!

 

Une vraie Science est avant tout basée sur l'observation. Le bon sens populaire aussi. On ne compte plus à ce propos le nombre de gens qui ont reçu une vaccination antigrippale et ont confirmé n'avoir jamais été aussi malade après, que c'est "la première et la dernière fois" qu'ils recevront ce vaccin etc. On est donc ici dans ce phénomène qui n'est pas qu'une simple "coïncidence" comme les promoteurs éhontés des vaccins aimeraient le faire croire mais bien d'un phénomène parfaitement documenté et aussi parfaitement logique.

 

On peut faire le parallèle ici avec la désinformation orchestrée par les pseudos experts officiels lorsque ceux-ci disaient que le squalène (adjuvant des vaccins H1N1) était sans danger parce que naturel et étant présent dans notre corps. Oui, sauf que le squalène ingéré (voie orale) n'a pas du tout les mêmes effets ni les mêmes risques que le squalène injecté. Mais on voit là le simplisme et le genre de raccourcis dangereux de ces défenseurs acharnés de la fausse science qu'est la vaccinologie.

 

"Il existe de bonnes raisons de vacciner les jeunes enfants contre toutes les maladies reprises dans le schéma vaccinal de base." (Dr Nadine De Ronne, pédiatre de Kind & Gezin.)

 

bébé polyvacciné

Pour l'industrie, c'est certain, les raisons sont toujours excellentes. C'est d'ailleurs pour cela que des tas de vaccins contre des maladies rares ou qui n'ont jamais constitué un problème réel de santé publique ont été inclus au calendrier vaccinal qu'on appelle cyniquement "de base" mais qui les inclut finalement tous, à l'exception du vaccin contre la varicelle, mais ça ne saurait sans doute trop tarder. La pédiatre nous le dit, c'est "parce que ce n'est pas encore gratuit" qu'on ne l'a pas encore généralisé. C'est la grosse carotte des gogos ça la gratuité, qui leur fait croire qu'alors c'est vraiment très utile!

 

En outre, n'oublions pas non plus l'intérêt financier des pédiatres et des généralistes de promouvoir la vaccination: selon un rapport de la Cour des Comptes française, la vaccination représente au minimum 12,6% du revenu des généralistes et 33% des revenus des pédiatres. Et encore, ces chiffres ne concernent que le prix de la consultation pour effectuer la vaccination et non le lot conséquent de consultations pour effets secondaires de ces mêmes vaccins! Or selon un rapport de l'ONE et de Provac (de 2009) ici en Belgique, au moins 5% des enfants vaccinés doivent consulter un médecin endéans les 48H après un vaccin pour effets secondaires. Mais combien d'enfants vaccinés doivent alors consulter endéans la semaine? La quinzaine? Le mois ou au-delà?!

 

On a aussi un extrait central qui est tellement dense en contre-vérités qu’il nous appelle à repréciser ce qu’est le phénomène d’inversion :

 

L’inversion consiste à utiliser la négation (sans autre argument en soi !) d’affirmations basées sur un solide corpus de données (scientifiques ici en l’occurrence). On est alors dans un discours « à 180° ». A ce petit jeu-là, c’est la personne qui pratique l’inversion qui « court » après les thèmes développés par les opposants (minorité du système). C’est un jeu de dupe, et aussi une sorte de « quitte ou double » parce que ce discours est susceptible de persuader les gens qui n’ont encore aucune connaissance du sujet, généralement sur base d’arguments d’autorité (« c’est un médecin qui parle donc c’est que c’est vrai. »). Il s’agit toujours d’affirmations générales et pas de points précis parce que l’entrée dans le détail est « glissante » pour les personnes qui recourent au stratagème de l’inversion. Le fait d’inverser les choses peut relever de l’ignorance mais quand l’inversion devient aussi méthodique, elle témoigne davantage d’une volonté de propagande qui impose de coller aux critiques qui ont déjà été entendues. Pour ceux qui ont creusé le sujet bien sûr, les affirmations qui découlent d’un phénomène d’inversion, apparaissent gratuites, sans base, sans fondement.

 

Voici maintenant que ce phénomène d’inversion a été expliqué, un exemple clair dans la bouche du Dr Nadine De Ronne, pédiatre et « conseiller central » de Kind & Gezin :

 

La sécurité est un atout (alors que c’est justement l’insécurité criante des vaccins qui crée à juste titre la controverse et augmente la défiance légitime du public.)

 

« Les vaccins ne sont pas commercialisés avant qu’on ait réalisé des études de sécurité détaillées. » (alors que les vaccins sont TOUS des produits expérimentaux car ils sont justement évalués de façon nettement plus laxiste que les autres médicaments et même les cosmétiques avec absence de contrôle contre placebo, évaluation beaucoup trop brèves, sur un nombre de sujets trop faibles ; absence d’analyse pharmacocinétique, absence d’évaluation du potentiel cancérogène, mutagène, tératogène !)

 

« S’il peut y avoir quelques effets indésirables, ils sont cependant sans dangerUn vaccin signifie une piqûre qui fait mal au moment même et peut entraîner une rougeur locale, voire un peu de fièvre. Nous en informons les parents. Rien n’incite cependant à penser qu’un vaccin donnera de gros problèmes

 

On est bien ici dans un phénomène d’inversion pure : des centaines de publications scientifiques appartenant à la littérature médicale internationale (et donc qui ne peuvent pas toutes être inconnues de cette pédiatre à ce niveau) attestent des effets secondaires graves des vaccins or elle en nie ici purement l’existence, d’une façon gratuite et idéologique : « Rien n’incite à penser qu’un vaccin donnera de gros problèmes ! » Si on confronte ce discours au contenu des documents confidentiels des firmes pharmaceutiques elles-mêmes (et qui portent la mention « confidentiel » à chaque page) sur la sécurité de leurs vaccins (Infanrix hexa, Prevenar), on voit que ce discours ne tient pas une minute, il s’effondre alors instantanément (mais pas bien sûr pour celui qui n’entend que le seul discours fumeux du Dr De Ronne et n’a pas accès à ces documents confidentiels, qui n’a pas accès à ce site ou à d’autres !)

 

De même, si on tient compte du fait qu’aux USA, plus de 2,7 milliards de dollars ont déjà été payés par le gouvernement aux victimes de vaccins depuis 1986 alors que deux tiers des plaintes sont rejetées d’emblée, on se rend compte que Mme De Ronne se moque bien sûr du monde, outre qu’elle viole ses obligations légales qui incluent le respect de l’article 8 de la loi du 22 août sur les droits du patient qui impose de fournir aux patients potentiels des informations suffisamment objectives, équilibrées et détaillées également sur les risques (nature, fréquence, gravité) d’un traitement proposé ou recommandé !!

 

Mais on pourrait aussi mentionner qu’aux USA, 0,75$ est prélevé sur chaque vaccin vendu pour alimenter ce fameux fond d’indemnisation des victimes. De même, on pourrait aussi rappeler que la Cour Suprême de ce pays a accordé une impunité juridique à ces fabricants pour leur éviter de tomber en faillite sous le poids des poursuites….

 

Le fait de dévier le débat sur la sécurité (ou plutôt l’insécurité) des vaccins sur une question accessoire (la peur de la piqûre) permet dans l’esprit de ces gens-là d’éviter d’entrer dans les détails concrets qui expliquent pourquoi et en quoi l’évaluation des vaccins est totalement laxiste.

 

« Nous sommes très critiques et les firmes doivent véritablement prouver que leurs produits sont sûrs avant de pouvoir être commercialisés. De très nombreuses études de sécurité précèdent la commercialisation. »

 

C’est précisément parce que ce n’est pas le cas que Mme De Ronne (ou le retranscripteur pour le journal) s’est cru obligée de mentionner le mot « véritablement ». On en revient au point abordé plus haut sur les essais cliniques bâclés et biaisés qui conduisent tant de gens au désastre après un vaccin, toujours expérimental, sans que les cobayes ne s’en rendent évidemment compte au moment d’être piqués !

 

Les études peuvent être nombreuses MAIS elles sont largement financées par les Pharmas, qui sont donc juges et parties, et ont tout intérêt à ce que leurs vaccins soient approuvés. Le problème n’est ici pas tant la question de la quantité que de la qualité (méthodologique) de ces études or celles-ci sont biaisées car portant sur un nombre insuffisant de sujet, sur un temps trop bref, en ne recourant pas à de véritables groupes NON VACCINES (pour éviter tout biais).

 

Quant aux études de phase 4 (post-commercialisation), elles sont communiquées aux autorités sous le sceau du secret et consistent en volumineux documents que les autorités n’épluchent certainement pas dans le détail et puis, pourquoi aussi le feraient-elles compte tenu que cela risquerait de remettre en cause leurs recommandations publiques ? Et là encore, on compare les effets secondaires à ceux dits « normalement attendus dans la population générale » mais cette population générale étant déjà largement survaccinée (= biais majeur).

 

Le Dr De Ronne conclut alors sa diatribe par le pseudo argument des « coïncidences. » (tous les effets secondaires graves associés aux vaccins –ceci dit sur base de plusieurs études scientifiques- ne seraient donc que des « coïncidences ») : si les enfants vaccinés tombent fréquemment malades dans les suites de vaccins, c’est parce que « c’est  à ce moment-là qu’ils entrent en contact avec un nombre croissant de maladies infectieuses. Les vaccins sont simplement administrés à un âge auquel les enfants contractent pas mal d’infections. (crèche, gardienne, etc.) ; Idem pour la mort subite qui survient essentiellement aux alentours de 4 mois soit également la période des vaccinations. »

 

« Il n’y a jusqu’à présent AUCUN ARGUMENT SCIENTIFIQUE attestant de la relation causale entre l’administration d’un vaccin et le décès subit de l’enfant. » continue De Ronne. Mais son sinistre « ronron » n'est-il pas ainsi éminemment méprisant pour ses autres collègues qui ont publié sur le sujet (et qui se retrouvent ainsi niés purement et simplement) ainsi que pour l’ensemble des enfants?

 

Ce site regorge d’arguments scientifiques émanant dans la plupart des cas de la propre littérature médicale du Dr De Ronne. Les études pleuvent. Celles qui montrent que les enfants non vaccinés (0 vaccins) sont nettement moins malades, ont moins d’infections ORL, consomment près de 3 fois moins d’antibiotiques, consultent moins le médecin (et ces enfants vont aussi en crèches !!). Les études aussi qui montrent noir sur blanc que les vaccins sont une des grandes si pas la première cause de mort subite du nourrisson avec une distribution des décès qui n’est pas homogène dans le temps, ce qui contredit tout à fait l’affirmation de De Ronne (car si les vaccins n’y étaient pour rien, il n’y aurait pas 70% des cas de décès par mort subite du nourrisson (MSN) qui surviendraient endéans les 3 semaines après une vaccination !!) La mort subite survient préférentiellement endéans les 6 premiers mois de vie (âge où on vaccine de la façon la plus intensive et la plus rapprochée) et était même non référencée dans les causes classiques de décès de nourrissons avant l’introduction des nouveaux vaccins pour enfants dans le courant des années 60.

 

MORT-SUBITE-ET-vaccin-graphe-2.jpg

Graphe tiré du livre "Vaccines, ares they really safe and effective?" de Neil Z. Miller et réalisé à partir de l'étude de Torch (W.C. Torch, "Diphteria-pertussis-tetanus (DPT) immunization: A potential cause of the sudden infant death syndrome (SIDS).", Amer. Academy of Neurology, 34th Annual Meeting, Apr 25-May 1, 1982), Neurology 32 (4), pt.2.

 

Les documents confidentiels des firmes pharmaceutiques renseignent d’ailleurs plusieurs comptes-rendus de décès dont certains, sur base de déclarations ou de soupçons des autorités sanitaires elles-mêmes qui reconnaissent dans certains cas la causalité avec le vaccin (comme l’Agence italienne des Médicaments l’a fait si on se reporte au document confidentiel de GSK sur l’Infanrix hexa).

 

De Ronne poursuit dans le même registre pour les maladies auto-immunes, la sclérose en plaques (5 études prouvent le lien clair avec le vaccin ; le Pr Tardieu avait même été interdit de conférence de presse suite à ses résultats ô combien dérangeants…). Là aussi, pour les maladies auto-immunes, plusieurs études évoquent des liens clairs avec la vaccination et il est impossible de toutes les énumérer. En voici un exemple.

 

Pour finir, il faut se rappeler que ce Journal du Patient porte assez mal son nom car il comporte en son sein des publicités pour Big Pharma, et notamment des publicités vaccinales qui doivent donc cadrer avec le contenu (bien qu’il se prétende servir l’information du patient !). N’hésitez donc pas à informer vos pharmaciens de l’irresponsabilité et du peu de discernement dont ils font preuve en relayant ces revues gratuites au contenu affligeant !

 

Pub-GSK-oct.-2013.jpg

 

"Faites-en plus, sentez-vous mieux et vivez plus longtemps" dit le slogan de la pub vaccinale de GSK dans Le Journal du Patient (ce qui est évidemment tout l'inverse de ce qui se passe dans la réalité.) 

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

Publicité déguisée de l'ONE dans le Journal du Patient?

 

Une pédiatre qui a bien appris sa leçon sur les vaccins

 

Ethique vaccinale & prostitution de la Science

 

Effets secondaires vaccinaux: le grand tabou

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28 septembre 2013 6 28 /09 /septembre /2013 08:00

Avec une position aussi irresponsable et aussi inconsistante sur le plan scientifique, le journal Le Soir dont le lectorat n'a cessé de dégringoler au fil des années, confirme vraiment qu'il n'a plus du tout le statut ni l'envergure d'un journal "de référence"!

 

Des lecteurs outrés nous ont ainsi informés de la phrase en une (en rouge) publiée chaque jour sur le site du Soir désormais, et du fait qu'hier, cette phrase était "Le vaccin contre la grippe: un must pour les femmes enceintes."

 

L'article, signé Violaine Jadoul, donne un triste aperçu du degré de partialité dont la presse est capable (et coupable!): toujours le même "expert" qui est interrogé (Y. Van Laethem), toujours la même façon de taire les conflits d'intérêts de l'orateur alors qu'ils devraient déontologiquement pourtant systématiquement être rappelés. Et puis ne parlons même pas de la logique et de l'esprit critique qu'on devine chez cette journaliste!

 

Le titre est le même que l'an passé : "Vaccin grippe: les femmes (enceintes) d'abord." En matière de propagande vaccinaliste, il faut dire qu'on ne se renouvelle pas beaucoup (dans la même veine, on réentend par exemple aussi passer la pub trompeuse de la Fédération Wallonie-Bruxelles alors que sa date de diffusion était censée se terminer en octobre 2012)

 

L'article comprend des propos criants d'illogisme de la part d'Yves Van Laethem, une personnalité qui présente de nombreux conflits d'intérêts avec les industriels du secteur.

 

Voici un extrait très révélateur de la teneur surréaliste de cet article:

 

"Le Conseil Supérieur de la Santé conseille aux femmes enceintes de se faire vacciner dès le deuxième trimestre de la grossesse. Ce que confirme Yves Van Laethem: "Moi je suis favorable à la vaccination dès 1er trimestre, mais certains gynécologues craignent que cela ait des impacts négatifs sur le foetus alors qu'aux deuxième et troisième trimestre, tout est en place. Le bébé "n'a plus qu'à" grandir. Il n'y a alors plus de risques du tout. Aujourd'hui, certaines femmes sont immunisées contre le virus H1N1 car elles y ont été exposées les années précédentes, mais les autres ne le sont pas. Et pour elles, le virus reste toujours aussi virulent."

 

Que le Conseil Supérieur de la Santé opère une telle recommandation n'a rien de très rassurant, de nombreux membres permanents étant liés aux industries pharmaceutiques. Il est du reste assez inquiétant que des gens qui se disent "experts" osent affirmer péremtoirement qu'il n'y a "plus de risque du tout" en vaccinant au-delà du premier trimestre et si c'était tellement évident, le temps de gestation des bébés humains serait de 3 mois et non de 9. La réalité, accessible à tous ceux qui ont encore du bon sens, c'est que le bébé se développe pendant 9 mois et que par conséquent, cette période est fragile et délicate, et ce durant toute la durée de la grossesse, même si certaines périodes peuvent évidemment être encore plus critiques que d'autres. 

 

Faire croire aux femmes enceintes que ce virus H1N1 serait vraiment une menace conséquente et très importante pour elles, ce n'est ni juste ni exact. Il faut voir les chiffres en valeur absolue et lorsqu'on procède ainsi, on se rend compte que le risque du vaccin apparaît plus problématique que le risque d'une infection naturelle.

 

Et ceci pour de multiples raisons. Parmi celles-ci, on pourrait notamment citer le fait qu'une réaction inflammatoire pendant la grossesse expose l'enfant a un risque accru d'autisme. Or une réaction inflammatoire survient en cas d'infection naturelle (= incertaine) mais aussi en cas de vaccination (où là, il s'agit d'une réaction certaine). Les femmes vaccinées troquent donc à cet égard un risque incertain de voir s'accroître le risque d'autisme chez l'enfant à naître contre un risque certain d'accroître cette éventualité. Il s'agit donc de bien réfléchir et de ne plus s'arrêter aux vues simplistes et dangereusement réductionnistes d'"experts" qui jouissent malheureusement de toutes les tribunes médiatiques possibles et imaginables.

 

En outre, on pourrait aussi s'inquiéter et s'alarmer de pareils conseils irresponsables de la part d'une certaine communauté scientifique alors que les notices de divers vaccins contre la grippe précisent que la sécurité et l'efficacité de ces vaccins n'ont pas été établies chez les femmes enceintes:

 

AGRIFLU

AFLURIA

FLULAVAL

FLUBLOK

FLUCELVAX

FLUZONE

FLUZONE HIGH DOSE

FLUZONE INTRADERMAL

 

"Pour le vaccin FLUVIRIN, on ne sait pas si la vaccin Fluvirin peut provoquer des dommages au foetus quand le vaccin est administré aux femmes enceintes ou s'il peut affecter la capacité de reproduction."

 

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8 septembre 2013 7 08 /09 /septembre /2013 20:25

science et vie 001

Une lectrice nous a fait parvenir un ancien numéro de Science & Vie (de septembre 2012) dans lequel on peut lire l'article intitulé "Les vaccins à la loupe; ceux qui sont indispensables... et les autres."

 

Faire croire à priori et sans évaluer la situation particulière des gens que certains vaccins seraient vraiment indispensables relève bien davantage d'une tentative d'aider un establishment vaccinaliste à la dérive que d'une vraie Science intelligente, lucide et objective.

 

Mais il est bien évident qu'au fur et à mesure que la désaffection vaccinale va augmenter, certains, au nom des meilleures intentions du monde, vont tout faire pour essayer de "sauver les meubles" comme on dit.

 

Avant de commencer, voici déjà comment la revue explique la méthode qu'elle a utilisée pour classer les vaccins en trois catégories: indispensables, recommandés et "on peut s'en passer".

 

"Pour établir cette classification de la pertinence des vaccins en fonction des maladies, nous nous sommes basés sur le calendrier vaccinal 2012 élaboré par le Ministère de la Santé à partir des recommandations du Comité Technique des Vaccinations. Pour chaque maladie, nous avons examiné les données épidémiologiques (incidence, mortalité, risques de séquelles) publiées par l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) et l'Institut National de Veille Sanitaire (INVS), complétés par une série d'entretiens avec des membres du Comité Technique des Vaccinations et de l'INVS."

 

Plus loin dans l'article, Science & Vie précise encore "avoir été chercher les informations OFFICIELLEMENT disponibles" pour établir son classement.

 

Tout ceci pose donc déjà d'emblée un énorme problème d'objectivité et de rigueur journalistique compte tenu de solides précédents historiques que des journalistes compétents ne peuvent ignorer (information officielle parcellaire, complaisante avec les intérêts des laboratoires, conflits d'intérêts majeurs au Comité Technique des Vaccinations & à l'OMS; erreurs d'appréciation manifestes dans le chef de l'INVS comme quand le Dr Françoise Weber de cette instance affirmait péremptoirement à la télé en 2009 que ce qui était certain, c'est que le H1N1 ferait un plus grand nombre de malades et de décès qu'une grippe saisonnière saisonnière, cf temps 1'21'' dans cette vidéo.). Combien d'autres documents confidentiels (cf. ici, ici ou ici) et donc généralement indisponibles ne sont pas venus montrer, une fois révélés, à quel point il est DANGEREUX et même irresponsable de ne baser ses choix que sur cette "information officiellement disponible"??

 

La parole est une fois encore donnée dans cet article à l'indéboulonnable Daniel Floret, sans que ses lourds conflits d'intérêts soient ici rappelés.

 

Finalement, pour Science & Vie, quasi tous les vaccins sont "indispensables" ou "recommandés" avec juste un ou deux étiquetés "on peut s'en passer", sans doute pour faire croire qu'ils peuvent aussi avoir l'esprit critique. Mais l'illusion sera de courte durée quand on lit par exemple dans un encadré en page  127 que "Certains vaccins peu ou pas utiles pendant l'enfance peuvent le devenir avec l'entrée dans la vie d'adulte. C'est par exemple le cas des vaccins contre les infections sexuelles transmissibles comme l'hépatite B et les papillomavirus (HPV). La vaccination contre l'hépatite B semble alors indispensable pour tous. Celle contre les HPV est à recommander aux jeunes filles qui souhaitent bénéficier d'une protection complémentaire au dépistage préventif par frottis."

 

Seuls les vaccins BCG et hépatite B sont donc notés comme "on peut s'en passer" et encore, avec toute une série de précautions oratoires.

 

Science & Vie ose même noter que le vaccin anti-hépatite B est "très efficace et bien toléré" mais si cela était réellement le cas, non seulement l'industrie pharmaceutique ne travaillerait pas à une nouvelle génération de vaccins anti-hépatite B mais aussi, cette vaccination n'aurait pas été responsable d'une des plus grandes séries d'effets secondaires de toute l'histoire de la pharmacovigilance comme en atteste pourtant le rapport Dartigues!!

 

Quant aux vaccins anti-HPV, la revue fait évidemment fi des risques conséquents du Gardasil et du Cervarix qui pèsent évidemment hélas plus lourd que des prétendues protections, toujours inconsistantes et bien trop limitées pour les jeunes filles cobayes qui le subissent. C'est si vrai que la contestation populaire augmente contre ces vaccins, y compris par exemple au Japon où ils ont cessé de la recommander officiellement et aussi en Israël où des associations de victimes demandent également sa suspension.

 

Le vaccin contre la méningite C est classé comme "indispensable" alors que les générations antérieures ont très bien vécu sans, que cette maladie est très rare et surtout, que les chiffres disponibles montrent que les complications graves du vaccin sont plus fréquentes que le risque statistique d'attraper naturellement une telle maladie! La "justification" affligeante de Science & Vie est que cette affection aurait touché 125 personnes en France en 2009 dont 16% de décès et ce sur plus de 61 millions d'habitants! Les chiffres d'effets secondaires GRAVES d'un vaccin comme le Meningitec sont selon son fabricant de 4 pour 100 000 vaccinations et selon des études indépendantes, ces chiffres sont plus de 100 fois plus importants avec un taux réel de 459 effets graves dont des cas neurologiques irréversibles sur 100 000 vaccinations. Avec ces chiffres, le calcul est très vite fait et on voit aisément que si on vaccine tous les enfants et les adolescents en France, le taux d'effets graves sera sûrement supérieur aux taux de complications de la maladie naturelle. En outre, il serait intéressant de pouvoir disposer de données nettement plus détaillées sur les dossiers médicaux individuels et les paramètres immunitaires ainsi que le mode de vie des victimes de cette maladie naturelle.

 

Le vaccin contre la rubéole est lui aussi présenté comme indispensable (pour tous) alors que Science & Vie admet pourtant que le bénéfice est en réalité nul pour les hommes et les garçons. L'excuse de Science & Vie est de dire que si on ne faisait pas une vaccination généralisée, l'effet pervers de... la vaccination serait que les femmes précédemment vaccinées (càd dans l'enfance) seraient davantage enclines à contracter la maladie au mauvais moment c'est à dire en cours de grossesse. Quelle incohérence, c'est incroyable! C'est en fait admettre qu'il est tout à fait ABSURDE de vacciner les enfants dont les fillettes qui n'encourent à ce jeune âge absolument aucun risque-que du contraire!- en contractant une rubéole naturelle qui les immunisera de façon durable contrairement à la vaccination qui les laissera en réalité vulnérables au moment d'entamer une grossesse. La vaccination généralisée des enfants est donc un triste exemple du caractère idéologique de la vaccination et il s'agit bien entendu d'une fausse protection. D'autant que plus qu'avant l'introduction du vaccin, plus de 90 à 95% des jeunes femmes étaient déjà NATURELLEMENT immunisées à l'âge où elles pouvaient être mères.

 

Chose "étrange", c'est aussi l'incohérence de Science et Vie qui n'hésite pas à qualifier la varicelle de maladie bénigne dans l'enfance et de ne recommander ainsi cette vaccination qu'à l'âge adulte si la personne n'a pas été naturellement immunisée avant, mais qui n'applique par exemple pas ce genre de recommandation pour la rubéole alors que cette maladie est tout aussi bénigne dans l'enfance et encore même plus!

 

Pour la vaccination contre la rougeole, c'est la même recette de peur et d'incohérence et elle est donc classée "indispensable". Les chiffres avancés sont de 714 pneumopathies graves, de 16 complications neurologiques, 6 décès depuis 2008 sur un total de 15 000 cas. Hélas, sur plusieurs centaines de milliers de jeunes enfants vaccinés et même revaccinés avec une deuxième dose de ROR (qui double ainsi les risques par enfant ne l'oublions pas!) chaque année, il n'est pas du tout évident que le taux de décès et de complications neurologiques irréversibles ne soit pas supérieur avec la vaccination que sans, d'autant plus que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont effectivement comptabilisés.

 

La très inutile et très risquée vaccination contre les pneumocoques (Prevenar) est elle aussi classée dans les "indispensables" avec le prétexte que les pneumocoques peuvent générer des méningites mais sans bien sûr avouer que cette vaccination a en réalité augmenté les méningites à pneumocoques en France, comme le rappelait le Figaro en octobre 2011 (or cette revue de Science & Vie fut publiée quasi un an plus tard, en septembre 2012, c'est donc dire si leurs journalistes se tiennent au courant!). En outre, cette vaccination a engendré plusieurs décès, des comas, des cas d'enfants qui crachent du sang etc. Des séquelles neurologiques aussi (lire par exemple ICI, ICI et ICI pour + d'infos)

 

La vaccination antitétanique est classée dans les "indispensables" sur base du seul critère de gravité possible de la maladie. C'est donc une sorte de pensée magique qui est à l'oeuvre ici, si la maladie est grave, d'office, ça mérite le vaccin (et finalement, peu importe ses risques liés à ses composants, peu importe si on peut faire quand même la maladie en ayant été bien vacciné et en ayant suffisamment d'anticorps). 14 cas de tétanos sur plus de 61 millions d'habitants en 2010. A comparer aux accidents de la route...

 

La vaccination contre la coqueluche est elle encore classée dans les "indispensables" avec l'indication qu'une vaccination est aussi conseillée à l'entourage du nourrisson alors qu'une publication canadienne rigoureuse a pourtant clairement démontré dès février 2012 l'inefficacité flagrante d'une telle stratégie ("cocoon") de vaccination !! Là encore, on peut vraiment se demander si les journalistes de cette revue se tiennent au courant?!

 

La vaccination anti-haemophilius (Hib) est également classée dans les "indispensables" mais là encore, rien n'est dit sur ses effets secondaires ni sur le fait que des générations entières ont très bien vécu sans! Quid par exemple du risque de diabète de type 1 (diabète insulino-dépendant, autrement plus grave en terme d'irréversibilité qu'une infection par Hib statistiquement parlant!) qui selon des auteurs comme Classen est supérieur au bénéfice qu'on peut vraiment attendre de cette vaccination Hib? Là encore, l'information était diffusée depuis des années puisque le Dr Classen sonnait déjà l'alerte dans le British Medical Journal en 1999!! Science & Vie affirme que cette vaccination évite "à coup sûr" les infections à Hib mais jamais aucun vaccin ne protège à coup sûr car aucun n'a jamais une efficacité de 100%, les individus étant immunologiquement différents les uns des autres!

 

La vaccination contre la diphtérie est classée dans les "recommandées" alors que c'est l'une des moins efficaces et des plus inutiles. Malgré une vaccination obligatoire à l'époque de la Seconde Guerre Mondiale, cela n'a NULLEMENT empêché un pic de cas et de décès, preuve que c'est avant tout les conditions sociales et socio-économiques qui sont les plus déterminantes pour ce genre de "maladie de la pauvreté" dont les complications graves se produisent lorsque le taux de fer libre est insuffisant dans le sang. La vaccination n'a d'ailleurs aucun impact sur la bactérie puisqu'elle est dirigée contre la toxine or toutes les bactéries ne sont pas pathogènes, il faut pour cela qu'elles aient été infectées par un virus spécial (phage bêta).

 

La vaccination contre la poliomyélite est quant à elle aussi classée dans celles recommandées. La revue signale la baisse des cas depuis plusieurs décennies mais elle ne rappelle pas le changement de définition de la maladie qui est intervenu peu après l'introduction des vaccins (et qui a évidemment joué à la baisse sur le nombre de cas recensés car ces critères avaient été durcis), ni les revers accablants des programmes (comme les plus de 47 000 cas de paralysie flasque aiguë, deux fois plus meurtière, survenus en Inde rien qu'en 2011 grâce au vaccin!). Rien n'est dit non plus sur les dizaines de millions de gens qui ont été contaminés par le virus simien cancérogène SV40 par le biais de ces vaccins produits sur cultures de cellules de reins de singes. En France, au pic de l'épidémie, c'était 4500 cas qui étaient recensés au maximum mais dont tous ne se soldaient évidemment pas par une paralysie ou une séquelle définitive. Normalement, seul un cas de polio naturelle sur 200 est à même de déboucher sur une paralysie.

 

Au terme de ce petit tour d'horizon sur le sérieux des infos vaccinales fournies par Science & Vie, on est donc en droit de se demander si le magazine sert vraiment l'intérêt et la santé de ses lecteurs ou plutôt l'establishment médico-pharmaceutique. Les lecteurs de ce site jugeront!

 

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