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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 22:20

Journal Le Soir de ce jour:

 

Appel à la vigilance face à un nouveau type de grippe aviaire chez l’humain

 

"...nécessité de se préparer sans relâche à une pandémie de virus de l’influenza aviaire, complexe et imprévisible."

 

Et "comme par hasard" des scientifiques ( apprentis sorciers plutôt) travaillent SANS RELÂCHE depuis des mois à faire se croiser les virus porcins et aviaires et aviaires entre eux pour les rendre à la fois plus virulents et plus contagieux et donc aussi plus aptes à infecter des humains!!

 

Ils prétendent faire cela "pour mieux prévenir" une pandémie.

 

Dans le même temps - pensez aussi à TOUTES les pièces du puzzle svp, pensez à avoir le réflexe d'analyse globale de la problématique !- on a aussi les éléments suivants:

 

- Ces manoeuvres d'apprentis-sorciers sont autorisées par les autorités publiques et même financées avec des fonds publics!

 

- Les industries pharmaceutiques misent de plus en plus sur les vaccins compte tenu de l'arrivée à expiration de nombreux brevets et une rarification des nouvelles molécules réellement innovantes. Les vaccins coûtent relativement peu à produire mais rapportent beaucoup (marge bénéficiaire élevée) en plus de s'adresser à tous les biens portants et pas seulement aux malades. En 2009-2010, les pharmas ont donc eu une très bonne année financièrement parlant.

 

- Dans un rapport du Sénat français de 2007, on peut lire que les autorités publiques considèrent les pharmas comme, nous citons "leurs partenaires naturels"

 

- L'OMS a encore une fois assoupli il y a peu les critères de pandémie pour qu'on soit en alerte permanente. (après la précédente manoeuvre d'assouplissement de la définition très peu avant l'apparition du H1N1, ce qui a permis de déclencher aussi facilement le niveau 6, soit le niveau maximal d'alerte pandémique qui active du même coup la production de vaccins par les fabricants.)

 

- Des gens comme Madame Testori (non élue) de la DG Santé de la Commission Européenne ont publiquement exprimé après le H1N1 leur souhait que les humains soient vaccinés à la manière des animaux à l'occasion des prochaines pandémies sur base de décisions contraignantes (entendez évidemment "obligations"!) décidées par des instances non démocratiques comme la Commission!

 

- Le site de Sciences & Avenir apporte les précisions suivantes:

 

« MUTATION. Le virus isolé a été identifié comme étant un virus influenza A de type inconnu. En séquençant les gènes de l'hémagglutinine et de la neuraminidase (voir encadré) du virus, l'équipe a découvert qu'il s'agissait d'un A(H6N1), une espèce encore jamais isolée chez l'homme. D’autres analyses ont confirmé qu’il était lié au virus H6N1 des poulets taïwanais mais qu’il présente une substitution (appelée G228S) sur le gène codant l'hémagglutinine qui pourrait favoriser sa contagiosité pour l’homme. En augmentant l'affinité de l'hémagglutinine virale pour le récepteur de l'acide sialique humain alpha2-6, cette mutation permet en théorie au virus de se répliquer chez l'homme. »

 

OR l'équipe de Fouchier et une autre équipe également travaillent à CREER de toutes pièces des mutations pour rendre les virus aviaires davantage à même de se répliquer.... ils croisent des virus dont ils ne savent pas quelle sera la résultante (virus inconnu, encore jamais apparu chez l'homme etc.)

 

Mettre ces éléments bout à bout, ce n'est pas être parano ou complotiste mais faire œuvre de lucidité et de vigilance citoyennes. Dresser ce tableau général, c'est un peu comme faire une enquête quand on découvre un cadavre et qu'on veut établir les causes du décès. Ici, on nous parle d'une menace contre laquelle il faudrait se prémunir sans relâche en nous garantissant qu'elle va arriver. Mais on ne peut pas faire fi de tous ces autres éléments contextuels qui donnent un tout autre éclairage à cette situation que ce que la grand presse (grande pas sa diffusion bien que celle-ci ne cesse de se réduire et non par la qualité informationnelle de ses articles).



Pour mieux réaliser et comprendre, il est souvent bon de comparer des situations. C'est alors que le bon sens a le plus de chance de refaire surface chez ceux chez qui il était encore endormi. Si autant d'indices factuels et contextuels étaient ignorés dans le cadre mettons d'une enquête pour suspicion de meurtre (échelon individuel donc), il est évident que l'avocat de la défense crierait au scandale et que la presse se mettrait à relayer ce point de vue et cette partialité interpellante. Pourtant avec les vaccins, l'establishment (et donc aussi les médias) s'entêtent à ne JAMAIS aborder tous les éléments contextuels troublants, intimement liés à cette véritable obsession suspecte de préparation pandémique et de vaccination à tout crin.



L'article de Science & Avenir évoque aussi une soi-disant efficacité du Tamiflu, là aussi, quel "heureux" hasard vu toutes les études déjà publiées sur son inefficacité, le fait que Roche avait refusé de communiquer ses données issues des essais cliniques au British Medical Journal qui lui en avait fait la demande, que le Tamiflu engendre des résistances, qu'il fut un sacré business en lien avec l'ex homme politique américain Ronald Rumsfeld, etc etc.



Au lieu de gober les étiquettes grotesques de "parano" ou de "complotiste", gardez bien aussi à l'esprit qu'une des caractéristiques de base de l'intelligence et de la pensée humaine est sa capacité à mettre les éléments en relation les uns avec les autres (être capable de voir les liens qui existent entre tel sujet, tel élément et tel autre). C'est d'ailleurs comme ça, par ce genre de procédé associatif que sont nées les premières vraies découvertes scientifiques (mathématiques) réalisées par des mathématiciens et philosophes grecs du 6° siècle avant notre ère (Pythagore, Thalès etc. qui ont été capables de mettre en lien tel aspect, telle partie de tringle avec une autre). S'ils n'y avaient pas pensé, les mathématiques et tout ce qui a pu en découler auraient pu ne pas exister ou n'apparaître que des siècles plus tard.



Si nous ne sommes pas capables de penser à établir des liens entre plusieurs aspects particulièrement troublants du volet "grippe aviaire" ou plus largement "grippe pandémique" ou "pandémie à gogo", il pourrait être trop tard pour l'humanité, pour les libertés publiques et le droit de millions de gens à la (vraie) santé...



Le philosophe Nietzsche écrivait par exemple avec lucidité que « La maîtrise de la Nature implique pour l’être humain de se mettre lui-même en danger. »

 

Voir aussi le courrier recommandé que nous avions écrit en avril 2013 à la Ministre Laurette Onkelinx au sujet des préparatifs pour le H7N9 (le contenu de la lettre restant tout à fait d’actualité pour ce nouveau AH6N1..) : ICI

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25 septembre 2013 3 25 /09 /septembre /2013 22:15

Voici un article paru dans Le Quotidien du Médecin qui a franchement de quoi écoeurer ET alarmer... mais l'Histoire n'est-elle pas un éternel recommencement ?

 

Lire ce qui suit puis l'analyse que nous en faisons ensuite, c'est comprendre pourquoi il est nécessaire et urgent de soutenir des investigations et des prises de position citoyennes comme les nôtres mais c'est aussi reconquérir son pouvoir réel de citoyen ayant la capacité de dire "NON, STOP, JE NE VEUX PLUS DE CETTE DANGEREUSE MASQUARADE!" le moment venu car il est absolument sûr que ce moment arrivera....

 

(en fluo jaune, les informations nécessitant un certain "décryptage", cf l'encadré ci-dessous!)

 

Un candidat vaccin contre H7N9 en phase 2 aux États-Unis

 

19/09/2013

   

Des chercheurs américains ont commencé les essais d’un candidat vaccin contre la grippe aviaire à H7N9, associé ou non à deux types d’adjuvants.

 

Les deux études de phase II, se déroulant sur 9 sites aux États-Unis et supervisées par le NIAID (National Institute of Allergy and Infectious Diseases) américain, vont réunir des informations sur la sécurité et la réponse immunitaire, d’un candidat vaccin élaboré à partir d’une souche de H7N9 inactivé isolée à Shanghai en 2013 (développé par Sanofi-Pasteur).

 

Les adjuvants

 

Le vaccin va être testé avec ou sans adjuvant. Les recherches antérieures sur les virus influenza H7 ont suggéré que deux doses de vaccin sans adjuvant pourraient ne pas produire une réponse immunitaire adéquate. Les adjuvants sont utiles dans les situations de pandémie comme facteur d’économie des doses de vaccins, rappellent les spécialistes du NIAID.

 

Il est prévu d’inclure des sujets de 19 à 64 ans en bonne santé. La première étude (Mark Mulligan, Emory University, Atlanta), va faire inclure 700 participants qui vont être divisés en 7 groupes, pour tester différents dosages (3,75 µg, 15 µg, 7,5 µg, et 45 µg), avec deux administrations à 21 jours d’intervalle. Cinq groupes vont recevoir le produit avec un adjuvant nommé MF59, développé par Novartis. Cet adjuvant fait partie de la composition des vaccins contre la grippe saisonnière utilisés en Europe et au Canada.

 

Mille participants

 

La deuxième étude (Lisa Jackson, Seattle) va faire enrôler 1000 participants, et cet effectif va être divisé en 10 groupes. Les mêmes dosages vont être administrés, en deux injections séparées de 21 jours. Là, un autre adjuvant va être évalué, AS03 (développé par GlaxoSmithKline), qui a été utilisé dans le vaccin contre H1N1 en Europe (pandémie de 2009-2010).

 

Les conclusions de ces deux études sont prévues pour être rendues en décembre 2014. Les cas humains d’infection par le H7N9 ont commencé en Chine en février 2013. Au mois d’août, 135 cas confirmés et 44 décès ont été enregistrés par l’OMS. La plupart des cas sont survenus chez des personnes en contact avec de la volaille. Il n’y a pas eu de cas recensés à l’extérieur de la Chine et la transmission entre les individus n’est probablement pas importante. Mais les autorités de santé se préoccupent de mutations possibles, pouvant changer la donne en termes de menace pour la santé publique.

 

Dr BÉATRICE VUAILLE

 

Comment décrypter cette information importante? Quels sont les points-clés d'un tel article, à la lueur, bien entendu, du précédent de la fausse pandémie de H1N1??

 

loupe 

1°) On était à des essais cliniques de vaccin H7N9 en phase 1 il y a quelques semaines encore et nous voilà déjà à la phase suivante, ce qui est donc dire la rapidité et le bâclage de ces tests (comme ils furent tout autant bâclés avec les vaccins anti-H1N1 et on a vu ce que ça a donné avec les narcolepsies post-vaccinales qui n’étaient en réalité que la pointe émergée de l’iceberg !!)

 

2°) Le nombre de sites d’évaluation est assez élevé : 9 sites. Pourquoi une telle obstination ? Une telle répartition ? Donner l’impression qu’il y a eu plusieurs évaluations qui se recoupent ?

 

3°) Un autre point important, c’est le nombre bien sûr ridiculement faible et insuffisant de sujets enrôlés dans les essais cliniques : 700, 1000. C’est nettement trop faible. Pour vous donner une plus juste idée du problème, il faut par exemple savoir qu’il faut en réalité des dizaines et mêmes des centaines de milliers de sujets pour valablement pouvoir évaluer le risque d’effets secondaires plus rares mais très graves et qui risquent donc d’être quantitativement non négligeable en cas de vaccination massive.  C’est un « aveu », une constatation qu’a notamment faite la Revue du Praticien de novembre 2011 qui est une revue professionnelle.

 

4°) Important également à relever, le fait que les sujets enrôlés sont tous en bonne santé et que ce ne sont que des adultes (dont l’âge ne dépasse pas 64 ans). Cela pose de nombreux problèmes car on recommande pourtant en priorité ce genre de vaccination aux gens dits « fragiles » (les malades chroniques, les femmes enceintes, les enfants aussi parfois) ! On va donc une fois encore faire un « chèque en blanc » aux gens en leur jurant que ces vaccins furent bien évalués alors qu’ils ont en réalité les plus grandes chances du monde d’altérer leur santé de multiples manières (fausses couches, décès prématuré, aggravation des pathologies sous-jacentes avec hospitalisations conséquentes etc.) et que les pseudos experts n’auront aucun retour d’expérience des dégâts possibles sur des publics encore plus sensibles !

 

5°) On nous refait aussi le coup des adjuvants, avec le discours habituel qu’ils sont une aide bien utile en cas de pandémie, de façon à pouvoir économiser les antigènes (= substance-même du vaccin) et donc produire suffisamment de vaccins pour tous. C’est donc le fameux principe « Dépêchez-vous, il n’y en en aura pas pour tout le monde » qui sous-tend ce genre de discours (ce qui est rare ou susceptible de l’être étant perçu, parfois à tort comme précieux ou indispensable…). Avec le H1N1, on a bien vu qu’un pays comme la Pologne qui n’avait pas vacciné, a eu proportionnellement moins de cas et de décès et le contraste a évidemment été très fort avec les pays qui avaient acheté des tonnes de vaccins qu’ils ont dû revendre à la hâte ou « donner à l’OMS » (pour de fausses « bonnes actions » dans les pays pauvres), de façon surtout à sauver la face à leurs différentes opinions publiques.

 

6°) Les adjuvants utilisés sont les mêmes que ceux qui furent utilisés dans les vaccins expérimentaux H1N1, c'est-à-dire à base de squalène (MF59, AS03) et qui sont extrêmement périlleux par rapport au risque d’induire des maladies auto-immunes, cette substance, le squalène, faisant naturellement partie de notre propre organisme. Sous ces noms de code ésotériques pour certains se cache ainsi ce même type d’émulsion « huile dans l’eau » qui est entre autre la cause des narcolepsies survenues après la vaccination H1N1. Il faut tout de même se rappeler que cette relation causale a été évaluée par plusieurs études convergentes et aussi que la narcolepsie est une maladie neurologique et auto-immune extrêmement invalidante et pour laquelle il n’existe toujours aucun traitement curatif !

 

7°) Le corollaire du point précédent, c’est évidemment la question de l’éthique qui sous-tend ces essais en cours : les cobayes humains qui ont été enrôlés dans ces essais ont-ils correctement été informés que les adjuvants utilisés sont ceux qui ont déjà déclenché des narcolepsies et d’autres maladies auto-immunes ou bien ne leur signale-t-on que ces noms de codes opaques qui ne leur disent sans doute rien ?

 

Les cobayes humains auraient-ils accepté, même contre rémunération, d’encourir ce genre de risque pour évaluer des vaccins contre des grippes qui pourraient être nettement mieux prévenues et traitées par des méthodes naturelles moins iatrogènes ? 

 

8°) Agiter le spectre de la mutation est habituel, c'est très commode et ça permet ainsi de façon assez simple d'inverser complètement le sens et la logique du "principe de précaution". C'est d'ailleurs aussi ce qui avait été exploité pour pousser des tas de gens dont des éleveurs de volaille de commencer à se faire vacciner contre la grippe saisonière en 2005, quand on parlait de la grippe aviaire, du risque de recombinaison etc. etc. Il ne faut pas non plus oublier à cet égard que les vaccins peuvent aussi en eux-mêmes favoriser des mutations et d'autres perturbations des équilibres de divers microbes: vacciner peut donc créer une "pression sélective" qui peut par effet domino sélectionner d'autres variants encore plus virulents. Ces phénomènes compensatoires sont fréquents et bien documentés. Cela s'est déjà passé avec des souches de méningocoques, avec des souches de pneumocoques (d'où que le Prevenar a eu un effet contre-productif et qu'une nouvelle version a vu le jour uniquement pour maintenir les profits de Pfizer car il s'agit du vaccin le plus lucratif de toute l'histoire des vaccins en valeur absolue) et cela se passera aussi avec les vaccins anti-HPV qui vont sûrement provoquer des modifications compensatoires des divers sérotypes également, et plusieurs données le laissent déjà clairement entrevoir à l'heure actuelle!

 

Mais le pire finalement dans tout ça, c'est que ces mêmes autorités officielles qui disent redouter ces mutations, financent en fait avec les deniers publics de dangereux chercheurs (qu'on devrait plutôt appeler "apprentis-sorciers") qui créent de toutes pièces en laboratoire ces mutations pour soi-disant mieux les prévenir et mieux fabriquer de nouveaux vaccins efficaces.

 

9°) La question finale que pose un tel article est incontestablement la suivante: jusqu'où la population acceptera-t-elle de se faire berner avec les mêmes ficelles aussi grossières? Jusqu'où le public se permettra-t-il de négliger la chance possible de tirer les leçons des expériences passées?? Certaines personnes seront malheureusement encore capables de foncer dans le mur malgré ce genre de "preuve par 9"...

 

  

baettig.JPG

Nous ne saurions vous conseiller assez de lire en complément de cet article, les propos de Dominique  Baettig, psychiatre et ex conseiller régional suisse, à l'occasion de la défaite lors de la votation suisse (sorte de referendum) du 22 septembre dernier relative à la révision de la loi sur les épidémies:

 

« Tous ceux qui ont aimé la manière dont la grippe porcine a été traitée, la fameuse épidémie H1N1 il y a quelques années, vont adorer la suite, parce que ça va venir !

 

Et puis maintenant, il y aura la légitimité augmentée de l’Office Fédéral de  de la Santé Publique de dicter des directives, des normes, des mesures peut-être coercitives, en tout cas incitatives. Le travail sera encore beaucoup plus facile pour les autorités à l’avenir que ça a été le cas il y a de cela quelques années.

 

C’est vraiment dommage, dans ce pays, que l’on fasse comme cela d’abord une confiance aveugle à la bureaucratie fédérale, et puis ensuite aux instances internationales qui dictent les normes, les règles et les imposent ensuite aux nations souveraines. C’est, à mon avis très risqué, très dangereux. […] Le vaccin doit rester une option individuelle conseillée par le médecin traitant, et ne doit en tout cas pas être imposée par l’Etat. Le peuple a aussi assez de bon sens pour savoir s’il faut se faire vacciner ou pas. On n’a pas besoin de l’intervention de bureaucrates et de gens qui sont largement influencés par les pharmas et par les organisations internationales de la Santé.

 

Quand vous avez des campagnes tendancieuses, on alarme les gens. On met en évidence des incidents disproportionnés pour les pousser à se faire vacciner. On est quand même dans une forme de contrainte morale, disons une sorte de harcèlement psychologique qui induit les gens à se faire vacciner, alors qu’il n’y aurait pas de raison de le faire.

 

Je crois que les gens savent s’ils doivent avoir recours à un vaccin ou pas. On n’a pas besoin de l’Administration Fédérale ni des recommandations des experts liés aux pharmas pour savoir ce qu’il faut faire.

 

Il n’y a pas encore une analyse assez approfondie de ce qui se passe derrière ces grandes instances internationales. C’est dommage que le peuple suisse fasse comme cela une confiance aveugle aux grandes institutions internationales. Il lui faudra peut-être encore un peu de temps pour se rendre compte que ce n’est pas forcément du bon argent qu’on leur vend.

 

Il faut toujours rester méfiant vis-à-vis de la bureaucratie et des grandes institutions internationales ; toujours garder sa liberté d’appréciation et de décision. »

 

Source: RTS

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 20:31

radioactivite.png

Cela fait déjà des années que nous mettons en garde (et nous ne sommes d'ailleurs par les seuls...) contre la dérive des pandémies tant attendues, et à ce point préparées qu'on peut au moins commencer à douter de leur arrivée purement naturelle.

 

La question à se poser est résumée en une ligne de la façon suivante:

 

masque-grippe-aviaire.jpg

"Pourquoi le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis vient d'accorder un contrat, à la société américaine de biotechnologie Amgen, de production de plus de 2.79 million de doses d'une drogue expérimentale pour combattre en même temps les radiations nucléaires et la grippe (H7N9)??"

 

http://conscience-du-peuple.blogspot.be/2013/09/pourquoi-le-departement-de-la-sante-et.html 

 

https://www.fbo.gov/index?s=opportunity&mode=form&id=b1b11226f1bbe85b8b19a2244100e83e&tab=core&_cview=1

 

http://www.youtube.com/watch?v=kqaj772FkGk

 

 

Voir aussi les articles suivants:

 

- Sur la radioactivité, le rôle opaque de l'OMS et aussi

- Sur la préparation fébrile au point d'en être suspecte à cette nouvelle grippe aviaire H7N9.

 

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24 août 2013 6 24 /08 /août /2013 21:09

Le Soir nous en donnait un petit aperçu ce vendredi 23 août.

 

N'oublions pas que tous ceux qui ont investi des centaines de millions d'euros dans la préparation et l'achat de ces futurs autres vaccins pandémiques, n'imaginent pas une seule seconde que cela ne soit jamais "rentabilisé". Pour eux, que cela soit avec le H7N9 ou une autre souche, cela relève donc du détail...

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9 août 2013 5 09 /08 /août /2013 21:20

fouchier-001.jpg

On vient à peine d'annoncer une transmission interhumaine probable en matière de virus H7N9 qu'on annonce aussi dans le même temps que des chercheurs (mais de quel droit? Au nom de leur "liberté académique" alors qu'ils sont financés avec les sous des contribuables?!) vont créer un virus H7N9 mutant, particulièrement transmissible entre humains ET hypervirulent/ résistant aux médicaments pour soi-disant mieux éviter une pandémie dévastatrice!!! Et cela, après avoir déjà fait le coup en croisant le H1N1 et le H5N1 il y a peu de temps... que va donner ce cocktail éventuellement détonnant s'ils finissaient alors par croiser leur "super mutant" "H5N1+ H1N1" et leur "super H7N9"??!!!!!!!!!!!! Un nouveau jackpot pour les pharmas? Le H7N9 ne pourrait-il d'ailleurs pas être la résultante de ce fameux mélange "H1N1 et H5N1" qui avait déjà fait couler beaucoup d'encre quelques mois avant son apparition??

 

Mais ce qui est le plus inquiétant, c'est la complaisance et l'adhésion tacite de l'OMS et de ses divers Etats membres (nations qui n'ont plus rien de souveraines...) à ces types de "recherche". Dans sa réponse à Initiative Citoyenne, Mme Onkelinx semblait trouver ces recherches nécessaires. Pourtant, c'est tellement abracadabrant que même un virologue officiel comme Patrick Goubeau (qui avait vanté la sécurité du vaccin expérimental H1N1 en son temps) estime ces manoeuvres hasardeuses et inutiles en vue de se protéger d'une quelconque pandémie (Journal Le Soir de ce vendredi 9 août 2013)

 

Cette fascination morbide pour toutes ces grippes aviaires, ces investissements de centaines de millions d'euros et de dollars en fabrication de nouveaux vaccins expérimentaux "au cas où",  ces films préparatoires de l'opinion sur des pandémies dévastatrices, autant d'éléments qui doivent nous amener à nous interroger sur d'autres buts, sans doute très éloignés de la santé publique, à même de justifier de façon plus satisfaisante un tel acharnement.

 

L'ex Prix Nobel de Médecine de l'UCL, Christian De Duve, décédé cette année, déclarait il y a quelques années dans le Journal du Médecin les propos suivants que chacun appréciera et évaluera bien sûr selon les informations complémentaires dont il dispose:

 

"Si nous continuons à nous multiplier au rythme actuel, nous courrons à la catastrophe. Durant ma vie, la population du monde aura quadruplé. C'est un train fou qui est lancé et cela ne peut que continuer de manière exponentielle si nous ne prenons pas de mesures adéquates. Il vaut mieux limiter les naissances plutôt que d'éliminer les gens par des guerres. Mais je sais que le contrôle démographique pose des questions éthiques. Je laisse ce type de discussions aux spécialistes, mais je leur dis quand même: faites-le comme vous voulez, pourvu que vous le fassiez. C'est le résultat qui compte."

 

Bill Gates avait pour sa part déclaré dans une vidéo disponible sur Youtube que le recours aux techniques de procréation médicalement assistée et aux vaccinations, pourrait permettre une réduction de 15% de la population mondiale.

 

Bill Gates et Christian De Duve doivent-ils être pris pour des clowns ou des rigolos quand ils tiennent ce style de propos? Christian De Duve le reconnaît: cela relève du champ ETHIQUE. Comme on a déjà pu le voir par le passé, l'éthique n'a pas toujours été le maillon fort dans le domaine des Sciences, de la Médecine et de l'Expérimentation Humaine. Un nombre non négligeable de hauts responsables estiment que nous sommes trop nombreux sur terre, pour le dire platement. Dire cela, ce n'est pas être "conspirationniste", c'est juste un travail de relai de type journalistique, bien que les grands médias n'aient pas la liberté d'aborder ce genre de débat hautement sensible. Si ce qui compte "c'est juste le résultat" soit moins de gens sur terre, on peut raisonnablement supposer qu'une pandémie très dévastatrice avec un virus mutant "hautement virulent" pourrait apporter sa contribution à l'objectif souhaité par certains.

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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 22:40

Voici un article de mai dernier du journal L' Union-l'Ardennais qui montre toute l'inertie et la naïveté "de la masse"... on ne pense qu'à l'emploi, toujours l'emploi, mais pour les gens qui seront handicapés par ces futurs vaccins (peut-être aussi des gens du lieu), l'emploi n'aura plus aucun sens ni aucune importance, malheureusement!

 

Il importe aussi de rappeler QUI est le gestionnaire de cet entrepôt. Car c'est ce même l'EPRUS  (Etablissement de Préparation et de Réponse aux Urgences Sanitaires) qui avait signé, au nom de la Ministre, le contrat d'achat de vaccins H1N1 en France, un contrat tout à fait contraire aux intérêts les plus élémentaires des citoyens en termes de sécurité sanitaire. Comme quoi, l'Histoire n'est vraiment qu'un éternel recommencement....les Guerres, quelles qu'elles soient, auraient-elles jamais pu avoir lieu et tué autant de gens si les protestations et critiques l'avaient emporté?! Quiconque troque sa liberté au nom de sa sécurité (y compris d'emploi!) aura hélas tôt fait de perdre les deux...  dans une démocratie saine, l'armée n'a rien à voir avec la santé!!!!!!!!!

 

Marolles / Masques, gants, vaccins, médicaments… stockés sur le terrain militaire. Élus et habitants se disent favorables

 

PUBLIÉ LE 06/05/2013 - MIS À JOUR LE 06/05/2013 À 13:00

Par L'Union-L'Ardennais

 

L'enquête publique vient de s'achever. Les habitants n'ont émis aucune remarque. Ils semblent favorables à la construction d'un vaste entrepôt de matériel sanitaire à Marolles.

  

EPRUS.jpg

Un bâtiment de 36 000 m2 doit sortir de terre dans l'enceinte même de l'Etablissement de Ravitaillement Sanitaire des Armées (Ersa)

 

«Il n'y a pas une seule remarque, pas une seule objection. » À la mairie de Marolles, le commissaire enquêteur, François Stupp, n'a pas vu une seule personne lors de ses permanences.

 

Après la fin de l'enquête publique samedi dernier, force est de constater qu'élus et habitants soutiennent la construction d'une plate-forme de stockage de matériel sanitaire dans l'enceinte même de l'Établissement de ravitaillement sanitaire des armées (Ersa), à Marolles.

 

Un bâtiment de 36 000 m2 doit sortir de terre à côté de l'ancien gymnase, là où se dressait l'ancien hôpital militaire américain. À l'intérieur, un entrepôt standard où seront stockés les masques, gants, seringues et autres dispositifs médicaux ; un entrepôt pharmaceutique ; une chambre froide destinée à conserver des vaccins par exemple ; et deux bureaux. Entre 266 364 et 304 416 m3 au total de matériel sanitaire doivent y être stockés.

 

« Les emplois sont confortés »

 

En cas de crise sanitaire grave, cette plate-forme centralisatrice, gérée par l'Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Eprus), doit distribuer en produits de santé et dispositifs médicaux la France entière, via sept plates-formes logistiques réparties dans l'Hexagone. Trois personnes devraient travailler toute l'année sur le site, du personnel de l'Ersa pourrait être appelé en renfort en cas de crise sanitaire grave, voire même des intérimaires.

 

Pour Évelyne Piombini, maire de Marolles et Charles de Courson, député UDI de la Marne, cette nouvelle implantation va « consolider l'Ersa de Marolles » et donc «stabiliser les emplois ». Un avis partagé par les habitants. « Les emplois sont confortés. Avec la crise économique, on en a bien besoin », confie Laurence Diot, employée au bureau de tabac-presse et matériel de pêche « Le News ». L'Ersa emploie actuellement près d'une centaine de personnes.

 

Au Champ Margot qui se trouve juste à côté du futur entrepôt, les résidents se disent favorables au projet. Ils ne craignent pas les nuisances. « Le quartier est calme et il le restera. Nous ne sommes pas à côté d'un terrain militaire avec des manœuvres incessantes », déclare un habitant de 49 ans qui a emménagé il y a un an. « On n'entend rien ici. L'entrée de l'établissement se trouve de l'autre côté, sur la RD 396, poursuit Serge, commercial de 44 ans qui vit là depuis cinq ans. Et puis, les masques, gants, vaccins… il faut bien les stocker quelque part ! » « Il y a peu d'activité sur le site. Suivant la direction du vent, on n'entend plus le bruit des trains que l'Établissement de santé, fait remarquer Fabrice, commercial de 40 ans, qui habite le quartier depuis quatre ans. Si ça peut créer des emplois, il ne faut pas hésiter ! »

 

Le permis de construire a été approuvé le 18 juin 2012. Désormais, le commissaire enquêteur a un mois pour donner son avis au préfet de la Marne et adresser une copie au tribunal administratif de Châlons-en-Champagne.

 

Stéphanie GRUSS

 

Source: L'Union-L'Ardennais

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

H5N1: exercice de préparation "grandeur nature" en Polynésie française

 

H1N1: Bachelot sort les contrats des labos mais efface les prix

 

(H1N1) Le contrat entre l'Etats belge et GSK est révélé

 

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15 juillet 2013 1 15 /07 /juillet /2013 16:15

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190 MILLIONS DE DOLLARS... c'est le prix qu'a coûté cette super production hollywoodienne dans laquelle joue Brad Pitt... déjà plus d'un million deux cent milles entrées en France pour ce film qui vient de sortir et qui est inspiré d'un roman de Max Brooks.

 

Difficile vu le budget du film de ne pas imaginer que les producteurs ont pu recevoir un petit coup de pouce des pharmas et de l'OMS qui ne rêvent que de ça, une pandémie mondiale avec à la clé aussi, une vaccination mondiale. Les projets de nouveaux vaccins n'arrêtent pas de se succéder, avec le H7N9 notamment. L'OMS vient encore il y a peu de modifier une nouvelle fois sa définition de pandémie, tout étant fait pour assouplir cette définition et pouvoir décréter quasiment à tout moment une pandémie de ceci ou de ça.

 

Et cette suspicion nous semble d'autant plus fondée que la fin initialement envisagée du film n'est pas celle qui fut finalement retenue. En effet, initialement, il n'était pas prévu qu'on finisse par trouver un vaccin. Le site de Lavoixdunord titre en effet un article "World War Z: découvrez la fin étonnante qui a été annulée par le studio." : « La fin de World War Z telle qu'on peut la voir au cinéma n'est pas du tout (mais alors pas du tout) la même que celle qui était prévue au départ. Rien à voir avec ce qu'on a pu voir au cinéma donc, et le "vaccin" n'est donc jamais trouvé. Une fin plus facile pour lancer une suite mais qui ne devait pas convenir au studio car bien trop sombre pour un film interdit aux moins de 13 ans. »

 

Dans ce film, on tente évidemment de préparer l'opinion publique à une vaccination massive et profilée comme "salvatrice", tout en faisant passer pour respectables et utiles des institutions comme l'ONU ou l'OMS.

 

Le film présente la Nature comme coupable et pourrie (sic!) et raconte une pandémie dans laquelle les zombies s'attaquent aux gens sains et non aux malades, pseudo raison pour laquelle les gens ne pourraient soi-disant se protéger qu'en s'infectant avec des virus pour lesquels il existerait "fort heureusement" des vaccins, comme... le virus du H1N1!

 

Il s'agit donc clairement d'un film qui essaie de blanchir la gestion calamiteuse du H1N1 par l'OMS tout en essayant de redorer l'image des vaccins. Il s'agit donc d'un film politique commandité par ceux qui trouvent leurs casseroles trop lourdes à traîner dans la perspective des prochaines pandémies tant attendues... Evidemment, les gens incultes ou crédules n'y verront que du feu. Ce n'est pas le premier film qui véhicule de gros messages subliminaux. Hollywood a de tout temps été un instrument socio-politique non négligeable. Et la critique est comme par hasard dithyrambique. La critique va souvent dans le sens de ce que le système souhaite en général...

 

L'analyse suivante est très intéressante sur ce film et mérite d'être lue.

 

Pour tous les analystes sérieux du domaine de la vaccination, il est évident qu'il y a une préparation et un rêve de certains d'une vaccination massive, mondiale et si possible forcée, sous couvert de telle ou telle menace grave. Tous les signaux l'indiquent. Notre site regorge d'indices à ce propos. Mais ça fait sans doute peur à certains qui préfèrent se mettre la tête dans le sable... jusqu'au jour où. La vraie menace n'est pas un microbe X ou Y mais le prétexte qui sera pris de vacciner massivement avec des vaccins forcément expérimentaux.



Voir aussi cette vidéo-ci de Christophe Alévêque qui oppose finalement "le salut du bon sens citoyen" à la dictature et à la tyrannie des technocrates et autres "experts" de l'OMS ou d'ailleurs....



 

 

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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 15:25

Les services de gènes express de GenScript aident Novavax à accélérer la mise au point d'un vaccin H7N9 en 28 jours

  

ADN-helice.jpg

ISCATAWAY, N.J., le 8 juill. 2013 /CNW/ - GenScript, le plus grand fournisseur mondial de gènes synthétiques, a aidé une importante société biopharmaceutique, Novavax, Inc. (NASDAQ : NVAX), à mettre au point un vaccin candidat contre la grippe aviaire de type A (H7N9) en synthétisant trois constructions contenant des gènes qui codent pour des protéines essentielles de vaccins en seulement six jours ouvrables. Le 10 mai 2013, Novavax a en effet annoncé que son vaccin candidat avait été développé et soumis à des essais précliniques en à peine 28 jours, soit moins de 6 semaines après que les premiers cas d'infections au virus H7N9 aient été signalés le 1er avril dernier.

 

La fabrication des constructions utilisées dans les vaccins candidats H7N9 de Novavax a été rendue possible grâce au service de gènes express (Rush Gene) de GenScript, qui consiste à synthétiser des séquences de gènes en 4 jours seulement. GenScript offre également une optimisation gratuite des séquences génétiques, ce qui est avantageux pour la production de vaccins et de produits biologiques à base de protéines. Habituellement, les chercheurs doivent se résoudre à utiliser des méthodes de laboratoire conventionnelles pendant au moins deux semaines avant de pouvoir assembler des constructions comme celles qui servent à la production d'un vaccin H7N9. Toutefois, la mise au point rapide du vaccin candidat de Novavax montre que la combinaison de l'optimisation génétique, de la synthèse express de gènes et du clonage personnalisé, facilitée par la plateforme de service unique de GenScript, peut réduire considérablement le temps d'assemblage et accélérer ainsi la recherche et le développement.

 

« Notre mission est de sauver des vies en aidant les scientifiques à accélérer leurs recherches. Dans le cas présent, nos services de gènes express sont le parfait exemple de notre dévouement à cette cause », souligne Frank Zhang, Ph.D., chef de la direction de GenScript. « Les progrès réalisés par les scientifiques de Novavax dans un si court laps de temps concernant leur vaccin candidat H7N9 est la raison pour laquelle nous nous engageons à fournir des services de première qualité tous les jours. »

 

Source: Lelezard.com

 

On ne peut pas assurer « des services de première qualité » avec un développement aussi rapide. Il est évident que la sécurité ne peut pas être assurée, puisqu’elle ne l’est déjà pas avec les vaccins dont le développement est plus long….en plus, il s’agit ici de vaccins transgéniques, or les vaccins, quels qu’ils soient, sont et restent dispensés de tests destinés à évaluer leur potentiel cancérogène et mutagène (capacité d’entraîner des mutations de l’ADN pouvant être sources de maladies rares, auto-immunes, neurologiques ou de cancers…). Pourtant, en 1987 déjà, l’OMS signalait dans une conférence d’experts LE RISQUE DE MALIGNITE posé par les vaccins et autres produits biologiques produits par génie génétique, et le fait que ce risque est d’autant plus préoccupant que de jeunes enfants recevront de manière répétée ce genre de produits tout au long de leur vie……..

 

« Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un A.D.N contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. » (« Acceptabilité des substrats cellulaires pour la production de substances biologiques », Rapport technique OMS n°747 ; 1987.)

   

Ne soyons donc pas dupes, derrière les habituels slogans lénifiants selon lesquels le but de ces firmes et de « sauver des vies », il s’agit juste d’essayer d’être le plus rapide pour que des instances douteuses comme l’OMS usent de leur pouvoir d’influence et puisse favoriser commercialement telle ou telle firme!

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 14:59

C'est en effet ainsi que se termine un récent article du Figaro consacré aux prérogatives accrues des pharmaciens en matière de dépistage.

 

En plus d'évaluer la glycémie, les pharmaciens peuvent aussi dépister angines bactériennes et la grippe... histoire de mieux les préparer à leur futur rôle de vaccinateur ou de distributeur de Tamiflu à l'occasion de la prochaine pandémie?

 

Ce qui est clair et le but est affiché, c'est de rattraper les gens qui ont échappé au système de soins classique... l'étau se ressert toujours davantage... au nom de la santé publique.

 

 

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20 juin 2013 4 20 /06 /juin /2013 20:47

Par Antoine Flahaut, 13 juin 2013

 

La ronde des virus grippaux ne s'arrêtera donc jamais ? Après les craintes et la mobilisation internationale contre le risque d'une émergence pandémique de la grippe avaire H5N1, dans le sud-est asiatique, au début des années 2000, la pandémie que je dénommerai "de la controverse" en 2009 prenant tout le monde à contre-sens, le virus étant d'origine porcine, venant du Mexique, et s'appelant H1N1, et faisant moins de victimes que la grippe saisonnière, voilà qu'une autre menace semble se profiler, avec le virus H7N9, d'origine chinoise. Que doit-on craindre au juste ?

 

Les directeurs du National Institute of Allergies and Infectious Diseases (composante du NIH) a publié en date du 5 juin dernier en accès libre (en anglais) un commentaire dans le New England Journal of Medicine faisant le point sur le sujet. Pour résumer la position des auteurs (dont le chercheur Jeffery Taubenberger), il y a 17 variantes de l'hémagglutinine et 10 neuraminidases (protéines de surface qui donnent respectivement les combinaisons de lettres et de chiffres Hx et Ny au sous-type viral), mais seuls trois sous-types de mémoire d'homme ont été responsables de pandémies de grippe chez l'homme, H1, H2, et H3. Les autres sous-types infectent les mammifères, les volailles et des oiseaux sauvages, mais pas l'homme. Des hommes peuvent occasionnellement être infectés au contact étroit avec des animaux porteurs, mais alors il s'agit d'un "cul de sac" virologique, la transmission inter-humaine ne se produit pas en aval. En effet, l'homme est alors exposé dans ces cas (H5N1 ou H7N9 par exemple) à une sorte de "douche" de particules virales et pour ainsi dire à une intoxication par le virus qui peine ensuite à se multiplier dans nos cellules, n'étant pas équipé pour le faire. Le virus n'a pas les clés pour rentrer dans nos cellules et faire fonctionner notre matériel génétique pour sa propre multiplication. Certes des mutations peuvent intervenir qui "humanisent" le virus. C'est ce qui se produit sur les souches les plus récentes de H7N9 que l'on a pu identifier chez des hommes. Mais on l'avait aussi repéré de telles mutations humanisantes pour d'autres souches de virus de grippe aviaire, comme H5N1, sans qu'à ce jour ces virus n'aient jamais acquis de potentiel pandémique. Les scientifiques sont donc divisés sur la question du risque pandémique. Les uns pensant qu'il n'y aura jamais d'autres pandémies que H1, H2, H3 qui diffèrent de ceux qui pensent au contraire qu'un jour viendra la mutation scélérate, celle qui autorisera la transmission inter-humaine (ce que des chercheurs hollando-américains pensent avoir mis au point en laboratoire de haute sécurité l'an dernier avec H5N1).

 

Les auteurs du billet du NEJM concluent quant à eux que même improbable, il est important de rester vigilants et de se préparer à une possible pandémie beaucoup plus meurtrière que celles que nous avons connues. En 1918, "seuls" 2% des personnes infectées en sont décédées, alors que la létalité est respectivement de 59 et 28% pour H5N1 et H7N9 actuellement.

 

Pour ma part, je rejoins ceux qui pensent que l'on joue un peu ici à se faire peur (nous soutenions cela déjà en 2003, au moment de l'émergence H5N1). Certes l'hypothèse d'un scénario catastrophe n'est pas impossible, mais quelle est la probabilité qu'il se produise ? Et pendant que l'on distrait les investissements et les énergies à se préparer dans un désert des Tartares, ou à construire je ne sais quelle ligne Maginot (= les plans pandémiques), on ne se prépare pas ou mal à affronter les grippes saisonnières qui chaque hiver fauchent de nombreuses victimes, engorgent les hôpitaux, représentent un coût considérable en termes d'arrêts de travail et d'hospitalisations évitables. Je rejoins aussi certains de mes collègues qui ont la conviction que personne ne sait se préparer aux véritables catastrophes (notamment à celles que l'on n'a jamais connues), mais que l'on ne porte pas assez d'intérêt ni d'investissements à se préparer aux scénarios plus banals et communs, que représentent les risques de tous les jours : les virus saisonniers de la grippe, des gastroentétites, des arborviroses (dengue, chikungunya), nos addictions au tabac, à l'alcool, aux matières grasses, sucrées et salées, à notre sédentarité... Peut-être parce que cela semble moins fun à beaucoup de nos élus et de leurs électeurs ? Peut-être aussi, parce que nous ne savons pas bien porter les messages associés à la "normalité", préférant de beaucoup les grandes peurs, les catastrophes improbables, les pestes noires...

 

Source: Les Carnets de l'Université Paris Descartes

 

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