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26 janvier 2016 2 26 /01 /janvier /2016 20:21

Des officiels confirment :

la rougeole peut être transmise par des vaccinés

Des officiels confirment : la rougeole peut être transmise par des vaccinés

Sayer Ji, Green Med Info -  Waking Times, 11 janvier 2016

 

Une étude remarquable révèle qu’une personne vaccinée peut, non seulement être infectée par la rougeole, mais peut aussi propager la maladie à d’autres personnes déjà vaccinées - Ceci réfute doublement le fait que deux doses du vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) soient « efficaces à 99%, comme on le fait croire au public.

 

Une des erreurs fondamentales au sujet de l’efficacité du vaccin contre la rougeole, est que le fait de recevoir le vaccin ROR équivaudrait à une immunité contre ces agents pathogènes. En effet, il est communément affirmé que recevoir deux doses du vaccin ROR est « efficace à 99% dans la prévention de la rougeole », et ce, malgré un volumineux dossier de témoignages, de preuves du contraire provenant de l’épidémiologie et de l’expérience clinique.

 

Cette manière erronée de penser a conduit le public, les médias et le gouvernement à attribuer l’origine des épidémies, comme celle qui s’est récemment produite à DisneyLand, à des personnes non-vaccinées, bien que 18% des cas de rougeole se soient produits chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la rougeole – nous sommes loin d’une vaccination « efficace à 99% » ! Le manque évident de fiabilité du vaccin est aussi corroboré par le fait que le CDC exige maintenant deux doses.

 

Mais les problèmes concernant le manque de fiabilité du vaccin ROR vont beaucoup plus loin. En tout premier lieu, le vaccin comporte de sérieux risques de santé (Nous en avons relevé 25 dans la rubrique: Dangers du vaccin ROR), comprenant également un risque augmenté d’autisme. Un scientifique du CDC a avoué que son Agence l’avait camouflé. En second lieu, non seulement le vaccin ROR ne confère pas toujours l’immunité, mais ceux qui ont été « vaccinés » avec deux doses du vaccin ROR peuvent toujours transmettre l’infection à d’autres – un phénomène que bizarrement personne ne commente, tant l’obsession est grande, en temps d’épidémie, de rejeter la faute sur les non-vaccinés ou ceux qui n’ont pas été suffisamment vaccinés.

 

Les personnes qui ont reçu le vaccin ROR peuvent malgré tout transmettre la rougeole

 

L’année dernière, une étude révolutionnaire publiée dans la revue Clinical Infectious Diseases, dont la paternité comprend des scientifiques travaillant pour le Bureau d’Immunisation du Département de la Santé et de l’Hygiène Mentale de New-York City, le Centre National pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires, les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (CDC, Atlanta GA) qui après avoir examiné les documents liés à l’épidémie de rougeole de 2011 à New-York a pu mettre à jour les preuves que les personnes précédemment vaccinées contre la rougeole, celles qui étaient immunisées par la vaccination, étaient toutes deux capables d’être infectées par la rougeole et de contaminer d’autres personnes (transmission secondaire).

 

Cette constatation a suscité l’attention des principaux médias, comme en témoigne cet article de Sciencemag.org d’avril 2014 intitulé : « Flambée de rougeole chez des patients complètement vaccinés pour la première fois ».

 

Et comme ce titre : « Epidémie de rougeole chez des personnes dont l’immunité avait été prouvée, Cité de New-York, 2011 » Cette étude novatrice reconnaissait que: « La rougeole peut survenir chez des personnes vaccinées, mais la transmission secondaire de ces personnes n’a pas été documentée.»

 

Afin de savoir si les personnes qui acceptent de se faire vacciner contre la rougeole sont susceptibles d’être infectées et de transmettre l’infection à d’autres, les cas suspects et les contacts exposés furent étudiés pendant l’épidémie de rougeole de 2011 à New-York. Les chercheurs se sont focalisés sur un patient qui avait reçu deux doses du vaccin contre la rougeole et ont constaté ce qui suit : 

 

« Parmi les 88 contacts, on a relevé quatre cas secondaires qui avaient soit reçu deux doses du vaccin contre la rougeole ou qui présentaient des anticorps IgG positifs pour la rougeole. Les recherches de laboratoire, les symptômes cliniques de la rougeole, ainsi que le taux élevé d’anticorps IgG caractéristique d’une réponse immunitaire secondaire ont confirmé l’infection par la rougeole.

 

La conclusion de ces chercheurs est remarquable :

 

« Il s’agit du premier rapport de transmission de la rougeole chez un individu vacciné deux fois. Les données cliniques, ainsi que les examens de laboratoire ont montré qu’il s’agissait de caractéristiques typiques de la rougeole chez un individu. Les cas secondaires ont présenté des taux d’anticorps élevés. Aucun cas tertiaire ne s’est produit malgré le nombre élevé de contacts. Cette flambée de rougeole souligne la nécessité d’enquêtes épidémiologiques et de laboratoire approfondies des cas de rougeole soupçonnés, et ce, indépendamment de leur statut vaccinal. »

 

Avez-vous bien réalisé cela ? Un individu vacciné deux fois au cours d’une épidémie de rougeole à New-York a transmis la rougeole à  quatre de ses contacts, dont deux avaient reçu deux doses du vaccin ROR et avaient vraisemblablement des taux IgG d’anticorps protecteurs.

 

Ce phénomène  - le fait que des personnes ayant reçu le vaccin ROR, et qui infectent d’autres personnes ayant aussi reçu le vaccin ROR – a été ignoré par les agences de santé, comme aussi par les médias. Ces données corroborent la possibilité, qu’au cours de l’épidémie de rougeole de Disneyland, les personnes qui avaient précédemment été vaccinées (dont 18% avaient été infectées) ont pu être infectées ou ont pu répandre le virus de la rougeole à partir d’une vaccination, tout en transmettaient la rougeole aussi bien aux non vaccinés qu’aux vaccinés.

 

Suite au manque d’efficacité du vaccin, Il faut arrêter de jeter le blâme sur les non vaccinés

 

La morale de cette histoire, c’est qu’il n’est pas correct de blâmer les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants et de leur imputer une responsabilité par rapport à la morbidité ou à la mortalité dues à des maladies infectieuses, alors que la vaccination ne confère pas nécessairement l’immunité et n’empêche pas les vaccinés d’infecter d’autres personnes. En fait, des épidémies se sont produites depuis des dizaines d’années suite à l’échec du vaccin, comme aussi à l’excrétion du virus dans des populations vaccinées à 99%.  Il est possible de lire plus de détails sur cette question en consultant l’article : L’épidémie de DisneyLand : un piège pour les ignorants.

 

[…] Quand une épidémie de rougeole survient, les médias et les Agences de santé se comportent comme s’il avait été démontré, et sans que les preuves en soient apportées, que les personnes touchées par la rougeole étaient insuffisamment vaccinées ou pas vaccinées du tout. Cela semble être le réflexe habituel.

 

Il devient évident que, dans le débat vacciné/non vacciné, les parties prenantes se doivent d’examiner chaque situation sur base de preuves solides et non en fonction d’une science proclamée ou de plaidoyers d’autorité.

 

Source : Waking Times

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5 août 2015 3 05 /08 /août /2015 22:15

Le vaccin ROR a fait de mon enfant un autiste

 

Après avoir emmené son petit garçon de 18 mois en parfaite santé chez le pédiatre pour qu’il reçoive son vaccin ROR, la maman Gladys est rentrée chez elle avec un enfant dont la santé venait d’être endommagée par la vaccination. Le médecin lui a dit que les symptômes des dommages étaient « normaux », bien que son enfant devait plus tard recevoir le diagnostic d’autisme. La maman a pu aider son enfant avec une alimentation sans gluten et sans caséine, ainsi qu’en ayant recours à l’homéopathie. Veuillez s’il vous plaît avertir les parents que vous connaissez des dangers de la vaccination et contribuer à mettre fin aux vaccinations rendues obligatoires par le gouvernement.

 

Larry Cook, 15 juillet 2015

 

Bonjour, je m’appelle Gladys. Je voudrais partager l’histoire de mon petit garçon dont la santé a été endommagée par un vaccin. Tout a commencé par le fait que j’ai pensé bien faire en suivant le programme vaccinal, ne me doutant pas de ce qui pouvait se produire dans la suite. Je me suis donc présentée chez le médecin pour les vaccins de 18 mois. Avant de recevoir son vaccin ROR, mon petit était tout à fait normal, en bonne santé, enjoué, espiègle. Quand quelqu’un l’appelait pas son non, il se retournait et prononçait lui-même son nom. Il savait l’âge qu’il avait. Il disait régulièrement « Maman, Papa ». Après qu’il eût reçu le vaccin, j’ai remarqué que tout cela avait disparu. Il s’est replié sur lui-même et a commencé à régresser. C’était un enfant complètement différent. Il n’était plus du tout l’heureux petit garçon que j’avais connu. Plusieurs semaines après son vaccin ROR, j’ai pu observer qu’il avait des comportements différents qu’il n’avait jamais eus. Il ne savait plus comment jouer avec ses jouets habituels. Il s’en détournait et se contentait de rester tout le temps assis. Il pouvait ainsi rester assis sur le tapis pendant des heures. Si des enfants s’approchaient de lui, il ne les remarquait même pas, alors qu’ils étaient assis à côté de lui. Il n’a depuis, plus jamais dit le moindre mot.

 

Il ne savait plus son nom. Quand je lui demandais quel âge il avait, il ne savait plus. Comme je suis fort occupée, je me suis, pendant un certain temps, dit que c’était peut-être normal. Je l’ai malgré tout emmené chez le médecin en lui expliquant qu’il ne disait plus les mots qu’il prononçait habituellement. Il m’a répondu que c’était normal. Je l’ai cru, pensant qu’il devrait évoluer un certain temps et qu’il parlerait plus tard. Le fait est que la chose ne s’est pas produite. Son état s’est empiré, il a commencé à régresser, jusqu’à ce que des autres parents racontent à ma sœur que leur fils présentait le même comportement. Ma sœur m’a suggéré de faire des recherches. C’est ce que je fis. J’ai commencé à me documenter sur l’autisme parce que je ne savais pas vraiment de quoi il s’agissait. En découvrant la définition de l’autisme, je savais qu’il s’agissait bel et bien de ce dont mon fils souffrait, tout ce que faisait mon petit était décrit avec précision. Dans la suite je l’ai fait examiner et le diagnostic d’autisme est tombé quand il a eu 2 ans ½.

 

Larry : Parlez-nous un peu de votre ressenti face à tout cela.

 

Après que le diagnostic fut posé, j’ai commencé à chercher ce que nous pouvions faire en plus de ce qui nous avait été proposé. En fait, nous n’avons pas vraiment été aidés. Après nous avoir donné le diagnostic, nous avons été livrés à nous-mêmes. J’ai donc poursuivi les recherches. Malheureusement ce qui était proposé était au-dessus de nos moyens. Au début, la seule chose que nous avons pu faire, ce fut d’adopter une alimentation sans gluten et sans caséine. A peine avions-nous supprimé tout produit laitier que des changements apparaissaient déjà. Chaque fois qu’il reprenait du lait, il régressait à nouveau, il arrêtait de se déplacer. Nous nous sommes ensuite intéressés au gluten. Avec le gluten, il se réveillait à 2 heures du matin en grognant, se retournant et se retournant dans son lit. La suppression du gluten a mis fin à ce comportement. Après avoir commencé à détoxifier son corps, nous en sommes arrivés à un point où plus aucun progrès ne se produisit. Il était enfin OK.

 

C’est alors que j’ai commencé à m’intéresser aux médecines naturelles, ainsi qu’à l’homéopathie.. J’ai lu le livre « Autism Beyond Despair » (Autisme, au-delà du désespoir) dans lequel on parlait d’homéopathie. J’ai lu le livre, puis l’ai mis de côté, car il y avait toujours des questions d’argent en jeu. Nous ne pouvions pas nous permettre ces traitements. Mais quand je me suis rendue compte que mon petit ne progressait plus, nous avons changé notre fusil d’épaule. Nous avons commencé l’homéopathie. Après la première dose de son premier remède qui avait rapport avec la détoxification du ROR, nous avons entendu son premier mot ! Le second jour du traitement, il recommençait à être propre. Il reconnaissait de nouveau tous les mots. On aurait dit qu’il se les rappelait. C’était un peu comme si un épais brouillard avait jusqu’alors recouvert son esprit. Au fond, il n’avait rien oublié, il n’était tout simplement pas présent. Depuis lors, nous n’avons cessé de voir des améliorations. Il a été en traitement pendant environ 3 ans et il est tout à fait propre. Il parle à nouveau. Il est le petit garçon heureux que nous avions connu.

 

Je m’oppose fermement à la vaccination obligatoire, en tout premier lieu parce que ces lois vont à l’encontre de nos droits parentaux. En tant que parents, c’est à nous à décider de ce qui rentre dans le corps de nos enfants, quel traitement nous leur donnons. Ce n’est pas à l’état à prendre notre place. Je m’oppose à 100% à ces lois. Pourquoi ? Parce que j’ai vu mon petit régresser après un vaccin. Je n’ai même pas d’autre option possible. Il n’existe aucune chance que je le fasse encore jamais vacciner, non plus jamais. Si j’ai encore des enfants, plus jamais ils ne seront vaccinés, plus jamais

 

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8 juillet 2015 3 08 /07 /juillet /2015 21:14

La patiente était donc bien vaccinée mais qu'à cela ne tienne, voilà que les officiels se saisissent aussi de ce cas pour désinformer de plus belle. Décryptage pour les personnes soucieuses de leur santé et curieuses de pouvoir comparer cette analyse indépendante ci-dessous au verbiage stérile de médias ne relayant comme d'habitude que le seul baratin des idéologues officiels.

Décès post-rougeole aux USA: la patiente était vaccinée

Voyons tout d'abord ce que la presse anglosaxonne officielle a relayé sur cette affaire dans la traduction ci-dessous avant d'en retirer les seules informations décisives en termes de santé publique globale...

 

La femme qui est morte de rougeole était vaccinée: c'est le premier patient à mourir de la rougeole aux Etats-Unis depuis 12 ans en raison de problèmes de santé.

 

3 juillet 2015. Par un journaliste de l'Associated Press

 

Il a été révélé que la première personne à succomber de la rougeole aux Etats-Unis depuis 12 ans avait bien été vaccinée.

 

Les officiels ont dit que cette femme avait été vaccinée quand elle était enfant mais qu'elle est morte de la maladie parce que son système immunitaire était compromis/déficient. 

 

Le Dr Jeanette Stehr-Green, officielle de santé du Comté de Clallam a dit à Komo-TV que cette femme avait bien été vaccinée enfant mais qu'elle avait d'autres problèmes de santé et qu'elle prenait des médicaments interférant avec sa réponse immunitaire et qu'elle n'était du coup "pas protégée".

 

Une autopsie a révélé qu'une femme de l'état de Washington est décédée de la rougeole au printemps dernier, ce qui constitue le premier décès dû à la rougeole aux Etats-Unis depuis 2003.

 

Cette personne, décédée au printemps dernier, ne présentait pas les symptômes habituels de la maladie, comme l'éruption caractéristique et donc cette infection ne fut pas découverte avant l'autopsie, a déclaré Donn Moyer, porte-parole du Ministère de la Santé de l'état de Washington.

 

Moyer a rajouté que cela était le 11ème cas de rougeole dans l'état de Washington -et le 6ème dans le comté de Clallam- cette année.

 

La rougeole est une maladie hautement contagieuse qui se diffuse par voie aérienne, quand une personne infectée respire, tousse ou éternue. Cependant décéder de cette maladie est extrêmement rare a dit Moyer.

 

Les officiels n'ont pas dit à quand remontait la vaccination de cette patiente, se bornant à dire que son système immunitaire était déficient. Les officiels n'ont pas révélé l'âge de la personne décédée pour protéger son identité mais ont admis qu'elle n'était pas âgée.

 

La patiente fut hospitalisée pour plusieurs problèmes de santé au printemps dernier dans un service médical du comté de Clallam. Elle était présente dans le même timing qu'une personne qui a ultérieurement développé une éruption rougeoleuse et qui était contagieuse pour la maladie, a déclaré Moyer. C'est le moment où cette patiente a été le plus probablement exposée.

 

Elle prenait des médicaments qui affaiblissaient son système immunitaire.

 

Après avoir été prise en charge dans le comté de Clallam, cette patiente a été transférée au Centre Médical de l'Université de Washington, à Seattle, où elle est décédée. Une autopsie a conclu que la cause du décès était une pneumonie causée par la rougeole.

 

"Cette tragique situation illustre l'importance de vacciner autant de personnes que possible pour fournir de hauts taux de protection contre la maladie" a dit Moyer. Les personnes dont le système immunitaire est compromis ne peuvent pas être vaccinées contre la rougeole. Et même quand elles ont été déjà antérieurement vaccinées, elles peuvent ne pas répondre adéquatement à la maladie et peuvent être tout spécialement vulnérables lors d'épidémies de la maladie."

 

Le dernier cas actif de rougeole dans l'état de Washington a été rapporté en avril dernier. 

 

La rougeole peut se développer endéans les 3 semaines qui suivent l'exposition a rajouté Moyer. Comme plus de trois semaines se sont écoulées depuis ce dernier cas et qu'il n'y a pas eu d'autres personnes atteintes, aucune des personnes ayant eu contact avec ce patient n'est plus à risque.

 

Source: DailyMail

 

Un autre article sur un média américain (CNBC) reprend ces propos et "informations" mais en ajoute quelques autres:

 

"Les officiels ont dit que le décès de cette femme montrait l'importance des vaccins".

 

[...] " Nous savons que la rougeole peut être mortelle" a déclaré le Dr Anne Schuchat, directrice du centre des maladies respiratoires au Centre de Contrôle des Maladies (CDC). "Nous pensons qu'une personne sur 2000... mourra de la rougeole même si elle est médicalement prise en charge. Nous sommes très tristes de cela parce que nous pensons que la rougeole peut en général être prévenue." Et la rougeole peut rendre les gens très malades. Schuchat a rappelé qu'une personne sur quatre qui fait la rougeole aux USA doit être hospitalisée et une personne sur 1000 développe une complication neurologique grave (encéphalite) pouvant mettre sa vie en jeu.

 

[...] "Même vaccinées, les personnes (immunodéficientes) peuvent ne pas présenter une réponse immunitaire suffisante quand elles sont exposées aux germes; elles peuvent être tout spécialement vulnérables aux épidémies de la maladie. Les officiels de santé publique recommandent donc à toute personne-cible de cette vaccination contre la rougeole, les oreillons, la rubéole (ROR) de recevoir le vaccin en vue de se protéger elles-mêmes, leurs familles ainsi que les personnes vulnérables de leur communauté."

 

L'épidémie de rougeole à Disneyland a ravivé le débat sur la vaccination obligatoire. L'état de Californie avait des lois libérales permettant aux personnes de refuser la vaccination de leurs enfants pour des motifs personnels. Mais après que le CDC ait dit qu'il y avait des poches de sujets non vaccinés qui contribuaient à la propagation de la rougeole, les législateurs ont changé la loi. Selon la loi que le gouverneur californien Brown a signée mardi passé, les enfants ne peuvent désormais plus échapper aux vaccins que sur base d'une contre-indication médicale.

 

L'état de Washington a indiqué dans sa déclaration que "la rougeole est une maladie très contagieuse avant que l'éruption n'apparaisse et peut se répandre facilement quand une personne respire, tousse ou éternue. Si vous n'êtes pas protégé, vous pouvez attraper la rougeole simplement en déambulant dans la même pièce où une personne contagieuse se trouvait dans les quelques heures qui ont précédé".

 

[…] "La rougeole est rare aux Etats-Unis. La dernière grosse épidémie remonte à 1989-1991, avec 55 000 cas rapportés et 123 décès d'enfants. Les efforts de vaccination depuis lors ont fait cessé cette épidémie."

 

"Jusqu'en 2010, nous voyions environ 30 à 50 cas par an" a déclaré le Dr Schuchat. Mais les chiffres sont beaucoup plus élevés depuis lors, avec 644 cas l'année passée."

 

"Nous avons vu une nouvelle tendance se dessiner ces cinq dernières années. Nous voyons beaucoup de cas chez des sujets qui n'ont pas été vaccinés, non pas parce que le système n'a pas pu les atteindre mais parce que leurs parents ne voulaient pas qu'ils soient vaccinés" a ajouté Schuchat.

 

Source: CNBC

 

Et maintenant, prenons en quelque sorte notre "loupe" pour analyser ce discours officiel et voir s'il est conforme à la réalité où s'il se nourrit au contraire de raccourcis et autres simplifications.

Décès post-rougeole aux USA: la patiente était vaccinée

1°) On remarquera tout d'abord le délai important entre le décès de cette femme et son annonce publique: cette femme est décédée au printemps et c'est seulement maintenant que l'affaire est médiatiquement relayée. Etrange. Pourquoi autant de mois pour révéler tout cela? Cela ne s'inscrit-il pas dans l'offensive médiatique des officiels désireux de justifier l'injustifiable, entre autres cette loi vaccinale liberticide récemment adoptée en Californie dont le fondement absurde (ou plutôt le prétexte) était les 150 cas de rougeole à Disneyland (on ne parle pas de 150 décès ou personnes handicapées mais de cas d'une maladie infectieuse aigüe majoritairement réversible sans séquelles!). Evoquer des décès en lien avec cette maladie est donc "vendeur" dans cette optique-là aux yeux des promoteurs effrénés de la vaccination puisque cette maladie est très rarement mortelle or TOUT le marketing vaccinal est essentiellement basé sur LA PEUR.

 

2°) Remarquons ensuite qu'une autopsie a été réalisée mais que dès lors qu'un bébé meurt peu après ses premiers vaccins et que l'autopsie est demandée dans les délais légaux (et normalement imposée par la loi belge), celle-ci est refusée par la justice... allez comprendre!

 

3°) Le rapport d'autopsie conclut à un décès par pneumonie due à la rougeole. Soit, peut-être, c'est possible mais quand une personne malade chronique décède alors qu'elle prenait déjà toutes sortes de médicaments chimiques (a fortiori immunosuppresseurs), rien  ne permet d'affirmer avec certitude que la pneumonie ou le virus de la rougeole a causé le décès à 100%, cela peut avoir joué un rôle à 50%, à 20% ou moins avec un rôle néfaste aussi de ses médicaments soi-disant là pour "la sauver" ou la protéger (il suffit de constater que la médecine conventionnelle est tout de même la troisième cause annuelle de décès dans un pays comme les Etats-Unis avec plus de 106 000 décès annuels directement liés aux effets secondaires des médicaments...).

 

4°) Les officiels cachent l'âge de la personne, soi-disant pour "protéger son identité". Maintenant que cette personne est décédée, il n'y a plus aucune raison de "protéger son identité" ni aucune honte ou problème pour sa famille que son âge soit révélé. La réalité est que les officiels n'ont aucune envie de révéler son âge tout simplement parce que sur base de son âge, les commentateurs indépendants pourront aisément décrypter qu'elle avait reçu sans doute pas juste une dose mais plus que probablement deux doses de vaccin ROR au moins et que la dernière ne remontait sans doute pas à  très longtemps ...

 

5°) Les officiels utilisent et exploitent ce décès en prétendant que cela démontre "l'importance des vaccins". MAIS c'est en revanche TOUT L'INVERSE car:

 

A. Cette personne décédée a encouru les risques du vaccin ROR en pure perte et rien ne dit d'ailleurs que sa maladie (auto-immune sans doute) n'a pas justement été causée par ce vaccin ou tous les autres qu'elle a dû recevoir au préalable, les vaccins étant une cause bien connue de maladies auto-immunes (voir par exemple ici, ici, ici ou ici) malgré les dénégations pathétiques des officiels. En d'autres termes, si cette personne n'avait pas reçu tous les vaccins qu'elle a reçus, il est aussi possible qu'elle n'ait jamais développé la maladie chronique dont elle était affectée, et qu'elle serait toujours encore en vie aujourd'hui. 

 

B. Prétendre ou sous-entendre que les vaccinés ne peuvent pas contaminer des personnes vulnérables est malhonnête. Le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole) est un vaccin à virus vivants -atténués mais vivants- qui fait que 5% au moins des vaccinés vont faire une rougeole larvée. La notice du vaccin Proquad (=ROR & valence contre la varicelle) indique que les vaccinés excrètent des virus vivants comme celui de la rubéole jusqu'à 28 jours après leur vaccination! 

 

Cela n'est donc pas surprenant si, comme le rappellent à très juste titre des membres du groupe Facebook "Info Vaccin Prevenar", "le service des enfants leucémiques de Sainte Justine à Montréal a quant à lui bien précisé les choses. A l'entrée un grand panneau précise que les frères et soeurs récemment vaccinés avec un vaccin ROR ne sont pas autorisés à rendre visite à leur frère ou soeur en service d'enfants leucémiques".

 

C.  En outre, si elle avait eu la chance de faire une rougeole naturelle au cours de sa vie, il est vraisemblable que cette personne aurait joui d'une protection plus solide et durable à vie contre cette maladie que ce qu'aucune vaccination n'aurait jamais pu lui apporter. Il est essentiel de comprendre que la vaccination généralisée a enchaîné des populations entières à une vaccination qui n'était pas du tout considérée comme une urgence de santé publique à une époque où des dizaines de milliers de cas annuels survenaient chaque année chez les enfants de tous les pays (en majorité dans la seconde enfance où la maladie est la plus bénigne) en contrepartie d'une immunité à vie. La personne contagieuse, à laquelle on attribue l'infection de la victime décédée aurait dès lors très bien pu, en l'absence de vaccination généralisée, ne pas être contagieuse à ce moment-là car ayant déjà pu faire au préalable une rougeole naturelle qui l'aurait immunisée à vie. 

 

6°) La peur et l'exagération sont les seuls "arguments" restants aux officiels pour promouvoir une vaccination aveugle aussi large que possible. Les officiels n'ont qu'une seule obsession: vacciner à tout prix et le plus possible, raison d'ailleurs pour laquelle ce n'est pas un vaccin spécifique contre la rougeole qu'ils préconisent suite à ce décès mais bien le triple vaccin "rougeole-oreillons-rubéole". 

 

Pour faire peur, les officiels ont besoin d'agiter le spectre d'une contagion, d'un décès ou d'une encéphalite. Mais ils se gardent hélas bien d'évoquer les risques graves, y compris mortels, liés à cette même vaccination. Par exemple, les officiels disent qu'il y a un cas d'encéphalite pour 1000 infections mais selon le Dr Mendesohn, un pédiatre qui avait jadis beaucoup vacciné avant de réviser ses anciennes croyances, "l'incidence de 1/1000 est possible pour les enfants qui vivent dans des conditions de pauvreté et de malnutrition" mais pour toutes les autres personnes, "l'incidence des encéphalites véritables est probablement de l'ordre de 1/10 000 ou même de 1/100 000".

 

Nous souhaitons attirer votre attention sur les raccourcis et sur les non-dits des officiels quand il s'agit d'inciter à cette vaccination:

 

- Avant la vaccination, plusieurs dizaines de milliers de cas de rougeole avaient lieu chaque année chez les enfants américains (comme dans les autres pays) sans que cela ne fasse les gros titres des journaux ou que les médias ne fassent un énorme bruit autour des décès (dont le nombre avait déjà été divisé par dix avant l'introduction du moindre vaccin). En France par exemple, il y avait, selon les estimations avant la vaccination, 500 000 cas annuels de rougeoleavec de 15 à 35 décès par an, soit un taux de létalité de 3 à 7 pour 100 000. Depuis le vaccin, et pour une même maladie, le discours a changé et il suffit d'un seul cas malheureux comme le bébé allemand ou d'une centaine d'infections (sans séquelles particulières) pour remettre sur la table la question d'obligations vaccinales généralisées.

 

- Si on prend les chiffres cités dans les articles des médias officiels (mais sans les commentaires suffisants pour les décrypter avec pertinence), il faut les éclairer à la lueur des propos du fabricant Smith Kline. En effet, Smith Kline déclarait en 1995, à la page 995 du Vaccine Action n°1 de cette année-là: « Les rougeoles ont été dix-huit fois plus nombreuses aux USA en 1990 qu’en 1983, malgré une vaccination systématique contre la maladie depuis 1978. Ainsi, 18 épidémies ont été recensées parmi les populations scolaires très immunisées (71% à 99,8%) et pas moins de 77% des rougeoles déclarées sont apparues chez des élèves vaccinés. L’échec d’une vaccination préscolaire se traduit donc par une transformation paradoxale de la rougeole en maladie des vaccinés.»

 

Par conséquent, on voit bien que les déclarations des grands médias sont partiales et simplificatrices car elles amènent à penser exactement l'inverse que ce que l'on doit rationnellement conclure sur base des faits, de l'ensemble des faits. Les médias présentent ainsi la vaccination comme LE salut décisif à un état de chose (une maladie d'enfance naturelle) tout en amenant à conclure de façon fallacieuse qu'il serait bienfondé d'éradiquer absolument cette maladie, sans bien sûr s'attarder sur les conséquences épidémiologiques générales d'une telle obsession. La vérité est que la vaccination généralisée avec une dose n'a pas apporté le succès qui avait initialement été promis pour initier une telle vaccination généralisée. Et là encore, plutôt que de le reconnaître et donc de s'en tenir aux faits comme devrait le faire et l'exiger tout scientifique responsable digne de ce nom, on a assisté à un coup de barre donné une fois encore dans la mauvaise direction qui avait précisément mené à cet échec, en préconisant de s'enfoncer un petit peu plus dans le cercle vicieux vaccinal avec la préconisation d'une deuxième dose de vaccin. Certains considèrent cette deuxième dose comme un rappel et d'autres non. Le fabricant Smith Kline Becham écrit à propos de cette deuxième dose de vaccin ROR: "Il ne s'agit pas d'un rappel, le vaccin étant très immunogène : 95% de réponse après la 1ière dose et offrant une protection de longue durée. Il s'agit d'un rattrapage (BEH 22/ 1999 ) pour pallier à l'échec de la vaccination chez les vaccinés non répondeurs à une première dose pour un ou plusieurs antigènes. Ainsi, avec environ 95% de réponse à la 2 ième dose ,on arrive à un total de 98 à 99% d'enfants d'une même classe d'âge qui sont protégés." Plutôt que de pratiquer systématiquement un dosage d'anticorps de façon à éviter chez ces enfants des risques supplémentaires ET PARFAITEMENT INUTILES d'effets secondaires (qui vont de pair avec chaque vaccination), ce qui serait au moins faire preuve d'une certaine cohérence de la part des idéologues des vaccins sincèrement convaincus du bienfondé de leurs vues, ces dosages ne sont jamais effectués au motif que "cela coûterait trop cher" à la collectivité (comme si les effets secondaires vaccinaux, en majorité niés, ne coûtaient pas immensément plus dans les faits, sans parler des prix des vaccins décidément jamais trop chers pour les gouvernements successifs...).

 

Les parents ne sont donc pas informés du fait que lors d'une seconde dose de vaccin ROR, leur enfant a 95% de "chances" que le vaccin lui offre 0 bénéfices (donc AUCUN avantage) et donc QUE des risques à encourir. C'est ce que les parents du petit Nello ont amèrement vécu puisque la santé de leur fils a décisivement basculé après cette seconde dose de vaccin ROR. Dans le livre de Virginie Belle ("Faut-il faire vacciner son enfant?"), le bénéfice individuel d'une seconde dose systématique de vaccin ROR est en tout cas clairement mis en doute. Peut-on réellement affirmer, et ceci alors que seuls 1 à 10 % des effets secondaires graves de vaccins sont réellement comptabilisés, que cette vaccination généralisée à tous les enfants n'entraîne pas à l'heure actuelle un taux d'effets secondaires graves (y compris des décès et des atteintes neurologiques irréversibles) supérieur au taux de létalité d'avant la vaccination qui était donc de 3 à 7/ 100 000 (donc de 15 à 35 décès annuels)?? Pour les adultes, la situation est déjà nettement moins favorable après la vaccination qu'avant son introduction puisqu'avec les "choix éclairés" des tous grands experts en vaccination, les adultes se sont vus imposés des risques neurologiques supplémentaires. Voici en effet ce qu'on peut lire en pages 4 et 5 d'un document européen sur la surveillance de la rougeole en France: "La mortalité a baissé régulièrement, passant d’une trentaine de décès par an dans les années 80 à moins de 10 maintenant. La proportion de décès survenant chez les enfants de moins de 5 ans a chuté de près de plus de 50 % en 1979 à moins de 5 % ces dernières années (figure 4). Dans la même période, les causes principales de décès se sont également modifiées. De 1979 à 1987, les causes autres qu’encéphalitiques représentaient la majorité des décès, les bronchopneumonies étant responsables de 34 % de ces autres causesDepuis 1987, les encéphalites sont les premières causes de décès reportées que ce soit les leucoencéphalites sclérosantes subaiguës (ou panencéphalites) survenant quelques années après la rougeole ou les encéphalites morbilleuses, survenant quelques jours (ou quelques mois pour les encéphalites aiguës retardées) après la rougeole." La suite démontre toute l'inconséquence de ces apprentis-sorciers pensant pouvoir jouer impunément avec la Nature en "éliminant" purement et simplement des microbes: « Du fait de la réduction de la circulation du virus, les cas de rougeole sont maintenant plus âgés. Or les complications sont plus fréquentes et la létalité plus élevée chez l’adulte avec comme première cause de décès, l’encéphalite aiguë (17). Ce déplacement de l’âge des cas pourrait ainsi expliquer partiellement la baisse moins rapide de la mortalité comparée à celle de la morbidité, un nombre stable des décès par encéphalite morbilleuse depuis 1988 et l’augmentation de l’âge des patients décédés. […] Ces effets paradoxaux de la vaccination liés au déplacement de l’âge ne peuvent être contrecarrés que par l’élimination de la maladie. Elle requiert une couverture vaccinale de plus de 95 % et l’administration de 2 doses d’un vaccin efficace. […] En conclusion, la France a amélioré sa couverture vaccinale mais le taux atteint permet la transmission de la maladie et déplace l’âge des cas, à un âge où complications et létalité sont plus élevées. Pour éliminer la maladie une couverture vaccinale à 2 doses à plus de 95 % devra être obtenue. »

 

La question de savoir s'il est malin de continuer à faire confiance à ces experts, qui ont déjà si peu intelligemment interagi avec la Nature en imposant aux adultes des risques auxquels ils n'ont jamais consenti, est donc tout à fait posée. D'autant que ces pseudo experts ont, pour la plupart, tous déjà eu la chance de faire la rougeole étant enfants et se moquent donc allègrement des effets de leurs politiques idéologiques sur l'ensemble de la population!

 

- La propagande de peur (consistant à vous dire "attention j'ai peut-être respiré dans une pièce où une personne en incubation et donc contagieuse se trouvait, je vais donc risquer une encéphalite etc.") est caractéristique du marketing sur lequel TOUT l'édifice vaccinal repose. Bien que décrétée "très contagieuse", une maladie d'enfance comme la rougeole ne survient pas automatiquement chez des individus qui ne l'ont jamais faite, comme ont déjà d'ailleurs pu le constater les parents d'enfants dont certains faisaient une rougeole et étaient donc en contact direct et étroit avec leurs autres enfants non immunisés... même en leur faisant manger avec la même cuillère, il est déjà arrivé que ces enfants n'ayant encore jamais fait la maladie ne la fassent malgré tout pas. Comment les zélateurs de la vaccination, qui estiment normal de forcer le système immunitaire avec des antigènes qui n'auraient pas spontanément et nécessairement "fait mouche" chez tel ou tel sujet, peuvent-ils justifier cela? Si on veut bien considérer cette observation élémentaire de personnes non immunisées qui même mise au contact direct du germe ne développent pas la maladie, on ne peut que mettre en doute la prétendue innocuité a priori de forcer ce phénomène en déposant directement dans l'organisme par injection ce microbe auquel le corps n'était donc pas particulièrement réceptif. Le public a d'ailleurs droit au même genre d'approximations scientistes quand on lui affirme (sans preuves suffisantes) que "cela n'est pas grave de vacciner une personne contre une maladie qu'elle a déjà faite".

 

Il incombe donc aux parents de se demander s'ils veulent vivre dans la hantise savamment construite autour de cette maladie tout en continuant d'ignorer les risques graves de décès et d'handicaps à vie que peuvent aussi induire de toutes pièces cette vaccination. Ci-dessous par exemple, le britannique Robert Fletcher, incapable de parler et de marcher depuis les dégâts neurologiques du vaccin ROR qu'il a reçu à l'âge de 1 an. Sa famille a dû se battre pendant 18 années en justice pour arriver à arracher 90 000 £ de la part du gouvernement (qui avait recommandé avec tant d'ardeur cette vaccination à tous les enfants) bien que cet argent ne lui rendra bien entendu jamais la santé perdue.

Décès post-rougeole aux USA: la patiente était vaccinée
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2 mars 2015 1 02 /03 /mars /2015 17:55

Vaccin ROR (Rougeole – Oreillons - Rubéole) :

EFFETS SECONDAIRES

Effets secondaires du vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole)

Au journal du soir sur NBC, j’ai prêté l’oreille aux dernières nouvelles alarmistes. On ne parlait pratiquement que de l’épidémie de rougeole à Disneyland, jusqu’à ce que j’entende : … le vaccin n’a virtuellement aucun effet secondaire. »

 

J’ai rassemblé tous mes esprits.

 

Pratiquement pas d’effets secondaires ?

 

Eh bien, la toute première chose que je vous recommande est de lire la notice du vaccin fournie par le fabricant

 

Veuillez lire la  partie intitulée PRECAUTIONS qui commence à la page 5, ainsi que LES EFFETS SECONDAIRES à la page 6 et continue jusqu’à la page 8.

 

Quand vous aurez parcouru la notice, veuillez également jeter un coup d’œil sur le programme d’indemnisation des dommages vaccinaux.

 

Ensuite, vous pourrez lire l’article traitant du cas d’Hannah Poling qui est devenue autiste après avoir reçu une série de vaccins dont le ROR.

 

Vous devez aussi savoir qu’en dépit de ce que peuvent dire les grands médias – qui sont financés par les publicités de l’industrie pharmaceutique – il y a eu plusieurs cas d’enfants dont l’autisme a été reconnu par le gouvernement des Etats-Unis et dont les familles ont été dédommagées pour une somme, qui pour tous les cas, s’élève à environ 3 milliards de dollars- et cela avec votre argent de contribuable.

 

Dans la suite, veuillez aussi jeter un coup d’œil à cet article qui contient des douzaines de liens au sujet d’une littérature médicale revue par les pairs et qui illustre les dommages causés par le vaccin ROR – et devinez quoi ? Il n’y a pas juste que « l’autisme »….

 

« Virtuellement aucun effet secondaire » ?? Mais…dans quelle galaxie ?

 

Source : Vaxtruth

 

LA VÉRITÉ

 

"La vérité doit être sans cesse répétée parce que l'idée fausse est aussi constamment répandue, et pas par quelques-uns, mais au contraire par la multitude. Dans la presse et les encyclopédies, dans les écoles et les universités, partout l'idée fausse exerce son emprise, contente et à l’aise de savoir qu'elle a la majorité de son côté."  - Johann Wolfgang von Goethe

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27 février 2015 5 27 /02 /février /2015 08:45
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21 février 2015 6 21 /02 /février /2015 15:18
Dr Suzanne Humphries, MD.

 

La souche vaccinale du virus retrouvée dans les épidémies de rougeole

La souche vaccinale du virus retrouvée dans les épidémies de rougeole

Commentaires de l’éditeur de Health Impact News, 13 février 2015

 

Le Dr Suzanne Humphries est néphrologue (spécialiste des reins). Dans la vidéo ci-dessous, elle fait allusion à une étude qui a été réalisée en Croatie [1] où un enfant qui avait été vacciné avec le vaccin ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) a été testé positif pour la souche vaccinale de la rougeole (Schwarz) huit jours après avoir été vacciné.

 

Ce fut là une découverte importante, parce que l’on a cru que les symptômes de l’enfant ressemblaient à ceux de la rubéole. Si le test n’avait pas été réalisé, la maladie aurait erronément été diagnostiquée comme étant la rubéole ou comme une rougeole sauvage contre laquelle le vaccin était sensé agir pour assurer une protection.

 

Cette notion de « shedding » (répandre) au cours de laquelle un enfant attrape la maladie causée par le virus du vaccin, a fortement surpris les chercheurs.

 

L’excrétion de virus à partir des vaccins a déjà été rapportée précédemment, mais à notre connaissance, ceci a été documenté pour la première fois pour la souche Schwarz du vaccin [1]. Depuis 2010 cependant, ce phénomène de « vaccine shedding »  avec le vaccin contre la rougeole dans le ROR a été observé dans au moins deux autres études :

 

Différencier le virus sauvage de la forme atténuée au cours d’une épidémie de rougeole. Paediatrics and Child Health, 2012.

 

Au milieu d’une épidémie locale de rougeole, un enfant récemment immunisé a fait l’objet d’un examen à cause d’une nouvelle éruption cutanée de type rougeole. Les tests d’acide nucléique ont permis d’identifier qu’un virus de la rougeole de type vaccinal était excrété dans l’urine. La différentiation clinique de la rougeole d’une éruption non rougeoleuse est difficile, mais peut bien être étayée par une recherche approfondie de l’histoire de la médecine.

 

On peut s’attendre à ce que des éruptions cutanées se produisent après vaccination. On peut utiliser le test à l’acide nucléique quand il est difficile de faire la différence entre des souches sauvages ou atténuées. [2]

 

Cas de rougeole associé à la vaccination cinq semaines après la vaccination, British Columbia, Canada, Eurosurveillance, 2013.

 

Nous décrivons le cas d’une rougeole chez une fillette de deux ans de Colombie Britannique, Canada, en octobre 2013. Cette fillette a reçu sa première dose de vaccin contre la rougeole 37 jours avant l’apparition des symptômes avant-coureurs. Ce cas survenu après la vaccination  a pu être identifié dans le contexte d’une enquête sur une épidémie de rougeole. [3]

 

Au cours de l’épidémie actuelle de rougeole aux Etats-Unis, les responsables de la santé prennent-ils la peine de tester les cas de rougeole pour pouvoir déterminer s’il s’agit d’une souche sauvage ou de la souche vaccinale ?

 

Peu probable ! Il est tout aussi peu probable que les « médecins apparaissant à la télévision », de même que les grands médias puissent même évoquer le problème étant donné le fait qu’ils vilipendent faussement les parents qui choisissent de ne pas administrer le vaccin ROR à leurs enfants parce qu’ils présentent ces derniers comme étant la cause de ces épidémies. Certains de ces cas ont été confirmés parmi ceux qui ont reçu le vaccin ROR. Est-il donc possible que ceux qui n’ont pas été vaccinés aient été infectés par des personnes récemment vaccinées au moment où le vaccin était toujours dans une phase d’excrétion. Ne serait-ce pas ainsi que la souche vaccinale de la rougeole pourrait passer d’un enfant vacciné à un enfant non vacciné ?

 

Références

 

1. Spotlight on measles 2010: excretion of vaccine strain measles virus in urine and pharyngeal secretions of a child with vaccine associated febrile rash illness, Croatia, March 2010. Croatian Institute of Public Health, Department of Infectious Disease Epidemiology, Zagreb, Croatia. Eurosurveillance, Volume 15, Issue 35, 02 September 2010 (Full Text)

 

2. Differentiating the wild from the attenuated during a measles outbreak. Communicable Disease Control, Alberta Health Services. Pediatricians and Child Health, Apr. 2012; 17(4) (Abstract)

 

3. Case of vaccine-associated measles five weeks post-immunisation, Eurosurveillance, Volume 18, Issue 49, 05 December 2013 (Full Text)

 

Source : Health Impact News

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10 février 2015 2 10 /02 /février /2015 11:00

 

Quelques réflexions sur base du contenu de cette vidéo:

 

- On dramatise 100 cas de rougeole survenus aux Etats-Unis alors que pendant des décennies, avant qu'il n'y ait un vaccin,  il y avait des milliers et même des dizaines de milliers de cas par an et personne n'aurait osé alarmer inutilement les gens à ce sujet.

 

- Appréciez la "scientificité" des propos de Hillary Clinton, l'entièreté de ce site montrant à quel point Hillary Clinton est aussi apte à parler des vaccins qu'elle est apte à présider les Etats-Unis ; -)

 

- Assimiler (par méconnaissance ou par téléguidage) la question du lien entre vaccins et autisme à...des légendes urbaines fait fi non seulement de toutes les autres études qui ont relié les vaccins à l'autisme par divers mécanismes possibles ainsi que celles qui ont confirmé les travaux du Dr Wakefield mais cela fait aussi fi des exigences scientifiques qui sont de mise pour exclure véritablement ce type de lien. Le Dr Bernadine Healy, ex- directrice du National Institute of Health, interrogée par une grosse télé américaine il y a quelques années, a clairement indiqué qu'on ne pouvait pas écarter ce lien entre vaccins et autisme et que la question n'est absolument pas tranchée, tout simplement parce que la méthodologie qui a été utilisée pour soi-disant exclure et analyser ce risque n'est pas adéquate et que les officiels ne veulent absolument rien trouver, par principe, de peur de la réaction du public.

 

En réalité, non seulement le langage des médias DOIT changer (en arrêtant les simplismes et autres copiers-collers du baratin des officiels) mais il VA changer... un exemple d'un nouveau tournant qui se dessine dans le champ médiatique sans lequel les grands médias continueront encore un peu plus de perdre ce qui leur reste de "crédibilité":

 

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8 février 2015 7 08 /02 /février /2015 20:20

Dr ROWEN : "Les vaccins peuvent être plus dangereux que vous l'ayez jamais imaginé"!

 

Dr Rowen -Measles

Inquiets par rapport à la rougeole ?  Si vous êtes vacciné, bien sûr ! Si vous avez mon âge et que vous avez eu la chance de faire une rougeole sauvage, il n’y a aucune raison de vous tracasser.

 

La rougeole est bien trop têtue pour pouvoir être éradiquée. Dans une province chinoise, 99% des enfants ont été vaccinés mais la rougeole reste fortement répandue. Vous ne devez pas être un génie pour comprendre cela. Il est clair que le vaccin contre la rougeole ne fonctionne pas comme on l’avait annoncé. En fait,  dans notre pays, nous avons connu épidémie sur épidémie dans ce qu’on nous a dit être des populations vaccinées. (Voir : une épidémie de rougeole dans un collège avec l’exigence de « prématriculation » - Am.J. Public health, 1991, Mar : 81 (3) : 360-4.PMID :1994745.

 

Il y a longtemps que j’ai écrit un article sur la possible mise en danger de la jeune génération. Les vaccins ne s’adressent qu’à une partie de votre système immunitaire, le système des anticorps, et ils laissent « dormir »  la partie essentielle du système immunitaire, à savoir l’immunité cellulaire. Les deux sont absolument indispensables pour permettre le plein développement de l’immunité.

 

On a démontré que l’immunité vaccinale  diminuait avec le temps. Il est vraiment malheureux qu’au cours des épidémies de rougeole on critique et blâme les parents qui refusent d’administrer à leurs enfants des vaccins qui peuvent endommager leur système immunitaire, alors que les données américaines et chinoises démontrent qu’ils n’ont pas tort.

 

Vous ne verrez jamais pareille explication dans les médias, mais je voulais vous informer ! – Si j’avais aujourd’hui un enfant en âge d’école, je l’enverrais jouer avec des amis qui font la rougeole et la varicelle. Et si mon enfant attrapait la rougeole, je lui administrerais beaucoup de vitamine A et lui ferais bénéficier de la thérapie par l’ozone. De cette manière, je pourrais éliminer les virus en la moitié de temps qu’il n’en faut généralement pour les éliminer (par expérience avec d’autres virus).

 

Ce n’est que dans une certaine mesure qu’il faut craindre la rougeole. La chose est VRAIMENT sérieuse si c’est une première infection qui touche un ADULTE. Quant aux enfants, il est rare  qu’ils fassent de mauvaises complications.  Le taux de décès est de 1-2 pour 100.000 cas. Mais je parie que je pourrais réduire ces taux de 95% grâce à l’oxydation et à la vitamine A (Au cours d’une épidémie en Afrique, la vitamine A a permis de réduire de 80% les complications : Am. J. Clin. Nutr. 1991, Nov ; 54(5) : 890-5)  - Maintenant, il est clair que je ne voudrais pas faire partie du 1 pour 100.000 qui pourrait présenter des complications mortelles. Mais la vaccination est-elle justifiée par rapport à des risques aussi minces ?

 

Nous avons une génération d’handicapés du système immunitaire dans notre jeunesse. L’asthme, l’eczéma et autres maladies du système immunitaire sont endémiques. L’autisme a explosé. On atteint une situation de crise.

 

J’ai eu de la chance d’avoir fait la rougeole, la varicelle, la rubéole, les oreillons etc. La recherche montre que si nous vivons dans un environnement stérile, notre système immunitaire ne pourra que s’affaiblir. Les maladies de l’enfance peuvent, il est vrai, présenter un petit risque (risque qui selon moi pourrait pratiquement être éliminé par des thérapies oxydatives). Mais il pourrait y avoir avec les vaccins beaucoup plus de risques de dysfonctionnement immunitaire permanent, et même de cancer que les experts ne relèveront jamais, étant ainsi incapables d’en établir l’origine. Même les complications horribles de la polio ont, il y a déjà trois générations, été atténuées par une forme de thérapie par l’ozone, l’irradiation ultraviolette du sang et la vitamine C par voie intraveineuse.

 

Je ne suis pas d’accord du tout avec le programme de vaccination forcée. L’immunité de groupe s’est avérée être un échec (voir série d’articles ci-dessous). L’immunité des vaccins qui diminue avec le temps, rend éventuellement possible le fait que toute une génération abusée par les vaccins devienne vulnérable aux maladies que leurs corps auraient des difficultés à maîtriser en tant qu’adultes, alors que leur système immunitaire risque d’être dérangé pour la vie. Je vous en supplie informez-vous et prenez conscience des échecs des vaccins AVANT de condamner les mamans qui, avec raison, ne veulent pas mettre leurs chers enfants dans les mains de ceux qui administrent les dangereuses potions d’une Big Pharma discréditée.

 

Si les vaccins étaient vraiment le fin du fin, pourquoi le gouvernement Américain aurait-il accordé une totale impunité juridique aux firmes au cas où un vaccin devrait causer des dommages à l’un de vos enfants ? (A titre personnel, je pense qu’il s’agit d’une violation des droits.) Quelque chose sent donc ici bien mauvais. En ce qui me concerne, je pratique des thérapies qui ne peuvent faire de mal. Mais vous n’imaginez pas que le gouvernement puisse me garantir une immunité juridique en cas de négligence, comme c’est le cas pour Big Pharma avec ses vaccins et autres produits.

 

Lire l’article complet du Dr Rowen.

 

Source : Health Impact News

 

Voir aussi :

 

L’immunité de groupe : une science de pacotille

 

L’immunité de groupe : mythe ou réalité ?

 

L’épidémie silencieuse : l’histoire cachée des vaccins

 

L’échec du vaccin contre la varicelle

 

Le mythe de l’immunité de groupe

 

L’immunité de groupe par la vaccination : une totale impossibilité

 

L’immunité de groupe : un fait ou un mythe ?

 

En Anglais :




 

- See more at: http://healthimpactnews.com/2015/dr-rowen-measles-spread-by-those-vaccinated/#sthash.eyWzzfsL.dpuf

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5 février 2015 4 05 /02 /février /2015 22:30

USA : nombre de décès par rougeole au cours des 10 dernières années 

Nombre-de-deces-par-rougeole-USA.JPG

Par Brian Shilhavy, Health Impact News, 31 janvier 2015

 

Alors que le débat sur la rougeole et le vaccin contre la rougeole fait rage sur internet et devient quasi frénétique, il est toujours bon de s’en référer à l’opiniâtreté de faits et de chiffres.

 

Alors, voici quelques faits facilement vérifiables sur les décès dus à la rougeole aux Etats-Unis pour les 10 dernières années, et les décès dus aux vaccins contre la rougeole au cours de la même période de 10 ans

 

Tout d’abord, les Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC) enregistrent chaque semaine les foyers de maladie, y compris les décès.

 

Selon une déclaration faite par le Dr Anne Schuchat, directrice du Centre national du CDC pour l’immunisation et les maladies respiratoires, (Document de l’Associated Press repris par Fox News le 25 avril 2014 :

 

Il n’y a pas eu de décès par rougeole aux Etats-Unis depuis 2003.

 

Les rapports hebdomadaires de morbidité et de mortalité (MMWR- CDC) n’ont depuis cette date, signalé aucun cas de décès par rougeole.

 

Alors que les autorités de Santé attribuent les flambées de rougeole de ces dernières années aux enfants non vaccinés, quand vous mentionnez le fait que personne ne meurt de la rougeole aux Etats-Unis, ils sont prompts à réagir pour prétendre que ce sont les vaccins qui ont éliminé la mortalité rougeoleuse (même si apparemment ils ne parviennent même pas à éliminer la maladie !)

 

Outre l’évidente contradiction dans ce raisonnement avec pareille prétention, on possède des preuves historiques incontournables.

 

US-Measles-mortality-rates--2015-.jpgTaux de mortalité par rougeole aux USA – introduction du vaccin en 1963

 

Décès à la suite des vaccins contre la rougeole

 

Qu’en est-il des décès survenus après le vaccin contre la rougeole au cours de la même période ?

 

Le gouvernement américain dispose d’une base de données de rapports appelée « Vaccine Adverse Events System » (VAERS). Ces données sont accessibles au public.

 

Nous avons effectué une recherche sur une période de dix ans pour les décès dus à tous les vaccins contre la rougeole, y compris certains qui ne sont plus produits.  Le résultat de ces recherches nous a amenés à découvrir qu’il y a eu 108 décès au cours de cette période pour quatre vaccins différents contre la rougeole et qui ont été commercialisés aux Etat-Unis au cours des 10 dernières années.

 

VAERS-Measles-Vaccine-Deaths.jpg

Aujourd’hui on ne peut plus acheter le vaccin contre la rougeole qu’en combinaison avec les vaccins contre les oreillons et la rubéole.

 

Une recherche effectuée sur le seul vaccin ROR montre qu’au cours des 10 dernières années il y a eu 96 décès.

 

MMR-Deaths-2015.jpg


Quiconque possède un ordinateur et a accès à internet peut retrouver cette base de données en se rendant sur MedAlerts.org

 

Ces bases de données ne reflètent que les décès  qui ont été signalés au cours d’une période déterminée, et ne reflètent qu’un nombre beaucoup plus faible que ce qui se passe dans la réalité, étant donné que la plupart des médecins et des autorités de santé croient que les vaccins sont sans danger et ne s’aventureraient pas attribuer un décès à un vaccin et à en rapporter le cas.

 

Les règlements des dommages vaccinaux de la rougeole par le gouvernement américain

 

Un autre moyen de trouver de l’information sur les dommages et les décès causés par le vaccin anti-rougeoleux est de consulter les documents ayant trait aux règlements des dommages et des décès dus aux vaccins ROR. Le public américain n’est généralement pas conscient que l’immunité juridique a été accordée aux fabricants de vaccins et que depuis 1986 ces derniers ne peuvent être poursuivis devant un tribunal civil pour dommages ou décès à la suite de vaccinations. Si une personne subit des dommages ou décède à la suite de vaccins, la famille ou la personne  pourra poursuivre le gouvernement des Etats-Unis devant le « tribunal spécial des vaccins ».

 

Le Ministère de la Justice publie des rapports trimestriels sur les plaintes et le règlement des affaires. C’est comme cela qu’il est possible d’effectuer des recherches sur le règlement des affaires ayant trait aux vaccins sur le site web des tribunaux fédéraux des Etats-Unis.

 

Par exemple la recherche pour « rougeole » donne comme résultat 111 plaintes pour le vaccin ROR réglées depuis 2004. Certains dossiers concernent des plaintes pour des décès en relation avec le vaccin ROR comme il en fut déterminé par le juge.

 

Nous n’avons pas fait de recherches pour savoir combien de plaintes concernaient des décès…

 

Il faut plusieurs années pour gagner un procès devant ce tribunal. Les chiffres que nous connaissons ne représentent donc sûrement qu’une fraction infime des dommages et des décès réels dus au vaccin ROR.

 

Conclusion : l’enthousiasme que manifestent certains pour le vaccin contre la rougeole repose en grande partie sur la peur et sur des croyances

 

Nous réalisons parfaitement que ceux qui croient aux vaccins ne seront pas nécessairement convaincus par ces faits, bien que tout un chacun possédant un ordinateur et ayant accès à internet puisse lui-même vérifier à partir des sources du Gouvernement Américain.

 

 

Après avoir publié quelques histoires sur le problème de la rougeole, et après avoir reçu des centaines de commentaires, il nous apparaît clairement que ceux qui ont des opinions bien arrêtées sur le vaccin contre la rougeole sont davantage mus par la peur et par les croyances que par les faits ou la science. Il conviendrait de s’opposer vigoureusement à toute tentative  de ces promoteurs de vaccins d’imposer leurs croyances au reste de la population des Etats-Unis.

 

Source: Vaccine Impact

 

Si on ne peut affirmer que tous ces décès ont été causés par le ROR, il ne faut pas oublier qu’ils peuvent l’avoir été par un ou plusieurs autres vaccins faits concomitamment. Les officiels vous diront que le rapport d’effets secondaires au système VAERS n’est pas une preuve de causalité mais, à l’inverse, personne ne peut prétendre qu’aucun de ces décès n’est lié au moindre vaccin, cela n’est absolument pas crédible non plus. En outre, il faut aussi rappeler que des systèmes comme le VAERS n’enregistre que 1 à 10% tout au plus des effets secondaires graves de vaccins, ce qui éclaire d'un tout autre jour ces statistiques de décès, en regard de la prétendue « grande victoire » du zéro décès dû à la rougeole…

 

Voir aussi :











 

En anglais





- See more at: http://vaccineimpact.com/2015/zero-u-s-measles-deaths-in-10-years-but-over-100-measles-vaccine-deaths-reported/#sthash.ynfXb9Lt.dpuf

 

 

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30 janvier 2015 5 30 /01 /janvier /2015 21:16

Épidémie de rougeole à Disneyland :  le vaccin serait en cause

 

Par Sayer Ji, Greenmedinfo, 20 janvier 2015

 

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Alors que l’on rejette la responsabilité de l’épidémie de rougeole de Disneyland sur les non-vaccinés, de nombreux éléments tendent au contraire à prouver que ce  vaccin inefficace serait à l’origine de l’épidémie.

 

Ce dernier stratagème qui consiste à attribuer aux non-vaccinés la responsabilité d’un vaccin qui manque d’efficacité s’est en fait répandu dans tous les médias grâce aux stratégies  marketing de l’industrie du vaccin et du complexe médico-industriel.

 

Il y a deux ans, quand une débâcle similaire a eu lieu, j’ai écrit un article qui s’intitulait : « L’épidémie de rougeole de 2013 : l’échec d’un vaccin et non le refus de se faire vacciner » et qui a contribué à déconstruire le mythe que les non-vaccinés étaient responsables de l’épidémie de rougeole dans des populations fortement vaccinées. Selon la propagande en vigueur, ce sont les communautés religieuses, les visiteurs en provenance de pays où la rougeole est endémique, ainsi que ceux qui refusent les vaccinations aux Etats-Unis, qui sont responsables du fait que la vaccination contre la rougeole n’ait pas pu conférer une immunité durable.

 

Si l’on prend conscience de la marée montante des épidémies qui résistent à la vaccination aux Etats-Unis et à l’étranger - varicelle,  zona, oreillons, coqueluche, grippe, HPV (Gardasil), hépatite B pour n’en citer que quelques unes en se basant sur la littérature revue par les pairs – il est clair que ce sont les vaccins et non ceux qui refusent de s’y soumettre qui sont à la racine du problème. Et nulle part ailleurs ceci n’est plus clair qu’avec le vaccin contre la rougeole.

 

Comment le savons-nous ?


Il y a juste quelques mois, une étude  publiée dans la revue PLoS et intitulée : « Difficultés dans l’élimination de la rougeole et du contrôle de la rubéole, ainsi que des oreillons : une étude transversale d’une première vaccination contre la rougeole et la rubéole et une seconde vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole », a mis en lumière l’inefficacité flagrante de deux vaccins contre la rougeole (Rougeole-Rubéole (MR) et rougeole-oreillons-rubéole (MMR = ROR en français) à remplir leur promesse claironnée sur tous les toits de prévenir les épidémies dans des populations fortement vaccinées. Nous avons approfondi les implications de cette étude dans notre article, « Pourquoi la Chineconnaît-elle des épidémies de rougeole dans des populations vaccinées à 99% ?»

 

En outre, comme nous l’avons expliqué dans un autre article : « La rougeole : une vague de désinformation », le vaccin contre la rougeole n’est pas aussi sûr et efficace que l’on veut nous faire croire. Les épidémies de rougeole se sont toujours produites dans des populations hautement vaccinées. En voici quelques exemples repris dans la littérature médicale :

 

1985, Texas, USA : selon un article publié dans the New England Journal of Medicine en 1987, « une épidémie de rougeole s’est produite chez des adolescents de Corpus Christi, Texas au cours du printemps de 1985, alors que les exigences de la vaccination pour pouvoir fréquenter les écoles avaient été complètement appliquées. Les auteurs ont conclu : « Nous concluons que les épidémies de rougeole peuvent se produire dans des écoles secondaires, même si plus de 99% des élèves ont été vaccinés et plus de 95% immunisés.» [1]

 

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1985, Montana, USA : selon un article publié dans the American Journal of Epidemiology intitulé « Une épidémie persistante de rougeole en dépit des mesures de prévention et de contrôle appropriées », une épidémie de 137 cas de rougeole s’est produite dans le Montana. Les dossiers scolaires ont indiqué que 98,7% des élèves avaient été vaccinés de façon appropriée. Ce qui a conduit les chercheurs à conclure : «  Cette flambée suggère que la transmission de la rougeole peut persister dans certains milieux, malgré la mise en œuvre appropriée d’une stratégie d’élimination de la rougeole.» [2]

 

1988, Colorado, USA : selon un article publié dans l’ « American Journal of Public Health en 1991, « au début de 1988 , une flambée de 84 cas de rougeole s’est produite dans un collège du Colorado où plus de 98 %  des étudiants avaient les preuves qu’ils avaient été correctement immunisés contre la rougeole… en raison d’une obligation de vaccination en vigueur depuis 1986. Les chercheurs ont conclu : «… des flambées de rougeole peuvent survenir parmi les populations de collèges hautement vaccinées.» [3]

 

1989, Québec, Canada : selon un article publié dans le Canadian Journal of Public Health en 1991, l’épidémie de rougeole de 1989 a été « largement attribuée à une couverture vaccinale incomplète », mais, à la suite d’un examen plus approfondi, les chercheurs ont conclu que : « une couverture vaccinale incomplète n’est pas une explication valable pour l’épidémie de rougeole à Québec City ». [4]

 

1991-1992, Rio de Janeiro, Brésil : selon un article publié dans le journal Revista da Sociedade Brasileura de Medicina Tropical, au cours d’une épidémie de rougeole qui s’est produite de mars 1991 à avril 1992 à Rio de Janeiro, 76,4 % des personnes qui ont été soupçonnées d’avoir été infectées avaient reçu le vaccin contre la rougeole avant leur premier anniversaire. [5]

 

1992, Cape Town, Afrique du Sud : selon un article publié dans le South African Medical Journal en 1994, « une épidémie s’est produite au mois d’août 1992. Des cas ont été rapportés dans plusieurs écoles chez des enfants vraisemblablement immunisés.» On a estimé que la couverture vaccinale contre la rougeole était de 91 % et l’efficacité du vaccin jugée à seulement 79% ce qui a conduit les chercheurs à conclure que l’échec des premiers et deuxièmes vaccins pouvait être une explication possible de l’épidémie. [6]

 

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« Vacciner contre la rougeole n’est pas seulement inutile mais dangereux. Jadis, les nourrissons n’attrapaient pas la rougeole. Ils recevaient la protection de leur mère qui avait généralement fait la rougeole (petite). Les mères qui ont été vaccinées contre la rougeole ne peuvent plus transmettre la protection à leurs bébés. C’est pourquoi, aujourd’hui on peut voir des nourrissons qui font la rougeole.» - Dr Gerhard Buchwald, M.D.

 

Ces six cas d’épidémies ne sont en aucun cas exhaustifs parmi la littérature médicale. Mais ils illustrent à quel point le grand public est trompé au sujet de l’efficacité des vaccins contre la rougeole, ainsi qu’au sujet du calendrier vaccinal du CDC en général. On ne pourra jamais éliminer le fait que vaccination n’équivaut pas à immunisation et que l’antigénicité n’est pas égale à l’immunogénicité.

 

La foi superstitieuse, ironiquement basée sur des croyances sans véritable preuve de l’infaillibilité des vaccins n’est plus à démontrer. Elle explique que les mouvements grandissants  qui visent à informer le public sur la véritable nature des vaccins sont de plus en plus taxés «d’anti-vaccins», alors qu’en fait ces mouvements sont pour une véritable prise de conscience des échecs vaccinaux, comme des innombrables victimes des vaccinations de par le monde.

 

L’UNICEF et la Fondation Bill et Mélinda Gates peuvent continuer à étiqueter de «menteurs» et de «tueurs d’enfants» ceux qui apportent au public une littérature de preuves revues par les pairs, comme la chose s’est passée au cours d’une interview de CNN avec le Dr Sanjay Gupta. Mais tout ceci ne fait qu’augmenter les soupçons du public par rapport au véritable programme qui se cache derrière leur plaidoyer de bienfaisance pour sauver les pauvres et les nécessiteux de l’enfer de la maladie, au lieu de se concentrer sur l’amélioration de leurs conditions de vie les plus élémentaires: l’alimentation, l’assainissement, la réfrigération, l’eau potable etc., et s’efforcer de réduire la violence géopolitique qui ruine la vie de centaines de millions de personnes.

 

La rougeole n’en reste pas moins une vraie maladie qui comporte des effets secondaires dont certains peuvent s’avérer mortels chez des personnes déjà immunodéprimées (la vaccination représente une cause importante de déséquilibres des TH1/TH2). Mais, comme c’est le cas avec toutes les maladies infectieuses, c’est notre statut immunitaire qui détermine notre susceptibilité comme la légèreté ou la gravité de la maladie. Il n’est pas possible d’évacuer les conditions qui contribuent à compromettre l’immunité. Il n’est pas possible non plus « d’immuniser » les gens - tout spécialement les parents – par rapport au désir de chercher la vérité au sujet des vaccins.

 

Notes

 

1. T L Gustafson, A W Lievens, P A Brunell, R G Moellenberg, C M Buttery, L M Sehulster. Measles outbreak in a fully immunized secondary-school population. N Engl J Med. 1987 Mar 26 ;316(13):771-4. PMID: 3821823

2. R M Davis, E D Whitman, W A Orenstein, S R Preblud, L E Markowitz, A R Hinman. A persistent outbreak of measles despite appropriate prevention and control measures. Am J Epidemiol. 1987 Sep ;126(3):438-49. PMID: 3618578

3. B S Hersh, L E Markowitz, R E Hoffman, D R Hoff, M J Doran, J C Fleishman, S R Preblud, W A Orenstein. A measles outbreak at a college with a prematriculation immunization requirement. Am J Public Health. 1991 Mar ;81(3):360-4. PMID: 1994745

4. N Boulianne, G De Serres, B Duval, J R Joly, F Meyer, P Déry, M Alary, D Le Hénaff, N Thériault.[Major measles epidemic in the region of Quebec despite a 99% vaccine coverage]. Can J Public Health. 1991 May-Jun;82(3):189-90. PMID: 1884314

5. S A de Oliveira, W N Soares, M O Dalston, M T de Almeida, A J Costa. Clinical and epidemiological findings during a measles outbreak occurring in a population with a high vaccination coverage. Rev Soc Bras Med Trop. 1995 Oct-Dec;28(4):339-43. PMID: 8668833

6. N Coetzee, G D Hussey, G Visser, P Barron, A Keen. The 1992 measles epidemic in Cape Town–a changing epidemiological pattern. S Afr Med J. 1994 Mar ;84(3):145-9. PMID: 7740350 

 

Sources: Greenmedinfo & Globalresearch.ca

 

Voir aussi :


Vaccination contre la rougeole : nouvelle campagne de peur lancée en Flandre

Les vaccins peuvent provoquer la rougeole

Décès de 15 enfants syriens après les vaccinations de l’ONU contre la rougeole

Népal : 4 décès d’enfants suite au vaccin contre la rougeole

Un vaccinologue acharné reconnaît que le vaccin contre la rougeole n’empêchera pas les épidémies

Epidémie de rougeole en Irlande avec un taux de vaccination de 86%

Rougeole : le vaccin est-il administré trop tôt ?

Informations de base sur la rougeole (groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins)

Rougeole : comment survivre à la panique (groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins)

Effets du vaccin ROR : des parents jettent une bouteille à la mer

« Ma fille est handicapée suite au Prevenar et au ROR faits en même temps »

Cinq familles devant la justice (effets tragiques des vaccins dont le ROR)

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