Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
27 septembre 2014 6 27 /09 /septembre /2014 08:58

Pourquoi la Chine connaît-elle des épidémies de rougeole alors que sa population est vaccinée à 99% ?

 

Chine-vaccination-rougeole.JPG

 

Par Sayer Ji, 20 septembre 2014

 

La Chine est l’un des pays au monde qui se conforme le plus aux programmes de vaccinations. En Chine, le vaccin contre la rougeole est obligatoire. Alors pourquoi ce pays a-t-il connu  plus de 700 épidémies de rougeole rien qu’entre 2009 et 2012 ? La réponse la plus évidente c’est que les vaccins contre la rougeole ne sont tout simplement PAS efficaces.

 

Une étude récente publiée dans PLoS intitulée « Difficultés rencontrées dans l’élimination de la rougeole comme dans le contrôle de la rubéole et les oreillons : une étude transversale d’une première vaccination contre la rougeole et la rubéole et une deuxième vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole » a mis en lumière l’inefficacité flagrante de deux vaccins contre la rougeole (rougeole-rubéole ou « MR » en anglais) ou rougeole-oreillons-rubéole (ROR), alors que ces vaccins étaient très clairement sensés prévenir les épidémies dans les populations largement vaccinées.

 

Selon l’étude : « La couverture vaccinale déclarée contre la rougeole et la rubéole (RR) ou contre la rougeole-oreillons-rubéole (ROR) dépasse les 99,0% dans la province de Zhejiang. Cependant, l’incidence de la rougeole des oreillons et de la rubéole reste élevée. »

 

La grande expérience de la vaccination obligatoire en Chine s’avère être un ECHEC

 

Zhejiang est la province côtière orientale de la République populaire de Chine et compte 55 millions d’habitants. Tous les enfants de cette région reçoivent une première dose obligatoire de vaccin contre la rougeole et la rubéole (MR) à 8 mois, ainsi qu’une autre dose du vaccin rougeole-oreillons-rubéole (ROR) à 18-24 mois.

 

Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont étudié un sous-ensemble de 1.015 habitants de Zehjiang. Ils ont constaté que, malgré les récentes flambées de rougeole, 93,6% de ces personnes étaient séropositives pour les anticorps de la rougeole, ce qui signifie qu’ils avaient vraisemblablement des anticorps protecteurs induits par la vaccination contre la rougeole dans leur sérum sanguin – plus que ce qui est nécessaire pour atteindre le soi-disant seuil de « l’immunité de groupe » de 88%-92%, ce qui est souvent prétendu être la solution pour l’extinction des maladies infectieuses. [2] Et pourtant, en dépit de cette théorie « protectrice » 8,6% des sujets ont développé une rougeole.

 

Une autre étude récente, publiée dans le Bulletin de l’Organisation Mondiale de la Santé (une source qui fait autorité) a étudié les dernières flambées de rougeole dans toute la Chine et a trouvé que 707 épidémies de rougeole s’étaient produites dans le pays entre 2009 et 2012, avec une forte tendance à la hausse en 2013 : « Le nombre de cas de rougeole rapportés au cours des 10 premiers mois de 2013, soit 26.443, était trois fois plus élevé que celui des cas rapportés tout au cours de toute l’année 2012. » Ceci est d’autant plus étrange que depuis 2009, « plus de 90% de la population cible avait reçu la première dose du vaccin anti-rougeoleux. » On aurait normalement pu s’attendre à ce que l’augmentation du taux de vaccination se traduise par une diminution des cas de rougeole.

 

Il est clair que les vaccins ne sont pas aussi efficaces qu’on le prétend. Il en va de même pour l’immunité de groupe qui est tout à fait discréditée. Voir les preuves épidémiologiques qui le démontrent sans équivoque : ICI et ICI.

 

L’échec de la théorie des anticorps protecteurs induits par les vaccins prend plus de sens encore si l’on étudie ce principe fondamental de la vaccinologie/immunologie qui a été récemment remis en question : « Une étude remet en question la justification première des vaccins »

 

Le fait d’injecter de l’aluminium ou d’autres adjuvants hautement toxiques avec pour objectif de stimuler des titres élevés d’anticorps n’est pas en lui-même une garantie de protection.

 

Au contraire, c’est un peu comme si vous disiez que vous avez amélioré l’état de santé d’une ruche en la secouant à coups de pieds pour exciter les abeilles et les amener à piquer (et donc à mourir) tout ce qu’elles rencontrent à proximité.

 

Nous vous suggérons fortement de vous procurer un exemplaire du livre Vaccine Illusion de Tetyana Obukhanych (Ph.D en immunologie, Université Rockefeller de New York) pour apprendre la vérité quasi universellement camouflée sur les dangers et l’inefficacité des vaccinations.

 

L’objectif de l’OMS d’éradication de la rougeole en Chine avec les vaccins obligatoires a échoué

 

En 2005, le Comité régional de l’OMS, Région du Pacifique occidental a établi 2012 comme date butoir pour l’éradication régionale complète de la rougeole. Pour atteindre cet objectif, le Ministère chinois de la Santé a rendu la vaccination contre la rougeole obligatoire. Un an plus tard, en 2006, la Chines’est fixée comme objectif d’accélérer le processus d’élimination de la rougeole pour 2012, en s’efforçant de garder l’incidence de la rougeole en-dessous de 0,1 pour 100.000, et a ensuite élaboré une série de stratégies de vaccination pour atteindre ces objectifs.

 

Et pourtant, en dépit de la mise en œuvre quasi universelle de la vaccination multi-doses des flambées de rougeole, d’oreillons et de rubéole ont continué à affecter les personnes qui recevaient ces vaccins.

 

« Des flambées de rougeole ont continué d’apparaître en 2008, avec 12782 cas signalés, soit 252.61 cas par million. De 2009 à 2011, l’incidence de la rougeole est restée élevée, soit de 3.14-17.2 par million. De même l’incidence des oreillons a aussi augmenté passant de 394.32 à 558.26 par million en 2007 et 2008. Finalement, les cas de rubéole signalés ont augmenté de 3.284 à 4.284 en 2007 et 2011 ; ce qui représente une augmentation de 30,45% passant de 65.94 à 78.71 par million. Par conséquent, l’élimination de la rougeole, le contrôle des oreillons et de la rubéole sont devenus des priorités urgentes de santé publique dans les régions concernées. » [1]

 

Comme nous l’avons vu dans un précédent article, « La rougeole : une vague de désinformation », levaccin contre la rougeole n’est ni aussi sûr, ni aussi efficace que ce qu’on a cru. Des épidémies de rougeole ont toujours eu lieu dans des populations fortement vaccinées. Pour un examen plus approfondi de la littérature épidémiologique sur les flambées de rougeole au sein de populations fortement vaccinées, lire : « L’épidémie de rougeole de 2013 : l’échec d’un vaccin et non un échec de la vaccination. »

 

Malheureusement, la dernière étude recommande que le vaccin ROR soit administré cette fois en deux doses. La première devant être administrée à 8 mois et la seconde à 18-24 mois. L’étude suggère qu’en plus d’un autre vaccin ROR, une campagne accélérée de vaccination MR soit mise sur pied pour les adolescents plus âgés et les jeunes adultes, en particulier les jeunes femmes. »

 

Quand l’establishment médical pro-vaccins est confronté aux preuves de l’échec de leurs campagnes de vaccination, leur réponse historique a souvent été d’ajouter  1 ou 2 « boosters » au lieu de reconnaître la folie de s’en remettre exclusivement aux vaccins alors que d’autres paramètres seraient à envisager comme la nutrition, la vitamine D, l’amélioration des conditions d’hygiène etc. [Jetez également ici un coup d’œil à l’échec des campagnes de vaccination, avec le même genre de recommandations infructueuses.] Cette approche est intellectuellement malhonnête et impitoyable. En fait il s’agit du principal moteur de l’augmentation du nombre déjà dangereusement élevé de vaccins qui font partie du calendrier fou de vaccinations du Centre de Contrôle des Maladies (CDC).

 

Un programme qui comporte le plus grand nombre de vaccins au monde et au sujet duquel on voudrait nous faire croire qu’il n’a rien à voir avec l’augmentation des taux d’autisme (1 sur 5.000 en 1975 ; 1 sur 65 aujourd’hui). N’est-il pas choquant et scandaleux que notre pays se situe à la 33ème  place pour les taux de mortalité infantile des pays développés ?

 

Un autre problème très préoccupant avec la nouvelle étude c’est qu’elle ne mentionne pas les effets indésirables inattendus et connus de la vaccination.

Au début de cette année, nous avons fait écho à une autre étude chinoise sur les vaccins. Cette étude a montré que « 42% des réactions indésirables aux médicaments sont à mettre en relation avec les vaccins ».  

 

Et bien sûr, nous ne pouvons pas laisser de côté le plus grand camouflage de notre temps : William Thompson, un scientifique de premier rang du CDC, tire le signal d’alarme et explique comment sa propre Agence (CDC) a camouflé pendant une décennie le lien entre autisme et vaccin (il est probable que d’autres malhonnêtetés soient encore à découvrir). Il est lamentable qu’aucun grand média n’ait couvert cette histoire de manière honnête et sérieuse. Combien de nourrissons ou d’enfants chinois auront-ils encore à subir des retards de développement ou d’autres problèmes neurologiques pour avoir été vaccinés avec le même vaccin ROR qui, d’après le CDC, a fait tant de mal aux garçons Afro-Américains? Nous ne le saurons jamais, mais nous pouvons être certains que ces enfants ne sont pas à l’abri de dangers pourtant bien documentés.

 

Compte tenu de la gravité des dangers potentiels associés aux vaccins de routine comparativement aux risques probablement moins graves associés à des infections naturelles comme la rougeole, la question ici est de pouvoir, grâce à la littérature médicale elle-même, vraiment peser le pour et le contre afin de pouvoir aider les parents à prendre leurs propres décisions. Ce sont les parents qui ont le droit et la responsabilité de choisir les interventions médicales auxquelles doivent être soumis leurs enfants. Pour plus d’information (en anglais), utilisez notre base de données sur les vaccins.

 

Références :

 

[1] Zhifang Wang, Rui Yan, Hanqing He, Qian Li, Guohua Chen, Shengxu Yang, Enfu Chen. Difficulties in eliminating measles and controlling rubella and mumps: a cross-sectional study of a first measles and rubella vaccination and a second measles, mumps, and rubella vaccination. PLoS One. 2014 ;9(2):e89361. Epub 2014 Feb 20. PMID: 24586717

 

[2] Vaccination and herd immunity to infectious diseases. Anderson RM, May RM Nature. 1985 Nov 28-Dec 4; 318(6044):323-9. [PubMed]  

 

Source : Greenmed.info

 

Voir aussi :

 

CNN révèle la fraude du CDC : ils ont dissimulé au public 340% de risques d’autisme liés aux vaccins !

 

Fraude et mensonges des officiels américains sur le lien entre autisme et vaccins : quelles conséquences pour les enfants belges ?

 

Effets du vaccin ROR : des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

 

Déjà 11 décès de nourrissons liés au vaccin hépatite B en Chine mais l’OMS continuer d’affirmer qu’il est sûr

 

Nouvelle étude : 42,5% des effets secondaires médicamenteux rapportés chez les enfants sont causés par les vaccins

 

Aveux des officiels chinois : pour sauver une vie, les vaccins handicapent 1000 enfants

 

Chine : GSK doit payer 380 millions d’euros d’amende pour corruption

 

Des dirigeants de GSK en prison en Chine

 

Chine : le scandale GSK s’étend à d’autres labos

 

 

Partager cet article
Repost0
14 juin 2014 6 14 /06 /juin /2014 15:00

"Je ne suis pas anti-vaccin, mais le vaccin contre la rougeole n’empêchera pas les épidémies"

 

Par Lawrence Solomon, 9 juin 2014


Vaccine_Shot--rougeole-.jpg

 

Les récentes épidémies de rougeole au Canada et aux Etats-Unis ont représenté un choc pour de nombreux experts de santé publique. Mais pas pour le Dr Gregory Poland qui est l’un des penseurs les plus admirés et les plus avancés au monde dans le domaine de la vaccinologie.

 

Le vaccin contre la rougeole a échoué, a-t-il expliqué il y a deux ans dans un article prémonitoire : « La résurgence de la rougeole dans les pays développés ».

 

Dans cet article, il a averti qu’en raison de facteurs que la plupart n’ont pu remarquer, la rougeole qui réapparait pose une menace grave de santé publique. Heureusement, dans ce document et ailleurs, il a aussi précisé ce qu’il y avait lieu de faire.

 

Le Dr Poland n’est pas contre les vaccins. Non seulement il figure parmi les critiques les plus virulents de « l’irrationalité des antivaccinalistes », mais il est aussi l’un des  plus ardents défenseurs des vaccins et du bien que ceux-ci peuvent apporter.

 

Comme professeur de médecine, et fondateur de la recherche sur les vaccins de la Clinique Mayo, l’une des plus grandes organisations de recherche sur les vaccins au monde ; en tant que rédacteur en chef de la revue scientifique Vaccine évaluée par les pairs ; en tant que récipiendaire de nombreux prix ; en tant que président du comité de suivi des données sur les vaccins pour le géant pharmaceutique Merck ; en tant que titulaire de brevets de fabrication de vaccins ; en tant que personnalité qui jouit du statut d’employé spécial des Centres de contrôle et de maladies du Département Américain de la Défense, et en tant que personne qui siège à chaque comité fédéral ayant trait aux vaccins, il ne peut être accusé d’avoir une perspective étroite dans la domaine des vaccins.

 

Il voit la nécessité d’une refonte majeure, après avoir conclu qu’il est peu probable que le vaccin  actuel contre la rougeole soit à la hauteur prévue pour lutter contre la maladie :

 

« Les épidémies se produisent même dans des pays très développés où l’accès aux vaccins, aux infrastructures de santé publique, l’alphabétisation ne sont pas des questions importantes. Tout ceci est inattendu, ainsi qu’un signe avant-coureur inquiétant – Des épidémies de rougeole se produisent là où on les attend le moins. », écrit-il dans son article de 2012, et dans lequel il énumère « le nombre surprenant de cas qui se sont produits chez des personnes qui avaient précédemment reçu un ou même deux doses (documentées) du vaccin contre la rougeole. »

 

Au cours des épidémies de 1989-1991 aux Etats-Unis, 20 à 40% des personnes touchées avaient reçu une ou deux doses du vaccin. Au cours de l’épidémie de 2011 au Canada « plus de 50% des 98 personnes  avaient reçu deux doses de vaccin contre la rougeole. »

 

Entre 2005 et 2011, le Dr Poland a relevé 15 foyers aux Etats-Unis et 33 en Europe au cours de la seule année 2011, impliquant plus de 30.000 cas connus. Entre-temps, «le Royaume-Uni avait une fois de plus déclaré une épidémie de rougeole… pareilles flambées résultent à la fois de l’absence de vaccination et de l’échec du vaccin. »

 

Le Dr Poland souligne souvent qu’il est déplorable que les gens ne se fassent pas vacciner. Mais le problème le plus fondamental découle  du fait que, dans la vie réelle, le vaccin est moins efficace que prévu, avec un taux d’échec trop élevé – entre 2 et 10 % ne développent pas les anticorps attendus après avoir reçu les deux vaccins recommandés. Parce que les personnes ont des types génétiques différents, le vaccin constitue un raté chez beaucoup, ne fournissant pas la protection attendue.

 

Pour aggraver les choses, même si le vaccin prend, la protection diminue rapidement, ce qui rend irréaliste l’objectif d’atteindre les 95% de couverture vaccinale dans la population générale qui sont estimés nécessaires pour protéger la santé publique. A titre d’exemple, 9 % des enfants qui reçoivent deux doses de vaccin comme les autorités de santé le recommandent, auront perdu leur immunité après sept ans et demi. Au plus les années passeront, au plus ils perdront de l’immunité. « Cela conduit à une situation paradoxale où, dans les sociétés hautement immunisées, la rougeole se produit principalement chez les personnes qui ont été vaccinées antérieurement » a expliqué le Dr Poland.

 

Les insuffisances du vaccin contre la rougeole ne s’arrêtent cependant pas là.

 

« Il ne peut être administré à ceux qui sont immunodéprimés, qui ont des allergies aux composants du vaccin, aux femmes enceintes [parmi d’autres limitations, laissant] une grande partie de la population sensible et non protégée contre la rougeole. Ces cas continueront de se produire. »

 

Selon le Dr Poland, la réponse se trouve dans nos gènes. En raison de leur prédisposition génétique, certaines personnes ne répondent pas à la vaccination contre la rougeole, même avec des rappels supplémentaires. De même, la prédisposition génétique des autres peut aussi les rendre vulnérables aux effets néfastes du vaccin contre la rougeole. Tout cela ne peut conduire qu’à la méfiance du public, y compris parmi les personnes instruites.

 

Ce qui est nécessaire, suggère le Dr Poland, c’est que les autorités de santé puissent accepter que le vaccin actuel contre la rougeole a tellement d’ inconvénients qui le rendent impraticable, qu’il est nécessaire de s’atteler à développer une nouvelle génération de vaccins.

 

La nouvelle génération de la technologie vaccinale inaugurée par la clinique Mayo, marie la vaccinologie à la génomique pour créer des vaccins personnalisés plutôt que des vaccins passe-partout. Grâce à cette nouvelle discipline médicale (« vaccinomics »), la science médicale ne possèdera pas seulement les moyens de réaliser un rêve datant de plusieurs décennies pour l’éradication de cette maladie comme aussi d’autres, mais pourra réaliser ce rêve  à moindre coût  pour répondre aux besoins d’un public averti.

 

REMARQUE IMPORTANTE DE L’EDITEUR DE « GREENMEDINFO »: nous ne croyons pas que le vaccin fonctionnera jamais comme on l’imagine à cause d’un malentendu fondamental sur la nature des maladies infectieuses et des vices redhibitoires dans les modèles immunologiques utilisés par la vaccinologie. [Initiative Citoyenne pense exactement de même et estime que cette obsession vaccinale relève d'un dogme et d'une idéologie qui empêchent tout discernement et toute analyse objective du désastre global des vaccins. Il est donc devenu impensable pour une majorité de médecins d'oser critiquer les vaccins sans montrer qu'ils ne sont pas des "traîtres à la cause", c'est à dire au dogme inquestionnable. Prétendre qu'un vaccin sera ajustable à l'organisme est une aberration puisque tout vaccin constitue un court-circuitage du fonctionnement normal du système immunitaire et que chacun reste unique sur un plan immunologique (la difficulté de trouver des donneurs d'organes compatibles et même quand cela arrive, la nécessité de donner à vie des traitements chimiques anti-rejet le prouvent!). Plus il s'agira de techniques artificielles, immaîtrisées et douteuses comme les techniques de génie génétique, plus les effets secondaires pourront être fréquents, diffus, graves et irréversibles (les exemples des vaccins contre l'hépatite B et le HPV, fabriqués par génie génétique, l'ont hélas bien montré; sans compter le risque de malignité lié à ces vaccins et même admis par l'OMS dans un de ses rapports techniques!). A un moment donné, l'honnêteté intellectuelle et le souci du Bien commun commande d'en revenir à la vérité des faits qui est que les risques statistiquement minoritaires de la rougeole ne justifiaient nullement d'exposer l'entièreté d'une population aux risques d'un vaccin incapable d'octroyer une immunité durable à vie comme celle conférée par la maladie naturelle. En ayant agité l'épouvantail de la rougeole, les vaccinologues ont créé de toutes pièces un nombre incroyablement plus élevé de cas graves, y compris d'ordre neurologique ]

 

Pour en savoir plus :

 

L’épidémie de rougeole de 2013 : l’échec d’un vaccin

 

L’immunité de groupe : science imparfaite et vaccination de masse

 

lawrene-Solomon.jpg

 

 

 

 

Lawrence Solomon est directeur de recherche au Consumer Policy Institute de Toronto.


Source: Greenmed.info

Partager cet article
Repost0
7 mai 2014 3 07 /05 /mai /2014 08:00

Les vaccins peuvent provoquer la rougeole. Un enfant qui avait attrapé la rougeole à cause du vaccin excrétait le virus vaccinal de la rougeole par la gorge et l’urine.

 

fotolia vaccinIl existe de nombreux cas d’échec du vaccin ROR, avec des individus vaccinés qui attrapent la rougeole sauvage et infectent d’autres personnes pourtant vaccinées. Et il y a sans cesse des épidémies d’oreillons et de coqueluche dans des populations hautement vaccinées: un exemple avec une habitante de New York qui provoque une épidémie de rougeole chez d’autres personnes vaccinées, selon un article paru dans Science en avril 2011. 

 

La plupart des gens ne savent pas que 5% des personnes qui reçoivent le vaccin ROR développent la rougeole à cause du virus vivant contenu dans le vaccin:

 

« Près de 5% des enfants immunocompétents qui reçoivent leur première dose du vaccin ROR font une rougeole légère avec fièvre et éruption cutanée. La souche vaccinale peut provoquer une rougeole sévère chez les personnes immunodéficientes. »

BMJ RAPPORT DE CAS éruption cutanée chez une fille de 15 mois  

 

Ce que la plupart des gens ne savent pas non plus, c’est que le virus vaccinal vivant est excrété par ceux qui sont infectés par la rougeole vaccinale. On vous dit de vacciner votre enfant pour protéger ceux qui ne peuvent pas se faire vacciner… et pourtant, tout le monde sait que les maladies peuvent se transmettre par la toux, les éternuements...

 

Voici l’exemple d’un enfant infecté par le vaccin et présentant des symptômes de rougeole excrétant le virus dans sa gorge et son urine:

 

« Nous décrivons une excrétion de la souche vaccinale de la rougeole Schwarz chez un enfant qui avait développé une maladie avec éruption cutanée et fièvre huit jours après la primo-vaccination contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Des prélèvements de la gorge et des échantillons d’urine ont été collectés, respectivement les cinquième et sixième jours de maladie. Le génotypage a montré la souche vaccinale de la rougeole Schwarz (génotype A). Si la rougeole et la rubéole ne faisaient pas l’objet d’une surveillance renforcée en Croatie, soit le cas aurait été mal interprété comme rubéole, soit il n’aurait pas été diagnostiqué du tout

Coup de projecteur sur la rougeole en 2010: excrétion d’un virus de la rougeole de souche vaccinale dans l’urine et les sécrétions pharyngiennes d’un enfant chez qui la vaccination avait été associée à une maladie avec éruption cutanée et fièvre, Croatie, mars 2010 

 

Voici un cas pour lequel la rougeole vaccinale s’est développée bien au-delà de la période normale d’incubation de la rougeole:

 

"Le génotype du virus a été déterminé par le National Microbiology Laboratory à Winnipeg, Canada, comme étant de souche vaccinale, génotype A, MVs/British Columbia/39.13 [A] (VAC)"

Cas de rougeole associé au vaccin cinq semaines après vaccination, Colombie-Britannique, Canada, octobre 2013 

 

L’année passée en Grande-Bretagne, des parents ont reçu l’information que leur enfant en bonne santé pouvait mourir s’il n’était pas vacciné avec le ROR et que 1 enfant sur 1000 qui attrapent la rougeole en mourra. Or, les données provenant de la UK Health Protection Agency (Agence de protection de la santé britannique) montrent qu’il y a eu presque 107 000 cas rapportés de rougeole en Grande-Bretagne depuis 1992, mais pas un seul cas d’enfant ou d’adulte en bonne santé mort de rougeole sévère n’a été rapporté depuis 1992. Les seuls décès rapportés depuis le dernier décès en 1992 de rougeole sévère ont été rapportés chez trois personnes souffrant déjà d’une immunodéficience et non pas chez des enfants en bonne santé, vaccinés ou pas. Il n’y a donc eu aucun décès durant toute cette période chez les 5-10% d’enfants non vaccinés, mais les sources officielles ont prétendu à tort qu’une personne sur mille qui attrapent la rougeole en mourra.  

 

Voyez les chiffres, et particulièrement la citation en bas de la page web du HPA:

 

« Avant 2006, le dernier décès de rougeole sévère a eu lieu en 1992. En 2006, il y a eu un décès dû à la rougeole chez un garçon de 13 ans qui souffrait de maladie pulmonaire sous-jacente, et prenait des médicaments immunosuppresseurs. Un autre décès en 2008 était dû à une rougeole sévère chez des enfants non vaccinés souffrant d’une immunodéficience congénitale dont la condition ne nécessitait aucun traitement avec des immunoglobulines. En 2013, un décès a été rapporté chez un homme de 25 ans suite à une pneumonie aiguë consécutive à la rougeole. »

Notifications des cas de rougeole et de décès en Angleterre et au pays de Galles, 1940-2013 

 

Ce que le HPA britannique omet de signaler concernant le décès de l’homme de 25 ans au pays de Galles, c’est qu’il était en mauvaise santé et immunodéficient. Il prenait des médicaments, il souffrait d’insuffisance pondérale sévère et était traité pour une addiction à l’alcool. Et il est décédé deux jours après avoir été renvoyé à la maison par son propre médecin. Ce dernier ne lui avait pas prescrit de soins médicaux malgré une éruption cutanée rougeoleuse et en pleine épidémie de rougeole dans le sud du pays de Galles. L’article mentionne juste que la pneumonie après la rougeole est « l’une des causes de décès les "plus probables" », de sorte qu’il n’est même pas certain que la pneumonie consécutive à la rougeole ait été la cause certaine du décès:

 

« La pneumonie à cellules géantes est une des causes de décès les "plus probables" associées à la rougeole. Les analyses de sang et d’urine menées ont révélé que M. Colfer-Williams, qui souffrait d’insuffisance pondérale sévère [...], avait pris plusieurs antidépresseurs et autres médicaments. »

L’enquête révèle que l’homme décédé pendant l’épidémie de rougeole à Swansea est mort des suites de la maladie, juillet 01, 2013  

 

Les personnes qui attrapent la rougeole naturellement ont toujours gagné une immunité à vie. Il est désormais clair qu’à cause de la vaccination, les adultes pourraient être amenés à recevoir des rappels du vaccin contre la rougeole tout au long de leur vie. Ainsi, la vaccination semble avoir détruit l’immunité conférée par la maladie naturelle au sein de la population. C’est un résultat plutôt étonnant pour une mesure introduite pour soi-disant éradiquer la rougeole aux USA en une seule année, 1967: "Éradiquer la rougeole en 1967 avec une couverture vaccinale de 55%"

 

La mission a échoué, elle a continué à échouer au cours des années 1970s, a encore échoué en 1984 aux USA et en 1988 en Grande-Bretagne et dans d’autres pays avec l’introduction du vaccin ROR. Nouvel échec lorsque les deux doses de ROR ont été introduites parce qu’une seule n’était pas suffisante. Et nouveaux échecs systématiques au fur et à mesure que les autorités sanitaires ont continué à relever le niveau de couverture vaccinale afin d’atteindre la fameuse « immunité de troupeau ». Maintenant, même des niveaux de couverture de 95% ne suffisent toujours pas. Après ça, il faudra une couverture de 100%, obtenue par la vaccination obligatoire, et cela ne suffira toujours pas, avec des rappels qui sont d’ores et déjà recommandés pour les adultes…

 

Source : Child Health Safety

 

fotolia-epilepsie.jpg

Les parents suisses ont eux aussi une association indépendante qui les informe valablement sur la propagande vaccinale. A l'occasion de la Semaine européenne de la vaccination, cette association suisse avait rédigé un courrier scientifiquement étayé pour expliquer les réticences à cette vaccination contre la rougeole, qui peut, entre autres très nombreux effets secondaires, induire de toutes pièces une épilepsie. En comparaison, le courrier du médecin cantonal sur la vaccination contre la rougeole fait bien pâle figure et s'apparente nettement plus à un courrier marketing qu'à un avis médico-scientifique circonstancié. [Un grand merci à la traductrice pour sa traduction et pour ces infos sur la situation suisse!]

Partager cet article
Repost0
5 octobre 2013 6 05 /10 /octobre /2013 20:05

rougeole-Flandres-propagande-pour-le-vaccin.jpg

Alors que la rougeole ne constitue nullement (et n'a jamais constitué) une véritable préoccupation de santé publique, la Flandre lance une grande campagne idéologique pour vacciner à tout prix... "La rentrée scolaire pourrait bien être une condamnation à mort pour la rougeole en Flandre." dit le titre d'un article sur un site sanitaire flamand. "Opération vaccination: donnez à la rougeole sa piqûre fatale." indique aussi une affiche où le virus de la rougeole est diabolisé et représenté de façon simpliste, pour les besoins de la cause. Il faut vacciner encore plus nous dit-on. Etrange discours que celui-là en Flandre où 96% des enfants ont déjà reçu au moins une dose et 92% une deuxième dose. Objectif ? Eliminer la maladie d'ici 2015, selon les diktats et l'idéologie de l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS).

 

Le gros problème dans tout ça, c'est que:

 

- Dans une population où la rougeole est aussi rare, le rapport bénéfices/risques d'une vaccination étendue sera inévitablement plus défavorable encore avec quasiment que des risques et aucun bénéfice. Voir ici ce que donne ce genre d'acharnement vaccinal avec le témoignage des parents de Nello qui est neurologiquement dévasté après sa seconde dose de vaccin ROR (il ne sait plus ni parler, ni marcher, ni manger!). Selon plusieurs chercheurs, l'association de trois valences dans un même vaccin (R+ O+R) accroît d'autant plus le risque d'effets secondaires et c'est d'ailleurs aussi notre avis.

 

- Eliminer (éradiquer) une maladie infectieuse n'est jamais sans conséquences. La Nature ayant horreur du vide, elle compense, en général de façon pire, par un équilibre microbien modifié et donc pas forcément plus favorable. Eliminer une maladie dont les conséquences graves sont rares est absurde quand on voit, en comparaison, le nombre exponentiel de maladies graves, dont les cancers, qui continuent d'être un fléau et qu'on se refuse à prendre vraiment à bras le corps en passant en revue leurs très dérangeantes mais non moins évidentes causes. Mais supprimer une maladie infectieuse donne surtout un nouveau "créneau" aux industriels du vaccin qui ont encore près de 300 nouveaux vaccins en développement qu'il va falloir essayer de caser parmi des calendriers vaccinaux infantiles déjà surchargés....

 

- La rougeole fait partie des maladies d'enfance qui ont une utilité évidente au niveau de la maturation (du "rôdage") du système immunitaire des enfants. C'est d'ailleurs si vrai que le fait d'avoir pu contracter une rougeole naturelle dans l'enfance entraîne un risque moindre d'asthme et d'allergies, comme l'ont confirmé plusieurs publications scientifiques.

 

- On ne dit pas aux gens que la mortalité liée à la rougeole a baissé spontanément, sans vaccin, de 99,5% en France entre 1906 et 1983 (année où on a introduit la vaccination ROR et où on a commencé à la généraliser) et ce genre de baisse est évidemment similaire dans les autres pays où les conditions socio-économiques et d'hygiène sont comparables. Voici le schéma tiré du livre "Vaccinations, les vérités indésirables" de Michel Georget et basé sur les données de l'annuaire statistique de France:

 

rougeole-Mortalite.jpg

 

 - L'immunité naturelle jadis acquise dans la bonne période de temps (c'est à dire la seconde enfance) est durable à vie là où la fausse immunité artificielle des vaccins n'est pas aussi solide, exposant alors les populations adultes à un risque explosif d'épidémies. Avec les oreillons, autre valence incluse dans le triple vaccin "ROR" (rougeole-oreillons-rubéole), on assiste à des flambées épidémiques chez des individus qui avaient pourtant reçu les 2 doses officiellement recommandées, ce qui a même déjà amené les pseudo-experts à recommander une troisième dose de ROR! Et puis on arrivera à 4, à 5 et à combien d'autres, tout cela pour ne jamais avoir à remettre en question cet absurde et délétère dogme des vaccins à tout prix!

 

C'est aussi ce phénomène d'immunité artificielle et donc moins robuste qui est responsable du déplacement de l'âge naturel de survenue des maladies. Et c'est aussi le cas malheureusement avec la rougeole dont les cas surviennent alors préférentiellement chez les adultes ou chez les enfants de moins d'un an, catégories d'âges où les complications graves sont plus fréquentes.

 

Il est essentiel d'avoir à l'esprit que la vaccination n'est pas une garantie absolue de ne pas contracter la maladie. Pire, revacciner aveuglément avec une seconde dose a toutes les chances de faire baisser le taux d'anticorps induit par une précédente et première vaccination! Selon l'étude de Daï Bin (*) menée pendant 15 ans en Chine, il n'y a pas d'effet de rappel, quel que soit le temps écoulé après une première dose. En effet, le taux d'anticorps atteint après une seconde dose est environ 10 fois inférieur en moyenne à celui obtenu après une première dose. Plus les doses sont rapprochées, plus la concentration en anticorps diminue rapidement. La proportion d'individus qui deviennent séronégatifs quelques années après la seconde dose est d'autant plus importante que les taux initiaux d'anticorps étaient faibles. Par exemple, 76% des 25 enfants revaccinés deux à trois ans après une première dose et qui avaient des titres d'anticorps inférieurs à 2 sont devenus séronégatifs."

 

Les références exactes de l'étude de Daï Bin et + d'infos sur ce phénomène et le pourquoi de la recommandation officielle absurde d'une seconde dose de ROR: ICI

 

Partager cet article
Repost0
26 juillet 2013 5 26 /07 /juillet /2013 23:54

MMR-ROR-vaccin.jpg

Nouveau jeu d'équilibriste! Alors qu'une Cour américaine spécialement dédiée aux préjudices vaccinaux, vient de dédommager à nouveau un enfant devenu autiste après le vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole), les autorités de ce pays se sont maladroitement empressées de déclarer qu'il n'y avait aucun lien entre l'autisme et le ROR et que leur rôle était seulement d'"aider les familles"!!

 

Chose remarquable, cette Cour sans jurés qui est "pilotée" par le Ministère de la Santé prétend pourtant -en dépit des données scientifiques existantes- qu'il n'existe aucune publication scientifique en faveur du lien entre autisme et vaccins!

 

Il convient de rappeler que ces Cours ne sont pas des cours de justice classiques. Il s'agit d'un système spécial pour les vaccins, parce que ceux-ci jouissent d'une impunité juridique (en matière civile). Cette impunité a été accordée aux fabricants par la Cour Suprême de ce pays pour éviter la faillite aux producteurs de ces produits "inévitablement dangereux". Des produits qui, décidément, n'arrêtent pas de bénéficier d'un régime de faveur et de divers passe-droits tout à fait aberrants. Les vaccins peuvent en effet faire l'objet de publicité directe contrairement à tous les autres médicaments sur ordonnance. Ils jouissent en outre de règles beaucoup plus laxistes que tous les autres médicaments en ce qui concerne l'évaluation de leur sécurité (ce sont en fait des produits expérimentaux).

 

Mais ce qui est aussi vraiment "piquant" (c'est le cas de le dire ;-) ), c'est la façon partiale et intellectuellement peu honnête dont divers sites ou médias présentent ce genre d'épisodes...

 

Ainsi, sur le site techniques-ingenieur.fr, qui évoquait ce cas il y a 4 jours, on pouvait constater que la moitié du communiqué est consacré à la gloire du vaccin (ROR) et à la minimisation/réfutation des données existantes en faveur du lien entre vaccins et autisme.

 

Encore et toujours, on assiste à la même désinformation au sujet de Wakefield dont les auteurs n'ont manifestement jamais lu le livre (et donc instruit à charge et à décharge!), qu'on essaie aussi de faire passer comme le seul tenant de cette thèse, en affirmant de façon mensongère que ses résultats n'ont jamais été reproduits, alors qu'ils ont en réalité été reproduits par plusieurs équipes dans différents pays du monde.

 

Le texte se termine par le rappel de ce qui est préconisé en France, soit deux doses de ROR par enfant, dont la première au plus tard aux 12 mois des bambins. Autre problème d'objectivité encore une fois: la non mention des autres récents revers du vaccin avec notamment, le grand retour des oreillons en France aussi, dont 73% des cas se sont produits chez des individus qui avaient pourtant reçu les deux doses de ROR recommandées, amenant ainsi les autorités dans une nouvelle fuite en avant qui consiste à préconiser désormais une troisième dose de ROR si la précédente dose remonte à plus de 10 ans (et puis ça sera 4, 5, etc). Inévitablement.

 

Partager cet article
Repost0
11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:03

Suisse Centrale. 10 juillet 2013



Pas de vaccin, pas d'école!

 

Pour lutter contre les flambées de rougeole, des écoles ont exclu pendant trois semaines toutes les personnes non-vaccinées. Elles appliquent ainsi à la lettre les recommandations de l'Office de la santé publique.



rougeole.jpg 

Depuis début juin 2013, 29 cas ont été recensés en Suisse centrale et 8 autres cas au Tessin. (photo: Keystone)

 

L’objectif de la Confédération est ambitieux: éliminer la rougeole en Suisse d’ici 2015. Pour cela, l’Office fédéral de la santé publique a introduit en avril des directives de lutte très strictes. Une des mesures vise à exclure des structures collectives toute personne potentiellement transmetteuse et cela pendant 21 jours.

 

 Il y a quelques semaines, plusieurs écoles de Suisse centrale ont appliqué cette règle à la lettre, écrit la «NZZ». A la suite d’un cas de rougeole au lycée d’Ingenbohl (SZ), toutes les personnes non-vaccinées ont été mises en vacances d’été prématurément. D’autres établissements schwytzois ont fait de même, mais se sont contentés à renvoyer uniquement ceux étant dans la même classe que la personne malade. En cas de besoin, les écoles uranaises ont affirmé qu’elles feraient de même.

 

Depuis juin 2013, 29 cas de rougeole ont été recensés en Suisse centrale et 8 au Tessin.

 

(ofu)



Source: 20minutes.ch

 

Nos grands parents auraient dit « Tout ça pour ça ! ». Eux, ils se réjouissaient plutôt que leurs enfants puissent "profiter" de cette occasion pour s'immuniser  à vie et naturellement à l'âge le moins risqué. Ils auraient sûrement trouvé hasardeux de vacciner s'ils avaient disposé d'un vaccin en sachant que celui-ci peut entre autres causer l'autisme.   

 

Mais il est vrai que la Suisse est le pays qui héberge le siège de l’OMS... En attendant, ne pas oublier que les vaccinés aussi peuvent contacter la rougeole et parfois la transmettre aussi.   

 

Voir aussi: La vaccination provoque l'autisme. Voici ce qu'ils savent...

Partager cet article
Repost0
12 mai 2013 7 12 /05 /mai /2013 21:39

Des nouvelles du Dr Andrew Wakefield

 

wakefield-007.jpg

Dans une lettre ouverte publiée le 17 avril 2013, le Dr Andrew Wakefield a proposé un débat public au gouvernement britannique sur le vaccin ROR, la rougeole et l’autisme. Il souhaite surtout préciser quelques faits importants, au moment où l’épidémie de rougeole qui sévit au Pays de Galles a ouvert la porte aux fausses déclarations et à la désinformation propagées par les médias.

 

Ainsi, au Royaume Uni, tout au long du moi d’avril, on pouvait lire ou entendre les déclarations les plus insensées, mais affolantes pour les gens non avisés : « deux millions d'enfants sont susceptibles de l'attraper parce qu'ils n'ont pas été vaccinés », « les vaccins jouent un rôle majeur dans la santé à long terme des populations »,  « la fausse science peut endommager votre santé » (le coupable de cette « fausse science » étant évidemment  le Dr Wakefield), « les médecins désapprouvent les mères qui refusent de vacciner leurs enfants », « un homme est trouvé mort à Swansea » (alors que les médecins estiment que la cause est incertaine, étant donné l’épidémie qui sévit dans la région, la rougeole doit être responsable). Plus tard, les médias affirmeront que cette supposition était exacte, mais personne n’est allé vérifier. Enfin, plusieurs médias ont déclaré : « Vous ne pouvez pas recevoir trop de doses du vaccin, seulement trop peu ».

 

Voici la proposition du Dr Wakefield :

 

« En 1998, après une analyse de toutes les études préalables à l'autorisation du vaccin ROR et de son innocuité, j'ai recommandé l'utilisation du vaccin monovalent contre la rougeole, de préférence au ROR. Cela reste ma position. À cette époque, contrairement aux affirmations mensongères de nombreux commentateurs, y compris Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, et du millionnaire Paul Offit qui doit sa fortune aux vaccins, les vaccins monovalents étaient autorisés au Royaume-Uni et librement vendus au public britannique. Lorsque la couverture vaccinale par le ROR a diminué à partir de février 1998, on a constaté une augmentation simultanée de la couverture vaccinale avec le vaccin monovalent — un fait qui n'a jamais été reconnu par la presse. On a alors administré plusieurs milliers de doses de vaccin contre la rougeole et les enfants ont été « protégés ». Six mois plus tard, en septembre 1998, le gouvernement britannique a retiré la licence d'importation pour les vaccins monovalents, refusant ainsi le choix aux parents et les cas de rougeole au Royaume-Uni ont alors explosé.

 

Quand j'ai demandé pourquoi le vaccin monovalent empêcherait de protéger les enfants contre la rougeole, Elizabeth Miller de l'Agence de protection de la santé a répondu : « […] si nous laissions aux parents le choix des vaccins monovalents, cela détruirait notre programme concernant le ROR. » La préoccupation du gouvernement semble donc concerner plutôt la protection du programme ROR que celle des enfants. Malgré la déclaration de David Salisbury, responsable de la vaccination du Royaume-Uni, et qui prétend que « le ROR est l’exemple même de la sécurité vaccinale », ce vaccin n'est pas sûr. Deux des trois ingrédients introduits en 1988 ont dû être retirées pour des raisons de sécurité responsables de méningite. Les représentants du gouvernement avaient approuvé ces vaccins dangereux — le Pluserix® et l’Immravax® — en leur réservant la grande majorité du marché britannique, tout en sachant que leur risque était élevé car ils avaient été avertis de leurs dangers. Ces fonctionnaires ont placé les bénéfices financiers avant la santé des enfants et ont, depuis lors, toujours cherché à dissimuler ce fait honteux.

 

Le vaccin ROR peut provoquer l'autisme, la preuve en est que le gouvernement américain a versé des millions de dollars aux enfants dont l'autisme a découlé des lésions cérébrales induites par le vaccin. Le gouvernement lui-même a dû approuver ces jugements et confirmer que les demandes des parents étaient légitimes. Le 13 décembre 2012, le tribunal a octroyé plusieurs centaines de milliers de dollars à Ryan Mojabi, dont les parents ont démontré comment le vaccin ROR a provoqué une « blessure grave et débilitante au cerveau de leurs fils, diagnostiqué comme ASD (trouble du spectre de l'autisme).

 

Plus tard le même mois, le gouvernement a subi une deuxième défaite majeure quand la jeune Emily Moller de Houston a été indemnisée à la suite d'une lésion cérébrale liée au vaccin MMR qui, encore une fois, a abouti à l'autisme.

 

Les cas se sont alors succédé devant les tribunaux italiens et américains (y compris ceux de Hannah Poling, Bailey Banks, Misty Hyatt, Kienan Freeman, Valentio Bocca et Julia Grimes) dans lesquels la Cour et les gouvernements ont admis que les vaccins avaient causé un dommage au cerveau et que ces lésions ont conduit à un diagnostic de TSA. Dans tous ces cas le ROR était le seul dénominateur commun.

 

Un  débat public indépendant, en direct est donc la meilleure opportunité pour faire le point sur ce sujet. Je vous propose un débat sérieux avec n’importe quel contradicteur sur l'innocuité du vaccin ROR et le rôle du vaccin ROR dans l'autisme, en direct, en public et télévisé. »

 

Depuis cette déclaration, il n’y a eu aucune proposition ni aucune réponse.

 

Lire la suite de cet article très intéressant : ICI (site de Sylvie Simon)

 

Partager cet article
Repost0
28 mars 2013 4 28 /03 /mars /2013 16:15

rougeole-afrique.jpg

Le 21 mars dernier, un journal gabonais titrait "Rougeole: le gouvernement contre-attaque."

 

Cet article est stupéfiant en ce sens qu'il démontre clairement ... le caractère inefficace et inopérant du vaccin qu'on considère pourtant paradoxalement comme "LA" solution à cette vraie fausse épidémie.

 

Comme d'habitude, incohérences et contradictions sont les maîtres mots de la politique des vaccinalistes, jamais prompts à se remettre en question ni à reconnaître l'inutilité de leur obsession!

 

Extrait:

 

« Après l’état d’alerte décrété, le 7 mars dernier, avec la déclaration d’une épidémie à Libreville et ses environs, le ministère de la Santé a lancé, le 19 mars, une vaste campagne de vaccination pour circonscrire cette infection virale.

 

« Depuis le 23 février, nous avons constaté des cas positifs de rougeole dans la région sanitaire de Libreville-Owendo. Selon les normes de l’OMS, à partir de 3 cas de rougeole positifs en l’espace d’un mois dans un département sanitaire, on parle déjà d’épidémie ; et à ce jour, nous avons 27 cas positifs de rougeole. Pour empêcher la propagation de cette épidémie, qui frappe les enfants dont l’âge varie entre 9 mois et 10 ans, nous avons lancé cette campagne riposte », a expliqué le Dr Jonasse Solange Ndembi, directrice de la Santé dans la région sanitaire de Libreville-Owendo, relayé par Gabon Matin.

 

Initiée en collaboration avec l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et le Fonds des Nations unies pour l’enfance (Unicef), l’opération concerne 450 000 enfants vivant au Gabon dont 250 400 enfants à Libreville et ses environs, où 23 cas de rougeole ont été confirmés par le laboratoire de l’Université des sciences de la santé de Libreville. »

 

[…] « Même si votre enfant a été vacciné il y a deux semaines, vous devez encore le faire vacciner. Pour les enfants dont le vaccin date de moins de deux semaines, les parents doivent attendre un mois, avant de leur administrer de nouveau le vaccin. J’insiste en disant que la vaccination est gratuite et les vaccins sont de bonne qualité. Les parents doivent se rendre dans les points fixes créés à cet effet, car c’est la santé de leurs enfants qui est en jeu », a souligné le Dr Ndembi. »

 

Commentaire d'Initiative Citoyenne:



Les critères d'épidémie de rougeole  de l'OMS sont aussi profitables aux fabricants de vaccins que ne l'étaient ceux en matière d'alerte pandémique H1N1 et qui avaient été établis pour qu'on puisse parler de "pandémie" au plus tôt et ainsi déclencher la production de vaccins pandémiques expérimentaux!



3 cas et on parle déjà d'épidémie"! Et puis ce sera sans doute 2, puis 1.

Rappelons quand même à cet égard, que dans un pays comme la Belgique, il y avait plus de 50 000 cas de rougeole annuels dans les années 70'!!



La rougeole est plus grave dans les pays où la pauvreté est plus grande parce qu'il y a plus de dénutrition, de déficience en vitamine A (ce qui favorise le risque de complication grave etc).

 

Mais vu les taux de couverture vaccinale fièrement donnés par des groupes comme l'Unicef ou le Gavi, on peut tout de même s'étonner de la revaccination à la moindre occasion de 450 000 enfants!

 

Ce qui apparaît comme encore plus étrange, c'est le conseil de revacciner même si l'enfant a été vacciné deux semaines auparavant!!!!!!!!!!!!!! Un comble quand on sait que les officiels, en Belgique, en France ou ailleurs, indiquent qu'il faut toujours minimum 1 mois entre les deux doses de vaccin ROR (rougeole-oreillons-rubéole). Ici, comme "par hasard", une telle exigence saute, on peut vraiment se demander pourquoi, d'autant plus qu'il faut soi-disant tout un temps pour que les anticorps se mettent en branle, surtout si c'est la première vaccination. Et malgré ça, il faut revacciner deux semaines plus tard?! On se moque vraiment du monde, mais avec les vaccinalistes, on commence par avoir un peu (beaucoup) l'habitude.

 

Certains médecins estiment d'ailleurs qu'il est particulièrement dangereux de vacciner en période épidémique, parce que cette vaccination encore plus que les autres a un effet immunosuppresseur qui peut donc favoriser des rougeoles plus graves chez les enfants vaccinés qui étaient en réalité en incubation d'une rougeole! Les notices des vaccins à virus vivants les contre-indiquent aux personnes immunodéprimées (ce qui est le cas des gens atteints de Sida, de toutes les personnes dénutries, etc) mais les autorités prennent encore moins de précautions que les fabricants, ce qui n'est déjà pas demandé! On l'a d'ailleurs vu avec la folle recommandation de vacciner les femmes enceintes avec le vaccin pandémique H1N1 et ce, alors même que les fabricants reconnaissaient ne pas disposer de données suffisantes sur cette population!!

 

Mais qu'il s'agisse du Gabon ou de la Belgique, on retrouve finalement les mêmes procédures d'apprentis-sorciers en matière de vaccination qui consistent en réalité à vacciner aveuglément avant de disposer des données scientifiques nécessaires, faisant ainsi jouer à la population contre son gré le rôle d'un gigantesque vivier de cobayes qui s'ignorent.

 

En effet, dans un document de mars 2009, signé entre autres par Mme Onkelinx et publié au Moniteur(!), l'obsession préoccupante de l'OMS de vouloir éliminer à tout prix la rougeole du globe transparaît très clairement. Ce document démontre que les Etats sont en réalité les larbins de l'OMS en matière sanitaire, comme ils sont déjà les larbins de l'Union Européenne en matière budgétaire (avec les conséquences qu'on sait):

 

« Le bureau régional européen de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS) veut éliminer la rougeole et la rubéole dans la région pour 2010. Selon les critères d'OMS, la Belgique n'a pas encore atteint cet objectif. Pour atteindre cet objectif d'élimination, un engagement moral et financier de tous les partenaires concernés est indispensable. Dans ce rapport, le Comité pour l'élimination de la rougeole et de la rubéole en Belgique propose des activités supplémentaires qui sont nécessaires pour atteindre l'élimination (résumé en annexe 2).


Un Comité pour l'Elimination de la rougeole et la rubéole en Belgique a été créé en janvier 2003. Le Comité est responsable pour la surveillance de la situation en Belgique et peut recommander des actions qui devraient être réalisées pour atteindre l'élimination. Le Comité a élaboré un plan d'action national en 2004. En novembre 2006, un addendum a été rajouté à ce plan, avec des activités ciblant spécifiquement l'élimination de la rubéole. Face à l'approche de l'année ciblée pour l'élimination, il est utile de faire le point sur l'atteinte des objectifs et la réalisation des activités proposées en Belgique.


Pour la période de 2009 à 2010, des nouvelles activités sont proposées dans le domaine de la vaccination, de la surveillance, de l'information et de la sensibilisation. La couverture vaccinale devrait augmenter, vu que l'objectif de 95 % est presque atteint pour la première dose du vaccin rougeole-rubéole-oreillons mais est loin d'être atteint pour la seconde dose.


Des vaccinations de rattrapage doivent être prévues pour les groupes à risque et au plan individuel. La surveillance doit être renforcée par une déclaration rapide et fiable de chaque cas. La séroprotection de la population doit être suivie, et le personnel de santé et le grand public doivent être informés et sensibilisés. Le Comité prévoit qu'on doive mettre des moyens supplémentaires à disposition, vu qu'un financement déficient peut compromettre l'atteinte de l'élimination.


L'élimination de la rougeole et de la rubéole est réalisable pour 2010, mais des efforts supplémentaires sont indispensables. Nous demandons à tous les partenaires concernés de s'y engager et de donner la priorité à cet objectif.

 

Plus loin dans le texte, on peut lire cet aveu accablant que les officiels recommandent AVANT de savoir (on n'est donc toujours bien dans le champ de l'expérimentation sur des gens non consentants car non conscients de jouer aux cobayes.)

 

« La protection prolongée après RRO2 doit être évaluée par une étude de littérature. […] Une étude de littérature peut donner de l'information sur la protection à long terme après une deuxième dose du vaccin RRO. Cette information est importante dans la discussion sur l'âge approprié pour le vaccin RRO2. »

 

Ces gens préconisent donc une deuxième dose en jurant qu'alors, les gens seront protégées alors qu'en réalité, ils n'en savent rien. Souvenez-vous, avant de commencer à vacciner, ils disaient "il faut le faire, car une dose suffira à vous protéger à vie" et puis maintenant, on est déjà à 2 et puis ça deviendra 3, et puis où ce cercle vicieux s'arrêtera-t-il avec tous les autres vaccins qui nous aliènent à cette dépendance risquée? En faisant la rougeole naturellement, on a une immunité à vie et on court une fois (au moment de la faire) les risques de complications qui sont vraiment minoritaires si on a la chance de faire la rougeole à l'âge où elle est normalement prévue, c'est à dire dans la seconde enfance. Avec les vaccins, on n'a pas l'immunité à vie, et le tour de roulette russe recommence à chaque injection (à chaque rappel)... quel non sens!

 

Mais pour forcer la main aux gens, nul doute que toutes les stratégies seront de mise et les suggestions effrayantes qui rappellent franchement des chasses à l'homme (rafles)  d'une autre époque plus sombre de histoire, ne font que le démontrer: augmenter la couverture vaccinale à 95 % pour l'ensemble du pays, saisir la moindre occasion d'une consultation médicale (généraliste, pédiatre, médecine scolaire ou médecine du travail) pour vérifier le statut vaccinal, chercher une solution pour "rattraper les enfants qui ne sont pas venus à leurs rendez-vous de vaccination" (par sms par exemple), "une liste des groupes à risque doit être établie", « Les écoles non subsidiées, sans suivi par un centre PSE ou PMS doivent également être répertoriées. », « Une stratégie de vaccination pour les groupes à risque identifiés et les écoles privées doit être mise en place. » etc etc.



Les gens qui refuseront en toute conscience les vaccinations poussées avec un tel zèle et dans un tel contexte, ne finiront-ils pas un jour par devoir porter eux aussi, une étoile jaune, rouge ou verte, tout simplement parce que leur conception de ce qui est juste et Bien n'est pas en adéquation avec celles de dirigeants autoritaires??!

 

Dans ce document, on peut aussi lire que "dans 10 à 20% des cas, des complications de la rougeole se manifestent", des chiffres qui sont bien entendu faux et tout à fait gonflés et si c'est le cas à l'heure actuelle, cela ne peut donc être dû qu' à la folle politique vaccinale idéologique qui fut lancée contre une maladie qui était, dans nos contrées, considérée comme une maladie d'enfance statistiquement bénigne jusqu'avant que le vaccin n'arrive. Il faut en effet rappeler que la vaccination généralisée a généré un effet épidémiologique pervers qui consiste à déplacer l'âge normal de survenue de la maladie vers les extrêmes de la vie (bébés et adultes), âges auxquels elle est proportionnellement davantage pourvoyeuse de complications graves et d'hospitalisations. Loin de faire preuve d'intelligence, de sagesse et d'humilité et donc de savoir reconnaître leur responsabilité pour changer de chemin, les officiels continuent égoïstement d'imposer des non choix aux parents, privant alors des milliers d'enfants et d'adultes de l'autonomie qu'il y avait à contracter une maladie infantile au bon âge avec immunité durable à vie à la clé!

 

La vaccination généralisée contre la rougeole a réduit à néant la chance des bébés de moins de 1 an (= trop jeunes pour être vaccinés) de bénéficier de la moindre protection contre cette maladie qui peut être grave à leur âge puisque leurs mères, qui ont quasi toutes été vaccinées, n'ont plus d'anticorps résiduels à transmettre dans leur lait maternel à leurs enfants. Voilà donc à quel degré de danger exposent les politiques aveugles de vaccination qui ne profitent donc encore une fois toujours qu'aux mêmes... suivez notre doigt, Big Pharma!

 

On peut d'ailleurs lire dans cette déclaration conjointe sur l'élimination de la rougeole que  «Les résultats de l'étude de séroprévalence de 2006 n'ont pas montré d'amélioration de la séroprotection chez les femmes en âge de procréer, par rapport à l'étude de 2002. »

 

Ouganda (1)

Certains parents estiment donc à juste titre que ce non choix des autorités imposé à la population est mauvais. Et ils ne sont pas les seuls! Mme Swennen de Provac a eu beau essayer de dramatiser la rougeole en faisant une analogie fort peu honnête avec l'Afrique (où la malnutrition et les carences vitaminiques par exemple génèrent des conditions immunitaires incomparables par rapport aux enfants de nos pays!), le corps scientifique n'est absolument pas unanime sur la pertinence épidémiologique de vouloir à tout prix supprimer des maladies.

 

Bien sûr, cela fait les affaires des pharmas car ce sont des évènements qui sont clairement de nature à embellir l'image de ces vaccins qui rebutent de plus en plus, tout en permettant à terme de supprimer des vaccins pour en rajouter toujours autant de nouveaux "au nom du progrès" au calendrier (et faire ainsi avancer les nouveautés dans le pipeline).

 

Toutefois, on pouvait lire dans le Journal du Médecin il y a quelques années que "l'Eradication des maladies infectieuses n'est pas sans risque". C'est le bon sens même: en voulant supprimer un "ennemi connu" - au lieu de simplement arriver à mieux le contrôler-, on prend bien sûr le risque de voir apparaître quelque chose de bien pire à la place, la Nature ayant horreur du vide.

 

En 1983, le Dr Edward Kasse déclarait, au Congrès de Vienne sur les Maladies Infectieuses, à titre de président du Congrès:

 

"Le but des épidémiologistes ne doit pas être l'éradication des maladies infectieuses grâce à l'emploi massif des vaccins et des antibiotiques, mais le contrôle et l'amélioration de la qualité de vie... Il faut admettre qu'il existera un certain nombre de cas de tuberculose, de polio ou de malaria et entrer dans une dynamique écologique naturelle en rendant efficaces les possibilités de défenses de notre organisme, grâce à une politique sanitaire non contaminée par les intérêts des multinationales pharmaceutiques."

 

Il est regrettable que les gens présents lors de ce Congrès aient fait preuve d'une amnésie sélective, au point de partir dans cette fuite en avant mortifère des vaccins. Certes, les plus crédules d'entre nous continuent lamentablement d'assimiler cela à "un Progrès", mais c'est bien sûr sans se rendre compte du tragique revers de la médaille avec l'absence de protection des nouveaux-nés, la dépendance dans laquelle des populations entières sont plongées et des effets secondaires aussi graves que dévastateurs qui sont en réalité bien connus dans les coulisses (autisme etc.)

 

Et pour finir, un petit graphe, toujours utile, qui montre la spectaculaire décrue de la mortalité rougeoleuse AVANT l'arrivée du vaccin: une baisse de 99,5% qu'on ne doit donc à aucun vaccin entre 1900 et 1983, l'année précédant l'arrivée de la vaccination généralisée:

 

rougeole-graphe.jpg

 

Il est dans notre intérêt collectif de réaliser que les fausses promesses des vaccinalistes sont terriblement similaires à celles de grands semenciers comme Monsanto qui promettaient eux aussi dans les mots une agriculture plus juste, plus solide et qui permettrait de lutter contre les famines... Les uns et les autres, tant dans le domaine des vaccins que dans celui des OGM, ont en réalité tellement menti, qu'ils ont réussi à plonger la planète entière dans une dépendance permanente et désespérante à des produits artificiels, au détriment de ce qui était le plus sain et de surcroît, entièrement gratuit depuis des milliers d'années auparavant: notre système immunitaire et les semences naturelles de nos paysans! C'est pourquoi, seule la prise de conscience d'un nombre critique de citoyens de cette planète permettra, dans une véritable course contre la montre, de sauver ses habitants et ses générations futures, du pire.

 

Partager cet article
Repost0
2 janvier 2013 3 02 /01 /janvier /2013 21:25

Des enfants Pakistanais meurent de malnutrition : 

 

C’est la rougeole qui est mise en accusation

 

seringue-pakistan.jpg

 

Par Heidi Stevenson, 2 janvier 2013

 

Gaia Health

   

Même l’OMS admet que c’est la malnutrition provoquée par les ravages des inondations qui a tué des enfants pakistanais qui avaient contracté la rougeole. Mais ce fut une bonne excuse pour lancer une campagne de vaccination.

 

On a signalé que 306 enfants pakistanais sont morts de la rougeole l’année dernière, un nombre record ; La vérité, cependant, est que ces enfants sont morts de malnutrition après trois années record d’inondations.

 

Si votre enfant a faim, allez-vous d’abord vous occuper de nourriture ou bien de vaccins ?

 

La plupart, sinon la totalité des décès se sont produits dans les zones ravagées par les inondations. Même l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) l’un des principaux promoteurs de la vaccination, a reconnu que les décès se sont produits chez des enfants souffrant de malnutrition. Autrement dit, si ces enfants n’avaient pas souffert de malnutrition, ils ne seraient pas morts. Alors, pourquoi faut-il accuser la maladie ? Blâmer une maladie qui finalement laisse des enfants bien portants indemnes, tout en leur conférant une immunité à vie contre la rougeole, relève soit d’un terrible malentendu, soit d’une intention trompeuse.

 

Il convient également de noter que Maryam Yunus, porte-parole de l’OMS, se réfère à la cause des décès comme à des « cas suspects » de rougeole. En réalité, ils ne sont même pas certains que les enfants qui sont morts étaient atteints de rougeole, mais cela fait bien si vous poussez à la vaccination.

 

Un autre point intéressant est que ce fameux « record » de décès ne repose absolument sur rien. L’année précédente, en 2011, le nombre de décès par rougeole au Pakistan était de 64. L’OMS toutefois n’était pas en mesure de fournir les dossiers de décès par rougeole pour les années qui ont précédé. Dès lors, comment auraient-ils pu savoir que  le record des décès par rougeole s’est produit en 2012 ? Il ne s’agit peut-être pas d’un réel record puisque d’autres sources mentionnent que le nombre annuel des décès était d’environ 20.000 par an avant une campagne de vaccination qui s’est achevée en 2008.

 

Cette campagne de vaccination contre la rougeole mérite en fait un regard plus attentif. Posons-nous une simple question : quel est le sens d’une seule et unique campagne massive de vaccination pour une maladie ? Est-ce qu’un pays dans son ensemble peut véritablement bénéficier d’une simple et unique campagne de vaccination ? Pour être efficaces pareilles campagnes de vaccination doivent se répéter. Sinon, pourquoi les pays industrialisés maintiendraient-ils des campagnes de vaccination année après année ?

 

Qui peut bénéficier d’une campagne unique de vaccination ? Nous savons tous qu’aucun vaccin n’offre une protection à vie. On pourrait dès lors penser qu’il existe des plans pour poursuivre la vaccination. Apparemment ce n’était pas le cas. Il n’y a, en fait, eu qu’une seule vaccination. Quel est le sens de tout cela ?

 

Serait-il possible que le but ait été de permettre une aubaine à Big Pharma ? Ces vaccins n’ont pas été donnés ; les groupes habituels étaient en fait à l’origine de la campagne : l’Alliance GAVI, la Fondation Gates, l’OMS, le CDC et la Croix-Rouge qui est étroitement liée à GAVI. – GAVI est une organisation qui a un objectif unique : des vaccinations pour tous et dans tous les pays. Les membres du conseil comprennent les anciens et actuels représentants de la Fondation Gates, de Goldman Sachs (responsable de la situation catastrophique en Grèce), la banque Chase Manhattan, le NIH (National Institute of Health) américain, le groupe Man, la Banque Mondiale, Johnson & Johnson Pharmaceuticals. Les entreprises liées au financement ne sont intéressées que par une seule chose :l’augmentation de leurs revenus…

 

La réponse aux décès imputés à la rougeole est, comme toujours, à mettre en relation avec le véritable problème : la malnutrition ou autres causes de santé déficiente. Au lieu d’apporter des solutions à ces problèmes, il faut imposer les vaccinations à tout le monde dans les zones les plus touchées. Au lieu de tout entreprendre pour apporter de la nourriture aux enfants affamés, on se contente de planifier des programmes de vaccinations qui créent des réponses excessives du système immunitaire – but même de tous les vaccins – chez des enfants dont le système immunitaire est affaibli par la malnutrition.

 

Si votre enfant a faim, allez-vous lui fournir de la nourriture ou allez vous lui faire administrer des vaccins ? Répondre à cette question, c’est connaître la vérité sur la question. Ceux qui profitent des vaccins sillonnent le Pakistan dévasté par les inondations et se présentent au monde comme les représentants d’associations caritatives.   

 

Sources :

 

§            Pakistan suffers ‘record’ child measles deaths

§            WHO: Measles deaths surge in Pakistan in 2012; 306 children killed by disease

§            Massive Measles Campaign Wraps Up in Pakistan

§            GAVI Board Members

§            Measles Initiative

 

Partager cet article
Repost0
16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 16:23

12 septembre 2012

 

Une nouvelle étude effectuée par une équipe de médecins du Québec remet en question l'âge auquel les enfants sont vaccinés contre la rougeole.

 

Cette étude arrive à la même conclusion qu'une autre menée en 2011 par les mêmes chercheurs québécois, qui laissait entendre que le vaccin serait plus efficace s'il était administré quelques mois plus tard qu'il ne l'est présentement.

 

L'auteur principal de l'étude, le Dr Gaston De Serres, de l'Institut national de santé publique du Québec, a présenté les résultats de ses recherches hier lors d'une conférence internationale sur les maladies infectieuses à San Francisco.

 

Le Québec a connu une éclosion de rougeole en 2011, durant laquelle plus de 700 cas ont été rapportés. Étonnamment, plusieurs adolescents infectés avaient reçu les deux doses du vaccin recommandées.

 

Une étude réalisée l'an dernier par le Dr De Serres avait montré que ceux qui avaient eu la première dose à 12 mois avaient trois fois plus de risques de contracter la maladie que ceux qui avaient reçu leur première dose à 15 mois.

 

La nouvelle étude parle maintenant d'un risque six fois plus important pour les enfants vaccinés à un an.

 

Une spécialiste de la rougeole du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis a toutefois affirmé que les autorités doivent viser juste en établissant le moment propice pour immuniser les bambins contre cette maladie.

 

La Dre Jane Seward a expliqué que la rougeole pouvait être fatale pour les bébés et que l'objectif était donc d'administrer le vaccin dès qu'il est efficace. Mais ce dernier ne fonctionne pas chez les très jeunes bébés parce que les anticorps qu'ils ont reçus de leur mère lorsqu'ils étaient dans son ventre le neutralisent.

 

Les risques et les avantages d'attendre quelques mois pour administrer la première dose ne seraient pas les mêmes au Canada, où les cas de rougeole sont rares, que dans des pays comme l'Inde, où la maladie demeure endémique.

 

Le Dr Gaston De Serres a tout de même affirmé que le Canada ne changerait probablement pas l'âge auquel les petits Canadiens sont vaccinés pour le moment, mais a conseillé aux autorités de continuer à surveiller la situation.

 

 Source: La Presse Canadienne, Toronto.

 

NB : En Belgique, les « grands experts » relayant les « bons conseils » de l’OMS et consorts recommandent l’administration de la première dose de ROR à l’âge de 12 mois, en même temps qu’un rappel du très lucratif mais inutile Prevenar. Pour les enfants fréquentant une collectivité (crèche ou gardienne agréée), ces bons experts recommandent même une vaccination ROR dès l’âge de 9 mois.

 

A 15 mois, la place est déjà prise pour d’autres vaccins, à savoir la quatrième dose de vaccin hexavalent et l’injection simultanée du vaccin contre le méningocoque C qui s’avère plus risquée que la maladie elle-même comme les chiffres officiels le montrent !

 

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA