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3 août 2012 5 03 /08 /août /2012 16:26

ROUGEOLE-2.jpg

Le site Vaccinenewsdaily rapportait le 2 juillet dernier une "épidémie" de 64 cas de rougeole en Irlande dans le Comté de Cork, paraît-il, un des moins vaccinés avec 86% tout de même de couverture vaccinale.

 

Le site précise, comme on aurait pu s'en douter, que l'épidémie a commencé parmi "les non vaccinés", une fois encore montrés du doigt, sans bien entendu rappeler qu'avant l'introduction de cette vaccination, ce sont des centaines et sans doute des milliers de cas de rougeole qui survenaient annuellement chez les enfants de ce comté sans que cela fasse jamais les grands titres des journaux.

 

Et bien entendu, là aussi comme on pouvait s'y attendre, le site relaie les conseils des autorités appelant les parents à vérifier que leurs enfants sont bien vaccinés contre la maladie. Il est sans doute à prévoir que quand des épidémies surviendront dans des populations vaccinées à 92%, les autorités préconiseront alors une couverture vaccinale de 95 ou même de 100%.

 

Le hic, et on l'a vu avec l'exemple des oreillons notamment, c'est que le suivi scrupuleux des recommandations vaccinales (ici en l'occurence la double dose de vaccin ROR) n'empêche pas forcément de déclarer la maladie et de pouvoir la transmettre.

 

Par conséquent, les gens se retrouvent face à double choix:

 

- se faire vacciner avec un double risque, celui de contracter quand même la maladie, malgré le vaccin, ET le risque de complications vaccinales possibles très diversifiées, que ce soit à court, moyen et long terme. (Le risque existe donc toujours pour un bénéfice par définition toujours incertain).

 

- ne pas se faire vacciner et ne prendre que le risque de la maladie SI elle survient.

 

C'est un vrai choix qui mérite un vrai débat. Surtout lorsqu'on sait que des immunologistes et virologistes de renom, comme l'américain Richard Delong (professeur d'université) ont dénoncé dans des ouvrages entiers "l'introduction dangereuse et non nécessaire de virus vivants dans des organismes sains" . (car la vaccination par ROR consiste bien en cela, s'agissant de vaccins dits à "virus vivants atténués".). La virologue belge Lise Thiry, reprise par Sylvie Simon, avait d'ailleurs elle-même avoué dans le Journal Le Matin il y a une bonne vingtaine d'années, que les vaccins à virus vivants sont atténués un peu "à la grâce du hasard"!

 

Le corps médical, les autorités et les médias n'abreuvent en fait les parents qu'avec des informations élogieuses et rassurantes sur l'efficacité du vaccin mais les parents en savent-ils vraiment assez sur les risques graves possibles et leurs conséquences éventuelles?

 

L'existence de la loi belge d'août 2002 sur le droit des patients, consacrant entre autres le droit à un consentement libre et éclairé, impose notamment aux soignants de dispenser aux patients une information suffisamment précise sur la gravité et la fréquence des risques. Il faut hélas en déduire, à ce qui est dit aux parents dans la pratique, que l'immense majorité des soignants n'ont jamais entendu parler de cette loi ni de leurs obligations légales en la matière.

 

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10 juin 2012 7 10 /06 /juin /2012 23:00

Fotolia--medecin.jpg

L'Institut National français de Prévention et d'Education à la Santé (INPES) a édité il y a peu un argumentaire destiné aux médecins, de façon à les aider à mieux fourguer la vaccination rougeole oreillons rubéole (ROR) en deux doses, à leurs patients.

 

Ce document, mis à jour en mars 2012, est organisé sous forme de 10 questions- réponses, censées aider les professionnels à répondre à toutes les questions les plus courantes à ce sujet. Chaque réponse à chacune des 10 questions comporte deux volets, un volet en gras qui sert à répondre aux parents et un volet en italique, davantage destiné à l'information des professionnels eux-mêmes.

 

Qu'on soit simple citoyen, journaliste ou même médecin, la première question à se poser quand on tombe sur pareil document, c'est : est-ce une information fiable, logique et crédible ou n'est-ce rien d'autre qu'un "océan de vérités avec cependant quelques gouttes de mensonges qui invalident tout", autrement dit, une belle propagande bien ficelée?

 

Analysons donc ce document point par point, question après question.

 

1°) La question de la justification de la vaccination (pourquoi vacciner?)

 

Le discours simpliste destiné aux parents se résume à dire que la vaccination permet d'éviter les rares complications de ces trois maladies majoritairement bénignes contre lesquelles il n'existe aucun traitement curatif. Cette réponse est en fait surtout destinée à faire avaler aux parents qu'il est ultra indispensable de vacciner alors que la majorité des générations qui nous ont précédé ont très bien vécu sans.

 

Le volet destiné aux médecins est celui de la dramatisation anxiogène du caractère transmissible et donc de la contagiosité des virus. Ce volet tente aussi de "motiver les médecins à faire du chiffre" en termes de couverture vaccinale puisque qu'il tente de justifier la nécessité de 95% de couverture vaccinale par la seconde dose en indiquant (bel aveu d'échec) que "le virus de la rougeole continue à circuler, même à l'intérieur d'une population bien vaccinée comportant relativement peu de sujets réceptifs." Un passage qui fait donc penser à un précédent aveu d'un professeur français qui avait une fois déclaré au cours d'une émission que c'était normal que "si tout le monde est vacciné, les cas de rougeole surviennent chez des gens... vaccinés!"

 

2°) La question des complications de la rougeole et la différence en termes de fréquence avec les pays en développement.

 

Le volet destiné aux parents consiste notamment à indiquer que sur "3 cas de rougeole en France, 1 cas doit être hospitalisé" (mais bien sûr sans indiquer la responsabilité vaccinale de cette aggravation en valeur absolue des cas qui surviennent car cette vaccination a induit un déplacement d'âge de survenue de la maladie!). On évoque la fatigue que peut induire la rougeole ou encore le risque d'encéphalite, tout en se gardant toutefois bien de dire aux parents que les vaccins ROR peuvent aussi être sources de fatigue chronique et même d'encéphalites pouvant donner lieu à des handicaps mentaux irréversibles.

 

La partie en italique destinée aux médecins évoque la baisse des décès prétendument attribuée à la vaccination mais sans rien dire des décès imputables à cette même vaccination ce qui biaise donc d'emblée toute la crédibilité à accorder à ce genre de deux poids, deux mesures et donne bien sûr une idée du parti-pris idéologique et anti-scientifique de départ.

 

3°) La question de la nécessité d'une seconde dose (au lieu d'une seule)

 

Le discours simpliste destiné aux parents consiste à leur faire croire qu'avec deux doses, leur enfant sera "complètement et efficacement protégé", tout en leur faisant oublier que ces mêmes apprentis-sorciers avaient juré leurs grands dieux à l'époque de l'introduction du vaccin qu'une seule dose protégerait à vie. En vérité, ils n'en savaient rien mais déjà à l'époque, ils prétendaient en savoir plus que ce qui était le cas. A présent, aucune leçon n'est tirée et c'est la même assurance et arrogance délétères qui sont encore et toujours à l'oeuvre puis on dira qu'il faut une troisième dose ou que les échecs sont dus au fait qu'il y aura "seulement" 96% au lieu de 99% de gens vaccinés etc etc

 

Dans le discours destiné aux médecins pour justifier cette seconde dose, on revient sur des chiffres enthousiastes mais issus d'études de chercheurs en conflits d'intérêts, selon lesquels, 5 à 10% des gens ne répondraient pas à la première dose mais dont les 9 dixièmes répondraient cependant à la deuxième. Les médecins sont donc encouragés à vérifier, comme de bons petits soldats bien drillés, que tous les jeunes adultes nés après 1980 ont bien reçu deux doses de cette triple vaccination.

 

4°) La question des cas de rougeole qui surviennent chez des gens vaccinés

 

Le discours destiné au grand public affirme que la rougeole survient surtout chez ceux qui n'ont reçu qu'une dose et que chez ceux qui auraient reçu deux doses, c'est "un évènement rare".

 

Les médecins reçoivent quant à eux un nouveau discours enthousiaste sur l'efficacité du vaccin depuis son introduction en 1983 (sans qu'il leur soit bien sûr rappelé qu'à cette époque et même déjà un peu avant, plusieurs médecins avaient mis en garde contre les risques d'une telle vaccination de masse contre des maladies statistiquement bénignes comme la rougeole)

 

5°) La question centrale des effets secondaires possibles de la vaccination

 

Sensés paraître sincères et objectifs, les propos destinés au public commencent par admettre qu'il peut y avoir des effets secondaires mais se limitent, comme d'habitude à parler du risque de fièvre et de convulsion fébrile, tout en terminant par une phrase extrêmement générale selon laquelle "les effets indésirables sévères sont extrêmement rares".

 

Les médecins ont, eux, droit à un texte (en italique) déjà un peu plus détaillé qui mentionne la possibilité d'éruption chez un vacciné sur 20 mais aussi la mention d'effets secondaires plus graves, notamment d'ordre neurologique (encéphalomyélite) ou auto-immun (thrombocytopénie, c'est à dire une destruction des plaquettes sanguines avec risque hémorragique). Il est d'abord fait mention d'un taux de notification global (toutes gravités confondues) de 1,25 sur 100 000 vaccinations.

 

Lorsqu'on sait que seuls 1 à 10% des effets secondaires (même graves) des vaccins sont effectivement rapportés, ce chiffre est donc déjà de 12,5 à 125 sur 100 000.

 

Ce qui porte le risque individuel, si le sujet subit deux doses à la fourchette de 25 à 250 sur 100 000. Pour faire clair, si on veut bien tenir compte de cette sous-notification carabinée (admise même par l'agence française du médicament!), un sujet qui reçoit deux doses de vaccin ROR encourt donc un risque d'effet secondaire de  1/4000 à 1/400, soit un risque potentiellement supérieur à celui encouru avant la vaccination par les enfants qui contractaient naturellement ces maladies.

 

Mais ensuite, il s'agit de faire frauduleusement croire aux praticiens que le lien entre vaccination ROR & autisme serait uniquement lié aux travaux de Wakefield et que ce lien aurait cessé avec la chasse aux sorcières menée contre Wakefield et ses collègues.

 

En réalité, mais cela on ne le dit pas aux médecins, les travaux de Wakefield ont été reproduits à plusieurs reprises par d'autres équipes de chercheurs qui, eux, n'ont jamais été contestés.

 

Immédiatement après ce rappel partisan sur Wakefield, l'INPES étale alors un petit tableau censé montrer la comparaison entre les risques d'une rougeole naturelle et ceux de la vaccination. Il s'agit bien sûr d'un tableau bidon et totalement non crédible dès lors qu'il est à chaque fois affiché "0" pour ce qui est des otites, pneumonies, diarrhées, panencéphalites sclérosantes subaiguës et décès après vaccination!!

 

tableau-ROR--INPES.JPG

 

Comment peut-on croire une seule seconde à la fiabilité de tels chiffres dès lors que tous les décès post-vaccinaux sont systématiquement niés ou déclarés "sans lien" et qu'ils sont très opportunément minimisés dans les essais cliniques de ce genre de vaccins?

 

qu'il y a une sous-notification notoire des effets secondaires et que donc, toutes les complications jugées peu graves (comme otites ou diarrhées) ne seront donc même jamais rapportées ni par les parents et encore moins par les médecins qui préfèrent utiliser leur temps à autre chose;

 

que plusieurs stastistiques ont déjà démontré que les taux de panencéphalite subaiguë sclérosante se sont, à plusieurs reprises, avérés plus élevés en période post-vaccinale qu'avant l'introduction du vaccin (cfr chiffres précis cités par Michel Georget, biologiste, dans son ouvrage de qualité, "Vaccinations, les vérités indésirables", éditions Dangles)?

 

Cela n'est tout simplement pas sérieux. N'est-ce pas là, la preuve d'une communication frauduleuse à l'attention de vos médecins traitants? N'est-ce pas là aussi la preuve d'une fraude de la confiance même du public, ainsi malhonnêtement incité à se faire vacciner sans connaître tous les tenants et aboutissants, toutes les subtilités d'une telle problématique de santé publique?

 

Le recours aux astérisques dans la seule colonne "des vaccinés" en ce qui concerne l'encéphalomyélite est ici tout à fait exemplaire, à la fois de l'aveuglement idéologique mais aussi de l'incohérence caractéristique, propres au domaine vaccinal.

 

Pourquoi, en effet, prendre la peine de mentionner d'emblée dans la colonne des vaccinés, que les cas concernent à la fois des enfants vaccinés et non vaccinés?

 

C'est là un exemple typique d'incohérence énorme: dans la colonne des vaccinés ne doivent justement pas figurer d'enfants non vaccinés, par définition!!

 

Il existe en outre un contestable deux poids deux mesures puisqu'il n'y a pas d'astérisque en regard des cas dus à l'infection naturelle alors que tous ces cas ne sont pas forcément dus au virus lui-même mais aux particularismes biologiques individuels qui font que tel sujet est plus enclin, plus réceptif ou plus fragile à un moment donné X ou Y.

 

Tout ceci montre donc au mieux, la non fiabilité des statistiques officielles, au pire, les tricheries volontaires qui existent dans ce genre de comptage!

 

En outre, il faut relever que la liste d'effets secondaires graves possibles après vaccination est ridiculement restreinte et il n'est par exemple pas du tout fait mention du risque de méningite et de méningo-encéphalite possible après ce type de vaccination (une précédente version du ROR contenant la souche Urabe pour les oreillons avait justement été retirée du commerce au début des années 90 pour cette raison). Ce document de l'INPES a donc fait le choix de ne parler que des (rares) méningites possibles après avoir contracté naturellement les oreillons sans rien dire du risque de méningite post-vaccinale. On laissera donc aux lecteurs, y compris aux médecins intelligents, le soin de juger de l'honnêteté de ce type de communication.

 

6°) La question de la composition du vaccins (ses ingrédients)

 

Le baratin destiné au public et qui ne répond PAS DU TOUT à cette question, dévie en fait sur le vieux refrain du "'principe du vaccin" avec la description simpliste et donc séduisante des gentils anticorps contre les méchants virus, faisant évidemment fi du rôle clé au cours de l'évolution des maladies infantiles pour la maturation du système immunitaire des enfants, sans même parler des réels bénéfices qui ont été objectivés lorsque de telles maladies sont contractées naturellement (moindre risque d'asthme, d'allergies en cas de rougeole naturelle, protection relative contre le cancer de l'ovaire, qui est un cancer assez redoutable, chez les femmes qui ont fait les oreillons etc)

 

Les médecins se voient expliquer d'une façon plus exacte le genre d'ingrédients contenus dans des vaccins comme le ROR. Des virus atténués, produits à partir de lignées cellulaires (bien qu'on ne leur dise pas qu'il s'agit en réalité de lignées celullaires continues, c'est à dire des lignées cellulaires cancérisées, devenues donc immortelles pour les besoins de la production industrielle mais avec tous les risques que cela comporte pour ceux qui reçoivent de tels vaccins), le tout avec une touche d'antibiotiques, du sorbitol, un peu de gélatine ainsi que la présence  d'ovalbumine, cette dernière n'étant bien entendu (on s'en serait doutés!) une cause de contre-indication absolue!

 

7°) La question de la combinaison des valences vaccinales du ROR ("3 en 1")

 

Le public a encore droit ici au refrain habituel sur le "plus de confort" ou le plus de facilité d'une seule injection ainsi qu'aux affirmations totalement gratuites et péremptoires selon lesquelles le système immunitaire est parfaitement habitué à gérer toutes sortes de substances étrangères en même temps. Bien sûr, on n'explique pas aux gens que les évaluations de ces vaccins, sur des singes notamment, n'ont pas consisté à leur injecter le vaccin triple mais les différents vaccins séparément ce qui déjà, change bien sûr la donne.

 

On ne rappelle pas non plus aux gens - ce qui est pourtant l'élémentaire bon sens- que les gens ne contractent pas deux ou trois de ces maladies à la fois dans la Nature et que si cela ne se produit pas, c'est qu'il y a des raisons! On ne rappelle enfin pas non plus au public l'énorme différence entre l'arrivée naturelle des microbes et autres antigènes (par la peau et les muqueuses) et la voie très anti-physiologique de l'injection qui est bien sûr à même d'expliquer toute une série de "bugs immunitaires" bel et bien liés à la vaccination en général: développement d'allergies, de maladies auto-immunes, inflammatoires et neurologiques etc

 

Le discours en italique destiné aux médecins ose, lui sans rire, reprendre les propos du très contesté Paul Offit, un expert officiel américain particulièrement lié à l'industrie et qui n'avait pas eu peur du ridicule en affirmant qu'un enfant pouvait théoriquement supporter l'injection de 10 000 vaccins à la fois, ce qui faisait dire péremptoirement à Offit qu'onze vaccins à la fois ne mobilisaient que 0,1% du système immunitaire des enfants.

 

Là encore, il est tout simplement ahurissant de constater qu'une instance officielle comme l'INPES ne soit pas gênée de distiller ce genre de discours de foire, qui n'ont plus rien à voir avec la moindre constatation scientifique vérifiable mais qui semblent plutôt relever en vérité du délire. Comment une telle instance a-t-elle pu donc, sans le moindre discernement ou esprit critique, relayer de telles anneries, tout en occultant totalement des éléments pourtant essentiels comme la différence du mode d'introduction des antigènes (peau & muqueuses vs voie injectable) et des constatations millénaires comme quoi on ne fait JAMAIS 3, 4 et encore moins 11 maladies infectieuses à la fois?

 

8°) La question de la vaccination des enfants malades

 

Alors que le bon sens recommande de ne jamais vacciner, même en cas de fièvre légère ou d'infection modérée, les vaccinalistes ont cru bon de banaliser ce genre de vaccination, pensant sans doute éviter un nombre de reports de vaccination qui risquaient ainsi de se solder par une absence de vaccination ultérieure. C'est ainsi que de nombreux accidents graves et même des décès évitables surviennent parce que des médecins de l'ONE, de Kind & Gezin ou tout autre médecin vaccinent des enfants malades, en dépit du bon sens.

La petite Stacy de Charleroi a été vaccinée malade, elle en est morte.

 

Pareil pour le petit Xandro de Renaix, vacciné avec le ROR justement.

 

9°) La question de la non obligation de cette vaccination ROR

 

Bien que non obligatoire, il est rappelé au public que la vaccination ROR est vivement recommandée. Mais ce qui n'est toutefois malhonnêtement pas rappelé, c'est qu'à la différence des vaccinations obligatoires, il n'existe aucune possibilité d'indemnisation par l'Etat qui l'aura recommandé, des victimes d'une telle vaccination non obligatoire, ce qui nous ramène inévitablement à l'adage selon lequel "les conseilleurs ne sont pas les payeurs".

 

On relèvera surtout la "morale" qui est faite aux médecins sur leurs prétendus devoirs envers l'individu mais aussi la société, en tentant de culpabiliser le ou les patients (non vaccinés bien sûr!) qui seraient à l'origine d'une épidémie. La carotte et le bâton, en somme.

 

Il est aussi rappelé l'absence de traitement de ces maladies, du moins en ce qui concerne le seul cadre allopathique puisque de nombreux praticiens doivent rire sous cape à la lecture de ce genre de propos, puisqu'ils connaissent une foule de moyens naturels et sûrs de renforcer le système immunitaire dans toutes une série d'infections (vitamines, oligo-éléments, probiotiques, huiles essentielles, certains remèdes homéopathiques), de façon à minimiser le risque de complications, ce qui est là l'essentiel en fait.

 

10°) La justification de la vaccination des ados et jeunes adultes (qui est en fait celle, non avouée, du déplacement de l'âge de survenue de la maladie, dû au vaccin)

 

Le bon peuple a droit à des affirmations sans toutefois qu'on lui offre l'explication de celles-ci.

 

Ainsi, l'INPES invite les praticiens à expliquer au public que la vaccination est recommandée en raison d'un nombre accru de cas dans cette tranche d'âge et qui sont surtout proportionnellement beaucoup plus graves, mais cette instance se garde toutefois bien d'avouer au public ce que chaque épidémiologiste sait pertinemment bien, à savoir que cette situation du "pire que bien", est la conséquence directe de ces campagnes vaccinales de masse contre des maladies d'enfance bénignes qui avaient tout intérêt à se déclarer dans l'enfance, précisément! D'ailleurs plusieurs médecins éminents avaient prédit cette conséquence et avaient mis en garde à temps contre cet effet pervers.

 

Au lieu de tirer les conclusions de l'échec auprès du public, les autorités n'ont eu de cesse de le camoufler en plongeant plus avant le public dans ce cercle vicieux infernal et en recommandant une dose de plus (double dose).

 

Alors qu'avant, les mères qui avaient majoritairement fait naturellement ces maladies transmettaient des anticorps robustes et protecteurs aux jeunes nourrissons et étaient elles-mêmes protégées à vie, les mères d'aujourd'hui n'ont pour la plupart plus d'anticorps à transmettre à leurs jeunes nourrissons dans leur lait maternel et se retrouvent aussi dans la poche des adultes susceptibles car ne bénéficiant pas d'une immunité naturelle très fiable.

 

On a donc moins de cas en valeur absolue mais proportionnellement plus de cas graves, aux deux extrêmes (jeunes enfants et jeunes adultes), sans surprise à une période de la vie qui n'était pas prévue par la nature pour contracter ces viroses "au moindre coût" et au plus grand bénéfice (immunité durable à vie). Voilà donc le triste bilan des vaccins: un nivellement de la santé publique, grâce à l'inconséquence d'apprentis-sorciers qui se targuent d'être "experts". Affligeant!

 

Il ne reste plus après cela, qu'à conclure, comme tout patient lucide pourrait le faire, à la nécessité de ne pas forcément croire son médecin sur parole mais de chercher à recouper ses affirmations avec d'autres éléments potentiellement plus solides et plus convaincants.

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10 avril 2012 2 10 /04 /avril /2012 22:31

Voici ce que les Français ont trouvé dans leur boîte aux lettres fin de la semaine passée. Une "belle" communication bien dramatisante sur la maladie (rougeole) et bien entendu très rassurante sur les effets secondaires du vaccin, au sujet desquels il est affirmé de façon purement gratuite que "Les effets indésirables sévères sont extrêmement rares comparés aux risques de complications graves liés à la maladie."

 

Une affirmation d'autant plus douteuse que l'Afssaps elle-même représente la sous-notification (inévitable) des effets secondaires de vaccins à la manière d'un ICEBERG:

 

AFSSAPS sous notification

 

 

Une affirmation d'autant plus douteuse que les tests de sécurité et de tolérance  des vaccins à virus vivants laissent vraiment à désirer.

 

Une affirmation d'autant plus douteuse que même les professeurs de maladies infectieuses semblent ignorer la nature et la variété de ces effets secondaires graves possibles!

 

Ainsi, à l'affirmation "la rougeole n'est pas une maladie grave", il est répondu "FAUX, la rougeole est souvent sans gravité mais elle peut donner lieu à des complications graves voire mortelles: les pneumonies et les encéphalites (inflammations du cerveau).[...]"

 

Mais ce que le site Santésolidarité rappelle à juste titre en la matière c'est notamment que:

 

« L'argument vaccinaliste pour se vacciner contre la Rougeole, est de prévenir l'apparition d'une complication redoutable, l'encéphalite. Outre le caractère exceptionnel de cette complication, il convient de préciser que cette complication survient en dépit de la vaccination, comme en témoigne un article paru dans la Revue Médicale de Tours, concernant 2 cas d'encéphalite, survenus chez deux enfants vaccinés contre la Rougeole. "Revue Médicale de Tours" -1995- T.29. - N9/10. »

 

On épinglera surtout le véritable malaise entourant la question des effets secondaires puisqu'à l'affirmation "le vaccin contre la rougeole est dangereux", il est répondu "FAUX" suivi de deux réponses qui n'ont absolument rien à voir avec LA SECURITE du vaccin et qui ne servent en fait qu'à faire diversion pour mieux masquer le vide des données concrètes sur la question. On invoque ainsi sa gratuité totale jusque l'âge de 17 ans et à 65% au-delà (comme si cela était le moins du monde une preuve en soi de sa bonne tolérance!), avant d'affirmer que la vaccination est "le seul moyen de prévention".



On a donc ici une belle démonstration des principales ficelles (ultra usées) utilisées comme piliers fondateurs de cette propagande vaccinale séculaire:



- l'alibi essentiel du soutien des autorités ("si les autorités le remboursent, c'est que c'est vraiment sûr et important")



- l'approche monopolistique (c'est "le seul moyen de prévention possible") qui sous-entend de façon grotesque et vraiment peu crédible que les mesures non spécifiques et souvent plus intelligentes de renforcement général du système immunitaire dans son ensemble, n'auraient par comparaison, que fort peu d'importance alors que ce type de renforcement pourrait sans doute favoriser des rougeoles avec moindre risque de complications et une immunité réellement durable à vie en contrepartie.



Mais ce courrier simpliste affirme encore autre chose de douteux quant à la durabilité de la soi-disant protection conférée:



"Deux injections sont nécessaires pour être protégé efficacement. La protection dure toute la vie chez la grande majorité des personnes."



Pour se protéger, ils prennent la précaution de noter "chez la grande majorité des personnes" de façon à pouvoir opposer, après coup, aux gens doublement vaccinés qui auraient fait la maladie, qu'ils étaient sans doute "dans le faible pourcentage de cas chez qui ça ne prend jamais".



 Rappelons-nous toutefois que:



- au moment du lancement de cette (inutile) vaccination de masse contre une maladie alors qualifiée de bénigne et ne nécessitant pas de vaccination dans les revues médicales françaises, on a affirmé qu'une dose protégerait à vie. Une revue comme Test- Santé, de l'Association de défense belge des consommateurs Test-Achats, affirmait d'ailleurs encore récemment que les vaccins vivants protègent à vie. Mais sur quelle base? Sur QUELLE PREUVE SOLIDE?



- Aux USA, les experts avaient aussi prétendu qu'une dose de vaccin anti-varicelle suffirait, avant de prétexter, devant l'échec patent de leurs méthodes que finalement, "c'est qu'il fallait une seconde dose". Et donc, qui dit qu'il ne faudra pas par la suite une troisième dose ou encore d'autres rappels? Qui peut le savoir puisqu'il n'est pas du tout pratiqué en routine des sérologies vérificatrices sur les sujets doublement vaccinés et soi-disant "protégés à vie"?

La vaccination de masse est l'unique cause du déplacement de survenue de l'âge de la maladie et donc de l'accroissement des cas graves. Ceci signifie donc qu'il y a moins de cas au total mais proportionnellement plus de cas graves et que l'objectif même de la vaccination est par conséquent, un échec cuisant.

Il est très important que le public se pose ce genre de questions car cela implique son avenir et celui de ses enfants: à partir du moment où une situation X entraîne un cercle vicieux, a-t-on encore oui ou non le droit de ne pas le cautionner, de ne pas l'entretenir ni s'enferrer là-dedans plus longtemps et donc de refuser la vaccination, y compris dans un but altruiste de protection et de vision de la santé publique à plus long terme??



Le fait que ce courrier sur la rougeole pousse et recommande le ROR et non le simple vaccin monovalent contre la rougeole constitue par ailleurs un Xième indice du caractère contestable de pareille propagande, avant tout destinée à pousser à la consommation de vaccins et dès lors aussi de fourguer dans le tas deux autres vaccins qui n'ont ainsi rien à voir avec la communication en question (oreillons et rubéole)! La même stratégie affligeante est d'ailleurs aussi utilisée avec le vaccin diphtérie-tétanos qui, en Belgique, est toujours couplé (sans plus possibilité de vaccin monovalent). 



Ne pas oublier non plus que cette vaccination n'étant pas obligatoire, les victimes ne pourront nullement se retourner en cas de problème contre ces mêmes autorités qui leur auront ainsi prodigué ces bons conseils. Or, à titre indicatif (mais il existe beaucoup d'autres cas), voici un autre exemple du fossé entre les recommandations officielles et ce qui peut en résulter dans les faits...



 

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2 avril 2012 1 02 /04 /avril /2012 11:42

Voici en effet le genre d'affiches que certains médecins placent, sans complexe, dans leurs salles d'attente mais avec quelle responsabilité pour eux sur le plan juridique (?), dès lors qu'ils n'informent le plus souvent jamais les parents que ce type de "cadeau" peut parfois aussi bousiller durablement la vie et la santé de leurs enfants?

 

Drole-de-cadeau-.JPG

 

Voici à présent le "cadeau durable" qui a été offert à Robert Fletcher par le médecin qui lui a jadis administré le vaccin ROR: à l'âge de 20 ans actuellement, il est incapable de marcher, de parler ou de manger tout seul....

 

Robert Fletcher

 

Il aura fallu près de 18 ans de combat à sa mère pour que les autorités britanniques daignent allouer une maigre indemnisation de 90 000 £, une somme qui ne pèsera visiblement rien au regard du préjudice irréversible subi car jamais aucune somme ne pourra hélas réparer ça.

 

Source: Daily Mail

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24 décembre 2011 6 24 /12 /décembre /2011 20:07

25 mai 2011 par The Refusers

 

Le Centre de Contrôle des Maladies (CDC) a sorti sa dernière campagne d'épouvante avec la rougeole: "Les Etats-Unis ont déjà connu 118 cas de rougeole à ce stade cette année, le chiffre le plus élevé depuis 1996, et plus de 90% de ces cas sont liés à des cas importés de l'étranger" a rapporté ce jour le Centre qui a aussi précisé "qu'aucun de ces cas n'a débouché sur une encéphalite ou le décès."

 

Ce discours peut sembler effrayant et vous faire vous ruer sur votre dose de vaccin ROR, n'est-ce pas? Le seul problème avec cette hystérie est qu'il y a déjà eu 698 effets secondaires rapportés au système Vaers (Vaccine Adverse Event Reporting System, dépendant de l'agence américaine du médicament, la FDA) en lien avec les vaccins ROR, RORV (= ROR+ valence varicelle) et anti-rougeoleux (monovalent), ces effets secondaires incluant 4 décès et 280 visites aux urgences.

 

698 effets secondaires, cela équivaut à + de 6 fois le nombre de cas de rougeole survenus.Et gardez toujours à l'esprit ce que l'ancien Commissaire de la FDA, David Kessler, écrivait dans le Journal de l'Association Médicale Américaine (JAMA), à savoir que 'Seul 1% des effets secondaires graves sont effectivement rapportés à la FDA."(JAMA. 1993;269(21):2765-2768. A New Approach to Reporting Medication and Device Adverse Events and Product Problems). Donc 698 effets secondaires du vaccin anti-rougeoleux en 2011, cela pourrait bien n'être que la pointe de l'iceberg.

 

Mais (bien sûr), la FDA et le CDC ne pourraient pas moins se soucier des effets secondaires et des victimes de vaccins. En réalité, en lisant ce genre de commentaires, ils déclareraient sûrement que toutes ces réactions ne sont que des coïncidences. C'est pourquoi c'est si important que les parents assument leur propre part de responsabilité en recherchant les informations de sécurité avant d'accepter le moindre vaccin. Les personnes peuvent dupliquer ces chiffres et rapports à partir de l'adresse internet www.medalerts.org. Jetons un oeil sur quelques rapports d'effets secondaires enregistrés au Vaers en 2011. Plusieurs de ces victimes feront sûrement partie des enfants autistes de demain, car comme vous le verrez, la plupart de ces rapports notifiés au Vaers concernent des effets neurologiques sévères (encéphalite, méningite, convulsions) survenus peu de temps après la vaccination. C'est exactement le genre de catastrophes que les parents peuvent observer avant que leurs enfants ne sombrent dans l'autisme. Quand une encéphalite est causée par une vaccination, on estime que cela est une coïncidence et on attribue ça "au hasard" mais lorsque cela est causé par une maladie (infectieuse), on considère cela comme une urgence et une priorité de santé publique.

 

Plusieurs de ces rapports concernent des vaccins multiples, ce qui n'absout absolument pas le ROR en termes de neurovirulence mais tend plutôt à démontrer, au contraire, que les autorités et ceux qui administrent ces vaccins préconisent ces combinaisons vaccinales sans la moindre étude permettant d'en évaluer les conséquences possibles.

 

Source: The Refusers 

 

 

 

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27 novembre 2011 7 27 /11 /novembre /2011 14:26

Au Québec, selon les informations diffusées le 23 novembre dernier par le Journal Le Soleil, "les enfants non vaccinés seront renvoyés à la maison" en cas d'épidémie de rougeole au motif que cette mesure fait "consensus" parmi les différents directeurs de santé publique de la province.

 

Et cet article de bien préciser, de façon inquiétante pour les libertés citoyennes et le droit à la vie privée, que "La Direction régionale de santé publique possède une base de données qui lui permet de savoir quels enfants et adolescents ont été vaccinés contre la rougeole et quels sont ceux qui ont reçu les deux doses suffisantes. Dès lundi, les autres élèves - ou leurs parents, s'ils ont moins de 14 ans - recevront un formulaire d'information et de consentement à la vaccination."

 

Car la vaccination se fera dans le cadre scolaire, dès le 5 décembre prochain.

Une fois encore, le cadre scolaire.... celui qui permet toutes les dérives [voir notamment ICI et ICI ] et qui donne ainsi une illusion artificielle qu'il s'agit de quelque chose de vital, si pas d'obligatoire.

 

Une fois encore, cet article  (de la presse canadienne) est partial et biaisé CAR :

 

- Il ne parle que des risques de la maladie (évidemment « diabolisée » pour les besoins de la cause) sans rien dire des risques du vaccin pouvant aussi occasionner des complications neurologiques graves et même des décès, même si les plus grands experts semblent encore méconnaître ce genre de réalité scientifique indiscutable.

 

- Il omet de préciser que les vaccinés aussi peuvent être une source d’infection et donc de contamination.

 

Au final, on remarquera donc que ce que le Jury d’Ethique Publicitaire déplorait dans la publicité des autorités communautaires belges en matière de vaccination, est ici aussi en cause à savoir : l’efficacité des vaccins présentée de façon trop absolue et les risques de la vaccination, complètement passés sous silence !

Ces informations partielles et partiales sont donc contraires aux exigences de loyauté et de véracité et sont, par conséquent, « de nature à induire le consommateur en erreur. »

 

Et tant que ce véritable TABOU médico-commercial ne sera pas levé, on retrouvera donc de façon récurrente ce genre de pseudo article d’« information ».

 

D'autres informations convergentes précisent d'ailleurs que les enseignants et le personnel éducatif sont obligés, dans les faits, de se faire vacciner sans quoi ils sont mis en congé SANS SOLDE pour un temps indéterminé!

 

 

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22 novembre 2011 2 22 /11 /novembre /2011 02:33

Récemment encore, sur France 5, les téléspectateurs ont pu entendre le Pr Gentilini affirmer qu'un vaccin comme le ROR est "reconnu comme anodin".

 

Est-ce vraiment le cas?  

 

Comment est vraiment évaluée  la sécurité de  ce genre de vaccins, appelé en jargon technique "vaccin à virus vivants" (atténués mais vivants, par opposition aux vaccins dit "tués", "à sous-unités" ou aux vaccins recombinants c'est à dire obtenus par génie génétique)?

 

Un auteur américain, Jeffry John  Aufderheide, attire selon nous à juste titre,  l'attention du public, sur les règles directrices des évaluations en matière de sécurité des vaccins dits à virus vivants, ces procédures "standard" étant celles édictées dans la 5° édition de la Pharmacopée Européenne.

 

Parmi ce qui est préconisé en termes de procédure pour évaluer les risques neurologiques de tels vaccins, deux grandes aberrations doivent nous interpeller:

 

- Tout d'abord, si des singes vaccinés meurent en-déans les 48 premières heures après la vaccination, leur mort est considérée comme étant de "cause non spécifique" et ils peuvent être ainsi simplement "remplacés", ce test restant valable pour autant que la mortalité n'atteint pas 20%. Cela signifie, en d'autres mots, que si 10 ou même 19% des singes vaccinés enrolés décèdent précocément après leur vaccination, tout continue comme si le vaccin n'était pas incriminable. On imagine l'énorme faiblesse que ce genre de règle induit en matière de sécurité et on se rappellera aussi, à cet égard, la légèreté de l'Agence Européenne qui a fait comme s'il n'y avait pas eu de problèmes avec le vaccin H1N1 Pandemrix au cours des essais cliniques alors qu'il y avait cependant eu 7 décès sur 2000 patients (ce qui est énorme).

 

- Ensuite, autre biais: les vaccins injectés aux animaux ne sont pas des vaccins combinés (or le ROR, comportant 3 valences, rougeole, oreillons, rubéole, est un vaccin combiné!). Pourtant, on sait très bien, vu la complexité des organismes vivants, que les effets synergiques possibles des produits administrés sont un élément très important à prendre en compte! Et donc, en terme de sécurité également bien entendu!

 

[Source: Methods of Analysis  2.6.18 – Test for neurovirulence of live virus vaccines. EUROPEAN PHARMACOPOEIA, 5th Edition.]

 

Par conséquent, on comprend le décalage qui existe encore une fois entre les propos rassurants des officiels et ce qui peut advenir dans certains cas.

 

Comme par exemple dans le cas de Mr Aufderheide, père d'un enfant handicapé suite à une vaccination qui reconnaît avoir "fait l'erreur de croire les médecins sur parole". A ses yeux, et on le comprend, l'importance d'une information suffisante, préalablement à toute vaccination, est donc de première importance.

 

Mais il semble que la méfiance (légitime) du public vis-à-vis des propos doucereux et à l'eau de rose des officiels sur la sécurité de ce genres de vaccins, soit de plus en plus répandue à en lire certains articles de presse qui expliquent par exemple que des parents américains préfèrent aller jusqu'à payer pour des objets d'enfants atteints de varicelle destinés à "contaminer" naturellement leurs enfants, plutôt que de prendre le risque de les vacciner avec un vaccin conférant pourtant une immunité nettement moins robuste (et  pratiqué de façon systématique là-bas, en enfermant parfois même des enfants dans des palais de justice pour les vacciner de force!)

 

 

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27 octobre 2011 4 27 /10 /octobre /2011 21:58

Dans un dossier presse du 13 octobre 2011, les autorités françaises appellent à la vaccination ROR en deux doses pour tous les adultes nés après 1980...

 

Avec des arguments simplistes et donc scientifiquement incorrects, les autorités françaises entendent ainsi masquer l'échec TOTAL de la politique irréfléchie de vaccination généralisée contre la rougeole, entamée depuis les années 80'.

 

Pour rappel, avant d'introduire cette vaccination généralisée, des scientifiques avaient mis en garde contre les risques conséquents de déplacement de l'âge de survenue de la maladie avec, comme revers de la médaille, un taux accru de complications graves. Et c'est de fait, ce qui s'est passé. Au lieu d'en tirer les leçons, voilà que les autorités voudraient nous refaire aller un coup dans la même (mauvaise) direction!

 

Dans cette communication simpliste, plusieurs choses sont fausses ou incohérentes:

 

- Il n'est pas fait mention du caractère statistiquement anodin qui était reconnu à cette maladie avant l'introduction de la vaccination généralisée, époque où des dizaines de milliers de cas de rougeoles survenaient chaque année, sans que personne n'en fasse une affaire d'Etat.

[Bien sûr, à cette époque aussi, le risque de complication rare existait mais il était moindre qu'aujourd'hui car la maladie survenait à un âge où les complications graves sont plus rares. Rappelons aussi que les cas très minoritaires de complications qui sont survenus ne suffisent pas à faire de cette maladie une "maladie GRAVE" en soi, comme le font aussi croire du reste les autorités pour l'hépatite B, bénigne dans plus de 9 cas sur 10. Les autorités retournent en fait cette logique par rapport aux vaccins, affirmant que ce n'est pas parce qu'il y aurait "des rares cas de complications graves" (qu'ils nient pour la plupart des cas), que les vaccins sont dangereux ou risqués. Le gros problème cependant dans cette affirmation qui est la leur est qu'il existe une sous-notification notoire des effets secondaires graves des vaccins....]

 

- Ils affirment "c'est efficace". Visiblement, les expériences sur le terrain démontrent le contraire puisque récemment encore, au Canada, on a démontré que même vaccinés avec deux doses de ROR, les enfants devenus ados n'étaient pas protégés comme on le croyait!

 

- Ils affirment aussi "c'est sans danger". Là encore, c'est FAUX bien entendu et ce type d'affirmation constitue même une violation pure et simple de la loi Kouchner sur les droits du patient et notamment le droit à un consentement libre et éclairé puisque la littérature médicale atteste d'un certain nombre de graves dangers après le ROR et le vaccin antirougeoleux monovalent. Il est donc ESSENTIEL de rappeler aux personnes qui pourraient succomber à cette propagande et qui pourraient hélas en payer le prix en terme d'effets secondaires, qu'ils n'auront aucun recours contre les autorités car celles-ci se réfugieront derrière le fait que cette vaccination n'était pas strictement obligatoire!

 

- Soulignons aussi, enfin, la bizarrerie d'une vaccination ROR pour tous pour simplement prévenir "la rougeole". Mais bon, convenons-en, les zélateurs des vaccinations n'ont jamais été à une incohérence près.

 

 

Voici, à titre d'exemple, la "mirobolante efficacité" qu'on peut attendre de deux doses de vaccin ROR en ce qui concerne les oreillons.

 

Chiffres fournis en 2010 par le Comité technique des Vaccinations américain (Advisory Committee on Immunization Practices):

 

OREILLONS---ROR--LE-GROS-ECHEC.jpg

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25 octobre 2011 2 25 /10 /octobre /2011 20:08

Extraits d’un article de Canadian Press, Toronto, 20 octobre 2011.

 

Au cours de la conférence sur les principales maladies infectieuses qui se tiendra ce weekend, les officiels de la Santé des Etats-Unis et du Canada  ne manqueront pas d’évoquer les nombreux cas de rougeole qui se sont multipliés cette année dans les deux pays. Des cas de rougeole se sont également produits chez des enfants vaccinés…

 

 

[…] Une enquête menée sur l’épidémie qui s’était produite dans la haute école d’une ville particulièrement touchée par le virus a pu montrer qu’environ la moitié des cas de rougeole se sont produits chez des adolescents qui avaient reçu les deux doses du vaccin recommandées ; en d’autres mots des adolescents que les autorités pensaient, grâce à la vaccination, pouvoir protéger du virus de la rougeole.

 

On pense généralement que le vaccin contre la rougeole administré en deux fois au cours de la première enfance protège contre la rougeole dans 99% des cas.

La découverte que 52 des 98 adolescents qui ont fait une rougeole avaient en fait bien été  vaccinés a produit un réel choc parmi les chercheurs qui menaient l’enquête.

 

Source: Intelihealth

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19 juillet 2011 2 19 /07 /juillet /2011 23:09

En date du 16 juillet dernier, nous avions écrit à la rédaction du Journal International de Médecine (JIM) pour leur faire part de tout notre étonnement suite aux affirmations de l'Académie française de Pharmacie qui, tout en appelant à la vaccination ROR obligatoire, osait affirmer que "toutes les études ont réfuté la responsabilité du ROR dans la survenue d'effets secondaires graves."

 

Suite à cela, et nous l'en remercions, la rédaction du Journal International de Médecine a accepté de publier notre réaction, à la suite de l'article sur l'Académie de Pharmacie.

 

Puis, elle a répondu à la suite.... une réponse pour le moins étonnante.

 

Ce à quoi nous avons répondu CECI:

 

Cette réponse est en effet tout à fait atterrante de la part d'un tel journal parce que là où nous étions en droit de nous attendre à un échange d'arguments SCIENTIFIQUES véritables, on remarque d'emblée que cette réponse se contente d'affirmations et d'arguments d'autorité.

Pour autant, le fait de déclarer que la sécurité du ROR est "un fait avéré" ne transforme pas une telle assertion en démonstration scientifique.

 

Bien au contraire, cela démontre encore et toujours tout le profond malaise que suscite le fait de soulever cette question de la sécurité vaccinale. Il est vrai que c'était assez difficile de défendre la qualité des avis d'une Académie qui est prise en défaut de façon aussi grossière puisque celle-ci avait osé affirmer que toutes les études ont réfuté la responsabilité du ROR dans la survenue d'effets secondaires graves et que nous avions pourtant apporté la preuve rigoureuse du contraire.

 

L'affirmation du JIM sur la sécurité du ROR ne tient pas la route et c'est si vrai que les exemples ne manquent pas pour la prendre en défaut:

 

- ainsi, si la sécurité du vaccin ROR est un fait avéré, comment donc se fait-il que ce vaccin soit également couvert par le programme québéquois d'indemnisation des victimes de vaccinations qui couvre différentes indemnités dont des indemnités pour dommages corporels et des indemnités de décès y compris les frais funéraires??? 

 

- si la sécurité du ROR est un fait tellement avéré, comment aussi se fait-il qu'un document officiel du Center for Disease Control (CDC) stipule au sujet de ce même vaccin que " le risque pour le vaccin ROR d'entraîner des problèmes graves ou la mort est extrêmement faible"??

 

- et surtout comment se fait-il que la justice britannique ait donné raison à une famille dont le fils souffre de graves lésions cérébrales depuis sa vaccination ROR il y a 18 ans et ait concédé à une indemnisation de 90 000 £?

 

Voilà donc, ci-dessous les effets d'un vaccin ROR dont la sécurité est "avérée": Robert Fletcher, 18 ans, incapable de marcher, de parler, incontinent et souffrant de multiples crises épileptiques depuis ses 13 mois, âge auquel il a été vacciné.

 

Robert-Fletcher.jpg

 

 

Le JIM se réfère aussi béatement à la "validité" de ce qu'aurait pu affirmer la Food and Drug Administration (FDA) alors que cette agence n'est autre que le pendant américain de la très opaque EMEA (agence européenne du médicament), largement financée par les industriels du secteur. Et bien entendu, c'est aussi le cas pour cette agence américaine où le système des portes tournantes ("revolving doors") est fréquent et consiste à faire passer des gens de l'industrie aux postes de règlementation/évaluation et vice-versa. C'est ainsi que divers scandales alimentaires et médicamenteux ont pu éclater comme celui de l'Aspartame, du Vioxx etc.

 

Il est évident que quand de telles agences ne sont pas indépendantes, comme c'est hélas le cas, c'est la porte ouverte à toutes les dérives et avec le scandale du Vioxx, divers scientifiques de l'agence ont bien dû avouer que malgré les alertes internes qu'ils avaient tirées au sein de l'agence, cela restait lettre morte. C'est qui est bien la preuve que les enjeux financiers passent bien avant la santé des consommateurs.

 

Du reste, le CDC est une source tout aussi officielle aux USA et on comprend alors assez mal comment cet organisme peut évoquer "des problèmes graves et des décès après ROR" si la FDA a décrété que la sécurité du ROR était démontrée et que c'était un fait avéré!

 

Concernant les travaux du Dr Wakefield, il est relevant que l'establishment tente toujours de s'agripper à Wakefield comme s'il était le seul à avoir établi de solides relations entre l'autisme et les vaccinations alors que d'autres études ont convergé dans le même sens, sans pour autant être retirées. En effet, comme rappelé dans The Daily Mail, le Pr John O'Leary avait déjà reproduit les résultats du Dr Wakefield en 2001 et l'équipe de la Wake Forest University School of Medicine de Caroline du Nord a fait publier la deuxième étude indépendante qui est venue confirmer le bienfondé des travaux de Wakefield.

Du reste, si la presse s'est focalisée sur la personne du Dr Wakefield, il ne faut pas oublier que ses travaux étaient cosignés à l'époque par une dizaine d'autres scientifiques dont on n'ose jamais affirmer qu'ils se sont eux aussi tous trompés. Sans parler du temps illogiquement long qu'il a fallu pour "déjà" retirer cette étude en 2010 comme dit le JIM! Etrange...

 

Et autre chose d'étrange dont le JIM a aussi oublié de parler c'est que le British Medical Journal tout comme le Lancet ont tous les deux, depuis 2008 et 2009 un partenariat d'éducation permanente avec Merck, grand fabricant mondial de vaccins, qui produit notamment des vaccins ROR. Tout cela pose question. Tout comme on peut aussi se poser la question des conflits d'intérêts de cette Académie française de Pharmacie car on remarque toujours, dans le chef de ceux qui affirment de façon aussi outrancière "il n'y a aucun danger, aucun risque" de très lourds conflits d'intérêts (comme par hasard!).

 

En conclusion, nous ne pouvons que renvoyer la rédaction du JIM ainsi que tout lecteur soucieux de prendre soin de sa santé, à notre article sur l'arrogance des experts qui conseillent souvent sans savoir, se contentant d'affirmations jamais démontrées mais ô combien irresponsables en terme de véritable de santé publique.

 

 

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