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6 mars 2016 7 06 /03 /mars /2016 21:14

Réponses de Michel Georget à l'article : ET SI ON ARRÊTAIT DE VACCINER ! (Propos du Pr François Bricaire, membre de l'Académie de Médecine): 

Michel Georget, 16 février 2016 à 23:33

 

Permettez-moi de vous apporter la contradiction sur plusieurs points, en me référant à des données scientifiques vérifiables.


Tout d'abord, pour ceux que vous appelez les anti-vaccinaux « le déclin des maladies infectieuses ne serait pas dû aux vaccins, mais à l’hygiène », mais c'est l'OMS elle-même qui l'a déclaré en ces termes : « On peut se demander si l'abaissement du taux de mortalité n'a pas été trop aisément attribué à l'action sanitaire. Au cours du processus de développement, qui fut long et relativement lent dans la plupart des pays actuellement industrialisés, le développement économique, surtout au stade initial, a probablement contribué plus efficacement que la santé publique et la médecine clinique à réduire la mortalité. (1) » 

Venons-en maintenant à deux exemples emblématiques : la variole et la diphtérie.


Tout d'abord, la variole : Dans le rapport de son éradication publié par l'OMS et consultable sur internet, on peut lire : « Les campagnes d'éradication reposant entièrement ou essentiellement sur la vaccination de masse furent couronnées de succès dans quelques pays mais échouèrent dans la plupart des cas. […] Il eût été extrêmement coûteux et logistiquement difficile, sinon impossible, d'atteindre des niveaux beaucoup plus élevés de couverture. Avec les moyens disponibles, il fallait absolument changer de stratégie. » 


Ce qui fut fait en adoptant la stratégie de surveillance-endiguement au sujet de laquelle le porte-parole de l'OMS put déclarer au journal Le Monde (21-12-1977) : « Sur le plan stratégique, l'abandon de la vaccination de masse en faveur de l'approche de surveillance-endiguement revêtit une importance capitale. Avec ce type d'approche, on parvenait à faire complètement échec à la transmission, même lorsque l'incidence variolique était élevée et les taux d'immunisation faibles. » Il est difficile d'être plus clair pour montrer l'insignifiance de la vaccination antivariolique.

(1) Rapport sur les statistiques sanitaires mondiales, OMS, 1974, 27 (5).

http://img1.blogblog.com/img/blank.gif

Michel Georget, 16 février 2016 à 23:45

 

Venons-en maintenant à la diphtérie. 


Il ne faudrait pas oublier que les épidémies ont une vie : elles naissent, se développent et meurent. La diphtérie en est un bel exemple.


Dans un opuscule de l'OMS publié en 1962(1), on peut lire ceci : « il est vrai que la fréquence des cas nouveaux de diphtérie peut augmenter et diminuer indépendamment des programmes de vaccination. Il y a une centaine d'années [en 1858] Sir John Simon, premier titulaire du poste de Medical Officer au Conseil privé de Grande Bretagne, disait : la diphtérie est une maladie qui, bien qu'elle ait été autrefois répandue, est presque inconnue de la génération actuelle des médecins britanniques.» Or, à cette époque le vaccin n'existait pas!

 

Par ailleurs, vous écrivez : « La diphtérie a régressé complètement partout où la vaccination a été introduite et respectée ». Une publication fort intéressante (2) a montré qu'entre 1940 et 1950 les épidémies de diphtérie se sont développées de la même façon en France, Hollande, Norvège, Suède, Danemark, Finlande, avec une crue jusqu'en 1945 suivie d'une régression très rapide, quel que soit le degré d'immunisation.

Vaccinations: un biologiste remet les pendules à l'heure

Ces auteurs mettent en relief le cas de la Norvège qui a vu le nombre de décès dus à la diphtérie chuter de 555 à 2 entre 1908 et 1939 alors que la vaccination était peu pratiquée (notamment parce que le vaccin ne fut mis au point qu'en 1923) alors que le nombre de décès est remonté à 747 en 1943 en dépit d'une vaccination obligatoire depuis 1941.

Vous écrivez également « un arrêt ou un relâchement de la protection vaccinale a toujours été suivi de reprise de cas .» Le cas emblématique de l'Allemagne vient à l'encontre de cette affirmation.


Ce pays connaissait depuis longtemps une incidence diphtérique élevée (3). En 1941, la vaccination devint obligatoire. Dès 1942, 80% des enfants des enfants de la ville de Berlin étaient vaccinés. Or la mortalité diphtérique sextupla en cinq ans de vaccination obligatoire. Au vu de cet échec et des maigres moyens financiers dont disposait l'Allemagne à la fin de la guerre , l'obligation de vaccination fut suspendue . En dépit de conditions de vie difficiles (sous-alimentation, problèmes de logement liés aux destructions de la guerre, promiscuité) morbidité et mortalité diphtériques s'effondrèrent en l'espace de cinq ans seulement alors que tout pouvait faire craindre le contraire(3).


Ces quelques exemples permettent vraiment de douter de l'impact des vaccinations dans la régression de la diphtérie. Et en France me direz-vous ? Il y eut pour commencer l'obligation de vacciner les hommes au service militaire à partir de 1931 puis l'obligation de vacciner la population enfantine en 1938. Des campagnes massives de vaccination furent entreprises en 1942, ce qui n'empêcha pas le triplement du nombre de cas de diphtérie dès 1943 et jusqu'en 1945, comme en atteste l'Annuaire statistique de la France. L'inefficacité était patente. Comment a-t-elle pu ne pas apparaître au grand jour ? Tout simplement en considérant, comme cela figure dans les manuels scolaires, que les vaccinations n'ont débuté qu'en 1945, ce qui est manifestement faux. Un tel comportement n'a rien d'honnête et encore moins de scientifique.

Vaccinations: un biologiste remet les pendules à l'heure

(1) Cahiers de santé publique n°8, OMS. 1962, Le rôle de l'immunisation dans la lutte contre les maladies transmissibles.

(2) Madsen T. et S. : Danish medical bulletin, 1956, 3 (4) : 112-121.
(3) Rendu R. Résultats comparés de la vaccination et de la non-vaccination dans la lutte contre la diphtérie. Journal de médecine de Lyon, 1954, 35 (819) : 147-160. 

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5 mars 2016 6 05 /03 /mars /2016 10:51

Dr Suzanne Humphries, M.D., néphrologue

 

VACCINS : « Consentement fabriqué ». Le doute, même fondé, est interdit ! (Extraits)

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Conférence du Dr Suzanne Humphries, néphrologue, au Danemark, en novembre 2015.

 

Vous pourriez vous demander pourquoi je vous parle aujourd’hui du « consentement fabriqué » au lieu de vous parler du « consentement éclairé ». Il existe à cela plusieurs raisons. L’une d’elles est le changement que j’ai pu observer dans le système médical qui s’efforce de faire accepter aux gens le type de comportement que le système veut qu’ils adoptent.

 

Vous pourriez croire, comme c’est le cas avec d’autres pratiques médicales, que c’est sur la véritable science (« solid science ») que repose le consentement éclairé. Les faits montrent cependant que les choix que vous faites n’ont jamais été basés sur un consentement libre et éclairé.

 

En 1997, l’OMS a forgé une stratégie qui a été publiée dans le livre « The Strategic Plan ». Cet ouvrage était destiné à modifier complètement la manière dont les gens envisagent les vaccinations. Ce plan comportait des points-clés et devait se servir des médias pour élaborer des messages destinés à conditionner l’opinion publique, et à convaincre les leaders d’opinion à tous les niveaux de la société. Il fallait des porte-paroles à tous les niveaux pour véhiculer un message, et un seul message.

 

Ce plan met l’accent sur le partenariat privé/public, ainsi que sur le concept de philanthropie. Tout ceci dans le but de faire accepter l’idée que les vaccins constituent un élément de base, un élément essentiel de la vie en société. Tous ceux qui lisent cet ouvrage pourront réaliser clairement que ce plan ressemble à la parabole de la grenouille dans l’eau froide. Comme l’eau est réchauffée très progressivement, très graduellement, la grenouille ne peut se rendre compte de ce qui se passe jusqu’à ce qu'arrive le moment où elle est finalement cuite. Comme la grenouille, nous sommes conduits progressivement à une situation dans laquelle il ne nous sera plus possible de voir autre chose que le dogme que l’on veut nous imposer. 

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Les gens qui font partie de ce plan s’appellent les parties intéressées (acteurs privés). Cette situation a pris de l’ampleur au cours des 20 dernières années, mais jamais aussi clairement qu’en 2015. Toutes les apparences en ce qui concerne les vaccins ont été modifiées, et une grande partie de ces modifications est due à l’intervention du secteur privé.

 

En 2010, la Fondation Bill & Melinda Gates a donné 10 milliards de dollars pour permettre de faire de l’époque 2010-2020 « La décennie des vaccins ».

 

A cette époque, je n’aurais jamais pu imaginer ce que 10 milliards de dollars auraient la possibilité de réaliser.

 

Avec cet argent, les acteurs privés sont parvenus à planter leur drapeau partout dans le monde, et avec des résultats étonnants. En 2015, par exemple, il fut question aux Etats-Unis de rendre la vaccination obligatoire pour tout le monde. Le succès a été assuré dans plusieurs régions du pays. C’est ainsi que les vaccinations ont commencé à devenir obligatoires du berceau à la tombe.

 

Le plan stratégique de l’OMS a d’abord été publié en 1993 pour être revu en 1997. Il s’agit d’une stratégie mondiale de vaccination à laquelle Bill Gates fait souvent référence dans sa publicité. – Aujourd’hui, nous avons l’Alliance d’un milliardaire, d’une industrie pharmaceutique, d’une Académie, du Département Américain pour la Sécurité Intérieure, ainsi que l’Organisation Mondiale de la Santé.

 

Ce genre d’alliance a de quoi faire réfléchir parce que les buts poursuivis concernent la restriction de nos libertés dans le domaine de la santé, dans la censure de ce que nous pouvons lire et dire, comme dans les choix que nous pourrions faire par rapport à ce qui peut ou non rentrer dans notre corps.

 

On se souviendra de l’année 2015 comme de l’année d’une guerre sans précédent contre tous ceux qui HESITENT à se faire vacciner (…).

 

Nous assistons maintenant à des manifestations de censure de toutes les vues qui ne sont pas pro-vaccinales. On traite les contestataires de fous et de stupides obstinés. Nous assistons également à des efforts énormes de propagande vaccinale. (…)

 

Pour parer aux fissures qui apparaissent de plus en plus dans le « barrage », il convient que les journalistes soient également censurés. Le Dr Paul Offit est la figure pro-vaccins n°1 aux Etats-Unis. C’est lui qui fait les recommandations aux médecins et aux groupes de consultance. C’est ce même personnage qui n’hésite pas à dire que les journalistes qui publient ou discutent les arguments ou les faits présentés par ceux qui remettent les vaccins en question, devraient être jetés en prison ! De ce fait, les journalistes ont de plus en plus peur de perdre leurs sponsors et sont de plus en plus terrifiés. Mais les choses vont plus loin encore : ainsi, le Registre Fedéral du Ministère de la Santé Américain (Federal Register of Health and Human Services) de 1984 n’hésite pas à publier : « tous les doutes possibles à propos de la sécurité du vaccin, qu’ils soient parfaitement fondés ou non, ne peuvent être autorisés à exister ».

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

[Alors que : « Une véritable science a pour moteur sa propre mise en cause », A.Imbert, et "Le monopole, c'est le dogme" - Georges Clemenceau. -  NDT]

 

Les personnes qui s’opposent aux vaccins font l’objet de toutes les menaces possibles. Partout, des médecins sont menacés de se voir retirer leur licence. Peter Lipson n’hésite pas à dire que les médecins qui ne seraient pas d’accord avec la politique vaccinale officielle devraient faire l’objet d’avertissements et d’enquêtes. Ils devraient également perdre leur licence d’exercer et devraient être contraints de subir une propagande (lire: lavage de cerveau), soit 150 heures de recyclage !

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Le message : il suffit de le faire ! C’est bon pour votre enfant et pour n’importe qui. Vous devez vous montrer cruel pour être gentil !

 

L’essentiel de l’histoire de la vaccination est parfaitement sélective pour ne faire apparaitre que de très rares problèmes parmi tous ceux qui se passent dans la réalité de tous les jours. Il est donc beaucoup plus facile de se mettre la tête dans le sable que d’avoir le courage d’affronter des vérités moins agréables (…).

 

En tant que néphrologue, je vois les problèmes pédiatriques augmenter dans des proportions importantes… Les gens ne peuvent s’empêcher de constater que leurs enfants deviennent malades après les vaccinations, et ils en ont marre d’entendre qu’il s’agit de coïncidences. Beaucoup de parents aussi commencent à comprendre que tout le système est basé sur la peur.

 

Ce que les officiels de la santé appellent « bon pour vous » doit être traduit par « totalement conforme ».

 

Vous disposez d’une totale liberté… tant que :

 

  • Vous ne posez pas de questions,
  • Faites les « bons choix »,
  • Vous vous soumettez,
  • Vous suivez les directives
Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

CONFORMITE

 

En cas de problèmes, il s’agit surtout que les parents n’établissent pas de liens avec les vaccins.

 

Mais que se passe-t-il quand les parents s’interrogent ? En général, les médecins rejettent automatiquement toute relation des problèmes de santé avec la vaccination, et si les parents persistent à poser des questions, ils s’attirent le dédain et l’hostilité du corps médical. Les médecins n’hésitent alors pas à traiter les personnes de paranoïaques, d’hystériques, ou de dangereuses. J’ai, en tant que médecin, été traitée avec la même hostilité. On m’a dit que j’avais du sang sur les mains !

 

J’éprouve de réelles difficultés à prendre le Dr Paul Offit au sérieux quand il répond, par exemple, aux parents qui s’inquiètent du nombre de vaccins que l’on administre aux enfants. Offit n’hésite en effet pas à déclarer qu’un nourrisson pourrait tolérer de 10.000 à 100.000 vaccins à la fois!

 

Il est bon de savoir que le Dr Paul Offit est l’inventeur d’un vaccin. C’est à lui que l’on s’en réfère pour savoir le nombre de vaccins que les enfants doivent recevoir. C’est lui qu’il faut écouter dans le domaine des vaccins !

 

Aujourd’hui, nous savons que Paul Offit n’est pas seulement un expert des « bénéfices » que pourrait avoir l’aluminium sur les fœtus, mais il est aussi un lanceur d’alertes sur les problèmes psychologiques dont devraient souffrir tous ceux qui ne sont pas d’accord avec lui ! Il semble bien clair que les inquisiteurs d’aujourd’hui ont reçu la mission précise d’éradiquer chaque différence d’opinion qui menacerait l’absolutisme vaccinal.

 

Les médecins qui ont compris la réalité de la situation risquent d’en perdre le sommeil. Ils hésitent à parler publiquement parce qu’ils savent que cela peut leur coûter cher.

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Selon ses recherches, le Dr Offit prétend « qu’en théorie des enfants sains auraient la capacité de recevoir jusqu’à 100.000 vaccins à la fois ».

 

Les médecins sont aussi terrifiés par rapport au sort qui pourrait les attendre, comme ce fut le cas pour le Dr A.Wakefield. Il est certain que le Dr Wakefield était pro-vaccins et que tout ce qu’il a fait a été de suggérer un lien possible entre l’autisme et le vaccin contre la rougeole en se basant sur des études cliniques et sur des biopsies du colon d’enfants autistes vaccinés. Mais il faut ici se rappeler qu’il n’est pas permis que le moindre doute existe. C’est ainsi que le nom du Dr Wakefield a été associé à la fraude par les pro-vaccins qui continuent à manipuler les faits.

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

ASSIMILE AU DR WAKEFIELD 

        

Ou ostracisé                                      Les parents ne partiront pas

Ou radié                                             Les enfants ne partiront pas

Ou charlatan                                     Je ne partirai pas – Dr Andrew Wakefield

 

Les mots d’ordre pour l’année 2015, l’année de la bataille de l’esprit :

 

  • 100% de conformité,
  • Pas de questions
  • ZERO dissident

 

On fait comprendre aux médecins qu’ils doivent persuader les parents en lieu et place de les informer.

Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!

Le Dr Offit, ainsi que d’autres instruisent des armées de médecins qui ne prennent pas la peine d’étudier la littérature sur la question, mais se contentent d’exécuter les décrets, les ordres des experts et… de croire ! Ces médecins, comme les grands médias se contentent de répéter les slogans comme des perroquets…

 

Les médecins américains ont dit que la peur constituait le facteur n°1 pour faire accepter les vaccinations par les parents.

 

Système médical : restons simples

PERSUADER PLUTÔT QU’INFORMER

 

  • Votre bébé pourrait mourir
  • Votre enfant pourrait être estropié par la maladie
  • Vous avez le devoir de protéger la communauté
  • Wakefield est un charlatan : il n’y a pas de lien avec l’autisme
  • Les vaccins font beaucoup plus de bien que ce que vous pourriez jamais imaginer
Vaccins: comment le doute est interdit et le consentement fabriqué!
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24 février 2016 3 24 /02 /février /2016 12:02

Par Canis Ethica, 24 février 2016

 

En 1992, le Dr Michel Aubert prouvait, qu’après vaccination, les chiens adultes en France, restent protégés au moins cinq ans durant. Pourtant, 24 ans plus tard, en France, les chiens sont toujours revaccinés chaque année contre la rage contrairement au reste du Monde. 

Survaccination : un scandale sanitaire canin

Quatre firmes commercialisent des vaccins contre la rage : MERIAL, VIRBAC, ZOETIS et INTERVET. Ce sont ces laboratoires qui fixent en France la fréquence de revaccination contre la rage selon l’arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique (contre la rage) des animaux domestiques (lire ici). En Europe, en Amérique du Nord, même au Japon, leurs vaccins contre la rage sont valables deux ans, plus souvent trois ans mais pas en France où leurs vaccins pourtant identiques ne sont valables qu’un an. Les laboratoires pharmaceutiques évoquent des procédures administratives lourdes et complexes pour ne pas faire évoluer la situation. Seul MERIAL, dans une volonté de mieux-être canin et d’harmonisation des protocoles au niveau européen, propose en France un vaccin rage valable 3 ans depuis 2014, ce que la plupart des français ignorent.

 

D’après le Dr. Jean-Claude Rouby, chef du Département d’Immunologie à l’Agence Nationale du Médicament Vétérinaire, les laboratoires ont carte blanche pour démontrer la durée d’immunité de leurs vaccins dès lors qu’ils utilisent la même souche vaccinale que celle commercialisée en France. 

 

Il ne viendrait à aucun être humain l’idée de se refaire vacciner chaque année de sa naissance à sa mort contre la fièvre jaune. Et pourtant, 24 ans, après la découverte du Dr Aubert, les chiens en France sont toujours revaccinés chaque année contre la rage.

 

La vaccination contre la rage est obligatoire chaque année en France pour les chiens de catégorie 1 et 2 (chiens dangereux) et ceux voyageant en dehors du territoire (vérifications à la douane). Pour les autres chiens, elle reste « recommandée ». Comme il existe un risque de voir son chien abattu pour présomption de rage d’après l’article L223-9 du Code rural (lien ici), la plupart des maîtres vaccinent leurs chiens chaque année d’autant plus que depuis 2001, 11 cas de rage ont été apportés sur le territoire dont le dernier en mai 2015.

 

 

Pour Canis Ethica, une association française dont la pétition « Stop à la survaccination des chiens » a récoltée prés de 12000 signatures en une semaine sur « mesopinions.com », une littérature scientifique prolifique met en garde contre une survaccination des chiens adultes qui peut engendrer des maladies auto-immunes et cancers. Par ailleurs, tous les français n’ont pas accès au vaccin de MERIAL contre la rage, ce qui est source d’inégalité devant la santé de leurs protégés. La France compte un chien ou un chat dans un foyer sur 2. En 2014, les français ont dépensé plus de 4,3 milliards d’euros pour eux. Les maitres expriment leurs difficultés croissantes à régler leurs factures vétérinaires qui, en une décennie, ont bondi de 70%.

 

Devant cette discrimination pouvant fragiliser la santé des chiens en France, Canis Ethica écrit au Dr ELOIT, la nouvelle Présidente de l’Organisation Mondiale de la Santé Animale (OIE) pour qu’elle fasse entendre raison à VIRBAC, INTERVET et ZOETIS. Dr ELOIT connait bien le dossier car elle a validé l’Arrêté du 10 octobre 2008 qui autorise les laboratoires pharmaceutiques à fixer en France la durée d’immunité de leurs vaccins.

 

Les laboratoires entendront-ils les voix des 12000 propriétaires de chiens ayant signé la pétition ?

 

Pour plus d’informations :

  • Pétition : Cliquez ICI
  • Arrêté du 10 octobre 2008 relatif aux conditions et modalités de la vaccination antirabique : Cliquez ICI
  • Courriers + réponses des laboratoires pharmaceutiques et courrier à la Présidente de l’OIE : Cliquez ICI
  • Etude de 1992 du Dr Michel Aubert : Cliquez ICI

 

Contacts pour en savoir plus :

Mme Thilo HANE présidente-fondatrice de Canis Ethica

Tel : 06 70 27 63 52

Mail : contact@canisethica.org 

Site internet : www.canisethica.org

Facebook : www.facebook.com/CanisEthicaFrance 

Twitter : https://twitter.com/CanisEthica

 

Source: Agoravox

 

Initiative Citoyenne salue et soutient cette démarche. Merci de relayer très largement....

 

Voir aussi:

 

Vaccination des chats et des chiens: 99% des effets secondaires ne sont pas rapportés

 

Des vaccins qui tournent mal et un cheval qui finit euthanasié

 

Gravissime: voici la preuve indubitable que les adjuvants huileux (aussi utilisés chez les animaux) sont ultratoxiques!

 

Vaccination humaine vs vaccination animale: une comparaison surprenante!

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21 décembre 2015 1 21 /12 /décembre /2015 08:35

Pour qui s'intéresse à la fausse science des vaccins (et ses conséquences catastrophiques en termes de santé publique), le constat que les officiels franchissent sans arrêt les plus hauts sommets de la bêtise et de la mauvaise foi est fréquent et incontournable. Mais ici, il semble qu'on soit encore passé d'un haut sommet à ... l'Everest! Bien sûr, qu'on n'interprète pas mal ici notre analyse: ce type de propagande est tout à fait scandaleuse et le danger de ce type de campagne concerne avant tout les enfants qui risquent d'engrammer inconsciemment de dangereuses âneries susceptibles de leur coûter parfois beaucoup plus tardivement la santé. Mais si on veut rester un peu positifs, on peut aussi voir que ce type de campagne va aider encore du même coup beaucoup de crédules à vraiment ouvrir les yeux avant qu'il ne soit vraiment trop tard pour eux...

 

Campagne de la région du Lazio en Italie en faveur du vaccin antigrippal.... puisqu'on vous dit qu'accepter le vaccin fera de vous un superman pfff!!

Propagande vaccinale: où l'Italie en est rendue... magnifique!!

Le vaccin vous rendra plus fort. Avec le vaccin antigrippal, protégez-vous ainsi que vos proches. Il est important de se faire vacciner MAINTENANT. Demandez des informations à votre médecin ou visitez le site salutelazio.it

 

 

 

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2 décembre 2015 3 02 /12 /décembre /2015 09:02
Une affirmation provocante de plus des officiels: "L'eau est l'ingrédient le plus dangereux des vaccins!"

Conférence du Sénateur Richard Pan à l’Ecole de Santé Publique (Université de Berkeley)

 

Le Sénateur R.Pan est l’auteur du projet de loi rendant la vaccination obligatoire  pour l’entrée des enfants à l’école. (Loi maintenant votée en Californie)

 

Sénateur Richard Pan : l’eau est l’ingrédient vaccinal le plus dangereux !

Une affirmation provocante de plus des officiels: "L'eau est l'ingrédient le plus dangereux des vaccins!"

R. Pan : Il n’y a rien qui soit sûr à 100%. En fait, les gens continuent à parler de ce qui se trouve dans les vaccins. Ils disent par exemple : « oh, je suis inquiet au sujet du formaldéhyde, de l’aluminium. – Bien qu’il n’y ait pas de thimerosal dans les vaccins, les gens continuent de dire qu’ils sont inquiets au sujet du thimerosal ».

 

Mais savez-vous quelle est la substance la plus dangereuse dans un vaccin ? – L’eau.

 

Il y a davantage d’enfants qui meurent de la toxicité de l’eau que de n’importe quel autre élément qui se trouve dans les vaccins.

 

Modérateur : Excusez-moi, mais je ne comprends pas.

 

R. Pan : Oh, il y a davantage d’enfants qui meurent de noyade. C’est effectivement la seconde cause de décès chez les enfants entre 2 et 5 ans, donc à l’âge même où on les vaccine. Mais nous n’avons pas d’inquiétude au sujet de l’eau parce que nous savons que c’est la dose qui compte. Les enfants ne vont pas mourir noyés à cause d’une vaccination.

 

Un intervenant : Est-il possible que ce soit l’eau qui provoque l’autisme ? (Eclat de rire général)

 

R. Pan : Vous savez, je pense que… Nous devrions informer les gens au sujet de la relativité des risques. Je pense que nous n’avons pas fait de l’excellent travail dans ce domaine […]

 

Rentrer dans la voiture qui vous mènera au Centre de vaccination est effectivement plus dangereux que la vaccination elle-même […]

Le sénateur Richard Pan, pédiatre de formation...

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21 novembre 2015 6 21 /11 /novembre /2015 13:56

Dénonciation par la population camerounaise des essais du vaccin anti-Ebolacritiques des médecins kenyans sur les vaccins antitétaniques (contaminés par des hormones stérilisantes), scandale des vaccins anti-papillomavirus et maintenant aussi des vaccins anti-malaria,... la population africaine s'éveille de plus en plus à l'ampleur du scandale vaccinal.

 

Cameroun - Vaccin contre Ebola: Un essai du vaccin annoncé au Cameroun divise les opinions

 

Yaoundé, 2 novembre 2015

 

Géraldine Ivaha, Cameroon-Info.net

 

Le test du vaccin ChAd3-EBO-Z serait, pour certains, un moyen d’inoculer le virus aux personnes saines.

 

André Mama Fouda, Ministre camerounais de la Santé controversé 

Vendredi 30 octobre 2015 le Ministre de la Santé (MINSANTE) André Mama Fouda a annoncé que le Cameroun a été choisi parmi les 5 pays africains qui devront servir de cobayes pour les essais de phase 2 du vaccin ChAd3-EBO-Z. Un échantillon de 3000 “volontaires” adultes est visé pour administration par voie intramusculaire d”une dose de vaccin expérimental. Les laboratoires GlaxoSmith-Kline ont jugé les résultats expérimentaux sur des macaques -une espèce connue de singe- concluants.

 

Les populations du Mali, du Sénégal, du Nigeria, du Ghana et du Cameroun sont donc la cible de cette phase expérimentale du vaccin sur l’Homme. D’après le Quotidien Emergence du lundi 2 novembre 2015, la moitié de ces sujets recevra le vaccin au premier jour, alors que l’autre moitié recevra un placebo avant de subir une injection de vaccin 6 mois plus tard.

 

La décision de conduire l’essai au Cameroun a été prise, car, la population sera différente de la population incluse dans les études de phase 1 et pour garantir une population d’étude se rapprochant le plus possible de la population globale ciblée pour un vaccin éventuel de protection contre la maladie a virus Ebola en Afrique Centrale”, explique Andre Mama Fouda MINSANTE.

 

Pour lui, bien que n’ayant pas été touché par l’épidémie, la position géographique du Cameroun lui octroie le droit de faire partie de cette liste de pays car étant proche des pays ayant été touchés par l’épidémie.

 

Par contre, pour un biologiste, enseignant à la faculté de médecine de Yaoundé, qui a requis l’anonymat, rien ne prouve alors que ce n’est pas le virus d’Ebola qui vient d'être inoculé en lieu et place du vaccin en question. “Quand on parle de vaccin, il s’agit d’une préparation qui a été faite à base du virus, des antitoxines du microbe qui ont été extraites. Autrement dit, ce sont des anatoxines du microbe qu’on inocule à l’être vivant afin qu’il puisse résister contre les toxines que le virus pourrait produire”, confie-t-il dans les colonnes du journal.

 

Pour le biologiste, le vaccin pourrait plutôt rendre les organismes vulnérables au virus de la fièvre Ebola. “Cela a été le cas du Synosil qui avait été employé comme pour le virus du SIDA avec les prostituées à Douala”.

 

Par ailleurs le Gouvernement camerounais rassure qu’en cas d’urgence, “un système de référence au centre des urgences de Yaounde, au centre hospitalier d’Essos et à l’hôpital régional de Bamenda est envisagé(…) pour prendre en charge ou indemniser les candidats aux essais”. Ce qui n’est pas pour rassurer le biologiste car d’après lui, “en parlant d’épidémie virale, le fonctionnement d’une veritable cellule d’urgence ne correspond pas à ce que nous voyons au Cameroun”, renchérit-il.

 

La vétusté des centres hospitaliers au Cameroun ne sont pas vraiment un gage de sécurité sanitaire quant à la maitrise des échantillons cibles. A en croire les lignes du journal les laboratoires auraient beaucoup à gagner dans ce genre de “business du vaccin et il est “impensable et inadmissible qu’on teste un vaccin dans un pays à propos d’une maladie qui n’existe pas dans ledit pays”, lit-on.

 

Le virus Ebola a surgi il y a deux ans en Sierra Leone, au Liberia et en Guinée Conakry. Jusqu’ici, aucun cas n’a été détecté au Cameroun.

 

Pour cette raison, les biologistes pourraient penser que les essais du vaccin anti-Ebola ne seraient qu’un moyen de faire des rentrées d’argent dans les caisses de l’Etat, au détriment de la santé des populations. L’épidémie d’Ebola a déja fait 2097 morts en Afrique de L’Ouest d’après un rapport de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) publié le 15 septembre 2015.

 

Géraldine IVAHA

 

Source: Cameroon-Info.net

 

Cameroun - Test d’un vaccin à virus Ebola: Les populations de Bamenda inquiètes de l’engagement des pouvoirs publics

 

Yaoundé, 19 novembre 2015, Onana N. Aaron, Cameroon-Info.net

 

Elles réclament plus d’information sur le procédé, et s’indignent sur l’accord du gouvernement pour l’exécution de ce test au Cameroun.

 

La maladie à virus Ebola a fait des ravages en Afrique occidentale. Notamment, au Libéria, en Guinée et en Sierra Léone. La communauté scientifique internationale sous l’égide de l’Organisation mondiale de la santé s’active à trouver des voies et moyens pour barrer définitivement la route à cette épidémie.

 

Au Centre agréé de l’hôpital régional de Bamenda (Nord-Ouest), l’un des deux sites choisis par les pouvoirs publics, l’on enregistre déjà 170 personnes qui se sont soumises volontairement au test du vaccin contre la fièvre à virus Ebola. Seulement, la campagne a été interrompue sur instruction des autorités sanitaires. Celles-ci attendent de faire le point sur la polémique qui enfle autour de cette campagne. En effet, les habitants de la ville se plaignent de n’avoir pas reçu plus d’information sur la campagne. D’où la désinformation et l’idée qui se répand selon laquelle la maladie est en train d’être injectée aux personnes saines.

 

Le ministre de la Santé publique (MINSANTE), André Mama Fouda, a donné un point de presse à Yaoundé mercredi 18 novembre, pour apporter des éclairages sur ce test du vaccin à virus Ebola. «Cette phase II vise à recueillir les données fiables sur la sécurité d’emploi et l’immuno génicité du vaccin après une dose intramusculaire unique du vaccin expérimental. Ainsi, les effets secondaires éventuels seront enregistrés chez tous les sujets et la qualité de la réponse immunitaire, ce pendant un an», a indiqué le MINSANTE.

 

Au Cameroun, deux sites ont été sélectionnés par le ministère de la Santé publique : le Centre Pasteur du Cameroun à Yaoundé et l’hôpital régional de Bamenda. Et chaque site va inclure deux cent sujets, apprend-on. «L’essai a reçu l’autorisation du Comité national d’éthique et de la Division de la recherche opérationnelle en santé du ministère de la Santé publique, et vient de débuter fin du mois d’octobre», a souligné André Mama Fouda.

 

Comme pour rassurer les sceptiques, le ministre de la Santé a indiqué que «les deux sites disposent des capacités de vaccination, des suivis cliniques, d’analyse de laboratoire. Et en cas d’urgence médicale, un système de référence au Centre des urgences de Yaoundé, au Centre hospitalier d’Essos, de même qu’au service des urgences de l’hôpital régional de Bamenda, ce dispositif a été mis en place».

 

En rappel, le recrutement des sujets se fait d’une manière volontariste et consentante dans diverses communautés de Yaoundé et Bamenda : dans les quartiers, dans les établissements de santé, dans nos universités, dans les marchés… Ces essais exigent que les sujets qui souhaitent y participer soient en bonne santé.  

 

Onana N. Aaron

 

Source: Cameroon-info.net
 

Vaccins contraceptifs : le boycott de l’Église d’Afrique

 

EXCLUSIF MAGAZINE - Pour la deuxième année consécutive, l’Église d'Afrique boycotte une curieuse campagne de vaccination organisée par le ministère de la Santé, en lien avec l’Onu. 

©Stuart-Price-CC

Le torchon brûle entre l’Église kenyane et le ministère de la Santé du pays. Pour la deuxième fois consécutive, la Conférence épiscopale kenyane a choisi de boycotter une campagne officielle de vaccination. Après la polémique entourant le vaccin contre le ténanos l’an dernier, suspecté de contenir une hormone empêchant les femmes d’avoir des enfants, c’est au tour du vaccin contre la malaria de se trouver sous le feu de la critique des évêques kenyans.

« Nous demandons, déclaraient ceux-ci le 28 juillet dernier, le report de cette campagne prévue à partir du 1er août, dans l’attente de garantie sur la sûreté de ces vaccins. En cas contraire, nous demanderons aux Kenyans de ne pas participer à cet exercice. »

Des vaccins contre les naissances

Cette demande étant restée lettre morte, les évêques ont sans plus tarder demandé à l’ensemble des structures de santé qui relèvent de l’Église catholique – et elles sont nombreuses – de s’abstenir d’employer le vaccin incriminé. « Je peux vous certifier », explique le Dr Wahome Ngare, de l’Association des médecins catholiques kenyans, « qu’aucune institution de santé catholique n’a participé à la campagne de vaccination contre la polio. » D’où vient une telle réticence des évêques, qui entretiennent habituellement des relations plutôt correctes avec l’État kenyan, à l’égard d’une campagne de vaccination orchestrée par le ministère de la Santé ?

Elle s’enracine en premier lieu dans la suspicion née autour de la campagne de vaccination contre le tétanos menée en 2014 par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’Unicef, avec la bénédiction de l’État kenyan. Avant la deuxième phase de cette campagne, en octobre 2014, l’Église avait posé « quelques questions » dans un communiqué de presse, en particulier sur la fiabilité des vaccins utilisés. « Nous ne sommes pas convaincus, disaient-ils, que le gouvernement ait pris les mesures adéquates pour s’assurer qu’au vaccin tétanos-toxoïde n’ait pas été ajoutée l’hormone Béta-HCG. » Une hormone produite lors de la grossesse par l’ovule fécondé qui fait depuis plusieurs décennies l’objet de recherches et de tests, à des fins « immuno-contraceptives » , menées par les plus grandes instances mondiales préoccupées de réduire la population et d’améliorer toujours plus les techniques contraceptives ou crypto-abortives.

L’Église fait mener des tests

« Lorsqu’est injecté à une femme non enceinte un vaccin associant tétanos-toxoïde et hormone Béta-HCG, expliquent encore les évêques, cet alliage développe des anti-corps à la fois contre le tétanos et contre l’HCG, de sorte que lorsqu’un ovule est fécondé, l’hormone HCG qu’il produit est détruite, en rendant cette femme de manière permanente infertile. » Autant dire que l’accusation est grave. L’histoire prend alors un tour dramatique. Fort de cette inquiétude, l’Église demande alors au ministère de la Santé kenyan de procéder à des tests sur les vaccins employés. Celui-ci s’y refuse. L’Église fait alors elle-même mener des tests par des laboratoires indépendants. Sur neuf vaccins, trois contiennent l’hormone Béta-HCG. Ces résultats sont rejetés par le gouvernement, qui critique la méthodologie employée pour les tests.

Le ministère kenyan indique de son côté avoir fait des tests et assure que les vaccins employés sont sûrs. Devant cette contradiction, la Commission parlementaire kenyane chargée de la santé demande la mise en place d’une Commission conjointe alliant Église et ministère de la Santé. Celle-ci est notamment chargée de vérifier les tests effectués par les deux parties. Au cours des travaux de cette commission, il apparaît clairement que le ministère de la Santé n’a en fait procédé à aucun test préalable.

La reconduction des analyses sur les neuf vaccins précédemment testés par l’Église confirme les résultats initiaux : trois d’entre eux contiennent l’hormone Béta-HCG. Sur la base de cette conclusion, l’Église catholique demande début 2015, dans un communiqué signé des évêques kenyans, le cardinal John Njue en tête, qu’aucune autre campagne de vaccination de masse contre le tétanos n’ait lieu au Kenya sans que les vaccins aient été préalablement testés et qu’on ait prouvé qu’ils étaient sûrs.

Assurer des vaccins de qualité

Avec la malaria, l’accusation de l’Église catholique est portée de manière un peu différente. Elle n’exprime pas directement d’accusations anti-natalistes.

Assez habilement, elle se concentre sur la qualité du vaccin, exigeant de l’État qu’il fournisse des « garanties » sur les produits employés, et demandant le boycott tant que celles-ci n’ont pas été données. « Nous ne sommes pas en conflit avec le ministère de la Santé, assurent les évêques, mais nous avons un devoir apostolique et moral de garantir aux Kenyans un accès à des vaccins sûrs. » L’association des médecins catholiques, de son côté, n’a pas attendu pour faire de nouveaux tests. « Nous avons constaté que le vaccin était contaminé avec de l’estradiol », disent-ils. « Chez beaucoup de filles, explique le Dr Karanja, président de l’association, cela entraîne une puberté précoce, avec des règles qui peuvent arriver entre 7 et 9 ans. Chez les garçons, leur développement est au contraire altéré, avec de nombreuses pathologies testiculaires. C’est du contrôle de la population impitoyable et barbare. »

Source: Famillechrétienne.fr

Gardasil: le danger se précise pour les fillettes rwandaises et africaines 

 

23 juillet 2011, Clarisse Rugwiro, Jambonews.

 

Ce mardi 19 juillet a été lancée une semaine contre le cancer du col de l’utérus au Rwanda. Rappelons que la campagne de vaccination a été lancée depuis la fin du mois d’avril 2011, avec les vaccins gracieusement offerts par Merck®.

 

Vaccination d'une fille rwandaise

Vaccination d'une fille rwandaise

 

Par ailleurs, ces campagnes de vaccination massives se poursuivent ailleurs sur le continent africain, notamment au Sénégal, à l’île Maurice ainsi que dans certains territoires de la France d’outre-mer.

 

A propos de la France, c’est de là que part une nouvelle controverse, cette fois-ci avec des preuves vivantes. En effet, le 8 juillet deux jeunes filles ont déposé des demandes d’indemnisation auprès de la CRCI (Commission régionale de conciliation et d’indemnisation des accidents médicaux )de Lyon, suite aux problèmes de santé chroniques apparus après administrations du Gardasil®. En effet, les deux jeunes filles ont présenté des symptômes de types paralysie temporaire des membres inférieurs, des vertiges des crampes abdominales, la photophobie, qui sont devenus chroniques. Un diagnostic de polyradiculonévrite chronique a été posé chez l’une d’elles (Laura Agnès, 16 ans, elle en avait 14 quand elle a reçu le vaccin).

 

Aussi un collectif de médecins de la Réunion (France d’outre mer) a adressé un courrier au ministre de la santé français, Mr Xavier Bertrand, pour lui faire part de ses inquiétudes par rapport aux campagnes de vaccination massive des fillettes un peu partout dans ces territoires. Selon ce collectif, ces campagnes sont basées sur une « peur injustifiée », qui est entretenue surtout par des campagnes médiatiques et publicitaires. En effet, depuis 1980, on n’observe qu’une baisse de recrudescence de ce cancer, essentiellement due au dépistage précoce du HPV (Papilloma virus). Selon ce collectif, le dépistage reste le plus grand moyen de prévention de ce cancer. Ils vont plus loin en demandant une remise en question de l’autorisation de mise sur le marché européen du Gardasil®, ainsi que la suspension du remboursement de ce dernier en France, en attendant d’avoir les preuves solides sur son efficacité.

 

De plus un article du New England Journal of Medecine paru en 2008 affirmait qu’il manquait encore des preuves tangibles quant à l’efficacité du vaccin contre le cancer du col de l’utérus.

 

Partant de ces informations, il serait judicieux de se demander ce que cachent ces campagnes massives de vaccination.

 

S’agit-il d’une campagne massive de test à grande échelle du même vaccin controversé ?

 

Ou encore d’une autre variante en étude rapide et à grande échelle, pour pouvoir remplacer la variante défectueuse sur le marché européen ?

 

Ou alors une manière d’écouler le stock défectueux tout en faisant une étude clinique, avant de le retirer ou de lancer un autre à la place ?

 

Quoi qu’il en soit, avec ce vaccin, les futures femmes rwandaises et africaines courent un danger imminent.

 

Il serait temps de lancer une campagne anti – Gardasil sur le continent africain.

 
Clarisse Rugwiro
 
Source: Jambonews.net
 
Quelques éléments additionnels de réflexion laissés à l'appréciation de chacun:
 
* La vidéo de Bill Gates, extrait de son discours lors de la conférence "Innover vers zéro" en Californie, en 2010 dans laquelle il disait notamment: « si nous faisons réellement un bon travail avec les nouveaux vaccins, les soins de santé et les services de médecine reproductive, nous pourrions réduire la population mondiale de 10 à 15% » (voir à partir du temps 2'06''):

* Article de Nexus n°68 de mai-juin 2010 sur le lien entre surpopulation et eugénisme (médical) ainsi que sur les vaccins stérilisants

 

* Propos de Christian De Duve, Prix Nobel de Médecine (en 1974), parus dans le Journal du Médecin en 2009

 
"Si nous continuons à nous multiplier au rythme actuel, nous courrons à la catastrophe. Durant ma vie, la population du monde aura quadruplé. C'est un train fou qui est lancé et cela ne peut que continuer de manière exponentielle si nous ne prenons pas de mesures adéquates. Il vaut mieux limiter les naissances plutôt que d'éliminer les gens par des guerres. Mais je sais que le contrôle démographique pose des questions éthiques. Je laisse ce type de discussions aux spécialistes, mais je leur dis quand même: faites-le comme vous voulez, pourvu que vous le fassiez. C'est le résultat qui compte."
 
* Propos du philosophe Hans Jonas dans son livre "Technique, médecine et éthique" (1985), ce philosophe étant considéré comme une des grandes références philosophiques en matière d'éthique:
 
« La science médicale et l’art ont ici une responsabilité particulière et inédite car eux seuls peuvent imaginer et employer les méthodes humaines encore éthiquement acceptables de limitation des naissances, qui devancent le génocide et l’infanticide impitoyables dans une situation catastrophique où ne prévaut plus que le « sauve qui peut ». [ …] La médecine est d’autant plus obligée de prévenir par ses moyens propres la malédiction menaçante née de sa propre bénédiction […]. Puisque moralement, elle ne peut pas remédier au problème par l’interruption de sa propre causalité, c’est-à-dire par le retrait de ses services qui favorisent la vie, elle doit le faire en les maintenant joints à des contre-services qui la freinent, en guise de correctifs à ses succès. » (p.55-56)
 
 
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25 septembre 2015 5 25 /09 /septembre /2015 19:55

On ne reviendra jamais assez sur les tentatives diverses et nombreuses que l'establishment utilisera de plus en plus à l'avenir pour continuer à tout prix à vous fourguer de plus en plus de vaccins en dépit des réticences croissantes. Une des astuces de choix de l'establishment consistera incontestablement à lisser l'image violente (d'effraction) des vaccins pour les banaliser... or quoi de mieux que l'idée de patches autocollants à cet égard?!

La dangereuse tromperie des "vaccins sans aiguilles"

Alors que le public comprend en effet de plus en plus que:

 

- Les vaccins ne sont pas la panacée ou l'outil préventif indispensable qu'on a voulu faire croire;

 

Les vaccins court-circuitent et abîment clairement le système immunitaire en le leurrant et en ne respectant pas le mode d'entrée classique des microbes naturels dans l'organisme (l'injection court-circuitant les étapes cutanéo-muqueuses initiales);

 

Les vaccins sont bien davantage une affaire de pouvoir et d'argent qu'une affaire de santé;

 

Le business des vaccins est énorme avec des pharmas qui ont près de 300 projets de nouveaux vaccins dans leur pipeline et les préparations incessantes aux pandémies vont bien sûr de pair avec ce business car faire peur avec une "grande méchante pandémie" est évidemment une des rares ficelles de choix sur lesquelles l'establishment peut espérer tabler pour redorer substantiellement l'image des vaccins et tenter de les refaire passer pour vitaux aux yeux de l'opinion publique;

 

- Les pressions vaccinales sont tout à fait disproportionnées au regard des risques statistiques dus aux maladies naturelles;

 

- Le corps médical est de plus en plus mal à l'aise car il veut piquer et continuer à s'enrichir sans pour autant assumer les risques juridiques associés à son non respect du droit des patients à un consentement libre et éclairé;

 

Dans ce contexte, il est clair que les patches vaccinaux (qui inclueront bien des nanoaiguilles perçant le derme de façon anti-physiologique!) sont une "merveille" de perversité qui contribuera à banaliser le geste vaccinal aux yeux des plus crédules, c'est-à-dire d'une majorité de sujets ("plus d'aiguille, plus de mal lors de l'administration, donc c'est que c'est anodin"!) mais surtout qu'ils amèneront une dilution totale et dramatique de la responsabilité car ce sera au final les patients qui seront sommés d'apporter les preuves qu'ils se sont bien auto-administrés ces patches dans le triste confort de leurs habitations. Et comme d'habitude, pour ne rien changer, tous les désastres qui découleront de ce type de procédé vaccinal relifté seront étiquetés de malheureuses "coïncidences" car soyons bien certains que la sécurité de ces nouveaux vaccins ne sera absolument pas améliorée par rapport aux vaccins actuels dont les essais cliniques pré-autorisation de mise sur le marché sont déjà biaisés de fond en comble...

 

Un petit exemple pour que vous vous rendiez vraiment mieux compte de la pertinence qu'il y a à refuser fermement ces faux nouveaux progrès que l'on vous présentera sous peu car rien ne vaut les informations concrètes et immédiatement vérifiables...

 

Voici le type d'article racoleur que vous trouverez sans peine dans les médias et surtout, surtout, à sa suite, le type d'information VITALE sur les dangers concrets que ces patches vous feront bien sûr encourir mais que vous ne trouverez sans doute jamais dans aucun média....

 

25 mai 2015. Par Alexis Chavetnoir

 

Un patch qui permet la vaccination sans seringue !

 

Les vaccins sauvent des vies mais la plupart d’entre eux sont délivrés par piqûre. Si certains ont une peur bleue des seringues pour d’autres, c’est le manque de moyens sanitaires qui posent souvent problème. Kasia Sawicka, une bio-ingénieure américaine, vient d’inventer une alternative indolore. Un patch appelé ImmunoMatrix qui peut vacciner sans percer la peau.

 

Voici l’ImmunoMatrix, un patch révolutionnaire qui peut fournir des vaccins et d’autres médicaments par voie intradermique (dans la peau), sans aiguille. Non seulement il est indolore et à peu près aussi effrayant qu’un pansement, mais le patch peut être auto-administré. Facilement transportable et ne nécessitant pas de conditions de stockage frigorifiques aussi strictes que les vaccins traditionnels, le patch et sa forme solide de vaccin est stable à température ambiante pendant au moins huit semaines. De plus, il ne produit pas de déchets comme les aiguilles et les seringues, un énorme avantage lorsqu’on fait face à une pandémie infectieuse comme la récente épidémie d’Ebola.

 

La peau ne pouvant pas absorber de grosses molécules facilement, l’ingénieure s’est penchée sur un polymère appelé polyvinylpyrrolidone qui absorbe l’eau de manière très efficace. Elle a constaté que la polyvinylpyrrolidone pouvait également agir sur la peau. De ce fait, lorsque le patch est posé sur la peau, la couche externe permet à des molécules plus grandes de s’insérer dans l’organisme.

 

Depuis près de 10 ans, Kasia Sawicka met au point un processus qui consiste à combiner le polymère avec une solution de vaccin. Les premiers tests effectués sur des rats et des peaux humaines synthétiques montrent que le patch permet à la peau d’absorber 250 fois plus de molécules qu’à l’accoutumée.

 

Cette technologie peut radicalement changer la façon dont les vaccins sont délivrés, en particulier durant les pandémies et permettrait aux pays les plus pauvres faisant face au manque d’infrastructures (transport, réfrigérateur, clinique) d’avoir un accès rapide à la vaccination.

 

Source : Sciencepost.fr

 

La polyvinylpyrrolidone (PVP) : Risque pour la santé

 

Si le monomère est cancérigène et très toxique pour la vie aquatique, l'additif E1201, de forme polymère, serait inoffensif, mais il contient des traces de forme monomère préoccupantes. Ces résidus sont aujourd'hui théoriquement limités à 10 mg/kg d'additif. Au Centre International de Recherches sur le Cancer, la polyvinylpyrrolidone est « inclassable quant à sa cancérogénicité pour l'homme », tandis que l'Association pour la Recherche Thérapeutique Anti-Cancéreuse (ARTAC, France) la classe parmi les additifs certainement cancérigènes.

 

Utilisations

 

E1201 est listé comme raffermissant, stabilisant et agent de dispersion, le codex Alimentarius l'attribue à certains spiritueux (bières comprises), vinaigres, concentrés pour boissons aromatisées, édulcorants de table (jusque 3 000 mg/kg), chewing-gums (jusque 10 000 mg/kg), compléments alimentaires (sans limite (BPF)) et fruits frais traités en surface.

 

L'industrie répertorie également la polyvinylpyrrolidone dans les cosmétiques (fixateur capillaire, liant, antistatique, émulsifiant, etc.), et certains produits pharmaceutiques. Comme telle, elle est utilisée dans les plasmas sanguins ou comme adjuvant en raison de sa solubilité dans l'eau et les solvants polaires[5]. Son aptitude à former des films est remarquable. Les domaines d'application sont vastes et vont des produits d'hygiène (shampoing, dentifrice…) au papier pour imprimantes photo et peintures[6],[7],[8].

 

Source : Wikipedia

 

Commentaire d’Initiative Citoyenne : Cette « brillante » chercheuse ne voit sans doute pas où est le problème puisque les vaccins sont de toute façon dispensés de test de leur potentiel cancérogène ; elle ne voit sans doute pas non plus où est le problème de rajouter dans la peau de l’humanité toute entière (qui croule déjà sous les produits toxiques divers, cosmétiques, « sanitaires », « alimentaires » si on peut appeler encore ça de l’alimentation,.. etc.) un surplus de produits chimiques cancérigènes car en cas de cancer, on dira que c’est juste « la faute à pas de chance » ou à force, que c’est juste « normal » ou « dû à l’âge/au vieillissement » et que c’est « multifactoriel » donc on ne sait pas pointer vraiment LE responsable. Face à pareille absurdité, voyons ENFIN clair et rendons-nous compte que ces chercheurs ont le cerveau lessivé et qu’ils ont perdu tout bon sens et tout souvenir du principe hippocratique de base « D’abord ne pas nuire »… Fuyons donc ces mauvais génies qui ne feront juste que semer un peu plus de malheur sur terre…

 

Voir aussi

 

Vaccins par nanopatches: l'arme ultime pour combattre la défiance envers les vaccins?

 

Le système d'administration sans aiguille de vaccins par nanopatch: miracle ou menace?

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17 septembre 2015 4 17 /09 /septembre /2015 22:37

L’Université, nouveau temple de la pensée unique et du politiquement correct

 

Grâce à un matraquage éhonté, une rumeur bien étayée par une apparence scientifique et bien diffusée par les commerciaux, grâce aux techniques de communication, peut désormais charpenter un discours planétaire afin  de justifier certaines décisions gouvernementales. (Dr Boris  Cyrulnik – Médecin psychiatre)

 

Préambule

 

La faculté de médecine de Genève est aujourd’hui le temple et le siège du dogme politiquement correct, la vaccination sa nouvelle religion et sa papesse, la doctoresse Claire-Anne Siegrist. Les sceptiques sont considérés comme membres de sectes1 hérétiques et les médecins dissidents comme de vulgaires  charlatans. C’est une  vision réductionniste.

 

« Le dogme réductionniste mène à une « intelligence parcellaire, compartimentée, mécaniste, disjonctive, qui brise le complexe du monde en fragments disjoints, fractionne les problèmes, sépare ce qui est relié... Qu’il s’agit là, d’une intelligence à la fois myope, presbyte, daltonienne, borgne ; qui finit le plus souvent par être aveugle. Elle détruit dans l’œuf toutes les possibilités de compréhension et de réflexion, éliminant aussi toutes chances d’un jugement correctif ou d’une vue à long terme...Incapable d’envisager le contexte..., l’intelligence réductionniste aveugle rend inconscient et irresponsable. » Edgar Morin - Le besoin d’une pensée complexe, in 1966-1996, La passions des idées », Magazine littéraire, Hors-série, décembre 1996.

 

« Il faut penser global. Or aujourd’hui, vous avez toujours des experts, des spécialistes qui s’expriment, favorisant une réflexion compartimentée et parcellaire. » (Edgar Morin – l’Hebdo -27.08.15)

 

Pour comprendre la tactique permettant de museler toute information qui dérange, il faut en démonter les rouages l Selon M. Paul Moreira  (Les nouvelles censures - Ed. R.Laffont - 2007), on procède comme suit, à l’instar de l’Inquisition  du Moyen-Age :

 

« D'abord, cacher la vérité.  Si la vérité apparaît, contrôler les sources et faire pression sur les médiateurs capables de la relayer, les menacer, les terroriser, les séduire, les acheter. Si la vérité est diffusée par les médias, contrôler l'impact sur l'opinion et mettre tout en œuvre pour qu'elle ne soit pas entendue, et surtout qu'elle ne crée pas une émotion populaire ».

 

En pratique, comment s’y prend-t-on pour appliquer partout ces aimables directives : tout d’abord, les labos pharmaceutiques se chargent de noyauter les centres médicaux. Avec l’aval des politiques libérales, qui favorisent la  privatisation de secteurs entiers de la recherche scientifique, ils peuvent ensuite asservir l’Université et édicter les programmes de recherches pharmacologiques qui rapportent de l’argent. Puis, on dévoie les comités des revues scientifiques, d’où l’on évacue systématiquement tous les articles qui ne plaisent pas, tout en assurant la mise en condition des médecins, sous couvert de colloques ou de congrès dans des lieux de rêve et leur offrant par exemple du matériel informatique alléchant.

 

Dans ce contexte rigide et cloisonné,  il est totalement illusoire d’imaginer pouvoir y faire pénétrer un nouveau concept. Dans un récent numéro d’une revue dissidente, Causette (hors-série août-septembre 2015) sous le titre : Tous manipulés ? 100 pages de désintox, on peut lire le constat du Pr Philippe Even :

 

À la question : Comment est assurée la campagne d’un nouveau médicament ? Il répond : « Les lobbies peuvent compter sur leurs consultants, des médecins qu’ils payent pour ça. Ce sont des médecins expérimentés, parfois très charismatiques, qui jouissent d’une certaine notoriété. On ne finit par ne plus entendre qu’eux. Ces leaders d’opinion ont parfois l’impression d’être des missionnaires au service de cette nouvelle religion. »

 

On peut y lire aussi: Certains de nos professeurs sont le bras armé de l’industrie pharmaceutique dans les amphis et le formatage des étudiants commence très tôt. Et plus loin: L’industrie pharmaceutique tient la plume du médecin qui rédige l’ordonnance !

 

Aujourd’hui, la foi en la vaccination commence à s’émousser : une pétition anti-vaccination, dénonçant les effets nocifs des adjuvants, a vivement enflammé la Toile depuis sa publication. Face à la polémique, Marisol Touraine, la ministre de la santé française, pour qui sans vaccination point de salut, est passée à l’attaque, en décrédibilisant l'initiative de son auteur, le Professeur Henri Joyeux.  Ce dernier lui a rétorqué, à juste titre, qu’en tant qu’économiste, elle ne connaissait rien à la santé !

 

Pour les pharmas, c’est donc le moment de réagir, il est urgent de stopper dans les plus brefs délais la suspicion naissante à l’égard des vaccins, en ne lésinant pas sur les moyens : le coup d’envoi publicitaire fut donné ce 15 septembre à Genève avec 3 conférences offertes au grand public.  C’est à la grande prêtresse des vaccins, Anne-Claire Siegrist qu’est revenu l’honneur d’inaugurer en grande pompe ce cycle de promotion avec sa conférence  - Avec ou sans vaccin, un choix de société.

 

Rappelons à ceux qui l’ignorent les liens qui unissent la Faculté de médecine genevoise aux pharmas. La doctoresse A.C. Siegrist - experte attitrée des médias - est titulaire de la chaire de vaccinologie de la faculté de Médecine Genève, (unique en Europe), créée et subventionnée par le laboratoire Aventis-Pasteur, l’un des plus grands fabricants de vaccins et fournisseur de l’OMS.  Par ce lien financier, Mme Siegrist s’engage à défendre la cause de son sponsor et à  faire relayer le message par une presse plus que  docile. (Dr. Choffat – Hold Up sur la Santé)

 

La Tribune de Genève, semble avoir signé un pacte d’allégeance avec les HUG, vu la fréquence et l’espace qu’elle réserve en permanence aux propos tranchés et aux affirmations outrancières de la doctoresse A.C. Siegrist.

 

Sa présentation magistralement orchestrée, organisée en collaboration avec la ville de Genève, qui a décerné à la Doctoresse C-A. Siegrist le prix Culture et Société pour 2015, donna à Madame Sigrist l’occasion d’apporter la bonne parole à un auditoire dévot, afin de promouvoir l’importance de la vaccination sur les maladies mortelles, et de ses multiples vertus, en occultant délibérément leurs effets secondaires et en traitant les sceptiques d’ignorants dangereux et les collègues dissidents de mauvais médecins.

 

Le 15 septembre, on a donc pu assister à l’université, en présence du gratin bien pensant de la faculté, à une opération de séduction réussie, illustrant de façon flagrante les propos précités.

 

La conférence, résumée et adaptée

 

Après une brève introduction du nouveau recteur qui prétend ouvrir l’université à l’interdisciplinarité  et nous vante la création d’un Institut de Santé globale (dont le directeur est un ancien collaborateur de l’OMS), l’adjointe à la culture rempile et fait un panégyrique de la lauréate, dont le prix  récompense ceux qui savent innover en ouvrant les portes de l’avenir et contribuent au rayonnement de notre cité.

 

La parole est enfin donnée à la conférencière qui nous confie ses priorités :

 

1. Assurer la relève en formant des étudiants, 

2. Développer le carnet de vaccination électronique.

 

Puis, je n’entrerai pas dans le détail, (voir article de la Tribune de Genève – 12-13 sept.2015); elle parle de 4 virus qui l’interpellent en tant qu’épidémiologiste :

 

1. La polio, non éradiquée à cause des intégristes de tout bord, (pas à l’insalubrité des eaux et aux guerres.)

2. Le virus Ebola et la mise au point réussie du vaccin grâce à son staff.

3Les méfaits de la rougeole, à cause des irresponsables qui refusent des vacciner leurs enfants, etc... on connaît sa rengaine. Elle a quand même dit que la rougeole était dangereuse pour les enfants en mauvaise santé, alors, malgré les soins de la vaccination, nos enfants seraient-ils majoritairement en mauvaise santé ?

4. Le virus de l’hésitation vaccinale, le plus important, car pour l’instant, on n’a pas encore trouvé d’antidote. Il est très contagieux, représente 2 à 5% de la population et il se répand un peu partout, et il affecte toutes les catégories sociales, ce sont des gens sincèrement convaincus. Ce virus est le plus dangereux, et ceux qu’il contamine sont aussi de dangereux adversaires, car ils se croient bien informés, ce qui n’est pas le cas, ils sont très actifs et font de la propagande sur internet.

 

C’est très important d’avoir une chaire de vaccination, car il faut éduquer les gens. Il faut tenter de comprendre pourquoi les parents refusent de vacciner leur enfant et font courir des risques à leurs proches; la coqueluche, la grippe, la rougeole, ce n’est pas banal !!

 

La perception des risques n’a rien de rationnel. Le fait que grâce aux vaccins, les maladies disparaissent semble jouer un rôle, les gens minimisant la dangerosité de la maladie. Quant à l’Internet, son rôle est très néfaste, car cela diffuse de fausses informations, et colporte des faits sans références scientifiques crédibles sur les vaccins et provoque la défiance et la peur.

 

Pour elle, qui le clame haut et fort, il n’y a aucune corrélation entre :

 

- Les vaccins et l’autisme

- Les vaccins et la sclérose en plaques,

- Les vaccins et les effets secondaires dus au Gardasil

- Les vaccins et l’aluminium ou autre

- Les vaccins et la mort subite du nourrisson

- Les vaccins et l’émergence du cancer chez les enfants et adolescents

 

Si deux événements se suivent, c’est souvent le hasard ! Par exemple, si vous trouvez une vache dans l’eau, flottant à côté d’un dauphin, ça ne veut pas dire que les vaches sont des animaux marins, la vraie explication, c’est sans doute que la vache est tombée d’un bateau, ou que le bateau a fait naufrage, vous voyez !

 

Quels sont les facteurs qui influencent cette hésitation vaccinale, difficile à comprendre et à contrer :

 

La philosophie de vie, le contexte social, le rapport de confiance avec le thérapeute, la justesse de l’information, la sécurité liée à la composition des vaccins.

 

Quelles parades utiliser pour contrecarrer cette opposition :

 

Il faut donner une formation de base à  des professionnels, et former des conseillers en santé.

 

Nos étudiants en médecine par leur haute compétence, seront le nerf de la guerre, la courroie de transmission de notre  message.

 

Par exemple, les pédiatres sont de très efficaces relais et montrent l’exemple en vaccinant massivement leurs enfants !

 

Il faut cibler la population dans son ensemble, les enseignants, les journalistes, les autorités, les biologistes! Utiliser les compétences des professionnels de la communication.

 

Le virus de l’incrédibilité vaccinale augmente le coût de la santé, comme ce fut le cas dans la dernière épidémie de rougeole, mais il s’agit malheureusement d’une évolution sociétale inéluctable.

 

Afin d’améliorer la perception du choix vaccinal pour les citoyens, il faut fournir une information éclairée, créer des centres d’information participatifs de Santé collective.

 

Prenons exemple sur la stratégie efficace mise en place par les services de santé britanniques pour imposer la vaccination contre le cancer de l’utérus au plus grand nombre. Grâce à des moyens publicitaire énormes, qui ont ciblé les cabinets médicaux, les pharmacies, les journaux, les écoles, et aussi parce que les représentants de la santé publique sont allés à la rencontre des parents et de adolescentes pour les convaincre du bienfondé de ce vaccin, le résultat a été obtenu : 93,5% de couverture vaccinale.

 

En Suisse, la publicité éhontée et le matraquage  médical qui a en effet accompagné la  campagne  de promotion pour la  vaccination de tous les jeunes de  notre pays contre  le papillomavirus fournit un bon exemple de désinformation et lavage de cerveau.

 

Mme Siegrist est-elle consciente qu’elle avalise cette entreprise de marketing pharmaceutique et de manipulation frauduleuse appelée bourrage de crâne ?

 

A l’issue de cette conférence, l’éloquence de la conférencière a porté ses fruits, l’auditoire est majoritairement convaincu que Mme Siegrist  va sauver l’humanité du désastre.

 

Et à ma consternation, j’ai pu constater que sa pensée formatée trouve un écho favorable même au niveau de nos élites, qu’on croyait à l’abri des pensées arbitraires.

 

Après qu’on ait déjà inventé un médicament pour chaque émotion, le rêve de Mme Siegrist, c’est de fournir un vaccin pour chaque maladie, présente et à venir. Ce qui consiste à se vacciner contre la vie elle-même.

 

Ma conclusion

 

Systématiquement traité de sectaire si on a l’audace de s’interroger sur le rôle éventuel des vaccinations dans l’émergence des nouvelles maladies, il faut se rendre à l’évidence: les vaccins restent à l’heure actuelle un sujet absolument tabou.

 

Pour les vaccinalistes, tous les effets secondaires décrits, et potentiellement liés à une vaccination ne sont que coïncidences fortuites, aucune évidence scientifique, le déni est constant, c’est la faute à pas de chance ! On appelle ça  mentir par omission !

 

Bien  entendu, on peut toujours considérer systématiquement que les patients qui prétendent être victimes des effets secondaires des vaccins sont des affabulateurs hypocondriaques et que les médecins qui les cautionnent sont de dangereux illuminés et que tout ceci est du ressort de la psychiatrie.

 

Le Dr J. Wagensberg (dir. Musée de la Science, Barcelone) prétend qu’ « Un savant doit savoir avant tout qu’une vérité peut être changée et il en cherche de nouvelles. »

 

Face aux chantres inconditionnels de la théorie vaccinale qui défendent aveuglément des théories controversées par d’autres, aucune place n’est offerte pour un débat loyal, avec toutes les parties en présence. Pour l’instant, pas moyen de se faire entendre dans ce cadre universitaire figé.

 

La plupart des médecins subissent un tel endoctrinement qu’ils en deviennent totalement incapables de discernement ou alors ils manquent de courage pour se manifester, par peur de représailles et de mise au ban.

 

Il n’y a pas pire aveugle que celui qui ne veut pas voir.

 

Certains médecins, et pas les moindres, se posent des questions et essayent de se faire entendre,  ils ne sont pas les bienvenus. Ceux qui émettent des réserves sur la vaccination tous azimuts sont systématiquement tenus à l’écart, ils n’ont aucun moyen de s’exprimer ni dans la presse, ni sur les ondes et encore moins à la télévision.

 

L’aide des journaux est indispensable  pour relayer l’info, mais dans la presse accréditée, impossible de lire ou d’exposer un avis divergent ou simplement plus nuancé ; reste la page des lecteurs, parfois un blog et pour le reste, se référer aux publications subversives comme Nexus, Books, puisque les critiques sont bannies des revues scientifiques officielles.

 

Quant aux associations de patients, elles sont majoritairement financées par les pharmas.

 

Quelle santé voulons-nous offrir en héritage aux générations futures ?

 

On nous dit que la Suisse figure parmi les pays les plus performants en matière de santé : moyenne d’espérance de vie élevée, très faible taux de mortalité infantile, taux de médecins pour mille habitants le plus haut du monde...etc.

 

Pourtant la santé des adolescents est alarmante : allergies, asthme, dépression, anorexie, boulimie, hyperactivité, suicide, etc... Les statistiques sont inquiétantes :

 

Un article émanant du Fonds National de la recherche scientifique (n°104) nous alerte : Le cancer est l’une des principales causes de décès chez les enfants et chez les adolescents !

 

Alors, vaccination et cancer, simple coïncidence ? Sans doute, telle est la rançon à payer par la 3ème génération de vaccinés !

 

En attendant qu’un hypothétique vaccin contre la bêtise soit éventuellement mis au point, cessons de jouer à l’apprenti sorcier, mais briser les tabous est une entreprise de longue haleine. 

 

Le rôle des associations de patients consiste à fournir sans restrictions les informations nécessaires pour que chacun puisse se forger lui-même une opinion et ce rôle, nous l’assumons.

 

Si le public doit à tout instant être en mesure de comprendre clairement si l’information qui lui est transmise est d’ordre  scientifique ou procède d’une démarche publicitaire, ce n’est pas forcément à la sauce concoctée par Mme Siegrist !

 

Aujourd’hui, vacciner tous azimuts n’est donc pas la solution unique, d’autres alternatives existent : de nouvelles thérapies scientifiques, basées sur des concepts biologiques révolutionnaires permettent, elles aussi, de prévenir, guérir et maintenir un capital santé optimum, tout en augmentant notre immunité naturelle. Elles devraient nous permettre de résister à la plupart des maladies infectieuses. Elles jouent en plus le rôle d’antidote efficace face aux effets secondaires consécutifs aux vaccinations.

 

Quant aux médecins récalcitrants ou dissidents, les brebis galeuses du corps médical ? 

 

Pr Montagnier, Pr Belpomme, Pr Even, Pr Debré, Dr Emmanuelli, Dr Frachon,  Dr Spinosa, Dr Curtay, etc...

 

Quant aux 420 médecins qui lancent une pétition contre le Gardasil, vaccin actuellement hautement controversé, faut-il employer les grands moyens pour faire taire ces dissidents, faut-il systématiquement les discréditer et les menacer de leur retirer leur diplôme, comme tente de le faire chaque fois qu’il en a la possibilité l’Ordre des médecins français, représentant de ces nouveaux inquisiteurs, garants de l’ordre établi ?

 

Faut-il rappeler que ces médecins ont réussi leurs études et qu’ils ont obtenu un doctorat, au même titre que leurs pairs.

 

Même le brillant Linus Pauling (double prix Nobel, Chimie et Paix) ne fut pas à l’abri des sarcasmes et  n’ayant pas voix au chapitre, nous a mis en garde :

 

« Ne permettez pas que les autorités médicales ou les politiciens puissent vous induire en erreur. Recherchez les faits et prenez vos propres décisions pour vivre heureux et travailler pour un monde meilleur. »

 

Edith Gallay, Présidente de l’association Spasmophilie Entraide, Genève, septembre 2015. 

 

1 Définition de secte selon le Petit Larousse: groupe animé par une idéologie doctrinaire. Selon le petit Robert : ensemble de personnes qui ont la même doctrine au sein d’une religion -  Ensemble de personnes qui professent une même doctrine.

 

Par conséquent, les vaccinalistes convaincus sont des gens affreusement partiaux et leur attitude n’est guère différente que celle qu’on attribue généralement aux sectes. On entre en vaccination comme on entre en religion. On peut retourner aux médecins vaccinalistes  les mêmes  critiques  qu’ils adressent eux-mêmes à l’encontre de leurs collègues homéopathes : aveuglement, sectarisme, entêtement …

 

Edith Gallay est titulaire d’une licence en chimie-biologique, avec une mention spéciale en endocrinologie, obtenue en mars 1964 à l’Université de Genève. Elle a  poursuivi sa formation aux USA dans le domaine des sciences de la nutrition, puis dans la détection de traces de pesticides et encore dans l'étude les enzymes de la digestion. De retour en Europe, elle a fait partie d’une équipe de recherche de pointe à la Faculté des Sciences de l'Université de Genève dans le domaine de la biologie moléculaire.

Alors que les personnes les plus indépendantes, compétentes et intéressantes ne sont jamais relayées par les grands médias, les experts adoubés par les firmes reçoivent quant à eux toutes les tribunes qu'ils veulent...

Alors que les personnes les plus indépendantes, compétentes et intéressantes ne sont jamais relayées par les grands médias, les experts adoubés par les firmes reçoivent quant à eux toutes les tribunes qu'ils veulent...

Un bon exercice: comparez par exemple les explications ci-dessus et l'interview d'Edith Gallay (ici et ici) au discours affligeant et surrané du Dr Siegrist à qui des médias offrent encore la possibilité de leurrer son monde avec de belles phrases trompeuses...

Vaccins: l'endoctrinement commence dès l'université
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26 juillet 2015 7 26 /07 /juillet /2015 15:42

« Simplement parce qu’on veut éviter les problèmes, on recule devant la reconnaissance de la réalité, et ça c’est anti-scientifique, totalement anti-scientifique. »

 

Pr Luc Montagnier, Prix Nobel de Médecine

Pr Luc Montagnier: "Les vaccinations de masse ont été désastreuses"

« …Le déni ! Ce qui est dommage, c’est que l’attitude des pouvoirs publics et des institutions dépendant du public ou de leurs représentants préfèrent faire un déni des problèmes plutôt que de les traiter. Il y a des exemples patents, le nôtre par exemple, mais il y en a d’autres. Il y a les rapports avec les effets secondaires des vaccinations. »

 

« Ce n’est pas en niant ces effets secondaires qu’on va aider la vaccination, au contraire. On va tuer les vaccinations qui sont peut-être très utiles.

 

Il faut reconnaître qu’il y a des personnes, des enfants qu’il ne faut pas vacciner dans certaines circonstances. Il ne faut pas que la vaccination soit une vaccination de masse. Les vaccinations de masse ont été désastreuses. On se souvient de l’hépatite B des enfants en âge scolaire par exemple, ou les vaccinations antipolio chez les enfants africains par exemple, sans discrimination.

 

Alors, ça demande davantage d’efforts médicaux, mais c’est très important qu’il n’y ait aucun mort par vaccination. Même une seule mort serait de trop ou une maladie grave, ou une maladie grave handicapant à vie l’enfant.

 

Si on fait un déni de ces événements, simplement parce qu’on veut éviter des problèmes, on recule devant la reconnaissance de la réalité, et ça c’est anti-scientifique, totalement anti-scientifique. »

 

VIDEO : interview du Pr. Luc Montagnier (TV locale Strasbourg) :

 

Et ci-dessous, une des nombreuses vidéos qui confirment à 100% les vues du Professeur Montagnier sur les douloureux (et inutiles) fiascos des vaccinations de masse, par définition aveugles...

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12 juin 2015 5 12 /06 /juin /2015 09:21

Arrêtez les essais « criminels » de vaccins au Ghana (Ghana-Coalition)

Les essais forcés du vaccin Ebola se poursuivent au Ghana

30 mai 2015

 

La Coalition pour l’Indépendance du Ghana (CGIN) a déclaré être « déçue » de voir que le gouvernement du Ghana puisse autoriser que l’on utilise ses citoyens pour des essais cliniques concernant un vaccin contre Ebola.

 

Il y a quelques jours,Starrfmonline.com a annoncé que l’Université de la Santé et des Sciences Connexes était le fer de lance du projet qui devrait débuter sous peu à Hohoe dans la région de la Volta.

 

La Food and Drug Administration (FDA) a confirmé à Starrfmonline.com qu’elle était en train de tester le vaccin avant qu’elle ne puisse donner le feu vert pour que l’essai clinique puisse débuter. Des fonctionnaires ont déjà approché des étudiantes de l’Ecole de Formation des Sages-femmes de Hohoe pour qu’elles puissent se porter volontaires pour l’essai.

 

Des documents cités par Starrmonline.com indiquent que l’on a promis 200 Ghe à chaque  étudiant(e), ainsi que des téléphones portables. Ces étudiants recevront également  d’autres compensations telles que des tarifs spéciaux pour les transports, tout ceci en fonction de la manière dont se déroulera l’essai.

 

La Coalition a déclaré dans un communiqué : « Les enquêtes menées par Starr M sous une équipe de couverture, ont pu rendre publique une tentative clandestine d’utiliser les élèves sages-femmes à Hohoe dans la région de la Volta pour réaliser une expérience humaine sur le vaccin contre l’Ebola dans une région non touchée par la maladie.

 

« Nous voulons, sans crainte ni sans retirer quelque avantage que ce soit, faire savoir qu’Ebola n’est pas seulement une maladie, mais plutôt une entreprise bien planifiée. Un business où des gens qui ont créé un problème artificiel  sont maintenant à la recherche d’un marché pour vendre leur produit. Nous voulons, à l’avance, dire aux Ghanéens qu’il n’y aura aucune possibilité pour eux de passer par cette expérimentation humaine sans que l’Ebola se répande dans tout le pays. »

 

«  Nous voudrions aussi que les Ghanéens sachent que, du fait qu’il n’y a aucun cas d’Ebola au Ghana, des gens en bonne santé devraient être infectés par le virus Ebola avant que l’on puisse jouer (parier) à leur administrer ledit vaccin.»

 

« C’est donc à partir du scénario illogique évoqué ci-dessus que nous considérons que l’expérimentation humaine sur Ebola au Ghana est criminelle, que c’est la négation des droits de l’homme, qu’il s’agit d’un vol et d’un manque total de respect des Ghanéens en tant qu’êtres humains. »

 

Il a été précisé: « Le CGIN ne crie pas au loup quand il n’y a personne. Nous sommes guidés par l’histoire, la logique, l’esprit critique ainsi que par notre responsabilité en tant que citoyens. Nous voulons jouer notre rôle dans la sécurité nationale.»

 

« Si on devait autoriser que ces essais sur l’homme se poursuivent, l’épidémie d’Ebola qui aurait 100% de chances de se produire, constituerait la plus grande menace pour la sécurité nationale à laquelle notre pays aurait à jamais faire face. Les fabricants de ce soi-disant vaccin Ebola attendront qu’un plus grand nombre  de Ghanéens soient tués par la maladie avant de libérer le vaccin. Cette situation contraindrait le gouvernement à acheter le vaccin à n’importe quel prix. »

 

Source: Starrfmonline.com

 

Voir aussi

 

Informations diverses sur l'épidémie d'Ebola: vaccins, tests de détection, enjeux commerciaux,...

 

Ebola: prétexte en or pour une vaccination forcée? Enquête...

 

Les essais du vaccin Ebola suspendus à Genève pour cause d'effets secondaires

 

Ebola: "le vaccin est sûr... mais les effets secondaires sont intenses"!

 

Compte-rendu sur Ebola du Dr Broussalian s'étant rendu sur place en novembre 2014

 

Bill Gates & sa propagande de peur: "une pandémie peut faire 33 millions de morts en 250 jours" (NB: Bill Gates est un des premiers financiers de la vaccination dans le monde, pour le plus grand bonheur de l'OMS. Gates est actionnaire de l'industrie pharmaceutique qui fabrique des vaccins tandis que l'OMS qui déclenche les alertes pandémiques maximales (qui font automatiquement produire les vaccins "pandémiques) est largement financée et influencée par les industriels comme l'a tristement montré la saga du H1N1)

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