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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 12:01

Etude : de plus en plus de pédiatres acceptent de reporter les vaccins  

 

05/03/2015

 

 

Selon une étude américaine dont les conclusions étaient publiées le 2 mars dans la revue Pediatrics, les pédiatres seraient de plus en plus nombreux à accepter de retarder la vaccination des enfants à la demande des parents, dans le but de conserver leur clientèle

 

Explications.

 

93% des pédiatres disent avoir rencontré dans leur clientèle des parents leur demandant de reporter les vaccins de bébé à plus tard. C'est en tout cas ce qu'affirme une étude américaine menée sur 534 pédiatres et dont les conclusions étaient publiées le 2 mars par la revue Pediatrics. Selon les chercheurs, un tiers des pédiatres a admis accéder à la demande des parents, en dépit des risques pour l'enfant et ce pour garder leur clientèle. Relayé par Parenting le 4 mars, cette information peut remettre en cause certaines pratiques médicales.

 

Construire une relation à long terme avec les familles

 

Sur le panel de pédiatres interrogés dans le cadre de cette enquête, un tiers a affirmé accepter de retarder la vaccination de leurs jeunes patients à la demande des parents. Beaucoup d'entre eux ont expliqué être tiraillés entre le besoin de construire une relation à long terme avec les familles et le risque de causer de la douleur inutile à l'enfant en dispersant les vaccins sur plusieurs séances et en le mettant potentiellement face à un risque pour sa santé, explique le Dr. Allison Kempe, auteure de l'étude. 

 

La majorité des pédiatres comprennent pourtant les risques

 

Pourtant, 87% de pédiatres ont admis comprendre l'importance du planning de vaccination et s'accordent à dire que retarder les vaccins ou les échelonner sans raison peut conduire l'enfant à contracter des maladies. Mais, davantage inquiets de construire une relation de confiance avec les parents en répondant à leurs demandes, et de conserver ainsi leur clientèle, les pédiatres seraient tout de même de plus de plus nombreux à ne pas respecter les recommandations des organismes de santé.

 

Source : Magicmaman [NB : Attention au fait que la traduction du site Magicmaman est erronée car ce ne sont pas 93% des parents qui demandent de retarder les vaccins mais bien 93% des pédiatres de l’enquête parue dans Pediatrics qui disent avoir été confrontés à certains parents porteurs d’une telle demande. Une nuance importante qui méritait donc une correction sur notre site également.]

 

Soyons clairs : après les chiffres édifiants des parlementaires américains qui sont moins de 30% à avoir dit que leurs enfants étaient vaccinés (faites ce que je dis, pas ce que je fais…) ; après aussi les chiffres de l’enquête officielle de l’INPES en 2005 qui montraient que 58% des médecins se posent des questions sur l’utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité ( n’osant répondre ainsi que parce que l’enquête leur garantissait le confort de l’anonymat…), voici cette fois de nouveaux chiffres qui confirment que le baratin officiel sur les vaccins ne convainc rationnellement et scientifiquement parlant plus grand monde. La situation est donc bel et bien désespérée pour les officiels puisque selon cette récente étude, plus de 10% des parents qui font vacciner ne veulent déjà plus suivre le calendrier de vaccinations insensé qui leur est conseillé pour leurs enfants (avec tous les risques que l’on sait). 

 

Il est certain que l’inflation vaccinale et ses sinistres effets amènera tôt ou tard ce groupe de parents à pousser leurs recherches encore plus loin et à découvrir que différer dans le temps les vaccins ne résout pas tous les problèmes et laisse entière la question de l’insécurité intrinsèque des vaccins qui sont tous expérimentaux et dont le développement a toujours été bâclé, sans véritable science pour sous-tendre tout cela.

 

Une fois cette vérité sue et comprise, il n’y aura plus d’obstacles à des choix de santé cohérents et plus fructueux (tant pour l'individu que pour la collectivité). Souvenez-vous que les rares enquêtes et études indépendantes qui ont osé évaluer de façon réellement scientifique la vaccination en comparant sur plusieurs années la santé d’enfants vaccinés à celle d’enfants non vaccinés (0 vaccins) ont TOUTES montré que la santé des enfants non vaccinés était globalement bien meilleure avec beaucoup moins de maladies auto-immunes, allergiques, d’autisme, d’infections, de consommation d’antibiotiques, de troubles du sommeil etc etc. Voir par exemple iciiciiciici et ici

 

 

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3 mars 2015 2 03 /03 /mars /2015 09:24

Moins de 30% des membres du Congrès américain admettent qu’ils font vacciner  LEURS PROPRES ENFANTS !!!

C’est ENORME !!!

 

Par Marcella, Vaxtruth, 07.02.2015

 

NBC « News » a divulgué hier les résultats de son propre sondage auprès des membres du Congrès des Etats-Unis.

 

NBC « News » a posé la question suivante aux leaders de notre pays : « Vos enfants sont-ils vaccinés ? »

 

Ci-dessous, les résultats du sondage :

Moins de 30% des membres du Congrès américain admettent avoir fait vacciner leurs enfants!

Sur 434 membres de la Chambre des Représentants, 121 ont répondu par l’affirmative, indiquant : « Oui, mes enfants sont vaccinés ».

 

Ce qui représente moins de 30%, soit 27,65% pour être exact.

 

Maintenant comment le NBC a-t-il rapporté ces résultats ?

 

Ils ont déclaré « C’est UNANIME »

 

Au Capitol Hill, le désaccord est la règle et non l’exception.

 

Mais quand il s’agit de la question des vaccins, il semble y avoir un niveau d’accord unanime. Un sondage de NBC « News » des 434 membres votants de la Chambre des Représentants montre que pas un seul membre n’a déclaré que ses enfants n’avaient PAS été vaccinés.

 

Mais, attendez ! Qu’en est-il ?

 

Comment le NBC peut-il dire que les résultats de son enquête indiquent: accord «unanime», alors que ses propres chiffres révèlent que moins de 30% des représentants ont déclaré que leurs enfants étaient vaccinés ?

 

Mais qu’est-ce que les résultats de l’enquête indiquent VRAIMENT ?

 

Un de mes amis assez futé a expliqué la chose :

 

1. Sont-ils vraiment d’accord ? Ils disent que tout le monde doit se faire vacciner, mais pas eux, vu que 280 d’entre eux ne semblent pas quoi savoir répondre au sujet des vaccinations.

 

2. Ceux qui ont dit ne pas vouloir répondre, pourrait être traduit par : le statut vaccinal de LEURS enfants « n’est pas votre affaire ».

 

3. Pas de réponse veut AUSSI dire que ces personnes refusent de parler du statut vaccinal de LEURS enfants.

 

4. NBC semble vouloir faire entendre qu’AUCUN membre du Congrès n’a un enfant non vacciné alors que 280 d’entre eux ont répondu…CE NE SONT PAS VOS AFFAIRES.

 

5. Pourquoi alors le public ou les parents devraient-ils, eux, répondre à cette question.

 

Voyez-vous ce que NBC a fait ici ? C’est UNANIME !!! disent-ils parce que 121 députés ont dit oui et que 280 n’ont pas voulu répondre… C’est UNANIME !!!

 

Okay, public Américain… Sommes-nous vraiment aussi stupides ?

 

NBC « News » semble bien le penser.

 

Faites leur savoir ce que vous pensez REELLEMENT.

 

Lien pour le « rapport » NBC

Moins de 30% des membres du Congrès américain admettent avoir fait vacciner leurs enfants!
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7 février 2015 6 07 /02 /février /2015 20:27

Une garderie d'Ottawa offre ses services pour des enfants non vaccinés

 

Mise à jour le vendredi 6 février 2015 à 19 h 23 HNE

Les explications de la journaliste Claudine Richard

 

garderie.png

(image inactive : allez sur le site)

 

Que ce soit par conviction personnelle ou religieuse, des parents qui refusent le vaccin pourront envoyer leur enfant non immunisé dans une garderie privée du secteur d'Orléans.

 

On peut lire sur une affiche installée sur une clôture que la garderie offre des mets biologiques et un environnement sans vaccin.

 

La propriétaire de cette garderie, Mélissa Abekah, croit que refuser la vaccination permet au système immunitaire de l'enfant de mieux se développer.

 

garderie-Ottawa--2---enfants-non-vaccines.png

 

« On a vu qu'il y a de l'aluminium, du mercure, de l'antigel, des choses comme ça et on se demandait si le corps a vraiment besoin de ça pour combattre les maladies.» — Mélissa Abekah, propriétaire de cette garderie sans vaccin

 

Selon la loi, si les parents sont d'accord d'envoyer leur enfant dans une garderie sans vaccin, les responsables de la santé publique n'ont aucun recours contre la garderie en raison, dans ce cas-ci, de sa nature privée.

 

Santé publique Ottawa rappelle aux parents les dangers de contagion à considérer avant de refuser un vaccin ou d'envoyer leur enfant dans ce genre de milieu.

 

« Pour un enfant qui se retrouve dans un groupe d'individus non vaccinés, il suffit d’une personne qui introduit la maladie contagieuse pour que la maladie se transmette très rapidement d'un enfant à l'autre étant donné que tous ces enfants n'ont pas de protection contre la maladie en particulier », affirme la gestionnaire de programmes de Santé publique Ottawa, Marie-Claude Turcotte.

 

Avec les cas de rougeole qui ont été rapportés à Toronto et dans la région du Niagara, les autorités de la santé publique de Toronto ont indiqué que les élèves non vaccinés ne pourront aller en classe en cas d'éclosion.

 

En ce moment à Ottawa, Santé publique Ottawa ne déclare aucun cas de rougeole.

 

Avec les informations de Claudine Richard.

 

Source : ici Radio Canada

 

Enfin une mesure de bon sens… mais ici en Belgique, les crèches ONE se croient légalement et légitimement autorisées à piétiner la loi sur le droit des patients en exigeant pas moins de 8 vaccins pour chaque enfant !

 

Certains parents craignent que les enfants non vaccinés induisent des épidémies et contaminent leurs enfants… pourtant vaccinés ! La vérité (et la plus élémentaire logique et éthique) à cet égard est que la peur de ces parents ne peut suffire à faire encourir aux enfants non vaccinés des risques exorbitants d’effets secondaires graves de vaccins, beaucoup plus variés, diffus et incontrôlables que des cas d’une maladie infectieuse ciblée, la plupart du temps bénigne.  S’ils veulent absolument vacciner leurs enfants parce qu’ils pensent que c’est la meilleure chose, qu’ils fassent donc pression sur les firmes ou le gouvernement pour qu’ils arrivent à développer des vaccins qui soient suffisamment efficaces pour conférer une protection individuelle stricte à ceux qui le reçoivent, plutôt que d’empiéter sur les libertés fondamentales et inaliénables des sceptiques qui ont tout à fait raison de ne pas vouloir troquer leur intégrité physique contre une soumission à une pseudoscience vaccinale qui n’a en réalité qu’un vernis de scientificité.

 

Les messages d’affolement scandaleux qui émanent des Etats-Unis parce qu’ils ont eu 100 cas de rougeole en un mois dans divers états, sont assez pitoyables. Tout simplement parce qu’il fut un temps où des dizaines de milliers de cas survenaient chaque année aux Etats-Unis sans que cela soit considéré comme un drame ou un véritable problème de santé publique. En revanche, les effets secondaires graves de vaccins dont l’autisme (1 enfant sur 38 en Grande-Bretagne) et tous les autres, qui font qu’au moins un enfant sur deux aux Etats-Unis est atteint d’une maladie chronique et un sur cinq atteint de troubles du développement neurologique et cognitif , ceux-là constituent le vrai problème de santé publique qui reste de façon tout à fait indécente banalisé.

 

 Voir aussi

 

Des garderies pour enfants non vaccinés: une bonne idée qui fera inévitablement tache d'huile

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29 novembre 2014 6 29 /11 /novembre /2014 10:23

      « NOUS NE FAISONS PAS VACCINER NOS ENFANTS »            

(Bande annonce du film « Wir Impfen Nicht ! »)

  

Bebe-dans-couvertures.JPG

 

Un bébé a-t-il besoin de 30 vaccins au cours de sa première année de vie pour rester en bonne santé ?

 

Un nombre de plus en plus important de personnes se montrent sceptiques par rapport au nombre croissant de vaccins qui sont proposés à leur enfant.

 

Depuis 1976, en Allemagne, le nombre de vaccins recommandés pour la première année de vie est passé de 6 à 33.

 

Petite-main-de-bebe--2014-.JPG

 

La plupart des parents ignorent complètement ce qu’on injecte à leur enfant.

 

Bebe-qu-on-vaccine--Deux-adultes.JPG

 

Qu’en pensent certains médecins ?

 

Dr-Friedrich-P.-Graf--2-.JPG

 

Dr Friedrich P. Graf, M.D.


« Certains ingrédients des vaccins sont très toxiques, comme le phénol, le formaldéhyde et spécialement l’aluminium. Ces produits n’ont pas leur place dans un organisme humain. Ces produits à base d’aluminium qui sont ajoutés aux vaccins pour provoquer une forte réponse immunitaire, ont un effet irritant sur ce système immunitaire. »

 

Dr-Klaus-Hartmann.JPG

 

Dr Klaus Hartmann, M.D.

 

« L’effet que l’aluminium peut avoir sur le système nerveux n’est pas tout à fait clair, mais on constate que des inflammations comparables à celles de la sclérose en plaques peuvent apparaître après des vaccinations.

 

Des adjuvants du type aluminique peuvent aussi provoquer des encéphalites auto-immunes comme on peut l’observer chez des animaux de laboratoire.

 

Comme les fonctions immunitaires des bébés sont encore très faibles, les réponses immunitaires doivent donc être provoquées de force au moyen d’agents chimiques.

 

Certains vaccins contiennent, proportionnellement au poids du corps, jusqu’à 23 fois la quantité d’aluminium que contiennent certains vaccins pour adultes. Certains enfants en subissent évidemment de graves dommages et de plus en plus d’enfants souffrent de maladies chroniques ».

 

Le Dr Friedrich P. Graf, M.D. :

 

« Les maladies chroniques sont devenues tellement communes chez les enfants que l’on finit par les considérer normales. Nous avons maintenant des allergies, de l’asthme, de l’eczéma. Un enfant sur trois souffre d’eczéma et un enfant sur dix souffre d’asthme. »

 

Maman-et-enfant.JPG

C’est la raison pour laquelle de plus en plus de parents prennent la décision de ne plus faire vacciner leurs enfants. »

 

Monika-Rudissuhli.JPG

 

Monika Ruedisuehli, maman de 4 enfants non vaccinés


« Mes enfants n’ont pas du tout été vaccinés. Je me suis parfaitement documentée, j’ai lu pas mal de livres, j’ai assisté à de nombreuses conférences. Pour moi, les vaccins ne présentent aucun bénéfice; ils rendent les enfants malades. C’est la raison pour laquelle je n’ai pas autorisé que l’on vaccine mes enfants. »

 

Katinka-Sutter.JPG

 

Madame Kotucka Sutter a deux enfants non vaccinés


« J’ai remarqué que les enfants vaccinés que je connais sont plus souvent malades que mes propres enfants. »

 

Franziska-Schlidthauser.JPG

 

Franziska et Adrian (Suisse) : pas de vaccins !

 

« Au cours de ma première grossesse, nous avons pris la décision de ne pas faire vacciner nos enfants parce que nous voulions nous assurer qu’ils aient le meilleur départ naturel dans la vie. »

 

Le documentaire « Nous ne nous faisons pas vacciner » pas est un projet communautaire initié par plusieurs groupes européens pour donner de l’information sur les vaccins.

 

institut-p.E.JPG

 

Les officiels allemands de la Santé tels que les membres du « Paul Ehrlich Institute » n’ont pas accepté d’être interviewés face à la caméra.

 

«  Nous ne nous faisons pas vacciner » est un document d’une durée de 100 minutes qui traite de la face cachée et sombre des vaccinations

 

Ce documentaire sera disponible gratuitement sur YouTube 6 mois après sa parution, et sera disponible sous forme de DVD

 

Nous sommes à la recherche de personnes qui pourraient donner un coup de main pour les traductions, pour effectuer des sous-titrages dans d’autres langues.

 

Veuillez nous contacter à l’adresse suivante : info@wir-impfen-nicht.eu

 

Un-enfant-mange-une-pomme--2-.JPG

 

http://www.youtube.com/watch?v=LjSJ1Gygx-U

http://vimeo.com/92087162

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27 novembre 2014 4 27 /11 /novembre /2014 19:33

 

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24 novembre 2014 1 24 /11 /novembre /2014 19:28

LE MISSISSIPPI a les taux de vaccination les plus hauts, & la mortalité infantile la plus élevée des Etats-Unis.

 

TLB Staff, 23 novembre 20140

 

Bébé liberty beacon

 

Parmi les différents états américains, le Mississippi présente le taux de mortalité infantile le plus élevé avec 10 décès pour 1000 naissances.

 

Lindey Magee du groupe : « VACCINS : les parents du Mississippi & leurs droits » a récemment commenté un article publié en première page du journal « Mississipi’s Clarion Ledger » :

 

C’est le Mississippi qui a le taux de vaccination le plus élevé DES Etats-Unis parce qu’il est l’un des deux états américains qui ne permettent pas de choix aux parents en ce qui concerne les vaccins exigés pour fréquenter l’école. Seul un médecin peut fournir une exemption médicale, mais les exemptions pour motifs religieux et philosophique ne sont pas autorisées.

 

Le journal « Clarion Ledger » se montre fier des taux de vaccination dans cet état. D’autres états américains veulent suivre l’exemple du Mississippi et faire supprimer le choix des parents et des familles en matière de vaccination.

 

mississippi-vaccination-rates.jpg

 

Lindey Magee, ne pense vraiment pas que le Mississippi devrait être si fier de son taux record de vaccination, étant donné que le Mississippi se classe en toute dernière place  aux Etats-Unis, avec les taux de mortalité les plus élevés, et  avec de très faibles scores dans d’autres domaines clés de la santé des enfants.

 

Pour être clair, être classé comme l’état le plus vacciné NE DEVRAIT PAS susciter la moindre fierté.

 

Dans des états où les gens sont mieux informés on voit que de plus en plus de parents décident de ne pas administrer certaines des 49 doses de vaccin qui sont normalement administrées aux enfants avant qu’ils ne fréquentent l’école maternelle.


Le fait que le Mississippi se classe au premier rang par rapport aux taux de vaccination ne fait qu’indiquer que les familles du Mississippi sont exploitées suite à leur ignorance et leur manque d’information. Cette situation relève d’avantage de la honte que de l’honneur.

 

Il est grand temps que les citoyens de cet état de s’informent sur les lois archaïques qui concernent la vaccination. L’état du Mississippi n’autorise pas les parents à entamer une longue lutte pour obtenir des dommages pour un enfant avant que des dommages vaccinaux aient été auparavant enregistrés dans la famille. N’est-ce pas là chose barbare!

 

Alors que les choses en sont là, 48 autres états dans lesquels la situation sanitaire est meilleure permettent des exemptions pour motifs religieux ou philosophique.

 

US-Number-one-vaccines-injected-babies.jpg

 

Graphique # 1

Les E.U. injectent plus de vaccins aux bébés avant l’âge d’un an que dans tous les autres pays.

Graphique # 2

C’est aux E.U. que la mortalité infantile est la plus élevée.

Graphique # 3

Les E.U arrivent en dernière position pour les décès (toutes causes confondues).

 

Alors que le Mississippi a les taux de vaccination les plus élevés, il a aussi le triste record de la mortalité infantile la plus élevée des Etats-Unis. Il convient de garder à l’esprit que les Etats-Unis est le pays le plus vacciné du monde. Notre taux de mortalité se classe après celui de 27 autres pays riches dont certains n’ont absolument aucune vaccination obligatoire !!

 

Le Mississippi a la population pédiatrique la plus vaccinée AU MONDE !

 

Pourquoi donc sommes-nous en moins bonne santé ?

 

Il est un fait que la pauvreté, la mauvaise alimentation etc. jouent un rôle, mais le fait d’administrer trop de vaccins et trop tôt ne peut plus être ignoré

 

 

Je veux implorer ceux qui sont d’avis que les vaccins doivent être rendus obligatoires de bien vouloir réfléchir. Ils s’appuient sur le fait que la polio et la variole sont des maladies dangereuses ; ce qui, à leur avis, permet de vendre plus de 30 doses de vaccins à tous les bébés de six mois. Je veux les implorer de réfléchir à la position qu’ils ont prise. Je suis née en 1979, et j’ai reçu 10 doses de vaccins jusqu’à ce que j’entre à l’université. Où cela va-t-il s’arrêter ? La vaccination obligatoire est une pente glissante. Elle est en train d’affecter toute une génération d’enfants hyper-vaccinés.

 

Dear-Mississippian.jpg

 

Chers citoyens du Mississippi,


Saviez-vous que l’état du Mississippi avait les lois vaccinales les plus rigides et les plus oppressives au monde ?


Vous êtes exploités parce qu’ils pensent que vous êtes trop ignorants.


S’il vous plaît, renseignez-vous !


www.MPVR.org

 

Source : The Liberty Beacon

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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 11:57

"Je ne suis pas vaccinée et je vais bien, merci."

 

Par Tatiana Lissitzky, le 28/09/2014 (Mis à jour le 29/09/2014). Sur Francetvinfo.fr

 

Certains parents refusent de faire vacciner leurs enfants, tombant de ce fait sous le coup de la loi. Le mouvement a trouvé une caisse de résonance sur internet. Francetv info est allé à la rencontre d'une de ces familles. 

 

vaccinee-ou-pas--merci--1.jpg

En France, entre 2008 et 2012, les ventes d'unités de vaccin ont chuté de 12% toutes catégories confondues, selon une étude d'IMS Health, un cabinet spécialisé dans les enquêtes et le conseil pour les industries du médicament et les acteurs de la santé. (KLAUS ROSE / AFP)

 

"Je ne suis pas vaccinée, mais je suis en parfaite santé, et très rarement malade", sourit Ophélie, 14 ans, surprise de l'intérêt qu'elle suscite. Cette jeune sportive, championne départementale de tennis, ne se sent pas différente des autres élèves de troisième. "Mes copines ne me parlent pas de vaccination. On n'aborde jamais le sujet", explique timidement l'adolescente. Pourtant, au collège Marcel-Gambier de Lisieux (Calvados), la plupart des élèves sont au courant de son histoire, car il y a dix ans, "l'affaire Bessin" a fait grand bruit.


Le refus de vaccination assimilé à de la maltraitance


A la naissance de sa fille, en 2000, Jacques Bessin, 43 ans, adepte du bio, pense que la vaccination est dangereuse, et refuse d'y soumettre Ophélie tant que les services de santé ne lui auront pas donné la garantie de l'innocuité des produits injectés. Impossible : les vaccins, comme les médicaments, peuvent déclencher des effets secondaires indésirables, et le risque zéro n'existe pas. A l'âge de 11 mois, Ophélie tombe malade. Une anorexie du nourrisson, qui la conduit pendant près de quatre mois à l'hôpital.


"Au lieu d'attendre qu'elle soit remise sur pied, la seule chose à laquelle pensait le pédiatre, c'était vacciner notre fille. Du grand n'importe quoi !", se souvient Jacques Bessin, avec amertume. En France, les vaccinations contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite (DTP) sont obligatoires. Mais le père tient bon. Il a la loi de son côté, provisoirement. Rien n'oblige en effet à vacciner un enfant avant 18 mois. C'est lorsqu'Ophélie sort de l'hôpital que les évènements se précipitent. La justice, prévenue par le pédiatre, ordonne le placement de la fillette pour refus de vaccination et maltraitance.


Quatre ans de procédure


Jacques Bessin panique. Il décide de cacher sa femme et sa fille chez un oncle, dans le centre de la France, jusqu'à ce que les soupçons de maltraitance soient levés, quelques jours plus tard. Mais les parents restent soumis à l'obligation vaccinale. Le Code de la santé publique prévoit 6 mois de prison et 3 750 euros d'amende à l'encontre de ceux qui s'y refusent. 


La machine juridique est lancée. Jacques Bessin est bien décidé à se battre pour que sa fille ne soit pas vaccinée. Dès 2002, il peut se référer à la loi Kouchner, qui autorise le refus d'un acte médical. Il médiatise l'affaire et s'entoure d'experts, d'avocats, de médecins et d'associations. En 2005, après quatre ans de procédure, la juge des enfants de Caen décide d'un non-lieu et classe l'affaire. Ophélie ne sera jamais vaccinée. Valentin, son petit frère, non plus. 

 

Ophelie--14-ans--jamais-vaccinee-de-sa-vie-et-qui-va-tre.jpgOphélie, 14 ans, n'a jamais reçu aucun vaccin de sa vie, à Lisieux (Calvados), mercredi 17 septembre 2014. (T.LISSITZKY)


Jacques Bessin se rappelle cette période avec fierté, même s'il a beaucoup perdu. "J'ai dû fermer mon commerce, déménager, et reprendre un poste à l'éducation nationale. Maintenant, je suis mis au placard à un poste d'accueil." Le plus difficile ? "Les soupçons de maltraitance. Je ne donnais même plus le bain à ma fille de peur que l'on m'accuse d'autre chose." Pendant ces quatre ans, il se renseigne, s'appuie sur des documentaires comme "Silence on vaccine", et sur des ouvrages antivaccination écrits par des médecins. Peu à peu, il acquiert une réelle expertise et construit son argumentation. De ce fait, il refuse d'être taxé "d'antivaccin", et se voit comme un "citoyen éclairé". 


"Les familles falsifient les carnets de santé"


Une attitude qui ne surprend pas le docteur Bourez, médecin dans l'Eure et membre du Syndicat des médecins généralistes : "Je suis très souvent confronté à ces patients-experts, informés par internet. Le problème, c'est qu'ils mettent sur un pied d'égalité différentes sources d'informations, dont certaines ne sont absolument pas scientifiques ou reconnues."


Depuis la fin du procès, Jacques Bessin milite pour la levée de l'obligation vaccinale. Devenu président de l'Union nationale des associations citoyennes de santé, il se bat auprès de familles qui, comme lui, refusent de faire vacciner leurs enfants. Selon lui, elles seraient  "plus de 100 000" à être dans l'illégalité, et "beaucoup trichent en falsifiant le carnet de santé", car pour toute entrée en collectivité, la vaccination DTP est obligatoire. Au ministère de la Santé, on minimise ce chiffre : d'après le dernier point de situation de l'Institut de veille sanitaire (InVS), au 30 juin 2014, 91,7% des enfants ont effectué l'ensemble du schéma vaccinal, c'est-à-dire ont reçu toutes les doses de vaccins DTP obligatoires. 


Jacques Bessin milite également pour que la responsabilité des laboratoires pharmaceutiques soit engagée lorsque de graves effets secondaires à la vaccination se déclarent. Il a par ailleurs lancé depuis peu une collecte de vaccins "prescrits de force par les médecins" mais inutilisés. "Pour dire au gouvernement : arrêtez de nous obliger à nous faire vacciner, on ne le fera pas et on vous le prouve", explique-t-il, amusé devant les dizaines de doses envoyées anonymement. "A quarante euros le vaccin, il y en a pour plusieurs milliers d'euros," souligne-t-il.

 

Jacques-Bessin-et-les-vaccins-inutiles.jpgJacques Bessin montre les vaccins non-utilisés qui lui ont été envoyés à la suite de la collecte qu'il a lancée, à Lisieux (Calvados), mercredi 17 septembre 2014. (T.LISSITZKY)


Entre 2008 et 2012, la vente de vaccins a chuté de 12%


S'il est difficilement quantifiable, le "mouvement antivaccin" est une réalité et gagne du terrain, notamment sur internet, où les antivaccins donnent de la voix et s'organisent sur des dizaines de forums, sur des sites "éco-bio" et via des associations comme la Ligue nationale pour la liberté des vaccinations. En France, selon les chiffres d'IMS Health, une entreprise qui fournit des études aux acteurs de la santé, la période 2008-2012 a vu les ventes d'unités de vaccin chuter de 12% toutes catégories confondues, y compris pédiatriques, et jusqu’à 40% pour la rougeole. Et la défiance des Français à l'égard des vaccins ne cesserait de progresser. D'après un sondage BVA pour l’assurance-maladie, une personne sur cinq considère que le vaccin contre la grippe est plus dangereux que le mal lui-même.


Comme Jacques Bessin, des parents refusent une partie ou la totalité des vaccins après s'être documentés, estimant que le rapport bénéfice/risque joue en défaveur de leur enfant. Ils remettent ainsi en cause l'obligation vaccinale, vécue comme une restriction de leurs libertés. Souvent, ils sont persuadés que tout message incitant à vacciner est biaisé et financé par les laboratoires.


La vaccination "bénéficie aux autres"


Le phénomène inquiète les autorités de santé, qui tentent de contrer les arguments des "antivaccins". Car au-delà de la protection individuelle qu'elle procure, la vaccination est aussi un geste altruiste, qui assure une protection collective, plaident-elles. "Les 'antivaccins' vont à l'encontre du principe de santé publique, dénonce ainsi le docteur Bourez. Se faire vacciner bénéficie aux autres enfants. Il ne faut en aucun cas que le niveau de protection générale baisse. Des foyers de rougeole qu'on ne voyait plus reviennent. C'est une maladie extrêmement dangereuse, qui peut entraîner des décès."


En France, entre 2008 et 2012, plusieurs vagues d'épidémie de rougeole ont touché 23 000 personnes et causé dix décès. Le ministère de la Santé souligne que la couverture vaccinale en France contre cette maladie se situe autour de 90%, et reste en-dessous de l’objectif des 95% fixé par l’Organisation mondiale de la santé pour l'élimination de cette maladie particulièrement contagieuse.


"Il faut se rendre compte que nous avons la chance de pouvoir nous poser la question du vaccin, c'est une problématique de pays développé", rappelle le docteur Bourez, avant d'ajouter : "La vaccination ne doit pas être remise en cause. Elle permet à l'enfant de se créer ses propres défenses, et je n'ai personnellement jamais vu un épisode de complication en douze ans d'exercice."

 

Jacques-Bessin-et-ses-heureux-enfants-non-vaccines.jpgJacques Bessin et ses deux enfants, Ophélie et Valentin, à Lisieux (Calvados), mercredi 17 septembre 2014. (T.LISSITZKY)


De son côté, Jacques Bessin l'assure, il continuera à se battre pour "la liberté de choix thérapeutique". Il vient d'écrire aux députés pour demander la levée de l'obligation vaccinale.

 

Source : Francetvinfo.fr

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2 octobre 2014 4 02 /10 /octobre /2014 19:29

Enorme plongeon des taux de vaccination en maternelle: les officiels sont déconcertés.

 

Maman-interdit-vaccination-bebe.jpg

 

D’après Christina Sarich, 29 septembre 2014

 

Le nombre de parents qui décident de ne pas faire vacciner leurs enfants se développe à un rythme alarmant – du moins si l’on en croit les fonctionnaires désarçonnés par le réveil de l’humanité.

 

Comme les calendriers de vaccination proposés par les autorités américaines de Santé sont extrêmement lourds, on peut comprendre que de nombreux parents se font un devoir de refuser les vaccinations. Depuis les années 1950, le nombre de vaccins que les petits en-dessous de 6 ans doivent recevoir a augmenté de 414%.

 

Les parents de Californie en ont apparemment assez. Ils refusent de faire vacciner leurs enfants qui sont à la maternelle.

 

Les experts de Santé publique disent que ces refus de faire vacciner les enfants contribue à la résurgence par exemple de la rougeole à travers l’état, et peut conduire à de graves flambées « d’autres maladies ». Mais ceci n’est rien d’autre que de l’alarmisme parfaitement dans la ligne de ceux qui veulent fourguer des vaccins à tout prix.

 

En fait, il existe de nombreuses études qui montrent que les enfants non vaccinés sont en bien meilleure santé que les enfants vaccinés.

 

Le pourcentage des enfants d’écoles maternelles dans lesquelles au moins 8% des petits ne sont pas complètement vaccinés (pour raisons de croyances personnelles) a plus que doublé.

 

Les officiels de la Santé ne sont pas satisfaits de cette tendance, car ils croient à « l’immunité de groupe » qui, selon les « experts » exige que, pour la rougeole et la coqueluche, 92% des enfants soient vaccinés. Le CDC (Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention) encourage très fort la notion « d’immunité de groupe» mais avec comme conséquence directe une immunité muqueuse très faible chez les enfants.

 

Dire que la maladie va se propager si on n’atteint pas un taux de vaccination de 95% est un mensonge. En vérité la plupart des états ne parviennent même pas à atteindre les objectifs fixés par le CDC: atteindre un taux de 80% des vaccinations de base chez les enfants.

 

Au cours de ces dernières années, le Colorado a atteint un taux de 65%, alors qu’en Floride, il était de 75%. Cette situation n’en a pas pour autant provoqué une épidémie soudaine de rougeole, de grippe ou de coqueluche.

 

Certains experts pensent que « l’immunité de groupe » est un mythe créé de toutes pièces par ceux qui pourraient en tirer profit. Il semble que beaucoup de parents californiens soient d’accord avec cette manière de voir les choses, ou du moins qu’ils se méfient des vaccins en général.

 

« Cinq jours par semaine dans une petite classe » disait Shannon Stokley, épidémiologiste au Centre National d’Immunisation et des Maladies Respiratoires qui fait partie du CDC, «  Ce sont les conditions idéales pour la propagation des germes et des infections. »

 

Ce dont Stokley semble ne pas tenir compte, ce sont les nombreux autres facteurs qui peuvent contribuer à créer des épidémies.

 

Barbara Loe Fisher, Présidente du Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC) fait valoir que les vaccins sont responsables de l’augmentation du nombre d’enfants et d’adultes qui souffrent de troubles neurologiques et de troubles du système immunitaire, d’hyperactivité, de troubles de l’apprentissage, d’asthme, de fatigue chronique, de lupus, de polyarthrite rhumatoïde, de scléroses en plaques, et de troubles épileptiques. Elle pense aussi que d’autres études sont nécessaires pour surveiller les effets à long terme des vaccinations. Elle veut que les médecins puissent être absolument certains que les vaccins sont sûrs et n’endommagent pas la santé.

 

Neil Miller, chercheur en vaccinologie souligne par exemple que le vaccin polio est aujourd’hui responsable de chaque nouveau cas de polio aux Etats-Unis.

 

En Californie, les taux de vaccination sont en baisse depuis les années 1980.

 

La tendance est particulièrement marquée dans le comté d’Orange où la proportion d’élèves de maternelle qui ont reçu tous leurs vaccins est tombée de 92,9% en 2003 à 89,3 en 2012, principalement dans les régions les plus riches du bord de mer. Le comté est également aux prises avec la plus grande épidémie de rougeole de l’état : 22 cas. Le CDC attribue la récente épidémie aux anti-vaccins. […]

 

Même des titres élevés d’anticorps ne donnent que 68% de chances d’être protégé de la rougeole. En Afrique, la vaccination ROR (Rougeole-Oreillons-Rubéole) a réduit les maladies contre lesquelles on vaccinait, mais a doublé le taux de mortalité chez les nourrissons après une seule dose.

 

[…]

 

Source : NaturalSociety

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20 avril 2014 7 20 /04 /avril /2014 08:20
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26 décembre 2013 4 26 /12 /décembre /2013 09:13

Le VACCIN PREVNAR  

 

Extrait de l’ouvrage du Dr Tim O’Shea «  La vaccination n’est pas l’immunisation ». Bien que ce vaccin soit obligatoire aux Etats-Unis, 90% des gens ne savent pas à quoi il sert, y compris parfois certains pédiatres.

 

Dr-Tim-O-Shea-Vaccination-is-not-Immunization.JPG

 

Depuis qu’il a fait partie du programme des vaccinations en 2002, le vaccin Prevnar (PCV) n’a cessé de faire l’objet de controverses. Le Prevnar contient des éléments de Streptoccocus pneumoniae, ainsi que des bactéries de la diphtérie. Il est commercialisé en tant que protecteur de l’otite moyenne et contre la méningite bactérienne.

 

Le premier problème avec ce vaccin, et le plus frappant c’est l’affirmation qu’il protège contre otitis media, qui est habituellement un simple mal d’oreille. Pratiquement tous les bébés font des otites temporaires qui ne sont pas graves du tout et qui guérissent en un jour ou deux. Même le PDR  de 2007 (Physicians’ Desk Reference) évoque le chiffre de 90% pour les otites infantiles. [244].

 

Il peut être surprenant de revoir la définition de l’otite moyenne : la membrane du tympan apparait anormale et suggère la possibilité d’un épanchement [227] (p. 3468). Cela signifie que lorsque l’on examine l’oreille du bébé, le tympan apparaît rouge. Ce symptôme peut apparaître après que le bébé ait pleuré. Aucun test sanguin, aucune culture, rien d’autre que l’examen de l’oreille n’est nécessaire pour diagnostiquer une otite banale, une inflammation qui n’est pas nécessairement une infection.

 

Alors pourquoi violer le sang d’un enfant avec un vaccin pour prévenir un problème aussi bénin ?

 

Y a-t-il des effets secondaires à ce vaccin peu important ? Ci-dessous une liste partielle selon le fabricant :

 

Fièvre

 

Choc anaphylactique

 

Convulsions

 

Urticaire

 

Insuffisance cardiaque

 

Gastroentérite

 

Conjonctivite

 

Muguet

 

Asthme

 

Etouffement

 

Pneumonie

 

Otite moyenne

 

2007 Physician Desk Reference (= équivalent du Vidal en France et du Compendium des médecins belges), p.3468 [227]

 

Attendez une minute. L’otite moyenne serait un effet secondaire du vaccin ? Le vaccin n’a-t-il pas été spécialement conçu pour l’éviter ? Et la pneumonie ? Est-ce une surprise que l’injection de Strep pneumoniae puisse provoquer la pneumonie ? Qu’en est-il aussi de tous les autres effets secondaires ?

 

Dans la description des premiers essais cliniques, le fabricant  précise que les sujets recevaient, en même temps, tous les autres vaccins classiques. Alors, combien parmi ces autres vaccins reprennent l’otite classique comme effet secondaire ? Réponse : 5.

 

Est-ce que cela veut dire que nous avions besoin de ce nouveau vaccin pour parer aux effets secondaires d’autres vaccins ? Il semble bien que oui ! Cette étude n’aurait pu être légitime que si le groupe de contrôle n’avait pas été vacciné du tout.

 

Par ailleurs, il y a eu 12 morts parmi les sujets. [227]

 

L’autre chose étonnante par rapport à la commercialisation du Prevnar est la prétention d’une protection contre la méningite bactérienne, une maladie très rare aux Etats-Unis. Le PDR 2007 affirme que l’incidence de la maladie est de 7 pour 100.000  [227] (p. 3463) et cite une étude parue le 2 octobre 1997 dans le New England Journal of Medicine [160].

 

Mais en examinant les chiffres réels cités dans l’étude du NEJM lui-même, on trouve qu’il s’agit de moins d’1 cas de méningite bactérienne sur 100.000 [160], (page 970).

On pourrait deviner que personne ne vérifiera les sources données par le PDR, sources qui sont généralement fiables. Ceci peut nous apprendre deux choses :

 

  1. Les sources du PDR ne sont pas nécessairement fiables, et
  2. L’incidence de la méningite bactérienne est 7 fois plus rare que ce qu’ils prétendent.

 

EFFICACITE PROUVEE ?

 

Est-ce que le Prevnar est efficace ? Ce sujet est abordé de front dans un article soigneusement étudié et intitulé : Prevnar : examen critique d’un  nouveau vaccin pour l’enfance par le professeur britannique Michael Horwin. [161] Les premiers essais cliniques sur le vaccin Prevnar n’ont abouti qu’à une réduction de 7% des otites à la suite de la vaccination.

 

C’est là le plus grand bénéfice auquel ils peuvent prétendre pour le Prevnar, ce vaccin pour un simple mal d’oreille des enfants avec tous les effets secondaires dangereux repris ci-dessus – ne serait efficace que dans 7% des cas.

 

[…]

 

CANCER ET STERILITE

 

La clause standard de non responsabilité apparaît dans la documentation 2007 du fabricant du Prevnar : «n’a pas été évalué pour son potentiel cancérogène ou pour l’altération de la fertilité » ( [227] p. 3467). Ce qui signifie qu’ils ne savent même pas si ce vaccin inutile n’est pas susceptible de provoquer le cancer ou rendre un enfant stérile à l’âge adulte.

 

Le choc final, c’est que les essais cliniques qui ont été effectués pour le Prevnar visaient l’otite moyenne et non pas la méningite. En ce qui concerne la méningite, le PDR ne fait aucune allégation à l’efficacité, alors que toute la littérature promotionnelle recommande ce vaccin contre la méningite en l’absence de tout soutien de la science. Tout ce qui est repris ci-dessus et qui dénature les statistiques de la méningite ne semble être que de la poudre aux yeux.

 

Ainsi, bien que le vaccin Prevnar soit commercialisé aux Etats-Unis contre l’otite moyenne et la méningite, le fabricant ne cite jamais d’étude qui ait été réellement réalisée pour la méningite. Il semble bien s’agir d’une revendication sans fondement, une technique de marketing.

 

Il est étonnant que quand le Prevnar a été introduit dans le programme de vaccinations obligatoire, on a recommandé 4 doses respectivement à 2, 4, 6 et 12 mois. La dose de deux mois, est administrée le même jour que 5 autres vaccins ! Cela reste le programme officiel obligatoire !

 

Les japonais sont apparemment un peu moins nonchalants que nous en ce qui concerne le Prevnar. En mars 2011, les vaccins Prevnar et H. Influenzae ont été interdits dans tout le pays après que 6 enfants soient morts. [12] Cette histoire n’a pas figuré dans les médias américains. On n’en a parlé qu’en Europe, en Asie et au Canada.

 

Essayez de demander à des parents américains à quoi servent ces deux vaccins. Allez-y ! Tous les deux se trouvent sur le programme officiel de vaccination : 22 vaccins.

 

LA NAISSANCE DE MALADIES THEORIQUES

 

Le vaccin Prevnar a marqué le début de la philosophie concernant l’obligation vaccinale : aujourd’hui, nous avons des vaccins pour des maladies théoriques. Dans le passé, les vaccins étaient estimés nécessaires pour prévenir des maladies infectieuses qui étaient prétendument causées par des agents pathogènes connus :  ROR, DTC, hépatite, variole. Mais dans le monde d’après le fameux « 11 septembre », il semble que les maladies n’ont plus besoin  d’être concrètes pour exiger un vaccin. Tout ce qui est nécessaire maintenant, c’est d’élaborer une étiquette pour pouvoir commercialiser une menace. N’importe quelle menace. Comme par exemple la rougeur du tympan.

 

Dr Tim O’Shea’ Newsletter, 25 décembre 2013.

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