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27 octobre 2013 7 27 /10 /octobre /2013 22:05

Obligation vaccinale et vérités cachées

 

CONTRIBUTION EXTERNE Publié le samedi 26 octobre 2013

 

Pourquoi cette obligation ? Pourquoi taire les informations sur les conséquences graves ? Pourquoi cette politique de la peur ? Pourquoi le lobbying et l’argent priment-ils sur la santé de nos concitoyens ?

 

En Belgique, le seul vaccin obligatoire est celui contre la poliomyélite.

 

Etrangement (ou pas), le parent non averti, lors du premier vaccin, est déjà confronté à une violation de son droit à soigner son enfant comme il l’entend puisque ce vaccin obligatoire est combiné avec trois autres qui ne le sont pas : la diphtérie, la coqueluche et le tétanos. Vous me direz qu’il est possible de se fournir un vaccin polio monovalent. Mais quel parent souhaiterait consciemment injecter du formaldéhyde, substance cancérigène de classe 1 classée comme telle par le CIRC en 2004 ?

 

Où est passée la loi du 22 août 2002 sur les droits du patient ? L’article 8 exige le consentement libre et pleinement éclairé pour tout acte médical, aucune exception n’étant explicitement faite dans la loi, en matière de vaccins. Le médecin doit communiquer à temps les informations relatives aux bénéfices, mais aussi aux risques et aux alternatives possibles. Nous sommes libres d’accepter ou de refuser tout acte médical et c’est la loi !

 

Je rassemble quelques informations sur les vaccins combinés à celui de la polio :

 

1/ le tétanos : maladie qui n’est pas contagieuse ! En France, la moyenne d’âge des personnes qui ont contracté la maladie est de 78 ans, avec une mortalité de 30 %. On vaccine donc nos enfants pour une maladie qui touche les personnes âgées. Aucune étude scientifique ne prouve l’efficacité de ce vaccin.

 

2/ la coqueluche : lorsque ce vaccin a été ajouté au DiTePol, les accidents vaccinaux ont commencé à se multiplier, surtout les encéphalites. Ce vaccin a été, à titre d’exemple, interdit en Allemagne en 1973, la fréquence de cette atteinte cérébrale étant jugée trop importante… Depuis que l’Allemagne a renoncé à imposer cette vaccination, aucune catastrophe sanitaire due à la coqueluche n’a été signalée.

 

3/ la diphtérie : cette maladie est absente de nos pays, et, de plus, facilement curable par des antibiotiques. Ce vaccin ne peut empêcher la contagion.

 

Je récapitule : le seul vaccin obligatoire (antipolio) chez nous correspond à une maladie qui n’existe plus chez nous et qui donc ne peut y « prospérer ». Ce vaccin est combiné avec trois autres, tous inutiles et dangereux pour la santé.

 

On pourrait se dire qu’au moins il existe un système d’indemnisation en cas de complication du vaccin obligatoire, mais non, rien en Belgique. Alors qu’en France, un système d’indemnisation est accessible pour les victimes de vaccins obligatoires.

 

C’est quand même étrange que la vaccination obligatoire soit toujours d’actualité alors que rien n’est prévu pour indemniser les victimes. En parlant d’obligation vaccinale, je tiens à ajouter qu’en France, selon la jurisprudence (arrêt Courty), les crèches n’ont juridiquement pas le droit d’exiger d’autres vaccins que ceux rendus obligatoires par le législateur (tétanos, diphtérie, polio) donc les crèches n’ont aucun droit, là-bas, d’exiger des valences comme coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole ou haemophilius influenza de type b (Hib) alors que l’ONE nous impose tout cela.

 

La-libre-lettre-a-Onkelinx.jpg

 

Pour son entrée en crèche, ma fille, qui naîtra en janvier, devra donc recevoir un autre cocktail de vaccins. Alors que ces vaccins protègent moins bien et moins longtemps que si on laisse l’enfant faire ces maladies. De plus, on observe un déplacement de la maladie. C’est-à-dire que ce ne sont plus les enfants qui la font, mais bien les adolescents et les adultes (pourtant vaccinés petits). A cet âge, les complications de la maladie sont plus fréquentes et importantes.

 

On note un lien troublant entre le vaccin contre la rougeole et la multiplication des cas d’autisme.

 

Pour les oreillons, maladie en général très bien supportée par les enfants, les études de Michel Georget notent une inquiétante augmentation de la fréquence des diabètes juvéniles.

 

La rubéole est bénigne, sauf pour les femmes enceintes. Mais de nouveau, empêcher un enfant de faire cette maladie, c’est, comme pour les autres citées ci-dessus, assurer la déficience du système immunitaire. Une étude (JAMA, n°214, 2012) a démontré que 78 % des généralistes et 91 % des obstétriciens et gynécologues refusent de se faire vacciner contre la rubéole…

 

Trop protéger les petits contre tout type d’infections les empêche de créer une immunité solide. Dans chaque étude (une des dernières en date : KIGGS, article dans la revue ALIS, octobre 2011) portant sur la comparaison d’enfants vaccinés et d’enfants non vaccinés, ceux qui résistaient le mieux aux infections et qui étaient le moins malades sont ceux qui n’ont pas de couverture vaccinale, mais qui se sont immunisés naturellement.

 

Je ne vais pas passer tous les vaccins en revue. Cela serait bien trop long. Mais, je souhaite rappeler que dans ces vaccins on trouve des traces de mercure, d’aluminium, d’antibiotiques, de borate de sodium, de squalène, etc. Chacun avec son lot de complications, chacun mis en cause pour des problèmes neurologiques, rénaux, troubles du comportement et j’en passe.

 

Tout n’est qu’une question d’argent, de lobby et non de santé publique.

 

Le droit de chacun (la jurisprudence extrêmement claire de la Cour européenne des droits de l’homme, CEDH, Salvetti, Décision 9.7.2002, en matière d’obligation vaccinale dit notamment ceci : "En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée") est bafoué par toutes ces obligations vaccinales qui, au final, ne laissent aucun choix aux parents raisonnables et informés qui souhaitent ne pas vacciner leur enfant, ou dans une juste mesure. Rien n’est proposé comme alternative à la nocivité des vaccins et tout va jusqu’aux pressions policières.

 

Pourquoi tant de vaccins néfastes ? Pourquoi taire les informations ? Pourquoi cette politique de la peur ? Pourquoi, encore et toujours, l’argent prime-t-il sur la santé de nos concitoyens ? Jamais, au grand jamais l’argent ne devrait primer sur la santé.

 

N’est-il pas nécessaire de revoir la politique de la Belgique quant à la vaccination obligatoire, forcée ? Je demande à Madame la ministre de la Santé puisque je ne vais pas avoir le choix, de recevoir une lettre de sa part, m’assurant que ma fille ne risque aucun effet secondaire et que je vais pouvoir me procurer le seul vaccin contre la poliomyélite sans aucun adjuvant néfaste à son organisme. Je souhaite également, Madame la ministre de la Santé, recevoir une lettre signée de votre main qui reconnaît comme discriminatoire un quelconque refus d’inscription dans une crèche ou une école. Merci.

 

Charlotte Renwa

Mère de famille et enseignante

 

Source : La Libre

 

Lire aussi: A qui profitent les vaccins?

 

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6 octobre 2013 7 06 /10 /octobre /2013 21:18

Le point de vue de deux mamans sur les vaccinations

 

Barbara Loe Fisher réagit à une question posée sur une épidémie de rougeole :

 

barbara-L.JPG

   

Permettez-moi d’abord de réagir en tant que maman dont le fils a eu la santé gravement endommagée par les vaccins.

 

Alors qu’il avait toujours été en excellente santé, je l’ai conduit chez le médecin pour qu’il reçoive sa quatrième injection du vaccin DTC.

 

C’est dans les heures qui ont suivi qu’il a commencé à faire des convulsions ; il est entré en état de choc et est devenu inconscient. Le diagnostic a montré que le cerveau avait été touché (problèmes d’apprentissage et déficit de l’attention).

 

IMAGE-TEST.JPG

                                        avant                                                                                     après

 

 

En ce qui concerne la rougeole, 131 cas sur 300 millions de personnes n’a rien à voir avec une épidémie. Nous avons une couverture vaccinale de 98%. Au cours du dernier quart de siècle, nous avons triplé les doses de vaccins et au cours de la même période nous avons dû constater que de plus en plus d’enfants étaient atteints de maladies chroniques, qu’ils devenaient handicapés : 1 enfant sur 6 aux Etats-Unis a maintenant des problèmes d’apprentissage, 1 enfant sur 9 fait de l’asthme, 1 enfant sur 150 est autiste (aujourd’hui ce serait 1 sur 50 NDT), 1 enfant sur 450 souffre de diabète.

 

La seule et véritable question est celle-ci : pourquoi des enfants qui sont hyper vaccinés sont-ils si malades ?

 

Comme pour tout autre médicament, les vaccins comportent des risques qui, pour certains peuvent être plus importants que pour d’autres. On ne peut absolument pas exclure les vaccins de l’éthique du consentement libre et éclairé. Il s’agit d’un droit humain fondamental qui doit nous permettre de choisir et décider personnellement de la raison pour laquelle on serait prêt à risquer sa vie et sa santé ou la vie et la santé de nos enfants.

 

Julia, une maman qui ne veut pas vacciner ses deux plus jeunes enfants.

 

JULIA-1A.JPG

 

La première chose que je voudrais dire c’est qu’il ne s’agit pas de rejeter tous les vaccins. Je crois au concept d’éradication des maladies. Par contre, des vaccins passe-partout, les mêmes pour tout le monde, ça ne va pas. Il ne faut pas oublier que la vaccination est un acte médical à part entière qui nécessite un examen préalable, toute une série de questions comme par exemple : est-ce que votre enfant présente actuellement un trouble de santé ? Prend-il des antibiotiques ? Y a-t-il des maladies auto-immunes dans la famille ? Votre enfant est-il allergique aux œufs ? etc. Les vaccinations doivent absolument être individualisées.

 

J’ai 3 enfants. Quand l’aîné a été vacciné, il a reçu le même jour une énorme dose de thimérosal et une énorme dose de mercure. Le même jour, il a, d’une certaine façon cessé d’exister à nos yeux et cela a duré 3 ans. Il est en fait devenu autiste. Il ne savait plus parler ni avoir des contacts sociaux ; il ne maîtrisait plus ses selles ; il était très malade. Tout ceci s’est produit dans les heures qui ont suivi la vaccination.

 

C’est un peu comme s’il avait mis sa main dans le feu et il a été brûlé. Ne me demandez pas de faire en sorte que mes deux autres enfants mettent aussi leur main dans le feu. Quelle sorte de mère serai-je ?

 

Personne ne veut faire une étude qui comparerait des groupes de personnes vaccinées à des groupes de personnes non vaccinées. Il faut absolument que cette étude soit faite.

 

L’objectif de l’industrie pharmaceutique, c’est le dollar ; mon objectif, c’est mon enfant. Je ne puis malheureusement plus faire confiance à l’industrie pharmaceutique !

 

Source: Youtube 

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 15:33

Ira-t-on jusqu’à administrer le vaccin anti-HPV

 aux nourrissons ?

 

Si on veut fourguer les vaccins les plus dangereux qui sont utilisés aujourd’hui sur les adolescentes et pré-adolescentes, ainsi qu’aux garçons du même âge sans qu’il y ait aucune preuve scientifique de leur efficacité, pourquoi hésiterait-on à les administrer à des nouveau-nés – avec un rappel dans la suite bien entendu ? Il semble bien que ce nouveau programme marketing entre dans les vues du complexe industriel pour le Gardasil et le Cervarix.

 

Fear-Bringer-by-Cap-CatRagu.jpg

 « Messager de la peur » par Cap CatRagu, seringues ajoutées

 

Par Heidi Stevenson, 1er août 2013.

 

Les bases de données du VAERS (Organisme officiel Américain auquel sont rapportés les effets secondaires des vaccins) montrent clairement que les effets indésirables les plus rapportés sont attribuables aux Gardasil et au Cervarix, les deux vaccins contre le papillomavirus humain (HPV). Ce serait évidemment une folie que d’abaisser l’âge auquel ces vaccins sont administrés – il semble cependant que ce soit là exactement ce qui aurait été prévu.

 

Comme Gaia Health l’a expliqué, il n’a pas encore été démontré que ces vaccins étaient efficaces dans la prévention du cancer ; ils pourraient même causer la maladie. En fait, dans le document que la FDA a publié pour justifier l’utilisation du Gardasil, il est précisé que les femmes qui ont déjà été infectées par le HPV au moment de la vaccination, ont 44,6% de risques supplémentaires de développer des dysplasies cervicales. [1] Bien qu’il ne s’agisse nullement d’un problème mineur,  cette question est systématiquement ignorée dans la course au vaccin.

 

Alors, pourquoi devrions-nous être surpris que l’on y « mette la gomme » pour rabaisser l’âge de la vaccination ?

 

La justification

 

Une étude publiée dans la revue « Vaccine » a été mise sur pied pour justifier l’injection du vaccin contre le HPV à de tout petits bébés. [2] Les auteurs de l’étude écrivent :

 

« A l’échelle mondiale, la vaccination des nouveau-nés et des nourrissons est bien établie. L’infrastructure qui a été développée s’est avérée être un succès. Les programmes de la vaccination contre le virus de l’hépatite B (VHB) offrent un modèle pour l’introduction du HPV. Cette vaccination des nouveau-nés et des nourrissons pourra permettre une rapide réduction de la prévalence  des taux de VHB dans les cohortes d’enfants vaccinés, comme des cas de cirrhose et de cancer du foie au cours des décennies ultérieures. » [Souligné par l’auteur de l’article]

 

Ils considèrent que le fait d’administrer le vaccin contre l’hépatite B aux nourrissons le jour de la naissance, constitue un modèle pour justifier l’administration du vaccin HPV à un plus jeune âge. Plutôt que de vacciner les filles peu de temps avant la puberté, on suggère aujourd’hui de vacciner les nouveau-nés.

 

Nulle part, dans le document, la possibilité d’effets secondaires n’est envisagée !

Le Gardasil a été récemment associé au développement de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) [3], la maladie dont est atteint Stephen Hawking. Le Japon a cessé de recommander les vaccins contre le HPV en raison d’effets indésirables graves. [4]

 

Current-Phramaceutical-Design.jpg

 

Le nombre d’effets indésirables du Cervarix rapportés au Royaume Uni est représenté dans ce graphique à partir d’une étude publiée dans le Current Pharmaceutical Design.[5]

 

Les préjudices occasionnés par ce vaccin éclipsent, en proportion, tous les autres effets secondaires des autres vaccins.

 

Pourtant, les auteurs de l’étude : « Recadrer la prévention du cancer du col de l’utérus: élargir le champ de la prévention des infections à papillomavirus humains et les maladies apparentées. » [2] veulent  repousser l’âge de la vaccination des enfants à celui des nourrissons. Par ailleurs, ils pensent aussi qu’il n’y aurait aucun problème à donner une dose de rappel quand les filles auront atteint l’âge auquel on les vaccine actuellement, comme si le vaccin ne pouvait provoquer aucun dommage !

 

Il n’y a aucune prise en compte d’effets indésirables ; aucune prise en compte non plus de la charge vaccinale accrue sur les bébés, non seulement avec un autre vaccin, mais avec celui qui est connu pour produire certains des effets indésirables les plus graves et les plus fréquents par rapport à ceux qui sont associés à n’importe quel autre vaccin.

 

Conflits d’intérêts

 

Ce projet a été financé par d’importantes agences gouvernementales, y compris la Commission européenne, l’Instituto de Salud CarlosII du gouvernement espagnol et l’Agencia de Gestio d’Ajuts Universitaris i de Recerca- Generalitat de Catalunya du gouvernement Catalan. Les auteurs et leurs employeurs sont les suivants :

 

F.Xavier Bosch : Programme de Recherche en Epidémiologie du Cancer (CERP) Institut Catala d’Oncologia – Catalan Institute of Oncology, L’Hospitalet de Llobregat (Barcelona), Espagne

 

Vivien Tsu : Directeur des projets de PATH sur le vaccin HPV, Seattle, WA, USA – partenaire de la Fondation Bill & Melinda Gates

 

Alex Vorsters et Pierre Van Damme : Centre for the Evaluation of Vaccination, Vaccine & infectious Disease Institute, University of Antwerp, Belgium.

 

Mark A. Kane: Consultant sur la Politique d’Immunisation, Mercer Island, WA, USA

 

Les employeurs de ces auteurs  sont évidemment et profondément liés à l’industrie du vaccin. Cependant, leurs liens personnels avec le complexe industriel du vaccin sont étonnants :

 

Bosch a réalisé des essais de vaccins contre le HPV, ainsi que des études épidémiologiques pour GlaxoSmithKline, Merck et Sanofi Pasteur MSD. Il a fait des essais de dépistage du HPV soutenus par Qiagen et reçoit des subventions (pour déplacements), ainsi que des honoraires de GlaxoSmithKline, Merck, Sanofi Pasteur MSD, roche et Qiagen.

 

Tsu n’a déclaré aucun conflit d’intérêt. Cependant, c’était elle qui était en charge d’un essai de vaccin en Inde contre le HPV et financé par la Fondation Gates. Cet essai a fait l’objet d’une attaque du gouvernement indien pour violation de l’éthique. Les sujets ont été choisis parmi des populations tribales, incultes et vulnérables. Le consentement de ces personnes n’a pas été obtenu correctement et les effets secondaires indésirables n’ont pas été correctement enregistrés. Tsu excuse les manquements à l’éthique parce qu’il s’agissait du genre de questions que l’étude avait à démêler. [6] Cela mis à part, on peut se demander comment elle peut suggérer qu’elle n’a pas de conflits d’intérêts alors que son salaire dépend de la promotion du vaccin qui fait l’objet de cette étude.

 

Van Damme est l’enquêteur en chef et directeur des essais de vaccins menés pour le compte de l’université d’Anvers qui reçoit des subventions de fabricants de vaccins. Il reçoit également des honoraires pour les conférences données sur les vaccins. Il est secrétaire du « Viral Hepatitis Prevention Board » (sponsorisé par divers fabricants de vaccins)

 

Vorsters est membre du secrétariat exécutif du Conseil sur la prévention de l’hépatite virale qui est soutenu par des subventions de GlaxoSmithKline Biologicals, Sanofi Pasteur MSD, et Merck.

 

Kane est membre du Conseil consultatif de Merck pour le vaccin contre le HPV et reçoit des honoraires de consultation, des honoraires et frais de déplacement de Merck.

 

Pourquoi devrions-nous faire confiance à une étude imprégnée de l’argent des sociétés de Big Pharma qui tireraient profit du déplacement de l’âge de la vaccination (âge des nourrissons) tout en ajoutant un rappel à l’âge auquel le vaccin est actuellement administré ?

 

L’absence totale de considération pour les dommages produits par les vaccins contre le HPV est choquant…

 

Vente de vaccins pour les nourrissons

 

L’article révèle subtilement que le vaccin contre le HPV n’a pas initialement été conçu pour être utilisé uniquement pour le cancer du col utérin de la femme, mais qu’en fait, il aurait été prévu pour toute une variété de cancers. Donc, apparemment, les filles ont été utilisées comme cobayes, à la fois pour réaliser la meilleure manière de vendre le vaccin et enregistrer les effets indésirables… ou, plus vraisemblablement, comme cette étude semble le montrer, pour voir jusqu’à quel point on pourra fourguer un vaccin comportant d’horribles et nombreux effets secondaires. Il semble certain que toutes les filles qui ont reçu le vaccin HPV ont et traitées d’une manière parmi les plus cavalières quand on apprend que le Gardasil a été testé sur des testicules de rats et non sur des ovaires !

 

Maintenant qu’il est devenu évident que le vaccin contre le HPV est exceptionnellement dangereux, il semble que tout l’effort se porte sur la manière dont on pourrait cacher ces risques.

 

S’il n’y avait pas eu le moindre problème, alors pourquoi ces auteurs ne se sont-ils pas donné la peine d’inclure les effets indésirables dans leurs calculs. ?

 

Le souci de ces auteurs ne semble rien à voir à faire avec des pertes de vies humaines ou des vies dévastées par la maladie. Ce qui semble surtout les intéresser, c’est  ce lamentable commerce du vaccin contre le HPV.

 

Ils pensent que le processus via lequel ils ont fourgué ce vaccin au peuple aurait été plus efficace si, au lieu de parler de « prévention du cancer », ils avaient simplement dit que les vaccins étaient destinés à prévenir « les maladies liées au HPV ».

 

Ainsi, on peut s’attendre à ce qu’apparaisse un changement subtil dans la façon dont les responsables se réfèrent au vaccin contre le HPV. Au lieu d’évoquer le cancer et en particulier le cancer du col de l’utérus, il est très probable  que l’on commence à entendre parler de « maladies liées au HPV avec l’accent mis sur le pluriel. Ils s’apprêtent donc à vendre la vaccination pour les nourrissons au nom de la prévention contre de multiples cancers. Les parents qui refuseront le vaccin HPV seront accusés de vouer leurs enfants à tout un éventail de cancers. A quelle technique de marketing avons-nous affaire ici ?

 

Références

 

1.Gardasil™ HPV Quadrivalent VaccineMay 18, 2006 VRBPAC Meeting, Table 17 on page 13

2. Reframing Cervical Cancer Prevention. Expanding the Field Towards Prevention of Human Papillomavirus Infections and Related Diseases; Vaccine; F. Xavier Bosch, Vivien Tsu, Alex Vorsters, Pierre Van Damme, Mark A. Kane;  doi.org/10.1016/j.vaccine.2012.05.090

3. CDC Takes Closer Look at Gardasil and Paralysis; U.S. News & World Report

4. Japan Withdraws HPV Vaccine Recommendation for Girls; Medscape

5. Human Papillomavirus (HPV) Vaccines as an Option for Preventing Cervical 6.Malignancies: (How) Effective and Safe?; Current Pharmaceutical Design; Tomljenovic L, Spinosa JP, Shaw CA.

7.Vaccine trial’s ethics criticized; Nature



Source: Gaia Health

 

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 14:31

Vaccins contre le rotavirus : diarrhée de la duperie

 

Le vaccin contre le rotavirus est un exemple classique de ce qui ne va pas dans l’industrie du vaccin. Il ne fonctionne que pour un nombre limité de types  de rotavirus. Il provoque des effets indésirables graves, y compris des décès. Il a été approuvé par des organismes et des fonctionnaires corrompus et qui ont des liens financiers avec les fabricants – avec comme résultats beaucoup plus de cas d’une maladie de plus en plus grave.

 

Jeans---seringues.jpg                                    Photo of man in jeans (original knives replaced by hypodermics) by David Goehring

 

Par Jagannath Chatterjee, 1er juillet 2013

 

La duperie commence quand les médecins prescrivent le vaccin anti-rotavirus à titre préventif contre la maladie. Les parents ne sont pas informés que la diarrhée peut être causée par une multitude de facteurs, y compris par des infections bactériennes et virales. Les infections bactériennes causées par des eaux insalubres sont les plus graves. Les infections virales qui provoquent la diarrhée ne posent aucun danger si l’enfant est traité avec une solution de réhydratation orale ou est allaité au sein (ce qui peut prévenir la déshydratation).

 

Il existe de nombreuses souches de rotavirus et la plupart sont encore à identifier. Outre les souches de rotavirus, la diarrhée peut aussi être causée par des astrovirus, calcivirus, d’autres agents pathogènes et des toxines. Le vaccin contre le rotavirus, administré par voie orale, ne contient que quatre des nombreuses souches de rotavirus et ne peut protéger que contre ces souches, laissant l’enfant sans protection contre d’autres facteurs importants.

 

rotavirus vaccinLe premier vaccin contre le rotavirus a été homologué aux Etats-Unis en 1998 et a été recommandé en mars 1999. Les parents ne savaient pas que ce vaccin avait été recommandé alors que l’on ne tenait pas compte des effets secondaires graves enregistrés au cours des essais cliniques. En conséquence, de nombreux enfants ont souffert d’invagination (intussusception) d’une partie de l’intestin, maladie très grave et très douloureuse qui peut souvent s’avérer mortelle. Des décès ont été attribués à des raisons inexpliquées. En conséquence, le vaccin a été retiré en octobre 1999.

 

Lorsque le Congrès Américain s’est penché sur l’affaire, de graves problèmes de procédure et de négligence ont été mis en lumière entraînant une nouvelle audience le 15 juin 2000. Cette audience a permis la révélation que tant la FDA (Food & Drug Administration) et le CDC (Centres Officiels Américains de Contrôle des Maladies) étaient au courant des effets indésirables graves du vaccin. Des conflits d’intérêts ont également été mis en lumière : deux membres du comité consultatif avaient profité de la décision qui avait été prise. Le Dr Kathryn Edwards avait reçu des fonds de recherche d’une valeur de 255.000 dollars par an du producteur du vaccin.

 

De son côté le Dr Paul Offit, titulaire d’un brevet sur un autre vaccin contre le rotavirus et qui avait parcouru tout le pays pour confirmer l’innocuité du vaccin, avait été financé par les fabricants de vaccins. Par ailleurs, 60% des membres des comités consultatifs de la FDA et 50% des membres du CDC avaient des liens financiers avec les producteurs du vaccin. De toute évidence, la cupidité des deux fonctionnaires et l’industrie pharmaceutique ont agi au mépris de toutes les règles et ont fait passer la santé des enfants en second lieu.

 

En fonction de ces éléments, on aurait pu s’attendre à des mesures sérieuses, mais rien ne s’est produit. Ces agences égarées qui auraient dû maintenir des normes très élevées d’honnêteté et d’intégrité, ont préféré justifier leur position en prétendant que rien n’interdisait que les officiels aient des liens avec une industrie qui recommandait les vaccins. En 2006, deux nouvelles versions du vaccin à virus vivants et administrés par voie orale ont été mises sur le marché et ont été recommandées par ces mêmes médecins et fonctionnaires corrompus.

 

Un coup d’œil aux essais cliniques révèle des faits alarmants :

 

*  Le vaccin n’a pas été comparé à un placebo inerte, mais au même vaccin comprenant tous les ingrédients, moins le virus, pour pouvoir permettre de le déclarer plus sûr qu’il n’était.

 

*  Les virus utilisés provenaient d’un assortiment de virus humains et bovins développés avec des cellules de singes verts d’Afrique, le même type de singes qui a entraîné la contamination du vaccin polio oral (avec des virus simiens).

 

* Les cellules ont été maintenues en vie dans un milieu fait de sérum de veau, ce qui ouvre la porte à d’autres virus inconnus.

 

* Parmi les ingrédients chimiques du vaccin, on trouve le polysorbate 80, un produit toxique qui agit sur la reproduction.

 

*  Les essais cliniques ont enregistré une incidence plus faible d’occlusion intestinale, ce qui signifie que même le nouveau vaccin n’est pas exempt de ce risque.

Les enfants vaccinés ont trois fois plus de risques de souffrir d’une hémorragie intestinale, même après avoir exclu de nombreux cas qui ont été refusés par l’équipe de supervision.

 

Les essais ont révélé :

 

  • Gangrène et nécrose de l’intestin
  • Vomissement sévères entraînant une hospitalisation
  • Crises (convulsions) provoquées par des décharges électriques anormales dans le cerveau. Certains cas sont devenus chroniques.
  • Eczéma
  • Diarrhée (maladie que le vaccin est sensé empêcher)
  • Infections fréquentes de l’oreille
  • Difficultés respiratoires
  • Asthme
  • Rhinopharyngite

 

Récemment, les médias ont noté que l’utilisation de ce vaccin aux Etats-Unis a provoqué une augmentation alarmante des infections beaucoup plus meurtrières à norovirus. 21 millions de cas ont été enregistrés. Par année, on compte environ 800 décès – par rapport aux 20 à 40 décès annuels qui se produisent avec les infections à rotavirus. On a également relevé une augmentation spectaculaire des problèmes inflammatoires de l’intestin.

 

Au lieu de réexaminer sérieusement la situation et de retirer le vaccin contre le rotavirus qui a provoqué le passage à un virus plus meurtrier, on a développé un vaccin contre le norovirus qui est pratiquement prêt à la commercialisation !

 

Alarmés par les effets indésirables du vaccin en Inde, et prenant en compte le fait que les diarrhées à rotavirus sont facilement traitées sans complications (sans oublier le fait que pour l’Inde les taux sont maintenus à des niveaux élevés dans le but de faire peur au public), les médecins soucieux de l’éthique ont souligné que le coût élevé du vaccin le rend prohibitif et non rentable. Une étude a pu montrer qu’en Inde, les problèmes de diarrhée et les décès étaient directement liés à la pauvreté, au manque d’eau potable, d’assainissement et que dans la plupart des cas, ce sont d’autres agents pathogènes que le rotavirus qui provoquent les diarrhées.

 

Les médecins qui ont essayé de signaler les cas d’effets secondaires en ont été empêchés par l’Académie Indienne de Pédiatrie (IAP) – une agence qui dépend entièrement des fonds fournis par les fabricants de vaccins. Pour elle, le profil de sécurité du vaccin ne peut être terni !

 

Afin de contrer l’argument de rentabilité, les scientifiques indiens ont entrepris une grande campagne de publicité pour un vaccin contre le rotavirus à un prix moins élevé.

 

Même si la publicité soutenue par le Département Indien de Biotechnologies a été reprise par la presse nationale et internationale, il est apparu que les résultats des essais cliniques n’ont pas encore été rendus publics. On a également appris que le vaccin ne comprenait qu’une seule souche de rotavirus et qu’il avait été testé sur 4.532 nourrissons, alors que pour pouvoir déterminer clairement les effets indésirables, il devrait être testé sur plus de 50.000 nourrissons. Il existe par ailleurs un aspect de ce problème particulièrement controversé : on exige que pour le vaccin indien, les mères cessent d’allaiter leur enfant au cours de sa période d’administration et pour un certain temps dans la suite.

 

Faire de la publicité par rapport à des résultats cliniques avant que ceux-ci ne soient publiés est en violation avec les lois de l’éthique médicale. Comment, dans ces conditions, un journal dont les articles sont revus par des pairs, pourrait-il publier quoi que ce soit ?

 

L’implication d’agences controversées comme PATH et la Fondation Bill et Melinda Gates dans l’histoire de ce vaccin a aussi contribué à agacer des militants pour la santé, en raison de leur récente complicité active avec les agences gouvernementales indiennes pour tester illégalement le vaccin controversé et peu sûr contre le cancer du col de l’utérus sur des filles de l’Andhra Pradesh et de Gujarat, sans le consentement des parents. Ces vaccins ont entraîné plusieurs décès et nombre d’effets secondaires.

 

Il reste à voir si la tentative soutenue par l’industrie d’administrer un produit commercial douteux et dangereux pour la prévention de la diarrhée va l’emporter sur les besoins de santé publique les plus élémentaires comme l’éradication de la pauvreté, la fourniture d’eau potable, l’assainissement, et les problèmes d’alimentation pour les mères et les enfants. Maintenant, la balle est dans le camp du gouvernement indien qui a malheureusement fait l’objet de graves critiques pour avoir autorisé l’administration du vaccin polio oral qui a provoqué des cas de paralysies, passant de 3.000 cas à 60.000 par an, et qui, en outre, voudrait se targuer d’être un pays où la polio a été éradiquée !.

 

Source : Gaia Health

 

Méthode

VACCINS (ROTARIX & ROTATEQ)

SOLUTES DE REHYDRATATION ORALE (SRO)

PRIX

Rotarix : 131 euros

Rotateq :150 euros

6,2 euros la boîte de 10 sachets

EFFICACITE

50 à 64%

90%

SECURITE

Divers risques, dont celui d’invagination intestinale (risque multiplié par 6,7 dans la première semaine qui suit la vaccination)

Aucun risque

Tableau comparatif des diverses solutions possibles, selon les données publiées dans le livre de Virginie Belle, « Faut-il faire vacciner son enfant ? », aux Editions Max Milo. 

  

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19 mai 2013 7 19 /05 /mai /2013 20:34

 

Le vaccin DTP obligatoire, sans aluminium et 4 fois moins cher, n'est "comme par hasard" plus disponible en France depuis 2008 et n'a jamais été remis sur le marché... a-t-on jamais vu cette situation pour un quelconque autre vaccin? Non bien sûr, mais c'est pour favoriser les profits des fabricants et forcer la main aux parents!
 
Le Comité Technique des Vaccinations (CTV) joue un très sale jeu car il est assez évident qu'il pousse à l'administration aveugle d'un maximum de vaccins. Et d'ailleurs, l'objectif de ce comité, dont 3/4 des 17 membres ont des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins, est justement, sans surprise... de "donner un nouvel élan à la vaccination en France".
 
 
Le même genre de stratégie est appliquée en Belgique, cfr ICI
 
 
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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 22:40

Vaccination des nourrissons : “A qui profite le crime ?”

 

Par Steven Belfils

 

Publié le 10/05/2013 

 

ENTRETIEN – Tous les primo-vaccins destinés aux nourrissons contiennent désormais un cocktail pour prévenir 5 voire 6 maladies, alors que seulement 3 protections sont obligatoires. L'eurodéputée écologiste Michèle Rivasi décrit une démarche “de vente forcée et de désinformation”.

 

lyon-capitale--1-.png

 

Lyon Capitale : Quelles sont les options de vaccination pour les nourrissons aujourd'hui en France ?

 

Michèle Rivasi : Aujourd'hui, les parents qui souhaitent faire sur leur enfant uniquement les trois vaccins obligatoires en France, à savoir diphtérie, tétanos et poliomyélite, ne le peuvent plus. Le DTP “classique” pour les nourrissons est devenu introuvable en pharmacie, car plus commercialisé. Pour la primo-vaccination des nourrissons, les parents ne peuvent plus faire autrement que de recourir à un vaccin “hexavalent”, c'est-à-dire qui contient le DTP, mais également trois vaccins qui ne sont pas obligatoires, contre la coqueluche, les infections à haemophilus influenzae et l'hépatite B. On retrouve également des formulations sans la protection hépatite B. Cette démarche de vente forcée et de désinformation est pour le moins scandaleuse.

 

Pourquoi parler de désinformation ?

 

Les parents perdent la liberté de choisir la vaccination qu'ils offrent à leur enfant. Parfois, même, ils ignorent que le produit contient un vaccin contre l'hépatite B. Je n'ai rien contre la vaccination, mais il est anormal, sous le couvert de réaliser les trois vaccinations obligatoires, de rendre trois autres produits obligatoires “de fait”, puisque contenus dans la même dose.

 

Y a-t-il un risque, selon vous ?

 

lyon-capitale--2-.JPG

Maxppp

 

Tous les vaccins contiennent de l'aluminium en tant qu'adjuvant. En multipliant le nombre de maladies desquelles on souhaite protéger le nourrisson, on augmente la quantité d'aluminium dans la dose injectée. Or, à deux mois, la barrière hémato-encéphalique reste perméable et le système immunitaire demeure fragile. Des études ont montré qu'à cet âge-là l'aluminium peut passer au niveau du cerveau. On oublie trop souvent qu'un vaccin repose toujours sur une balance bénéfice/risque. Ce n'est pas quelque chose de banal. Alors, si vacciner contre l'hépatite B peut paraître pertinent pour une personne qui travaille dans le secteur médical, par exemple, cela l'est beaucoup moins pour un nourrisson.

 

Est-ce un cas unique en Europe ?

 

Dans le domaine de la vaccination, le pays est souverain. Si, dans certains pays, il y a un nombre de vaccins obligatoire qui peut être différent, effectivement, il n'y a à ma connaissance qu'en France qu'on adjoint un nombre aussi important de vaccins annexes à ceux exigés par la loi.

 

Comment expliquer alors ce vaccin pentavalent ?

 

Aucune étude scientifique ne le justifie. On peut parler d'une tromperie. Quand on sait que le professeur Daniel Floret, président du Comité technique des vaccinations, est bourré de conflits d’intérêts avec les fabricants de vaccins, on est en droit de se poser des questions. A qui profite le crime ? Aux laboratoires pharmaceutiques évidemment. L'ancien DTP valait 10 euros. Aujourd'hui, la nouvelle formulation est facturée 40 euros ; il doit bien y avoir quelque part une entente entre les politiques et les laboratoires pharmaceutiques. Ces derniers représentent une force colossale. A croire que ce sont eux qui font la politique aujourd'hui. On se fait manipuler d'une manière incroyable.

 

Source : Lyon Capitale

 

Voir aussi les actions et les inerties de différents parlementaires :

 

- en France

  

- en Belgique

  

- aux USA (au niveau fédéral, et au niveau des états)

 

Sanctionner électoralement les inerties irresponsables des uns et encourager les autres...

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25 avril 2013 4 25 /04 /avril /2013 13:55

Un nombre croissant de parents s'interrogent sur le bienfondé de ces vaccinations recommandées de façon standard et uniforme à tous les enfants, à âges fixes. Et ils ont raison, car cette façon de procéder ne tient hélas aucun compte des particularités biologiques de leurs enfants, les forçant ainsi à s'adapter aux vaccins plutôt que l'inverse!

 

Parmi les parents qui s'interrogent, certains finiront certes par accepter tout le schéma vaccinal habituel, mais nombreux sont les parents qui opteront in fine pour un schéma vaccinal alternatif qui comportera:

 

- un moins grand nombre de vaccins différents et/ou;

- le fait de vacciner plus tard et/ou

- l'administration d'un nombre réduit de doses et/ou

- avec des intervalles de temps plus longs entre les doses

 

En Belgique, comme en France et dans beaucoup d'autres pays, les officiels préconisent et font pression pour que la vaccination commence dès l'âge de 2 mois (8 semaines), prétendant qu'il est absolument vital de protéger dès que possible les fragiles nourrissons.

 

En réalité, plus on vaccine tôt, et plus on accroît les risques de mort subite, mais aussi d'asthme et d'allergies consécutifs aux vaccinations!

 

Le schéma officiel belge implique la répétition des doses de vaccin hexavalent (ou à défaut tétravalent) à l'âge de 2,3, 4 mois puis encore une quatrième fois à l'âge de 15 mois. Dans plusieurs pays nordiques, ce schéma comporte une dose en moins en bas âge. La France vient de supprimer la dose effectuée à 3 mois. Ce qui est certain, c'est que plus le nombre de doses est élevé et la répétition fréquente, plus grand est le risque d'effets secondaires, y compris les effets secondaires graves. Ce n'est ainsi pas pour rien si le pic des cas de mort subite du nourrisson se situe entre 2 et 4 mois, moment où l'enfant reçoit le plus de rappels vaccinaux agressifs et rapprochés! La suppression de cette 3° dose dans le calendrier vaccinal français répond donc peut-être à la nécessité stratégique de réduire un certain nombre d'effets secondaires dans un climat où les vaccins inspirent à juste titre de plus en plus la méfiance.

 

En Belgique, pays abritant le siège mondial des vaccins de GSK, tout continue comme si de rien n'était selon le schéma suivant:

 

calendrier-vaccinal-belge.jpg

 

Ce que beaucoup de parents ne savent pas (encore), c'est qu'en vaccinant plus tard, on peut aussi réduire le nombre de doses et de rappel. Voilà donc pourquoi les autorités, qui considèrent les fabricants de vaccins comme "leurs partenaires naturels" et comme une source d'emplois à préserver, insistent tellement pour vacciner le plus tôt possible: pour écouler donc aussi le plus grand nombre de doses de vaccins. Pour les fabricants, c'est X centaines de millions d'euros en plus si ces schémas à 4 doses sont privilégiés dans de nombreux pays en lieu et place des schémas à 3 doses!

 

Dans les notices professionnelles toutefois, qui ne sont, comme par hasard, PAS disponibles et accessibles aux parents sur internet, on peut clairement lire et voir selon les différents vaccins, qu'en commençant plus tard, on peut réduire le nombre de doses et allonger le temps entre les différents rappels. Tout cela contribue, sans les annuler, à réduire les risques et les apports de produits chimiques toxiques contenus dans les vaccins.

 

Si on prend par exemple le cas du vaccin contre l'haemophilius influenzae (aussi contenu dans le vaccin pentavalent et hexavalent), la notice professionnelle indique très exactement ceci:

 

act-hib-age-vaccins.JPG

 

 

Préconiser la vaccination dès l'âge de 2 mois, cela fait donc 4 doses à vendre pour Big Pharma par enfant alors qu'après 1 an, cela ne fait plus qu'une dose: 4 fois moins à gagner par enfant!

 

Pour un vaccin comme celui contre le tétanos, la diphtérie, la polio et la coqueluche (vaccin tétravalent), vacciner au-delà de 4 mois permet de n'administrer que 2 doses (au lieu de 3) pour le schéma de primovaccination, avec un espacement plus grand entre les doses:

 

coqueluche nombre de doses-copie-1

                       (Notice professionnelle du vaccin Tetravac)

 

 

Prenez toutefois bien conscience que chaque dose de vaccin et chaque rappel peut constituer pour tel ou tel enfant (peut-être le vôtre?) "la dose de trop" sans laquelle tel ou tel effet secondaire fâcheux aurait pu ne jamais apparaître cliniquement....

 

La vaccination consituant une roulette russe à chaque dose, il est bien compréhensible qu'un nombre croissant de parents souhaitent réduire la fréquence à laquelle chacun de ces tours de roulette russe s'effectuent, et ce d'autant plus que les sacrosaintes vérités du calendrier vaccinal d'hier ne sont plus forcément celles d'aujourd'hui, comme le montrent les récents changements dans le calendrier vaccinal français. Ainsi, certaines doses qui étaient considérées comme incontournables et pourtant génératrices elles aussi d'effets secondaires chez X milliers d'enfants chaque année, ont fini par disparaître. Et tant pis finalement pour les enfants des parents qui avaient cru naïvement qu'il fallait vraiment suivre l'avis des "experts" à la lettre.

 

Voir aussi: Vacciner plus tard permet d'administrer moins de doses

 

 

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22 avril 2013 1 22 /04 /avril /2013 09:31
Les conseilleurs ne sont une fois encore PAS les payeurs. Sauf qu'un vaccin peut littéralement ruiner votre vie et celle de ceux que vous aimez et... cela n'arrive hélas pas qu'aux autres!!
 
Une vidéo qui montre que des parents bien informés, et qui ne se laissent pas intimider, constituent le meilleur garde-fou pour la santé de leurs enfants:
 

 

Et voici comment l'Agence française des Médicaments représentait elle-même la "sous-notification inévitable" des effets secondaires de vaccins, dans un document de 2007:

 

AFSSAPS sous notification



Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont rapportés et comptabilisés (Revue du Praticien, novembre 2011). Il n'y a pas de consensus au sein du monde médical sur le délai de survenue ni sur les symptômes à réunir pour pouvoir considérer qu'il s'agit bien d'un effet secondaire de tel ou tel vaccin. Un tel flou profite bien sûr à l'industrie, mais pas à vos enfants. En outre, il n'y a aucune étude sur le long terme et très long terme. Comment savoir donc si votre enfant ne va pas échanger une rougeole (majoritairement curable et bénigne) contre une sclérose en plaques, une épilepsie ou un autisme (dont la majorité des cas seront chroniques à vie selon les propres constats du corps médical)???

 

Il y a deux choses qui ne sont pas de mise en matière de vaccins et qui devraient pourtant l'être car cela constitue pourtant le b.a-ba de la démocratie:

 

1. LA SCIENCE (qu'on nous prouve que les évaluations des vaccins sont véritables scientifiques, que cela est "de la Bonne Science")

 

2. LE CHOIX (que les parents, sur base de preuves scientifiques solides, puissent se prononcer et choisir ce qui leur semble le mieux pour la santé de leur enfant; si c'est réellement scientifique, l'immense majorité des parents accepteront sans nul doute de faire vacciner leur enfant l'esprit tranquille.)

 

Hélas, dans nos sociétés qui n'ont de "démocratique" que le nom, non seulement les vaccins ne sont pas évalués de façon scientifique, mais en plus, on les impose sur base de la peur, de l'intimidation et de la culpabilisationNos enfants ne méritent-ils pas mieux?? 

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20 avril 2013 6 20 /04 /avril /2013 18:45

Un livre à mettre entre toutes les mains et qui existe désormais en français grâce à l'excellente traduction du Dr Françoise Berthoud, auteur du livre "La santé des enfants non vaccinés", aux éditions Jouvence.

 

Vivre-sans-vaccins--traduction-adaptation--1-.png

 Vivre-sans-vaccins--traduction-adaptation--2-.png

 

Le but de ce livre n’est pas de donner un avis médical ni de remplacer le traitement par un médecin. La décision de vacciner ou non vos enfants ne peut venir que de vous. Nous espérons que les informations données dans cet ouvrage vous aideront à prendre une décision en connaissance de cause. 

 

Si vous voulez acheter ce livre, vous le trouverez notamment ICI (Amazon.fr)

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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 21:15

Moins de Vaccins = Moins de Visites chez le Médecin =

Moins de Recours aux Urgences – ETUDE

 

Marty-Hergert.jpg photo: Marty Hergert

 

Les chercheurs en pseudo science vaccinale ont beau essayer et essayer encore, leurs résultats finissent par démontrer que les enfants vaccinés sont en moins bonne santé que les enfants non vaccinés. Alors, ils essaient d’arranger et de présenter favorablement les résultats de leur recherche. Les enfants vaccinés seraient plus malades que les enfants non vaccinés ? Et bien ce n’est qu’un type de santé différent !

 

Personnellement, j’ai décidé de rejoindre le groupe des non vaccinés – là où les maladies chroniques sont quasi absentes, où les recours aux urgences sont moins nombreux. Ce qui, en bref, veut dire : une meilleure santé.

 

Par l’éditeur de Health Impact News, 14 mars 2013.

 

AMA Pediatrics  vient de publier une nouvelle étude concernant les taux de vaccination. Les résultats de cette étude font la manchette de principaux médias, mais aucun d’entre eux ne publient des titres ayant, de près ou de loin, rapport avec celui que nous publions pour cet article. Pourtant le titre que nous donnons à cet article se rapproche le plus des faits que cette étude révèle.

 

Le titre de cette étude : « Etude d’une population sous-vaccinée dans 8 Centres de soins à travers les Etats-Unis. »

 

Au lieu de me baser sur les articles de presse concernant cette étude et qui déploraient le fait que les enfants qui ne suivent pas le calendrier vaccinal représentent une menace pour la race humaine, j’ai décidé de payer 30 dollars pour pouvoir télécharger l’étude et me faire une opinion personnelle.

 

Tout d’abord, penchons-nous sur l’objectif de l’étude qui est précisé dans l’abstract (Résumé) : examiner les tendances et l’évolution de la sous vaccination chez les enfants de 2 à 24 mois et comparer le recours aux soins de santé chez les enfants sous-vaccinés par rapport aux enfants ayant suivi le programme de vaccination pour chaque niveau d’âge.

 

Alors, pourquoi étudier les schémas et les tendances  à la sous-vaccination chez les enfants ? L’introduction de l’étude nous en donne une petite idée :

 

La vaccination est l’une des réalisations les plus importantes de santé publique de ces 100 dernières années. Cependant un nombre croissant de parents ont exprimé leurs préoccupations au sujet des vaccinations. Une enquête a montré que plus de 10% des parents veulent postposer ou refusent tout simplement la vaccination pour leurs enfants. Ces parents inquiets demandent des solutions alternatives au calendrier vaccinal comme l’espacement des vaccinations ou la réduction de leur nombre au cours de chaque visite médicale. Malgré leurs inquiétudes, la sécurité des schémas alternatifs de vaccinations n’est pas connue.

 

Hmm… Cette étude comporterait-elle des biais ? Le fait de dire que «  La vaccination est l’une des réalisations les plus importantes de santé publique de ces 100 dernières années » représente-t-il une déclaration scientifique qui peut être prouvée par des chiffres et des faits ? Se pourrait-il que cette étude ait été réalisée parce que les institutions médicales représentées par les auteurs de cette dernière n’ont pas apprécié le fait que des parents ne soumettent pas régulièrement leurs enfants aux vaccinations proposées par le calendrier vaccinal gouvernemental ?

 

Les auteurs de l’étude ont inclus cet avertissement qui peut nous donner un indice supplémentaire :

 

Avertissement : Bien que le CDC (Centres Officiels Américains de Contrôle des Maladies) ait joué un rôle dans la conception, la réalisation de l’étude, la collecte, la gestion, l’analyse et l’interprétation des données, ainsi que dans la préparation, l’examen et l’approbation du manuscrit, les résultats et les conclusions de ce rapport sont celles des auteurs et ne reflètent pas nécessairement la position officielle du CDC.

 

Liaisons, affiliations des auteurs : Institute for Health Research, Kaiser Permanente Colorado, Denver (Drs Glanz, Narwaney, Hambidge, Daley, McClure, and Xu and Mss Wagner and Newcomer); Department of Epidemiology, Colorado School of Public Health, Aurora (Drs Glanz and Hambidge); Community Health Services, Denver Health, Denver (Dr Hambidge); Department of Pediatrics, University of Colorado, Aurora (Drs Hambidge and Daley); Kaiser Permanente Vaccine Study Center, Oakland, California (Dr Rowhani-Rahbar); Center for Child Health Care Studies, Department of Population Medicine, Harvard Pilgrim Health Care Institute and Harvard Medical School, Boston, Massachusetts (Dr Lee); Group Health Cooperative, Seattle, Washington (Dr Nelson); Marshfield Clinic Research Foundation, Marshfield, Wisconsin (Dr Donahue); Kaiser Permanente Northwest, Portland, Oregon (Dr Naleway); HealthPartners Research Foundation, Minneapolis, Minnesota (Dr Nordin); Department of Research and Evaluation, Southern California Kaiser  Permanente, Pasadena (Dr Lugg); and Immunization Safety Office, Division of Healthcare Quality and Promotion, Centers for Disease Control and Prevention, Atlanta, Georgia (Mr Weintraub).

 

Je pense donc qu’il est raisonnable de supposer que cette étude n’a pas été réalisée pour le compte de parents inquiets et qui, à propos du calendrier vaccinal, pensent que c’est trop tôt et trop vite. Au contraire, il semble que l’étude a voulu prouver que les enfants dont les parents ne suivaient pas le calendrier vaccinal étaient en moins bonne santé que ceux qui le suivaient à la lettre.

 

Mais ce n’est pas ce que l’étude a prouvé. Elle a en fait prouvé le contraire.

 

Les enfants qui, en fonction du choix des parents, ont été sous-vaccinés ont eu un taux de recours aux urgences et aux visites médicales significativement  plus bas que les enfants qui étaient vaccinés à temps. [Souligné par Gaia Health].

 

Peut-on dire que les conclusions des auteurs, comme celles de ceux qui ont été engagés pour écrire les communiqués de presse aient rapporté cette constatation? Sûrement pas.

 

Voici, ci-dessous ce que révèle le résumé de l’étude:

 

« Conclusions: la sous-vaccination semble être une tendance à la hausse. Les enfants sous-vaccinés semblent ne pas avoir les mêmes recours aux soins de santé que les enfants qui ont suivi le schéma official de vaccination. »

 

Le communiqué de presse principal a été donné par Reuter et il fut repris dans presque chaque édition de presse comme suit: Près de la moitié des enfants en retard de vaccins: étude.”

 

Voici quelques perles du communiqué de presse à ce sujet, destiné à faire croire que le fait que trop d’enfants ne suivent pas le calendrier vaccinal officiel à la lettre représente une véritable épidémie:

 

« Les chercheurs ont dit que cette tendance est préoccupante parce que si autant d’enfants échappent aux vaccins, des écoles et des communautés entières pourraient courir des risques plus élevés d’infections de coqueluche et de rougeole, maladies qui pourraient être évitées par la vaccination. »

 

Je ne sais pas qui sont les “chercheurs” évoqués au précédent paragraphe, mais ce ne sont en tout cas pas les auteurs de la présente étude et de ce qu’elle révèle.

 

En fait, une des histoires parmi les plus étonnantes sur les vaccins date de 2012. Elle montre comment des épidémies de coqueluche se sont produites chez des personnes qui avaient été vaccinées contre la coqueluche, montrant par là l’inefficacité du vaccin.

 

Alors, comment ont-ils pu gérer le fait que des parents qui avaient choisi de ne pas vacciner selon le calendrier vaccinal officiel se rendaient moins souvent chez le médecin, ainsi qu’aux urgences? Voici une petite explication:

 

« Selon des résultats publiés dans JAMA Pediatrics, les enfants sous vaccinés consulteraient moins souvent les médecins et se rendraient moins souvent aux urgences que les enfants qui auraient été normalement vaccinés selon le programme officiel. Selon Omer, la chose serait possible parce que les parents de ces enfants auraient recours à des médecines parallèles ou complémentaires quand la chose est possible. Des études récentes ont montré que beaucoup de parents demandent de postposer ou d’annuler certaines vaccinations parce qu’ils craignent qu’il existe un lien entre les vaccinations et l’autisme – une théorie qui ne tient pas la route selon le consensus des scientifiques. »

 

En écrivant “selon le consensus des scientifiques”, qui préciserait qu’il n’y a pas de liens entre les vaccins et l’autisme, ils ignorent complètement tous les scientifiques qui estiment vraiment qu’il y a de sérieuses raisons d’inquiétudes et qu’il y a des liens avec l’autisme. Ces gens-là ignorent aussi  le fait que le Programme d’Indemnisation pour Complications Vaccinales a déjà accordé des millions de dollars à des familles d’enfants dont l’autisme a été reconnu comme étant lié à la vaccination par les tribunaux.

 

Un autre fait important par rapport à cette étude est qu’elle a été réalisée chez des patients fréquentant “ huit centres de soins”. En d’autres termes, cette étude a porté sur des parents et des enfants qui étaient assurés.

 

« Pour pouvoir participer à l’étude, chaque enfant devait être inscrit régulièrement dans une MCO (Managed Care Organization – Organisation de soins) depuis l’âge de 2 à 12 mois. Les enfants étaient suivis pendant un maximum de 36 mois, et le suivi s’arrêtait si l’enfant quittait la MCO… Pour que les enfants puissent participer aux soins primaires de leur MCO, ils devaient obligatoirement passer au moins une visite médicale à l’âge de 12 mois. »

 

Donc, il s’agit bien ici de parents et d’enfants qui avaient foi dans le système médical, qui l’utilisaient, y participaient, croyaient au moins jusqu’à un certain degré aux vaccinations et se soumettaient à des visites médicales régulières. S’agit-il là de parents “qui se tournent vers des médecines alternatives ou complémentaires quand la chose est possible”?? Les parents qui ne croient pas du tout aux vaccins ne consultent pas régulièrement des pédiatres. Il est aussi de ces pédiatres qui refusent toute forme de soins aux enfants qui ne sont pas en ordre avec le calendrier des vaccinations. Et bien ce type de parents et d’enfants n’ont pas du tout fait partie de l’étude!

 

A vous qui faites partie des médias : réveillez-vous et faites pour une fois du véritable journalisme! N’hésitez donc pas à payer 30.00 $ pour vous procurer l’étude et voir ce qu’elle dit vraiment au lieu de régurgiter machinalement des communiqués de presse !  Il s’agit ici d’une question très sérieuse ! Juste avant la publication de cette étude, l’Institut de Médecine a publié un rapport précisant que le calendrier de vaccinations était “sûr”, bien qu’il n’ait pas fait allusion à la moindre nouvelle recherche.

 

Il y aurait énormément de choses à dire à ce sujet, mais le dogme et la croyance en la vaccination éclipsent les faits et la science. Aujourd’hui, l’épidémie vaccinale affecte tellement de personnes et tellement de familles. Cette histoire ne finira pas de si tôt!

  

Sources: Health Impact News & Gaia Health 

 

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