Obligation vaccinale et vérités cachées
CONTRIBUTION EXTERNE Publié le samedi 26 octobre 2013
Pourquoi cette obligation ? Pourquoi taire les informations sur les conséquences graves ? Pourquoi cette politique de la peur ? Pourquoi le lobbying et l’argent priment-ils sur la santé de nos concitoyens ?
En Belgique, le seul vaccin obligatoire est celui contre la poliomyélite.
Etrangement (ou pas), le parent non averti, lors du premier vaccin, est déjà confronté à une violation de son droit à soigner son enfant comme il l’entend puisque ce vaccin obligatoire est combiné avec trois autres qui ne le sont pas : la diphtérie, la coqueluche et le tétanos. Vous me direz qu’il est possible de se fournir un vaccin polio monovalent. Mais quel parent souhaiterait consciemment injecter du formaldéhyde, substance cancérigène de classe 1 classée comme telle par le CIRC en 2004 ?
Où est passée la loi du 22 août 2002 sur les droits du patient ? L’article 8 exige le consentement libre et pleinement éclairé pour tout acte médical, aucune exception n’étant explicitement faite dans la loi, en matière de vaccins. Le médecin doit communiquer à temps les informations relatives aux bénéfices, mais aussi aux risques et aux alternatives possibles. Nous sommes libres d’accepter ou de refuser tout acte médical et c’est la loi !
Je rassemble quelques informations sur les vaccins combinés à celui de la polio :
1/ le tétanos : maladie qui n’est pas contagieuse ! En France, la moyenne d’âge des personnes qui ont contracté la maladie est de 78 ans, avec une mortalité de 30 %. On vaccine donc nos enfants pour une maladie qui touche les personnes âgées. Aucune étude scientifique ne prouve l’efficacité de ce vaccin.
2/ la coqueluche : lorsque ce vaccin a été ajouté au DiTePol, les accidents vaccinaux ont commencé à se multiplier, surtout les encéphalites. Ce vaccin a été, à titre d’exemple, interdit en Allemagne en 1973, la fréquence de cette atteinte cérébrale étant jugée trop importante… Depuis que l’Allemagne a renoncé à imposer cette vaccination, aucune catastrophe sanitaire due à la coqueluche n’a été signalée.
3/ la diphtérie : cette maladie est absente de nos pays, et, de plus, facilement curable par des antibiotiques. Ce vaccin ne peut empêcher la contagion.
Je récapitule : le seul vaccin obligatoire (antipolio) chez nous correspond à une maladie qui n’existe plus chez nous et qui donc ne peut y « prospérer ». Ce vaccin est combiné avec trois autres, tous inutiles et dangereux pour la santé.
On pourrait se dire qu’au moins il existe un système d’indemnisation en cas de complication du vaccin obligatoire, mais non, rien en Belgique. Alors qu’en France, un système d’indemnisation est accessible pour les victimes de vaccins obligatoires.
C’est quand même étrange que la vaccination obligatoire soit toujours d’actualité alors que rien n’est prévu pour indemniser les victimes. En parlant d’obligation vaccinale, je tiens à ajouter qu’en France, selon la jurisprudence (arrêt Courty), les crèches n’ont juridiquement pas le droit d’exiger d’autres vaccins que ceux rendus obligatoires par le législateur (tétanos, diphtérie, polio) donc les crèches n’ont aucun droit, là-bas, d’exiger des valences comme coqueluche, rougeole, oreillons, rubéole ou haemophilius influenza de type b (Hib) alors que l’ONE nous impose tout cela.
Pour son entrée en crèche, ma fille, qui naîtra en janvier, devra donc recevoir un autre cocktail de vaccins. Alors que ces vaccins protègent moins bien et moins longtemps que si on laisse l’enfant faire ces maladies. De plus, on observe un déplacement de la maladie. C’est-à-dire que ce ne sont plus les enfants qui la font, mais bien les adolescents et les adultes (pourtant vaccinés petits). A cet âge, les complications de la maladie sont plus fréquentes et importantes.
On note un lien troublant entre le vaccin contre la rougeole et la multiplication des cas d’autisme.
Pour les oreillons, maladie en général très bien supportée par les enfants, les études de Michel Georget notent une inquiétante augmentation de la fréquence des diabètes juvéniles.
La rubéole est bénigne, sauf pour les femmes enceintes. Mais de nouveau, empêcher un enfant de faire cette maladie, c’est, comme pour les autres citées ci-dessus, assurer la déficience du système immunitaire. Une étude (JAMA, n°214, 2012) a démontré que 78 % des généralistes et 91 % des obstétriciens et gynécologues refusent de se faire vacciner contre la rubéole…
Trop protéger les petits contre tout type d’infections les empêche de créer une immunité solide. Dans chaque étude (une des dernières en date : KIGGS, article dans la revue ALIS, octobre 2011) portant sur la comparaison d’enfants vaccinés et d’enfants non vaccinés, ceux qui résistaient le mieux aux infections et qui étaient le moins malades sont ceux qui n’ont pas de couverture vaccinale, mais qui se sont immunisés naturellement.
Je ne vais pas passer tous les vaccins en revue. Cela serait bien trop long. Mais, je souhaite rappeler que dans ces vaccins on trouve des traces de mercure, d’aluminium, d’antibiotiques, de borate de sodium, de squalène, etc. Chacun avec son lot de complications, chacun mis en cause pour des problèmes neurologiques, rénaux, troubles du comportement et j’en passe.
Tout n’est qu’une question d’argent, de lobby et non de santé publique.
Le droit de chacun (la jurisprudence extrêmement claire de la Cour européenne des droits de l’homme, CEDH, Salvetti, Décision 9.7.2002, en matière d’obligation vaccinale dit notamment ceci : "En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée") est bafoué par toutes ces obligations vaccinales qui, au final, ne laissent aucun choix aux parents raisonnables et informés qui souhaitent ne pas vacciner leur enfant, ou dans une juste mesure. Rien n’est proposé comme alternative à la nocivité des vaccins et tout va jusqu’aux pressions policières.
Pourquoi tant de vaccins néfastes ? Pourquoi taire les informations ? Pourquoi cette politique de la peur ? Pourquoi, encore et toujours, l’argent prime-t-il sur la santé de nos concitoyens ? Jamais, au grand jamais l’argent ne devrait primer sur la santé.
N’est-il pas nécessaire de revoir la politique de la Belgique quant à la vaccination obligatoire, forcée ? Je demande à Madame la ministre de la Santé puisque je ne vais pas avoir le choix, de recevoir une lettre de sa part, m’assurant que ma fille ne risque aucun effet secondaire et que je vais pouvoir me procurer le seul vaccin contre la poliomyélite sans aucun adjuvant néfaste à son organisme. Je souhaite également, Madame la ministre de la Santé, recevoir une lettre signée de votre main qui reconnaît comme discriminatoire un quelconque refus d’inscription dans une crèche ou une école. Merci.
Charlotte Renwa
Mère de famille et enseignante
Source : La Libre
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