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8 mars 2013 5 08 /03 /mars /2013 11:56

Les vaccins pédiatriques dont on ne cesse de bombarder nos enfants sont censés leur apporter la santé. Ah bon? Pourtant, plus on vaccine et, "drôle de coïncidence", plus la santé des enfants se dégrade et plus ils consomment de médicaments.

 

Bien sûr, les vaccins ne peuvent en aucun cas être considérée comme la seule cause d'une telle dégradation sanitaire chez les enfants, mais cela crève pourtant les yeux que ce paramètre est précoce, répété et absolument tabou dans ses effets secondaires par ailleurs!

 

Voici ce qu'on pouvait lire dans la Lettre du Médecin du 6 mars dernier:

 

107 millions de médicaments sont consommés chaque année par des enfants

 
Les pharmaciens belges vendent actuellement chaque année 6,6 millions boîtes de médicaments pour enfants. C'est une augmentation de 6,4% par rapport à 2007. Au total, les enfants ingèrent 107 millions de pilules, gouttes ou vaccins, écrit Het Laatste Nieuws ce mercredi, sur base de chiffres récents de l'Inami.

 

Continuons donc sur cette lancée mortifère, certains pensent déjà à inclure aussi le vaccin contre la méningite B dans le calendrier vaccinal dit, non sans un certain humour (noir) "calendrier vaccinal de base"! Continuons surtout dans cette "belle" voie tracée par des dirigeants peu scrupuleux qui considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels" et observons alors la santé de nos enfants se dégrader toujours plus. Après, il sera trop tard pour se plaindre. Et toujours trop tôt bien sûr, aux yeux des autorités et des experts, pour parler d'autre chose que de "simple coïncidence" entre la hausse exponentielle des vaccins et le délabrement sans précédent de la santé infantile.

 

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12 janvier 2013 6 12 /01 /janvier /2013 15:00

Une étude le révèle : un nombre impressionnant d’enfants sont atteints de maladies chroniques

 

Quel espoir y a-t-il pour l’avenir, si la moyenne des enfants est malade ? Or, on est bien obligé de constater que c’est la réalité d’aujourd’hui – grâce en partie aux vaccins d’avides sociétés pharmaceutiques qui s’en foutent.

 

Enfant-malade-Gaia.jpg

 

D’après Heidi Stevenson

 

Beaucoup d’entre nous savent tout simplement, parce que c’est le fruit de l’observation, que de nombreux enfants ne sont plus en bonne santé. Une étude scientifique corrobore ce que nous pouvons observer. De nombreux enfants sont maintenant malades, souffrant souvent de maladies chroniques. Le fait n’est guère de bonne augure pour les Etats-Unis et la situation est quasiment la même dans les autres pays développés.

 

La nature de la maladie n’est aujourd’hui plus la même que celle qui touchait jadis l’enfant pendant quelques jours pour une maladie bénigne. Les maladies qui  affectent les enfants d’aujourd’hui risquent de les poursuivre tout au cours de leur vie, rendant celle-ci plus lamentable et plus courte. Cette situation semble bien être un « cadeau » de la médecine moderne dont elle doit et devra rendre des comptes.

 

La grande question est de savoir pourquoi cette situation n’a pas fait les gros titres des journaux ? Les gens souhaiteraient-ils ne pas savoir ? Le fait est que l’étude à laquelle nous avons fait allusion n’est pas toute nouvelle. Elle a été publiée en 2010 et…tout y est clairement destiné à camoufler la vérité.

 

Le titre même de l’étude A National and State Profile of Leading Health Problems and Health Care Quality for US children. Key Insurance Disparities and Across-State Variations donne l’impression qu’il s’agit essentiellement de problèmes d’assurances …

 

 

Graphique-enfant-malade-Gaia.jpg

 

Il n’y a pas un seul mot dans l’étude qui évoque la véritable épidémie que représentent  les problèmes de santé chez les enfants ! Ce serait là normalement ce qui devait faire l’objet de l’étude. Le graphique nous montre cependant l’état de santé désastreux des enfants américains.

 

Dans l’ensemble, l’étude révèle que 43% des enfants souffrent d’au moins un des troubles de santé parmi les 20 problèmes envisagés quand on ne prend pas en compte les cas d’obésité et de retards du développement. Cela représente plus de 32 millions d’enfants dont la santé est endommagée!

Si à ce chiffre on ajoute celui des enfants classifiés obèses ou « à risque de problèmes développementaux », on atteint le chiffre de 54,1%.

 

Il est aussi à noter que les chiffres du graphique ne comprennent pas les cas de lupus, de maladies intestinales comme la colite ulcérative, la maladie de Crohn, la sclérose en plaques (qui peut se développer au cours de l’adolescence dans beaucoup de cas), ou l’arthrite. Il faut également noter que les chiffres ne comprennent pas le nombre excessif de décès des nourrissons, y compris ceux décédés de « mort subite du nourrisson ». Il est donc évident que la réalité est pire que ce que veut bien nous montrer l’étude.

 

POURQUOI ?

 

La véritable question qu’il faut se poser c’est « pourquoi ? » et quelles sont les raisons qui font que cette information n’est pas correctement reprise par les médias. Il est pourtant évident qu’une société qui espère avoir un avenir ne peut que reconnaître l’importance primordiale de la santé des enfants. Pourtant notre société est en train d’ignorer la chose ; elle met volontairement la tête dans le sable en prétendant que tout va bien.

 

Tout ceci ne surprendra pas les parents d’enfants autistes qui vivent cette réalité jour après jour. Eux, savent que leurs enfants sont malades, comme le savent aussi leurs enseignants et toutes les personnes qui s’occupent d’eux régulièrement. Toutes ces personnes sont conscientes du carnage. Elles voient les asthmatiques auxquels on a « volé » le souffle. Elles voient les diabétiques  qui doivent se piquer tous les jours. Elles voient les résultats des allergies et des troubles neurologiques ; elles voient surtout tous ces enfants qui ne peuvent plus mener une vie normale comme ça aurait été le cas il y a quelques décennies.

 

Certes il y a les problèmes des toxines, de la pollution. Mais, comme tous les parents d’enfants autistes pourront parfaitement le comprendre, il y a surtout le fait qu’il y a un éléphant dans la pièce et qui n’est nullement pris en compte : ce sont les vaccinations.

 

  • Le fait que les vaccinations ont clairement été liées au diabète ne peut être nié que par ceux dont les revenus dépendent de Big Pharma et de leurs laquais.
  • Le fait que les vaccinations provoquent des troubles auto-immuns est parfaitement documenté.
  • Le fait que l’adjuvant aluminique dans les vaccins est susceptible de déclencher l’autisme a lui aussi été bien étudié.
  • Le fait que les pays qui vaccinent le plus ont les taux de mortalité infantile les plus élevés a aussi été bien documenté.
  • Il n’y a guère d’explication vraiment crédible pour le syndrome de la mort subite du nourrisson à part les vaccinations.

 

Face à tous ces éléments, il ne peut y avoir que peu de doute que la principale cause des maladies chroniques chez les enfants soit en premier lieu, la vaccination. Pourtant, nos agences officielles la FDA, le CDC, le NIH etc. continuent de nier complètement tout lien possible.

 

Ils blâment tout et n’importe quoi depuis l’âge même des parents, la génétique, l’environnement pour lequel ils ne font d’ailleurs rien.

 

Ils refusent d’effectuer les études qui pourraient clarifier une bonne fois pour toutes le problème des vaccins. Ceux-ci sont-ils oui ou non à l’origine de l’épidémie des maladies chroniques. Quelle autre raison pourrait-on invoquer que leur mauvaise volonté ? Ils sont tellement à l’aise dans leurs bureaux confortables et leurs belles maisons, autant d’avantages acquis sur le dos de nos enfants.

 

  • Les scientifiques qui acceptent joyeusement des subventions pour des études génétiques inutiles et qui leur fournissent les éléments pour maintenir en quelque sorte le statu quo.
  • Les revues médicales qui publient  la pseudo science de Big Pharma et des scientifiques payés pour permettre à leurs patrons de maintenir leurs revenus.
  • Les patrons de Big Pharma dont la richesse est en contraste criant avec la misère et la destruction de vies par leurs vaccins toxiques.
  • Les élus qui agissent comme hommes de paille pour Big Pharma
  • Les organismes qui reçoivent de l’argent de Big Pharma…
  • Les médecins qui continuent à injecter des poisons à nos enfants et qui poussent de plus en plus les parents à vacciner.

 

Tout cela, et plus encore, fait partie de la promotion des vaccins comme de la dissimulation de leurs suites, avec comme conséquence la destruction de la santé de nos enfants et de l’avenir de toute la société.

 

Source: Gaia Health

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2 décembre 2012 7 02 /12 /décembre /2012 22:00

divorce-faute-separation.jpg

Voilà une situation tout à fait concrète qui arrive beaucoup plus souvent qu'on ne le pense: des parents qui n'étaient pas d'accord en matière de vaccination se séparent et cela devient encore plus problématique, certains étant alors prêts à faire vacciner l'enfant dans le dos de l'autre conjoint ou alors, à recourir à l'argument de la non vaccination comme indice de mauvais traitements dans le cadre d'un divorce!

 

Récemment encore, une maman nous a contactés en nous lançant un appel à l'aide car, ici en Belgique, sa fillette d'un peu plus de 2 ans venait d'être vaccinée dans son dos et donc sans son accord, suite à une visite chez un médecin inconnu d'elle et choisi par son ex-conjoint à plusieurs dizaines de kilomètres de chez elle.

 

Le papa avait en fait toujours été au courant des réticences (justifiées) de la maman et les avait acceptées mais au moment de la séparation, comme il était sans doute professionnellement nécessaire pour le papa de faire garder l'enfant certains jours, et compte tenu de la tyrannie vaccinale inacceptable de l'ONE, il a donc été faire administrer deux injections différentes à la fillette qui n'avait jusqu'alors reçu qu'un minimum de vaccins, en fonction du compromis qui avait été initialement arrêté par les parents.

 

La maman, dont on peu imaginer l'angoisse et la détresse, n'a en fait découvert le pot aux roses que parce que la fillette lui a indiqué "bobo docteur" en lui montrant notamment son bras. Lorsque la maman lui a alors demandé si elle avait reçu une piqûre, la petite fille a fait comprendre que oui. La maman a alors demandé combien de piqûres elle avait reçu. La petite fille a alors montré son bras et sa fesse... elle avait donc reçu deux injections dont la maman n'avait aucune possibilité de connaître la nature exacte!

 

S'adressant alors très rapidement au papa de la fillette, qui a d'abord nié, (il avait en fait arrangé le scénario avec la petite fille en lui demandant que les vaccinations et la visite chez le médecin restent un secret entre eux deux), la maman a fini par apprendre de son ex-conjoint que la fillette avait reçu des vaccins mais celui-ci a toutefois refusé de dire à la maman ce qui lui avait injecté très exactement.

 

Le médecin tiers étant inconnu de la maman et celui-ci n'ayant pas pu disposer du carnet de vaccinations attestant de ce que la petite avait déjà reçu, il y avait donc le risque d'administrer des doses inutiles à l'enfant.

 

Le souhait, bien compréhensible de cette maman était donc de savoir s'il lui était possible de connaître les noms exacts des vaccins injectés dans son dos à sa fille et d'éviter que d'autres vaccinations ne soient faites dans ces même conditions d'opacité. Elle voulait aussi savoir si elle avait le droit de refuser que sa fille ne soit vaccinée ou si, à défaut, elle avait le droit d'instaurer alors une vaccination plus étalée et plus progressive.

 

Compte tenu du caractère non exceptionnel de ce genre de situations, il nous a donc paru utile de rédiger un article sur les grandes lignes à connaître pour réagir utilement et efficacement dans ce type de contexte  et ainsi bien connaître, en tant que parent, ses devoirs et ses droits en la matière et les meilleurs moyens de les exercer, dans l'intérêt de l'enfant.

 

- Lorsqu'un désaccord survient par rapport aux vaccins au sein d'un couple divorcé ou séparé, le conjoint favorable à la vaccination n'ignore le plus souvent pas les réticences de son ex. En revanche, une majorité d'ex-conjoints ignorent les contours de ce qu'on appelle l'exercice de l'autorité parentale conjointe. En matière médicale en effet, les deux parents ont voix au chapitre et ainsi, sauf situation urgente où il faudrait par exemple prendre une décision instantanée pour la survie de l'enfant, l'exercice de l'autorité parentale doit se faire conjointement, ce qui suppose de recueillir l'aval du père et de la mère, à fortiori chez un mineur qui n'est pas apte à consentir.

 

- Les dispositions légales relatives à l'exercice de l'autorité parentale conjointe impliquent plusieurs choses, dont le fait qu'il est illégal pour un parent de procéder comme le papa l'a fait dans le cas ci-dessus, soit dans le dos de la mère et en refusant de lui dire ce qui a été exactement injecté à l'enfant à sa demande. La maman peut donc se retourner en justice ou dans le cadre de procédures en cours contre son ex-conjoint pour violation des dispositions sur l'exercice de l'autorité parentale conjointe. Et donc, exiger que lui soit révélé ce qui a été injecté à sa fille. Et que pareille situation ne se reproduise plus.

 

- La situation est hélas différente en ce qui concerne le médecin vaccinateur: en droit, le médecin est présumé de bonne foi s'il procède à la vaccination d'un enfant accompagné par un seul de ses deux parents. Il peut donc, au regard du droit, estimer que c'est là l'accord des deux parents qui est sous-jacent à la présentation de l'enfant à sa consultation pour y être vacciné. La situation est en revanche différente si ce médecin avait connaissance des réticences vaccinales d'un des deux parents et, à fortiori si un des deux conjoints lui avait fait savoir par écrit ses réticences ou son désaccord en matière de vaccination. Dans ce cas, ce médecin encourt des sanctions car sa bonne foi ne pourrait alors plus être invoquée. C'est la raison pour laquelle, tout médecin consciencieux et conscient du caractère de plus en plus controversé des vaccinations, devrait penser à s'enquérir de la situation de famille des enfants et en cas de séparation de fait ou de divorce des parents, demander si l'autre parent a marqué son accord ou pas pour la ou les vaccinations concernées. Si tel n'est pas le cas, il devrait, par prudence, s'abstenir de vacciner et rappeler au parent présent en consultation les dispositions sur l'exercice de l'autorité parentale conjointe. En cas de mensonge d'un des parents sur l'accord de l'autre conjoint, le médecin pourrait éventuellement se retourner pour dol contre le parent qui lui aurait menti.

  

- Le problème dans ce genre de situations, est qu'il est hélas possible que l'ex conjoint favorable aux vaccinations aille trouver un médecin inconnu de son ex-partenaire dont celui-ci pourrait ne jamais connaître le nom et l'identité et à qui il ne peut en conséquence pas signifier son opposition. Cette porte ouverte-là expose donc l'enfant à de multiples vaccinations contre la volonté d'un des deux parents.

 

- Il est important pour le conjoint qui ne souhaite pas que son enfant se fasse vacciner de réaliser plusieurs démarches pour s'assurer que son choix puisse être pris en compte:

 

a) Dès la séparation, il est bon de signifier à son ex-conjoint, par recommandé avec accusé de réception, le fait que vous n'autorisez pas l'administration du moindre vaccin à votre enfant sans votre avis et celui du médecin de votre choix. De même, il est bon de rappeler évidemment aussi dans ce genre de courrier que pour ce qui est de la santé de l'enfant, l'autorité parentale s'exerce conjointement au regard du droit et que l'avis des deux parents doit donc être automatique, surtout à partir du moment où les divergences de vue sont connues. A défaut, la bonne foi sera impossible à invoquer devant les cours et tribunaux.

 

b) Comme plusieurs ex-conjoints ont la fâcheuse (et malhonnête) manie d'invoquer le refus de vaccination de l'autre partenaire dans le but d'obtenir de meilleures gardes ou de se faire passer auprès du juge pour "de meilleurs parents", il est bon, dans le cadre de ce courrier recommandé au partenaire (qui peut éventuellement être versé au dossier dans le cadre d'une procédure judiciaire ou d'une autre action juridique en cours), d'expliciter les bonnes raisons, avec leur fondement scientifique, aux réticences qui sont les vôtres en matière de vaccination. Cela permettra de facto de remettre un petit peu les pendules à l'heure sur le fait que vous vous souciez au contraire très fortement de l'intégrité et de la bonne santé de votre (vos) enfant(s). On peut par exemple rappeler le fait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont comptabilisés pour le calcul du bénéfice/risque de ces produits, ou encore le montant faramineux déjà payé par diverses autorités pour indemniser les victimes de vaccins, on gagne aussi à rappeler que selon plusieurs études et enquêtes indépendantes, la santé des enfants non vaccinés est globalement bien meilleure que celle des enfants vaccinés; que les médecins ne sont pas tous d'accord entre eux sur l'utilité et la sécurité des vaccins faits aux enfants, que jamais aucune étude contre placebo ou à long terme n'est officiellement requise avant l'octroi de l'autorisation de mise sur le marché de ces produits ou encore, qu'il n'existe en Belgique aucun système d'indemnisation des victimes de vaccins, contrairement à d'autres pays qui utilisent pourtant des vaccins de même composition.

 

c) Vu l'irréversibilité des séquelles possibles des vaccins et du caractère franchement expérimental de tous les vaccins actuellement sur le marché, il est aussi pertinent de signifier dans ce genre de courrier que vous tiendrez pour responsable des dommages physiques, psychiques et moraux de votre enfant ainsi que des suites financières qui en découleront, le médecin vaccinateur qui aura vacciné sans votre accord et éventuellement, dans le non respect de la loi du 22 août 2002 relative aux droits des patients (droit à une information suffisamment claire et objective, droit au consentement libre et éclairé du patient, ou à défaut, de son ou ses tuteurs légaux) ainsi que votre ex-conjoint qui aura permis une telle vaccination dans ces conditions illicites.

 

d) Il est en outre aussi utile (mais un peu plus faisable si l'enfant est un peu plus âgé) d'expliquer à l'enfant pourquoi vous n'êtes pas d'accord de le faire vacciner, de façon à ce qu'il ait bien compris que vous n'y êtes pas favorable et lui expliquer qu'il est bon qu'il le fasse savoir au médecin qui s'apprêterait à le vacciner, en lui remettant éventuellement un mot écrit et signé de votre main dont il pourrait "être équipé" ou avoir avec lui, en toutes circonstances, y compris à l'école si vous craignez une vaccination intempestive par ce biais.

 

e) Il est donc utile d'écrire aussi par recommandé au milieu scolaire (direction+ centre médico-scolaire (PMS) + instituteur ou titulaire), ainsi qu'une note au journal de classe de l'enfant comme quoi, en tant que parent de (prénom de l'enfant), vous n'autorisez pas la vaccination de votre enfant sans votre accord et celui du médecin traitant de votre choix et ce, dans le plus strict respect de l'exercice de l'autorité parentale conjointe en matière médicale.

 

f) Enfin, n'hésitez pas, dans ce genre de contextes difficiles, à demander l'avis d'associations citoyennes indépendantes dont le but est justement de permettre à la fois l'information mais aussi la liberté vaccinale. Dans une majorité des cas, il y a en effet moyen si on s'y prend bien, de trouver les meilleurs compromis dans l'intérêt de l'enfant, étant entendu que les preuves scientifiques sont hélas là pour montrer que "le tout vaccin" tel que préconisé par les autorités officielles ne contribue certainement pas au bien-être ou à la bonne santé des enfants!

 

Voir aussi cette très intéressante contribution de Me Philippe Vanlangendonck (avocat au barreau de Bruxelles) sur les droits des jeunes en matière de vaccination, en Belgique.

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24 novembre 2012 6 24 /11 /novembre /2012 22:00

Le Journal du Médecin du 20 novembre dernier consacrait un article à la pénurie de médecins à l'ONE. Dans cet article, on pouvait notamment lire que " Pour le député PS Daniel Senesael, l'âge élevé des médecins ONE, combiné à la pénurie des médecins pose un réel problème dans les consultations nourrissons et en milieux d'accueil. Par ailleurs, les médecins volontaires ne se pressent pas au portillon de l'Office de la Naissance et de l'Enfance."

 

Pour le Ministre de la Petite Enfance, Jean-Marc Nollet, la pénurie serait aussi due au Numerus Clausus. " Le recours à des médecins de plus de 65 ans est parfois la seule solution pour éviter la fermeture d'une consultation. L'ONE met en oeuvre quantité d'actions pour attirer des médecins de qualité et stabiliser ceux qu'il emploie. En réalité, l'Office et moi-même avons exploré la piste de l'engagement contractuel pour un seul médecin."

 

Cette expérience visait spécifiquement à pallier à une difficulté rencontrée localement en province de Luxembourg. "En effet, le car sanitaire de l'ONE ne disposait plus de médecin pour ses consultations. Après quatre mois de fonction, ce médecin a souhaité mettre un terme à son contrat."

 

"L'Office a alors procédé à un nouvel engagement, cette fois sous statut d'indépendant, comme le demandait le nouveau médecin. "Celui-ci est en fonction depuis deux mois et il est donc un peu tôt pour évaluer la pertinence de cette solution. Parmi les actions mises en oeuvre par l'ONE pour augmenter l'attrait de la fonction, je citerai notamment la mise à disposition d'un site de formation en ligne, la formation en médecine préventive et en santé publique, les contacts aussi nombreux que réguliers avec les universités pour sensibiliser et promouvoir la médecine préventive."

 

Est-ce étonnant que l’ONE rebute des médecins ? Que vacciner à la chaîne des enfants dans un « car sanitaire » ne soit médicalement pas très enthousiasmant ?

 

Pour l’ONE, promouvoir la médecine préventive, c’est d’abord et avant tout promouvoir les vaccins et relayer le discours des pharmas. Ce réductionnisme est affligeant !

 

Du reste, le fait que le Ministre aide cet organisme à se maintenir, en dépit du fait qu’il viole pourtant quotidiennement une loi belge (de 2002, sur les droits du patients) via les pratiques de ses travailleurs, en dit long sur l’éthique et la crédibilité dudit Ministre.

 

Pas étonnant que l’ONE couvre largement ses travailleurs pour toutes leurs bavures en terme de désinformation des gens ou à tout le moins, d’occultation de données essentielles (étant donné qu’ils ne remettent pas systématiquement les notices, pourtant très incomplètes malgré tout, aux parents sauf si ceux-ci pensent à en faire la demande !). Si malgré ce genre de couverture, des médecins préfèrent cependant rester « indépendants », c’est dire l’image qu’ils doivent avoir de cette institution de plus en plus décriée !

 

 

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9 octobre 2012 2 09 /10 /octobre /2012 13:39

Voici une excellente interview d'un pédiatre américain, membre de l'Association américaine de pédiatrie, sur les vaccins. Nous l'avons lue il y a peu sur le site Expovaccins et mise en pdf: ICI

 

Le pédiatre de vos enfants ou votre médecin traitant a-t-il au moins des réponses convaincantes aux questions soulevées par ce spécialiste américain? Dans l'attente de telles réponses importantes, n'est-il pas prudent d'attendre, plutôt que de foncer tête baissée et d'accepter aveuglément autant de vaccins?

 

vaccins-bebe-stop.jpg

 

Voir aussi la vidéo sous-titrée du Dr Palevsky: ICI

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6 octobre 2012 6 06 /10 /octobre /2012 19:15

Fotolia--enfant-choque.jpg

Plusieurs parents qui ne se connaissent pas entre eux nous ont fait parvenir, écoeurés, le formulaire distribué à leurs enfants à l'école grâce aux "bons soins" de la Fédération Wallonie-Bruxelles (ex Communauté française), la même instance officielle qui a déjà été désapprouvée pour publicité trompeuse sur les vaccins en novembre 2011 par le Jury d'Ethique Publicitaire.

 

Un enfant d'un des parents nous ayant contactés a même confié à sa maman après avoir reçu ces documents "Ils m'ont gâché ma journée !", ce qui signifie fort heureusement que nos jeunes sont encore capables de discernement... pour peu qu'ils puissent disposer d'informations alternatives à la seule propagande officielle simpliste et scientifiquement lénifiante. 

  

Suivant les versions du document distribué, il était mentionné en titre qu'il s'agissait de "vaccination de rattrapage" ou non. Certains garçons ont même aussi reçu les dépliants pour la vaccination faussement appelée "contre le cancer du col de l'utérus" avec l'objectif inavoué que cela atteigne aussi leurs petites soeurs qui n'auraient pas encore reçu ce genre de propagande-là. Dans certains cas, le document était nominatif avec le nom, la date de naissance, l'école et l'identifiant "PSE" (= "promotion de la santé à l'école"!) déjà pré-remplis!

 

Comme de plus en plus de parents s'en rendent compte, l'unique but de la vaccination scolaire est d'accroître les pourcentages de couverture vaccinale parce qu'il y aura toujours un certain nombre de familles qui croiront à tort que ces vaccinations sont obligatoires, certaines autres  en déduiront à tort que ces vaccinations sont vraiment très importantes si les autorités les proposent dans le cadre scolaire et d'autres enfin succomberont à l'appât assez grossier de "la gratuité". On se trouve donc ici dans le registre de la tentative, qui prendra hélas pour certains parents crédules ou trop débordés pour se renseigner ailleurs et pas chez les autres.

  

Il est cependant capital que les jeunes qui liront cet article sachent qu'ils ont LE DROIT de refuser les vaccins que leurs parents auraient demandé qu'ils reçoivent, s'ils ne sont pas d'accord avec la décision de leurs parents. Ainsi, en droit belge, même si les parents ont donné leur accord et rempli le formulaire, les enfants ayant une maturité suffisante (ce qui est bien le cas des enfants de 6° primaire et au-dela, en secondaire) ont tout à fait le droit d'exprimer leur refus au médecin scolaire et celui-ci est tenu de le respecter, sous peine de poursuites.

 

Par ailleurs, il est aussi fait état dans ce document d'une banque de données vaccinales dans laquelle seront enregistrées les vaccinations scolaires effectuées en Fédération Wallonie-Bruxelles à partir de septembre 2012, au prétexte que cette banque de données a été autorisée par la Commission de la Vie Privée et qu'elle servirait à éviter la perte des données vaccinales chez les jeunes.

 

Enfin, il faut souligner le caractère inquisitorial du "choix multiple final" demandant aux parents de signifier s'ils demandent au médecin scolaire de compléter les vaccinations en fonction du carnet de vaccination, s'ils demanderont cela à leur médecin traitant ou "s'ils ne souhaitent pas faire vacciner leur enfant actuellement."

 

Qu'un formulaire soit à remplir pour donner son avis, en tant que parent, sur la vaccination scolaire de ses enfants est normal (bien qu'il faudrait alors que l'on fournisse aux parents des informations suffisamment objectives sur le sujet) mais, il n'est alors nul besoin de faire cocher des cases superflues et anormalement indiscrètes aux parents, pour savoir s'ils refusent les vaccins ou s'ils s'adresseront à leur médecin traitant! Ces considérations ne concernent ni l'école, ni l'inspection scolaire et encore moins la Fédération Wallonie Bruxelles qui pousse ici décidément son idéologie vaccinale à l'extrême!

 

Peut-être serait-il ici nécessaire de rappeler à la Fédération Wallonie Bruxelles les dispositions élémentaires relatives au secret médical? En inscrivant pourquoi pas sur leur formulaire préalablement barré une mention de ce style "SECRET MEDICAL. NE VOUS REGARDE PAS." Ou en ne le complètant tout simplement pas, sans rien leur renvoyer.

 

Voir ICI et ICI les modèles possibles de ce genre de document.

 

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16 septembre 2012 7 16 /09 /septembre /2012 16:33

L.VB.JPG

Faut-il faire vacciner son enfant ? Une question que certains ne se posent plus, tant la pratique est entrée dans les mœurs ; jusqu'aux pédiatres qui ne prennent parfois pas la peine de nous informer sur les risques, pourtant bien présents.


Pourquoi certaines injections obligatoires sont-elles systématiquement combinées avec des vaccins facultatifs ? Ces produits sont-ils sûrs ? Comment et pourquoi les autorités compétentes minimisent, voire ne reconnaissent pas les effets indésirables graves des vaccins ? Quels mécanismes derrière le dogme vaccinal ? Au travers des témoignages recueillis et de l'avis de professionnels de la santé, Virginie Belle lève le voile sur le système et passe au crible les essais cliniques, les composants et le fonctionnement de nos instances. Il ne s'agit pas ici d'être pour ou contre les vaccins mais d'aborder les différentes problématiques d'un acte médical devenu banal. Une enquête exclusive qui remet la vaccination à sa juste place.


Un guide des vaccins recommandés aidera également les parents à faire un choix personnel et « éclairé ».

 

Ecouter ou réécouter le débat radio sur France Inter avec Virginie Belle (11/09/2012)

 

« Le front uni du soutien à une stratégie vaccinale comprise et admise par tous s’effrite. Dans les pays du Nord, l’argument de la solidarité, voire du sacrifice et de la bienfaisante immunité de « troupeau » faiblit face à la revendication de la liberté individuelle, appuyée sur des arguments scientifiques inédits. »

Anne-Marie Moulin, médecin et chercheuse au CNRS.

 

Petits bémols d'après lecture:

 

- Sur la polio: dire qu'il n'y a "pas de traitement" n'est pas tout à fait exact, certains médecins ayant obtenu des résultats curatifs spectaculaires et satisfaisants sur des paralysies avérées avec du chlorure de magnésium (Dr Neveu notamment) ou encore dans certains cas, avec de la vitamine C (Dr Klenner).

 

- Sur le lien entre autisme & vaccination: il n'est pas exact non plus de relier cette controverse à la seule étude de Wakefield. Outre qu'il est simpliste et inexact de qualifier cette étude-là de frauduleuse, il faut savoir que plusieurs autres équipes de chercheurs non contestés sont par ailleurs arrivées au même résultat que Wakefield et ses collègues.

 

- Sur la sécurité de la vaccination acellulaire: elle est loin d'être aussi avérée qu'on pourrait le croire. Tout comme l'ancienne version à germes entiers, cette version acellulaire peut encore donner lieu, comme tous les autres vaccins, à de graves dommages d'ordre neurologique.

 

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23 août 2012 4 23 /08 /août /2012 15:47

Fotolia, nombre de doses (mains)

Trop peu de gens en sont informés mais le nombre exact de doses de vaccins dépend de l'âge auquel on entame la vaccination. Ainsi, par exemple, si on ne commence une vaccination par vaccin tétravalent (diphtérie, tétanos, polio, coqueluche acellulaire) qu'à partir de 4 mois ou au-delà, la primovaccination pourra s'effectuer en 3 doses en tout, au lieu de 4 si l'enfant commence sa vaccination dès 2 ou 3 mois. Cette indication est d'ailleurs donnée dans le notice de ce vaccin. En outre, et ce n'est pas négligeable, retarder d'au moins 2 à 4 mois les premières vaccinations diminue déjà de façon significative le risque d'allergies, d'asthme et de mort subite liés aux vaccinations (90% des cas de MSN ont comme par hasard lieu avant l'âge de 6 mois avec un pic entre 2 et 4 mois, en "plein" dans les premières vaccinations et les rappels rapprochés!), preuves que l'efficacité des vaccins est moindre et leurs risques accrus chez les enfants les plus jeunes dont l'immaturité immunitaire est la plus grande. (Certes, le carnet de vaccinations est contrôlé dès l'entrée en crèche mais il reste possible aux parents de reporter tout de même la vaccination d'un mois ou deux en général,  après discussion avec le médecin traitant.)

 

Pour l'hépatite B, il en va de même, les enfants reçoivent 4 doses de vaccin anti-hépatite B en recevant le vaccin hexavalent à 2, 3, 4 et 18 mois comme officiellement préconisé alors que ce vaccin s'effectue normalement en 3 doses lorsqu'il est administré dans un vaccin séparé et même à présent en deux doses pour les grands enfants et les adultes (au lieu de 3 jadis, preuve encore que des tas de gens ont joué aux cobayes sans le savoir en recevant 3 doses jusqu'à ce qu'on se rende compte que 2 suffisaient...).

 

Le vaccin contre le rotavirus (diarrhée du nourrisson) n'est tout simplement plus faisable après l'âge de 6 mois, en raison d'un risque accru d'invagination intestinale.

 

Le vaccin contre l'haemophilius influenzae de type b (Hib) n'est plus indiqué après l'âge de 2 ans car il n'a alors "plus d'intérêt" et il en est de même pour le vaccin contre les pneumocoques passé l'âge de 2 ans. Et là encore, en fonction de l'âge où la vaccination par Prevenar est débutée, le nombre de doses à administrer s'en trouve modifié: ainsi en vaccinant dès l'âge de 2 mois, il fallait initialement 4 doses puis à présent trois mais si on vaccine à partir de l'âge de 10 mois ou au-delà, il ne faut plus que deux doses à 6 mois d'intervalle. Passé 24 mois, une seule dose est dite suffisante, preuve de plus donc qu'un système immunitaire réagit moins bien s'il est encore très immature.

 

Pourquoi alors multiplier les doses en vaccinant si tôt? Est-ce vraiment pour protéger les enfants contre des maladies qui ne faisaient JAMAIS les gros titres des journaux il y a 10, 15 ans ou plus ou bien, comme cela est hautement plus probable, est-ce pour caser davantage de nouveaux vaccins commercialement rentables dans calendrier vaccinal officiel?

 

Il faut tout de même bien se rendre compte que la stimulation répétée du système immunitaire avec divers antigènes à des intervalles trop courts favorise A COUP SÛR le développement de maladies auto-immunes comme l'a démontré l'étude de Kobe chez la souris. Par conséquent, toutes ces différentes doses gagnent à être réduites au maximum pour les enfants que leurs parents tiennent cependant quand même à faire vacciner.

 

Bien entendu, le discours officiel consiste à dire qu'il faut protéger les fragiles nourrissons le plus tôt possible des terribles maladies qui les guettent à chaque instant. Mais n'est-ce pas là un véritable commerce de la peur, sous-jacent à ces méthodes propagandistes?? Les bébés ne sont-ils hélas pas des "proies commerciales" de choix pour les pharmas qui peuvent ainsi d'autant plus facilement jouer sur la corde sensible des mères, toutes désireuses de protéger leurs enfants, avec le leurre évidemment en ambuscade que plus c'est forcément mieux et bien sûr aussi, la croyance erronée qu'au moins "si ça ne sert à rien, ça ne fera pas de mal".

 

Les enfants ont déjà un système immunitaire fonctionnel, ils ne naissent donc pas sans rien (contrairement à ce que la publicité vaccinaliste tente de faire croire) mais ce système a besoin de TEMPS pour arriver à maturation et d'une bonne hygiène de vie pour évoluer le mieux possible. Or, comme on dit dans le monde du commerce, le temps c'est de l'argent! Voilà pourquoi la tendance est à vacciner le plus tôt possible, même dès la naissance, comme avec l'hépatite B, aux Etats-Unis. Mais certains, comme Heidi Stevenson de Gaia Health ont aussi évoqué des raisons fort intéressantes et possibles également à savoir que vacciner dès la naissance permet davantage d'attribuer les effets secondaires de vaccins dont l'autisme (un livre, celui de Judy Converse, traite du lien entre vaccin hépatite B et autisme notez bien) à l'individu plutôt qu'au vaccin en faisant ainsi croire à tort que l'enfant est "né comme cela".

 

Quoi qu'il en soit, un nombre croissant de parents optent pour un schéma vaccinal alternatif. Ainsi, en Orégon et dans le reste des USA, ce sont 10% des parents au moins qui ne suivent pas aveuglément les conseils officiels et ce pourcentage est allé croissant ces dernières années, une situation qui fait évidemment enrager les officiels et toute cette armada d'experts bien pensants et tellement chéris par les industriels du secteur!

 

Au Royaume-Uni également, les indications d'un site comme Babyjabs, un groupe partisan de vaccinations oreillons, rougeole, rubéole séparées plutôt que combinées en ROR (un vaccin comportant plus de risques que les vaccinations administrées séparément), ont suscité l'ire des officiels qui ont ainsi censuré ce groupement indépendant, furieux que le lien entre l'autisme et le ROR soit réévoqué.

 

Ce fanatisme officiel ne fera qu'aider un nombre croissant de parents à prendre conscience de cette dramatique démesure qui se payera hélas et se paie d'ailleurs déjà très cher en terme de santé publique. Par ailleurs, il nous revient également que plusieurs médecins, en accord avec les parents, décident de n'administrer qu'un cinquième de la dose, de façon à diviser de façon conséquente la quantité non négligeable de substances neurotoxiques ou cancérigènes dont chaque microgramme ou milligramme peut parfois être le microgramme ou le milligramme décisif pour le déclenchement ultérieur de telle ou telle maladie grave.

 

Il est donc éminemment souhaitable que les parents s'informent suffisamment, ceci impliquant bien sûr de ne jamais se satisfaire uniquement du discours officiel édulcoré et à l'eau de rose, mais à la fois éminemment "piquant", de par sa partialité saisissante.

 

Voir aussi: Le business du nombre de doses et donc de l'âge auquel on commence à vacciner

 

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24 juillet 2012 2 24 /07 /juillet /2012 22:26

main, vaccination gantée (Fotolia)

Une dépêche de l'agence Reuters du 18 juin dernier faisait état de la hausse croissante, dans l'état américain d'Orégon, des parents qui font le choix d'un schéma vaccinal alternatif pour leurs enfants.

 

Les auteurs d'une récente étude ont trouvé que le nombre de bébés suivant un schéma modifié de vaccinations a augmenté de 2,5% en 2006 à 9,5% en 2009 dans une région de l'état d'Orégon, aux Etats-Unis. Ils ont ainsi trouvé qu'en dépit d'un nombre accru de visites chez le médecin, ces enfants reçoivent un nombre réduit d'injections par rapport à ce qui est officiellement recommandé.

 

Bien entendu, la dépêche Reuters qui n'a pas pour habitude de faire preuve de suffisamment d'objectivité, reprend des copiers-collers entiers du discours officiel dramatisant et culpabilisateur qui consiste à dire que ces choix de schéma vaccinal alternatif n'ont aucun bénéfice connu mais seulement des risques et que ces parents mettent ainsi inconsidérément la santé de leurs enfants en jeu. On connaît ce (pitoyable) refrain.

 

En réalité, ces chiffres de 2009 dans l'Orégon sont cohérents avec ceux des Etats-Unis tout entiers et démontrent donc qu'un parent sur 10 choisit de recourir à un schéma vaccinal autre que celui officiellement recommandé ou refuse également des vaccins.

 

Pour les chercheurs, les raisons seraient la crainte des parents d'un trop grand nombre d'injections concomittantes, la douleur, le questionnement de l'utilité de certains vaccins et la défiance vis-à-vis des autorités et de l'industrie en général.

 

Aux Etats-Unis, le schéma vaccinal officiellement recommandé pour les enfants est élaboré par l'ACIP (l'Advisory Committee on Immunization Practices) et il est soutenu par l'Académie américaine de pédiatrie et de médecins de famille. Les vaccinations infantiles incluent toutes celles effectuées dans nos pays mais aussi en plus, l'hépatite B (dès la naissance), l'hépatite A, la grippe et aussi la varicelle.

 

Pour la présidente de cette instance "ACIP"', le Dr Carol Baker, "Le schéma vaccinal officiellement recommandé est basé sur des preuves scientifiques indiscutables que les vaccins vont efficacement protéger contre les infections et qu'ils sont sûrs."

 

Des affirmations que le public est sensé croire aveuglément, sur la seule base de l'argument d'autorité. Toutefois, le Dr Baker sait sûrement au fond d'elle-même que ces preuves n'existent pas mais qu'au contraire des preuves accablantes du contraire abondent. Toutefois Mme Baker éluderait probablement le sujet si on la questionnait sur les très intéressants conflits d'intérêts qui règnent en maîtres à l'ACIP, vis-à-vis des pharmas.

 

La dépêche de Reuters explique alors que ce qui a inspiré beaucoup de parents en matière de limitation du nombre d'injections par séance, ce sont des auteurs médecins comme les Drs Stéphanie Cave ou Robert Sears, qui ont par exemple recommandé dans leurs livres respectifs des schémas alternatifs de vaccination.

 

Pour l'auteur principal de cette étude, Steve Robinson, "le problème que nous constatons est que ces enfants reçoivent moins d'injections au total et qu'ils ne rattrapent pas ces doses non effectuées."

 

"Les parents et les médecins ne réalisent pas à quel point il est facile pour ces enfants sous schéma alternatif de prendre du retard." a-t-il encore ajouté.

 

Pour ces "papes de la vaccination", le fait de ne pas avoir reçu toutes les nombreuses doses "officiellement recommandées" comme de gentils et dociles petits moutons est une hérésie. Ils jouent alors aussi sur la notion d'urgence  ("on risque de prendre du retard"!), cfr un de nos récents articles qui s'intitulait justement "L'urgence: un prétexte de choix pour survacciner."

 

Aux Etats-Unis rappelons-le, plusieurs pédiatres ont déjà refusé de suivre des enfants si leurs parents n'avaient pas effectué l'entièreté des vaccinations recommandées par l'ACIP et l'Académie américaine de pédiatrie, ce qui en dit en effet long sur le dogmatisme écrasant qui règne en matière de vaccination.

 

A cours d'arguments, les officiels en arrivent alors à des pseudo arguments pratiques tout à fait affligeants. Un responsable des vaccinations dans l'Orégon affirme alors que le schéma vaccinal officiel a été élaboré pour tenir compte du nombre d'injections nécessaires et des réalités professionnelles des parents (!) Pour le Dr Amanda Dempsey du Colorado, procéder à des schémas vaccinaux alternatifs entraîne un nombre accru de visites ce qui augmenterait le stress des parents (on aura vraiment tout lu ;-)

 

Mais la suite du discours de ce Dr Dempsey est prodigieuse puisqu'elle reconnaît que:

 

"Aucun vaccin n'est efficace à 100%. Par conséquent, même si vous êtes à jour et que vous avez reçu toutes les doses recommandées, si vous êtes entouré de gens porteurs de la maladie, vous êtes à risque."

 

Les aveux de Mme Dempsey doivent donc faire comprendre qu'il y a donc deux choix:

 

1°) le choix de prendre deux fois des risques (ceux du vaccin ET de la maladie puisque même vacciné, on peut donc encore l'attraper) et ce à de multiples reprises, à chaque nouvelle injection ou rappel en réalité.

 

2°) le choix de ne prendre qu'une seule fois les risques, ceux de la maladie naturelle si et seulement SI elle survient.

 

En outre, ces aveux réduisent à néant le mythe des anticorps puisque, sauf pour les gens non répondeurs, avoir reçu "toutes les doses officiellement recommandées" devrait avoir fait produire aux sujets les taux d'anticorps soit disant requis et protecteurs, et qui devraient donc, en toute logique, pouvoir protéger les vaccinés, qu'ils soient entourés de malades ou non!!

 

La dépêche de Reuters se termine par les propos du Dr Baker (non impliquée dans cette étude) qui conclut, de façon purement gratuite, que ces informations sont "de mauvaises nouvelles pour les bébés et les enfants". Elle ajoute encore ceci, en docile mouton: "Ces parents qui limitent le nombre d'injections jouent avec la santé de leurs enfants; les parents devraient être capables de faire des choix médicaux mais je prie pour qu'ils fassent les meilleurs choix, et ne pas suivre le schéma officiel est le mauvais choix."

 

L’essentiel à retenir :

 

- Les officiels restent dogmatiques, ils veulent à tout prix que leurs diktats soient appliqués A LA LETTRE, s’estimant les seuls experts de nos vies et de nos santés (bien sûr tout cela au prétexte de veiller à « Notre Bien »… on connaît !)

 

- On vaccine TROP, TROP TÔT et TROP A LA FOIS. Ne jamais oublier en effet que le système immunitaire d’un enfant n’est pas pleinement mature avant l’âge de 6 à 7 ans d’une part et, d’autre part, que les enfants ne font jamais deux maladies infantiles en même temps (il y a une raison si cela a naturellement été prévu ainsi !) Par ailleurs, la vaccination, sauf exception, ne respecte pas les voies immunologiquement prévues de pénétration des microbes dans l’organisme à savoir la peau et les muqueuses, or en court-circuitant ainsi tous ces mécanismes par le phénomène d’injections dans le flux sanguin de divers microbes bricolés, agrémentés de substances chimiques toxiques qui n’ont aucune place dans l’organisme, même en substances dites « infimes », on facilite ainsi les « bugs immunitaires » en tous genres que sont les allergies, les maladies auto-immunes, les immunodépressions et même les cancers.

 

- Les médecins qui culpabilisent les parents et conseillent de suivre le schéma vaccinal officiel à la lettre omettent malhonnêtement d’avouer au public qu’eux-mêmes, étant enfants, se sont fort bien passés de tous ces nouveaux vaccins qu’ils n’ont probablement pas reçus (grippe, varicelle, rotavirus, pneumocoques, méningites à Hib, à méningocoques, hépatite A et B, ROR etc)

 

 

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 15:01

Des médecins écoeurés nous ont fait parvenir le Journal du Patient de Mai 2012, tant il est emblématique des dérives promotionnelles actuelles des médicaments et ici en l'occurence, des vaccins.

 

La question de la publicité déguisée est véritablement importante parce qu'au fur et à mesure que les industries pharmaceutiques apparaissent telles qu'elles sont et inspirent donc de plus en plus la méfiance, les pouvoirs dits "publics" compensent de façon fallacieuse ce déficit publicitaire, comme on l'a notamment vu avec la publicité trompeuse de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sévèrement désapprouvée par le Jury d'Ethique Publicitaire.

 

Il s'agit par conséquent d'une publicité plus insidieuse encore qui insistera sur le côté officiel des recommandations ou encore sur la gratuité mais qui élude évidemment totalement les risques.

 

La communication des officiels se marie en réalité fort bien avec les revues médicales qui regorgent de publicités pharmaceutiques puisque tant les officiels que les industriels vont minimiser voire taire les risques et exagérer les avantages, tout en dramatisant bien sûr énormément les maladies, de façon à créer de faux besoins de protection dans la population.

 

VACCINS: quelles sont les caractéristiques du discours publicitaire officiel?

 

- le recours à des expressions accrocheuses et simplistes

- les affirmations toujours très générales, tournant sans cesse autour du mot "protection"

- l'absence de toute preuve à l'appui des affirmations (= arguments d'autorité)

- la démagogie ("vos craintes sont tout à fait compréhensibles, c'est normal" etc)

- l'inversion, l'incohérence (prétendre vouloir "bien informer" ou "assurer la santé" alors que c'est exactement l'inverse qui se passe dans les faits)

- l'inconscience de la démesure (toujours + de vaccins et d'enfants à vacciner, dans l'esprit consumériste actuel, sans voir que cela est tout à fait exagéré et anormal)

- l'incapacité à se remettre en question, même lorsqu'on leur met "le nez dedans" avec toutes les preuves à l'appui (ils évoquent que ce sont "des mythes" ou des "fantasmes" etc)

- le recours à des arguments secondaires en lieu et place des vraies réponses essentielles sur la sécurité et l'efficacité (on parle de la "gratuité" ou du "confort de l'enfant" avec moins d'injections etc)

- la culpabilisation, en évoquant le prétendu effet altruiste de la vaccination ("vous protégez, c'est protéger la collectivité" et autres slogans moralisateurs du même accabit)

- la dramatisation soudaine, par des expressions bien choisies, de maladies dont on ne parlait pas avant et pour lesquelles un vaccin a été mis récemment sur le marché (tout d'un coup alors, ces nouveaux vaccins sont présentés comme indispensables, comme "un vrai progrès" etc)

 

Maintenant que ces repères ont été expliqués, passons donc à la pratique avec un exemple tout à fait concret de publicité déguisée, dans le Journal du Patient de Mai 2012.

 

L'article a donc été réalisé avec la collaboration du Dr Liliane Gilbert qui se trouve également être (même si ce n'est pas mentionné) la présidente du Collège des pédiatres de l'ONE... vous savez cette instance de 9 conseillers pédiatres qui se permettent de décider à distance si les certificats médicaux de contre-indication dûment établis pour vos enfants sont valables ou pas.

 

Repassons ensuite en revue tous ces critères, à la fois propres au discours des pharmas et à celui des autorités officielles, à la lueur dudit article:

 

- Slogans simplistes et accrocheurs:

 

Ici, ça commence par "La vaccination, une assurance santé pour votre enfant"

 

- Le recours exclusif à des affirmations générales en lien avec la notion de protection:

 

"Les vaccins protègent votre enfant et réduisent le risque d'épidémies";

 

"La vaccination est également essentielle chez l'adolescent";

 

"En une seule injection et en toute sécurité"

 

"La mise à disposition d'un vaccin hexavalent permet d'immuniser les nourrissons contre six maladies, avec un niveau de sécurité très élevé."

 

- L'absence de toute preuve à l'appui des affirmations

 

Ici, l'article affirme par exemple que vacciner son enfant apporte un bénéfice à celui-ci mais aussi "pour la communauté et les générations futures".

Il n'existe bien au contraire pas la moindre preuve que cela apporte le moindre bienfait aux générations futures que de vacciner son propre enfant. C'est plutôt l'inverse qui est à craindre, le potentiel mutagène des vaccins (c'est à dire leur capacité à altérer notre génome avec des altérations susceptibles de se transmettre à la descendance) n'étant jamais évalué, tel qu'on peut hélas le lire sur les notices.

 

De même, l'affirmation gratuite sur la sécurité des vaccins hexavalent ne repose sur rien de valable, dès lors que les essais cliniques sont biaisés dès le départ et ne font jamais appel à de véritables groupes placebos ou encore que les effets secondaires de vaccins restent largement sous-notifiés. Mais le Dr Gilbert en a-t-elle seulement conscience?   

 

- La démagogie

 

Ici, on le formule ainsi "Beaucoup personnes peuvent douter de la sécurité des vaccins ou avoir peur des effets secondaires qui leur sont associés. Avoir peur de la vaccination ou y être réticent est tout à fait compréhensible."

 

- L'inversion et/ou l'incohérence

 

L'article ici parle d'"être bien informé" bien qu'il désinforme totalement les gens.

 

Par exemple, l'article affirme péremptoirement que "Seul votre pédiatre peut vous donner une information exacte et actualisée sur les vaccins à administrer à votre enfant."

 

Or, rien n'est plus inexact puisqu'aucun médecin ne reçoit la moindre formation en vaccinologie et la vaste majorité des médecins ignorent complètement la totalité des composants des vaccins (et leurs effets toxicologiques respectifs) qu'ils injectent à leurs patients. Les pédiatres plus encore que les autres médecins, sauf rares exceptions, sont encore moins objectifs dès lors qu'une belle part de leurs consultations et de leurs revenus découlent directement des visites nécessaires à l'administration des vaccins (et à leurs suites). Pour avoir une idée et selon les propres aveux de l'ONE et de Provac, il faut savoir que 5% de tous les enfants vaccinés doivent consulter un médecin endéans les 48h après vaccination pour effets secondaires (cfr p43/54). 1 enfant sur 20 donc pour ce qui est des effets secondaires immédiats, alors si on rajoute les effets secondaires différés et toutes les administrations incessantes de vaccins au cours des premières années de vie, on conçoit qu'une majorité de pédiatres n'auraient financièrement nullement envie d'arrêter de vacciner ou de vacciner moins. Un pédiatre X ou Y est donc hélas, en termes de probabilité, loin d'être la personne la mieux à même d'informer les parents sur le véritable rapport bénéfices/risques des vaccins, contrairement aux apparences ou aux croyances populaires sur les connaissances supposées de ces praticiens en la matière. En revanche, les pédiatres sont bien drillés à répéter de façon stéréotypée les détails concrets du calendrier vaccinal et à piquer à la chaîne les enfants. Ca oui, on leur apprend, l'acte concret d'injection. Mais c'est largement insuffisant.

 

En outre, une majorité de médecins ne savent tout simplement pas reconnaître les effets secondaires de vaccins quand ils surviennent et bien souvent, c'est important de le savoir, les médecins ont tendance à nier le lien entre un médicament et un effet secondaire et ce, même lorsque ces effets secondaires figurent dans la notice. C'est ainsi que des experts officiels comme le Dr Swennen ou le Dr Van Laethem s'exprimaient par exemple dans un article du Vif du 23 décembre dernier qui assimilait la paralysie de Guillain-Barré après vaccination antigrippale à une "légende" alors que cet effet figure pourtant en toutes lettres dans la notice!

 

De même, l'ONE affirme aussi dans son Guide de Médecine Préventive que le vaccin hépatite B n'a aucun lien avec l'apparition de sclérose en plaques, tout en insistant sur l'importance de lire les notices des vaccins or il se trouve précisément que les notices de vaccins anti-hépatite B indiquent en toutes lettres là aussi le mot "sclérose en plaques" parmi les effets graves possibles du vaccin! Et toute cette belle incohérence est cosignée par plusieurs pédiatres de l'ONE. Croyez-vous donc encore que les pédiatres soient vraiment "les seuls qui puissent vous donner une information EXACTE et actualisée sur les vaccins à administrer à votre enfant"?

C'est peu probable puisque ces gens apportent en fait surtout la preuve qu'ils ne sont même pas capables de lire une simple notice médicamenteuse et ce, malgré leurs beaux diplômes.

 

- l'inconscience de la démesure (toujours + de vaccins à + d'enfants comme si ça allait de soi!)

 

Toute nouveauté et tout "vaccin en plus" est en fait de facto assimilé à "un plus" ou à un progrès. Dans ce genre d'optique d'ordre scientiste, les médecins perdent en fait toute capacité de réflexion élémentaire, comme par exemple se rendre compte de l'aberration de dramatiser soudainement des maladies qui n'avaient jamais suscité la moindre médiatisation au préalable, et d'enjoliver artificiellement l'intérêt de vaccins sans lesquels eux, en tant qu'enfants, avaient très bien vécu, sans le moindre problème.

 

Cet article ici vise surtout à "râtisser large" en ce sens qu'il fait majoritairement la promotion de vaccins non strictement obligatoires pour la fréquentation de crèches ONE (pneumocoques, rotavirus, varicelle).

 

La multiplication incontrôlable de ces vaccins dont ils ont pourtant conscience (puisqu'ils écrivent "pas facile de se souvenir des dates de tous les vaccins à effectuer") semble être envisagée comme une fatalité.

 

- l'incapacité à se remettre en question

 

Au lieu de répondre concrètement aux questions sur la sécurité des vaccins que nous avions envoyées par recommandé en décembre dernier à l'ONE (et dont le Dr Gilbert a dû avoir connaissance), ces gens-là continuent de rejeter la responsabilité de la défiance envers les vaccins sur l'existence de "certains sites internet et médias qui font naître ou entretiennent beaucoup d'inquiétudes dans la population en mettant l'accent sur les liens, établis à tort, entre les vaccins et bon nombre de maladies, comme l'autisme et la sclérose en plaques."

 

Pourtant, ces liens existent bel et bien et n'ont pas été établis à tort. Plusieurs équipes de chercheurs sont arrivées à des résultats convergents en la matière (pas que Wakefield pour l'autisme mais d'autres aussi). Seulement comme ces résultats dérangent, l'ONE et ses porte-paroles préfèrent faire comme si ça n'existait pas et mettre ça "sous le tapis". C'est ainsi que le Pr Tardieu qui a mis en évidence un sur-risque de sclérose en plaques de l'enfant dans les trois ans qui suivent une vaccination hépatite B (aussi incluse donc dans le vaccin hexavalent gratuit que l'ONE fait en masse et prétend très sûr) a été "interdit de conférence de presse", comme relaté dans le journal Libération le 14 octobre 2008. Il ne faut donc jamais confondre "résultats existants mais dérangeants et donc niés ou non reconnus par des instances comme l'OMS ou l'ONE" et "absence de liens scientifiquement établis". Ces pédiatres qui croient en fait parler en connaissance de cause, se pensent les détenteurs et les interprétateurs de ce qui est scientifique ou de ce qui ne l'est pas. Ils s'autorisent alors par arrogance et par comodité, à plier tout débat, en classant toute objection à laquelle ils sont incapables de répondre, dans la catégorie des "mythes ou des fantasmes".

 

Quant à la prétendue responsabilité des sites internet, ça rappelle franchement l'attitude de l'OMS qui attribuait le fiasco vaccinal du H1N1 à "internet" sans quoi, dans l'esprit de l'OMS, les gens ne se seraient pas méfiés du divin vaccin et auraient donc été docilement se faire vacciner. Cela gêne surtout beaucoup l'establishment que nombre de victimes graves témoignent désormais sur internet et cela fait donc très légitimement naître des inquiétudes qui sont donc avant tout dues aux effets des vaccins eux-mêmes et non aux sites internet qui s'en font l'écho (on peut comparer cette réalité aux agences de notation qui ne sont pas en elles-mêmes la cause de la crise financière ou encore au thermomètre qui n'est que le témoin d'une fièvre anormale mais qui n'en est en rien responsable).

 

- le recours à des arguments secondaires histoire de faire diversion de l'essentiel

 

Ici l'article écrit "En une seule injection et en toute sécurité". On prend donc comme argument le caractère prétendument "pratique", ce qui est en fait un argument secondaire.

Il est important de voir et de comprendre que les arguments principaux et donc ceux qui intéressent le plus le public (efficacité, sécurité) sont les points faibles des pharmas comme des officiels qui n'ont pas de réponses solides à apporter, que du contraire. Pour masquer ces faiblesses de taille, ils tablent sur "les points forts du business" à savoir les recettes qui marchent pour faire durer autant que possible cette bulle vaccinale dont l'explosion reste inéluctable. Ca englobe des arguments fallacieux comme la gratuité ou la facilité des "6 vaccins en un".

 

- la culpabilisation

 

Celle-ci peut être directe ou indirecte. Par exemple, dans l'article du Vif du 14 nov. 2008, une pédiatre du CHU Tivoli de la Louvière disait qu'il était "égoïste de ne pas faire vacciner son enfant". Ici, l'article insiste sur les "bénéfices pour l'enfant lui-même mais aussi pour la communauté et pour les générations futures", sous-entend donc implicitement aussi un égoïsme en cas de non vaccination. Le résultat est donc le même, bien que la formulation et la technique manipulatoire diffèrent.

 

- la dramatisation des maladies par des expressions bien choisies

 

Cet article est un excellent exemple au vu des sous-titres affichés:

 

"Le pneumocoque est PARTOUT";

 

"La rougeole contre-ATTAQUE";

 

"La varicelle, bénigne mais pas toujours";

 

" La gastro-entérite, REDOUTABLE chez les nourrissons"

 

Tant le Journal du Patient que l'ONE ont cru ce genre d'articles utile alors qu'en réalité, ce type de publication est véritablement de nature à desservir la crédibilité du journal, celle des médecins interrogés, de l'ONE, et même celle des annonceurs qui y font de la pub (cfr p. 4 du pdf= dernière de couverture du maga, grosse pub de Sanofi pour les vaccins tout au long de la vie). Par des allusions à des sites très dérangeants pour l'ONE comme le nôtre, ce genre d'articles s'apparente un peu au "coup de poing sur la table du directeur" qui ne souffre pas que ses diktats puissent être contestés ou même débattus par ceux qu'il considère comme des subalternes. Et pourtant, les patients seront sans doute à l'avenir... de moins en moins patients avec ce genre de communication non fiable et infantilisatrice. Qu'on se le dise!

 

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