Quatre médecins de l'ONE (Drs Mauroy, Goetghebuer, Gilbert & Lorenzo) cosignent un passage du Guide de Médecine Préventive sur les pratiques et les précautions en matière de vaccination, que leur institution bafoue cependant tous les jours.
Ils écrivent en effet:
"Les parents doivent tous être informés du schéma vaccinal recommandé ainsi que des avantages et risques de la vaccination. Une telle information devrait idéalement être réalisée lors de la visite à l'âge de 1 mois."
C'est vraiment étrange car JAMAIS les parents dont les enfants sont vaccinés à l'ONE ne sont informés des risques réels des vaccins puisqu'on ne leur remet jamais spontanément la notice (encore très incomplète mais ceci dit nettement moins que les propos à l'eau de rose de l'ONE qui limitent les seuls effets secondaires des vaccins à la fièvre, la douleur ou la rougeur au point d'injection!)
Mais ce n'est pas tout....
Une autre rubrique de ce fameux Guide de Médecine Préventive, liée à "la vaccination de rattrapage" mérite également quelques commentaires tant elle est révélatrice de ce très large ratissage vaccinal au seul profit des industriels.
Voici donc quelques extraits de cette rubrique plus que stupéfiante:
"Introduction au schéma de vaccination de rattrapage
Le vaccinateur est souvent confronté au problème de juger si un patient est ou non correctement vacciné et, s'il y a lieu, de lui proposer une mise en ordre de sa protection vaccinale. Pour aborder ce problème, quelques règles de base peuvent être proposées:
Il vaut mieux considérer quelqu'un comme non vacciné plutôt que de le croire erronément protégé.
Seul un document vaccinal fiable comportant le nom du vaccin et la date de la vaccination atteste de la vaccination d'un patient. En cas d'absence de document, la revaccination est une option acceptable. Cette façon de faire est généralement sûre. Elle évite d'avoir à obtenir et interpréter les tests sérologiques, d'autant qu'il n'existe pas de bons critères de séroprotection pour toutes les vaccinations.
[...]
Les doses administrées + de 5 jours avant l'âge recommandé ou avant la fin de l'intervalle minimum recommandé seront considérées comme non valides. Elles doivent être répétées à l'âge approprié tout en respectant un intervalle minimum idoine depuis la dose non valide.
L'utilisation de vaccins combinés favorise généralement une meilleure compliance en réduisant le nombre total d'injections nécessaires.
Cette utilisation conduit parfois à l'administration d'une dose supplémentaire pour l'un ou plusieurs des composants du vaccin combiné. Cela n'est pas préjudiciable pour l'enfant. (Ex: IPV en 4 doses au lieu de 3, lors de l'emploi d'un vaccin combiné DTPa-IPV)."
Traduction de ces passages pour le grand public qui est le premier à en faire les frais:
- Vu le nombre de gens qui ne disposent plus d'un "document vaccinal fiable" (avec le nom et la date des vaccins) bien qu'ils se souviennent encore d'avoir été vaccinés, on comprend le caractère commercial avantageux de ce genre de conseil de vacciner plutôt deux fois qu'une.
- De même pour ce qui est des doses administrées seulement quelques jours avant les dates préconisées, il est tellement plus commode de les déclarer "non valides" et d'ainsi encore promouvoir des doses additionnelles et ce alors que chaque dose de vaccin, quelle qu'elle soit, fait toujours courir un certain risque, exactement comme un tour supplémentaire de roulette russe.
- L'ONE, de façon une fois encore totalement gratuite, affirme que revacciner au moindre doute constitue une "option acceptable" et que cela est "généralement sûr". Mais sur quelle base puisque toutes les évaluations de la sécurité des vaccins ont toujours été boiteuses et biaisées?? Une fois encore, ce discours ne tient tout simplement pas la route sur le plan scientifique! L'ONE apporte donc ici une preuve de plus qu'elle n'est pas du tout à la hauteur des enjeux de santé publique et du droit à l'intégrité physique des enfants dont elle a la charge.
- Mais surtout, l'AVEU ACCABLANT de l'ONE mérite qu'on s'y arrête et surtout qu'on en comprenne bien l'impact et le poids. L'ONE justifie notamment de revacciner au moindre doute parce que "cela évite d'avoir à obtenir et interpréter les tests sérologiques, d'autant qu'il n'existe pas de bons critères de séroprotection pour toutes les vaccinations."
En d'autres termes, cet aveu signifie, qu'au moins pour certaines vaccinations que l'ONE impose ou recommande, il n'y a pas de critères valables permettant de déterminer ou de quantifier le taux d'anticorps post-vaccinal prétendument protecteur contre telle ou telle maladie et que donc, ni après mise sur le marché des vaccins ni même avant, au stade de leur évaluation au cours des essais cliniques, il n'est réellement possible d'évaluer s'ils ont la moindre efficacité!!!
Cela donne donc une idée de l'ampleur de la FRAUDE consistant donc à aller imposer ou même vivement recommander des vaccins à l'aveugle sans qu'on ait la moindre possibilité concrète de déterminer leur validité dans le temps ou même leur efficacité tout court. Et du même coup, ça fragilise bien sûr considérablement les exigences vaccinales de l'ONE et leur bienfondé puisque X milliers d'enfants en crèches ainsi vaccinés peuvent très bien être non protégés en dépit de ces ukases, bien que celles-ci leur fassent encourir des risques vaccinaux considérables mais constamment sous-estimés.
- Les vaccins combinés sont une formidable aubaine commerciale, non seulement parce qu'ils coûtent plus cher mais surtout parce qu'ils sont LE moyen de choix de retarder au maximum l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale, en évitant ainsi la prise de conscience immédiate par les parents de l'exagération et de la démesure que permettrait assurément l'injection séparée des dizaines de vaccins ainsi préconisés à leurs enfants.
- L'ONE avoue donc que la vaccination combinée induit des doses supplémentaires pour plusieurs composants.
Les abréviations techniques, qui peuvent sembler un peu déroutantes, pour le public, ne doivent cependant plus dupper personne.
DTPa- IPV signifiant en mots plus clair: diphtérie+ tétanos + coqueluche acellulaire (pertussis acellulaire en anglais) & IPV signifiant "injectable polio vaccine" (vaccin polio injectable, par opposition au vaccin polio oral donc, qui n'est plus utilisé en Belgique depuis 2001).
DTPa- IPV constitue donc le vaccin combiné pédiatrique quadrivalent (diphtérie, tétanos, polio et coqueluche). La version supérieure, soit le vaccin pentavalent inclut en outre la valence Hib (haemophilius influenzae de type b) et la version extrême enfin, soit le vaccin hexavalent aussi appelé Infanrix Hexa, inclut ces 5 valences avec en prime, celle contre l'hépatite B.
Ainsi en Belgique, alors que seul le vaccin polio en 3 doses était initialement obligatoire (deux doses dans la première année de vie et une dans la deuxième année de vie), on arrive déjà à forcer la main à plus de 95% des parents pour que l'enfant reçoive 4 doses (au lieu de 3) de ce vaccin IPV contre la polio mais surtout, on insère beaucoup d'autres valences non obligatoires dans le package et le chantage en crèches constituait donc un moyen de choix pour assurer un grand succès à tous ces vaccins multiples à l'intérêt contestable, en Belgique mais aussi dans beaucoup d'autres pays du monde. C'est ainsi, et par le biais de remboursements sélectifs, qu'on est parvenu à faire croire au caractère indispensable d'une majorité de nouveaux vaccins sans lesquels la majorité des adultes d'aujourd'hui ont très bien pu passer leur enfance! Bravo, la stratégie commerciale était habile et marche fort bien!
Mais pour combien de temps encore?
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