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6 août 2013 2 06 /08 /août /2013 15:15
La FDA est-elle en train d’essayer de vous supprimer vos vitamines?

Par Deirdre Imus

Green Your World

Publié le 20 Décembre 2011

FoxNews.com

 

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Ce qui a commencé comme une rumeur l’an passé, au sujet d’une possible interdiction de milliers de suppléments alimentaires aux Etats-Unis, a atteint un haut niveau de cacophonie ces derniers mois, lorsque la Food and Drug Administration (FDA) a indiqué son intention de réguler les « nouveaux ingrédients diététiques » dans les produits actuels et futurs.

 

Qu’est-ce que cela signifie ? Et plus important, comment cela pourrait-il vous affecter ainsi que votre santé ?

 

L’été passé, la FDA a publié un projet de recommandations conformes aux protocoles de notification des nouveaux ingrédients diététiques. Traduction : toute compagnie ou individu qui souhaite vendre ou développer un supplément contenant de nouveaux ingrédients devrait signaler son intention à la FDA. Un « nouvel » ingrédient est défini comme ayant été introduit après 1994, quand le Congrès a fait passer la Loi sur la Santé et l’Education en matière de Suppléments diététiques (DSHEA). Si la FDA suspecte un nouvel ingrédient d’être risqué ou non scientifique, l’ensemble du supplément alimentaire qui le contient est susceptible d’être retiré du marché. Aussi simple que cela.

 

Songez au nombre d’états pathogènes différents, graves ou non, que les gens traitent ou tiennent sous contrôle, au moyen de vitamines, minéraux, plantes ou autres thérapies alternatives. De l’arthrite ? Oui. Des maux de tête? Vérifiez, c’est également le cas. Les douleurs menstruelles? Absolument. Le cancer? Aboslument, vous pouvez aussi compter là-dessus. Pour quasiment tous les maux, douleurs et maladies, il existe des suppléments correspondants qui peuvent ou bien guérir, ou à tout le moins offrir des possibilités de soulagement, d’une façon nettement plus naturelle que via la médecine occidentale.

 

Encore plus inquiétant, les recommandations de la FDA de large portée, que certaines critiques qualifient même d’illégales, sont en mesure d’offrir des opportunités aux firmes pharmaceutiques en leur permettant de se réapproprier les affirmations et les suppléments naturels pour leur propre business.

Selon ceux qui s’opposent à ces recommandations sur les suppléments diététiques, une fois que certains de ces suppléments seront interdits, Big Pharma va probablement commencer à développer et à breveter les formules de ces produits.


Et comme ces grosses firmes, contrairement aux producteurs indépendants, sont bien davantage capables de financer les évaluations requises dans le processus règlementaire, ce seront sans doute elles qui vous vendront en même temps les médicaments chimiques habituels, en plus des suppléments naturels. En somme, récupérer d’une main l’argent perdu de l’autre.

 

Les recommandations relatives aux suppléments n’ont pas encore été imposées (en 2013, c’est pourtant le cas depuis lors, note d’IC) mais ce débat nous permet de mieux jauger le rôle des suppléments alimentaires dans nos vies quotidiennes. Même les gens qui sont assez chanceux d’être en assez bonne santé d’une façon générale, supplémentent en général leur régime alimentaire avec des multi-vitamines, des doses de vitamines D, ou C, ou des oméga 3. Les femmes enceintes et les jeunes mères sont aussi quasi toutes obligées de s’assurer qu’elles ont assez d’acide folique (= vitamine B9) dans leur corps de façon à permettre le bon développement de leur enfant.

 

D’innombrables produits sur les étagères des supermarchés –comme des céréales, du lait, des boissons protéinées, des yogourts et bien d’autres- prétendent être « enrichis » en vitamines- ceux-ci deviendront-ils illégaux aussi ?

 

Donc beaucoup des aliments que nous mangeons ont déjà été nutritionnellement appauvris au moment où ils arrivent dans les magasins en raison de modes de cuisson et de conservation irresponsables et contraires à la santé. La nécessité de supplémenter un régime alimentaire qui devrait être riche en vitamines et en minéraux, n’est même pas un luxe, c’est une nécessité.

 

Avec les suppléments alimentaires, les possibilités d’aider à guérir ou à soulager divers maux, sont infinies et en constante évolution. Bien que réviser et contrôler les ingrédients est indéniablement important, rendre en même temps leur vente illégale pourrait coûter des milliers de vies et d’emplois et des millions de dollars de dur labeur pour les Américains qui travaillent dans ce secteur comme indépendants. Cette tentative outrageante (mais non surprenante) de la FDA pour contrôler notre santé ne peut pas être prise à la légère. Il y a là en effet beaucoup trop à perdre pour beaucoup trop de gens, et à un coût beaucoup trop lourd pour notre bien-être collectif.

 

Deirdre Imus, Fondatrice du site dédié à la santé environnementale, dienviro.org, est aussi Présidente et Fondatrice du Deirdre Imus Environnemental Health Center au Centre médical Universitaire Hackensack et Directrice/co-fondatrice du Imus Cattle Ranch pour les enfants atteints de cancer. Elle est un auteur à succès pour le New York Times et une contributrice régulière de FoxNews Santé, FoxNews Business et FoxNews Channel.

 

Source: FoxNews 

 

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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 21:34

Va-t-on vers une nouvelle contrainte pour les personnes hospitalisées? Seront-elles un jour obligées de se faire vacciner durant ou avant leur séjour? Y aura-t-il un jour un chantage vaccinal qui conditionnera l'accès aux soins et aux services... au nom des "économies de santé" à faire?? Cet exemple montre aussi toute l'étroitesse d'esprit de l'establishment qui n'envisage par exemple JAMAIS de faire ce qu'on appelle un "aromatogramme", c'est à dire une sorte d'antibiogramme mais relatif aux huiles essentielles (au pouvoir microbicide considérable), de façon à pouvoir contourner intelligemment la résistance aux antibiotiques et réduire de façon efficace, sans les risques du moindre vaccin, la mortalité liée à ces infections.

 

Sanofi Pasteur lance une étude de phase III d’un vaccin contre le Clostridium difficile

  

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Publié le Lundi 5 août 2013

 

Sanofi Pasteur, la division vaccins de Sanofi a annoncé le lancement des essais cliniques de phase III du programme Cdiffense, pour évaluer l’innocuité, l’immunogénicité et l’efficacité d’un vaccin candidat pour la prévention des infections primaires symptomatiques à Clostridium difficile (ICD).

 

Le Clostridium difficile (C. difficile) est une bactérie sporulée potentiellement mortelle qui cause des affections intestinales. Le risque de contracter le C. difficile augmente avec l’âge, les traitements antibiotiques et la durée des séjours à l’hôpital ou dans les maisons de soins, où le nombre de cas peut provoquer des épidémies. Le vaccin candidat est conçu pour aider à protéger les individus à risque contre le C. difficile, qui apparaît comme l’une des principales causes d’infections associées aux soins potentiellement mortelles dans le monde.

 

Les toxines de C. difficile provoquent des affections gastro-intestinales pouvant causer la mort chez environ 8 % à 15 % des personnes infectées. Étant donné que 20 % à 30 % des patients infectés connaissent une rechute d’ICD, les réhospitalisations et les séjours prolongés à l’hôpital demeurent fréquents. Des données combinées des États-Unis (U.S.) et de l’Union européenne (UE) indiquent que les systèmes de santé dépensent plus de 7 milliards de dollars américains par an pour les soins de courte durée visant à traiter les ICD. Au niveau mondial, on rapporte une augmentation de l’incidence et de la sévérité des ICD dans les pays d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie, probablement due à l’apparition de souches hypervirulentes. Le vaccin candidat contre le C. difficile est conçu pour déclencher une réponse immunitaire qui cible les toxines produites par la bactérie C. difficile pouvant causer une inflammation de la paroi intestinale et entraîner une diarrhée. A terme, le vaccin pourrait aider à prévenir les futures infections à C. difficile.

 

« Avec l’apparition de souches de C. difficile plus difficiles à contrôler au cours des dernières années, les ICD sont devenues plus fréquentes, plus graves et plus compliquées à traiter, ce qui soulève des inquiétudes concernant les méthodes de contrôle et de prévention de la transmission », a expliqué le Dr John Shiver, Senior Vice-Président pour la Recherche et le Développement chez Sanofi Pasteur. « En offrant une manière efficace et rentable de protéger des individus contre C. difficile, la vaccination pourrait devenir une mesure importante au service de la santé publique. »

 

Cdiffense, le programme clinique de l’étude de phase III, vient de commencer le recrutement de 15 000 volontaires adultes pour participer aux essais cliniques internationaux multicentriques randomisés en simple aveugle et contrôlés par placebo. Ces essais se dérouleront sur 200 sites répartis dans 17 pays. Pour cette étude, les volontaires doivent être âgés de 50 ans et plus, bénéficier d’une hospitalisation planifiée ou avoir été hospitalisés au moins deux fois au cours de la dernière année et traités par antibiotiques à action systémique.

 

Source : mypharma-editions.com

 

A noter: le "placebo" n'est jamais d'application QUE dans le seul volet "efficacité" (= immunogénicité, soit le dosage des taux d'anticorps) des études vaccinales, et jamais dans le volet "sécurité". Il s'agit là d'une nuance très importante et nous vous renvoyons pour de plus amples explications à nos articles intitulés:



TOUS les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi



Le vrai scandale des faux placebos

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 15:33

Ira-t-on jusqu’à administrer le vaccin anti-HPV

 aux nourrissons ?

 

Si on veut fourguer les vaccins les plus dangereux qui sont utilisés aujourd’hui sur les adolescentes et pré-adolescentes, ainsi qu’aux garçons du même âge sans qu’il y ait aucune preuve scientifique de leur efficacité, pourquoi hésiterait-on à les administrer à des nouveau-nés – avec un rappel dans la suite bien entendu ? Il semble bien que ce nouveau programme marketing entre dans les vues du complexe industriel pour le Gardasil et le Cervarix.

 

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 « Messager de la peur » par Cap CatRagu, seringues ajoutées

 

Par Heidi Stevenson, 1er août 2013.

 

Les bases de données du VAERS (Organisme officiel Américain auquel sont rapportés les effets secondaires des vaccins) montrent clairement que les effets indésirables les plus rapportés sont attribuables aux Gardasil et au Cervarix, les deux vaccins contre le papillomavirus humain (HPV). Ce serait évidemment une folie que d’abaisser l’âge auquel ces vaccins sont administrés – il semble cependant que ce soit là exactement ce qui aurait été prévu.

 

Comme Gaia Health l’a expliqué, il n’a pas encore été démontré que ces vaccins étaient efficaces dans la prévention du cancer ; ils pourraient même causer la maladie. En fait, dans le document que la FDA a publié pour justifier l’utilisation du Gardasil, il est précisé que les femmes qui ont déjà été infectées par le HPV au moment de la vaccination, ont 44,6% de risques supplémentaires de développer des dysplasies cervicales. [1] Bien qu’il ne s’agisse nullement d’un problème mineur,  cette question est systématiquement ignorée dans la course au vaccin.

 

Alors, pourquoi devrions-nous être surpris que l’on y « mette la gomme » pour rabaisser l’âge de la vaccination ?

 

La justification

 

Une étude publiée dans la revue « Vaccine » a été mise sur pied pour justifier l’injection du vaccin contre le HPV à de tout petits bébés. [2] Les auteurs de l’étude écrivent :

 

« A l’échelle mondiale, la vaccination des nouveau-nés et des nourrissons est bien établie. L’infrastructure qui a été développée s’est avérée être un succès. Les programmes de la vaccination contre le virus de l’hépatite B (VHB) offrent un modèle pour l’introduction du HPV. Cette vaccination des nouveau-nés et des nourrissons pourra permettre une rapide réduction de la prévalence  des taux de VHB dans les cohortes d’enfants vaccinés, comme des cas de cirrhose et de cancer du foie au cours des décennies ultérieures. » [Souligné par l’auteur de l’article]

 

Ils considèrent que le fait d’administrer le vaccin contre l’hépatite B aux nourrissons le jour de la naissance, constitue un modèle pour justifier l’administration du vaccin HPV à un plus jeune âge. Plutôt que de vacciner les filles peu de temps avant la puberté, on suggère aujourd’hui de vacciner les nouveau-nés.

 

Nulle part, dans le document, la possibilité d’effets secondaires n’est envisagée !

Le Gardasil a été récemment associé au développement de la sclérose latérale amyotrophique (SLA) [3], la maladie dont est atteint Stephen Hawking. Le Japon a cessé de recommander les vaccins contre le HPV en raison d’effets indésirables graves. [4]

 

Current-Phramaceutical-Design.jpg

 

Le nombre d’effets indésirables du Cervarix rapportés au Royaume Uni est représenté dans ce graphique à partir d’une étude publiée dans le Current Pharmaceutical Design.[5]

 

Les préjudices occasionnés par ce vaccin éclipsent, en proportion, tous les autres effets secondaires des autres vaccins.

 

Pourtant, les auteurs de l’étude : « Recadrer la prévention du cancer du col de l’utérus: élargir le champ de la prévention des infections à papillomavirus humains et les maladies apparentées. » [2] veulent  repousser l’âge de la vaccination des enfants à celui des nourrissons. Par ailleurs, ils pensent aussi qu’il n’y aurait aucun problème à donner une dose de rappel quand les filles auront atteint l’âge auquel on les vaccine actuellement, comme si le vaccin ne pouvait provoquer aucun dommage !

 

Il n’y a aucune prise en compte d’effets indésirables ; aucune prise en compte non plus de la charge vaccinale accrue sur les bébés, non seulement avec un autre vaccin, mais avec celui qui est connu pour produire certains des effets indésirables les plus graves et les plus fréquents par rapport à ceux qui sont associés à n’importe quel autre vaccin.

 

Conflits d’intérêts

 

Ce projet a été financé par d’importantes agences gouvernementales, y compris la Commission européenne, l’Instituto de Salud CarlosII du gouvernement espagnol et l’Agencia de Gestio d’Ajuts Universitaris i de Recerca- Generalitat de Catalunya du gouvernement Catalan. Les auteurs et leurs employeurs sont les suivants :

 

F.Xavier Bosch : Programme de Recherche en Epidémiologie du Cancer (CERP) Institut Catala d’Oncologia – Catalan Institute of Oncology, L’Hospitalet de Llobregat (Barcelona), Espagne

 

Vivien Tsu : Directeur des projets de PATH sur le vaccin HPV, Seattle, WA, USA – partenaire de la Fondation Bill & Melinda Gates

 

Alex Vorsters et Pierre Van Damme : Centre for the Evaluation of Vaccination, Vaccine & infectious Disease Institute, University of Antwerp, Belgium.

 

Mark A. Kane: Consultant sur la Politique d’Immunisation, Mercer Island, WA, USA

 

Les employeurs de ces auteurs  sont évidemment et profondément liés à l’industrie du vaccin. Cependant, leurs liens personnels avec le complexe industriel du vaccin sont étonnants :

 

Bosch a réalisé des essais de vaccins contre le HPV, ainsi que des études épidémiologiques pour GlaxoSmithKline, Merck et Sanofi Pasteur MSD. Il a fait des essais de dépistage du HPV soutenus par Qiagen et reçoit des subventions (pour déplacements), ainsi que des honoraires de GlaxoSmithKline, Merck, Sanofi Pasteur MSD, roche et Qiagen.

 

Tsu n’a déclaré aucun conflit d’intérêt. Cependant, c’était elle qui était en charge d’un essai de vaccin en Inde contre le HPV et financé par la Fondation Gates. Cet essai a fait l’objet d’une attaque du gouvernement indien pour violation de l’éthique. Les sujets ont été choisis parmi des populations tribales, incultes et vulnérables. Le consentement de ces personnes n’a pas été obtenu correctement et les effets secondaires indésirables n’ont pas été correctement enregistrés. Tsu excuse les manquements à l’éthique parce qu’il s’agissait du genre de questions que l’étude avait à démêler. [6] Cela mis à part, on peut se demander comment elle peut suggérer qu’elle n’a pas de conflits d’intérêts alors que son salaire dépend de la promotion du vaccin qui fait l’objet de cette étude.

 

Van Damme est l’enquêteur en chef et directeur des essais de vaccins menés pour le compte de l’université d’Anvers qui reçoit des subventions de fabricants de vaccins. Il reçoit également des honoraires pour les conférences données sur les vaccins. Il est secrétaire du « Viral Hepatitis Prevention Board » (sponsorisé par divers fabricants de vaccins)

 

Vorsters est membre du secrétariat exécutif du Conseil sur la prévention de l’hépatite virale qui est soutenu par des subventions de GlaxoSmithKline Biologicals, Sanofi Pasteur MSD, et Merck.

 

Kane est membre du Conseil consultatif de Merck pour le vaccin contre le HPV et reçoit des honoraires de consultation, des honoraires et frais de déplacement de Merck.

 

Pourquoi devrions-nous faire confiance à une étude imprégnée de l’argent des sociétés de Big Pharma qui tireraient profit du déplacement de l’âge de la vaccination (âge des nourrissons) tout en ajoutant un rappel à l’âge auquel le vaccin est actuellement administré ?

 

L’absence totale de considération pour les dommages produits par les vaccins contre le HPV est choquant…

 

Vente de vaccins pour les nourrissons

 

L’article révèle subtilement que le vaccin contre le HPV n’a pas initialement été conçu pour être utilisé uniquement pour le cancer du col utérin de la femme, mais qu’en fait, il aurait été prévu pour toute une variété de cancers. Donc, apparemment, les filles ont été utilisées comme cobayes, à la fois pour réaliser la meilleure manière de vendre le vaccin et enregistrer les effets indésirables… ou, plus vraisemblablement, comme cette étude semble le montrer, pour voir jusqu’à quel point on pourra fourguer un vaccin comportant d’horribles et nombreux effets secondaires. Il semble certain que toutes les filles qui ont reçu le vaccin HPV ont et traitées d’une manière parmi les plus cavalières quand on apprend que le Gardasil a été testé sur des testicules de rats et non sur des ovaires !

 

Maintenant qu’il est devenu évident que le vaccin contre le HPV est exceptionnellement dangereux, il semble que tout l’effort se porte sur la manière dont on pourrait cacher ces risques.

 

S’il n’y avait pas eu le moindre problème, alors pourquoi ces auteurs ne se sont-ils pas donné la peine d’inclure les effets indésirables dans leurs calculs. ?

 

Le souci de ces auteurs ne semble rien à voir à faire avec des pertes de vies humaines ou des vies dévastées par la maladie. Ce qui semble surtout les intéresser, c’est  ce lamentable commerce du vaccin contre le HPV.

 

Ils pensent que le processus via lequel ils ont fourgué ce vaccin au peuple aurait été plus efficace si, au lieu de parler de « prévention du cancer », ils avaient simplement dit que les vaccins étaient destinés à prévenir « les maladies liées au HPV ».

 

Ainsi, on peut s’attendre à ce qu’apparaisse un changement subtil dans la façon dont les responsables se réfèrent au vaccin contre le HPV. Au lieu d’évoquer le cancer et en particulier le cancer du col de l’utérus, il est très probable  que l’on commence à entendre parler de « maladies liées au HPV avec l’accent mis sur le pluriel. Ils s’apprêtent donc à vendre la vaccination pour les nourrissons au nom de la prévention contre de multiples cancers. Les parents qui refuseront le vaccin HPV seront accusés de vouer leurs enfants à tout un éventail de cancers. A quelle technique de marketing avons-nous affaire ici ?

 

Références

 

1.Gardasil™ HPV Quadrivalent VaccineMay 18, 2006 VRBPAC Meeting, Table 17 on page 13

2. Reframing Cervical Cancer Prevention. Expanding the Field Towards Prevention of Human Papillomavirus Infections and Related Diseases; Vaccine; F. Xavier Bosch, Vivien Tsu, Alex Vorsters, Pierre Van Damme, Mark A. Kane;  doi.org/10.1016/j.vaccine.2012.05.090

3. CDC Takes Closer Look at Gardasil and Paralysis; U.S. News & World Report

4. Japan Withdraws HPV Vaccine Recommendation for Girls; Medscape

5. Human Papillomavirus (HPV) Vaccines as an Option for Preventing Cervical 6.Malignancies: (How) Effective and Safe?; Current Pharmaceutical Design; Tomljenovic L, Spinosa JP, Shaw CA.

7.Vaccine trial’s ethics criticized; Nature



Source: Gaia Health

 

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 15:18

«Les médecins sont manipulés par nous, et nous par les labos»

 

Créé le 01-08-2013 à 16h02 - Mis à jour le 03-08-2013 à 17h57

 

Par Anne Crignon (Nouvel Obs)

 

Julie Wasselin a longtemps parcouru la France pour vanter les mérites de médicaments dont elle ne savait pas grand-chose. Elle raconte aujourd'hui son métier de visiteuse médicale. Rencontre, et extraits de son livre.

 

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Julie Wasselin (©Bruno Coutier pour le Nouvel Observateur)

 

Pendant vingt-cinq ans, elle a parcouru 300 kilomètres par jour à travers la Touraine comme visiteuse médicale. L'image de ce métier que Julie Wasselin, aujourd'hui retraitée, a quitté sans regret se dégrade à mesure que les scandales sanitaires dévoilent le rôle ambigu de ces lobbyistes professionnels auprès des médecins. De cette vie, «entre chauffeur routier et homme-sandwich», elle a fait un livre qui fait causer dans les milieux de l'information indépendante. Une VM qui balance à visage découvert? Le cas est unique. «Ce livre montre à quel point l'information délivrée est avant tout un argumentaire de vente», dit le docteur Philippe Nicot, porte-parole du Formindep.1

 

Longtemps les VM de Servier ont vanté les vertus amaigrissantes du Mediator. Ceux du laboratoire GSK ont «poussé» le Requip, sans rien savoir des dérives sexuelles parfois provoquées par ces antiparkinsoniens et d'autres ont promu les pilules «nouvelle génération» malgré le risque d'embolie pulmonaire.

 

«Les médecins sont manipulés par nous. Et nous, nous sommes manipulés par les labos, dit Julie Wasselin. On finit par s'en douter. Des choses transpirent. On fait du commerce avec la santé des gens. Si les patients savaient pourquoi ils avalent un médicament plutôt qu'un autre, ils tomberaient raides morts. S'ils savaient que c'est parce que j'ai apporté douze bouteilles de champagne...» Du petit labo danois auquel elle a appartenu, deux fois racheté dans le cadre des fluctuations boursières du marché pharmaceutique, elle tait le nom: «Au moins, on ne m'a pas envoyé raconter des salades.» En tout cas, elle veut le croire.

 

Elle avait 35 ans et plus de mari, deux jeunes enfants, un cheval, quelques meubles, une voiture et un van. Après un atterrissage d'urgence dans une maison pleine de courants d'air du bocage d'Indre-et-Loire, il lui faut un travail. Une petite annonce, un rendez-vous à la Défense, et elle signe pour le job. «J'avais le profil. On va au charbon, mais pour 3500 euros net, primes comprises.» Julie Wasselin doit prendre dès le lendemain la place d'une femme qui vient de se tuer sur le verglas. Chargée de présenter un mucolytique, elle lit dans le train du retour une épaisse documentation sur le crachat.

 

Dans les années 1980, il y a 7000 VM sur les routes de France, encore trop peu pour que les médecins se sentent harcelés. La «visite» se fait alors à l'improviste. Le VM se présente entre deux patients par le nom de son labo: «Bonjour. Sanofi», «Bonjour. Pfizer.» Vingt ans plus tard, ils sont 20.000 de plus, alors il faut prendre rendez-vous, depuis les cabines téléphoniques sur le bord des nationales, avec leur tablette grande comme une soucoupe à café pour poser son agenda.

 

Julie Wasselin raconte les repas de midi pris au volant de la R5 pour pouvoir «faire» six médecins par jour, toute la paperasse dans sa boîte aux lettres, les «visuels» qu'il faudra mettre sous le nez de chaque prescripteur, les argumentaires, «un bachotage permanent, tard dans la nuit. Répondre à une spécialiste qui s'interroge quand on n'a pas le centième de ses connaissances, ça a quelque chose de surréaliste.».

 

Pénible aussi, les séminaires, «ce lavage de cerveau» où l'on doit rendre compte de ce qu'on a appris par cœur la veille, après un passage obligé en boîte de nuit. «Il faut faire jeune et beau même si on a le moral dans les chaussettes.» Et tous ces cadeaux à distribuer, des radiocassettes de ses débuts aux lecteurs DVD - «de l'achat de prescription», dit-elle.

 

Un jour, un généraliste de Blois lui a demandé si elle lui offrait une lampe ou un bureau. Elle n'est plus revenue. «Des médecins qui ont refusé un cadeau, j'en ai vu cinq en vingt-cinq ans j'ai eu envie de leur sauter au cou.» L'un d'entre eux, sosie de Lee Marvin, plutôt que de parler médocs, l'emmena chaque fois faire un flipper dans un bar au coin de sa rue.

 

Aujourd'hui, quand des «gens de la visite» viennent dormir chez elle, ils rapportent parfois des histoires de suicide. L'épuisement, Julie a connu elle aussi. «A la différence de ceux qui signent un contrat, nous, quand on a fini la visite, on ne sait pas si on a vendu ou pas.» Le labo, lui, sait. A la boîte près. Il y a des dépôts dans tous les départements, les pharmacies font remonter les chiffres. «Pour rien au monde, je ne voudrais refaire cela

 

Anne Crignon

 

Source : Le Nouvel Observateur

 

Lire la suite et des extraits du livre de cette ex-visiteuse médicale : ICI

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4 août 2013 7 04 /08 /août /2013 14:15

Voici un article très intéressant de novembre dernier, qui fut publié sur le site du journaliste indépendant Jean-Luc Martin Lagardette... il concerne une fois encore la partialité saisissante des grands médias qui ne cessent de désinformer les gens. 

 

1/11/12

 

Pour Sciences & Avenir, l’ouverture d’esprit est un “risque de dérive sectaire”

 

C’est du moins ce que semble penser Olivier Hertel, journaliste “scientifique” à Science & Avenir de novembre 2012. Il y présente son enquête, intitulée, en couverture du magazine, “Les sectes entrent à l’hôpital”. Et dans le corps du texte, il prétend apporter “les preuves des risques de dérives sectaires” causées par la présence de “médecines parallèles à l’hôpital”.


Le lecteur aura beau chercher : nulle trace de la moindre “secte” mais des méthodes thérapeutiques complémentaires, innovantes ou traditionnelles, mais “non validées scientifiquement”. C’est cela que le journaliste “scientifique” nomme “secte”.


Le terme de “secte”, pourtant, n’a aucune valeur juridique ni même scientifique, du moins dans le sens dans lequel il emploie ce mot, c’est-à-dire mouvement coercitif à visée mafieuse.


O. Hertel n’apporte pas des “preuves” de dérives sectaires, mais des “preuves des risques de dérives sectaires”. La nuance semble faible mais elle est capitale. En effet, elle permet à tous les adversaires des médecines non conventionnelles d’agiter le drapeau rouge pour effrayer le bon peuple et favoriser des mesures de répression sans avoir besoin de s’appuyer sur des faits avérés, ni encore moins de réels dommages. Non, il suffit de dire qu’il y a des “risques” pour être entendu.

Bien sûr, on ne peut nier l’existence de dérives entraînant des pertes de chance pour les malades ou des dégâts réels dans ces pratiques. Mais elles sont exceptionnelles : quelques affaires par an. En comparaison, les dégâts causés, eux, chaque année par la médecine “officielle”, par l’usage des médicaments “normaux” (et normés !) et par les pratiques médicales iatrogènes, s’élèvent à plus de 34 000 morts ! Ajoutons à cela les effets délétères de l’abus des prescriptions d´antidépresseurs et autres psychotropes...

Mais, dans cette affaire, il y a deux poids, deux mesures. Si vous êtes médecin de médecine “officielle” et que vos malades meurent dans vos bras, vous avez la bénédiction des autorités. Les 145 000 morts par le cancer chaque année sont désormais un chiffre statistique qui ne fait pas scandale.


En revanche, si vous pratiquez une médecine douce non validée par les autorités, vous risquez la radiation et l’opprobre national, même si aucun malade ne s’est plaint ! Normal, vous rentrez dans la catégorie des “risques” dits sectaires…


Combler les manques de la médecine classique


Le journaliste de Sciences (!) & Avenir prétend démasquer les “sectes” s’infiltrant dans les hôpitaux et les institutions médicales : reiki, réflexologie plantaire, méthode Louise Bourbeau, sophrologie, traitement Burzinski, compléments alimentaires à base d’algues, fasciathérapie, médecine chamanique, etc.


Si des hôpitaux accueillent, très parcimonieusement d’ailleurs, ces médecines douces, ce n’est pas parce qu’ils sont “infiltrés” par des “sectes”, comme veut le faire croire Sciences (!) & Avenir. Ils le font en connaissance de cause et parce qu’il faut bien apporter des réponses aux douloureux manques de la médecine classique. Ils le font avec responsabilité et parce qu’ils ont l’esprit ouvert.


Il est vrai que les autorités ont longtemps failli en laissant s’épanouir cette multitude d’approches sans les encadrer un minimum. Aujourd’hui, et la presse avec elles, elles surréagissent, les accusant d’être des “sectes” pour justifier leur répression voire leur interdiction.


Mieux vaudrait, comme le propose d’ailleurs le Centre d´analyse stratégique (CAS) dans sa récente note sur “Quelle réponse des pouvoirs publics à l’engouement pour les médecines non conventionnelles ?”, créer un label pour ces approches nouvelles.

Le CAS comme la Miviludes sont rattachés aux services du premier ministre. Le premier n’est qu’un organe consultatif, la seconde milite dans toutes les administrations et dans les enceintes parlementaires pour diffuser sa vision des choses. Vu la psychose anti-sectes entretenue en France depuis des lustres, nul doute que c’est la vision “dure” de la Miviludes qui l’emportera…

Jean-Luc Martin-Lagardette

 

Source : site de Jean-Luc Martin Lagardette

 

Commentaire d'Initiative Citoyenne:

 

Cet Olivier Hertel (qui fait décidément feu de tout bois!) nous a fait penser au « journaliste scientifique » belge Frédéric Soumois (du Journal Le Soir), qui lui aussi est dans le deux poids deux mesures, toujours en faveur des pratiques officielles et de Big Pharma. Mr Soumois relayait par exemple SANS PREUVES le discours officiel selon lequel il n’y aurait soi-disant aucun risque de vacciner les femmes enceintes (ben voyons…). Son manque d’objectivité certaine n’avait même pas été sanctionné par le très complaisant Centre de Déontologie Journalistique (CDJ) !



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3 août 2013 6 03 /08 /août /2013 22:40

Voici un article de mai dernier du journal L' Union-l'Ardennais qui montre toute l'inertie et la naïveté "de la masse"... on ne pense qu'à l'emploi, toujours l'emploi, mais pour les gens qui seront handicapés par ces futurs vaccins (peut-être aussi des gens du lieu), l'emploi n'aura plus aucun sens ni aucune importance, malheureusement!

 

Il importe aussi de rappeler QUI est le gestionnaire de cet entrepôt. Car c'est ce même l'EPRUS  (Etablissement de Préparation et de Réponse aux Urgences Sanitaires) qui avait signé, au nom de la Ministre, le contrat d'achat de vaccins H1N1 en France, un contrat tout à fait contraire aux intérêts les plus élémentaires des citoyens en termes de sécurité sanitaire. Comme quoi, l'Histoire n'est vraiment qu'un éternel recommencement....les Guerres, quelles qu'elles soient, auraient-elles jamais pu avoir lieu et tué autant de gens si les protestations et critiques l'avaient emporté?! Quiconque troque sa liberté au nom de sa sécurité (y compris d'emploi!) aura hélas tôt fait de perdre les deux...  dans une démocratie saine, l'armée n'a rien à voir avec la santé!!!!!!!!!

 

Marolles / Masques, gants, vaccins, médicaments… stockés sur le terrain militaire. Élus et habitants se disent favorables

 

PUBLIÉ LE 06/05/2013 - MIS À JOUR LE 06/05/2013 À 13:00

Par L'Union-L'Ardennais

 

L'enquête publique vient de s'achever. Les habitants n'ont émis aucune remarque. Ils semblent favorables à la construction d'un vaste entrepôt de matériel sanitaire à Marolles.

  

EPRUS.jpg

Un bâtiment de 36 000 m2 doit sortir de terre dans l'enceinte même de l'Etablissement de Ravitaillement Sanitaire des Armées (Ersa)

 

«Il n'y a pas une seule remarque, pas une seule objection. » À la mairie de Marolles, le commissaire enquêteur, François Stupp, n'a pas vu une seule personne lors de ses permanences.

 

Après la fin de l'enquête publique samedi dernier, force est de constater qu'élus et habitants soutiennent la construction d'une plate-forme de stockage de matériel sanitaire dans l'enceinte même de l'Établissement de ravitaillement sanitaire des armées (Ersa), à Marolles.

 

Un bâtiment de 36 000 m2 doit sortir de terre à côté de l'ancien gymnase, là où se dressait l'ancien hôpital militaire américain. À l'intérieur, un entrepôt standard où seront stockés les masques, gants, seringues et autres dispositifs médicaux ; un entrepôt pharmaceutique ; une chambre froide destinée à conserver des vaccins par exemple ; et deux bureaux. Entre 266 364 et 304 416 m3 au total de matériel sanitaire doivent y être stockés.

 

« Les emplois sont confortés »

 

En cas de crise sanitaire grave, cette plate-forme centralisatrice, gérée par l'Établissement de préparation et de réponse aux urgences sanitaires (Eprus), doit distribuer en produits de santé et dispositifs médicaux la France entière, via sept plates-formes logistiques réparties dans l'Hexagone. Trois personnes devraient travailler toute l'année sur le site, du personnel de l'Ersa pourrait être appelé en renfort en cas de crise sanitaire grave, voire même des intérimaires.

 

Pour Évelyne Piombini, maire de Marolles et Charles de Courson, député UDI de la Marne, cette nouvelle implantation va « consolider l'Ersa de Marolles » et donc «stabiliser les emplois ». Un avis partagé par les habitants. « Les emplois sont confortés. Avec la crise économique, on en a bien besoin », confie Laurence Diot, employée au bureau de tabac-presse et matériel de pêche « Le News ». L'Ersa emploie actuellement près d'une centaine de personnes.

 

Au Champ Margot qui se trouve juste à côté du futur entrepôt, les résidents se disent favorables au projet. Ils ne craignent pas les nuisances. « Le quartier est calme et il le restera. Nous ne sommes pas à côté d'un terrain militaire avec des manœuvres incessantes », déclare un habitant de 49 ans qui a emménagé il y a un an. « On n'entend rien ici. L'entrée de l'établissement se trouve de l'autre côté, sur la RD 396, poursuit Serge, commercial de 44 ans qui vit là depuis cinq ans. Et puis, les masques, gants, vaccins… il faut bien les stocker quelque part ! » « Il y a peu d'activité sur le site. Suivant la direction du vent, on n'entend plus le bruit des trains que l'Établissement de santé, fait remarquer Fabrice, commercial de 40 ans, qui habite le quartier depuis quatre ans. Si ça peut créer des emplois, il ne faut pas hésiter ! »

 

Le permis de construire a été approuvé le 18 juin 2012. Désormais, le commissaire enquêteur a un mois pour donner son avis au préfet de la Marne et adresser une copie au tribunal administratif de Châlons-en-Champagne.

 

Stéphanie GRUSS

 

Source: L'Union-L'Ardennais

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

H5N1: exercice de préparation "grandeur nature" en Polynésie française

 

H1N1: Bachelot sort les contrats des labos mais efface les prix

 

(H1N1) Le contrat entre l'Etats belge et GSK est révélé

 

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 22:10

HCSP.jpg

Comme on pouvait s'y attendre, le Haut Conseil de Santé Publique français a rendu un rapport aux conclusions connues d'avance à la Direction Générale de la Santé sur la question des vaccins à base d'aluminium.

 

Les conclusions sont de type émotionnel et basées sur la peur (imaginez les conséquences possibles si la couverture vaccinale diminue!) plus que sur une analyse objective et courageuse des risques avérés, et qui oserait ainsi tenir aussi compte de leur sous-estimation évidente.

 

Les médias, peu courageux eux aussi, relaient donc un message biaisé, une fois encore.

 

"Mieux vaut des vaccins contenant de l'aluminium... que pas de vaccin" titre Le Point. Evidemment, il s'agit là d'une affirmation qui n'a rien de scientifique.

 

L'article du Point qui relaie en fait benoîtement l'avis du HCSP est truffé de contre-vérités et simplismes vraiment très (trop) grossiers:

 

- Il mentionne que la controverse sur l'aluminium n'aurait finalement vraiment émergé qu'en France alors que la toxicité de cette substance a été mise en lumière sur base d'études inernationales publiées depuis des décennies par des chercheurs de différents pays du monde.

 

- L'article évoque la balance bénéfices/risques des vaccins, alors que celle-ci, compte tenu du caractère expérimental propre à TOUS les vaccins, n'a en réalité jamais été établie pour AUCUN des vaccins actuellement disponibles sur le marché ou qui l'ont un jour été!

 

VACCIN-17.jpg

- L'article précise qu'aucun lien de causalité n'a été formellement établi entre la lésion de myofasciite et les symptômes associés. Mais dans ce cas-là, on peut faire une croix sur beaucoup de causalités pourtant déjà établies par la médecine officielle sur base du même genre d'association. Le problème ici, c'est qu'on touche au dogme des vaccins et qu'il est par définition intouchable. Mais quand on a éliminé toutes les autres causes possibles, qu'on a épluché les études sur les propriétés connues de l'aluminium, qu'on constate la chronologie des symptômes en post-vaccination, qu'on constate une lésion et une migration notamment cérébrale de l'aluminium vaccinal, il faut vraiment être intellectuellement peu honnête pour nier le bienfondé du lien de causalité à établir dans le cas d'espèce.

 

- L'article ne détaille pas la question des différents modes d'administration: ingestion (voie orale), injection (voie sous-cutanée ou au contraire intra-musculaire). Or cette question est pourtant fondamentale lorsqu'il s'agit d'examiner objectivement la toxicité d'une substance. En effet, le filtre digestif apporte une sécurité par rapport à l'absence de filtre protecteur, comme cela est le cas avec le larguage par surprise de l'aluminium par voie injectable. La voie intra-musculaire est quant à elle encore plus péjorative que la voie sous-cutanée vu qu'elle enferme et enfonce encore plus profondément l'aluminium dans l'organisme, sans que la Nature ait par ailleurs jamais prévu une telle offense.

 

- L'article pointe que la majorité de cas diagnostiqués (ne parlons pas de la partie émergée et majoritaire de l'iceberg bien sûr) l'a été par une même équipe avec un taux de détection nettement moins par d'autres équipes. La raison principale est que les autres équipes n'avaient pas réalisé de biopsies au lieu exact d'injection (deltoïde) mais dans la cuisse ou ailleurs. Par conséquent, il est logique que le taux de détection ait pu être moindre. Et puis, même si cette maladie peut être ancienne au niveau de ses symptômes, les moyens de sa détection ne sont pas si vieux que ça. Standardiser des approches diagnostiques peut prendre du temps à l'échelon international.

 

- L'article relaie aussi une ineptie de plus de la part du HCSP: celui-ci prétend en effet que ces symptômes n'ont pas été décrits chez les nourrissons qui sont pourtant le public le plus exposé au niveau du nombre et de la fréquence des vaccinations, à base d'aluminium notamment. A cela, il y a deux remarques logiques et limpides à faire: la première, c'est que les nourrissons sont incapables de verbaliser les malaises et les symptômes qu'ils peuvent présenter. Par conséquent, des douleurs articulaires ou musculaires chez des nourrissons peuvent rester purement et simplement indécelables par les médecins, ce genre de problèmes pouvant ne se traduire que par des pleurs, des modifications d'appétit, du sommeil, autant de symptômes secondaires qui ne permettront donc pas forcément de remonter aux symptômes primaires plus spécifiques au terme d'investigations diagnostiques plus poussées. Idem pour l'altération parfois subtile du développement neurologique des enfants due à l'aluminium neurotoxique des vaccins puisque ces effets pourront par exemple ne se remarquer vraiment qu'au fur et à mesure du développement neuro-cognitif des enfants concernés. La deuxième remarque à faire à ce niveau, c'est  qu'il y a aussi un phénomène de bioaccumulation des métaux: le corps a une certaine capacité de supporter les poisons, à la manière d'un vase qui se remplit, jusqu'au jour où... le vase déborde! Avec les vaccins, c'est aussi souvent ce qui peut se passer, et donc il n'est pas du tout impossible que ce phénomène soit aussi à l'oeuvre ici: un risque possiblement plus grand chez les adultes du fait d'une accumulation de vaccins à base d'aluminium qui accroît statistiquement et quantitativement ce risque au cours de la vie.

 

On le voit: tout est fait pour blanchir l'aluminium et ne pas remettre la sombre politique vaccinale en cause. Dans le même temps, il s'agit d'essayer de faire "bonne figure" en préconisant officiellement d'autres recherches sur les adjuvants, d'éviter si possible le recours aux adjuvants pour les futurs vaccins pandémiques dont on parle décidément de plus en plus etc etc. La priorité n'est pas la sécurité publique mais la poursuite des relations amicales avec les pharmas, la poursuite aussi du suivisme docile par rapport aux diktats internationaux (OMS et cie), tout en minimisant aussi le risque juridique de procès en masse pour mise en danger des patients depuis des décennies avec ce genre d'imprudence caractérisée.

 

Lire ici la réplique de l'Association E3M aux affirmations gratuites du HCSP

 

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 16:55

Responsabilité médicale : la Cour de cassation se prononce sur le lien entre la vaccination contre l’hépatite B et la sclérose en plaques

 

balance-justice-2.jpg

 

Le 28 juillet 2013. Par Arnaud Gossement, avocat.

Ce 10 juillet 2013, la première chambre civile de la Cour de cassation vient de rendre un arrêt particulièrement important pour le droit de la responsabilité médicale. Un arrêt qui intervient dans le contentieux, en cours depuis plusieurs années, relatif aux conséquences possibles de la vaccination contre l’hépatite B.

L’arrêt rendu ce 10 juillet 2013 par la Cour de cassation peut être consulté ici et ici. Il s’agit d’une décision très importante dont le modeste écho médiatique est sans doute dû à la période estivale. Car la portée juridique de cette décision est certaine. À titre personnel, j’ai consacré une partie non négligeable de mes années de thèse au lien de causalité entre le fait générateur et le préjudice en matière de responsabilité médicale, et ce, pour identifier l’émergence de la présomption de lien de causalité dans ce domaine, particulièrement en matière de vaccination. 

Dans cette affaire, la requérante avait reçu plusieurs injections de vaccins contre l’hépatite B. Elle s’est par la suite "plainte d’épisodes de paresthésie des mains" puis "d’un état de fatigue et de troubles sensitifs, qu’elle a dû cesser de travailler (..) le diagnostic de sclérose en plaques a été posé en décembre 1998".

Cette personne a alors recherché la responsabilité du fabricant des produits injectés.

L’arrêt rendu par la Cour de cassation est intéressant à plusieurs titres en ce qu’il confirme une jurisprudence sur la présomption du lien de causalité et en ce qu’il démontre l’interaction entre la responsabilité médicale et celle du fait des produits défectueux.

Lire la suite de cet article: ICI 

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 16:15

enfant-malnutri-II.jpg

Alors que le prix des vaccins distribués en grand nombre dans les pays pauvres pourrait avantageusement être transformé en substances autrement plus vitales comme l'eau et la nourriture, des organisations internationales continuent d'investir des centaines de millions de dollars dans l'achat de "nouveaux vaccins" pour les populations de ces pays qui n'en sont absolument pas demandeuses!!

 

Bien sûr, la presse aux ordres présente les choses d'une façon "généreuse", comme si cela était une vraie bonne action de la part du fabricant...

 

"Pfizer rend un vaccin abordable aux pays pauvres" titre l'Associated Press, relayée par divers médias canadiens.

 

Vraiment? Ce qui est malhonnêtement présenté comme un "don" représente bien davantage la stratégie des soldes. En effet, 260 millions de doses de Prevenar 13 (contre les pneumocoques) dont 80% rapporteront chacune 3,30 dollars à Pfizer et les 20% restants, 6,80 dollars, cela constitue tout de même un magot de 1 MILLIARD et 40 millions de dollars pour le fabricant!!! Bien sûr, il y a le coût de fabrication, mais il faut savoir que les vaccins figurent parmi les médicaments dont la marge bénéficiaire est la plus forte.

 

Etrangement, aucune association humanitaire d'aucune sorte n'arriverait jamais à réunir une telle somme en faveur de l'eau ou de la nourriture. Rien que cela suffit déjà à démontrer que le slogan de l'OMS et de l'UNICEF, est en déphasage profond avec ce qu'elles cautionnent dans les faits!

 

Car si l'OMS prétend que les pneumocoques font 1,6 million de morts chaque année dans le monde dont la moitié chez des enfants de moins de 5 ans - une affirmation qu'on est censé croire comme parole d'Evangile mais dont on peut se demander par qui elle a réellement été vérifiée et confirmée - , combien de MILLIONS de gens et d'enfants meurent chaque année dans le monde d'un manque d'eau et de nourriture dont la substitution n'induit aucun effet secondaire????

 

Sur le site de la FAO, on peut lire qu'il y a 925 MILLIONS de gens qui souffrent chroniquement de la faim dans le monde. En matière de décès, on est très loin devant les décès qui seraient liés aux pneumocoques!  Un enfant meurt de faim toutes les 6 secondes dans le monde, soit plus de 5 MILLIONS DE DECES annuels d'enfants!

 

Bien sûr, officiellement, on prétend que la réduction de la faim dans le monde est en position n°1 parmi les Objectifs de Développement du Millénaire. Mais si cela était sincèrement vrai et que l'OMS était honnête, il est évident que l'argent donné à Pfizer l'aurait été en achat d'eau et de nourriture pour sauver plus sûrement et plus efficacement bien plus de gens d'une mort absolument certaine!

 

Dans le journal Le Monde, on pouvait en effet lire en 2008:

 

"Pour Action contre la faim, entre 1,5 et 3 milliards d'euros par an permettraient de traiter toutes les personnes touchées par la malnutrition aiguë sévère, dernier stade avant la mort. Les victimes sont avant tout des enfants de moins de cinq ans, 19 millions seraient concernés à travers le monde. Cet argent servirait à financer l'organisation des soins et l'achat des produits thérapeutiques."

 

Ne pas gaspiller près d'1 milliard de dollars en vaccins risqués et pourvoyeurs d'effets secondaires qui ne peuvent à leur tour QUE favoriser et entretenir la pauvreté, cela permettrait d'arriver à réunir ces sommes et à sauver tous ces enfants de la mort. Quand on est honnête, qu'on voit ces chiffres, on ne peut que critiquer l'idéologie vaccinale criminelle qui coûte des vies, une fois encore au seul bénéfice des pharmas.

 

L'OMS, en 2012-2013, avait encore en poste budgétaire n°1... la vaccination avec un chiffre de 679,5 MILLIONS de dollars contre seulement 1,3 MILLION de dollars pour les situations d'urgence y compris les besoins en eau, assainissement et en nutrition!!

 

1 MILLIARD de dollars, c'est donc une somme qui représente près de 769 FOIS le budget annuel de l'OMS pour les besoins d'urgence en eau et en nourriture! Rendez-vous compte!!

 

La réalité, c'est que le faux "don" du fabricant suit tout à fait l'idéologie politique (et non sanitaire!) d'une instance comme l'OMS dont le but est de vacciner un maximum de gens contre un maximum de maladies avec un maximum de vaccins existants, et entre autres aussi, d'introduire sans cesse de nouveaux vaccins dans les pays qui ne les ont pas encore introduits. Par principe, plus que par volonté de sauver des vies, comme on vient de le démontrer efficacement ci-dessus. 

 

Ceci étant expliqué, on a donc la réponse à l'étonnement de Virginie Belle dans son livre "Faut-il faire vacciner son enfant?", lorsqu'elle écrit: "La primauté donnée à la vaccination est incompréhensible. A tout le moins, ces deux objectifs pourraient être sur un pied d'égalité. On en est très loin.  Et de rajouter "Comme le rappelle Marc Gentilini (professeur honoraire de maladies infectieuses à la Pitié Salpétrière, à Paris): "la priorité dans les pays en voie de développement, c'est l'eau potable. C'est une priorité encore plus importante que la vaccination. L'eau, c'est la vie." "L'eau, c'est la clé. Mais il n'y a pas de profit à faire." ajoute le professeur et Prix Nobel Luc Montagnier."

 

Il ne faut pas demander aux idéologues de réfléchir avec leur coeur ni de faire preuve de compassion, non, tout ce qui compte, c'est leur obsession, ici en l'occurence, la vaccination.

 

Pour ce qui est des fabricants, les choses sont très simples: il est préférable de vendre quand même à moindre coût et en grand nombre (principe des soldes) plutôt que de ne pas du tout avoir ce marché. Et quand l'appât du gain se mêle à l'idéologie, cela donne un beau gros gâchis de santés et de vies!

 

Voir aussi les articles connexes suivants:

 

Le vaccin Prevenar est-il un vaccin sûr et sans danger?

 

De l'eau et de la nourriture? NON! Des vaccins? OUI!!!!!

 

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31 juillet 2013 3 31 /07 /juillet /2013 13:34

25 juillet 2013. Par Anne-Laure Grillo

 

Tué par la Médecine Conventionnelle

 

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Quelque chose ne tourne pas rond quand on entend les Organisations de Santé dire que les vitamines sont dangereuses, ignorant les statistiques qui prouvent que le gouvernement sanctionne la vérité pour mettre en avant les médicaments qui sont un réel danger.

 

Voici quelques données concernant les Etats-Unis:

 

Des chercheurs se sont penchés sur le sujet et ont fait une découverte choquante. “Choquante”, mais pas pour tout le monde.

 

Leurs résultats montrent que le nombre de personnes qui se trouvent à l’hôpital et qui sont sujettes aux effets secondaires de leurs médicaments avoisine les 2.2 millions par année.

 

Le nombre d’antibiotiques prescrits inutilement pour des infections virales s’élève à 20 millions par an. Sans compter les 7.5 millions d’interventions médicales et chirurgicales non nécessaires ainsi que les hospitalisations annuelles de 8.9 millions de personnes sans raisons valables.

 

Le plus impressionnant dans tout ça, c’est le fait que le nombre de personnes décédées à cause de la médecine conventionnelle est de 783 936 par an.

 

Pour la France maintenant:

 

Chaque année les effets secondaires des médicaments tuent au minimum 18 000 personnes.

 

Soit beaucoup plus que les accidents de la route (avec une prévention routière dans notre hexagone qui frôle le ridicule)!

 

Selon les chiffres de la sécurité routière, pour 2012 il y a eu 3 645 personnes tuées sur les routes.

 

D’ après le Docteur Bernard Bégaud:

 

Mourir pour un produit dont vous n’avez pas besoin est quelque chose de très grave”, a souligné le professeur. Il a pointé du doigt la mauvaise formation des médecins en pharmacologie, la science des médicaments. “Les alertes sur les effets indésirables d’un médicament proviennent à 85 % des hôpitaux et seulement à 15 % des médecins libéraux”.

 

source (www.lemonde.fr)

 

Il y a en France 150 000 hospitalisations annuelles dues aux médicaments.

 

Il est raisonnable de supposer que la grande majorité des médecins se soucient légitimement de la santé et du bien être de leurs patients (cela avant d’être blasés par le système de santé de notre pays).

 

Ce problème (la confiance aveugle en nos médecins) fait partie des plus grands problèmes qui évoluent dans notre monde moderne.

 

Les médecins sont formés pour traiter les symptômes de la maladie et non la cause. Ce qui engendre une grande catastrophe médicale. Toute maladie doit être soignée à sa source. Les médicaments ne font que masquer le problème tout en rajoutant de nombreux effets indésirables pouvant entraîner la mort dans certains cas, de part leurs molécules synthétiques entre autres, sans soigner la maladie.

 

Si on rajoute les additifs alimentaires, la malbouffe, le stress, la pollution, le tabagisme, la consommation d’alcool… ce qui malheureusement est le quotidien d’un trop grand nombre d’individus, et cela dès la petite enfance…

 

Vivre en bonne santé n’est pas un art, ni un snobisme mais une réelle écoute de soi et des besoins de son propre organisme. Tout le contraire de ce que nous indique la société actuelle.

  

Source: La Santé et les Plantes.com

 

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