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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 15:35

TC Hasselt - Un mois de prison et une amende pour ne pas avoir vacciné son enfant contre la polio

 

lundi 03 mars 2014 à 21h06

 

(Belga) Un couple originaire du Limbourg a été condamné lundi devant le tribunal correctionnel de Hasselt à un mois de détention et une amende de 165 euros pour ne pas avoir vacciné un de leurs enfants contre la polio.

 

La femme de 31 ans et l'homme de 43 ans n'avaient pas fait effectuer, entre février 2007 et juin 2008, de vaccin contre la polio sur leur fils. Ils affirmaient pourtant être en ordre et avoir transmis une attestation de vaccination à l'agent de quartier, document qui, selon leurs propos durant la première audience, aurait été perdu entre-temps. (Belga)

 

Source: Le Vif

 

vaccine-cartoon.jpg

 

La maman: "Docteur, les vaccins ne contiennent-ils pas des embryons de poulet, du formaldéhyde qui sert à embaumer les morts, des spermicides, des agents cancérigènes, de la gélatine d'animaux de boucherie, du mercure, des antibiotiques et de l'antigel ??? "

 

Le médecin: "Je n'en sais rien... Nous sommes juste payés pour piquer le plus de gens possible !!"

 

Le bébé: "S'il vous plaît, à l'aide, appelez le centre anti-poisons !!"

 

Question éthique : Est-ce qu'il vaut mieux se faire condamner en correctionnelle à une peine de principe qui ne sera de toute façon pas effectuée ou accepter d’administrer à son enfant un vaccin dont le potentiel cancérigène n’a pas été évalué alors qu’il contient pourtant du formaldéhyde qui est un cancérigène certain et qu’il n’existe pas la moindre procédure d’indemnisation des victimes de ce genre d’acte imposé ?? Juridiquement, on peut non seulement invoquer le droit au consentement libre et éclairé (loi du 22 août 2002) mais aussi le devoir d’agir en bon père/bonne mère de famille c’est-à-dire de façon normalement prudente et diligente dans l’intérêt de son enfant (Code Civil). Est-ce bien prudent de foncer tête baissée « parce que les autorités l’imposent » alors que ces mêmes autorités se sont déjà rendu coupables de PUBLICITE VACCINALE TROMPEUSE « de nature à induire le consommateur en erreur », en violant les exigences de loyauté et de véracité ?? Est-ce donc bien cela agir en père ou mère de famille prudents??

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 15:00

GARDASIL : ma famille souffre avec moi

 

Par Heidi Juul Petersen, 1er mars 2014

 

Famille de Heidi

 

 

Mon mari et moi avons trois enfants. Avant que je ne reçoive le Gardasil, toute la famille était très active ; nous avions plusieurs activités avec nos enfants, nous étions très heureux. Personnellement je marchais beaucoup, entre 15 et 20 Km par jour. Comme j’étais assistante sociale, il m’arrivait aussi de faire 20Km à vélo en une seule journée. Il y a plus d’un an maintenant, j’ai reçu l’injection du vaccin Gardasil. Je suis toujours en congé de maladie essayant de récupérer des effets secondaires de ce vaccin.

 

C’est le 15 février 2013 que j’ai reçu la première injection du vaccin Gardasil.

 

J’ai choisi de me faire vacciner parce que je pensais que c’était la chose la plus sûre à faire du fait que j’avais trois petits enfants. J’en ai parlé à mon médecin. Il fut d’accord. Il ne m’a pas dit que, pour moi, ce n’était pas nécessaire du fait que mon mari et moi étions ensemble depuis 13 ans.

 

Le 15 février, le jour de mon premier vaccin, j’ai été un peu surprise de constater que mes règles avaient commencé un peu plus tôt que d’habitude, mais je n’ai pas pensé plus loin parce que je me réjouissais du voyage que nous allions faire pendant ces jours de congé.

 

Après avoir eu des pertes de sang pendant 14 jours, j’ai un peu commencé à m’inquiéter. J’ai ensuite remarqué que mon stérilet se détachait. J’ai alors pris rendez-vous avec le médecin pour qu’il puisse l’enlever. Je fus donc mise sous pilule.

 

J’avais toujours de petites pertes de sang, mais je pensais alors que la chose était due à l’enlèvement de mon stérilet. Mes règles suivantes sont apparues en avril. Cette fois encore elles durèrent plusieurs semaines. Mais je me sentais comme étourdie et sur le point de m’évanouir. Au cours de la visite médicale, j’appris que ma tension était très basse. Le médecin ne put en trouver la raison. A cette époque, personne ne soupçonnait le vaccin.

 

L'un de mes mystérieux symptômes

L’un de mes mystérieux symptômes

 

Quelques jours plus tard, le 18 avril 2013, je reçus ma seconde injection. Deux jours après, soit le 20 avril, ma vie avait complètement changé. Brusquement je n’ai plus été capable de faire quoi que ce soit. Je traînais comme je pouvais ma jambe qui était paralysée. Mon mari devait m’aider pour tout parce qu’un moment, mes bras étaient aussi paralysés. Mes doigts s’étaient recroquevillés sur eux-mêmes ; je ne parvenais pas à les desserrer. Finalement la situation s’est améliorée, mais les problèmes suivants sont apparus dans la suite :

 

*  Perte de mémoire

*  Maux de tête

*  Grande fatigue

*  Engourdissements/douleurs qui apparaissent brusquement dans tout le corps et  

   qui durent de quelques minutes à plusieurs jours.

*  Manque de concentration

*  Vertiges

*  Faible pression sanguine

*  Pouls élevé

*  Rash

*  Perte de poids

*  Fièvre - un moment je gèle, le moment suivant, je suis toute en transpiration

*  Problèmes de vue

*  Douleurs au niveau des mâchoires, du cou et du dos

*  Crampes dans le dos

*  Palpitations

*  Douleurs abdominales

*  Acouphènes

*  Jambes lourdes

*  Impossibilité de parler de manière cohérente

*  Anémie pernicieuse – Carence en vitamine B12

*  Moins de force dans les mains et les jambes

*  Diarrhée

*  Nausées

 

En novembre 2013, on a diagnostiqué le syndrome de tachycardie posturale. Mon pouls était de 100 -115. Les palpitations que je ressens me font me sentir mal. Quand je vis cette situation, je ne puis plus courir ou jouer avec mes enfants.

 

J’ai encore des troubles sensoriels et des douleurs qui apparaissent puis disparaissent. J’ai de tels problèmes avec mes jambes que je puis à peine marcher.

 

Il arrive que je puisse reprendre ma fille après l’école, mais n’ai plus la force d’aller chercher les deux garçons à la maternelle et à la crèche. Mon mari doit alors s’en charger.

 

Ma tête me fait parfois tellement mal que je dois rester allongée toute la journée. C’est dur pour les enfants de comprendre pareille situation. Heureusement mon plus jeune garçon peut marcher maintenant parce que je n’ai plus la force de le soulever.

 

J’aimerais partager avec vous un dessin de ma petite fille Rebecca, ainsi que les commentaires qui sont écrits en danois. Voici ce que ma petite fille de 7 ans a dit de moi dans un devoir qu’elle devait faire pour l’école :

 

Dessin famille danoise

 

*  Malade

*  Sur le canapé

*  A la maison

*  Malade

*  Si longtemps !

 

Je me bats comme je peux. Je veux trouver pourquoi tout cela m’est arrivé. Je veux me rétablir. Je veux retrouver ma santé. Je veux espérer que le futur me permettra de participer à nouveau à toutes les tâches de la maison : changer les langes, passer l’aspirateur, laver le sol, faire la lessive, le nettoyage des vitres etc. toutes ces choses que je n’ai pu faire depuis que j’ai été vaccinée. C’est là mon objectif. Je veux pouvoir, comme dans le passé, jouer et m’amuser avec mes enfants.

 

Cette terrible expérience n’a pas affecté que moi: elle continue de nous affecter tous les cinq.

 

J’ai écrit au Premier ministre du Danemark, au ministre de la santé et à plusieurs autres personnalités danoises, mais n’ai reçu aucune réponse utile.

 

Ce ne sont pas ces réponses dont j’ai besoin. Ce que je veux c’est de l’ACTION, comme celle qu’ont entreprise toutes ces personnes qui, comme moi, ont été victimes du Gardasil au Danemark (ou partout ailleurs dans le monde). Nous avons tous besoin d’être diagnostiqués correctement. Nous avons besoin de recevoir les traitements adéquats qui nous rendront la vie et la santé. C’est MAINTENANT que nous avons besoin de tout cela – et pas dans un an ou deux !

 

Source: SaneVax

 

 

«Ce vaccin est une expérimentation vaccinale à grande échelle sur des jeunes filles cobayes. Il est non seulement inefficace mais éthiquement indéfendable.[…] Ce qui est plus inquiétant, c’est que les articles scientifiques parlent de cas d’insuffisance ovarienne, ce qui correspond à une ménopause précoce et donc à une stérilité.»

 Dr Pascal Büchler, médecin généraliste à Yverdon et membre du Groupe Médical suisse de réflexion sur les vaccins. (Publié sur le site de l'Association des Médecins du Canton de Genève).

 

 

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1 mars 2014 6 01 /03 /mars /2014 17:27

Les vaccins vivants contre la grippe multiplient par 100 fois les taux de bactéries chez les souris


Par Sayer Ji, 27 février 2014

 

Souris-bacteries-cent-fois.jpg

Si  les vaccins « atténués » contre la grippe sont probablement supposés protéger contre la grippe et ses complications qui peuvent être parfois mortelles, alors pourquoi les souris vaccinées présentent-elles des taux de bactéries pathogènes associées à la grippe 100 fois plus élevés que les souris non vaccinées ?

 

Une nouvelle étude préoccupante publiée dans mBio,  journal ayant un accès ouvert à l’American Society of Microbiology, et intitulée : « Le Vaccin Vivant Atténué Contre la Grippe Augmente la Colonisation du Streptocoque de la Pneumonie et du Staphylocoque Doré chez les Souris », révèle que les vaccins à virus vivants atténués conduisent à la prolifération rapide et soutenue de bactéries pathogènes dans le tractus respiratoire supérieur de la souris, et à des densités de colonisation 100 fois plus élevées que chez les souris non vaccinées.

 

Cette étude est la première du genre à démontrer que la vaccination avec un vaccin viral vivant atténué peut modifier radicalement le comportement et la colonisation de bactéries pathogènes humaines d’une manière très semblable à celle qui suit l’infection de « type sauvage », à savoir les infections grippales qui circulent naturellement.

 

On sait très bien que l’infection de la grippe peut entraîner des complications graves de santé, mais c’est la première fois que l’on a découvert qu’une souche vaccinale de la grippe a pu induire des modifications similaires chez les bactéries liées à la maladie.

 

Les auteurs décrivent les effets indésirables typiques de l’infection grippale :

 

«  L’infection due au virus de la grippe augmente la susceptibilité aux infections bactériennes graves des voies respiratoires inférieures et supérieures, ayant pour conséquence des complications comme la pneumonie, la bactériémie, la sinusite, et l’otite moyenne aiguë (11) Les infections bactériennes associées au virus de la grippe peuvent être une cause primaire de mortalité en l’absence d’une comorbidité préexistante (12, 13). L’infection primaire du virus de la grippe augmente l’acquisition, la colonisation et la transmission d’agents pathogènes bactériens (14), et plus particulièrement du streptocoque de la pneumonie et du staphylocoque doré. (11,15)

 

Parce que les infections bactériennes secondaires à l’infection grippale constituent la cause principale des dommages de santé et même des décès communément attribués à la grippe elle-même, ces découvertes pourraient avoir d’importantes implications pour les politiques de vaccination qui, à l’heure actuelle, ne prennent pas en compte le fait que les vaccins, qui peuvent réduire le risque d’une maladie infectieuse, peuvent aussi en contrepartie augmenter le risque d’apparition d’autres agents pathogènes tout aussi inquiétants, voire plus inquiétants.

 

[…] Les chercheurs ont souligné l’importance de leur découverte dans la mesure où «l’infection de la grippe conduit les individus à devenir transitoirement sensibles à davantage d’infections bactériennes, tout particulièrement au streptocoque de la pneumonie et au staphylocoque doré. »

 

Parce que «  les infections bactériennes constituent une cause majeure de maladies graves au cours des épidémies de grippe », l’implication est que les effets modificateurs de l’immunité dus au vaccin vivant contre la grippe peuvent inclure la suppression des défenses immunitaires innées, rendant l’hôte plus sensible aux infections bactériennes secondaires susceptibles de causer des dommages associés à la grippe.


nasally-flu-vaccine.jpg

En plus de la découverte que les vaccins atténués contre la grippe favorisent une croissance bactérienne accrue dans les voies respiratoires supérieures, les chercheurs ont aussi découvert une augmentation du « transport » bactérien quasi identique à ce qui est observé dans les infections à virus sauvage contre la grippe.


Même 28 jours après la vaccination, après que le nasopharynx soit complètement débarrassé de ces virus (approximativement 7 jours après le vaccin), une prolifération excessive de bactéries a été observée chez les souris (2 à 4 fois plus élevée entre les jours 1 et 3  qui ont suivi l’infection).

 

Alors que les chercheurs n’ont pas trouvé que les vaccins à virus vivants atténués augmentaient la morbidité ou la mortalité associées à la maladie bactérienne des voies respiratoires des souris, ils ont cependant mis en garde :

 

« Ces résultats pourraient avoir des conséquences sur les processus de la maladie bactérienne individuelle au niveau des voies respiratoires supérieures, ainsi que sur la dynamique de transmission bactérienne au sein de populations vaccinées au moyen de vaccins à virus vivants atténués. »

 

En d’autres termes, même si les augmentations significatives des infections bactériennes ne sont pas responsables de la morbidité et/ou mortalité accrue dans les populations vaccinées, leur transmissibilité à d’autres personnes augmenterait en raison des niveaux plus élevés et une plus longue durée du « transport » des bactéries pathogènes. Ceci est bien sûr, le principal argument utilisé pour faire pression afin que les non vaccinés se plient à la vaccination , parce que les non-vaccinés seraient en quelque sorte davantage susceptibles de transmettre la maladie que les vaccinés. Si cette étude effectuée sur des animaux devait s’appliquer à l’homme, ce serait le contraire qui serait vrai. La vaccination à virus vivants augmenterait à la fois le nombre de bactéries que portent les vaccinés et prolongerait le temps de « transport » et donc de transmissibilité – pendant 28 jours ou plus après l’administration du vaccin. Cette remarque s’ajoute au fait que la notice du vaccin elle-même (notice du Flumistfournit de nombreuses preuves que le vaccin peut infecter le destinataire avec une forme infectieuse de la grippe et qui peut être transmise à d’autres pendant trois semaines après avoir reçu le vaccin. […]

 

La principale implication de cette étude est que : «  les vaccins à virus vivants peuvent avoir des conséquences inattendues sur des bactéries pathogènes pour l’homme sans rapport avec les cibles visées par le vaccin. »

 

En fait, cette étude peut apporter des explications en ce qui concerne les effets secondaires associés au Flumist à virus vivants atténués que l’on a généralement attribués au virus vaccinal – et non aux infections secondaires qu’il peut provoquer

 

[…]  Ce que cette étude révèle également c’est que nous ne faisons que commencer à comprendre les effets « hors cible » inattendus que les vaccins peuvent avoir sur le système immunitaire. Si le vaccin vivant atténué contre la grippe augmente la colonisation de bactéries potentiellement mortelles dans des populations «immunisées», comme semble l’indiquer cette étude sur des animaux, c’est avant tout le principe de précaution qui doit nous guider en nous faisant nous abstenir de l’utiliser jusqu’à ce que des études cliniques sur l’homme puissent prouver qu’il est absolument sûr et efficace.

 

(Extraits)


Source: Greenmedinfo.com

 

Le vaccin FluMist de la firme Astra Zeneca –qui est appelé Fluenz en Europe- est déjà utilisé largement chez les enfants aux Etats-Unis depuis plusieurs années. Il est proposé gratuitement aux enfants britanniques de 2 à 17 ans depuis 2012 (alors qu’il augmente pendant 6 mois leur risque d’hospitalisation !) et il existe aussi dans un pays comme la France. Ce type de vaccin qui est fabriqué par génie génétique pose un autre problème éthique pour les non vaccinés dans la mesure où il risque de propager dans la Nature des assemblages de virus artificiels ayant encore un pouvoir infectieux et pouvant dès lors interférer avec la volonté souveraine de sujets ne souhaitant PAS être en contact avec ces virus vaccinaux. Prenons le cas d'élèves qui auraient été vaccinés parce que leurs parents sont grégaires ou mal informés: cela va interférer d'une façon inacceptable avec la volonté des parents d'autres élèves ou la volonté de l'enseignant qui ne voudraient pas du vaccin car ils seront alors forcés de devoir partager une même atmosphère viciée par des rejets éventuels de virus trafiquotés en laboratoire. (Une action de protestation est d'ailleurs en cours à cet égard sur Facebook dès lors que le Royaume-Uni instaure cette année la vaccination scolaire contre la grippe des enfants de 5 à 17 ans avec ce vaccin.) Est-ce cela "la santé" et la solidarité que nous proposent les idéologues de la vaccination?

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28 février 2014 5 28 /02 /février /2014 14:55

Une horrible histoire de vaccins (Extraits) 

   

Par Tammy Carrington 


Victime vac. hép.B Liberation army

  

(Mon commentaire : lisez cet article avant de prendre la décision de faire vacciner votre enfant. Vous déciderez alors si les risques en valent la peine. – Dr Wilson)

 

L’horrible histoire de mon fils

 

Quand Fred et moi nous sommes mariés, nous avons décidé d’attendre deux ans avant d’avoir un enfant. Quand après deux ans j’ai réalisé que j’étais enceinte, nous étions tous les deux à ce point enthousiastes que nous avons commencé à lire toute une littérature sur la grossesse. J’ai lu tout ce qui me tombait sous la main au sujet d’une nourriture saine etc. pour pouvoir donner à mon bébé le meilleur départ possible dans la vie et faire les meilleurs choix possibles. J’ai tout fait pour éviter les produits chimiques dans la nourriture, l’aspartame, la saccharine, la caféine etc. Je me suis aussi attelée à faire chaque jour de l’exercice.

 

Je me sentais en pleine forme et mes analyses sanguines étaient les meilleures que notre médecin ait jamais vues chez une femme enceinte. Nous avons opté pour l’accouchement le plus naturel possible et avons refusé la péridurale parce que nous savions que c’était préférable pour l’enfant. L’accouchement s’est passé à merveille sans la moindre complication. A peine dix minutes après la naissance, je nourrissais déjà mon bébé. Le résultat de ses tests (APGAR) : 10/10.

 

Malgré toute l’information que j’avais rassemblée au cours de mes nombreuses lectures, il y avait une chose dont on ne m’avait jamais parlé et pour laquelle je ne possédais pas d’information ; c’était le vaccin contre l’hépatite B que mon enfant devait recevoir avant de quitter la maternité. Si j’avais pu avoir de l’information sur la question avant que mon petit reçoive ce vaccin, je puis jurer qu’il ne l’aurait jamais reçu. Deux ans plus tard, mes recherches m’ont appris que les nouveau-nés ne constituent nullement un groupe à risque. Ce vaccin hépatite B recombinant n’a pas fait l’objet d’études de sécurité. Il n’y a pas non plus d’étude en double-aveugle et aucune étude faite sur les bébés. Je me rends compte que mon bébé a tout simplement joué le rôle de cobaye pour ce vaccin.

 

A la maternité, Jonathan était un bébé tout à fait normal. Je l’allaitais à la demande. Il ne pleurait que quand il avait faim et quand ses langes étaient souillés. Ses selles étaient normales. Tous les amis et les membres de la famille trouvaient que Jonathan était un bébé magnifique. Nous sommes restés trois jours à la maternité.

 

Finalement, le jour est arrivé où nous devions quitter la maternité pour rentrer à la maison. Avant de partir, mon mari Fred a dû signer un document de décharge. Fred s’en est occupé tandis que je tenais mon petit Jonathan dans les bras. Nous étions tout excités de quitter la maternité avec notre précieux trésor qui nous ouvrait une toute nouvelle vie. C’est comme si on avait dit à Fred : « signez ici et portez ce document à l’étage du bas ; rapportez nous le reçu pour que nous puissions vous permettre de sortir. » On nous présenta ensuite le formulaire de consentement pour le vaccin contre l’hépatite B en nous disant «signez ici, tout le monde le fait » Je dois préciser que le vaccin avait déjà été administré sans notre consentement et sans information. Fred signa tous les papiers parce que nous avions pleine confiance et aussi parce que nous étions pressés de rentrer à la maison, dans notre nouvelle famille.

 

C’est quand je me suis trouvée dans un fauteuil roulant poussé par une infirmière avec Jonathan dans les bras que mon petit garçon a vraiment commencé à pleurer et crier pour la première fois.

 

Nous sommes rentrés à la maison. Nous étions si heureux et enthousiastes. Notre petit était si beau, si mignon. En blague, nous avons dit qu’il nous fallait nous relayer la nuit pour vérifier que tout allait bien. Nous ne savions vraiment pas ce qui nous attendait.

 

C’est environ quatre heures après que Jonathan ait reçu son vaccin contre l’hépatite B qu’il commença à crier de toutes ses forces. Nous étions incapables de l’arrêter.

 

Nous avons appelé l’infirmière qui s’occupait de notre cas parce que nous ne parvenions pas à calmer ses cris. On nous a dit que le nouvel environnement de l’enfant devait le perturber. Au cours du deuxième appel téléphonique, on nous a conseillé de laisser crier Jonathan pendant 20 minutes avant d’envisager de le ramener à l’hôpital. En fait, il n’a pas arrêté de crier et de pleurer, et quand ses cris se sont même intensifiés, j’ai commencé moi-même à pleurer. J’étais toute bouleversée et ne pouvais supporter que mon bébé crie aussi violemment. Ses cris horribles me blessaient littéralement, j’en avais la nausée et étais prête à vomir. Nous faisions tout pour le soulager : l’allaiter, vérifier ses langes, prendre sa température etc.

 

Jonathan ne parvenait presque jamais à dormir ; il poussait sans arrêt de si hauts cris ! Quand il parvenait à dormir c’était pour de courtes périodes de 10 à 15 minutes. Au total, il ne dormait jamais plus de 4 heures sur 24.

 

Nous l’avons conduit chez le pédiatre qui a diagnostiqué des coliques. Ce dernier nous a dit qu’il faudrait sûrement six mois pour que tous ses problèmes se résorbent et qu’il fallait être patients. Comme c’était notre premier enfant, nous ne savions pas si c’était normal ou pas. Et nous avons donc décidé d’attendre.

 

La seule chose qui pouvait un peu le calmer était l’allaitement. Je le nourrissais toutes les une à deux heures. Il se calmait alors pendant 15 à 30 minutes, mais jamais davantage. C’était très fatiguant pour moi de poursuivre ainsi ce rythme sans dormir.

 

Jonathan a continué à pousser ces cris horribles. Nous ne pouvions pas sortir de la maison avec lui, car il nous était impossible d’arrêter ses cris qui étaient si intenses qu’il en devenait tout rouge. Une sorte de panique se dessinait alors chaque fois sur son visage et je me trouvais chaque fois impuissante à pouvoir lui venir en aide.

 

Pour aller faire une course, je prenais soin de l’allaiter juste avant de partir. Je courrais en toute hâte au magasin et  m’empressais de faire ma course puis, toute en transpiration, je sortais  le plus vite possible pour rentrer à la maison.

 

Jour après jour, nuit après nuit, je faisais tout pour tenter de le calmer, mais rien n’y faisait. Je me sentais désespérée. Même quand je prenais une douche en vitesse, je l’entendais hurler tandis que mon mari essayait de le consoler. Cette situation me brisait littéralement. Il est arrivé que je n’avais plus la force de l’entendre crier. Je le mettais alors dans son berceau (pour ne pas qu’il tombe ou se blesse) et je me précipitais pour une minute ou deux dans le jardin pour ne plus l’entendre hurler et pleurer. Moi-même je n’arrêtais pas de pleurer. Je n’arrivais pas à comprendre comment des familles pouvaient avoir plus d’un enfant, parce que j’imaginais toujours que notre situation était plus ou moins normale. C’était notre premier enfant et nous ne pouvions pas comparer.

 

Nous avons dû faire appel à une personne qui savait s’occuper des bébés pour pouvoir un peu nous reposer, car Fred et moi n’avions cessé de nous relayer pour s’occuper de Jonathan jour et nuit. Nous étions totalement épuisés.

 

J’ai, un jour, dû conduire Jonathan chez le médecin parce qu’il n’avait plus de selles. Quand il eut 8 jours, on remarqua qu’il était constipé. Je n’avais jamais entendu dire qu’un bébé nourri au sein pouvait être constipé, mais c’était bien le cas pour Jonathan. Nous avons dû quitter le cabinet du médecin en vitesse parce que Jonathan recommençait à crie. Une de mes amies s’est vite rendue à la pharmacie pour y chercher des suppositoires.

 

Dans la suite, Jonathan a commencé à perdre ses cheveux. Il était irritable, inconsolable, souffrait d’insomnie et les cris n’arrêtaient pas. J’ai fini par faire un enregistrement de ses cris parce que je pensais que le médecin ne pouvait réaliser vraiment l’horreur de ses cris. Quand le médecin nous avait dit qu’il s’agissait de coliques, nous avions été quelque peu rassurés en pensant que cela finirait par s’arranger.

 

Dr-Jane-M.-Orient-MD--et-texte.jpg

  

« Les vaccinations obligatoires qui ne sont pas nécessaires et qui présentent des bénéfices très limités font courir à nos enfants des risques de décès ou d’effets secondaires graves à long terme. » Dr Jane M. Orient, MD, AAPS.

 

Jonathan n’arrêtait toujours pas de hurler. Il soulevait aussi brusquement ses jambes. Mes recherches m’ont appris qu’il s’agissait probablement de spasmes infantiles selon un livre traitant de l’épilepsie provenant de l’université John Hopkins. Avec le recul, je puis maintenant me rendre compte que chaque fois, Jonathan faisait des crises d’épilepsie, alors que nous pensions qu’il s’agissait de douleurs intestinales dues à des gaz.

 

A deux mois, il reçut son deuxième vaccin contre l’hépatite B et ses cris s’intensifièrent. Le même jour, il reçut trois autres vaccins : diphtérie, tétanos coqueluche acellulaire. Il a continué à être très constipé. Nous avons été obligés de sortir manuellement ses selles ; il saignait et ses cris étaient horribles. Son petit rectum était déchiré du fait que les selles étaient tellement dures et qu’il poussait si fort. Il avait attrapé de terribles hémorroïdes.

 

Mes recherches m’ont poussée à vérifier le numéro des lots de vaccins qu’il avait reçus dans les données du VAERS et j’ai découvert que le vaccin DTCa qu’il avait reçu était un vaccin provenant d’un « HOT LOT ». Un vaccin « hot lot » est un vaccin qui provient d’un lot de vaccins qui ont tué et endommagé la santé de plusieurs enfants. C’est un vaccin qui a fait l’objet d’un nombre anormalement élevé de rapports d’effets secondaires au VAERS. Le vaccin DTCa que Jonathan a reçu était l’un des dix vaccins les plus dangereux de l’histoire des Etats-Unis.

 

A environ 4 mois, je ne suis plus parvenue à le nourrir. Il n’arrêtait pas de hurler. J’ai pensé qu’il était en train de former des dents. J’ai mis un peu d’Orajel sur ses gencives, mais sans résultat. J’ai essayé de lui faire goûter du Tylénol. Le goût du Tylénol le distrayait un moment, puis tout recommençait. J’ai alors décidé de prendre rendez-vous chez le pédiatre.

 

J’ai appelé à 9h30 et ai précisé que nous devions avoir rendez-vous le matin même.  Alors que je me préparais pour me rendre chez le pédiatre, Jonathan a commencé à vomir. Il est devenu très pale. L’assistant du pédiatre qui nous a reçus à 11 heures nous a dit que l’aspect que présentait Jonathan ne lui plaisait pas. Comme les quelques tests qu’il a effectués se sont avérés négatifs, il nous a envoyés à l’hôpital pour y faire des analyses de sang et des examens radiologiques. Comme ces examens aussi se sont avérés négatifs, on nous a proposé une ponction lombaire. Quand le médecin revint il avait en main 3 fioles remplies d’un liquide qui ressemblait à du sang. Il nous expliqua que le liquide cérébrospinal aurait dû être clair et avoir l’apparence de l’eau.

 

Il nous a immédiatement envoyés faire un scanner de la tête. Seul mon mari fut admis dans la salle du scanner. C’était la dernière fois que mon petit garçon me regardait, et comme on le préparait pour l’examen, ses yeux semblaient me dire : « Maman, aide-moi ! »

 

Le scanner révéla une hémorragie du cerveau. On apprit par après qu’il s’agissait d’une rupture d’anévrisme. Il fut immédiatement transporté aux soins intensifs et intubé. Il fallait le transporter par hélicoptère. Mon bébé était alors au seuil même de la mort.

   

Comme le temps était mauvais, l’hélicoptère n’a pas pu emmener Jonathan à l’Hôpital des Enfants de Houston. Le Centre Médical Schumpert de Louisiane a finalement accepté de recevoir l’enfant. Le parking de l’hôpital a été fermé au trafic pour permettre à l’hélicoptère d’atterrir, et ce dernier a décollé malgré un très mauvais temps. Aux soins intensifs, on nous avait permis de voir Jonathan. Il était inconscient et relié à toutes sortes d’appareils. Je n’ai pas arrêté de pleurer. Tout était devenu si terrible pour moi : mon bébé était étendu là sans bouger raccordé à toutes sortes de tubes et relié à des appareils. Pour moi c’était terrible à voir.

 

On ne nous a pas permis d’accompagner Jonathan. On a juste été autorisés à l’embrasser au pied de l’hélicoptère. Tout en sanglotant, j’essayais d’être positive. Je voulais  que Jonathan sache, si jamais il pouvait m’entendre, que tout irait bien et que son papa et sa maman le rejoindraient bientôt.

 

Je me suis retrouvée sur ce parking en pleurs avec toute une série d’amis qui nous avaient rejoints ; je ne savais pas si j’allais revoir mon bébé. Je tremblais de froid et de peur continuant à sangloter et j’ai attendu jusqu’à ce que l’hélicoptère disparaisse et que je n’entende plus le bruit du moteur. J’éprouvais comme une perte qu’aucun mot ne peut décrire.

 

Il ne nous restait plus qu’à prendre la voiture pour nous diriger vers Shreveport. Nous étions tous les deux tombés dans une espèce d’hystérie. Le directeur des infirmières demanda à quelqu’un de faire le plein d’essence et nous prépara un peu de nourriture et des boissons pour le voyage. Nous avions à peu près deux heures de route à faire. Et quand nous avons estimé que l’hélicoptère devait avoir atterri et que Jonathan devait être arrivé aux soins intensifs, nous avons pris notre GSM pour demander si tout allait bien pour Jonathan. Ils nous ont répondu que Jonathan était mort durant le voyage en hélicoptère, qu’on était parvenu à le réanimer et que maintenant il se trouvait aux soins intensifs. Ils nous ont dit aussi que l’on s’affairait autour de lui et que tout ce qu’ils pouvaient nous dire était que « pour le moment, il était encore en vie.»

 

Nous avons dû attendre ce qui nous a paru être une éternité avant de pouvoir recevoir de ses nouvelles. Finalement, un médecin nous a dit que Jonathan avait fait une hémorragie cérébrale. Il nous a expliqué que dans pareil cas, un œdème au cerveau apparaît  et quand le cerveau enfle, un déplacement peut se produire. Si la chose effectivement se produit, c’est la mort. Ce médecin nous a aussi expliqué que Jonathan était mort trois fois et qu’il était en réanimation pédiatrique. Fred et moi avons éclaté en larmes d’une manière hystérique. Je m’accrochais au petit bout de vêtement qu’il portait quand nous l’avons conduit le matin à l’hôpital. On nous a aussi expliqué que les médecins avaient travaillé sur lui pendant plus d’une heure et que son cerveau n’avait reçu que peu ou pas d’oxygène pendant 30 minutes. Il n’y avait alors plus d’espoir qu’il puisse passer la nuit.

 

Les jours suivants, ils ont fait des tests pour voir d’où provenait l’hémorragie. Finalement on lui fit un artériogramme qui montra un anévrisme. L’état de Jonathan finit pas se stabiliser, mais 10 jours plus tard, 4 jours à peine avant Noël, il eut une seconde rupture d’anévrisme. Le scanner montrait que, par rapport au premier examen, le volume de sang était trois fois plus important. Les médecins se demandaient vraiment comment il avait pu survivre à la première hémorragie. Cette fois, les médecins lui donnèrent un maximum de 24 heures de survie. Nous n’avons pas cessé de prier aussi fort que nous pouvions et nous voulions croire au miracle.

 

Les infirmières nous expliquèrent comment allait se passer son dernier souffle. Je ne voulais pas voir cela. Je ne me sentais pas capable d’affronter une telle douleur. L’infirmière nous expliqua qu’elle resterait près de Jonathan pour qu’il ne se sente pas seul. Quand Fred décida de rester près de Jonathan, je décidai aussi de rester près de lui. Alors que nous étions en train de prier, on nous expliqua qu’il nous fallait penser aux funérailles. Jonathan finit par passer la nuit et son état se stabilisa.

 

Comme Jonathan avait survécu à sa seconde hémorragie, le Dr Do, pédiatre aux soins intensifs, se mit à chercher la personne qui aux Etats-Unis serait capable de venir en aide à Jonathan. Il ne trouva finalement qu’une seule personne qui pourrait nous venir en aide. Parmi les autres médecins qui s’occupaient de Jonathan, un neurochirurgien nous expliqua qu’il valait mieux laisser Jonathan mourir en paix et qu’il ne fallait plus tenter quoi que ce soit pour sauver sa vie. Nous avons été choqués d’entendre pareil discours. Il a cependant ajouté : « il y a de ces choses qui sont pires que la mort. » Je lui répondis que Jonathan avait déjà survécu et qu’il n’était pas question que nous attendions passivement une troisième hémorragie.

 

Les médecins qui pouvaient venir en aide à Jonathan faisaient partie du Centre Médical de l’université de Californie à San Francisco.  Les Dr Higashida et Halbach devaient pratiquer une intervention sous radioscopie. Mais l’opération dut être reportée du fait que Jonathan avait des problèmes de coagulation. On lui administra alors du plasma frais.

 

Ce sont alors neuf médecins qui s’occupèrent de Jonathan. On nous expliqua que l’opération durerait au minimum huit heures. Pour réaliser l’artériogramme, il fallait passer un cathéter depuis l’aine au travers de l’estomac, du cœur pour aboutir dans le cerveau dans un vaisseau de l’épaisseur de quatre cheveux. C’était effrayant de penser au traumatisme que notre petit Jonathan allait devoir traverser alors qu’à cette époque il n’avait que cinq mois. Après une opération de deux heures, le médecin principal sortit pour nous dire : « Nous avons réussi, mais nous ne pouvons pas expliquer comment l’anévrisme a disparu. »

 

Nous avons pensé pouvoir l’expliquer comme nous avions tellement prié. Toute notre petite ville priait aussi avec nous. Tous les autres médecins sont sortis de la salle d’opération en se grattant la tête et en disant qu’eux non plus ne pouvaient s’ expliquer ce qui s’était passé.

 

On a d’urgence dû placer un cathéter chez mon petit parce que la pression intra crânienne était devenue trop forte. Quand la pression sur son cerveau a diminué, il a commencé à ouvrir les yeux. Mais ce cathéter a en partie contribué à détacher le cerveau du crâne endommageant des capillaires ; ce qui a provoqué une nouvelle hémorragie, mais cette fois dans l’autre hémisphère du cerveau. Il a fallu percer le crâne de Jonathan et y insérer un tube pour évacuer le liquide du cerveau.

 

Dans la suite on a dû avoir recours à la chirurgie pour pouvoir insérer un tube afin de  l’alimenter. On nous a ensuite donné le diagnostic : troubles épileptiques, grave reflux, cécité corticale et risque élevé de pneumonie par aspiration. Il présentait en outre un grave retard de développement, de l’hypotonie et de la spasticité. Il devait être suivi 24 heures sur 24.

 

Les tout derniers diagnostics posés pour Jonathan : tétraplégie cérébrale spastique avec microcéphalie, cécité corticale, grave dysphasie.

 

Nous avons consulté un médecin à Houston qui s’est spécialisé dans les effets secondaires de l’hépatite B. Ce médecin a pratiqué toute une série de tests. Il s’agit du Dr Andrew Campbell, MD. Il nous a dit que Jonathan avait bel et bien fait une réaction négative au vaccin contre l’hépatite B. Le Dr Richard Neubauer, MD de Ft Lauderdale a également déclaré que Jonathan souffrait d’encéphalopathie anoxique directement liée à la vaccination contre l’hépatite B. Il précisait que ce n’était pas la première fois qu’il voyait pareille chose et pensait que malheureusement ce ne serait pas la dernière.

 

Nous sommes finalement rentrés à la maison après cette horrible épreuve qui a retenu Jonathan à l’hôpital pendant à peu près quatre mois.

 

L’alimentation de notre bébé, comme la prise de médicaments par l’intermédiaire de ce tube a posé énormément de problèmes. Nous devions lui administrer soit de la nourriture, soit des médicaments 17 fois par jour, quasiment jour et nuit. Comme malgré tout il continuait à hurler, le stress était énorme, au-delà de ce qu’on peut imaginer. En dépit des nouveaux tests qui furent réalisés, aucun médecin ne pouvait nous expliquer les raisons de ses cris. Après tout ce que nous avions vécu, notre privation de sommeil, le stress permanent, nous étions totalement épuisés.

 

Le système immunitaire de Jonathan est compromis il ne peut pas se trouver en présence d’autres enfants ou personnes malades. Nous sommes littéralement cloués à la maison. Quand nous sommes rentrés de l’hôpital il faisait  des centaines de crises épileptiques par jour, plus en tout cas que nous ne pouvions compter. Après avoir modifié son alimentation et changé ses médicaments, il faisait encore entre 30 et 90 crises par jour.

 

Comme il était alimenté par sonde gastrique, et pour éviter le reflux, on devait le maintenir droit pendant au moins une heure pour lui permettre de digérer. Comme un pourcentage important de la nourriture qu’il devait prendre était constitué de graisses, la pénétration de ces graisses dans ses poumons pouvait lui être fatale. La constipation se maintenait toujours et son régime tout particulier na pas arrangé les choses. Nous devions régulièrement vérifier ses cétones, sa production d’urine, de selles, ses crises.

 

Jonathan ne dort toujours pas beaucoup. Il ne dort jamais sans se réveiller plusieurs fois, et chaque fois qu’il se réveille, il fait une crise d’épilepsie qui nécessite notre intervention pour éviter l’aspiration et la suffocation, puis nous devons tout tenter pour essayer de l’apaiser et le consoler. Fred et moi manquons beaucoup de sommeil . Nous survivons avec 4 à 6 heures de sommeil fragmenté.

 

Jonathan a fini par attraper un virus qui traînait. Il a dû avoir des traitements respiratoires toutes les «  heures. Il n’a pas pu fermer l’œil pendant quatre jours et quatre nuits. Sa fièvre a duré pendant 7 jours. Finalement mon mari et l’infirmière sont tous les deux tombés malades. Il a fallu que je m’occupe de tout sans pratiquement pouvoir dormir pendant cette période.

 

[…] Nous essayons de faire tout ce qu’il nous est physiquement possible de faire, mais si nous tombions à nouveau malades par manque de sommeil, de repas pris en toute hâte, de ne pas pouvoir suffisamment prendre soin de nous, qu’adviendrait-il de Jonathan ? Nous ne pouvions pas en arriver là. Je crois que la santé de mon fils a été endommagée par le vaccin contre l’hépatite B qui lui a été administré sans notre consentement et sans que nous ayons été correctement informés. Je crois aussi que son cerveau a été encore plus gravement endommagé par le second vaccin contre l’hépatite B et par le DTCa  qui était un lot particulier (hot lot)

 

Quand j’ai appris que le Dr William Reynolds Archer, MD, Commissaire à la Santé pour l’état du Texas a voulu s’assurer que tous les enfants du Texas reçoivent ce vaccin, mais en avait exempté ses propres enfants, j’ai voulu avoir une conférence téléphonique avec lui. Je voulais savoir pourquoi ses propres enfants avaient été exemptés de ce vaccin.

 

Avant notre échange téléphonique, je lui avais fait parvenir tout le dossier de Jonathan pour ne pas devoir reprendre tous les détails de la longue histoire de Jonathan au téléphone. Il savait que je l’appelais pour une question ayant trait aux vaccins mais ignorait que j’allais lui poser des questions personnelles. Un autre médecin a été présent à ses côtés durant la conversation.

 

Dans la suite, j’ai eu l’occasion de rencontrer ce médecin au cours d’une conférence à Austin. Il a confirmé ce que je vais dire : Il a avoué qu’il avait effectivement exempté ses propres enfants parce qu’il était inquiet au sujet de la sécurité du vaccin. Il a ajouté que ses enfants souffraient d’asthme et d’allergies et qu’il ne voulait pas leur administrer ce vaccin. En tant que médecin, il lui était permis de remplir le formulaire d’exemption. En ce qui nous concerne, nous n’avons malheureusement pas ce droit. Ce médecin a finalement démissionné de son poste. Il disait essentiellement que tous les enfants devaient recevoir ce vaccin, mais pas ses propres enfants parce qu’il avait des inquiétudes quant à sa sécurité et qu’il voulait les protéger.

 

Que fait le gouvernement par rapport à l’aide que nous devrions recevoir pour affronter pareilles difficultés à la suite des dommages causés par le vaccin ? On nous a dit plusieurs fois que si nous divorcions, nous aurions droit à toutes les aides possibles. Nous sommes Chrétiens et dans ce type de situation plus que stressante, il est déjà assez difficile de maintenir notre mariage et la cohésion de la famille sans que le gouvernement n’encourage un divorce ! […]

 

Je veux vous remercier de m’avoir permis de raconter cette longue histoire. J’aime tellement mon petit Jonathan. Mais je suis en colère par rapport à tout ce qui s’est passé et qui aurait peut-être pu être évité. Je suis en colère parce que ce vaccin n’a jamais été testé sur des bébés, et par rapport au fait que mon petit a dû servir de cobaye. Je suis en colère parce que ce vaccin n’a jamais fait l’objet d’études en double aveugle, ni d’études scientifiques sérieuses de sécurité. On a volé la vie de mon enfant !

 

[…] Les médecins m’ont dit que Jonathan ne pourra jamais courir ou jouer au ballon avec d’autres enfants. Il ne partira jamais chasser avec son papa. Il ne pourra jamais faire toutes ces choses que font généralement les autres enfants.

 

Sa vie et nos vies ont été bouleversées pour toujours à cause des effets secondaires d’un vaccin qui lui a volé sa vie !

 

Ce vaccin nous a aussi volé la vie que nous avions rêvé d’avoir avec notre famille. J’ai dû abandonner ma profession et ne pourrai plus jamais en reprendre une afin de pouvoir m’occuper de Jonathan si gravement handicapé.

 

Encore mille merci de m’avoir permis de vous raconter l’histoire de mon fils. Je vous prie instamment de tout faire pour prendre la meilleure décision pour votre enfant et son avenir.

 

Bien sincèrement,

 

Tammy Carrington

 

Commentaires du Dr Wilson

 

Cet article est assez long, mais il vaut la peine que vous le lisiez avant de prendre la décision de vacciner votre enfant. La vaccination est une horreur qu’il faut arrêter partout. Voici les raisons pour lesquelles les vaccinations sont dangereuses :

 

1) Introduire des germes meurtriers dans le corps des enfants avant que leur système immunitaire ne soit développé est le signe d’un manque total de sagesse. Les effets connus des vaccins comprennent : autisme, crises d’épilepsie et décès. Si les vaccins étaient sans danger, beaucoup de firmes les produiraient sans avoir besoin d’une protection légale.

 

2) Vacciner  des enfants malades est encore pire. C’est pourtant chose courante dans des nations pauvres comme l’Afrique, où malheureusement on retrouve Bill Gates et autres derrière des campagnes dont l’objectif est de « vacciner tout le monde ». Je voudrais tant que les gens lui écrivent pour qu’il puisse distribuer de la nourriture, fournir de l’eau et des vitamines et pas des vaccins.

 

Il n’est pas facile de déceler une faible grippe ou une infection respiratoire chez un jeune enfant. Des études montrent que ce sont précisément ces enfants qui meurent prématurément à la suite des vaccinations. Information au lien suivant : www.whale.to/v/kalokerinos.html

 

3) La combinaison de plusieurs vaccins est encore plus dangereuse. C’est la pire des choses pour le corps parce que ces vaccins introduisent davantage de toxines en une fois dans le corps.

 

4) Les additifs et les contaminants des vaccins affaiblissent souvent le système immunitaire et endommagent la santé.

 

5) Les effets secondaires des vaccins sont rarement rapportés. De ce fait les statistiques ne reflètent pas la réalité et ne donnent pas un véritable aperçu des dangers

 

6) La promotion des vaccins ne se fait pas toujours de manière totalement honnête. Ce ne sont pas les vaccins qui ont éliminé les maladies. Ils ne sont pas non plus sans danger.  Les statistiques sont souvent manipulées ou même tout simplement ignorées si elles ne correspondent pas  modèle médical officiel. Les médecins ont le cerveau lavé. Ils n’écoutent pas les parents qui me confient à moi, presque chaque semaine, les horreurs de la vaccination.

 

7) La vaccination qui est chère et souvent complètement inefficace sert à augmenter le pouvoir des gouvernements aux dépens des citoyens et surtout des parents. En d’autres mots, la vaccination est une solution de type autoritariste et totalitaire au grave problème de la maladie et de la malnutrition, et dans lequel le remède (les vaccins) ne fait qu’empirer la situation parce qu’il est habillé dans un jargon médical mystique, alors que presque tout ne relève que du mensonge.

 

8) Toute l’attention (et tout l’argent) dont la vaccination fait l’objet sert surtout à détourner l’attention des choses qui importent le plus : l’alimentation, le style de vie, l’eau pure, l’habitat, l’amour et l’absence d’oppression par des gouvernements tyranniques. Ce sont là les véritables et seuls moyens de construire et de maintenir des systèmes immunitaires qui permettront de prévenir ou d’adoucir toutes les maladies.

 

Je ne prends d’habitude jamais de position aussi catégorique, mais ici je veux presser les parents et quiconque envisage de se faire vacciner de prendre du recul et d’étudier la documentation de ceux qui mettent cette pratique en doute. Vous ne pourrez manquer d’être choqués si vous parvenez à lire ces textes de manière objective. Ce sont des centaines de milliers de personnes qui sont handicapées ou qui ont été tuées par les vaccinations. Ce que vous venez de lire n’est qu’un seul cas parmi bien d’autres. Il faut que tout cela s’arrête immédiatement.

 

Source : Vaccineliberationarmy

 

Article du Dr Lawrence Wilson sur les vaccinations en général :

http://drlwilson.com/Articles/Vaccines.htm

 

The Shaken Baby Syndrome (= Syndrome du Bébé Secoué)

 http://legaljustice4john.com/highPitchedCrying.htm

 

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27 février 2014 4 27 /02 /février /2014 14:33

Brugelette: Willy a failli perdre l'usage de ses jambes à cause d'un vaccin contre la grippe

 

Publié le Mercredi 26 Février 2014 à 18h57, par Lloyd Déplechin

 

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Willy Lefebvre souffre de picotements dans les jambes 24h sur 24.

 

Le 15 octobre dernier, Willy Lefebvre, un citoyen de Brugelette, a acheté un vaccin contre la grippe. Trois jours plus tard, le médecin traitant de l’homme de 75 ans lui injectait le produit. «Après environ deux semaines, j’ai commencé à avoir des douleurs dans les jambes et les pieds», confie Willy. « Je souffrais également de l’estomac, avais perdu le goût et l’odorat. Ayant perdu l’appétit, j’avais déjà perdu deux kilos après trois semaines. »

 

Étant donné que les symptômes ne disparaissaient pas alors qu’il avait déjà consulté son médecin traitant, l’habitant de Brugelette a décidé de pousser les tests. « Le 15 décembre, je me suis rendu à l’hôpital d’Ath afin de vérifier le flux sanguin de mes membres inférieurs et de réaliser un scanner du thorax. Rien n’y a été décelé. Toutefois, j’ai décidé de voir un spécialiste car je sentais bien que ça n’allait pas. En plus des symptômes cités précédemment, j’avais des picotements dans les jambes, des boutons rouges sur la poitrine et commençais à éprouver des difficultés à marcher. Par ailleurs, les picotements gagnaient tout mon corps. »

 

Le 7 janvier, Willy Lefebvre s’est rendu à la clinique Notre-Dame à Tournai afin de consulter un neurologue. « Dès les premiers examens, ce docteur a décidé de pratiquer une ponction lombaire. Une heure après avoir analysé la ponction, le médecin m’a annoncé que je souffrais du syndrome Guillain-Barré. Néanmoins, il ne savait pas en expliquer l’origine. Je me suis alors souvenu que tout avait débuté après ce vaccin contre la grippe. Lorsque j’en ai parlé au médecin, il s’est douté que ça venait de là

 

Maintenu à l’hôpital durant quatre jours, l’homme a reçu plusieurs injections afin de contrer l’inflammation. « En fait, ce syndrome est une maladie auto-immune du système nerveux périphérique. Concrètement, les parois des nerfs sont attaquées. J’ai été traité rapidement afin d’éviter que l’inflammation ne monte dans mon corps. À ce moment-là, elle se situait déjà au niveau de mes aisselles. Ensuite, après quatre jours d’observation, le médecin m’a dit qu’il ne pouvait plus rien faire pour moi, qu’il n’y avait plus qu’à attendre. En effet, personne n’a de solution pour contrer les effets secondaires de ce vaccin. »

 

15 jours après sa sortie de la clinique, Willy était déjà de retour. Et pour cause, il avait perdu, en l’espace de deux mois, 14 kilos. « Je n’avais toujours pas retrouvé le goût ni l’odorat. Je n’avais donc pas récupéré l’appétit. Toutefois, on m’a répété qu’on ne pouvait rien pour moi. On m’a d’ailleurs dit que je pouvais m’estimer heureux d’encore marcher car ce syndrome pouvait entraîner une paralysie. Il y a vraiment de quoi avoir peur. Dans la notice, il est clairement indiqué qu’il peut y avoir des effets secondaires, mais personne n’en parle au moment de faire le vaccin. D’accord, ça ne se déclare que dans 2 cas sur 100 000, mais tout de même. J’ai aussi lu que dans 5% des cas, on pouvait mourir étouffé… À présent, je suis dans une phase de stabilisation. Cela peut mettre 6 mois à un an avant que les effets ne disparaissent complètement. Pour l’instant, plus de 4 mois après le vaccin, les picotements se situent entre mes mollets et mes doigts de pied. Le soir, c’est insupportable. J’ai l’impression de plonger mes jambes dans des orties chaque nuit. Si je gère les picotements le jour, j’ai peur d’aller me coucher le soir… »

 

Source : Nord Eclair

 

Mise à jour au 17 juillet 2015: L'épouse de Willy nous a annoncé qu'il était décédé le 6 juin dernier "après 18 mois de souffrances jour et nuit". Et d'ajouter que son mari a "passé tous les examens et par toutes les machines qui existent sans jamais rien trouver, à part le Guillain-Barré et la maladie de Waldenström. Mais aucun médicament ne put l'aider et les médecins, même les professeurs, sont restés impuissants. Et maintenant je suis seule."  

 

Il y a clairement un lien entre le risque de syndrome de Guillain-Barré et les vaccins, dont notamment le vaccin antigrippal tout particulièrement. Cela s’est vu avec le vaccin contre la fausse grippe porcine aux USA en 1976, cela s’est vu avec la vaccination anti-H1N1 et cela continuera de se voir avec divers autres vaccins dont le vaccin grippal saisonnier. Bien entendu, les gens mal informés ou qui sont encore sous l’influence de l’idéologie séculière ont tendance à espérer qu’il n’y ait pas de lien avec le vaccin (et se perdent alors en commentaires lénifiants sur divers forums). Du côté médical, on connaît très bien ces risques mais on n’a tendance à ne pas prendre l’initiative d’en avertir les patients ni après coup ni bien sûr avant la vaccination, avec le risque logique de décourager les patients de recevoir cet inutile vaccin annuel.

 

Toutefois, il existe dans le chef du corps médical une obligation d’information du patient de par la loi du 22 août 2002 en Belgique (et celle du 4 mars 2002 en France). Ces lois sur le droit du patient consacrent le droit au consentement libre et éclairé pour tout acte médical, en ce compris bien sûr aussi la vaccination. La loi belge est on ne peut plus claire sur le contenu de cette obligation d’information de la part du médecin. L’alinéa 2 de l’article 8 de cette loi précise notamment en effet : « Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. »

 

Les praticiens sont donc juridiquement OBLIGES, si du moins ils veulent se mettre à l’abri du risque de poursuite, d’informer les patients sur les bénéfices qu’on peut raisonnablement espérer mais aussi sur les risques, leur nature, leur fréquence et leur gravité possibles ainsi que sur les alternatives. Non seulement l’efficacité du vaccin antigrippal est douteuse et largement remise en question par de nombreuses analyses sérieuses (dont celle du groupe indépendant Cochrane) mais en plus, il existe de nombreuses alternatives (naturelles et sans risque) pour prévenir et/ou guérir plus rapidement une grippe mais qu’une majorité de médecins s’autorisent encore à ignorer soit par opportunisme, soit par dogmatisme soit encore par paresse ou mauvaise volonté intellectuelle.

 

Parce qu’il a été honteusement désinformé par le médecin vaccinateur, cette victime n’a pu donner qu’un consentement biaisé et donc par définition, juridiquement non valide. A la question de savoir si ce patient aurait accepté un tel vaccin sur base des taux réels d’efficacité (en réalité d’inefficacité), sur base aussi de ses complications graves variées dont la fréquence est sans cesse sous-estimée et sachant aussi qu’il existe d’autres moyens sûrs et plus efficaces pour prévenir un risque infectieux, il n’apparaît guère difficile de répondre. Par conséquent, et faisant suite à une jurisprudence française intéressante, il nous semble INDISPENSABLE que des victimes comme Willy Lefebvre puissent intenter des poursuites en justice pour demander réparation d’un préjudice aussi évident que le nez au milieu du visage. En France, le juge civil de Bordeaux a condamné dans des circonstances tout à fait équivalentes et de façon tout à fait pertinente un médecin vaccinateur qui n’avait pas informé son patient des risques graves de sclérose en plaques associés au vaccin anti-hépatite B. Le juge a estimé qu’il s’agissait là d’une faute professionnelle et que ce non respect de la loi sur les droits des patients a constitué un préjudice moral devant donner lieu à une indemnisation. Il est urgent que cesse l’impunité médicale : on comprend mal en effet le contraste entre la chasse sans merci aux automobilistes avec des amendes et PV à tire-larigot contre une vitesse qui ne débouche pas toujours sur des accidents et d’autre part, cette complaisance face aux libertés que le corps médical se croit autorisé à prendre avec les règles relatives à l’information des patients dès lors que la médecine, ses pratiques et ses médicaments constituent tout de même, il faut le rappeler, la 3e cause de mortalité dans nos sociétés dites « avancées », juste après les maladies cardio-vasculaires et le cancer.

 

 

Voir aussi ici la tragédie inutile que ces vaccins peuvent engendrer (et qui sont sans commune mesure avec toutes les complications possibles d'une grippe naturelle...):

   

 

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26 février 2014 3 26 /02 /février /2014 11:30

Des documents issus de « Kindergeneeskunde », ouvrage collectif de pédiatres publié en 1964 et rédigé par une kyrielle de « grands pontes », viennent apporter un nouvel éclairage lugubre sur les risques qu’on a fait encourir à des centaines de millions de gens dans le monde sans qu’ils en soient informés, ce qui est bien sûr éthiquement tout à fait inacceptable .

variole-et-polio-1.jpg


Ce qui frappe d’emblée est la franchise des auteurs, basée sur la foi inébranlable qu’ils agissent pour le bien de l’humanité. Dans ce contexte, toutes les horreurs qui sont décrites dans cet ouvrage passent froidement par la rubrique pertes et profits. Un tel langage serait impensable à l’heure actuelle ! C’est ce qui rend cet ouvrage si intéressant – et important sur le plan médico-légal. Quoique. Ne vous faites pas trop d’illusions : les vaccinalistes considéreront cet ouvrage comme dépassé, et donc nul et non avenu, compte tenu des « progrès » de la « vaccinologie ».


Variole


p259 : on vaccinait déjà les prématurés et les nouveau-nés, et, plusieurs fois de suite durant la grossesse, les femmes enceintes !


p260 : le placenta concentre les vaccinations répétées de telle sorte que les nouveau-nés se retrouvent avec des concentrations d’anticorps supérieures à celles de la mère.


P261 : illustration : « accidentele vaccinia » au niveau de l’œil et « vaccinia necrosum » suivi d’une généralisation (…) chez un nouveau-né de quatre mois…

Polio-Variole--Aveux--3.jpg


P261 : Complications : varioles « accessoires », « vaccinoles… », « satellites… » : leur fréquence est relativement grande. Exanthèmes post-vaccinaux : rougeoleux, papuleux, exsudatif. Des sortes de purpura sont rencontrées. Cela peut se généraliser. Surinfections bactériennes (staphylocoques, streptocoques). Tétanos. Erysipèles.


P262 : Complications : vaccine généralisée. Suite de diffusion hématogène. Le déroulement de la vaccination est un jeu (…) entre, d’une part, la virulence du virus vaccinal qui se répand dans les tissus cutanés et sous-cutanés et les ganglions lymphatiques, et, d’autre part, les mécanismes immunitaires et humoraux de l’hôte qui sont susceptibles d’être mobilisés. Toutes les variantes sont possibles. Nous avons eu l’impression (…) que chez les jeunes nourrissons de deux à trois mois, dont la mère n’a pas été vaccinée, la vaccine généralisée est relativement fréquente.


P263 : Vaccination par inoculation ou vaccination accidentelle. Se produit lorsque le moment ou l’endroit de la vaccination sont mal choisis (…). Vaccine primaire des deux mamelons chez une femme qui allaite, dont l’enfant vacciné a fait une vaccine généralisée. Vaccine au niveau de l’œil ce qui peut conduire à la perte de l’œil.


P263 : Eczéma vaccinatum : chez des patients présentant un eczéma atopique, une névrodermite, un urticaire, la primovaccination peut devenir sévère. La vaccine se généralise. Le patient décède fréquemment des suites de l’infection. La mortalité est haute, de 30 à 40% chez les enfants de moins de deux ans.  Des patients présentant une exacerbation de leur eczéma sont rarement vaccinés.


P264 : Complications : vaccine généralisée progressive, vaccinia necrosum = vaccine nécrosante ou gangréneuse. L’endroit de l’injection se nécrose. Après une certaine période, se produit la dissémination généralisée.


variole-et-polio-2.jpg


Ames sensibles, s’abstenir de lire ce qui suit :


P264 : Complications : ni l’excision du site (…) vaccinal primaire, ni, dans certains cas, l’amputation de toute la ceinture scapulaire (en clair, l’amputation des deux épaules…), n’ont réussi à endiguer le processus (de dissémination).


P264 : Complications : sans thérapie, la maladie (vaccine généralisée) est presque toujours mortelle. Le patient  (cf. photo, p164) mourut le 19ième jour de la vaccination. D’autres (…) moururent dans les six mois après la vaccination. Ceux qui ont survécu, succombèrent systématiquement (…) à une autre infection. Avec les thérapeutiques intensives actuelles, la mortalité serait de 30 à 40% (Kempe, 1960).


P265 : Complications : altération des organes internes : glomérulonéphrite aiguë : douze jours après la vaccination. Thrombocytopénie : du 8ième au 16ième jour. Myocardite et péricardite : huit cas sont à attribuer à la vaccination. Deux nourrisson : l’un avec une myocardite mortelle le 12ième jour de la vaccination ; l’autre avec une myocardite mortelle. Lire également les conclusions d’un « expert » en français dans le texte.


P266 : Complications : Osteomyelitis vaccinulosa : atteinte du squelette de croissance. Pseudoparalyse de l’extrémité atteinte avec fièvre. Dans les 10 à 15 jours après la vaccination.  Il va de soi (…) que, lors d’une vaccine généralisée, tous les organes peuvent être atteints. Atteinte du système nerveux central : encéphalite post-vaccinale : dès 1925, décrite comme une complication inconnue de la vaccination antivariolique. La poussée de température qui apparaît après quelques jours de fièvre, fait partie du climax de la réaction vaccinale. Le liquide cérébro-spinal est systématiquement perturbé. Histologiquement, le cerveau présente des altérations typiques.


P267 : Complications : encéphalopathie toxi-infectieuse. Le patient peut décéder inopinément dès le début de cette complication. Convulsions. L’examen virologique a démontré qu’une vaccine peut s’accompagner d’une infection par un autre virus, p.ex. le virus coxsackie, ou le virus des oreillons. La concomitance de ces deux infections est si fréquente lors d’une encéphalopathie post-vaccinale chez les nourrissons, que nous déconseillons la vaccination dans la période durant laquelle ces infections sont fréquentes. En l’absence d’une autre cause, il faut considérer qu’une encéphalopathie post-vaccinale a pour origine la vaccine.


P268 et p269: prophylaxie : il est admis que lors de vaccinations massives, la fréquence des complications augmente sensiblement (Nanning, 1961). La cause réside dans le fait que la vaccinateur n’a plus l’opportunité d’évaluer convenablement les contre-indications, et qu’il n’est pas en mesure de déterminer le moment favorable pour la vaccination. Il est donc recommandé de ne pas pratiquer des primovaccinations massives.


P270 : facteurs supplémentaires qui peuvent provoquer des complications : on évitera de vacciner lors de la période d’incubation d’une maladie infectieuse. On évitera de vacciner durant une épidémie de quelque maladie infectieuse que ce soit. Les enfants anormaux forment un problème. On pèsera systématiquement le pour et le contre.


Polio


P273 : Sabin : virus atténué : vaccination per os. Salk : virus inactivé par de la formaline. Associé à la diphtérie, coqueluche, tétanos : DTCP.


P274 : Vaccination orale avec le virus atténué : les caractéristiques d’un virus vivant (atténué) sont variables. Parfois, l’infection ne prend pas. L’activité du virus dans le corps peut dépasser les limites de ce qui est admissible (…). L’excrétion (fécale…) du virus par l’individu vacciné peut mener à une contamination non souhaitée des personnes au contact, avec parfois des effets néfastes (…). Le vaccin polio oral est composé de trois souches virales atténuées qui sont administrées à des nourrissons de trois mois et plus. Le virus Sabin type 3 (produit aux Etats-Unis), a d’abord été refusé sur base de test neuropathogènes, mais a été ensuite finalement accepté sans modification.


P276 : Sécurité : la sécurité de la vaccination orale est à différents égards un point litigieux. Elle provoque des infections non souhaitées chez des personnes non vaccinées mais au contact. La stabilité du virus vaccinal n’est pas garantie. Le virus (vaccinal), retrouvé dans les selles, peut présenter une activité neuropathogène qui est plus grande qu’avant la vaccination. Même sans le passage intestinal, le virus Sabin de type 3, présent dans le vaccin oral, semblerait ne pas satisfaire aux critères de sécurité en matière de neuropathogénicité. Ceci explique les hésitations décrites plus haut lors de l’octroi de la licence. A plusieurs reprises, des séries (…) de cas de poliomyélite ont été constatées chez les vaccinés. Plus tard, aux Etats-Unis, des cas de poliomyélite se sont également déclarés dans des conditions qui indiquent un lien avec le virus Sabin de type 3 sous licence. Les personnes en contact avec des cohabitants (…) vaccinés peuvent être infectées par le virus après son passage intestinal (…) et la neurovirulence s’en trouve augmentée d’un facteur de 10 à 10.000.


P277 : virus simien SV40 : dans les préparations vaccinales, l’on trouve un virus simien SV40 qui provoque des tumeurs chez les cobayes. In vitro, il provoque la prolifération de cellules humaines avec des altérations du noyau et des altération malignes des chromosomes. Ce virus a aussi été démontré dans les préparations de Sabin (= vaccin polio oral) dans ses trois types. Le virus (simien) prolifère chez les nourrissons après son administration orale, et de plus provoque la formation d’anticorps chez les adultes après inhalation. La présence dans le vaccin de ce virus (simien) et d’autres (…) soi-disant (…) virus simiens inoffensifs devrait être intrinsèquement exclue.  Dans la pratique, ce n’est pas toujours possible.


P277 : Vaccin Salk inactivé et filtré : obtenu par prolifération sur cultures primaires (…) de cellules de singe.


P280 : Il est possible d’exiger (…) que les enfants, avant qu’ils ne soient admis dans des crèches, des internats ou des communautés analogues, soient préalablement vaccinés contre certaines maladies, notamment la polio.

 

P281 : l’exigence des vaccins multiples ne peut que gagner du terrain. 

 

 

IMPORTANT, il est utile à présent de confronter ces risques ci-dessus à d'autres données concernant cette fois l'efficacité de ces vaccins. Car en effet, contre quelle protection a-t-on fait courir des risques aussi graves à une aussi grande population??


On se référera notamment à cet article-ci sur l' "efficacité" du vaccin contre la variole. (NB: La variole a certes disparu mais pas grâce au vaccin comme il ressort du rapport final d'éradication de l'OMS de 1980 dans lequel l'Agence avoue que "si les campagnes de vaccination massives furent couronnées de succès dans quelques pays, elles échouèrent dans la plupart des cas.")


Et à ces deux articles-ci sur le vaccin polio oral (Encyclopedia Universalis de 1988: hausse de 300% des cas de polio dans les pays subtropicaux après de grandes campagnes vaccinales de l'OMS; plus de 47 000 cas de paralysie flasque aiguë causés par le vaccin en Inde rien qu'en 2011, etc...)

 

Lire aussi:  "Variole: aveux explosifs à posteriori sur le vaccin."

Vaccins: ce que des médecins en disaient déjà en 1875 (= livre rare d'époque du Dr Coderre)

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 17:28

Une maladie infectieuse rare et incurable, ressemblant à la polio est apparue en Californie où elle affecte un petit nombre d'enfants (vaccinés), ont annoncé des chercheurs de l'Université de Stanford.


vaccins-forces-enfants-violes.jpg

 

Les universitaires ont présenté dimanche cinq cas de paralysie soudaine chez des enfants, lors d'un congrès de l'Académie américaine de neurologie à Philadelphie.


"Bien que le virus de la polio ait été pratiquement éradiqué dans monde, d'autres virus peuvent affecter la moelle épinière, faisant apparaître un syndrome proche de celui de la polio", a déclaré le neurologue de Stanford, Keith Van Haren, principal auteur de cette étude de cas.


"Au cours de la dernière décennie, le lien a été fait entre de nouvelles formes d'entérovirus et l'apparition de ce syndrome semblable à la polio chez des enfants en Asie et en Australie", a expliqué le chercheur.


"Ces cinq nouveaux cas mettent en lumière la possibilité de l'émergence d'un syndrome semblable à celui de la polio en Californie", a-t-il dit.


La poliomyélite a été largement éradiquée dans le monde, grâce à l'introduction d'un vaccin dans les années 1950, mais la maladie continue de faire des ravages dans certains pays comme le Pakistan, le Nigeria et l'Afghanistan.


En Californie, les cinq enfants atteints par le nouveau syndrome avaient tous été vaccinés contre la polio, et leurs tests de la polio étaient négatifs. Ils présentaient tous les mêmes symptômes : une perte subite de mouvement d'un de leurs membres suivie d'une paralysie dans les deux jours.


Trois d'entre eux souffraient d'une maladie respiratoire avant l'apparition de ces symptômes.



Deux d'entre eux étaient porteurs de l'entérovirus-68, un virus rare qui a été associé à l'apparition de la maladie, dont les trois autres n'étaient pas porteurs, et les médecins recherchent toujours les causes de leur paralysie.


AFP

 

Source : RTBF


Il ne serait guère étonnant qu’on finisse un jour par dire « il faut produire un nouveau vaccin contre l’entérovirus 68 ». La réalité, et ce n’est pas un phénomène nouveau, c’est que la vaccination a des effets négatifs directs ET INDIRECTS qui s’exercent tant au niveau individuel que collectif :

 

- Oui entre autres, les vaccins peuvent donner lieu à une gamme infiniment étendue de pathologies neurologiques au rang desquelles diverses paralysies ou autres syndromes pouvant associer une paralysie au tableau clinique mais aussi

 

- Les vaccins induisent une pression de sélection au niveau du monde microbien : concrètement, cela découle du fait que « la Nature a horreur du vide » et que donc, toute tentative de faire baisser la circulation d’un germe est à même d’entraîner une sorte de reconfiguration/rééquilibrage des souches (tant virales que bactériennes) avec pour corollaire possible l’émergence de nouvelles variantes moins connues ou de souches souvent plus virulentes et plus problématiques.

 

Ici par conséquent, rien ne nous apparaît forcément neuf. On détecte 5 paralysies chez des enfants vaccinés. Ok mais combien d’enfants américains les vaccins paralysent-ils chaque année ? Fort évidemment, les parents s’entendent dire dans la majorité des cas que ces paralysies n’ont aucun lien avec un vaccin et encore, quand ils pensent à soulever la question ! Par ailleurs, il est un fait connu depuis déjà des décennies que la vaccination massive contre la polio a été associée à une explosion des méningites aseptiques qui n’est pas sans lien avec la hausse compensatoire d’autres virus comme les Echovirus et aussi d’autres entérovirus comme les Coxsackies (dont certains peuvent donner lieu à des symptômes paralytiques).

 

Ces informations médiatiques devraient donc être prises comme une occasion de plus de bien percevoir toute l’urgence qu’il y a à remettre en cause une « logique » vaccinale en définitive aussi absurde que contre-productive.

 

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25 février 2014 2 25 /02 /février /2014 15:36

 Colloque international sur les risques des vaccins Gardasil & Cervarix 

 

« Pour la première fois dans l’histoire des campagnes publiques de vaccination, des fonctionnaires du gouvernement sont prêts, au sujet des politiques vaccinales, à écouter la voix de scientifiques et de professionnels de la Santé réellement indépendants. C’est une chose qui aurait dû avoir lieu il y a plusieurs décennies. Il est possible que ces réunions au Japon puissent annoncer le début d’un nouveau paradigme médical. » - Norma Erickson

  

Japon colloque 2 seringues

 

 

Par Norma Erickson, Présidente de SaneVax Inc., 24 février 2014

 

Le 25 février, 2 heures 30, heure de Tokyo marquera le début d’un Symposium international sur les effets indésirables qui ont affecté des jeunes-filles  vaccinées contre le papillomavirus humain. Ce Symposium  a été organisé par un groupe de chercheurs qui ont voulu émettre une mise en garde au sujet des effets indésirables induits par les vaccins contre le papillomavirus humain, avec la collaboration du Dr Harumi Sakai, ancien professeur à la Faculté de Médecine de l’université de Tokai, du Dr Shohei Matsuzaki, professeur émérite de la Faculté de Médecine  de l’université de Tokai, de Mutsuo Fukushima  de Kyoto News International, et de SaneVax Inc.

 

Cet événement servira en quelque sorte de porte-parole à des milliers de jeunes-femmes et leurs familles qui dans le monde entier ont souffert des effets secondaires débilitants et parfois mortels de la vaccination contre le HPV. On a expliqué à beaucoup de ces familles que ces problèmes étaient psychosomatiques ou dus à des coïncidences.

 

En effet, le 20 janvier 2014, le conseil consultatif du gouvernement japonais a publié un rapport officiel tout à fait typique de ceux qui ont été publiés dans d’autres pays et qui rejetait tous les symptômes qui s’étaient manifestés dans le corps des jeunes-filles vaccinées comme étant les conséquences de « réactions psychosomatiques », de réactions mentales de filles qui, comme le suggérait le conseil consultatif de manière sophistiquée, auraient pu être influencées par des mères qui ne savaient pas comment discipliner leurs filles. Selon Mutsuo Fukushima, reporter à Kyoto News, le promoteur de cette théorie est le Dr Yutaka Ohno de l’université de Keio qui a déclaré publiquement :

 

« Il est impossible de trouver des causes physiques pour les effets indésirables allégués et  présumés de ces jeunes-filles vaccinées. Dès lors, on ne peut s’empêcher de conclure que leurs soi-disant réactions indésirables sont les simples conséquences de réactions psychosomatiques. Le gouvernement devrait prodiguer des conseils à ces filles afin qu’elles puissent être libérées de leurs réactions psychosomatiques.»

 

Les organisateurs de ce Symposium, ainsi que d’innombrables autres personnes trouvent que ce manque cynique de préoccupation pour les victimes de ces réactions indésirables des vaccinations HPV est franchement épouvantable. Ils veulent que le monde sache qu’il existe plusieurs mécanismes d’action biologiquement plausibles par lesquels le Gardasil et le Cervarix pourraient précipiter ces événements. Ils veulent que le monde sache ce que leur recherche a pu montrer dans l’espoir de mettre un terme aux campagnes de vaccination contre le HPV jusqu’à ce que ces mécanismes d’action soient identifiés et quantifiés pour que les personnes les plus à risque puissent être écartées de tous les programmes de vaccination contre le HPV. Ils veulent par-dessus tout que le monde sache que nombreux sont ceux qui sont décidés à ne jamais abandonner jusqu’à ce que prenne fin le désastre lié aux suites de la vaccination HPV de masse.

 

Symposium Building

Tokyo, Symposium building

 

 

Participants au Symposium:

 

- Organisateur: Harumi Sakai, MD, former Professor, Tokai University School of Medicine

- Co-organisateur: Shohei Matsuzaki, MD, Professor Emeritus, Tokai University School of Medicine

- Interprête: Mutsuo Fukushima, Reporter, Kyodo News, International Department

- Sin Hang Lee, MD, former Yale University Associate Professor, Pathologist at Milford Hospital, Director of Milford Medical Laboratory, Inc.

- Franҫois-Jerome Authier, MD, Universite Paris XII, Systeme Hospital Henri Mondor de Paris

- Lucija Tomljenovic, PhD, Research Associate, British Columbia University, Canada

- Mirna Hajjar, MD, Department of Neurology, Hartford Hospital, Hartford Connecticut

- Masayuki Sasaki, MD, National Center of Neurology and Psychiatry, Director of Child Neurology

- Shunichi Shiozawa, MD, Professor, Kyushu University Hospital

- Uhide Kiyoshi, MD, Assistant Professor, Kanazawa University

- Rokuro Hama, MD, Director, Japan Institute of Pharmacovigilance (non-profit organization) 

 

Matsuo Fukushima, journaliste au Kyoto News a informé le groupe Sanevax que, selon certaines rumeurs, une délégation du ministère de la santé japonaise avait l’intention de se rendre à Londres en octobre pour entamer des discussions sur les vaccins HPV avec des fonctionnaires du ministère britannique de la santé et de l’Agence de régulation des produits de santé (MHRA). Certains ont pensé que cette délégation pourrait être disposée à échanger avec des experts scientifiques et médicaux indépendants de l’industrie pharmaceutique.

 

Avant la confirmation officielle de cette réunion, Norma Erickson, présidente de Sanevax et Freda Birrell, la secrétaire avaient pris l’initiative de fournir à leurs futurs contacts quantité d’informations relatives à de nombreux cas de jeunes-filles dont la santé avait été endommagée à la suite de la vaccination contre le HPV (Gardasil et Cervarix) dans d’autres parties du monde. Les effets secondaires rapportés au Japon étaient pratiquement identiques à ceux qui avaient été rapportés dans les pays où ces vaccins avaient été administrés. Ce simple fait semble bien indiquer que les effets indésirables ne doivent pas être considérés comme des coïncidences. Toute l’équipe de SaneVax  a pensé qu’il était essentiel de démontrer qu’il s’agissait d’un problème mondial. Les jeunes femmes japonaises n’étaient en fait pas les seules à souffrir après avoir reçu le vaccin contre le HPV. Au plus les contacts japonais ont reçu de l’information,  au plus tous se sont mis d’accord sur la nécessité d’entendre des experts indépendants.

 

Après de nombreuses discussions, SaneVax obtint confirmation de M. Tetsuya Miyamoto, directeur du bureau sur la politique vaccinale au Ministère de la Santé, du Travail et du Bien-être, ainsi que d’un médecin expert pour une mission concernant les vaccins HPV. M. Tetsuya, que lui et son équipe seraient prêts à rencontrer des scientifiques indépendants, ainsi qu’un médecin de Londres le 7 octobre 2013 au « Double Tree » près de l’hôtel Hilton à Londres.

 

La réunion devait commencer à 14 heures et durer deux heures. L’équipe japonaise comprenait des médecins de premier plan et provenant de deux des six hôpitaux universitaires japonais qui avaient reçu la mission de faire la lumière sur la relation possible de cause à effet entre les vaccins HPV et les effets secondaires subis par des jeunes-filles au Japon.

 

Les participants du groupe SaneVax à cette réunion importante étaient : le Dr Sin Hang Lee, MD, pathologiste de l’hôpital Milford, directeur du laboratoire Milford , ancien professeur agrégé de pathologie à l’université de Yale, le professeur François Jerome Authier, MD, PhD, Centre de référence pour les troubles neuromusculaires, Hôpital Henri Mondor à Paris et le Dr Damien Downing, MB, BS, MIBiol de Londres et pionnier en médecine écologique. Assistaient également à cette réunion Madame Freda Birrell, secrétaire de SaneVax Inc. et son mari David Birrell, analyste et chercheur dans les données du VAERS.

 

Notre équipe à Londres a été traitée avec le plus grand respect par M. Miyamoto et ses collègues médecins. Ils ont écouté attentivement tout ce qui a été dit, et suivi avec grande attention l’excellente présentation power-point qu’il a fallu arrêter à plusieurs reprises pour permettre de répondre à des questions très importantes. Un interprète japonais était également présent.

 

A cette époque, nous avons réalisé qu’une autre réunion serait envisageable à Washington DC quand la délégation japonaise se rendrait à la FDA et au CDC. Cette réunion à Washington n’a malheureusement pas pu avoir lieu en raison de différents facteurs.

 

De ce fait, la réunion de Londres a pris une importance toute particulière, car elle s’est avérée être le catalyseur  d’événements historiques qui auront lieu au Japon les 25 et 26 février 2014.

 

Pour la première fois dans l’histoire des campagnes publiques de vaccination, des fonctionnaires du gouvernement sont prêts, au sujet des politiques vaccinales, à écouter la voix de scientifiques et de professionnels de la Santé réellement indépendants. C’est une chose qui aurait dû avoir lieu il y a plusieurs décennies. Il est possible que ces réunions au Japon puissent annoncer le début d’un nouveau paradigme médical.

 

A tout le moins, ces réunions serviront en quelque sorte de porte-paroles pour les milliers de jeunes et leurs familles qui ont à faire face aux effets parfois débilitants de la vaccination contre le HPV.

 

L’équipe de SaneVax  tient à exprimer ses sincères remerciements aux personnes qui ont organisé ce colloque. Ce fut un grand honneur pour nous de faire partie d’un tel événement historique. Cela pourrait être le commencement de la fin pour les troubles dévastateurs que certaines familles ont dû subir après les vaccinations contre le HPV.

 

Source: SaneVax

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24 février 2014 1 24 /02 /février /2014 09:00

Le vaccin qui est presque toujours un échec

 

Bob Livingston, 22 février 2014

 

Zona-Shingles.jpg

 

Le zona est causé par une réactivation du virus dormant de la varicelle. La maladie est plus fréquente chez les personnes âgées et chez celles dont le système immunitaire a été affaibli par le stress, des altérations de santé, des médicaments ou autres raisons.

 

Le Comité Consultatif sur les Pratiques d’Immunisation des Centres de Contrôle des Maladies et de Prévention (CDC) recommande le vaccin contre le zona «  pour réduire les risques de zona et son cortège de souffrances pour les personnes âgées de 60 ans et plus ». - Selon le Dr David Brownstein, MD, la question qui revient le plus souvent chez ses patients est la suivante :« Est-ce que je dois me faire vacciner contre le zona ? »

 

Mauvaise recommandation ?

 

Comme le vaccin est recommandé par le CDC, il devrait y avoir des preuves qu’il est efficace. L’analyse effectuée par le Dr Brownstein des preuves fournies dans le document «  Prévention du zona chez les personnes âgées » indique que le vaccin n’est pas aussi efficace que le CDC voudrait nous faire croire

 

Dans la partie «  indications pratiques », le Dr Brownstein a découvert ces quelques perles :

 

« L’auteur précise que sur 52.000 participants et au cours d’une période de surveillance de 3 à 12 ans, il y a eu une réduction du risque relatif de 51% des cas confirmés de zona chez les personnes qui ont reçu le vaccin. En outre, l’auteur a précisé que pour les personnes âgées de 60 à 69 ans, il fallait traiter 50 personnes  pour prévenir un cas de zona. Pour les personnes de 70 ans et plus, il fallait en traiter 100. »

 

« Ces chiffres montrent que chez les personnes âgées de 60-69 ans, le vaccin contre le zona a été inefficace chez 98% (quarante-neuf sur cinquante) des personnes étudiées. Pour les personnes âgées de 70 ans et plus, le vaccin a été inefficace à 99%, du fait que 99 personnes sur 100 n’ont pu recevoir aucun bénéfice. »

 

Ainsi, selon ces données, ce vaccin contre le zona a été un échec dans 98 à 99% des cas. Il a en outre été observé que pour 2,8 patients vaccinés, un patient présentait des effets secondaires. On a aussi observé que pour 100 personnes vaccinées, une personne souffrait de réactions plus graves comme : éruption cutanée, fièvre ou hospitalisation.

 

Le Dr Brownstein  a  présenté ces preuves sous la forme d’une lettre à l’éditeur de l’ American Family Physician Journal. Cette lettre a été rejetée sans explication.

 

Devez-vous donc vous faire vacciner contre le zona ? Les preuves présentées semblent bien montrer que « Non ». Ces preuves semblent aussi indiquer que l’establishment médical ne veut pas que vous soyez informés de cette situation.

 

Le meilleur produit que nous ayons trouvé pour soulager la douleur et soigner les cloques est la L-Lysine, un acide aminé essentiel qui se trouve dans n’importe quelle pharmacie ou magasin d’aliments de santé. Ce produit est disponible sous forme de supplément oral et sous forme d’onguent. Il est également excellent pour le soulagement de l’herpès labial causé par le virus de l’herpès simplex.

 

Source: Easyhealthoptions.com

 

 

Et c’est ce vaccin qui a été inclus au calendrier vaccinal de l’adulte en France, relativement récemment…Non contentes de déjà dilapider près de 500 MILLIONS d’euros par an en vaccins de toutes sortes qui creusent d’autant plus le trou de la Sécu qu’ils sont de grands pourvoyeurs de maladies chroniques, les autorités françaises préconisent désormais à toute personne dès l’âge de 65 ans de recevoir une dose de vaccin contre le zona, avec un « généreux rattrapage » pour les personnes de 75 à 79 ans, histoire de bien lancer cette Xème vaccination.

Il faut aussi savoir que dans les essais cliniques du vaccin anti-zona (le Zostavax), il y a eu 2% d'effets secondaires GRAVES (mais comme d'habitude et comme par magie, 0% de ces effets secondaires graves ont été attribués par les expérimentateurs (= liés au fabricant) au vaccin cf. page 51 de ce ppt). Pour avoir une petite idée, cela veut dire qu'il y aura 1 effet secondaire grave sur 50 injections alors que l'incidence du zona dans le groupe d'âge des 60 à 69 ans en Belgique est de 11,8/ 1000 personnes. D'un côté un risque d'effets secondaires graves du vaccin de 20 pour 1000 et de l'autre, un taux d'incidence de 11,8 sur 1000 donc faire le vaccin est deux fois plus risqué que le risque naturel d'incidence de la maladie.

 

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23 février 2014 7 23 /02 /février /2014 17:15

fOTOLIA pinochio

Beaucoup de gens sont encore dans la croyance malheureuse (pour eux et leur propre sécurité sanitaire) que le médecin sait forcément mieux que les autres en matière de vaccination.


Hélas, il n'en est rien et en règle générale, les médecins savent fort peu de choses en réalité. Ils ne savent déjà pas ce qu'ils injectent en termes de composants pour la plupart d'entre eux quand ils administrent un vaccin (= ce dont vous pourrez notamment vous rendre compte en visionnant ce documentaire-ci)


Ensuite, on voit assez mal comment ils pourraient avoir la moindre connaissance fiable étant donné que les connaissances élémentaires sur le fonctionnement du système immunitaire font encore largement défaut. Et ce n'est pas nous qui suçons ce constat de notre pouce, ce n'est autre que le Dr Jean-François Saluzzo, Directeur de la Production des Vaccins Viraux chez Sanofi Pasteur et également consultant pour l'OMS qui l'avouait non sans un certain malaise d'être filmé dans un cours de vaccinologie en ligne destiné... aux médecins! En effet, il déclarait alors:


« On ne comprend pas comment marchent les vaccins.[…] Je pense que si on veut faire des progrès dans l’avenir dans le domaine de la vaccinologie et des vaccins nouveaux, c’est d’étudier d’abord la réponse immunitaire. »


La vaccination consiste donc à utiliser des produits interférant avec un système immunitaire dont on ne connaît pas suffisamment le fonctionnement et les réactions possibles mais surtout, elle consiste à utiliser des produits qui sont eux-mêmes insuffisamment évalués. Etudes biaisées qui comparent des vaccinés à d'autres vaccinés (= faux placebos), études qui portent sur un temps ridiculement faible, études qui n'impliquent pas d'analyser le devenir des divers composants du vaccin une fois dans le corps (= absence d'analyse pharmacocinétique), études qui n'incluent aucune évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène c'est à dire des risques d'induire des cancers, des altérations de notre ADN et des tares dans la descendance,...et c'est sur une base aussi vaseuse et aussi incomplète que divers experts-apprentis- sorciers viennent clamer sur les plateaux télé que les vaccins sont sûrs et qu'il n'existe aucune preuve de tel ou tel danger?!! 


pinocchio mensonge fotolia

1er exemple. La Société des Obstétriciens et Gynécologues du Canada (SOGC) et la vaccination de la femme dans le cadre d'une grossesse.

 

Dans une page web intitulée "La vaccination avant et pendant la grossesse", plusieurs inepties lourdes de conséquences sont reprises. Etant donné que la grossesse constitue un moment de la vie où les femmes sont le plus médicalisées et où elles vont le plus consulter, cette association médicale des gynécologues canadiens y voit là "une bonne occasion" de mettre à jour leurs vaccins.

 

A la question "Les vaccins sont-ils sûrs?", on retrouve les lieux communs habituels "les réactions graves sont très rares. Pour 100 000 doses de vaccin administrées, seulement une ou deux donnera lieu à des effets néfastes graves."

 

Ils poursuivent sous la rubrique "Innocuité de l'immunisation pendant la grossesse": « Des données scientifiques indiquent que la plupart des types de vaccins sont sûrs pendant la grossesse. Ce qui comprend les vaccins passifs et certains vaccins actifs. Les vaccins à virus vivant atténué ne sont pas administrés si une patiente sait qu’elle est enceinte, parce qu’il existe un risque potentiel pour son bébé. Cependant, dans les cas où les vaccins à virus vivant atténué sont administrés aux femmes qui ne savent pas qu’elles sont enceintes, aucune donnée n’indique des résultats néfastes.


Une personne qui habite avec une femme enceinte peut être immunisée au moyen de tout type de vaccin sans crainte d’exposer la mère et son foetus à des risques. »

 

Ils indiquent également que "Le vaccin contre l'hépatite B peut être administré sans danger pendant la grossesse" ou encore que "Tous les types de vaccins sont sûrs pour les femmes qui allaitent."

 

Que peut-on répondre à tous ces dangereux mensonges? 

 

Plusieurs faits précis et concrets (contrairement aux affirmations floues et générales de ce site visiblement pas très sérieux):


1°) L'affirmation de 1 ou 2 cas graves sur 100 000 vaccinations ne repose sur aucune donnée scientifique sérieuse. Selon les chiffres qui ressortent de l'étude Kiggs, les effets graves sont plutôt de l'ordre de 2% soit 2 cas graves sur 100 vaccinations = 1 cas grave sur 50 soit 2000 fois plus. Le montant officiel des indemnisations de victimes aux USA est de plus de 2,7 milliards de dollars depuis 1986 en sachant que, d'une part deux tiers des plaintes sont rejetées d'emblée et que d'autre part, le maximum alloué est de 25 000 $, en cas de décès. Selon les études officielles, seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont officiellement recensés. Donc il semble bien que ces chiffres inconsistants donnés par cette Société médicale soient ceux qui sont non ajustés, c'est à dire ceux qui ne tiennent volontairement pas compte de la sous-notification avérée des cas graves, de façon à pouvoir ainsi rassurer à tort.

 

2°) Sur le fait que les données indiqueraient que la plupart des vaccins sont sûrs pendant la grossesse: là aussi, rien n'est plus faux. En réalité, il n'existe pas de données sur les vaccinations pendant la grossesse car les fabricants n'incluent pas cette population dans les essais cliniques. C'est pourquoi les notices de vaccins indiquent cette absence d'évaluation. Mais cela n'a hélas pas empêché les idéologues-apprentis-sorciers de profiter de la fausse pandémie de H1N1 pour inclure les femmes enceintes dans une population à vacciner sans état d'âme comme les autres... Les résultats ont été désastreux, comme on pouvait s'y attendre, puisque cela a induit un pic de 4250% de mortalité foetale aux USA où ils n'avaient cependant pas opté pour un vaccin avec adjuvant. Sans surprise là encore, la vaccination anti-HPV (avec Gardasil) de femmes enceintes qui ignoraient leur grossesse a donné lieu à des malformations et à des fausses couches. Ces vaccins HPV sont des vaccins produits par génie génétique et qui contiennent une dose non négligeable d'aluminium, un poison pour le système nerveux à fortiori celui du foetus qui est encore en plein développement. Le vaccin anti-hépatite B que cette Société gynécologue affirme sûr pendant la grossesse est lui aussi fabriqué par génie génétique et contient également de l'aluminium ainsi que des traces de mercure. Mais étrangement, il deviendrait sûr pendant la grossesse, simplement parce que cette Société médicale le décrète?!

 

3°) Sur l'absence de danger qu'il y aurait à vacciner l'entourage des femmes enceintes avec tout type de vaccin. C'est faux là encore, les vaccins à virus vivants donnés à l'entourage peuvent donner lieu à des réactivations de maladies virales (varicelle, rubéole, rougeole, vaccin polio oral..) chez les vaccinés qui peuvent ainsi être sources d'infection pour la femme enceinte avec qui ils seraient en contact. Aux Etats-Unis, les enfants sont massivement vaccinés avec un vaccin nasal en spray, c'est à dire un vaccin à virus vivant (qui devrait être massivement utilisé sous peu en Grande-Bretagne), ce qui suppose que ce virus pourrait très facilement infecter des femmes enceintes vaccinées ou non. Or une étude a montré qu'une réponse inflammatoire pendant la grossesse - réponse qui peut être induite soit par une infection naturelle soit aussi par tout type de vaccination- pouvait augmenter le risque d'autisme chez l'enfant à naître. Mais à suivre les idéologues, si on vaccine, il n'y aurait pas de risque, si on avait une grippe naturelle bien...on le voit: la contradiction et le mensonge sont vraiment partout dans le domaine de la vaccinologie!!


4°) Sur l'absence de risques de tous les vaccins chez la femme allaitante = dangereux mensonge


C'est là encore totalement faux. Une publication scientifique de février 2011 stipule clairement le risque d'encéphalite chez l'enfant dont la mère est vaccinée contre la fièvre jaune pendant l'allaitement car le virus vivant atténué du vaccin peut en effet passer dans le lait et nuire au délicat et sensible système nerveux du bébé allaité. L'article fait état du cas d'un jeune enfant de 5 semaines qui était jusque là en parfaite santé. Quand il eût 10 jours, sa mère se fit conseiller de recevoir divers vaccins du voyage dont ceux contre la typhoïde et la fièvre jaune. L'allaitement fut alors poursuivi et l'enfant n'avait encore reçu aucune vaccination à ce stade. L'enfant a dû être amené à l'hôpital car il avait eu notamment des convulsions. Il a dû passer toutes sortes de tests, y compris des tests invasifs comme une ponction lombaire. Il a également passé une IRM cérébrale et un électroencéphalogramme. On lui a diagnostiqué une méningo-encéphalite. Il est important de bien noter que l'enfant n'avait aucune marque de piqûre d'insecte malgré son séjour au Vénézuéla et aussi que les cultures sont revenues négatives. On a dû lui administrer de l'aciclovir (= un antiviral). Pour les auteurs de cette publication, la présentation clinique des troubles, la relation temporelle avec la vaccination de la mère et l'absence de mise en évidence de toute autre cause infectieuse plaident très nettement en faveur d'une infection aiguë du système nerveux central de l'enfant due à la souche vaccinale de fièvre jaune inoculée à sa mère. L'enfant a eu de la chance et il a  heureusement pu récupérer mais tout médecin sait que les encéphalites peuvent déboucher sur des séquelles lourdes pouvant être définitives. Même ce site d'infectiologie qui met pourtant la vaccination à toutes les sauces et qui recommande encore des stratégies vaccinales inefficaces et périmées (comme celle de la stratégie "cocoon" en matière de risque de coqueluche), stipule que la vaccination contre la fièvre jaune n'est pas indiquée dans la période du post-partum soit la période qui suit l'accouchement (et pour cause!)

 

Ce site des Gynécologues canadiens doit donc susciter la circonspection d'autant qu'ils ne semblent même pas connaître la différence fondamentale qui existe entre les termes "immunisation" (= processus qui découle d'une infection NATURELLE et qui est le plus souvent durable à vie) et "vaccination" (= processus artificiel qui maintient les sujets dans la dépendance en leur proposant une pseudo-protection transitoire).

 

Voici, avant de passer à l'exemple suivant, les captures d'écran attestant des propos préoccupants affichés par cette Association SOGC sur son site internet au moment de publier cet article :


SOGC-1.png

SOGC-2.png

 SOGC-3.png

SOGC-4.png

 

2ème exemple:  le Collège des Médecins de Famille du Canada et le vaccin anti-hépatite B chez les enfants

 

Dans un de ses articles intitulés " La vaccination des enfants. Ce que sont les vaccins et pourquoi votre enfant en a besoin.", cette Association médicale ose notamment écrire que "Le vaccin contre le virus de l'hépatite B (= VHB) ne provoque aucun effet secondaire grave chez les enfants."


vaccin-HB-CFPC.ca.png

Nombreuses sont hélas les preuves attestant du contraire. Par quoi commencer? Sans être forcément exhaustifs, donnons donc ici quelques éléments de réponse consistants:

 

- Les chiffres du VAERS (= registre américain de notification des effets secondaires de vaccins) indiquent ceci pour les effets secondaires du vaccin anti-hépatite B chez les enfants de moins de 6 ans entre 1999 et 2002: 13 363 effets secondaires signalés dont 1840 hospitalisations et 642 décès. Il serait intéressant de savoir combien de décès au total l'hépatite B aurait-elle engendré chez les enfants de moins de 6 ans non vaccinés pendant ce même laps de temps...

 

- L'équipe du Pr Marc Tardieu, neuropédiatre à l'hôpital parisien de la Pitié Salpétrière, a montré un risque accru de sclérose en plaques chez les enfants vaccinés contre l'hépatite B et le fait que ce risque accru perdure au-delà d'un délai de 3 ans après la vaccination. Comme cette découverte est dérangeante pour l'establishment médico-pharmaceutique qui n'a jamais cessé de rassurer à tort pendant toutes ces années et aussi bien sûr pour les autorités sanitaires dont les mensonges ont conduit plus de 30 millions de gens à se faire vacciner contre cette maladie -qui n'est nullement une urgence de santé publique- avec tous les risques de responsabilité juridique que cela implique, le Pr Tardieu a tout simplement été interdit de conférence de presse à l'époque de la parution de son étude. Aussi simple que cela. Et bien sûr, cette information n'émane pas d'Initiative Citoyenne mais a été révélée par le journal Libération du 14 octobre 2008 dans un article intitulé "Cachez ce risque que je ne saurais voir."

 

- Le petit Achraf Diwane était un enfant parfaitement sain avant qu'il ne reçoive le vaccin Engerix B Junior à l'âge de 2 ans dans son pays natal (le Maroc). 48 heures plus tard, il devenait tétraplégique et cela de façon malheureusement irréversible. Après de multiples mensonges des autorités et du fabricant qui prétendaient tantôt que l'effet était survenu trop tôt tantôt trop tard pour pouvoir incriminer le vaccin, le tribunal a tranché conformément au rapport de l'expert désigné, en faveur d'un lien de causalité direct et a condamné le fabricant à plusieurs millions de dirhams de dédommagement. 


ACHRAF-2.jpg

- La vaccination contre l'hépatite B détruit les cellules du foie, un comble pour un vaccin censé protéger cet organe. C'est ce qui a notamment été montré in vitro sur des cellules hépatiques humaines mises en contact avec le vaccin anti-hépatite B. Une autre publication a mis en évidence en 1993 et en 1994 un taux 2,57 fois plus grand de pathologies hépatiques chez les enfants vaccinés par rapport aux enfants non vaccinés, chez les moins de 6 ans. 


- Les documents confidentiels de la firme GSK au sujet de son vaccin "6 en 1" Infanrix hexa qui comprend la valence anti-hépatite B, font état d'une liste de plus de 800 effets secondaires possibles pouvant toucher tous les systèmes du corps. Parmi ces effets secondaires possibles (eh oui, il n'y a pas que le ROR qui peut jouer un rôle!) listés par le fabricant lui-même, il y a diverses pathologies neurologiques dont l'autisme. C'est important de le savoir bien sûr dans un contexte où un enfant sur 50 est maintenant touché aux Etats-Unis, où il y a en France plus de 400 000 autistes et plus de 100 000 dans un pays comme la Belgique. L'auteur Judy Converse a d'ailleurs consacré un livre entier à la question du lien entre Autisme & vaccin anti-hépatite B. Carolyn Gallagher et Melody Goodman ont publié un papier dans la prestigieuse revue Annals of Epidemiology en septembre 2009 dans lequel on peut lire noir sur blanc que le vaccin anti-hépatite B triple le risque d'autisme chez les garçons par rapport aux garçons non vaccinés. Si on rajoute à tous ces risques les risques de mort subite, ceux propres aux vaccins fabriqués par génie génétique (= risques de malignité = risques de cancer avoués dans un rapport de 1987 par l'OMS), on se rend compte à quel point les propos faussement rassurants de divers médecins peuvent induire les parents en erreur et amener leurs familles à des tragédies sanitaires et sociales évitables pour une maladie pourtant réellement rare chez les enfants d'âge concerné. 


Hélas, ces données pourraient être multipliées pour ce vaccin comme pour les autres. Il est urgent et éminemment nécessaire de comprendre que les médecins ne disent pas la vérité au sujet des risques vaccinaux pour l'immense majorité d'entre eux. Ignorance, peur, opportunisme et intérêt financier,... nombreuses sont les raisons qui peuvent expliquer ce discours peu fiable sur les vaccins de la part des médecins. Mais ce qui est sûr, c'est que ce ne sont pas les "cours de vaccinologie" ajoutés à leur cursus pour soi-disant mieux les informer sur le contenu d'une fausse science qui n'existe pas qui vont changer quoi que ce soit. Le véritable objectif de ces cours est surtout de faire croire aux gens que les médecins sauront alors ce qu'ils feront tout en continuant pourtant de promouvoir les vaccins aveuglément/ à tout prix.


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