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11 janvier 2014 6 11 /01 /janvier /2014 18:46

Gardasil : comment j’ai payé l’absence de consentement éclairé

 

Nicole Alexandra, 10 janvier

 

Gardasil-Nicole-aAexandra.jpg

 

« Le Gardasil a changé ma santé, ma vie et celle de ma famille pour toujours : physiquement, mentalement, émotionnellement et financièrement »

 

J’avais vu beaucoup de publicité à la télévision pour le Gardasil et je voulais être « une fille de moins » qui serait atteinte par le cancer du col de l’utérus. Mon médecin m’a dit que je devais faire le vaccin contre le HPV et j’ai fait confiance à l’information qui m’était donnée. J’ai cru que le vaccin était important pour ma santé et j’ai choisi de me faire vacciner.

 

On ne m’avait jamais dit que les frottis réguliers étaient un moyen efficace permettant de détecter des cellules anormales qui pouvaient être traitées avant qu’un cancer ne se développe. On ne m’avait jamais dit non plus que la majorité des infections HPV  se résorbaient spontanément sans aucune conséquence sur la santé. Je n’ai pas eu d’informations suffisantes sur les effets indésirables qui pouvaient survenir après la vaccination. Je n’ai non plus pas pris le temps d’effectuer des recherches sur le Gardasil ou sur les autres vaccins. Je croyais que les vaccins faisaient partie du système de « soins de santé », un système dans lequel j’avais confiance.

 

Je ne savais pas que le fait de recevoir un vaccin quand le système immunitaire était affaibli pouvait exacerber les risques de réactions vaccinales indésirables. Mes médecins ne m’ont pas avertie. Si au moins j’avais alors su ce que je sais aujourd’hui !

 

[…]

 

Ma première injection de Gardasil

 

C’est le 29 janvier 2011 (j’avais 23 ans) que je me suis rendue avec mon fiancé chez le gynécologue pour discuter de pilules contraceptives et du vaccin contre le HPV. Faisant confiance à l’avis du médecin j’ai eu la première injection du vaccin le jour même. Au cours des premiers jours après l’injection et durant toute la semaine, j’ai dû garder le lit parce que je me sentais mal. On croyait que je faisais une mauvaise grippe. Il était aussi possible que je faisais une réaction au retrait du relaxant musculaire que je prenais précédemment ou aux nouvelles pilules contraceptives qui m’avaient été prescrites. J’ai donc arrêté de prendre ces pilules et mes symptômes se sont aggravés.

 

Ma maman et mon fiancé se rappellent bien de tous les changements physiques qui se manifestaient. Pour moi ces souvenirs restent embrouillés tant j’étais malade. Au cours des jours, des semaines et des mois qui suivirent, j’ai vécu les pires nausées, la pire des faiblesses, les pires vomissements, les plus fortes douleurs à l’estomac et  dans tout le corps que j’avais jamais connues. Les maux de dos et d’estomac que j’avais connus avant n’étaient rien en comparaison de ce que je vivais après avoir été vaccinée avec le Gardasil.

 

Les médecins

 

Nous avons consulté quantité de médecins et nous avons fait toutes les analyses possibles. Les résultats des tests étaient toujours « normaux » (Ironie du sort, les médecins n’ont jamais effectué des tests pour vérifier l’empoisonnement par les métaux, alors que j’en manifestais les symptômes. Si n’importe quel médecin avait connu ces symptômes, (je les avais presque tous), je n’aurais peut-être pas souffert aussi longtemps. Aucun des médecins que j’ai consultés n’a dit qu’il pouvait y avoir un lien avec le Gardasil. En fait, la plupart d’entre eux m’ont dit tout juste le contraire, que mes symptômes n’étaient sûrement pas causés par le Gardasil. Ce n’est que quand, neuf mois plus tard, on a fait des examens sanguins en dehors du cabinet de mon médecin, que l’on a découvert un stress toxique, une quantité meurtrière de candida (levure), une intoxication  aux métaux et autres toxines qui passaient dans mon sang. (les ingrédients du Gardasil inclus) C’est alors que nous avons finalement pu établir la relation après avoir aussi effectué une recherche sur internet. Nous avons été bouleversés par les effets secondaires dont nous avons pris connaissance, comme par la similitude des effets secondaires que d’autres filles avaient connus. Au cours du mois qui a suivi ma première injection de Gardasil, ma santé s’était complètement modifiée, j’étais terriblement affaiblie.

 

Les douleurs et les nausées

 

Pendant plusieurs mois, vingt-quatre heures sur vingt-quatre, j’avais des nausées, des maux d’estomac qui alternaient avec des vomissements. Je ne pouvais plus rien manger ni boire sans devenir malade. Il m’était très difficile et douloureux de digérer quoi que ce soit. Mon corps tout entier était dans une immense souffrance. Je n’avais jamais connu pareils symptômes débilitants et pareilles douleurs. Ces souffrances rendaient tous mes mouvements difficiles. La marche était très pénible. Je ne pouvais pratiquement plus rien faire. Pendant sept mois je n’ai même plus pu porter des jeans parce que c’était trop pénible pour mon estomac. J’ai aussi souffert de vertiges et ai failli m’évanouir plusieurs fois. J’ai rapidement perdu du poids, jusqu’à 15 livres par mois, malgré que mon activité était particulièrement réduite.

 

A gauche sur la photo en décembre 2010, un mois avant l’injection du Gardasil. A droite un an et demi plus tard après avoir perdu beaucoup de poids (100 livres en un an et demi) J’ai rapidement perdu mes cheveux au même rythme que ma perte de poids.

 

Le centre de ma langue est devenu gris-noir et mes yeux sont devenus légèrement jaunes. L’acupuncteur que je consultais avant l’injection du Gardasil  m’a décrit le déclin progressif de santé que j’avais vécu après l’injection : en un mot, le foie, la rate, les reins, la vésicule biliaire, le pancréas et les intestins ne fonctionnaient plus normalement et étaient soumis à un stress  important.

 

J’ai dû me rendre une fois à l’hôpital pour les douleurs que j’éprouvais sur le côté droit, comme à l’estomac. On m’a administré de la morphine, donné des analgésiques et renvoyée à la maison sans explication.

 

Les horribles problèmes gastro-intestinaux ont été une des choses les plus difficiles à supporter. Je n’oublierai jamais les douleurs que j’ai vécues alors. J’avais pratiquement mal dans tout le corps. Mon cerveau, mon esprit étaient comme dans un brouillard ; j’étais sans énergie et ne pouvais plus fixer mon attention. Je devais me battre pour pouvoir me concentrer, verbaliser mes sentiments, mon anxiété et mes frustrations. J’étais plus épuisée, plus fatiguée et plus en souffrance que je n’avais jamais été…

 

Les médecins m’ont finalement dit que je souffrais  du syndrome du colon irritable et m’ont conseillé de faire un régime à base de céréales. Je savais cependant qu’il me fallait trouver d’autres ressources.

 

Le soutien de la famille

 

Ma famille a tout fait pour pouvoir me venir en aide. J’ai suivi chaque semaine un traitement  non remboursé chez un acupuncteur. Nous avons acheté des vitamines, des plantes, des poudres de protéines, des enzymes digestives, des probiotiques, des fibres pour traiter le syndrome du colon irritable (ou colopathie fonctionnelle). Nous avons alors commencé le premier des nombreux régimes destinés à faciliter la guérison de l’intestin.

 

Des mois de ce régime n’ont apporté que de faibles résultats. Je souffrais toujours terriblement du dos, j’avais toujours des douleurs dans tout le corps. De ce fait, ma mobilité, mon énergie et ma force étaient particulièrement limitées.

 

Au cours des mois qui ont suivi, je m’efforçais de marcher comme je pouvais, mais j’étais très limitée. J’ai même essayé de nager, mais la nage augmentait considérablement mes douleurs. Mon thérapeute a fini par me faire comprendre que je ne pouvais pas espérer davantage.

 

En désespoir de cause

 

Nous étions au sommet du désespoir après avoir fait une petite sortie avec mon fiancé. Nous étions allés voir des amis, chose que je n’avais plus faite depuis un an. Nous avions fait cette tentative malgré tous mes problèmes de santé.

 

Ce fut merveilleux de pouvoir revoir tous ces amis, mais une fois rentrés à la maison, mon corps n’a pu récupérer de l’épuisement qu’avait provoqué cette sortie. Il nous fallait trouver une aide supplémentaire.

 

Les médecins que nous avions consultés ne nous avaient guère aidés. Certains ne m’aidaient pas du tout et ne se gênaient même pas pour nier mes symptômes. C’est l’acupuncteur qui a vraiment tout fait pour m’aider à guérir. On m’a finalement donné le nom d’un chiropraticien de la région et je me suis dit que ça valait peut-être la peine d’essayer.

 

La chiropraxie

 

L’une des plus grandes bénédictions au travers de tout ce calvaire a été la découverte du Dr McKillican qui était chiropraticien, un vrai médecin chaleureux et sincère. Il a pu se rendre vraiment compte de mon état de santé et a voulu faire l’impossible pour me venir en aide. Les manipulations qu’il a pu faire ont énormément amélioré mon état de santé. […]

 

Hématologie vitale et alimentation

 

Un spécialiste en hématologie vitale m’a aidée à détoxifier mon corps par des moyens naturels. Nous avons suivi un régime qui comprenait des jus de légumes, des fruits, des plantes, des multivitamines, des enzymes digestives, de l’argent colloïdal, de l’extrait de feuilles d’olivier, du glutathion et du jus d’aloe vera. Ce régime m’a beaucoup aidée par rapport à mes affreuses nausées chroniques.

 

J’ai aussi eu recours à un nutritionniste pour apporter soulagement et amélioration à mes problèmes  ayant trait aux troubles des glandes surrénales, aux faibles taux d’énergie, à la mémoire, au cerveau, comme à tous les dommages internes.

 

Je suis maintenant remplie de gratitude pour l’amélioration que j’ai pu obtenir. Je sens que mon corps est en train de se guérir petit à petit.

 

Deux ans et demi après le Gardasil

 

Deux ans et demi après le Gardasil, j’envisage mon processus de guérison sous des angles différents. Mon attention se porte maintenant principalement sur les problèmes d’auto-immunité et sur les niveaux de douleur. Ceci porte principalement sur les problèmes gastro-intestinaux, les douleurs du corps, les dérèglements de l’appétit, la mauvais assimilation des aliments, ma tension trop basse, mes vertiges, mon faible niveau d’énergie, ainsi que mon hypersensibilité au froid, aux odeurs et aux produits chimiques.

 

Mes problèmes d’appétit et tout ce qui est lié à la nourriture me fait pleurer tous les jours. Je n’ai soit aucune envie de manger, soit je suis tout de suite et beaucoup trop vite rassasiée. Ces problèmes sont vraiment complexes. […]

 

J’ai éliminé les aliments qui contiennent du gluten, des OGM et tous les aliments préparés. Je ne puis plus supporter les aliments épicés ou acides. Je n’absorbe que des jus de légumes crus parce que mes organes digestifs ne supportent plus d’autres formes de légumes. Je surveille d’assez près ma consommation de sucre, y compris les fruits. Je prends aussi de bonnes huiles, de bonnes graisses (beurre biologique, huile de coco) qui m’ont beaucoup aidée. Je consomme aussi des protéines d’origine biologique. […]

 

J’ai aussi recours à des lavements, et je bois de l’eau alcalinisée. Mon corps semble maintenant être sur la bonne voie après les atrocités que le Gardasil m’a fait vivre. Malgré mes douleurs et mes niveaux très différents d’énergie d’un jour à l’autre, je choisis maintenant de me concentrer sur les bénédictions que représentent mes améliorations de santé. Toutes ces expériences ont contribué à me rendre plus humble dans la vie.

 

Le soutien de ma famille

 

Mon extraordinaire maman et mon fiancé ont dépensé des sommes importantes d’argent, ont fait tellement de sacrifices, ont donné tellement de leur temps pour s’occuper de ma santé après que j’aie reçu cette injection de Gardasil. Ils continuent à me venir en aide chaque jour. Sans eux, tous ces progrès auraient été impossibles. Je suis remplie de gratitude et d’humilité pour être en vie, pour l’amour et tout le soutien des personnes avec lesquelles je vis. Jamais je n’aurais pu arriver où j’en suis sans l’aide de ces merveilleuses personnes.

 

Le Gardasil a changé ma santé, ma vie, celle de ma famille pour toujours: physiquement, mentalement, émotionnellement et financièrement.

 

Nous avons été contraints de nous renseigner sur la santé comme nous ne l’aurions jamais fait auparavant. Je suis tellement reconnaissante pour la vie qui m’est accordée aujourd’hui comparativement à l’état délabré dans lequel je me trouvais il y a presque trois ans. Il nous a fallu apprendre à lire, à nous informer et à chercher ce qui convenait à nos corps.

 

Nous voulons encourager tout un chacun à faire ses propres recherches par rapport à tout ce dont le corps a besoin et réunir un maximum d’information sur tout ce qui touche à des injections. Les effets indésirables de la vaccination contre le HPV ne s’arrêteront pas tant que l’on ne mettra pas fin à l’administration de ces vaccins.

 

Ce que je peux partager au travers de mon expérience est la vérité. Il s’agit bien de faits réels et d’expériences au travers desquelles j’ai dû passer après avoir reçu le Gardasil. Je continuerai à donner cette information jusqu’à ce qu’on supprime ce vaccin.

 

Source : SaneVax

 

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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 16:49

On va sans doute voir fleurir ce phénomène dans les mois et années qui viennent: des groupes de parents poussés dans le dos par les pharmas et complètement instrumentalisés pour tenter de réagir sur un même plan que la contestation citoyenne qui s’est très légitimement mise en place et qui fait des ravages pour les profits des pharmas. La stratégie sous-jacente, c'est  "diviser pour mieux régner", faire semblant de monter les parents les uns contre les autres pour qu'au final, le profit des pharmas soit défendu de cette façon, par les cons-ommateurs dociles et crédules eux-mêmes.

 

Un exemple : cet article posté par une femme qui dit avoir été élevée par une fanatique de bio, ne pas avoir été vaccinée et avoir été tout le temps malade. Outre que son article comporte plusieurs incohérences, elle ne fait référence à aucun chiffre, ses informations restent non vérifiables. Elle évoque des prises fréquentes d’antibiotiques mais les maladies infantiles qu’elle évoque et pour lesquelles des vaccins existent sont majoritairement des maladies virales or tout médecin lambda sait que les antibiotiques n'ont aucune action sur les maladies virales.

 

Si on creuse un peu plus, on trouve que ce témoignage publié sur Slate.fr provient d’un site propret qui n’a pas l’air d’avoir envie de publier les noms de ses membres et qui a parmi son comité scientifique des gens comme… Paul Offit, le « grand expert » américain en lien avec les pharmas et détenteur d’un brevet de vaccin, celui-là même qui osait affirmer qu’on peut sans risque administrer 10 000 vaccins à la fois à un enfant!! Mais à part cela, ces parents disent vouloir défendre la Science, on croit vraiment rêver! Paul Offit parmi les conseillers scientifiques de ce site, c'est vraiment le cheval de troie des pharmas, pas étonnant dès lors que ces témoignages chargent aussi les médecines alternatives qui concurrencent les pharmas et sur lesquelles Offit tappe aussi parce que ça éloigne des parents des vaccins et qu'il tire de juteux bénéfices du brevet de vaccin qu'il possède.

 

Méfiance donc vis-à-vis de toutes les nouvelles stratégies que les officiels sont capables de déployer pour vous désinformer facilement.

 

Voici des captures d'écran du site en question "Voices for Vaccines" (un nom qui pue les slogans vides des pharmas car en effet, difficile de considérer en ces temps de harcèlement vaccinal que les vaccins ont encore besoin d'autres voix pour en parler....)

 

Voices-for-vaccines.JPG

 

Autre partie totalement RIDICULE du site et qui trahit ses fondements et ses commanditaires les plus probables, la partie où le groupe demande des dons... DES DONS POUR VACCINER, vous ne trouvez pas ça étrange alors que tous les vaccins sont "gratuits" car systématiquement achetés par les gouvernements aux pharmas et même obligatoires pour beaucoup d'entre eux dans toutes sortes de pays comme aux Etats-Unis???

 

voices-for-vaccines-1.JPG

Les pharmas ont déjà tout l'argent nécessaire et bien plus encore pour étouffer au maximum toute la communication peu flatteuse envers leurs produits aux effets catastrophiques. On peut douter franchement en ces temps de crise financière que la moindre personne censée aille verser un don pour aller encore accroître la propagande mensongère qui assomme déjà l'entièreté de la planète matin, midi et soir sur les vaccins....

 

Voir aussi: Grippe: la fausse bonne nouvelle du vaccin en spray (nasal) pour enfants

 

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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 16:01

Coqueluche: un vaccin nasal testé avec succès sur l'homme

 

8 janv. 2014

 

coqueluche.jpg

Kevork Djansezian

 

Un vaccin nasal contre la coqueluche dont une seule dose pourrait suffire à protéger les bébés de moins de six mois, a été testé avec succès sur l'homme, selon une étude préliminaire publiée mercredi dans la revue scientifique en ligne Plos One. Kevork Djansezian

 

Un vaccin nasal contre la coqueluche dont une seule dose pourrait suffire à protéger les bébés de moins de six mois, a été testé avec succès sur l'homme, selon une étude préliminaire publiée mercredi dans la revue scientifique en ligne Plos One.


Pathologie respiratoire très contagieuse qui se traduit par des quintes de toux violentes, la coqueluche, d'origine bactérienne, continue à toucher plusieurs dizaines de millions de personnes et d'être à l'origine d'environ 300. 000 décès chaque année dans le monde, particulièrement chez les nourrissons trop jeunes pour être immunisés par les vaccins actuels.


Elle est en recrudescence depuis quelques années dans plusieurs pays occidentaux comme les Etats-Unis, l'Australie, le Royaume-Uni et la France.


Génétiquement modifié et spécialement conçu pour une administration nasale, le vaccin expérimental a été mis au point par une équipe de chercheurs européens dans le cadre d'un consortium européen piloté par des chercheurs de l'Inserm.


Selon Camille Locht, coordinateur du projet Child-Innovac, il a été testé avec succès chez 48 personnes adultes dans le cadre d'un essai de phase 1 qui a permis de mesurer principalement son innocuité.

 


Les adultes ont été répartis en 4 groupes, l'un recevant un placebo alors que les trois autres ont reçu différentes doses du vaccin.


Après six mois de suivi, les résultats ont montré qu'une seule administration nasale suffisait à induire rapidement une réponse immunitaire et que le vaccin ne présentait aucun effet secondaire comparé au placebo, même à forte dose", a indiqué M. Locht.


La prochaine étape consistera à "optimiser" la dose nécessaire et à "stabiliser" le vaccin - qui pour l'instant "ne l'est qu'à des températures de l'ordre de -80 degrés Celsius" - afin de pouvoir envisager un développement industriel, a-t-il ajouté.


Parmi les avantages du vaccin, le chercheur cite sa facilité d'administration et un coût bien moindre que les vaccins disponibles sur le marché.


Les vaccins existants nécessitent trois injections au total, généralement effectuées à 2, 3 et 4 mois, pour obtenir une protection optimale à partir de 6 mois, alors que la coqueluche est souvent grave, voire mortelle chez les bébés les plus jeunes.


Mis au point pour lutter contre la coqueluche, le vaccin nasal pourrait de surcroit être utilisé pour prévenir d'autres infections respiratoires comme la bronchiolite du nourrisson (essentiellement due à un virus, le VRS), un "effet positif auquel on ne s'attendait pas", a encore indiqué le chercheur.

 


Mis en place il y a deux ans et demi, le consortium européen Child-Innovac rassemble des experts originaires de sept pays européens et a bénéficié d'un financement de 5 millions d'euros accordé par la Commission européenne.

 

Source : Le Parisien

 

Un futur miracle contre une conséquence prévisible d’une vaccination massive et aveugle pendant les décennies précédentes ? C’est devenu un procédé classique : maintenir la population dans le cercle vicieux éternel des vaccins qui se succèdent. La recrudescence de la coqueluche n'est pas le seul retour de boomerang vaccinal, la bronchiolite est une affection évidemment favorisée par la vaccination précoce des jeunes nourrissons qui fragilise leur système immunitaire et le rend ainsi plus vulnérable à toutes sortes d'infections (dont celle à RSV impliquée dans la bronchiolite). Mais "comble du bonheur", la "bonne surprise" est que le vaccin a des effets imprévus contre la bronchiolite... un vaccin contre des effets de vaccins et la boucle infernale est bouclée!!

 

Autre astuce et autre ficelle, brandir la perspective d’une seule dose de vaccin ! Autre astuce là encore pour accroître l’acceptabilité des vaccins : l’absence d’aiguille, un vaccin nasal ! 

 

MAIS il s’agit d’un vaccin génétiquement modifié, quelles en seront les conséquences à long terme ? Comment la Nature risque de réagir à cette variante inconnue, ingérable et complètement non prévue par l’évolution des souches ??

 

Qu’en sera-t-il aussi du risque de diffusion de ces souches génétiquement modifiées incontrôlables qui seront plus que probablement vivantes car administrées par la muqueuse nasale ? La vérité, c’est que quasiment aucun vaccin n’a pu générer jusqu'ici une immunité réellement fiable parce chaque vaccination constitue un court-circuit du système immunitaire, un non respect des barrières muqueuses naturelles au niveau desquelles s’initie déjà un début de réponse immunitaire. On espère donc ainsi masquer un échec récurrent des politiques vaccinales passées. Mais à quel prix?

 

Comment fera-t-on pour que la liberté des gens qui souhaitent se faire vacciner ne vienne pas empiéter de façon scandaleuse sur la liberté des non vaccinés à ne pas vouloir être en contact avec ces souches de coqueluche génétiquement modifiées ??

 

L’article révèle que les méthodes n’ont pas changé : on ose prétendre évaluer la sécurité de ce vaccin sur base de…. 48 personnes, quel leurre !!! 48 personnes !! Même 10 000 sujets ce serait encore nettement trop faible ! Et on parle ici d'un "placebo" mais on serait étonné de savoir de quel placebo il s'agit étant donné que les groupes placebos sont toujours FAUX dans les essais cliniques de vaccins pour le volet "sécurité/tolérance", sans quoi le contraste serait beaucoup trop flagrant entre ceux qui ont reçu le vaccin et ceux qui auraient reçu une substance neutre réellement inoffensive!! Peut-être que le FAUX groupe "placebo" de ces essais cliniques regroupe donc des gens qui ont reçu un vaccin oral ou nasal contre la polio ou contre la grippe? Ce vaccin Flumist qui est un vaccin nasal à virus vivant contre la grippe et qui augmente PENDANT 6 MOIS le risque d'hospitalisation et de complications liées à la grippe chez les enfants vaccinés...

 

Les apprentis sorciers ont plus d’un tour dans leur sac, tout est bon pour sauver le dogme des vaccins.

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9 janvier 2014 4 09 /01 /janvier /2014 14:15

Le CDC (*) surveille-t-il de près la sécurité des vaccins HPV ? 

FOTOLIA SURVEILLANCE

 Norma Erickson, 5 janvier 2014

 

(*) Centres américains de Contrôle et de Prévention des Maladies

 

Le 4 décembre 2013, l’émission télévisée de Katie Couric a consacré plusieurs segments de l’émission à la controverse qui entoure le vaccin HPV. En réponse à la tempête de critiques que l’émission a générée, Katie Couric a décidé d’inviter le Dr. Anne Schuchat, (chirurgienne générale adjointe et Directrice des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) pour l’Immunisation et les Maladies Respiratoires),  à l’émission de vendredi afin qu’elle puisse « s’assurer que le public comprenne bien les faits au sujet de ce vaccin et du papillomavirus humain (HPV) ».

 

Vidéo en anglais : ICI

  

Les réponses que le Dr Schuchat a faites à Katie Couric sont reprises dans la vidéo ci-dessus. Au cours de l’interview, le Dr Schuchat a été interrogée sur la sécurité des vaccins HPV. Elle a déclaré :

 

« En tant que leader du programme d’immunisation du CDC, je puis dire que je me suis vraiment engagée à diriger un système de très forte surveillance de sécurité. Ce que je peux dire c’est que plus de 57 millions de doses ont été utilisées et qu’avec tous les tests et les systèmes  que nous suivons, nous ne trouvons aucun problème préoccupant. »

 

Vraiment, Dr Schuchat – Aucun problème préoccupant ?

 

Selon le CDC, les données du VAERS (Organisme officiel américain de vaccinovigilance qui recueille les rapports d’effets secondaires possibles des vaccins aux Etats-Unis. Il est contrôlé par le CDC et la FDA) sont surveillées pour :

 

*  Détecter des effets secondaires nouveaux, inhabituels et rares des vaccins,

*  Surveiller l’augmentation des effets indésirables connus.

*  Identifier les facteurs de risques potentiels pour les patients de types particuliers  d’effets indésirables.

*  Identifier les lots de vaccins qui présentent  des types ou des nombres particuliers  d’effets indésirables.

*  Evaluer la sécurité des vaccins nouvellement autorisés.

 

Apparemment le VAERS constitue la première ligne de défense en ce qui concerne la sécurité des vaccins. Malgré les limites évidentes qui ne permettent pas de tirer des conclusions définitives à partir des données du VAERS, ce dernier n’en fournit pas moins un excellent outil qui permet de détecter les signaux potentiels d’alarme au sujet de tel ou tel vaccin spécifique.

 

Cet article traitera de quelques points pouvant constituer des signaux d’alarme pour le consommateur de soins médicaux. Le Dr Schuchat pourra peut-être à son tour expliquer pourquoi ces signaux ne constituent pas des « problèmes préoccupants » pour la directrice du programme d’immunisation du CDC.

 

Selon la loi  de 2002 (Etats-Unis) sur les maladies rares, une maladie est considérée rare quand elle affecte moins de 200.000 personnes aux Etats-Unis. Il y a actuellement plus de 6.000 maladies rares connues. On pourrait sans risquer de se tromper, supposer que si une ou plusieurs de ces maladies rares ont commencé à apparaître avec une certaine régularité dans les bases de données du VAERS, il pourrait en fait s’agir d’un signal d’alarme – qui exigerait une enquête plus approfondie.

 

Jetons un coup d’œil à quelques exemples de données du VAERS qui devraient à tout le moins nous faire soulever les sourcils.

 

Les vaccins HPV et l’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM)

 

Selon L’Institut National de la Santé (NIH), l’encéphalomyélite aiguë disséminée (ADEM)  est caractérisée par une inflammation brève, mais généralisée du cerveau et de la moelle épinière qui endommage la myéline – la gaine protectrice des fibres nerveuses. L’ADEM est souvent la suite d’infections virales ou bactériennes, ou moins souvent de vaccinations contre la rougeole, les oreillons ou la rubéole.

 

En d’autres termes, l’ADEM est un effet secondaire connu de certains vaccins. Elle est répertoriée comme maladie rare aux Etats-Unis et en Europe.

 

Le tableau suivant montre les rapports de cas d’encéphalomyélites aiguës disséminées (ADEM) survenues après tous les vaccins utilisés chaque année aux Etats-Unis depuis mai 1997 jusqu’à mai 2013, et qui ont été rapportés au VAERS.

 

 ENCEPHALOMYELITE AIGUË DISSEMINE

 (Global – tous âges – tous les vaccins)

 

Depuis l’introduction en 2006 du programme de vaccination HPV, il y a eu une augmentation de 8.100% de cet effet secondaire rare (VAERS)

 

Sanegraph-1.JPG

 

On pourrait penser qu’une augmentation moyenne de 8100 % de rapports de cette maladie rare après l’introduction des vaccins contre le HPV ait  pu représenter un fameux signal d’alarme. Ce n’est apparemment pas le cas pour le Dr  Schuchat, malgré le fait que l’ADEM  soit un effet indésirable connu de certains vaccins.

 

Les vaccins HPV et le Syndrome de Tachycardie Orthostatique Posturale

 

Le syndrome de tachycardie orthostatique posturale fait partie d’un groupe de maladies rares qui ont une intolérance orthostatique comme principal symptôme… Dans  cette maladie, l’intolérance orthostatique provoque des étourdissements ou des évanouissements, et il y a aussi une augmentation rapide du rythme cardiaque.

 

Le graphique suivant montre les rapports que le VAERS a reçus au sujet du syndrome de tachycardie orthostatique posturale, ainsi que les symptômes connexes après les vaccins contre le HPV par rapport au nombre de rapports envoyés au VAERS concernant tous les autres vaccins approuvés par la FDA.

 

SYNDROME DE TACHYCARDIE ORTHOSTATIQUE POSTURALE 

 comparativement aux autres vaccins

 

(Toutes les régions, tous les âges de juin 2006 à novembre 2013 (VAERS) -

Rouge : % de vaccins HPV ; bleu : % de tous les autres vaccins)

 

2-POTS-related-symptoms

 

Il y a plus de 80 vaccins approuvés par la FDA pour utilisation aux Etats-Unis. Si tous les vaccins étaient également sûrs, les vaccins contre le HPV représenteraient environ 3% du total des rapports transmis au VAERS. Comme vous pouvez clairement le voir selon les symptômes, les vaccins contre le HPV représentent un pourcentage disproportionné parmi les rapports déposés concernant le syndrome de tachycardie orthostatique posturale (STOP) et des symptômes qui lui sont liés. Qu’est-ce qui n’est pas normal dans ce graphique ?

 

SYNDROME DE TACHYCARDIE ORTHOSTATIQUE POSTURALE  

(Tous âges - tous les vaccins)

 

Depuis l’introduction du programme de vaccination HPV en 2006, il y a eu une augmentation de 137% de cet effet secondaire rare dans les données du VAERS  

 

Sanegraph-III.JPG

 

Toujours pas de problème pour le Dr Schuchat ? Même pas avec une augmentation moyenne par année de 137% des rapports ?

 

Les vaccins HPV et  le purpura thrombopénique idiopathique  (PTI)

 

Le purpura thrombopénique idiopathique (PTI) se produit lorsque les cellules  du système immunitaire produisent des anticorps qui détruisent les plaquettes qui sont nécessaires à la coagulation sanguine normale. Les anticorps se fixent aux plaquettes et la rate détruit les plaquettes qui portent des anticorps.

 

Le graphique ci-dessous montre le nombre moyen de rapports concernant le purpura sur une base annuelle pour tous les vaccins figurant dans la base de données du VAERS. Depuis l’introduction des vaccins contre le HPV en 2006, il y a eu une augmentation de 68% du nombre moyen de cas de purpura signalés chaque année.

 

PURPURA THROMBOPENIQUE  

(Global – Tous âges – tous les vaccins)

 

Depuis l’introduction du programme de vaccination HPV en juin 2006 il y a eu une augmentation de 68% de cet effet secondaire rare (VAERS)

 

Sanegraph-4-purpure.JPG

 

Sérieusement, Dr Schuchat, cette situation ne devrait-elle pas figurer dans la catégorie des effets indésirables inhabituels pour lesquels le système VAERS a été conçu, en vue de pouvoir alerter les membres de votre personnel et mettre en route une enquête ?

 

Les vaccins HPV et l’infertilité

 

Aux Etats-Unis, l’infertilité n’est pas un mince problème. Le CDC estime que 10,9% des femmes de 15 à 44 ans connaissent des problèmes de fertilité. Cette estimation a été faite à partir des données recueillies pour la période 2006-2010. Comme il ne s’agit pas d’une maladie rare, on pourrait penser que tout signal qui indique une tendance à exacerber le problème devrait être tout particulièrement préoccupante.

 

INFERTILITE  

(Tous âges – tous les vaccins)

 

Depuis l’introduction du programme de vaccination HPV en 2006, il y a eu une augmentation de 790% de cet effet secondaire rare dans les données du VAERS.

Sanegraph-5-infertility.JPG  

Le graphique ci-dessus montre une augmentation substantielle des rapports concernant les problèmes de fertilité, en fait une augmentation de 790% en moyenne annuelle depuis le début de 2007. Qu’est-ce qui a bien pu causer pareille augmentation ?  Pourrait-il y avoir un rapport avec l’introduction des vaccins contre le HPV à la mi-2006 ?

 

Comparons maintenant le pourcentage de rapports d’infertilité après les vaccins HPV aux problèmes d’infertilité rapportés après tous les autres vaccins dans la base de données du VAERS de mai 2007 à novembre 2013.

 

« INFERTILITE »  

Nombre annuel de vaccins HPV par rapport à TOUS LES AUTRES vaccin

 (Rouge : Vaccins HPV ; bleu : tous les autres vaccins) 

    Sanegraph-6--Dernier-graph-.JPG

 

Dr Schuchat, comment les deux vaccins, le Gardasil et le Cervarix peuvent-ils représenter un si grand pourcentage de rapports d’infertilité (VAERS) pour une aussi longue période sans que cela ne suscite de sérieuses inquiétudes ?

 

Un dernier graphique...

 

Vaccins HPV versus les autres vaccins dans les données du VAERS

(Effets secondaires - rouge: % vaccins HPV ; bleu: % de tous les autres vaccins – 

     Totaux pour toutes les régions, tous les âges de juin 2006 à novembre 2013)

 

7-Adverse-Event-comparison-copie-1.png 

Une fois de plus, Dr Schuchat, comment deux vaccins peuvent-ils représenter un pourcentage aussi important dans les données du VAERS ? Pourquoi cette situation n’est-elle pas l’objet de sérieuses préoccupations ?

 

Peut-être que l’énoncé de la mission du Centre National de l’Immunisation et des Maladies Respiratoires dit effectivement tout :

 

« La mission du Centre National d’Immunisation et des Maladies Respiratoires (NCIRD) est la prévention des maladies, l’invalidité et des décès par la vaccination et le contrôle des maladies respiratoires. »

 

La quantité de maladies, de handicaps, et de décès potentiellement causés par le Gardasil et le Cervarix ne semble manifestement pas représenter un « problème préoccupant » pour les personnes du CDC qui sont censées veiller à la sécurité du vaccin HPV.

 

Merci, Dr Schuchat, de rendre la chose parfaitement claire pour les consommateurs de soins médicaux aux Etats-Unis et partout dans le monde.

 

Source: SaneVax 

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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 22:59

  

Halte à la survaccination, halte à cet automatisme vaccinal délétère et anti-scientifique qui fait statistiquement nettement plus de victimes chaque année que tous les cas de tétanos dans le monde!
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7 janvier 2014 2 07 /01 /janvier /2014 20:52

La Vie Hospitalière

 

mardi 7 janvier 2014

 

Vaccination et myalgie : un lien possible, selon le Conseil d'Etat

 

Le Conseil d'État vient, dans une décision, d'annuler un arrêt de la Cour administrative d'appel (CAA) de Marseille datant de novembre 2010 en rejetant une requête contre un jugement du Tribunal administratif (TA) de Montpellier prononcé en mars 2008. Le TA avait en effet refusé la demande d'une cadre de santé pour que la réparation de son dommage, imputé à une vaccination, "soit mise à la charge du CHRU de Montpellier". 

 

En janvier 2004, une cadre de santé du CHRU montpelliérain reçoit au sein du service de médecine préventive de l'établissement une injection de rappel du vaccin Revaxis contre la diphtérie, le tétanos et la poliomyélite. À la suite de cette vaccination, elle présente des myalgies qu'une biopsie conduit à diagnostiquer une myofasciite à macrophages. La victime et sa famille imputent cette affection et ses troubles à la vaccination, "en faisant valoir que le vaccin contenait un adjuvant aluminique" et que la victime présente des antécédents d'allergies. 

 

Le Conseil d'État indique que les connaissances scientifiques n'excluent pas un lien de causalité entre une vaccination contenant un adjuvant aluminique et la combinaison de symptômes constitués de fatigue chronique, de douleurs articulaires et de troubles cognitifs. En outre, ce lien "revêt une probabilité suffisante pour qu'(il) puisse, sous certaines conditions, être regardé comme établi".

 

En excluant ce lien de causalité direct entre les troubles présentés par la cadre de santé et la vaccination subie, alors qu'il existait une "proximité temporelle entre la vaccination et les premiers troubles et qu'aucun facteur ne permettait de penser qu'elle en était déjà atteinte", la CAA a commis une erreur de droit. Il y a donc lieu de mettre à la charge du CHRU une somme de 3 500 euros à verser à la victime et à sa famille.

 

L'affaire est par ailleurs renvoyée à la CAA de Marseille. 

 

Source : La Vie hospitalière

 

TOUTES les victimes devraient porter systématiquement plainte, non seulement pour elles et parce que le dommage subi l’exige mais aussi pour faire sauter les carcans de cette fausse médecine qui sème la maladie et le désespoir à tous vents et qui constitue par là-même une menace majeure pour la santé et les libertés collectives.

 

Si toutes les victimes portaient plainte, cela permettrait en outre de relever le montant des indemnisations qui est encore ridiculement faible au regard de la qualité de vie lésée de manière irréversible. NB: On nous a signalé à juste titre que ce montant de 3500 euros n'était pas celui de l'indemnisation proprement dite du préjudice subi mais que cette somme correspond en fait aux frais de recours auprès du Conseil d'Etat. (Ceci étant dit, il n'en reste pas moins que les sommes allouées restent en majorité trop faibles au regard du préjudice infligé par les vaccins, ici encore un autre exemple, 3000 euros qu'a dû verser un médecin à un patient qu'il a désinformé en vaccinant contre l'hépatite B et qui est atteint de sclérose en plaques depuis lors.)

 

Ne vous dites plus « Je ne gagnerai jamais », « c’est long », « c’est coûteux », respectez vous vous-mêmes, vous avez des droits, une dignité et toute la légitimité à demander réparation. Les preuves de la tromperie et de la désinformation sont absolument innombrables en matière de vaccination et les preuves de leur toxicité sont plus qu’accablantes. Ayant conscience de cela, les victimes ne peuvent que comprendre qu’elles  ne peuvent que gagner et qu’elles gagnent à agir en nombre pour faire sauter ce mur de la honte et cette inqualifiable omerta vaccinale.

 

 

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6 janvier 2014 1 06 /01 /janvier /2014 15:20

LIBERTes-fotolia.jpg

Ce système E-VAX, en vigueur depuis le 1er janvier 2014 sert à faire bonne figure face au système de tracking vaccinal déjà en vigueur en Flandre depuis des années (Vaccinet) mais surtout, ce dispositif s'inscrit dans une perspective de vaccination de plus en plus intensive et totalitaire.

 

Une preuve flagrante de cette situation inacceptable nous est donnée par la teneur surréaliste du courrier-type qui a dû être envoyé à des milliers de parents en Communauté française fin novembre 2013.

 

Vous pouvez lire ce courrier ici. Ce courrier, daté du 29 novembre avertit les parents de la mise en place du système E-VAX dès le 1er janvier 2014 en vantant les prétendus mérites de ce dispositif d'encodage électronique des vaccinations de l'enfant (pour éviter la survaccination disent-ils, sic!). Il s'agit d'une banque de données à laquelle auront à terme accès tous les médecins traitants, les médecins de l'ONE et les gens de Provac dont la responsable, le Dr Swennen, a des liens d'intérêts manifestes avec Big Pharma.

 

Mais surtout, la fin de ce courrier signale aux parents que, s'ils souhaitent s'opposer à cette collecte de données, ils sont "tenus d'en avertir les centres (médico-scolaires) par recommandé et avant le 31 décembre 2013"!

 

Les gens qui ne souhaitent donc pas cautionner un système qu'ils peuvent légitimement estimer autoritaire et superflu (à part pour les profits des pharmas bien sûr) sont donc obligés de payer le prix d'un recommandé et disposent d'un délai ridicule pour envoyer leur lettre!!

 

On croit vraiment rêver. Alors que les autorités ne cessent d'insister sur la prétendue "gratuité" (aux frais du contribuable) des vaccins, ici, les gens doivent payer pour refuser. Un pas de plus donc dans un totalitarisme vaccinal inacceptable et étouffant.

 

C'est d'ailleurs dans ce contexte qu'Initiative Citoyenne vient de saisir la Ministre Laanan sur le sujet ainsi que la Commission de la Vie Privée. Voici ci-dessous le copier-coller du mail qui leur a été envoyé ce matin avec notre lettre en pièce jointe ainsi que le document-type envoyé aux parents incluant la preuve de ce totalitarisme inquiétant. Peut-être ce mail pourrait-il vous inspirer et vous donner à vous aussi l'envie de faire connaître votre avis?

 

From: Initiative Citoyenne

Sent: Monday, January 06, 2014 9:29 AM

To: info.laanan@cfwb.be

Cc: commission@privacycommission.be

Subject: URGENT et IMPORTANT: concerne l'atteinte aux libertés parentales dans la mise en oeuvre du système E-VAX

 

Madame la Ministre, Madame, Monsieur de la Commission de la vie privée,

 

Vous trouverez ci-joint les motifs extrêmement clairs et concrets de notre inquiétude.

Nous attendons donc une réponse de votre part dans les plus brefs délais sur une atteinte aussi grave et flagrante à la liberté parentale et nous vous remercions d'avance pour l'attention que vous porterez à ce dossier.

 

Il va sans dire que plusieurs parlementaires seront tenus informés de ces échanges dans l'intérêt de notre état dit "de droit".

 

Nous vous prions d'agréer, Madame la Ministre, Madame, Monsieur de la Commission de la vie privée, l'expression de nos salutations distinguées.

 

Pour Initiative Citoyenne,

 

Marie-Rose Cavalier, Sophie Meulemans, Muriel Desclée.

 

  

 

fotolia-prison.jpg

 

Voir ici la réponse de la Commission de la Vie Privée, reçue en date du 11 février 2014.

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5 janvier 2014 7 05 /01 /janvier /2014 17:14

FOTOLIA-AUTISME.jpgVoici ci-dessous une excellente traduction (merci au traducteur externe!) de quelques extraits issus d'une récente publication scientifique sur les liens entre autisme, mercure et vaccination antigrippale:

Janet K. Kern, Boyd E. Haley, David A. Geier, Lisa K. Sykes, Paul G. King and Mark R. Geier, "Thimerosal Exposure and the Role of Sulfation Chemistry and Thiol Availability in Autism." Int. J. Environ. Res. Public Health 2013, 10, 3771-3800.

http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/23965928

Le trouble du spectre autistique (TSA) est un trouble neurologique qui affecte un nombre significatif d'enfants qui connaissent une régression au niveau du développement, caractérisée par une perte des capacités et des aptitudes préalablement acquises. Ce sont typiquement des pertes des capacités verbales, non verbales et sociales qui sont rapportées. De nombreuses études récentes suggèrent que les enfants avec un diagnostic de TSA présentent une chimie de sulfatation anormale, une disponibilité limitée du thiol, et une capacité de réserve du glutathion (GSH) diminuée, ce qui compromet la capacité d'oxydation-réduction (redox) et de désintoxication.

Malgré le fait que les raisons de la régression en cas de TSA restent controversées, des déclarations anecdotiques et une étude [13] suggèrent que la majorité des parents d'enfants avec un diagnostic de TSA (trouble du spectre autistique) qui ont connu une régression disent que leur enfant a régressé suite à des vaccinations.  Goldberg  et  al.  [13] a découvert que l'événement mentionné par la majorité des parents (67.6%) comme étant concomitant à la perte des capacités était la vaccination. D'un point de vue plus objectif, il est clair que l'émergence des symptômes de TSA (trouble du spectre autistique) après l'âge de 6 mois, telle que décrite dans la section susmentionnée, suit temporellement l'administration de nombreux vaccins de l'enfance, donnés selon le plan de vaccination au cours des 6 premiers mois de vie.

Avec un nombre croissant de vaccins sans thiomersal ou avec une quantité réduite de thiomersal sur le marché, l'on s'attendait à ce que l'exposition totale au thiomersal diminue nettement; cependant, cette supposition s'est avérée inexacte en raison des changements dans les recommandations en matière de vaccination. En avril 2002, pour la première fois, le Centers for Disease Control (CDC) a recommandé l'administration des vaccins contre la grippe aux nourrissons de 6 à 23 mois, alors que le seul vaccin contre la grippe approuvé pour ce groupe d'âge était le Fluzone® de Sanofi  Pasteur, avec du thiomersal comme conservateur [25].  En avril 2002,  le CDC  a réitéré sa recommandation d'administrer un vaccin contre la grippe aux femmes enceintes au cours de leurs deuxième et troisième trimestres de grossesse, là aussi alors que tous les vaccins contre la grippe avaient du thiomersal comme conservateur. De plus, en 2010,  le CDC  a progressivement étendu la tranche d'âge pour la vaccination annuelle contre la grippe, jusqu'à ce que les jeunes enfants se voient effectivement recommander l'administration initiale de deux doses de vaccin contre la grippe, pour ensuite recevoir une dose supplémentaire chaque année pour le restant de leur vie. En ce qui concerne les femmes enceintes, le CDC a également supprimé la restriction du "deuxième-et-troisième-trimestre" concernant les vaccins contre la grippe [26–28].

L'on estime que la quantité maximale de thiomersal à laquelle une personne vaccinée peut être exposée au cours de sa vie représente désormais plus du double de ce qu'elle serait si le plan de vaccination antérieur à 2000 avait été maintenu.

De plus, étant donné l'exposition étendue et la toxicité signalée du thiomersal, une réponse supplémentaire est que le nombre d'enfants affectés est plus important que ce que la société ne réalise ou ne compte actuellement. Il existe des preuves suggérant que l'exposition au thiomersal est un facteur de risque pour d'autres troubles du développement que l'autisme.

Un autre exemple illustrant le fait que les effets secondaires associés au thiomersal ne sont généralement pas reconnus provient de la saison grippale de 2009/2010. Au cours de cette saison, l'exposition prénatale maximale relative à l’éthyl-mercure (Et-Hg) aux États-Unis a augmenté à 50 μg théoriquement pendant la saison grippale 2009/2010, par le biais des vaccins contre la grippe saisonnière recommandés en 2009/2010 et des vaccins contre la grippe H1N1 qui contenaient un niveau de conservation de thiomersal (une augmentation de 25 μg). Il est estimé que 43% de toutes les femmes enceintes aux États-Unis ont reçu le vaccin contre la grippe H1N1 en 2009 [159]. 

Les taux de déclaration de perte fœtale non ajustés pour les trois saisons consécutives de la grippe, à partir de la saison 2008/2009, étaient les suivants, en termes de déclarations par million de femmes enceintes vaccinées: 6.8 (pour la saison 2008/2009); 77.8 (pour la saison 2009/2010); et 12.6 (pour la saison 2010/2011)  [31].  Ainsi, sur la base des données tirées de l'article de Goldman [31], les taux de déclaration d'avortements spontanés et de mortinatalité relatifs au vaccin contre la grippe durant la saison grippale 2009–2010 (au système de déclaration des effets secondaires des vaccins du CDC, le VAERS) ont été multipliés par plus de 11 par rapport aux taux de déclaration lors de la saison grippale précédente. En 2010/11, lorsque la quantité de mercure provenant du thiomersal est redescendue au niveau nominal maximal de 25 μg, les taux de déclaration de pertes fœtales ont retrouvé des niveaux similaires à ceux de la saison grippale de 2008/2009.

Par ailleurs, une évaluation de 278'624 sujets (cohortes de naissance entre 1990 et 1996) au moyen des dossiers médicaux informatisés du Vaccine Safety Datalink (VSD) a révélé qu'il y avait une association entre la puberté prématurée et l'exposition au mercure des vaccins contenant du thiomersal [160].  Le mercure est connu pour être un perturbateur endocrinien [161], et les scientifiques ont exprimé leur inquiétude au sujet du rôle potentiel des produits chimiques perturbateurs endocriniens dans la tendance croissante de pubertés précoces chez les filles [162].  Un examen de la littérature concernant les effets du mercure sur le système endocrinien par Tan et  al. [163] a révélé que le mercure (Hg) s'accumule dans le système endocrinien, provoque des modifications dans la concentration hormonale, et interagit avec les hormones sexuelles.

Il est plausible que les conséquences associées au niveau du comportement et du développement en cas de TSA (Trouble du spectre autistique) représentent une manifestation de la toxicité du mercure Hg, étant donné que le cerveau est un organe cible pour les effets toxiques du thiomersal, ainsi qu'un organe cible pour la bioaccumulation des mercures toxiques, persistants, dérivés des expositions au composé éthyl-mercure (Et-Hg) injecté [95].

Avec un taux d'enfants présentant un diagnostic de TSA (Trouble du spectre autistique) dépassant désormais 1 enfant sur 50 aux USA [166], et un taux d'enfants présentant des troubles du neurodéveloppement et du comportement dépassant désormais 1 enfant sur 6 aux USA [167], et la preuve exposée précédemment montrant qu'il existe une vulnérabilité au thiomersal qui ne pourrait être connue sans des examens étendus, la prépondérance des preuves indique que le thiomersal devrait être éliminé de tous les vaccins.

Références :

13.   Goldberg,  W.A.;  Osann,  K.;  Filipek,  P.A.;  Laulhere,  T.;  Jarvis,  K.;  Modahl,  C.;  Flodman,  P.; Spence,  M.A.  Language  and  other  regression,  assessment  and  timing.  J.  Autism  Dev.  Disord. 2003, 33, 607–616.

25.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Influenza:  Recommendations  of  the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2002, 51 (RR-03), 1–31.

26.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Influenza:  Recommendations  of  the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2004, 53 (RR-06), 1–40.

27.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Influenza:  Recommendations  of  the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2006, 55 (RR10), 1–42.

28.   Centers  for  Disease  Control.  Prevention  and  Control  of  Seasonal  Influenza  with  Vaccines Recommendations of the Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP). MMWR 2009, 58 (RR08), 1–52.

31.   Goldman,  G.  Comparison  of  VAERS  fetal-loss  reports  during  three  consecutive  influenza seasons, was there a synergistic fetal toxicity associated with the two-vaccine 2009/2010 season? Hum. Exp. Toxicol. 2013, 32, 464–475.

95.   Takahashi,  T.;  Kimura,  T.;  Sato,  Y.;  Shiraki,  H.;  Ukita,  T.  Time-dependent  distribution of [203] Hg-mercury compounds in rat and monkey as studied by whole body autoradiography.  J. Hygenic. Chem. (Japan) 1971, 17, 93–107.

159.  Moro, P.L.; Broder, K.; Zheteyeva, Y.; Revzina, N.; Tepper, N.; Kissin, D.; Barash, F.; Arana, J.; Brantley, M.D.; Ding, H.; et al. Adverse events following administration to pregnant women of influenza A (H1N1) 2009 monovalent vaccine reported to the Vaccine Adverse Event Reporting System. Am. J. Obstet. Gynecol. 2011, 205, 473, doi: 10.1016/j.ajog.2011.06.047.

160.  Geier, D.A.; Young, H.A.; Geier, M.R. Thimerosal exposure & increasing trends of premature puberty in the vaccine safety datalink. Indian J. Med. Res. 2010, 131, 500–507.

161.  Balabanič,   D.;   Rupnik,   M.;   Klemenčič,   A.K.   Negative   impact   of   endocrine-disrupting compounds on human reproductive health. Reprod. Fertil. Dev. 2011, 23, 403–416.

162.  Hotchkiss,  A.K.;  Rider,  C.V.;  Blystone,  C.R.;  Wilson,  V.S.;  Hartig,  P.C.;  Ankley,  G.T.;  Foster, P.M.; Gray, C.L.; Gray, L.E. Fifteen years after “Wingspread”—Environmental endocrine disrupters and human and wildlife health: Where we are today and where we need to go. Toxicol. Sci. 2008, 105, 235–259.

163.  Tan,  S.W.;  Meiller,  J.C.;  Mahaffey,  K.R.  The  endocrine  effects  of  mercury  in  humans  and wildlife. Crit. Rev. Toxicol. 2009, 39, 228–269.

166.  Blumberg, S.J.; Bramlett, M.D.; Kogan, M.D.; Schieve, L.A.; Jones, J.R.; Lu, M.C. Changes in Prevalence of Parent-Reported Autism Spectrum Disorder in School-Aged U.S. Children, 2007 to 2011–2012. Available online: http://www.cdc.gov/nchs/data/nhsr/nhsr065.pdf (accessed on 21 March 2013).

167.  Boyle,  C.A.;  Boulet,  S.;  Schieve,  L.A.;  Cohen,  R.A.;  Blumberg,  S.J.;  Yeargin-Allsopp,  M.; Visser, S.; Kogan, M.D. Trends in the prevalence of developmental disabilities in US children, 1997–2008. Pediatrics 2011, 127, 1034–1042.

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 15:37

De 4 décès, on était passé à 9 puis de 9 à 11 puis maintenant 17 après la vaccination anti-hépatite B de nourrissons mais tout doit se poursuivre comme si de rien n'était pour l'OMS et la Chine!! On peut et on doit vraiment parler de terrorisme sanitaire car le massacre va continuer sans qu'on sache quels seront les nouveaux-nés prochainement vaccinés qui y succomberont. C'est là bien la définition du terrorisme mais appliqué au domaine sanitaire sur de fragiles et innocents nourrissons. Au niveau politique, on invoque souvent un dieu pour justifier les massacres, ici on invoque le "Bien commun", la "santé" mais le processus est le même, la Médecine ayant ici juste remplacé la Religion. Vaccination = nouvelle religion totalitaire!

 

La Chine n'a-t-elle pas reçu "de près" les injonctions ou plutôt les injections du silence (sinistre jeu de mot!) de sa compatriote et directrice de l'OMS Margaret Chan, celle-là même qui s'était publiquement indignée que les pays pauvres ne puissent pas s'offrir ou plutôt s'encombrer des coûteux et inutiles vaccins H1N1, bien qu'elle n'était toujours pas vaccinée elle-même en décembre 2009, prétextant qu'elle était en vacances et qu'elle ne savait pas à quel service s'adresser pour se faire vacciner!!

 

La Chine nie, l'OMS nie, mais le monde lui va se réveiller de plus en plus sur le côté très sombre de cette véritable folie vaccinale inqualifiable.

 

Bickel cause à effet

 

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4 janvier 2014 6 04 /01 /janvier /2014 13:20

Sur base de cinq décès prétendument causés par le H1N1 (alors que des centaines de décès mondiaux qui surviennent chaque année chez des gens sains fraîchement vaccinés sont systématiquement assimilés à de simples coïncidences!!), la province d'Alberta vient de réinstaurer des centres de vaccination pour recycler ses vieux vaccins anti-H1N1 en pressant tous les gens qui ne l'ont pas encore reçu de se faire piquer!!

 

Voyez ici: l'info est relayée par le Figaro.

 

Mais ce qui est finalement le plus corsé dans toute cette affaire, c'est la malhonnêteté flagrante ou, à tout le moins l'incompétence foncière des officiels qui osent encore recommander la vaccination alors qu'un document pdf qu'on peut trouver sur le site canadien de GSK (notice du vaccin Flulaval) avoue NOIR SUR BLANC la supercherie:

 

p.10/40 voici l'aveu en anglais original puis à sa suite la traduction:

 

Specific levels of hemagglutination inhibition (HI) antibody titer post-vaccination with inactivated influenza virus vaccines have not been correlated with protection from influenza illness but the antibody titers have been used as a measure of vaccine activity.”

 

 En Français =

 

«Les niveaux spécifiques des titres d’anticorps contre l’hémaglutinine obtenus après une vaccination contre la grippe à base de virus inactivé n’ont PAS été corrélés à une protection contre la maladie grippale mais les titres d’anticorps ont été utilisés comme une mesure de l’activité du vaccin. »

 

Les autorités osent donc promouvoir un acte dont l'efficacité n'est NULLEMENT avérée et ce alors que les effets secondaires du procédé n'ont pas été soigneusement évalués! Cette notice rappelle bien ces carences gravissimes dans l'évaluation de ces vaccins:

 

- un peu plus de 9000 personnes incluses dans trois essais cliniques en tout, ce qui représente un chiffre ridiculement bas tout à fait incompatible avec l'évaluation fiable des effets secondaires graves quand on vaccine massivement une population

 

- effets secondaires seulement évalués sur 4 jours.... 4 jours!!!!!!!

 

- pas d'évaluation contre véritable groupe placebo (= groupe neutre) pour l'évaluation de la sécurité donc on ne compare que des vaccinés à d'autres vaccinés et sur base d'une sorte de statu quo des effets secondaires, on fait un saut inacceptable consistant à affirmer frauduleusement que "la tolérance du vaccin est acceptable par rapport à celle du (faux) groupe placebo."

 

- pas d'évaluation du risque de mutation, de cancérisation et de problèmes chez la descendance des personnes vaccinées alors que l'acte vaccinal est un acte par définition irréversible (contrairement aux autres pilules dont on peut encore décider d'interrompre la prise), que les vaccins contiennent plusieurs produits notoirement cancérogènes (ex: formaldéhyde) et qu'ils sont également injectés aux femmes enceintes!!

 

Dans ces conditions, de plus en plus de gens considèrent qu'il s'agit d'une imprudence qu'on peut qualifier de criminelle, parce qu'elle fait courir de façon certaine des risques en échange d'une protection illusoire et jamais établie. Il devient vraiment urgent de comprendre ici qu'aucun terme n'est usurpé ou outrancier et affiché de façon gratuite mais que tout ceci est pesé et dûment justifié: les risques sont volontairement négligés et restent non évalués et la prétendue efficacité vaccinale est inventée de toutes pièces alors que les fabricants eux-mêmes l'avouent dans un jargon technique sur les notices qu'aucun patient ne lit jamais.

 

Réveillez-vous, il est plus que temps!

 

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