Après le scandale du Mediator et des implants PIP, l'industrie pharmaceutique tente de redorer le blason des médicaments. Le syndicat des entreprises du médicament (LEEM) vient de lancer une campagne pour dépeindre à sa façon ce que serait un monde sans médicaments.
Et bien entendu, un spot est consacré aux sacrosaints vaccins en focalisant sur un fort mauvais exemple: celui de la coqueluche. Même si cette maladie peut être invalidante, il ne faut pas oublier la fréquence importante de cas chez des gens et des enfants qui avaient été dûment vaccinés (encourant ainsi le caractère désagréable de la maladie en plus des effets secondaires à court, moyen et long terme du vaccin!).
La vaccination contre la coqueluche est peu efficace. Une firme comme GSK n'a ainsi aucune idée de la durée réelle de la protection du vaccin chez les enfants vaccinés entre 4 et 6 ans, pour la simple et bonne raison qu'ils n'ont jamais étudié ni évalué cette donnée (aveux de GSK à l'agence Reuters). Par ailleurs, il faut aussi savoir que la vaccination n'empêche pas forcément de contracter et de transmettre le microbe mais a surtout pour effet de rendre l'infection inapparente, laissant ainsi les vaccinés être des vecteurs silencieux et d'autant plus insidieux de la maladie, susceptibles de transmettre sans le savoir la bactérie à des individus vulnérables (très jeunes nourrissons, immunodéprimés etc)
Tout vaccin anti-coquelucheux contient de l'aluminium qui est une substance toujours toxique pour le système nerveux et qui, une fois injectée par l'intermédiaire d'un vaccin, migre notamment dans le cerveau sans plus jamais pouvoir en ressortir et en s'y accumulant, faisant ainsi le lit de plusieurs maladies neurodégénératives (cfr recherches de l'équipe du CHU Henri Mondor). Le groupe d'étude sur la vaccination de l'Assemblée Nationale avait donc par conséquent conseillé il y a peu un moratoire sur tous les vaccins à base d'aluminium.
Selon une récente recherche des scientifiques de l'Université de Laval, il s'avère que la vaccination des ados et jeunes adultes contre la coqueluche est inefficace dans la protection des nouveaux-nés (effet cocoon inefficace), démentant ainsi les "bons conseils" des pseudos experts officiels, de l'OMS ou des pharmas, ce qui revient strictement au même en réalité.
Enfin, l'affirmation finale de l'Institut Pasteur selon lequel la chute de 95% de la mortalité coquelucheuse serait due à la mise en place des programmes généralisés de vaccination est tout bonnement fausse. En effet, voici ce que le Précis de Médecine Infantile précisait déjà en 1975:
"Il ne faut pas cependant attribuer à la vaccination la baisse considérable de la mortalité [coquelucheuse] observée depuis quelques dizaines d’années. Un taux très bas était déjà obtenu avant la généralisation de la vaccination" (P. Grenet et F. Verliac, Paris, Masson, 1975, p 185 tel que rappelé par le Dr Marc Girard sur son site, cfr sa référence n°7)
Au vu des éléments ci-dessus, et volontairement omis par cette industrie, peut-on encore décemment lui accorder la moindre confiance quant aux affirmations et aux spots promotionnels en faveur de ses produits ou de son image?