Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
7 avril 2024 7 07 /04 /avril /2024 00:12

GSK refuse d’adhérer au programme irlandais d’indemnisation des mères et des bébés en foyers

Jude Webber, Dublin, 28 janvier 2024

 

Les précurseurs des sociétés pharmaceutiques testent les vaccins dans des institutions notoires depuis des décennies.

L’Irlande va bientôt lancer un programme d’indemnisation pour les survivants des célèbres foyers pour mères et bébés du pays, mais GSK a résisté aux appels à contribuer malgré le fait que ses sociétés prédécesseurs testaient des vaccins expérimentaux dans les institutions depuis des décennies.

Francis Timmons looks left out of his lounge window while sitting on a sofa. He holds a framed photograph of his mother

Francis Timmons tenant une photo de sa mère. Il a comparé les expériences médicales menées dans les foyers pour mères et bébés à celles menées dans les camps de concentration nazis pendant la Seconde Guerre mondiale © Robert Stothard/FT

 

Dans le cadre d'un programme de 800 millions d'euros, dont le gouvernement irlandais a annoncé qu'il devrait être ouvert au premier trimestre de cette année, quelque 34 000 survivants des institutions catholiques où des dizaines de milliers de mères célibataires ont été enfermées pendant des décennies pourront demander une indemnisation.

Quelque 300 nourrissons et enfants ont été vaccinés sans consentement dans au moins sept essais en institutions entre 1934 et 1973, notamment contre la diphtérie, la polio, la rougeole, la rubéole, ainsi qu'avec les vaccins dits quatre en un et cinq en un, selon un rapport officiel accablant de 2021 sur les institutions. Les victimes affirment que les chiffres pourraient être bien plus élevés.

La résistance de GSK au paiement d’indemnisations ravive la profonde honte de l’Irlande face au traitement historique réservé aux mères célibataires. Les sociétés qui l'ont précédé ont développé une relation de longue date avec des scientifiques de l'University College Dublin pour mener des essais qui, selon le rapport, bafouaient les normes réglementaires et éthiques en vigueur à l'époque.

GSK a déclaré que les tests étaient « de bonne foi », mais admet qu'il y a eu « des échecs dans la conduite des essais, en particulier dans le contexte de la recherche et/ou de l'obtention des consentements appropriés ». Il n’a jamais présenté d’excuses aux victimes.

Les médicaments utilisés ont été développés par la Wellcome Foundation et Glaxo Laboratories, tous deux faisant désormais partie de la société britannique GSK, qui a réalisé un chiffre d'affaires de 22 milliards de livres sterling au cours des neuf premiers mois de l'année dernière.

« C’est absolument scandaleux. Cela équivaut à ce que les nazis ont fait », a déclaré Francis Timmons, conseiller municipal du sud de Dublin, faisant référence aux expériences médicales menées dans les camps de concentration pendant la Seconde Guerre mondiale.

The four schoolgirls pass through a gate with a white cross, towards a statuette of the Virgin Mary surrounded by flowers. A plaque reads: ‘In loving memory of those buried here. Rest in peace’

Des écoliers visitent un sanctuaire à Tuam, dans le comté de Galway, à la mémoire de 796 enfants enterrés sur le site de l'ancien foyer pour mères célibataires © Paul Faith/AFP/Getty Images

 

Timmons est l'une des six personnes seulement que GSK a confirmées comme participant à l'essai. Il était âgé de 18 et 24 mois lorsqu'il a été vacciné dans le cadre d'essais sur la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (DTC).

Dublin a exhorté GSK à contribuer en raison de son « obligation morale et éthique » envers les survivants des essais cliniques. Cependant, le gouvernement reconnaît qu'il n'a aucun pouvoir pour contraindre GSK à verser une indemnisation et négocie toujours avec les ordres religieux au sujet du système de réparation. Une seule, les sœurs du Bon Secours, a accepté de contribuer.

GSK a reçu 206 demandes d’informations de personnes pensant avoir participé à des essais de vaccins. La Commission d’enquête irlandaise sur les foyers pour mères et bébés a détaillé en 2021 les « essais systémiques de vaccins ».

"Bien que les conclusions du rapport de la commission soient extrêmement bouleversantes, elles ne remettent pas en question les responsabilités et les devoirs de Wellcome ou de Glaxo dans le développement, la fabrication et la fourniture de vaccins aux fins décrites", a déclaré GSK. « Pour cette raison, nous ne proposons pas de réparations supplémentaires en réponse aux problèmes soulevés ».

Niamh Brennan, fondateur du Centre de gouvernance d'entreprise de l'University College Dublin, a qualifié cette réponse de « paroles fourbes », ajoutant : « Je dirais que GSK ne s'applique pas à elle-même ses propres normes ».

Alors que les investisseurs scrutent de plus en plus les références environnementales, sociales et de gouvernance des entreprises, GSK a souligné son engagement en faveur des droits de l’Homme dans ses recherches cliniques.

Un associé principal d’un cabinet d’avocats de Dublin a noté que les questions éthiques et morales étaient « beaucoup plus difficiles à résoudre pour GSK » – d’autant plus que certains des vaccins devenaient commercialement viables.

Le groupe pharmaceutique a déclaré que les médicaments développés par ses sociétés historiques ont contribué à former les « éléments constitutifs » de GSK d’aujourd’hui. Priorix, l'un des vaccins contre la rougeole, les oreillons et la rubéole les plus largement utilisés au Royaume-Uni, où le nombre de cas de rougeole augmente actuellement, est produit par GSK.

Timmons a déclaré que le rapport qu'il avait reçu de GSK indiquait qu'il souffrait d'une température très élevée, de vomissements et de diarrhée. "Ces choses comportaient des risques", a-t-il déclaré. Il n’y a aucune trace de décès causés par les essais cliniques. Il n’a pas droit à une indemnisation car l’institution dans laquelle il a travaillé n’est pas couverte par le système de recours de l’État.

« En tant qu’organisation, ils devraient au moins se demander ‘comment pouvons-nous jouer un rôle en essayant de réparer ce qui s’est passé ?’. Ils ont été très directs en disant qu’ils ne payaient rien », a-t-il déclaré au Financial Times.

GSK a déclaré que la société avait exprimé sa «sympathie » aux personnes touchées. Il a publié des résumés des essais expérimentaux.

Paul Redmond, un survivant du foyer et auteur d’un livre sur les bébés nés dans les institutions, a déclaré qu’il était « grotesque de simplement confier des enfants comme cobayes » pour tester les vaccins.

"C'est une question de droits de l'Homme"... Tout le monde dit simplement : « Écoutez, vous ne pouvez pas prouver qu'il y a eu un préjudice et parce que vous étiez des pupilles de l'État, les médecins responsables des foyers avaient le droit d'autoriser des sociétés étrangères à venir faire des tests ».

Le rapport 2021 de la commission n’a révélé aucune preuve que des consentements avaient été donnés. Le porte-parole de GSK a déclaré que les chercheurs expérimentés et ceux qui menaient les essais étaient personnellement responsables de s’assurer qu’ils étaient menés avec toutes les licences et autorisations requises à l’époque et qu’il était « déçu » qu’il y ait eu des « échecs » dans la conduite des essais.

Le dernier foyer pour mères et bébés a fermé ses portes en 1998, mais les institutions restent sous le feu des projecteurs. Les fouilles relatives aux 796 bébés qui auraient été enterrés dans les égouts d'une maison de Tuam, dans le comté de Galway, entre 1925 et 1960, devraient avoir lieu cette année.

Source : Financial Times

Partager cet article
Repost0
22 novembre 2022 2 22 /11 /novembre /2022 10:19

Ce lundi 21 novembre 2022, Initiative Citoyenne a écrit par mail et par recommandé à Mr Julien Bauduin, directeur de l'Athénée provincial de Morlanwez, suite à l'afflux d'ambulances et aux malaises d'une vingtaine de jeunes de son établissement, après vaccination scolaire anti-papillomavirus le 17 novembre dernier.

 

 

Pour rappel, dès 2011, notre collectif avait pourtant interpellé les Ministres de la Santé et de l'Enseignement en Communauté Française, ainsi que les associations de parents UFAPEC et FAPEO sur le rapport bénéfices/risques très contestable de ces vaccins anti-HPV.... (cf ces courriers de 2011 aux Ministres et aux assos de parents UFAPEC & FAPEO).

 

Peu après cet épisode interpellant, on a alors vu fleurir toutes sortes de propos rassurants dans la presse, de ce directeur et de journalistes n'y connaissant rien,  comme quoi tout était rentré dans l'ordre, qu'on réfléchit déjà à comment on procèdera pour la seconde dose, après "enquête" à venir de l'ONE", alors qu'un des jeunes concernés par ce sinistre évènement a déjà pourtant dû se rendre chez un neurologue.... bref... circulez, y a plus grand chose à voir, et surtout rassurez-vous, on aura une soi-disant enquête pour savoir le fin mot! 

 

Mr Bauduin s'est aussi empressé de rajouter que ça fait plusieurs années qu'ils vaccinent et qu'ils n"ont encore jamais eu ça, comme si cet épisode surgissait de nullepart.... En réalité, le passif de cette vaccination est très très lourd et cet Xème épisode à Morlanwez s'insère dans une véritable litanie d'articles de journaux et de vidéos de dénonciations depuis des années et des années dans le monde entier au sujet de ces très hasardeux et contreproductifs vaccins qui n'ont absolument aucune raison d'être administrés à quiconque, que ce soit en milieu scolaire ou ailleurs.

 

Le Japon a par exemple cessé en 2013 de rembourser et de recommander ces vaccins anti-HPV, tant ils avaient induit un grand nombre d'effets secondaires dramatiques, dont des cas d'infertilité (ménopause précoce/ insuffisance ovarienne définitive...).

 

Association-japonaise--danger-vaccins-HPV.JPG

 

En 2016, des médecins danois déposaient plainte parce que l'Agence Européenne des Médicaments (financée à plus de 70% par les redevances des pharmas) n'avait pas traité correctement les signalements d'effets secondaires graves liés à ces vaccins ani-HPV... 

 

Nos jeunes ne sont-ils donc pas véritablement EMPOISONNES, après diffusion d'une lamentable propagande médico-pharmaceutique mensongère cautionnée et organisée par les autorités publiques, lesquelles se sont déjà rendues coupables de publicité vaccinale trompeuse, comme attesté par la très officielle décision du Jury d'Ethique Publicitaire en novembre 2011?!

 

La tromperie est grosse comme le nez au milieu du visage et les faits sont hélas implaccables et apportés par des experts de renommée mondiale, comme ce reportage de France 5 en atteste. Regardez-le sans attendre, car tout parent informé à temps, avant la première dose, ou aussi avant la seconde, c'est évidemment un jeune épargné de plus!

 

Chaque dose de plus est hélas un tour de roulette russe supplémentaire, lequel peut se solder par un décès ou un handicap irréversible et évitable. C'est ce qui est malheureusement arrivé à la jeune canadienne Annabelle Morin, vaccinée à 14 ans dans le cadre scolaire et décédée peu après sa seconde dose, elle a éré retrouvée morte dans son bain, comme témoignent dans cette vidéo sa maman, et son avocat. Et ça n'arrive pas qu'aux autres!!!!! Soyez informés à temps, les exemples abondent, comme aussi ici, dans cet article du journal Libération "Calvaire post-vaccin". 

 

La collusion entre les firmes pharmaceutiques et les autorités dites publiques, avec de nombreux experts en conflits d'intérêts, est hélas une triste réalité que des milliers de jeunes payeront rubis sur ongles, parfois toute une vie durant, compte tenu des nombreuses maladies chroniques (neurologiques, auto-immunes, ou autres), qui peuvent faire suite à ce type de vaccins... Le dossier paru dans Knack et le Vif en 2008 rappelait la triste réalité de ces conflits d'intérêts omniprésents en évoquant les "liaisons dangereuses de Big Pharma" et le cas de ces vaccins anti-HPV...

 

Il est donc CAPITAL pour l'intégrité des jeunes et leur santé présente et future qu'un maximum de parents concernés soient au courant des informations cruciales exposées ici, AVANT la seconde dose, parce que sans cela, une fois encore, ces jeunes et leurs parents ne bénéficieront PAS de leur droit au consentement réellement libre et éclairé, tel que pourtant prévu et consacré par la loi belge du 22 août 2002 relative aux droits des patients (article 8). Merci donc, à vous tous qui êtes des MILLIERS à nous lire chaque jour sur ce site et à y être abonnés, de contribuer aussi activement que possible à la diffusion de ces informations, à chaque parent, à chaque soignant, et à chaque jeune où qu'il se trouve, mais bien sûr aussi au sein de l'Athénée de Morlanwez, il est inadmissible à notre époque que des jeunes et leurs parents ne soient pas informés de ceci avant cette seconde dose! ILS ONT LE DROIT DE SAVOIR!!

 

Conclusion: Cet épisode de Morlanwez illustre vraiment à son paroxysme l'adage disant qu'on peut tromper tout le monde une partie du temps et qu'on peut aussi tromper une partie du monde tout le temps, mais qu'on ne peut jamais réussir à tromper tout le monde tout le temps; tout finit toujours par se savoir et les nombreux mensonges par se fissurer de plus en plus!!

Il convient en outre également, nous sommes obligés de le signaler ici, que nous recommandons désormais très vivement à TOUT parent de se rendre AVEC leur(s) enfant(s) aux visites médicales scolaires (la visite médicale est une obligation, mais les parents sont aussi tout à fait libres d'y accompagner leurs enfants aux horaires qui leur conviennent, ce que peu de gens savent...), pour la raison qu'il nous a été rapporté à de multiples reprises et dans des régions diverses à Bruxelles et en Wallonie le cas d'enfants vaccinés lors de ces visites médicales alors même que les parents avaient pourtant très clairement indiqué au préalable un REFUS par écrit au niveau des formulaires, ce qui constitue une atteinte particulièrement gravissime au droit au consentement libre et éclairé, et démontre que la confiance a prori peut désormais difficilement être de mise dans ces dossiers où l'idéologie et les lobbys sont omniprésents, malheureusement. Nous ne disons pas que cela a concerné tous les enfants, mais il y a eu suffisamment d'abus qui nous ont été rapportés pour que nous estimions que ce risque est loin d'être anodin ou rarissime, d'où notre conseil désormais à cet égard....

 

 

Articles anciennement publiés sur Initiative Citoyenne sur le Gardasil, parmi des centaines d'autres...

Devenues stériles après le Gardasil: elles déposent plainte

 

Deux soeurs vaccin HPV (2) 

Madelene et Olivia, deux sœurs de 19 et 20 ans, ont décidé de déposer plainte contre un fabricant du vaccin HPV (Vaccin contre le cancer du col de l’utérus). Elles expliquent que le vaccin Gardasil qu’elles ont reçu les a rendues stériles.

 

Sisters-say-HPV-vaccine.JPGSisters-say-HPV-vaccine--2-.JPG

« Il y a 6 ans nous avons reçu notre premier vaccin Gardasil qui était supposé nous protéger du cancer du col de l’utérus.

 

Nous avons toutes les deux reçu le diagnostic de troubles ovariens.

 

Toutes les deux nous avons connu une ménopause précoce avec des bouffées de chaleur, des insomnies, de l’anxiété, des sueurs nocturnes, des manifestations extrêmes d’humeur, de l’ostéoporose précoce, des risques de troubles cardiaques précoces. En un mot, on nous a volé notre féminité.

 

Chaque fois que nous rencontrons des femmes enceintes, nous réalisons que jamais nous n’aurons cette chance, jamais ce sera pour nous ! Nous en sommes dévastées; c’est terriblement stressant ! »

 

Deux soeurs Gardasil (3)

 

 

 

NB: Ces effets de modification du cycle menstruel après le Gardasil ne sont PAS rares! Si on épluche des centaines de témoignages de par le monde, c'est un effet anormal (toutes autres causes exclues) qu'on retrouve anormalement souvent et cela aurait donc tout à fait permis, si du moins la volonté avait existé en haut lieu, de prendre en compte ce signal évident de pharmacovigilance.

 

De la même façon que le vaccin anti-hépatite B détruit les cellules du foie, il semble hélas que le tropisme du vaccin HPV en terme d'effets secondaires concerne davantage la sphère génitale que les autres vaccins: kystes ovariens multiples après ces vaccins, inflammations du pelvis, etc etc.

 

Voir aussi les articles connexes qui vous éclaireront sur le lien entre Gardasil (et ses composants) et risque concret de stérilité:

 

Le Gardasil a détruit les ovaires d'une jeune fille (cas a été publié dans le British Medical Journal)

 

Aveux accablants de l'ex-Ministre de la Santé française Xavier Bertrand (celui-là même qui avait personnellement hâté le remboursement du Gardasil):

 

"La toxicité sur les fonctions de reproduction de l'acide borique et de ses dérivés tels que le borate de sodium (ou borax) présent dans la composition du vaccin GARDASIL sont connues. Chez l'homme, la valeur-seuil d'exposition référencée à ne pas dépasser est de 0.2 mg de Bore/kgg/jour. Or, une dose vaccinale de GARDASIL contient 35 mcg de borate de sodium soit environ 4,2 mcg de Bore, ce qui est très largement inférieur à la valeur seuil assurant l'innocuité de ce dérivé de l'acide borique. Par ailleurs, il s'agit d'une exposition limitée dans le temps (trois injections espacées chacune d'un intervalle d'au moins deux mois). " 

 

Pour plusieurs chercheurs qui tirent la sonnette d'alarme, on sous-estime la toxicité de divers produits chimiques dits "à faible dose" (information parue dans le journal Le Monde)

 

Voir aussi: Gardasil: "Mes médecins m'avaient dit qu'il n'y avait pas d'effets secondaires!"

 

Sans oublier notre rubrique consacrée au désastre de ces vaccins HPV (= non exhaustive) Les articles y sont classés des plus récents aux plus anciens, sur plusieurs pages d'affilée.

23 janvier 2018

Colton qui s’était retrouvé paralysé après la 3ème dose du vaccin HPV, vient de mourir

Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vaccin anti-HPV Gardasil

Colton adorait le motocross et le parachutisme. C’est après avoir reçu sa troisième dose du vaccin contre le HPV qu’il a commencé à présenter des douleurs à la nuque. Il dut très vite abandonner le motocross. Il devint nauséeux et ses maux de nuque s’intensifièrent. Dans la nuit qui suivit, il appela sa maman pour l’aider à boire.

«  Maman, peux-tu me donner le verre dans la main gauche. Je ne sais plus très bien me servir de mon bras droit ; il me parait très faible. »

Colton finit par devenir paralysé. Un examen IRM à l’hôpital des enfants de Salt Lake City montra que le cou et la moelle épinière étaient enflammés. Le médecin fit un rapport qu’il envoya au VAERS (Vaccine Adverse Effects Reporting System).

Heather Lee Laurence de Middleburg a révélé que Colton venait de mourir, mais n’a pu donner d’autres détails sur la situation. Elle a demandé que l’on garde Colton dans nos pensées, nos cœurs et nos prières.

Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vaccin anti-HPV Gardasil
Décès de Colton Berrett, un jeune homme paralysé par le vaccin anti-HPV Gardasil

Vidéo sur le triste cas de Colton, victime du Gardasil (en anglais)

Source : Vaxxter

En Belgique, les "bons" experts du Conseil Supérieur de la Santé préconisent de façon absurde la vaccination des jeunes garçons avec ces vaccins dangereux et inutiles. Il va sans dire que s'il arrive ce genre de scénario catastrophe à vos enfants- beaucoup moins rares que l'on croit - ces mêmes experts ne se précipiteront pas au portillon pour vous indemniser, pas plus qu'ils n'arriveront à racheter les vies détruites par leurs bons conseils aux conséquences dramatiques!

 

Le Vif, 19 octobre 2012

Le Vif, 19 octobre 2012

A noter: le PSE de Morlanwez a également été contacté par mail suite à cet évènement.

Partager cet article
Repost0
8 octobre 2021 5 08 /10 /octobre /2021 12:12

Mise à jour, 8 oct 2021, 11H38: Notre avocat Me Beauthier nous a appelé ce matin pour nous dire qu'il avait retrouvé dans ses courriers indésirables un mail d'une assistante du cabinet de la Ministre Désir (Mme Santantonio) en date du 23 septembre. Me Beauthier s'attendait à un recommandé ou à un courrier postal de la Ministre, il vient de nous faire parvenir ce document de "réponse", qui, après lecture, ne répond à rien mais se résume surtout en un cocktail de dénégations (dénégations des pressions, dénégations sur les risques graves, sur le problème des conflits d'intérêts, on fait comme si ça n'existait pas; dénégations sur le caractère expérimental, etc...)

 

Le 15 septembre dernier, par le biais de son avocat, Me Georges Henri Beauthier, Initiative Citoyenne faisait parvenir à Caroline Désir, Ministre de l'Education en Fédération Wallonie-Bruxelles une mise en demeure de répondre à une série de questions urgentes et précises, et de stopper immédiatement la campagne vaccinale Covid dans le cadre scolaire, tant qu'elle n'aurait pas apporté les réponses nécessaires.

 

Une mise en demeure dont il a été fait copie par mail et par recommandés aux associations de parents UFAPEC & FAPEO, ainsi aussi qu'à la Ligue des Familles.

 

Le 21 septembre, Initiative Citoyenne faisait parvenir un courrier aux centaines de directions d'écoles secondaires en Fédération Wallonie-Bruxelles, non seulement pour les informer de la lettre de mise en demeure parfaitement justifiée telle qu'envoyée à la Ministre Désir, mais également en vue de leur partager d'autres informations utiles relatives à leur responsabilité légale dans un tel contexte où autant de dispositions légales sont bafouées et où, on le voit bien, de plus en plus d'articles sortent sur des nouveaux risques graves mis en évidence au sujet de ces vaccins poussés à tout crin, et donc susceptibles de concerner aussi les élèves de leurs établissements à qui une information trop partielle/incitation trop partiale à la vaccination aurait été faite.

 

Deux jours plus tard, le 23 septembre, en catastrophe, prise de panique, la Ministre Désir envoyait un courrier aux directions d'écoles pour tenter de se justifier, de se dédouaner (c'est pas elle, c'est à la demande des autorités bruxelloises du Comité de Concertation),  et de "les apaiser" à bon compte, en répondant prétendument à notre courrier sur leur responsabilité légale. Cette lettre téméraire de la Ministre Désir est assez surréaliste, et c'est un euphémisme.

 

Dans ce courrier, en effet, elle prétend, entre autres très nombreuses contre-vérités, que:

 

1°) Notre mise en demeure serait "fantaisiste": ceux qui nous connaissent et viennent lire sur ce site, y compris de nombreux médecins d'ailleurs, savent ce qu'il en est, et l'importance pour nous de la rigueur et de l'exactitude des informations communiquées...

 

2°) Caroline Désir affirme aussi sans l'ombre d'une preuve  que notre lettre serait un "pamphlet antivaccin" (évidemment, c'est là un triste mode de fonctionnement des officiels en matière de vaccination, depuis déjà de très nombreuses années, toute question critique argumentée étant qualifiée d'hérétique, contraire au dogme et donc à rejeter, fusse au péril de la sécurité publique, se questionner sur base de données tangibles est interdit, c'est déjà de trop...)

 

3°) Désir affirme encore "une réponse a été apportée au soumissionnaire de ce courrier". > L'envoi d'un mail du Cabinet de Caroline Désir a effectivement bien été fait en date du 23 septembre à notre avocat, comme nous venons de l'apprendre seulement maintenant. Cf mise à jour ci-dessous donc. Il y a donc bien eu réponse mais en ce qui a trait toutefois au contenu de celle-ci comparativement à nos interrogations initiales, on peut hélas parler de "réponse" avec des guillemets. 

 

Mise à jour, 8 oct 2021 11H38: Notre avocat Me Beauthier nous a appelé ce matin pour nous dire qu'il avait retrouvé dans ses courriers indésirables un mail d'une assistante du cabinet de la Ministre Désir (Mme Santantonio) en date du 23 septembre. Me Beauthier s'attendait à un recommandé ou à un courrier postal de la Ministre, il vient de nous faire parvenir ce document de "réponse", qui, après lecture, ne répond à rien mais se résume surtout en un cocktail de dénégations (dénégations des pressions, dénégations sur les risques graves, sur le problème des conflits d'intérêts, on fait comme si ça n'existait pas; dénégations sur le caractère expérimental, etc...)

 

Il est en effet possible que Mme Désir ne s'attendait pas à ce que nous tombions en possession de cette lettre envoyée aux directions avec autant de contre-vérités de sa part rédigées à la va-vite. Mais il en fut ainsi. Rappelons que déjà le 22 avril 2020, dans le Soir, on pouvait lire que l'ex Ministre fédérale de la Santé, Maggie De Block s'était engagée à répondre à notre courrier de questions, mais qu'il lui faudrait un peu de temps car les questions étaient "assez techniques", alors qu'elle n'y a en réalité JAMAIS REPONDU... rien donc pour autant de "fantaisiste", juste des personnes qui prennent des décisions politiques aux conséquences lourdes possibles mais SANS RIEN ASSUMER, SANS SAVOIR REPONDRE A RIEN, en réalité!!!

 

4°) Elle abreuve les directions de désinformation en tous genres (affirmant par exemple, ce qui est profondément contraire aux faits, que les avantages de la vaccination chez les jeunes l'emportent sur les risques ; ou encore, qu'il n'y a aucun effet secondaire à long terme alors que ces vaccins sont précisément toujours en phases d'essais cliniques (cf. p. 21/37 notam.), et les patients toujours cobayes de cette gigantesque expérimentation médicale).

 

5°) Elle achève sa missive désespérée en tentant d'assimiler nos informations indépendantes et bienveillantes envoyées aux directions, dans leur intérêt et dans celui de leurs élèves, à une "intimidation", en les enjoignant à recontacter ses services "afin de prendre toutes les mesures légales qui s'imposent" (sic!)... tenter pathétiquement de diaboliser Initiative Citoyenne, collectif bénévole et indépendant qui met à nu les failles préoccupantes de sa dangereuse politique, et qui avait déjà obtenu confirmation en 2011 du Jury d'Ethique Publicitaire que la Communauté Française de Belgique s'était déjà bien rendue coupable de "publicité trompeuse" avec sa réclame en faveur des vaccins tout au long de la vie, que le Jury avait qualifiée comme étant "de nature à induire le consommateur en erreur", en taisant les risques et en présentant les avantages de façon trop absolue, soit une violation d'une disposition légale, la loi du 22 août 2002 relative aux droits du patient, en l'occurrence. 

 

Le 5 octobre dernier, Initiative Citoyenne envoyait une deuxième lettre à Mme Désir, avec copie aux directions d'établissements, aux associations de parents UFAPEC et FAPEO, ainsi aussi qu'au syndicat Appel, qui avait confirmé dans la presse que la pression était "réelle" sur le terrain en faveur de la vaccination, certains enseignants faisant lever la main aux jeunes pour savoir qui est vacciné. (Voir aussi ici, la réaction récente de la FAPEO, estimant que les formulaires de l'ONE vont trop loin car ils demandent aux parents d'aller justifier leur choix de non vaccination...)

 

LIRE ICI CETTE LETTRE-CLEF

 

Nous ne pouvons dès lors que souhaiter informer ici un maximum de citoyens, parents et acteurs de la société civile du scandale incroyable que représente l'attitude et la posture de la Ministre Caroline Désir, le peu de cas qu'elle fait véritablement de la santé des jeunes qui se trouvent être honteusement instrumentalisés dans tout ce dossier, la Ministre ayant reconnu dans un précédent article du Soir qu'ils étaient peu touchés et concernés par les conséquences fâcheuses de la maladie mais qu'il fallait en gros leur faire endosser le rôle d'"ambassadeurs de la vaccination" auprès de leur famille, histoire de poursuivre le bourrage de crâne/propagande pro-vax à la maison après la "sensibilisation"/gavage jusqu'à l'overdose en milieu scolaire, via des influenceurs et autres experts en conflits d'intérêts (ce que Désir confond par ailleurs avec une information rigoureuse et objective.... )

Pour offrir une chance réelle aux jeunes et à leurs familles d'échapper à cette prison mentale et au poids de la propagande malsaine, rien ne vaut une information rigoureuse, diversifiée, qui donne accès à la réalité des FAITS, sans entrave, sans tabou.

 

Voici, par exemple ci-dessous, divers autres liens, documents et informations encore "tombées" entretemps, depuis que nous avons réécrit à Caroline Désir, aux directions et aux associations de parents et qui ne font bien entendu que confirmer plus que jamais la pertinence de ce que avions pointé et questionné dans la politique mise en oeuvre.

 

Effets cardiotoxiques, la Suède qui décide par exemple de suspendre le vaccin Moderna chez les - de 30 ans 

Risques cardiaques jusqu'à 6 fois plus élevés avec le vaccin que le risque d'être hospitalisé pour une infection covid naturelle (The Guardian)

Nouvel effet secondaire neurologique récemment trouvé aussi en lien avec les vaccins à ARNm; source: le Quotidien du Pharmacien

Rapport de pharmacovigilance sur base des chiffres européens officiels pour les effets des vaccins chez les - de 18 ans (cf document ci-joint destiné à une députée française) qui démontre, chiffres à l'appui le rapport éminemment contre-productif des vaccins chez les jeunes!!!!

« Le taux de létalité apparent global du Covid19  en Europe est de 0.007% et il est donc : 

74 fois plus faible que la létalité apparente du vaccin Pfizer en cas d’événement indésirable 

212 fois plus faible que la létalité apparente du vaccin Moderna  

Ceci signifie, par exemple, qu’un enfant a : 

74 fois plus de risque de décéder du vaccin Pfizer en cas de survenue d’un effet indésirable que du Covid19 s’il contracte la maladie 

212 fois concernant le vaccin Moderna. » (p.27/34) 

 

Les Décès Chez Les Adolescents Ont Augmenté De 56% Depuis Le Début Du Déploiement Du Vaccin

Vaccination covid des jeunes dans le cadre scolaire: la Ministre Caroline Désir doit-elle démissionner?
Partager cet article
Repost0
17 septembre 2021 5 17 /09 /septembre /2021 09:30

Ce vendredi 17 septembre 2021, le collectif Initiative Citoyenne convie les journalistes pour les informer de la récente mise en demeure envoyée ce mercredi 15 septembre par notre avocat, Me George Henri Beauthier, à la Ministre Caroline Désir, Ministre de l'Education en Fédération Wallonie-Bruxelles, avec copie et recommandé aux Associations de parents UFAPEC et FAPEO. 

 

Vous trouverez ici, le texte d'invitation aux médias.

 

Vous trouverez ici notre communiqué de presse de ce vendredi 17 septembre.

 

Et vous trouverez enfin ici copie intégrale de ce courrier envoyé à la Ministre sur le cadre de cette vaccination scolaire, qui concerne tous nos jeunes.

 

SI VOUS ÊTES PARENT, ENSEIGNANT, DIRECTEUR, JEUNE/ADO, PROFESSIONNEL DE SANTE, peu importe, vous avez chacun un rôle constructif possible à jouer: dispatchez le plus massivement possible ces infos svp, faites connaître l'existence de cette initiative dans vos classes, dans vos foyers, par mails ou via les réseaux sociaux à vos amis, elles doivent circuler partout, dans toutes les classes, dans toutes les écoles, dans tous les groupes, pour qu'un choix réellement libre et éclairé puisse se faire et que la loi du 22 août 2002 relative aux droits des patients puisse réellement être respectée pour tous. Ne restez pas les bras croisés, soyez acteurs de vos droits et libertés!

 

NOS JEUNES NE SONT PAS VOS COBAYES!

Vaccins covid en milieu scolaire: la Ministre Caroline Désir mise en demeure de répondre et de suspendre la campagne, le temps de lever les opacités

Voir aussiVaccination covid des jeunes dans le cadre scolaire: la Ministre Caroline Désir doit-elle démissionner? (NON REPONSE DE LA MINISTRE ALORS QU'ELLE A OSE PRETENDRE LE CONTRAIRE A DES CENTAINES DE DIRECTIONS DANS UN COURRIER DESTINE A LES "RASSURER"....)

Partager cet article
Repost0
18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 22:30

Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

Brian Shilhavy, Health Impact News,  12 mars 2019

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle

Dr Richard Moskowitz

Le Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à l’hôpital St. Anthony de Denver.

En 2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à publier son article : The Case against immunizations qui reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies de pratique de la médecine clinique.

Le Dr Moskowitz vient de rédiger un autre article sur le thème des « Epidémies de rougeole » en 2019, ainsi que sur le récent appel à une vaccination obligatoire.

Il y expose le sophisme selon lequel « la science est bien établie » en matière de rougeole et de vaccins.

« Contrairement à ce que l’on nous a dit, la science est bien loin d’être établie sur l’efficacité des vaccins.

Ces suppositions ne relèvent pas de la science, mais essentiellement du scientisme, d’une foi quasi religieuse caractérisée par son dogmatisme et  par l’étouffement de la pensée critique, du doute, du questionnement par rapport aux vérités prétendument établies.  La véritable science a bien d’autres exigences ! Tout ceci fait comprendre pourquoi les médias s’abstiennent de signaler les dommages et les décès dus aux vaccins. »

Ces épidémies de rougeole : des pensées hors saison

Par le Dr Richard Moskowitz, M.D.

Alliance pour la protection de la Recherche

Extraits :

Avant que l’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne dégénère encore plus, un brin de bon sens pourrait nous aider à réfléchir plus attentivement avant de nous dépêcher de prendre des mesures qui ne fonctionneront pas et feront vraiment des dégâts.

Refuser un traitement médical non souhaité est un droit fondamental que toutes les nations civilisées ont juré de respecter, à la seule exception possible d’une menace grave et imminente pour la santé publique. Les quelques épidémies de rougeole localisées qui ne dépassent souvent pas quelques dizaines ou centaines de cas ne correspondent pas en fait à ce critère.

Toutes ces épidémies sont typiques de celles qui se sont produites depuis l’introduction du vaccin. D’autres épidémies semblables continueront sans doute de se produire, même si la campagne bien financée de l’industrie du médicament parvenait à vacciner tout le monde.

Pourtant, le Département de la santé de l’Etat de Washington a déclaré une urgence de santé publique sur cette base. Plusieurs autres Etats envisagent de faire la même chose, et les médias se sont associés avec enthousiasme à cette politique comme les éditoriaux du New-York Times, du Boston Globe et autres grands magazines. Les stations radio comme les émissions débats sur NPR, toutes bien intentionnées, mais propageant sans cesse des peurs alarmistes et des exagérations, comme s’il s’agissait de vérités bien établies. Ces médias citent souvent des cas d’épidémies modestes comme justification suffisante pour éliminer les exemptions aux vaccinations pour croyance personnelle, et qui ont encore cours dans divers Etats.

Une violation flagrante du Premier amendement et l’exemple le plus récent et le plus inquiétant est la pression exercée par le Congrès sur Facebook et autres médias sociaux pour censurer les publications qui osent susciter des questions ou des doutes sur les vaccins, ainsi que sur l’obligation vaccinale.

D’un autre côté des politiciens et des journalistes n’ont rien fait de plus que de croire les informations que des médecins et des autorités de santé publique leur communiquent.

Malheureusement, ce qui leur est communiqué ne relève pas seulement d’une mauvaise éthique, mais aussi d’une mauvaise science, basée sur des hypothèses totalement contredites par la recherche actuelle, tout en violant les droits de l’homme les plus fondamentaux, ainsi que les valeurs morales qui nous sont chères.

Souvent supposées aller de soi sans même avoir besoin d’être énoncées, encore moins prouvées, leurs hypothèses fondamentales sont en réalité deux postulats qui s’appuient l’un sur l’autre pour les soutenir, à savoir 1) que ces petites épidémies de rougeole et autres maladies infectieuses contre lesquelles nous vaccinons sont en fait initiées et propagées par des individus non vaccinés, et 2) que les vaccins sont, non seulement miraculeusement sûrs, mais également uniformément efficaces pour immuniser les personnes; de sorte que seules les personnes non vaccinées restent susceptibles et donc capables de transmettre ces maladies à d’autres.

Mais il n’est pas possible d’avoir les deux à la fois. Car si ces postulats étaient tout à fait vrais, si l’immunité conférée par le vaccin antirougeoleux était vraiment comparable à l’immunité absolue et permanente résultant de la maladie et de son rétablissement, les non-vaccinés ne constitueraient une menace pour personne d’autre qu’eux-mêmes, sur la base d’un libre choix de leur part ; de sorte que ceux qui prennent le vaccin n’auraient absolument rien à craindre.

Inversement, si les personnes vaccinées risquent effectivement de contracter la maladie à partir de personnes non vaccinées, c’est que le vaccin est manifestement inefficace au point que tout ce qu’il offre ne peut constituer une immunité réelle ou authentiquement efficace.

Quoi qu’il en soit, il existe de nombreuses preuves scientifiques solides selon lesquelles ces deux hypothèses sont tout simplement fausses.

La grande majorité des cas de rougeole, d'oreillons et d'autres maladies que l’on prétend pouvoir être prévenues par un vaccin, au cours d’épidémies passées ou récentes, ont été, dans 75 à 95% des cas, observées chez des personnes vaccinées. Une étude récente sur la rougeole en Chine, où plus de 99% de la population fut vaccinée en fonction d’une loi rendant cette vaccination obligatoire a néanmoins permis d’observer plus de 700 épidémies localisées, et ce, en une seule année, pour un total de près de 26 000 cas.

Il en va à peu près de même pour les éclosions récentes d'oreillons aux États-Unis, où 95 à 100% des cas ont été trouvés chez des vaccinés.

Ainsi, même si toutes les exemptions non médicales étaient éliminées et que pratiquement tout le monde était vacciné, comme le nécessiteraient les nouvelles lois proposées, des épidémies similaires continueraient sans doute de se produire.

En d’autres termes, la prétendue immunité conférée par les vaccins est une astuce, une contrefaçon de la réalité et «l’immunité collective», objectif justifiant les obligations, généralement lié à un taux de vaccination de 95% ou plus dans le cas de la rougeole, constitue une chimère, des vœux pieux que la vaccination ne peut tout simplement pas atteindre, contrairement à la maladie naturelle. Les experts de la santé publique savent depuis longtemps que les épidémies de grande ampleur ne se produisent plus lorsqu'au moins 80% de la population a été atteinte par la maladie et en a guéri. C’est cela, et seulement cela, qu’est l’immunité de groupe. S’attendre à ce que le vaccin atteigne un niveau encore plus élevé, sans épidémie, est un pur fantasme et contraire de la science pure et dure.

En outre, des scientifiques ont également démontré que les personnes vaccinées à partir de virus vivants, tels que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, le rotavirus, la poliomyélite orale et certaines versions de la grippe, les «répandaient» régulièrement dans leur entourage et étaient donc contagieuses  pendant plusieurs semaines.

En ce qui concerne la réapparition de la coqueluche ces dernières années, par exemple, de nombreuses études ont montré que les épidémies de plus en plus importantes et fréquentes de la maladie étaient également transmises par des individus vaccinés, même si la bactérie n’était plus vivante, en partie par sélection naturelle de souches résistantes aux vaccins, comme cela a été documenté dans le cas d’autres vaccins non vivants (HiB, pneumocoques et, éventuellement, poliomyélite injectable).

"En bref, la volonté de vacciner autant de personnes que possible et l'intimidation et la colère contre les parents qui choisissent de ne pas vacciner qui vont de pair, sont non seulement cruels et peu réalistes, mais contribuent également à créer et à propager les maladies que les vaccins ont été conçus pour éradiquer."

Plutôt que de simplement accepter le fait que les vaccins ont, au mieux, une efficacité partielle et limitée, nous permettons au CDC et à l’industrie du médicament de jouer sur nos craintes au point de transformer ces épidémies localisées de rougeole en un semblant redoutable de menace imminente, une urgence de santé publique, constituant une menace sérieuse pour la société, justifiant la vaccination forcée de tous, même contre la volonté des intéressés si nécessaire, et annulant ainsi tous les codes et traités auxquels nous avions souscrit: le Code des droits de l'homme de Nuremberg et la Déclaration d'Helsinki régissant la recherche biomédicale, qui insistent tous deux sur le droit de chaque patient et de chaque sujet de donner son consentement éclairé à toutes les procédures médicales et chirurgicales, en interdisent explicitement leur administration par la force.

La science n'est pas définitivement établie une fois pour toutes

Contrairement à ce qu’on nous dit, la science est loin d’avoir dit son dernier mot sur l’efficacité des vaccins. Cela serait déjà suffisant pour effacer le mythe selon lequel la vaccination obligatoire serait nécessaire.

Mais ce n’est pas la seule raison, ni même la plus importante.

La sécurité des vaccins est encore très loin d’être établie, pour le dire gentiment et pour de très bonnes raisons.

En premier lieu, de nombreuses études ont montré que les enfants qui contractent des infections fébriles aiguës telles que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle et la grippe et guérissent dans la suite sont beaucoup moins susceptibles de développer des maladies auto-immunes chroniques et un cancer au cours de leur vie que les enfants simplement vaccinés contre ces maladies.

D’autres études encore relient les risques de décès, d’hospitalisation et d’autres réactions indésirables graves, non pas à un vaccin ou à des vaccins en particulier, mais plutôt au nombre total de vaccins administrés, à la fois simultanément ou au cours de la vie du patient.

En d'autres termes, ces terribles résultats ne peuvent pas simplement être considérés comme des bizarreries individuelles, qui ne seraient spécifiques qu'à certains individus hypersensibles, mais semblent plutôt être liés à la nature même du processus de vaccination.

Ces résultats sont déjà plus que suffisants pour remettre en question, voire discréditer, le respect presque universel accordé au concept de vaccination, sans parler du chèque en blanc qui permet et même incite l’industrie pharmaceutique à développer, commercialiser et finalement imposer de plus en plus de vaccins, partant du principe que les vaccins sont sans danger et efficaces dans tous les domaines, qu’ils économisent d’énormes sommes d’argent grâce à la non-prise en charge des patients atteints de ces maladies, et qu’il est donc correct, voire souhaitable, d’empiler autant de doses de nombreux vaccins différents qu’il est possible de commercialiser, souvent sans autre raison que celle de disposer de la capacité technique pour les fabriquer.

C’est la même hypothèse qui permet à l’industrie pharmaceutique d’organiser ses propres études d’innocuité sans véritable contrôle placebo des individus non vaccinés. Cette façon de procéder limite les effets indésirables à ceux qui sont examinés quelques heures ou quelques jours après la vaccination, excluant ainsi automatiquement les maladies chroniques qui pourraient survenir dans la suite; cela donne à l'enquêteur principal le pouvoir illimité de déterminer si une réaction indésirable rapportée est liée ou non à un vaccin, selon des critères jamais spécifiés; et cela permet au CDC d'insister sur le fait que les vaccins sont uniformément sûrs et efficaces sans mener leurs propres études indépendantes, même si le Congrès a légiféré et la Cour suprême a confirmé que les vaccins sont «inévitablement dangereux», afin de protéger les fabricants de toute responsabilité par rapport aux décès et aux dommages qu'ils provoquent, une « faveur » gratuite jamais accordée à aucune autre industrie.

En bref, ces hypothèses ne relèvent pas de la science, mais simplement du scientisme, une religion qui prétend parler au nom de la science et qui se caractérise par un dogmatisme, qui étouffe l'esprit critique, le questionnement et le doute par rapport à des vérités prétendument établies. La véritable science est en droit d’exiger beaucoup plus. Tout ceci explique pourquoi les médias s'abstiennent de signaler les décès ou les dommages dus aux vaccins sans avoir à s’interroger, et pourquoi la plupart des médecins offrent à leurs enfants les mêmes vaccins que ceux qu'ils administrent à leurs patients.

Ce qui m'amène à mon dernier point, à savoir que si la vaccination et les vaccins étaient effectivement sûrs et efficaces dans leur ensemble, alors les milliers de parents qui croient sincèrement que leurs enfants sont décédés après avoir été vaccinés ou ont eu la santé endommagée par les vaccins et doivent vivre chaque jour de leur vie avec cette terrible réalité, sont soit de fieffés menteurs, ignorants ou stupides, et méritent donc peut-être même que leurs histoires soient ignorées et rejetées d'emblée par la communauté médicale, les médias et le grand public !

Pourtant, leurs souffrances, quelle qu'en soit la cause, appellent à tout le moins à de la prudence, de la retenue et à une simple compassion pour le point de vue de ceux dont l'expérience vécue est si tragiquement différente de celle de tous ceux qui ont le privilège d'ignorer ou de se montrer insensibles à  tous ces drames.

En tant que médecin de famille qui a soigné bon nombre de ces enfants au fil des ans, je peux affirmer avec une certitude absolue que la grande majorité de ces parents ne sont en aucun cas des «anti-vaccins» ignorants, crédules ou hostiles à la science.

Bien au contraire, ils sont souvent bien éduqués, bien informés et ont généralement consacré leur vie à percer le mystère de ce qui est vraiment arrivé à leurs enfants et ne demandent plus qu’une seule chose, c’est que les vaccins soient rendus aussi sûrs que possible, sur la base d'une enquête minutieuse menée par des scientifiques indépendants de l'industrie du médicament.

Après plus de cinquante ans passés « dans les tranchées », je puis également attester que le sens instinctif et pratique de parents attentionnés est souvent un guide beaucoup plus précis et plus fiable sur les causes des tragédies qu’ils ont subies que des déclarations savantes qui les prémuniraient contre le besoin de prendre réellement en compte les détails de leur expérience vécue.

Enfin, le respect généralisé et presque universel accordé à la vaccination, fondé sur le catéchisme selon lequel les vaccins sont non seulement sûrs et efficaces, mais également parmi les réalisations suprêmes de la médecine moderne, m’a poussé à écrire. J’étais animé d’un réel pressentiment, comme du sens de l’urgence, à un moment critique de notre histoire, alors que les droits des patients de refuser un traitement médical non souhaité ont depuis toujours été considérés comme sacrés. Il en va de même pour le droit des parents de pouvoir prendre des décisions au nom de leurs enfants. Ces droits sont aujourd’hui, comme jamais, remis en question !

Je me sentirais bien récompensé si mes paroles, mon raisonnement, la tristesse, la peur et l’indignation que je ressens depuis longtemps à ce sujet pouvaient favoriser un débat sain et permettraient de faire davantage avancer le travail scientifique rigoureux qui reste à faire.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi:

Vaccin rougeole: ce qu'en pensent les médecins suisses

Bénéfices-risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

Pas de vaccination ROR sans consentement parental a ordonné la Haute Cour de Delhi

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

L'autisme et la mort subite repris dans la notice du vaccin Tripedia (diphtérie, tétanos, coqueluche)

Audition du Dr Moss s'indignant du ramdam sur la rougeole et de l'omerta sur les 127 décès après ce vaccin...

Aveux et conscience que l'autisme peut être lié aux vaccins (c'est d'ailleurs en toutes lettres dans la notice du vaccin Tripedia contre diphtérie, tétanos, coqueluche)

Les plans mondiaux de vaccination sont pilotés par l'OMS d'où la panique bien concertée et organisée en même temps dans tous les pays, par exemple sur la rougeole

Partager cet article
Repost0
30 octobre 2018 2 30 /10 /octobre /2018 12:03

L'anesthésie générale peut être donnée pour forcer la vaccination chez les enfants aux besoins spécifiques

 

Erin Elizabeth, 30 septembre 2018

Vacciner les enfants sous anesthésie générale: la nouvelle proposition criminelle des idéologues de la vaccination pour les cas difficiles

En juin dernier, à l'occasion de la Conférence Nationale sur la Vaccination à Adelaïde, en Australie, Julie Leask, Professeure associée à l'Université de Sidney,a fait une déclaration dérangeante, annonçant que certains enfants "dont le cas est médicalement complexe" pourront nécessiter une sédation ou même une anesthésie générale afin de leur faire un rattrapage des vaccinations. Et, comme si cela n'était pas encore assez choquant, elle a aussi annoncé que les parents qui refuseront seront privés d'allocations familiales. 

 

Voici un extrait de sa présentation: 

Mais gardez à l'esprit que même l'anesthésie générale comporte ses propres risques; en réalité, une étude réalisée en 2015 a lié l'anesthésie générale à "une réduction de QI et à des changements dans la structure du cerveau". [1]

 

Voici quelques effets secondaires possibles de l'anesthésie générale tels qu'indiqués sur le site du Ministère de la Santé de l'Etat de Victoria [2]:

 

- Blessure au site d'injection

- Infection

- Troubles respiratoires

- Dommages nerveux à court terme

- Réactions allergiques (ex: crise d'asthme)

- Sensations et douleurs durant l'opération

- Dommages à la bouche, aux dents, aux lèvres et à la langue

- Dommages causés aux cordes vocales ou au larynx

- Lésions pulmonaires

- Attaque cardiaque

- Dommages cérébraux

- Accident vasculaire cérébral

- Insuffisance rénale

- Insuffisance hépatique

- Paraplégie

- Quadriplégie

 

Maintenant, puisqu'il ne s'agit ici que des risques liés à l'anesthésie générale, pouvez-vous imaginer ce qui pourrait se passer lorsque les vaccins sont administrés en même temps? Cela a-t-il déjà été étudié en termes de sécurité? Et peut-être aussi la question la plus importante de toutes: pourquoi ces enfants complexes sur le plan médical ne bénéficient-ils pas plutôt d'exemptions à la vaccination?

 

Bien que le Pr Leask n'ait pas expliqué en quoi consiste "un enfant médicalement complexe", il est prudent de supposer qu'il s'agit d'enfants atteints de troubles neurologiques, tels que l'autisme, qui peut d'ailleurs avoir été initialement causé par la vaccination. [3]

 

Quelle cruelle ironie dès lors! Nos pensées vont aux parents de ces enfants qui pensent ne pas avoir le choix. Nous ne pouvons pas imaginer une telle situation! 

 

Références

 

[1] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[2] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

[3] Australian Vaccination-risks Network Inc, September 29, 2018.

 

Sources: Healthnutnews & Australian Vaccination Network (AVN)

 

Commentaire additionnel d'Initiative Citoyenne:

Il ne faut, du reste, pas oublier non plus que l'anesthésie générale comporte, en elle-même, des effets d'immunosuppression (bien connus et préoccupants, notamment en matière de chirurgie oncologique puisqu’on peut notamment lire dans des publications médicales à ce sujet, nous citons : « La chirurgie carcinologique est à l’origine d’un chaos immunologique périopératoire, favorable à la prolifération de cellules cancéreuses » ; que « Les agents hypnotiques de l’anesthésie ont un effet sur l’activité des cellules NK. » (NB : les « NK » = « natural killers » = un type de globule blancs particulier) ou encore : « Les opioïdes ont un effet direct et un effet indirect sur la prolifération de cellules cancéreuses, in vitro. L’effet résultant serait en faveur d’une immunosuppression des défenses de l’hôte. ».) ; cela signifie donc qu'à l'instar de divers médicaments très connus (ex: cortisone), l'anesthésie et ses effets sur l'oxygénation du corps constitue un stress particulier pour le système immunitaire, lequel est justement celui mis à contribution au 1er chef avec les vaccinations, qui déjà, constituent un stress très supérieur à ce que serait celui occasionné par une infection naturelle, non seulement parce que l'organisme, dans la nature, ne sera pas exposé à tous ces germes à la fois, mais aussi parce que ces germes entreront par des voies précises, harmonieuses et progressives (en commençant par la barrière cutanéo-muqueuse que la vaccination court-circuite allègrement). Diverses études ont déjà montré que la vaccination induit une immunodépression dans ses suites (inversion du rapport des lymphocytes T4/T8, comme ce que qui se passe en cas de SIDA mais de façon plus temporaire, pendant parfois plusieurs semaines, expliquant de facto pourquoi les sujets vaccinés sont nettement plus vulnérables que les non vaccinés à quantité d'infections opportunistes dans leurs suites, certaines pouvant hélas s'avérer mortelles).

Conclusion: on va solliciter ici un système immunitaire immature, mis en état de stress maximum alors que tant l'anesthésie que les vaccins vont provoquer un effondrement immunitaire relatif, imposant dès lors aux organismes déjà fragilisés des injonctions contradictoires (faire travailler le système immunitaire et le faire taire)... une fois encore, bonjour les dégâts!

 

Voir aussi:

 

La vaccination des patients à risque? Encore plus risquée!

Partager cet article
Repost0
23 juin 2018 6 23 /06 /juin /2018 08:11

Comment j’ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Aplanetruth info, 15 janvier 2018

Comme nous venons d’accueillir notre troisième enfant, c’est pour moi l’occasion d’expliquer pourquoi nous ne les avons pas fait vacciner, et aussi pourquoi ils sont en parfaite santé.

Je voudrais aussi évoquer les réactions hostiles et négatives que nous avons dû essuyer quand nous avons consulté des pédiatres à la suite de notre position sur les vaccins.

Nous avons cependant réussi à mettre l’un d’eux dans l’embarras pour finalement le remettre à sa place quand il a tenté de nous provoquer.

J’ai personnellement travaillé pendant 10 ans dans l’industrie pharmaceutique en tant que scientifique. J’ai aussi mené des recherches approfondies sur les vaccins et leurs différents constituants.

Le pédiatre qui nous recevait n’était pas au courant de ces derniers éléments.

Avant que je ne fasse état de toutes mes objections, ce pédiatre a commencé à m’agresser verbalement en voulant me faire comprendre que nous tuions nos enfants en ne les faisant pas vacciner. Il a poursuivi en me disant que l’autisme soi- disant provoqué par les vaccins était une théorie totalement démentie et démystifiée , et que cette théorie n’était basée que sur des études frauduleuses. Il me disait ces choses alors que je n’avais même pas abordé le thème de l’autisme. Nombreux sont les pédiatres qui se précipitent sur ces fausses conclusions. Ils estiment que l’autisme n’est pas causé par les vaccins parce que c’est ce que disent et redisent les grands médias.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Entre nous, je pense qu’il y a bel et bien une corrélation entre les vaccins et l’autisme.

Comme j’ai vite pu réaliser que la discussion ne mènerait à rien avec ce pédiatre, j’ai décidé de changer l’orientation de la discussion.

Comme je l’ai dit au début, j’ai remis ce pédiatre à sa place quand il a fini par avouer ne pas avoir approfondi la question. Je lui ai finalement dit que mes inquiétudes ne concernaient pas que l’autisme, mais bien les troubles auto-immuns.

Dans chaque vaccin, il y a des adjuvants. Ces éléments font partie des vaccins dans le but de sur-stimuler le système immunitaire.

Les vaccins qui ne contiendraient que l’antigène spécifique à telle ou telle maladie, ne peuvent pas engendrer une réponse immunitaire suffisante permettant de créer un nombre suffisant d’anticorps. Les producteurs de vaccins reconnaissent la chose, et c’est la raison pour laquelle ils ajoutent des adjuvants.

Ces adjuvants stimulent le système immunitaire de façon aveugle et non sélective pour qu’il puisse produire une réponse suffisante aux antigènes des vaccins et ainsi créer une protection.

La véritable clé de compréhension réside dans le fait que ces adjuvants sur-stimulent de manière non sélective le système immunitaire. Cela veut dire que quand ces adjuvants sont introduits dans le corps, celui-ci produit une réponse immunitaire SYSTEMIQUE, c’est-à-dire une réponse qui se répercute sur l’ensemble du corps, et au cours de laquelle les anticorps pourraient ne pas exclusivement se retourner contre l’antigène du vaccin, mais contre d’autres types de cellules du corps. Les inquiétudes portent sur le fait que les adjuvants pourraient susciter des réponses immunitaires dirigées contre, par exemple, d’autres protéines du corps, provoquant ainsi l’auto-immunité.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

Si vous suivez les nouvelles, vous aurez appris que les maladies auto-immunes sont en progression. Les Instituts nationaux de santé américains estiment que 23 millions d’Américains souffrent de maladies auto-immunes, et que, chaque année, leur nombre augmente. 

En 1962, nous stimulions le système immunitaire avec 5 doses de vaccins. Aujourd’hui en 2017, le système immunitaire est stimulé 72 fois.- Devons-nous, dès lors, nous étonner d’avoir tant de troubles auto-immuns quand le corps attaque ses propres cellules ?

Une étude s’est penchée sur la comparaison entre des enfants vaccinés et des enfants non vaccinés.

Comment j'ai fait taire mon médecin au sujet des vaccins

L’image montre clairement combien les personnes vaccinées sont susceptibles de faire davantage de maladies.

A titre d’exemple, nous voyons que dans le domaine des allergies et notamment dans les rhinites allergiques, les personnes vaccinées ont 30,1 fois plus de risques de faire une rhinite allergique que les non vaccinés.

Quand j’ai expliqué ces choses au pédiatre, il a immédiatement cessé d’avoir une attitude hostile et négative. Il s’est immédiatement placé en « mode de défense ». Il n’a plus osé m’attaquer en me disant que j’allais tuer mes enfants etc. Il n’était plus à l’aise du tout !

Dr Bob Sears, M.D., pédiatre explique :

Vous pourriez penser que la FDA a étudié tous ces ingrédients, ainsi que leur action sur les enfants afin de s’assurer que chacun d’entre eux était sans danger. Et bien… cette étude n’a jamais été effectuée !

 

 

Partager cet article
Repost0
27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 22:04

À lire avant de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale

Senta Depuydt

Article paru dans le journal Alternative Santé nº 50

À lire AVANT de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale!!

Nous relayons une tribune qui a été rédigée pour informer les parlementaires des enjeux autour de la loi sur la vaccination qui sera très prochainement voté: il résume des réalités trop souvent occultées dans les débats publics autour de la vaccination. 
 

Ce texte est signé par

INFO VACCINS France, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, le REVAHB (association des victimes du vaccin Hépatite B), Senta Depuydt, Dr Nicole Delépine, Dr Michel de Lorgeril, Lucienne Foucras, Bernard Guennebaud, Jean-Pierre Eudier, Thierry Fenoy, Lucie Michel (Les Mamans courage), Raphaël Sirjacobs & Béatrice Dupont (Parents de Stacy), Patrice Maillard.

Pour trouver le député de votre circonscription et lui transmettre toutes ces informations essentielles par mail, vous pouvez vous rendre sur ce site. 

Vous pouvez également trouver et contacter votre sénateur sur ce site

 

L’obligation vaccinale n’est pas une nécessité de santé publique. Tandis que la Suède a déclaré cette pratique non constitutionnelle plus tôt dans l’année, Angela Merkel vient de se prononcer contre une telle mesure et de rappeler l’importance du libre choix des citoyens sur cette question.


Ci-dessous, plusieurs choses à savoir avant d'engager votre responsabilité sur une loi imposée dans la précipitation et sans concertation.   

Effets secondaires non rapportés et dommages neurologiques graves pour les vaccins soumis au vote de l’Assemblée.


ROR (Priorix – laboratoire GSK)


Une collaboration Cochrane de 2012 souligne le caractère « largement inadéquat» des tests d’évaluation de sûreté, après avoir constaté que le vaccin ROR augmentait le risque de survenue de méningite non infectieuse (aux conséquences parfois létales) par 14, même si certaines études parlent d’un risque multiplié par 25 (études concernant 15 millions d’enfants). (1)


Vaccins combinés : Infanrix Hexa (GSK) + Prevenar (Wyeth-Pfizer). 
Le risque de dommages neurologiques graves liés à l’administration simultanée de ces deux vaccins est multiplié par 3 ! (2)


Infanrix Hexa (Hexavalent GSK)

Le rapport de suivi de 2011 de GSK à l’AEM a dénombré plus de 825 effets secondaires : 503 effets secondaires, dont 56 effets secondaires graves, n’avaient pas été déclarés avant la mise sur le marché du vaccin. (3a) 

Vaccin Hépatite B 

Les données de la Commission nationale de pharmacovigilance faisaient état chez l’enfant de moins de 15 ans, en 2010, de 117 notifications d’affections démyélinisantes centrales (dont 67 cas de sclérose en plaque) et de 24 cas d’atteintes périphériques (Syndrome de Guillain-Barré) après la vaccination hépatite B. Malgré les demandes des associations, ces données chiffrées ne sont pas accessibles sur la période ultérieure (3b).


En outre, tous vaccins confondus « seuls 1 à 10 % des effets secondaires graves seraient rapportés », d’après notamment La Revue du praticien (4, 5).


Il est urgent de mener une évaluation sérieuse de la sécurité des vaccins pédiatriques, notamment concernant les risques de dommages neurologiques graves. Sinon, il est impossible de déterminer une quelconque balance bénéfices/risques.

Décès par vaccins pédiatriques 


Hexyon – Hexavac (Sanofi)


Mis sur le marché en 2000 et retiré en 2005 suite à une augmentation élevée du nombre de décès dans les deux jours suivant la vaccination. (6) Le vaccin Hexyon qui le remplace semble être identique à part un taux d’aluminium plus élevé. Est-il plus sûr ? 


Infanrix Hexa : 


- D’après le rapport de suivi de 2011, on peut dénombrer 73 cas de décès depuis la mise sur le marché du vaccin en 2000. (7, 8)


- Un nombre de décès, pourtant signalés dans le 16e rapport de suivi de GSK à l’Agence Européenne du Médicament, ont disparu de la « comptabilité » du 19e rapport par des jeux d’écriture. En minimisant ainsi le risque de décès suivant la vaccination, le rapport contrevient à un devoir de transparence. Cette nécessaire transparence aurait pu conduire à son retrait du marché, comme ce fut le cas pour l’Hexavac. (9). 


Suite à un nombre élevé de décès rapportés pour le vaccin pentavalent, l’OMS a modifié les critères de notification des effets secondaires en abandonnant la « classification de Brighton », un standard international créé en 2000 pour évaluer la sécurité des vaccins. En pratique, il est depuis devenu presque impossible de notifier des décès post-vaccinaux. (10)


Il est urgent de mener des études sérieuses sur l’administration des vaccins hexavalents et la mort subite du nourrisson. 

 

L’éradication de la rougeole a peu de chances d’être atteinte, même avec 100 % de couverture vaccinale.

- Le vaccin ROR est peu efficace. Seuls 25 % des vaccinés sont encore immunisés après 10 ans. (11). L’immunité vaccinale est largement inférieure à l’immunité naturelle acquise par la maladie et la durée de l’immunité par la vaccination ne cesse de décliner. (12, 13)

- Entre 2 et 10 % des personnes ne « répondent pas à la vaccination», quel que soit le nombre d’injections administrées (raisons génétiques) (14).

- Le virus de la rougeole circule aussi de manière silencieuse, sans présentation de signes cliniques manifestes de la maladie. Cette circulation silencieuse existe chez les vaccinés et les non-vaccinés. (15) Il est inutile de calculer les taux de couverture vaccinale requis pour l’élimination d’une maladie, si la vaccination n’est pas entièrement efficace et que celle-ci circule de manière invisible. Ce fait extrêmement important a été présenté dans la communication de Mr Bernard Guennebaud, mathématicien, au Congrès d’Épidémiologie de la Sfsp-Adelf à Amiens, le 6 octobre dernier. (16).


En diminuant l’immunité générale à long terme, la vaccination a aussi augmenté le risque et la gravité de la rougeole pour les catégories plus fragiles. Les nouveau-nés courent de plus grands risques, car les mères n’ont plus l’immunité solide acquise par la maladie naturelle. La rougeole à l’âge adulte entraîne des complications plus importantes. (17, 18, 19, 20).Dans quelques années, nous risquons de voir la première génération de seniors n’ayant pas eu la rougeole naturelle. Que se passera-t-il pour eux ? Ces faits résultent de la vaccination.


Selon les rédacteurs de la revue Vaccine :

« En réalité, on ne peut savoir si l’élimination de la rougeole peut effectivement être atteinte et maintenue. Il y a des limites de l’approche en termes d’immunité collective, qui ignore la variabilité individuelle dans la réponse immunitaire et la disposition génétique des uns ou des autres à réagir à la vaccination ou à souffrir d’effets indésirables » (21). 


Faible efficacité des vaccins pédiatriques 

- Le vaccin contre les oreillons. Les épidémies dans les campus américains l’ont confirmé, car tous les sujets affectés avaient été vaccinés : l’immunité a disparu et le risque s’est déplacé vers l’âge où la maladie entraîne plus de conséquences lourdes (stérilité). (22)

- Le vaccin contre la coqueluche. Le bacille Bordetella pertussis mute vers des souches plus virulentes. Les épidémies circulent malgré une forte couverture vaccinale.(23, 24)

- Le vaccin contre la polio. Toutes les épidémies de polio actuelles sont dues à des virus vaccinaux qui ont muté et retrouvent leur virulence. (25) En Inde, la campagne polio Pulse a fait 50 000 cas de paralysie flasque aiguë. (26). Tout comme pour la rougeole, une éradication de la polio est peu probable.

- Le vaccin contre les pneumocoques n’est actif au mieux que sur quelques-unes des 100 souches. Après avoir constaté l’augmentation des cas suite aux campagnes avec Prevenar 7, on est passé à un vaccin avec 13 souches. (27a).

- Le vaccin contre l’hépatite B n’est pas pertinent pour les nourrissons. D’une part parce que le virus se transmet principalement par voie sanguine ou sexuelle. D’autre part parce que de nombreuses études constatent non seulement une disparition des anticorps anti hépatite B 5 à 15 ans après l’acte vaccinal, mais aussi parfois une moindre efficacité du vaccin lors des rappels à l'adolescence, période où il serait le plus nécessaire (27b).


Les concepts de couverture vaccinale et d’immunité collective ne sont pas pertinents pour le vaccin contre le tétanos (non contagieux). En outre toutes les maladies contagieuses ont disparu grâce à l’hygiène, l’eau potable, la nutrition et leur cycle d’évolution naturel. Dans certains cas, comme la variole, le succès a été obtenu par une politique efficace de détection et d’isolement des cas et de leurs proches. (Rapport de l’OMS sur la variole) (Voir les ouvrages de Michel Georget détaillant ceci pour toutes les maladies.) (28)


Il est indispensable de réévaluer l’utilité de la vaccination pour ces maladies et de développer des stratégies alternatives visant à renforcer l’immunité naturelle de la population.

 
La jurisprudence récente évolue en faveur des victimes


La Cour Suprême des États-Unis a estimé que les vaccins sont « inévitablement risqués » (« unavoidably unsafe ») (29). Entre 1988 et 2011, le gouvernement américain a ainsi dû payer 3,5 milliards de dollars en compensation de 16 600 cas d’accidents vaccinaux (pour 1 300 d’entre eux, des problèmes cérébraux) et 1 200 morts liées aux vaccins. (30)

La Cour de Justice de l’Union européenne a refusé d’exclure le lien entre sclérose en plaques et vaccination contre l’hépatite B, et rendu un jugement de principe selon lequel un faisceau d’indices « graves, précis et concordants » peut suffire en l’absence de consensus scientifique. (Vaccin hépatite B de Sanofi) (31). 

Ce jugement confirme qu’il n’est plus acceptable d’imposer toute la charge de la preuve aux plaignants s’ils ne peuvent s’appuyer que sur des éléments susceptibles d’être produits par la partie adverse. 


Il est urgent d’évaluer en termes humains et financiers l’ensemble du coût des campagnes de vaccination et montants d’indemnisation pour dommages subis et de le comparer au coût du traitement des maladies. Supprimer l’obligation permettrait de renvoyer la responsabilité juridique et financière auprès des fabricants. 

Conflits d’intérêts au sein des instances pilotant les politiques de santé
 


Les avis du Center for Disease Control américain sont repris par l’Organisation mondiale de la santé et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, et ensuite transmis dans les recommandations nationales. 

Le CDC (Center for Disease Control aux États-Unis, relayé par l’ECDC en Europe) a un chiffre d’affaires annuel de 4 milliards de dollars en vaccins et détient des brevets sur près de 30 vaccins. Une majorité des experts du comité de recommandation du calendrier vaccinal a des liens d’intérêts avec l’industrie (65 % déclarent des liens officiels), ou même des dividendes sur certains vaccins (Paul Offit, co-inventeur d’un vaccin contre le rotavirus fabriqué par Merck et ancien membre du Comité Consultatif sur les Pratiques d'Immunisation du CDC, a fait 30 millions de dollars de bénéfice sur le brevet RotaTeq, par exemple.) (32).

L’Organisation mondiale de la santé est financée et dirigée en ordre d’importance par : les États-Unis, la fondation Bill Gates (lui-même actionnaire de l’industrie pharmaceutique), la Grande-Bretagne et l’Alliance GAVI (un partenariat privé-public avec l’industrie). La contribution des autres États membres représente à peine 20 % (voir l’émission d’Arte L’OMS dans les griffes de lobbyistes). (33) 

Les obligations vaccinales ont été au cœur de la campagne présidentielle américaine. Le président Donald Trump s’est opposé à l’extension des obligations, car il a été témoin de dommages vaccinaux graves chez un de ses enfants. Sa première déclaration politique a été son intention de créer une commission d’enquête sur la sûreté des vaccins. Si Trump y parvient, tout peut basculer d’un instant à l’autre. Le 12 octobre dernier, 5 millions d’Américains ont introduit une demande officielle pour obtenir de vraies études sur la sûreté des vaccins avant d’introduire une action collective contre le responsable de l’Institut Nationale de la Santé. (34)

En Italie, le chef du cabinet de la ministre de la Santé siège au conseil d’administration de la fondation SmithKline Beecham. Le même laboratoire GSK a investi un milliard d’euros dans de nouvelles usines de production de vaccins. 

L’extension des obligations crée un chaos en Italie 


Les recours contre le décret italien imposant l’extension de l’obligation vaccinale et les procès pour dommages vaccinaux se multiplient. Le président honoraire de la Cour suprême de cassation italienne Ferdinando Imposimato, ancien héros de l’opération « mains propres » qualifie la loi de mafieuse et de contraire à la Constitution et appelle à la désobéissance civile. Loin d’instaurer la confiance, la loi divise et radicalise. L’Ordre des Médecins italien traque les praticiens pour les radier. Certains parents de victimes ont agressé des médecins refusant de reconnaître les dommages après un vaccin. Les mères de famille résistent et paralysent le système médical, scolaire et administratif.


La Vénétie a refusé l’application du décret et exigé un moratoire sur l’obligation vaccinale. Le 22 octobre 2017, la Vénétie et la Lombardie ont tenu un référendum où les citoyens se sont massivement prononcés en faveur d’une plus grande autonomie, notamment en matière de santé. (35)


Il est urgent d’analyser les conséquences politiques et juridiques de l’imposition accélérée des obligations dans un contexte similaire à celui de la France et d’en tirer les leçons. 


Risques pour la santé non ou peu évalués pour les vaccins 


- La question des adjuvants aluminiques et du préservant à base de mercure. (36)
- La présence de nanoparticules cytotoxiques contaminant tous les vaccins. (37)
- La présence de rétrovirus contaminant la majorité des vaccins.
- On ne connaît pas leurs effets sur la fertilité ou leurs risques cancérigènes.
- Les vaccins ne sont pas testés contre placebo, ni en administration combinée, ni sur le moyen ou le long terme.


Rappelons que 60 millions de personnes ont été contaminées par le virus de singe SV40 présent dans les vaccins anti-polio, soupçonné d’être associé à de nombreux cancers et au lymphome de Hodgkin. (38) 


Le vaccin Hexavac a dû être retiré du marché, Hexyon est-il plus sûr ? 
Le vaccin Infanrix est toujours en circulation alors que des décès pourraient être évités. 


Il n’y a pas d’urgence à vacciner, ni à passer cette loi. 


De plus en plus de vaccins bénéficient d’une procédure accélérée de mise sur le marché. Celle-ci signifie que moins de tests sont réalisés que pour la procédure normale d’approbation des médicaments. Face au risque accru que cela implique, on ne devrait rendre ces vaccins obligatoires que dans des circonstances exceptionnelles. 

Imposer un acte médical ou un médicament dont on ne peut prouver la sécurité revient à de l’expérimentation médicale forcée. Prendre ce risque à l’échelle collective est un acte d’inconscience.


Il est nécessaire de demander un moratoire sur la vaccination et d’évaluer l’utilité, l’efficacité et les risques associés à chaque vaccin. Tout comme il faut réévaluer la «balance bénéfices-risques » en termes de coût humain et financier.


Pour légitimer une limitation des libertés individuelles au nom de la santé publique, une loi doit répondre aux principes de nécessité et de proportionnalité. Au vu de ce qui précède, ces deux conditions ne sont pas réunies.

Références :

 
1. "Vaccines for measles, mumps and rubella in children", 15 février 2012, Cochrane Database Systematic
Review,  http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/14651858.CD004407.pub3/full
2. Infanrix + Prevenar                                                                             
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-20-dec.-2012.pdf
3a. Infanrix Hexa 

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf  
3b. http://pediablogdlh.blogspot.fr/p/le-vaccin-la-myeline-et-lenfant.html
4. 1 à 10% effets secondaires : Revue du Praticien « La pharmacovigilance des vaccins », 27/10/2011, p715. 


5. Hazell L, Shakir S « Under-reporting of adverse drug reactions. A systematic review. Drug saf. 2006, 29 : 385-96

6. Hexavac von Kries R et al. « Sudden and unexpected deaths after the administration of hexavalent vaccines (diphtheria, tetanus, pertussis, poliomyelitis, hepatitis B, Haemophilus influenzae type b): is there a signal? Eur J Pediatr. 2005 Feb »; 164(2):61-9. Epub 2004 Dec16.

7.http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf et http://initiativecitoyenne.be/article-infanrix-hexa-le-document-confidentiel-accablant-113251207.html
8. Zinka, B.; Rauch, E.; Buettner, A.; Ruëff, F.; Penning, R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2006, 24, 5779–5780.
9. J. Puliyel et al. « Infanrix and Sudden Death : a Review of the Periodic Safety Update Reports Submitted to the European Medical Agency », Indian Journal of Medical Ethics, 7 sep. 2017. 

10. J. Puliyel, A. Phadke, « Deaths following Pentavalent Vaccine and the Revised AEFI Classification », Indian Journal of Medical Ethics, Vol. 2, n04, 2017. 
11. Le Baron “Persistance of measles antibodies after 2 doses of measles vaccine in a postelimination environment”, PMID, 17339511

12. D.I. Levy, “The future of Measles in Highly Immunized Populations : A Modelling Approach”, American Journal of Epidemiology, vol. 120, n°1, July 1984, pp. 39-48.

13. Davidkin, Diminution de l’immunité, 1998, Pubmed9815205
Coqueluche 
14.“Personalized vaccines: the emerging field of vaccinomics” (Expert Opin Biol Ther. 2008 Nov ; 8 (11) : 1659–1667.), Gregory A Poland, Inna G Ovsyannikova, Robert M Jacobson
15. Diane Ninkam Nghemning “Souches africaines du virus de la rougeole : étude de l’interaction virus-cellule et analyses phylogénétiques” thèse doctorale en faculté de biologie à l’Université J. Fourier, Grenoble 1, 9 juillet 2002

16. Bernard Guennebaud “Sur des fautes méthodologiques et leurs conséquences, l’évaluation d’actions de santé publique” sur questionvaccins.canalblog.com
17.Perte de l’immunité chez le nourrisson, Lennon 1986, PMID 3701511
18. Comparaison avec l’immunité naturelle, Itoh 2002, Pubmed, 11980952. 
19. Aggravation chez la femme enceinte et le bébé, Aaby 2003, 12505179
20. Rapport sur les épidémies de rougeole en France, BEH n°33-34 du 20 septembre 2011, p. 356.W. Moss, P. Strebel

21. G.A Poland and R. Jacobson « The Re-emergence of measles in developed countries : time to develop the next Generation Measles Vaccines » (Vaccine, 30, 2012, p. 103-104)

22. www.cdc.gov/mumps/outbreak.html
23. C ; Gill, « The relationship between mucosal immunity, nasopharyngeal carriage, asymptomatic transmission and the resurgence of Bordetella pertussis », F1000Research 2017, 6, 1568

24. C. Weber et al « Polymorphism of Boredetella pertussis Isolates Circulating for the last 10 years in France, where a Single Effective Whole Cell Vaccine Has Been Used for More than 30 Years », J. Clin. Microbiol. 2001, 39 (12) : 4296-4403

25. F. Delpeyroux et al. «Éradication de la poliomyélite et émergence de poliovirus pathogènes dérivés du vaccin. De Madagascar au Cameroun ».

26. J. Puliyel, N. Vashisht,V. Sreenivas « Trends in Non-Polio Acute Flaccid Paralysis Incidence in India 2000-2013 », Pediatrics, 2015 Feb. 135, sup. 1 :S16-7 et Excellence in Pediatrics, Dubai, 6 December, 2014

27a. Impact de la vaccination par le vaccin pneumococcique conjugué 13-valent sur l’incidence des infections invasives à pneumocoques, Epibac et CNR des pneumocoques (réseau CNR-ORP).

27b.http://pediablogdlh.blogspot.fr/2016/03/vaccin-hepatite-b-quelle-protection.html)
28. Michel Georget, La vaccination, vérités indésirables, Dangles. 

29. “Unavoidably safe” Bruesewitz v.Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L. Ed. 2d 1 (2011)
30. Institute of Medicine of the National Academies. Adverse Effects of Vaccines, 2011. www.hrsa.gov/vaccinecompensation/resources/adverseeffects.pdf
31. Hepatite B. Communiqué de presse 66/17 du 21 juin 2017. Affaire C-621/15 N.W vs Sanofi Pasteur

32. Robert Kennedy Jr., https://worldmercuryproject.org/mercury-facts/merc... 

33.  “L’OMS dans les griffes des lobbyistes”, Enquête de 2016 menée par Jutta Pinzler et Tatjana Mischke pour la chaîne allemande NDR. Reportage diffusé sur Arte
34. Informed Consent Action Network 
www.icandecide.com
35www.comilva.org et http://tg24.sky.it/politica/2017/09/27/referendum-autonomia-lombardia-veneto.html
36. Travaux du prof. Romain Gherardi et « Toxic Story », Actes Sud, 2016.
37. Serge Rader, Antonietta Gatti et Stefano Montanari “Vaccins, oui ou non ?”, éd. Talma, 2017

38. CIF Vaccinologie 2011 « Fabrication et contrôle des vaccins » cours dispensé à l’Institut Pasteur par Jean-François Saluzzo, directeur de production des vaccins viraux et chef de recherche pour les vaccins anti-SIDA, conseiller à l’OMS. Voir aussi S. Kops « Debate on the Link between SV40 and Human Cancer Continues », Journal of National Cancer Institute, vol. 94, n°3, Feb. 6, 2002, p. 229-230.

Source: Alternative Santé

Voir aussi

Onze vaccins obligatoires: débat sensible en vue à l'Assemblée

Vaccins obligatoires: les sanctions seront plus lourdes

Michel Georget, agrégé de biologie sur la manière dont la "sécurité" des vaccins est "testée"...

Serge Rader, pharmacien sur les dangers des vaccinations

Dr Bernadine Healy, ex directrice du National Institute of Health, estimant que le lien vaccins et autisme n'a pas pu être valablement exclu compte tenu de la méthodologie inadaptée des études

Partager cet article
Repost0
12 mai 2017 5 12 /05 /mai /2017 17:41

VACCINES vs NON VACCINES

Quel groupe est le plus malade ?

Vaccinés vs non vaccinés: quel groupe est le plus malade?

Une nouvelle enquête révolutionnaire sur des centaines d'enfants américains scolarisés à domicile a permis de constater que, comparativement aux enfants non vaccinés, les enfants vaccinés avaient des chances plus élevées de développer les conditions suivantes: maladies chroniques, eczéma, troubles neuro-développementaux, autisme, troubles du déficit de l’attention/hyperactivité, troubles de l’apprentissage, rhinites allergiques.

 

Celeste McGovern, Children’s Medical Safety Research Institute -  Vaccine Impact, 10 mai 2017 (Extraits).

 

Cela n’a jamais été fait auparavant. Une toute première étude en son genre qui traite d’enfants Américains (scolarisés à domicile) vaccinés par rapport à des enfants non vaccinés  montre quel groupe est vraiment malade… les parents devraient  réellement s’inquiéter.

 

Quelque chose ne tourne pas rond chez les enfants Américains. Ils sont malades – allergiques, asthmatiques, anxieux, souffrent de problèmes auto-immuns, d’autisme, d’hyperactivité, distraits, souffrent de troubles de l’apprentissage.

 

 

Trente-deux millions d’enfants Américains, soit 43% d’entre eux, souffrent d’au moins une  des 20 maladies chroniques, en dehors des problèmes d’obésité. Des troubles pédiatriques jadis rares comme l’autisme, troubles du déficit de l’attention, diabète de type 1, le syndrome de Tourette. Tous ces troubles sont en augmentation, alors que peu d’études regroupent ces données. Par rapport à leurs parents, les enfants d’aujourd’hui sont quatre fois plus susceptibles d’avoir une maladie chronique.

 

Et alors que leurs grands-parents n’auraient, quand ils étaient enfants, jamais avalé une pilule, la génération actuelle d’enfants représente un rêve pour les représentants des ventes pharmaceutiques : plus d’un million d’enfants Américains âgés de moins de cinq ans, prennent un médicament psychiatrique. Plus de 8,3 millions d’enfants de moins de 17 ans ont consommé des médicaments psychiatriques et certains mois, un enfant sur quatre reçoit une prescription pour au moins un médicament pour un problème ou l’autre.

 

La restauration rapide, l’excès de télévision, les mauvais gènes, les jeux vidéo, les pesticides, les plastiques – autant de facteurs environnementaux qui ont été impliqués dans la flambée des maladies, bien qu’aucun de ces facteurs n’explique adéquatement l’ampleur de l’épidémie. Il y a cependant un seul facteur qui a bizarrement échappé à la recherche en dépit du fait que l’on ait directement injecté ces produits, qui n’ont cessé de s’accumuler, dans le corps des enfants, contrairement à ce qui s’est passé dans les générations précédentes : 50 doses de 14 vaccins à six ans, et 69 doses de 16 vaccins jusqu’à 18 ans. Il s’agit de vaccins qui contiennent des ingrédients susceptibles d’altérer puissamment le système immunitaire.

 

On nous assure que les vaccins sont « sûrs et efficaces », même si des responsables de la santé publique sont obligés de reconnaître qu’ils ont parfois des effets secondaires graves, pouvant aller jusqu’à des décès, et malgré le fait troublant qu’aucune étude long terme de leurs effets sur la santé globale n’ait jamais eu lieu.

 

Il est remarquable que, jusqu’à aujourd’hui, aucune étude publiée n’a jamais comparé les enfants vaccinés aux enfants non vaccinés pour vérifier quel groupe d’enfants sont en meilleure santé.

 

Une étude pilote portant sur 666 enfants  de 6 à 12 ans scolarisés à domicile et provenant de quatre états Américains a été publiée le 27 avril dans « The Journal of Translational Sciences ». Elle a comparé 261 enfants non vaccinés à 405 enfants partiellement ou complètement vaccinés. Sur base  des maladies diagnostiquées par des médecins et sur les rapports des mères, l’étude a évalué l’état général de santé des enfants. Les résultats de cette étude qui concernent l’augmentation des maladies à médiation immunitaire, comme les allergies, les maladies neurologiques, y compris l’autisme, devraient faire en sorte que tous les parents réfléchissent à deux fois avant de décider de revacciner leurs enfants:

 

  • Les enfants vaccinés étaient 3 fois plus susceptibles de recevoir le diagnostic d’autisme (OR 4.3)
  • Les enfants vaccinés étaient 30 fois plus susceptibles de recevoir un diagnostic de rhinite allergique (rhume des foins) que les enfants non vaccinés.
  • Les enfants vaccinés étaient 22 fois plus susceptibles d’avoir besoin d’un médicament anti allergique que les enfants non vaccinés.
  • Les enfants vaccinés avaient quatre fois plus de risques de recevoir un diagnostic de troubles de l’apprentissage que les enfants non vaccinés (OR 5.2)
  • Les enfants vaccinés présentaient un risque 300% plus élevé de recevoir le diagnostic de « Troubles déficitaires de l’attention avec hyperactivité » que les enfants non vaccinés. (OR 4.3)
  • Les enfants vaccinés avaient un risque 340 fois plus élevé (OR 4.4) de recevoir un diagnostic de pneumonie que les enfants non vaccinés.
  • Les enfants vaccinés présentaient un risque de 300% plus élevé de recevoir un diagnostic d’infection de l’oreille que les enfants non vaccinés. (OR 4.0)
  • Les enfants vaccinés présentaient un risque de 700 % plus élevé de devoir subir une intervention chirurgicale pour insérer dans l’oreille des tubes de drainage que les enfants non vaccinés (OR 8.01)
  • Les enfants vaccinés étaient de 2 à 5 fois plus susceptibles de recevoir le diagnostic de maladie chronique que les enfants non vaccinés.

 

 

 

Source : Vaccineimpact

Partager cet article
Repost0
14 avril 2017 5 14 /04 /avril /2017 19:10
Témoignage d'une maman antivaccin (qui a décidé de ne pas se laisser faire!)
Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA