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18 avril 2019 4 18 /04 /avril /2019 22:30

Docteur Richard Moskowitz, médecin depuis plus de 50 ans: L’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne repose nullement sur la science ; il s’agit de « scientisme », d’une foi quasi religieuse dans les vaccins

Brian Shilhavy, Health Impact News,  12 mars 2019

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle

Le Dr Richard Moskowitz, médecin de famille depuis plus d'un demi siècle

Dr Richard Moskowitz

Le Dr Richard Moskowitz est médecin depuis 1967. Il a fait ses études à Harvard en sciences biochimiques et a reçu son diplôme de médecin à l’Université de New-York en 1963. Après avoir fait un graduat en philosophie à l’Université du Colorado, il a effectué un stage à l’hôpital St. Anthony de Denver.

En 2015, lorsque la première hystérie au sujet de la rougeole a éclaté dans les médias, le Dr Moskowitz a eu la gentillesse de nous autoriser à publier son article : The Case against immunizations qui reste l’un de ses écrits les plus brillants sur le sujet que nous ayions jamais publié. Pour réaliser ce travail, le Dr Moskowitz s’est, bien entendu, appuyé sur ses connaissances du sujet comme sur des décennies de pratique de la médecine clinique.

Le Dr Moskowitz vient de rédiger un autre article sur le thème des « Epidémies de rougeole » en 2019, ainsi que sur le récent appel à une vaccination obligatoire.

Il y expose le sophisme selon lequel « la science est bien établie » en matière de rougeole et de vaccins.

« Contrairement à ce que l’on nous a dit, la science est bien loin d’être établie sur l’efficacité des vaccins.

Ces suppositions ne relèvent pas de la science, mais essentiellement du scientisme, d’une foi quasi religieuse caractérisée par son dogmatisme et  par l’étouffement de la pensée critique, du doute, du questionnement par rapport aux vérités prétendument établies.  La véritable science a bien d’autres exigences ! Tout ceci fait comprendre pourquoi les médias s’abstiennent de signaler les dommages et les décès dus aux vaccins. »

Ces épidémies de rougeole : des pensées hors saison

Par le Dr Richard Moskowitz, M.D.

Alliance pour la protection de la Recherche

Extraits :

Avant que l’hystérie actuelle au sujet de la rougeole ne dégénère encore plus, un brin de bon sens pourrait nous aider à réfléchir plus attentivement avant de nous dépêcher de prendre des mesures qui ne fonctionneront pas et feront vraiment des dégâts.

Refuser un traitement médical non souhaité est un droit fondamental que toutes les nations civilisées ont juré de respecter, à la seule exception possible d’une menace grave et imminente pour la santé publique. Les quelques épidémies de rougeole localisées qui ne dépassent souvent pas quelques dizaines ou centaines de cas ne correspondent pas en fait à ce critère.

Toutes ces épidémies sont typiques de celles qui se sont produites depuis l’introduction du vaccin. D’autres épidémies semblables continueront sans doute de se produire, même si la campagne bien financée de l’industrie du médicament parvenait à vacciner tout le monde.

Pourtant, le Département de la santé de l’Etat de Washington a déclaré une urgence de santé publique sur cette base. Plusieurs autres Etats envisagent de faire la même chose, et les médias se sont associés avec enthousiasme à cette politique comme les éditoriaux du New-York Times, du Boston Globe et autres grands magazines. Les stations radio comme les émissions débats sur NPR, toutes bien intentionnées, mais propageant sans cesse des peurs alarmistes et des exagérations, comme s’il s’agissait de vérités bien établies. Ces médias citent souvent des cas d’épidémies modestes comme justification suffisante pour éliminer les exemptions aux vaccinations pour croyance personnelle, et qui ont encore cours dans divers Etats.

Une violation flagrante du Premier amendement et l’exemple le plus récent et le plus inquiétant est la pression exercée par le Congrès sur Facebook et autres médias sociaux pour censurer les publications qui osent susciter des questions ou des doutes sur les vaccins, ainsi que sur l’obligation vaccinale.

D’un autre côté des politiciens et des journalistes n’ont rien fait de plus que de croire les informations que des médecins et des autorités de santé publique leur communiquent.

Malheureusement, ce qui leur est communiqué ne relève pas seulement d’une mauvaise éthique, mais aussi d’une mauvaise science, basée sur des hypothèses totalement contredites par la recherche actuelle, tout en violant les droits de l’homme les plus fondamentaux, ainsi que les valeurs morales qui nous sont chères.

Souvent supposées aller de soi sans même avoir besoin d’être énoncées, encore moins prouvées, leurs hypothèses fondamentales sont en réalité deux postulats qui s’appuient l’un sur l’autre pour les soutenir, à savoir 1) que ces petites épidémies de rougeole et autres maladies infectieuses contre lesquelles nous vaccinons sont en fait initiées et propagées par des individus non vaccinés, et 2) que les vaccins sont, non seulement miraculeusement sûrs, mais également uniformément efficaces pour immuniser les personnes; de sorte que seules les personnes non vaccinées restent susceptibles et donc capables de transmettre ces maladies à d’autres.

Mais il n’est pas possible d’avoir les deux à la fois. Car si ces postulats étaient tout à fait vrais, si l’immunité conférée par le vaccin antirougeoleux était vraiment comparable à l’immunité absolue et permanente résultant de la maladie et de son rétablissement, les non-vaccinés ne constitueraient une menace pour personne d’autre qu’eux-mêmes, sur la base d’un libre choix de leur part ; de sorte que ceux qui prennent le vaccin n’auraient absolument rien à craindre.

Inversement, si les personnes vaccinées risquent effectivement de contracter la maladie à partir de personnes non vaccinées, c’est que le vaccin est manifestement inefficace au point que tout ce qu’il offre ne peut constituer une immunité réelle ou authentiquement efficace.

Quoi qu’il en soit, il existe de nombreuses preuves scientifiques solides selon lesquelles ces deux hypothèses sont tout simplement fausses.

La grande majorité des cas de rougeole, d'oreillons et d'autres maladies que l’on prétend pouvoir être prévenues par un vaccin, au cours d’épidémies passées ou récentes, ont été, dans 75 à 95% des cas, observées chez des personnes vaccinées. Une étude récente sur la rougeole en Chine, où plus de 99% de la population fut vaccinée en fonction d’une loi rendant cette vaccination obligatoire a néanmoins permis d’observer plus de 700 épidémies localisées, et ce, en une seule année, pour un total de près de 26 000 cas.

Il en va à peu près de même pour les éclosions récentes d'oreillons aux États-Unis, où 95 à 100% des cas ont été trouvés chez des vaccinés.

Ainsi, même si toutes les exemptions non médicales étaient éliminées et que pratiquement tout le monde était vacciné, comme le nécessiteraient les nouvelles lois proposées, des épidémies similaires continueraient sans doute de se produire.

En d’autres termes, la prétendue immunité conférée par les vaccins est une astuce, une contrefaçon de la réalité et «l’immunité collective», objectif justifiant les obligations, généralement lié à un taux de vaccination de 95% ou plus dans le cas de la rougeole, constitue une chimère, des vœux pieux que la vaccination ne peut tout simplement pas atteindre, contrairement à la maladie naturelle. Les experts de la santé publique savent depuis longtemps que les épidémies de grande ampleur ne se produisent plus lorsqu'au moins 80% de la population a été atteinte par la maladie et en a guéri. C’est cela, et seulement cela, qu’est l’immunité de groupe. S’attendre à ce que le vaccin atteigne un niveau encore plus élevé, sans épidémie, est un pur fantasme et contraire de la science pure et dure.

En outre, des scientifiques ont également démontré que les personnes vaccinées à partir de virus vivants, tels que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle, le rotavirus, la poliomyélite orale et certaines versions de la grippe, les «répandaient» régulièrement dans leur entourage et étaient donc contagieuses  pendant plusieurs semaines.

En ce qui concerne la réapparition de la coqueluche ces dernières années, par exemple, de nombreuses études ont montré que les épidémies de plus en plus importantes et fréquentes de la maladie étaient également transmises par des individus vaccinés, même si la bactérie n’était plus vivante, en partie par sélection naturelle de souches résistantes aux vaccins, comme cela a été documenté dans le cas d’autres vaccins non vivants (HiB, pneumocoques et, éventuellement, poliomyélite injectable).

"En bref, la volonté de vacciner autant de personnes que possible et l'intimidation et la colère contre les parents qui choisissent de ne pas vacciner qui vont de pair, sont non seulement cruels et peu réalistes, mais contribuent également à créer et à propager les maladies que les vaccins ont été conçus pour éradiquer."

Plutôt que de simplement accepter le fait que les vaccins ont, au mieux, une efficacité partielle et limitée, nous permettons au CDC et à l’industrie du médicament de jouer sur nos craintes au point de transformer ces épidémies localisées de rougeole en un semblant redoutable de menace imminente, une urgence de santé publique, constituant une menace sérieuse pour la société, justifiant la vaccination forcée de tous, même contre la volonté des intéressés si nécessaire, et annulant ainsi tous les codes et traités auxquels nous avions souscrit: le Code des droits de l'homme de Nuremberg et la Déclaration d'Helsinki régissant la recherche biomédicale, qui insistent tous deux sur le droit de chaque patient et de chaque sujet de donner son consentement éclairé à toutes les procédures médicales et chirurgicales, en interdisent explicitement leur administration par la force.

La science n'est pas définitivement établie une fois pour toutes

Contrairement à ce qu’on nous dit, la science est loin d’avoir dit son dernier mot sur l’efficacité des vaccins. Cela serait déjà suffisant pour effacer le mythe selon lequel la vaccination obligatoire serait nécessaire.

Mais ce n’est pas la seule raison, ni même la plus importante.

La sécurité des vaccins est encore très loin d’être établie, pour le dire gentiment et pour de très bonnes raisons.

En premier lieu, de nombreuses études ont montré que les enfants qui contractent des infections fébriles aiguës telles que la rougeole, les oreillons, la rubéole, la varicelle et la grippe et guérissent dans la suite sont beaucoup moins susceptibles de développer des maladies auto-immunes chroniques et un cancer au cours de leur vie que les enfants simplement vaccinés contre ces maladies.

D’autres études encore relient les risques de décès, d’hospitalisation et d’autres réactions indésirables graves, non pas à un vaccin ou à des vaccins en particulier, mais plutôt au nombre total de vaccins administrés, à la fois simultanément ou au cours de la vie du patient.

En d'autres termes, ces terribles résultats ne peuvent pas simplement être considérés comme des bizarreries individuelles, qui ne seraient spécifiques qu'à certains individus hypersensibles, mais semblent plutôt être liés à la nature même du processus de vaccination.

Ces résultats sont déjà plus que suffisants pour remettre en question, voire discréditer, le respect presque universel accordé au concept de vaccination, sans parler du chèque en blanc qui permet et même incite l’industrie pharmaceutique à développer, commercialiser et finalement imposer de plus en plus de vaccins, partant du principe que les vaccins sont sans danger et efficaces dans tous les domaines, qu’ils économisent d’énormes sommes d’argent grâce à la non-prise en charge des patients atteints de ces maladies, et qu’il est donc correct, voire souhaitable, d’empiler autant de doses de nombreux vaccins différents qu’il est possible de commercialiser, souvent sans autre raison que celle de disposer de la capacité technique pour les fabriquer.

C’est la même hypothèse qui permet à l’industrie pharmaceutique d’organiser ses propres études d’innocuité sans véritable contrôle placebo des individus non vaccinés. Cette façon de procéder limite les effets indésirables à ceux qui sont examinés quelques heures ou quelques jours après la vaccination, excluant ainsi automatiquement les maladies chroniques qui pourraient survenir dans la suite; cela donne à l'enquêteur principal le pouvoir illimité de déterminer si une réaction indésirable rapportée est liée ou non à un vaccin, selon des critères jamais spécifiés; et cela permet au CDC d'insister sur le fait que les vaccins sont uniformément sûrs et efficaces sans mener leurs propres études indépendantes, même si le Congrès a légiféré et la Cour suprême a confirmé que les vaccins sont «inévitablement dangereux», afin de protéger les fabricants de toute responsabilité par rapport aux décès et aux dommages qu'ils provoquent, une « faveur » gratuite jamais accordée à aucune autre industrie.

En bref, ces hypothèses ne relèvent pas de la science, mais simplement du scientisme, une religion qui prétend parler au nom de la science et qui se caractérise par un dogmatisme, qui étouffe l'esprit critique, le questionnement et le doute par rapport à des vérités prétendument établies. La véritable science est en droit d’exiger beaucoup plus. Tout ceci explique pourquoi les médias s'abstiennent de signaler les décès ou les dommages dus aux vaccins sans avoir à s’interroger, et pourquoi la plupart des médecins offrent à leurs enfants les mêmes vaccins que ceux qu'ils administrent à leurs patients.

Ce qui m'amène à mon dernier point, à savoir que si la vaccination et les vaccins étaient effectivement sûrs et efficaces dans leur ensemble, alors les milliers de parents qui croient sincèrement que leurs enfants sont décédés après avoir été vaccinés ou ont eu la santé endommagée par les vaccins et doivent vivre chaque jour de leur vie avec cette terrible réalité, sont soit de fieffés menteurs, ignorants ou stupides, et méritent donc peut-être même que leurs histoires soient ignorées et rejetées d'emblée par la communauté médicale, les médias et le grand public !

Pourtant, leurs souffrances, quelle qu'en soit la cause, appellent à tout le moins à de la prudence, de la retenue et à une simple compassion pour le point de vue de ceux dont l'expérience vécue est si tragiquement différente de celle de tous ceux qui ont le privilège d'ignorer ou de se montrer insensibles à  tous ces drames.

En tant que médecin de famille qui a soigné bon nombre de ces enfants au fil des ans, je peux affirmer avec une certitude absolue que la grande majorité de ces parents ne sont en aucun cas des «anti-vaccins» ignorants, crédules ou hostiles à la science.

Bien au contraire, ils sont souvent bien éduqués, bien informés et ont généralement consacré leur vie à percer le mystère de ce qui est vraiment arrivé à leurs enfants et ne demandent plus qu’une seule chose, c’est que les vaccins soient rendus aussi sûrs que possible, sur la base d'une enquête minutieuse menée par des scientifiques indépendants de l'industrie du médicament.

Après plus de cinquante ans passés « dans les tranchées », je puis également attester que le sens instinctif et pratique de parents attentionnés est souvent un guide beaucoup plus précis et plus fiable sur les causes des tragédies qu’ils ont subies que des déclarations savantes qui les prémuniraient contre le besoin de prendre réellement en compte les détails de leur expérience vécue.

Enfin, le respect généralisé et presque universel accordé à la vaccination, fondé sur le catéchisme selon lequel les vaccins sont non seulement sûrs et efficaces, mais également parmi les réalisations suprêmes de la médecine moderne, m’a poussé à écrire. J’étais animé d’un réel pressentiment, comme du sens de l’urgence, à un moment critique de notre histoire, alors que les droits des patients de refuser un traitement médical non souhaité ont depuis toujours été considérés comme sacrés. Il en va de même pour le droit des parents de pouvoir prendre des décisions au nom de leurs enfants. Ces droits sont aujourd’hui, comme jamais, remis en question !

Je me sentirais bien récompensé si mes paroles, mon raisonnement, la tristesse, la peur et l’indignation que je ressens depuis longtemps à ce sujet pouvaient favoriser un débat sain et permettraient de faire davantage avancer le travail scientifique rigoureux qui reste à faire.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi:

Vaccin rougeole: ce qu'en pensent les médecins suisses

Bénéfices-risques du vaccin ROR: c'est à VOUS de décider!

Pas de vaccination ROR sans consentement parental a ordonné la Haute Cour de Delhi

Les vaccins ont détruit leurs enfants: témoignages vidéos de parents

Effets du vaccin ROR: des parents en détresse jettent une bouteille à la mer

L'autisme et la mort subite repris dans la notice du vaccin Tripedia (diphtérie, tétanos, coqueluche)

Audition du Dr Moss s'indignant du ramdam sur la rougeole et de l'omerta sur les 127 décès après ce vaccin...

Aveux et conscience que l'autisme peut être lié aux vaccins (c'est d'ailleurs en toutes lettres dans la notice du vaccin Tripedia contre diphtérie, tétanos, coqueluche)

Les plans mondiaux de vaccination sont pilotés par l'OMS d'où la panique bien concertée et organisée en même temps dans tous les pays, par exemple sur la rougeole

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19 mars 2019 2 19 /03 /mars /2019 10:22

Nous venons d'apprendre avec une grande tristesse le décès de notre ami Michel Georget, un grand homme, scientifique rigoureux et exigeant, dont les ouvrages "Vaccinations: les vérités indésirables" et "L'apport des vaccinations à la santé publique: la réalité derrière le mythe" ont donné des clefs de compréhension à des milliers de lecteurs, y compris bien sûr à certains médecins, bien conscients de la pauvreté de leur "formation" sur les vaccins, des produits en mesure de faire basculer à jamais certaines personnes dans la maladie et ce, au prix d'une efficacité discutable, en tout cas loin d'être aussi flamboyante que ce que l'establishment tente désespérément de nous faire croire.

 

Entre croire ou savoir, Michel avait incontestablement fait le choix de la seconde option, considérant que la vaccination est un thème beaucoup trop important pour ne pas faire l'effort de s'y pencher sérieusement. Merci Michel pour tous les milliers d'heures inlassablement passées à enquêter sur cet immense scandale médico-scientifique, dont Isabelle Adjani a eu la lucidité de dire" C'est un crime contre l'immunité qui, probablement, dans les 20, 30, 40, 50 prochaines années sera/serait appelé un crime contre l'humanité."

 

 

"Les vaccinations en question": synthèse du colloque au Parlement Européen en 2002, sous la direction de Paul Lannoye, Ed. Frison-Roche (Michel Georget avait participé).

 

Notice rédigée par la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations:

 

Né en 1934, Michel Georget a fait ses études universitaires à la Faculté des Sciences de Poitiers. Agrégé en Sciences naturelles, il a enseigné la biologie dans les classes préparatoires aux grandes écoles, au lycée Descartes de Tours. Il a présidé la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations en 1992-1993. Retraité en 1994, il a consacré les années suivantes à écrire deux ouvrages précieux et accessibles au grand public :

 

«Vaccinations, les vérités indésirables » (trois éditions depuis 2007, dont la dernière début 2018), préfacé par le Professeur CORNILLOT (décédé début 2018). «L’apport des vaccinations à la santé publique, la réalité derrière le mythe » (2014).

 

Jusqu’à l’an passé, il a donné des conférences et a participé à des entretiens pour contester la généralisation des vaccins. Il a également soutenu jusqu’au bout EFVV, l’AIMSIB et de nombreuses actions pour la liberté en matière vaccinale.

 

Une grande perte…

 

Ci-dessous, voici quelques vidéos de Michel Georget, des vidéos de salut public:

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17 octobre 2018 3 17 /10 /octobre /2018 22:09

Analyse des résultats publiés du Gardasil sur la fréquence du cancer du col de l’utérus. Lettre aux parlementaires

12 octobre 2018

Rapport pour Messieurs et Mesdames de la Représentation nationale.

G Delépine.  Chirurgien cancérologue, diplômé de statistiques médicales.

Déclaration d’intérêts : l’auteur précise qu’il n’a aucun lien d’intérêt, ni avec un laboratoire pharmaceutique, ni avec une quelconque association anti vaccinale.

L’obligation vaccinale française a déclenché une véritable guerre de religion entre ceux qui croient en l‘effet toujours bienfaisant des vaccinations, et ceux qui ne comptabilisent que leurs complications. Afin de dépassionner le débat, je ne présenterai ici que des résultats avérés, officiels et indiscutables extraits des registres officiels et m’abstiendrai dans ce texte de commentaires et hypothèses qui pourraient pourtant permettre de mieux les expliquer.

Après 12 ans de commercialisation du Gardasil et plus de 200 millions de doses vendues, l’examen des registres officiels du cancer permet de tirer un premier bilan objectif d’efficacité anticancéreuse qui se révèle angoissant.

En effet on observe, dans tous les pays qui ont mis en œuvre un programme de vaccination, une augmentation importante et significative de la fréquence des cancers invasifs touchant préférentiellement les groupes les plus vaccinés.

Cette fréquence est exprimée en incidence brute (nombre de nouveaux cas annuel pour 100 000 femmes) et en incidence standardisée (incidence brute ramenée à une population mondiale « standard » corrigeant ainsi les variations dues aux différences démographiques d’une période à l’autre ou d’un pays à l’autre) permettant de comparer l’évolution entre les pays.

En Australie, premier pays à organiser la vaccination pour les filles (dès 2007) puis pour les garçons (2013), d’après l’Australian Institute of Health and Welfare[1], l’incidence standardisée dans la population globale n’a plus diminué depuis la vaccination. Cette stabilisation globale résulte de deux tendances contradictoires qui n’apparaissent qu’à l’examen des évolutions selon les groupes d’âge. Les femmes des groupes d’âge vaccinés ont vu leur risque augmenter fortement :100% d’augmentation d’incidence pour celles de 15 à 19 ans (de 0.1 en 2007 à 0.2 en 2014), 113% d’augmentation (de 0.7 à 1.5) pour celles de 20 à 24 ans vaccinées alors qu’elles avaient entre 13 et 17 ans, et 33% (de 5.9 à 8 pour le groupe 25-29 et de 9.9 à 13.2 pour celles de 30-34) pour celles de 25 à 34 ans moins vaccinées, car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage ». Durant la même période, les femmes plus âgées (et donc non vaccinées) ont vu leur risque diminuer : -17% pour les femmes de 55 à 59 ans (de 9.7 à 8.1), -13% pour celles de 60 à 64ans (de 10.3 à 8.9), -23% pour celles de75 à 79 ans (de11.5 à 8.8) et même -31% pour celles de 80 à 84 ans (de 14.5 à 10).

La Grande Bretagne a organisé la vaccination pour les filles de 12 à 13 ans avec un rattrapage pour les 14-18 ans dès 2008. Les promoteurs de la vaccination s’attendaient à ce que les taux de cancer du col chez les femmes âgées de 20 à 24 ans diminuent à partir de 2014, à mesure que les cohortes vaccinées entraient dans leur deuxième décennie. Cependant en 2016, les statistiques nationales ont montré une augmentation brutale et importante du taux de cancer du col utérin dans ce groupe d’âge d’autant plus inquiétante que l’incidence standardisée dans la population globale a tendance à réaugmenter depuis la vaccination passant de 9.4 en 2007 à 9.6 en 2015. Dans ce pays l’analyse par groupe d’âge révèle des évolutions très contrastées[2]Les anglaises de 20 à 24 ans qui constituaient la cible préférentielle de la campagne de vaccination ont vu leur incidence de cancer doubler de 2007 à 2015 (de 11 à 22) après une augmentation de 70% entre 2012 et 2014[3], alors les femmes de 25 à 34 ans (moins vaccinées car seulement exposées aux vaccinations « de rattrapage ») ont vu leur risque augmenter de 18% (de 17 en 2007 à 20 en 2014). Les femmes plus âgées, non vaccinées ont vu leur risque diminuer (-13% pour les femmes âgées de 65 à 79 ans et -10% pour celles de plus de 80 ans).

MEME PHENOMENE PARADOXAL EN SUEDE

En Suède, le Gardasil est utilisé depuis 2006 et le programme de vaccination a été généralisé en 2010 avec une couverture vaccinale des adolescentes âgées de 12 ans de près de 80%. En 2012–2013, avec un programme de rattrapage, la quasi-totalité des jeunes filles de 13 à 18 ans étaient vaccinées.

Dans ce pays, l’incidence standardisée du cancer du col de l’utérus a augmenté progressivement depuis la vaccination passant de 9.6 en 2006, à 9.7 en 2009, 10.3 en 2012 et 11,49 en 2015.   Cet accroissement est presque exclusivement dû à l’augmentation de l’incidence des cancers invasifs chez les femmes de 25 à 49 ans (11 en 2006 versus 17 en 2015) groupe d’âge qui inclus toutes les vaccinées L’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a augmenté de 19% chez les femmes de 20 à 29 ans (de 6.69 à 8.01), de 47% chez celles de 30 à 39 ans (de 14.78 à 21.81) et de 40 % chez celles de 40 à 49 ans (de 14.68 à 20.50).

Gardasil, vaccin non seulement dangereux mais aussi contre-productif: hausse des cas de cancers du col de l'utérus dans les pays les + vaccinateurs

A l’opposé, en Suède comme en Australie et comme en Grande Bretagne, une diminution de l’incidence de cancer invasif a été observée chez les femmes de plus de 50 ans, groupe qui n’a pas été concerné par le programme de vaccination. L’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a ainsi baissé entre 2007 et 2015 de 6% pour les femmes âgées de 50 à 59 ans (de 14.24 à 13.34), de 4 % pour celles de 60 à 69 ans (12.63 à 12.04,) de 17% pour celles de 70 à 79 ans (de 15.28 à 12.66) et de 12 % pour celles de plus de 80 ans (de 15.6 à 13.68).

En Norvège, depuis la vaccination, le registre du cancer montre une augmentation de l’incidence standardisée du cancer invasif du col de l’utérus de 12.2 en 2009, à 13.2 en 2012 et 14.3 en 2015.

Cette augmentation est due presque exclusivement aux jeunes femmes qui regroupent toutes celles qui ont été vaccinées ainsi qu’en témoigne la forte diminution de l’âge moyen de survenue du cancer du col passé de 48 ans en 2002 -2006 à 45 ans en 2012-2016.

Entre 2007 et 2015 l’incidence du cancer invasif du col de l’utérus a augmenté de 8% chez les femmes de 20 à 29 ans (de 7.78 à 8.47), de 65% chez celles de 30 à 39 ans (de 16.92 à 28.11) et de 50 % chez celles de 40 à 49 ans (de 19.62 à 29.56).

Durant la même période une diminution de l’incidence du cancer invasif a été observée chez les femmes plus âgées qui n’ont pas été concernées par le programme de vaccination :  -11% pour les femmes âgées de 55 à 64 ans (15.47 à 13.7), -16% pour celles de 65 à 74 ans (17.7 à 14.71) et -29% pour celles de 75 à 85 ans (18.39 à 13). Résultats semblables à ceux de l’Australie de la Grande-Bretagne et de la Suède.

Aux USA, d’après le Cancer Statistics Review 1975-2015 [4] l’incidence standardisée du cancer invasif du col avait diminué de 33% entre 1989 et 2007 (de 10.7 à 6.67) avant la commercialisation du Gardasil, mais ne diminue plus (+0.1) depuis la vaccination. Dans ce pays où la couverture vaccinale est moins élevée que dans les pays précédents (proche de 60%,) on observe la même discordance selon les groupes d’âge mais d’amplitude moindre : les femmes de plus de 50 ans, qui ont échappé à la vaccination bénéficient d’une diminution de 5% de leur risque (de 10.37 en 2007 à 9.87 en 2015), tandis que les femmes plus jeunes, qui regroupent les vaccinées, ont vu leur risque augmenter de 4% (5.24 en 2007 à 5.47 en 2015).

L’évolution de ces pays à forte couverture vaccinale peut être comparée à l’évolution constatée en France métropolitaine où la couverture vaccinale anti HPV est très faible (environ 15%) et qui peut être considérée pour cette raison comme un pays témoin. En France[5], l’incidence du cancer du col de l’utérus a constamment diminué passant de 15 en 1995 à 7,5 en 2007, 6,7 en 2012 et 6 en 2017. Cette diminution de l’incidence s’est accompagnée d’une diminution de la mortalité de 5 en 1980 à 1,8 en 2012 et 1,7 en 2017.

Ainsi dans tous les pays qui ont atteint un taux de couverture vaccinale anti HPV élevée, les registres officiels du cancer révèlent une augmentation de l’incidence des cancers invasifs du col de l’utérus, qui apparaît 3 à 5 ans après le début de la campagne de vaccination et qui affecte exclusivement les groupes d’âge qui ont été les plus vaccinés.

Dans ces mêmes pays, durant la même période les femmes plus âgées, qui n’ont pas été vaccinées, ont vu leur risque de cancer du col poursuivre sa diminution. De même, en France métropolitaine, pays à faible taux de couverture vaccinale, l’incidence du cancer du col continue de décroître à un rythme comparable à celui de la période pré vaccinale.

Ce risque de faciliter le cancer additionné aux effets secondaires connus enlève toute légitimité à cette vaccination. Les défenseurs du vaccin plaident pour la rareté supposée des « effets indésirables », mais peuvent-ils aussi prétendre que l’objectif officiel de la vaccination, diminuer l’incidence du cancer du col a encore des chances d’être atteint ?

Catastrophe sanitaire avérée. Peut-on éviter un nouveau scandale ?

L’augmentation du risque de cancer du col constatée dans tous les pays à forte couverture vaccinale constitue d’ores et déjà une catastrophe sanitaire qui justifie de diligenter en urgence des études complémentaires par des acteurs indépendants pour expliquer ce résultat paradoxal et de suspendre immédiatement la recommandation de ce vaccin.

En l’absence de mesures de précaution fortes, cette catastrophe sanitaire risque de se transformer en scandale sanitaire. Après les scandales du Vioxx, du Médiator, des pilules de dernière génération et les pantouflages éthiquement condamnables de la directrice du CDC américain et d’un président de l’EMA, la confiance de la population dans les dirigeants des agences sanitaires et les ministres de la santé accusés d’être trop sensibles aux discours des firmes pharmaceutiques, est fortement ébranlée.

Ce ne sont pas des réponses évasives des experts officiels aux inquiétudes des familles des jeunes victimes qui pourront la rétablir [6]  [7].Ni non plus l’attitude du CDC américain qui continue de faire la promotion du vaccin pour les filles et les garçons suivant ainsi l’exemple du capitaine du Titanic négligeant les avertissements et commandant « plus vite » Cette surdité aux résultats avérés et aux appels de prudence des experts indépendants constitue un argument majeur des anti vaccins qui soulignent à juste titre les passe-droits invraisemblables qui ont entouré les essais[8] puis la mise sur le marché précipitée[9] du Gardasil sans preuve d’efficacité sur la maladie qu’il était censée traiter et qui sont à l’origine de la catastrophe actuelle.

Il est temps que les politiques ne soient plus dupes d’experts aux conflits d’intérêts prédominants. Si vous ne refusez pas l’amendement qui vise à rendre obligatoire le Gardasil, que direz-vous aux familles des filles comme Sarah Tait, mortes de cancer du col après la vaccination qui devait éviter ce calvaire, quand elles apprendront que c’est peut-être la vaccination qui a été responsable ? Cette responsabilité sera, à l’évidence, très difficile à assumer.

En attendant les résultats d’études approfondies indispensables pour préciser les raisons de cet échec avéré du Gardasil, le principe de précaution exige de ne plus recommander, ni de faciliter, et encore moins d’imposer ce vaccin et d’arrêter de financer les publicités trompeuses voire mensongères afin de permettre à chaque citoyen d’évaluer librement le rapport bénéfice/ risque de la vaccination

« Ceux qui ne savent pas ont le devoir d’apprendre »

« Ceux qui ont le privilège de la connaissance ont le devoir d’agir » Albert Einstein

 Références

[1] Australian Institute of Health and Welfare (AIHW) 2017 Australian Cancer Incidence and Mortality (ACIM) books : cervical cancer Canberra : AIHW. <Http ://www.aihw.gov.au/acim-books>.

[2] Web content : Cancer Research UK, https://www.cancerresearchuk.org/health-professional/cancer-statistics/statistics-by-cancer-type/cervical-cancer/incidence?, statistics Accessed 09] [2018].

[3] A Castanona et al Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern? Preventive Medicine Volume 107, February 2018, Pages 21-28

[4]https://seer.cancer.gov/archive/csr/1975_2014/results_merged/sect_05_cervix_uteri.pdf#search=cervix%20cancer%20incidence

[5] Francim, HCL, www.Santé publique France, INCa. Projections de l’incidence et de la mortalité par cancer en France métropolitaine en 2017 – Tumeurs solides [Internet]. Saint-Maurice : Santé publique France [mis à jour le 02/01/2018 ; consulté le 09/05/2018 https://www.santepubliquefrance.fr

[6] A Castanona et al Is the recent increase in cervical cancer in women aged 20–24 years in England a cause for concern? Preventive Medicine Volume 107, February 2018, Pages 21-28

[7] Également très lié aux laboratoires commercialisant les vaccins

[8] Examen selon une procédure fast track injustifiée par la maladie, utilisation de critères substitutifs dont la pertinence n’était pas connue, puis définition à postériori de la population choisie pour juger l’essai…

[9] En 9 mois record absolu à l’époque.

Source: site du Dr Nicole Delépine

Voir aussi

Gardasil: présentation des résultats avérés sur le cancer du col  (présentation du Dr G. Delépine aux députés de la Communauté Française le 24 septembre 2018)

Non à l'élargissement de la vaccination HPV (en médecine scolaire notamment): nos jeunes en danger avec la proposition de M. Brotchi!

Un nouveau livre paraîtra le 25 octobre sur le scandale du vaccin Gardasil: 

 

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5 mai 2018 6 05 /05 /mai /2018 13:34

SUEDE : augmentation des taux de cancers du col de l’utérus suite à la vaccination de masse anti-HPV des jeunes filles

Par Brian Shilhavy, Health Impact News, 5 mai 2018 (Extraits)

Suède: augmentation des taux de cancers du col de l’utérus suite à la vaccination de masse des jeunes filles

Une nouvelle étude publiée dans l’ « Indian Journal of Medical Ethics » examine les taux de cancer du col de l’utérus chez les femmes en Suède, et découvre un lien entre l’augmentation des taux de cancer du col de l’utérus chez les femmes de 20 à 49 ans, au cours de la période de deux ans 2014-2015. Ce qui correspond à l’augmentation, quelques années plus tôt, des taux de vaccinations dans ce groupe de population lorsque les vaccinations de masse contre le HPV ont commencé en Suède.

Au cours de cette période de deux ans, les femmes de plus de 50 ans n’ont vu aucune augmentation significative du cancer du col de l’utérus. Elles étaient probablement trop âgées pour avoir été vaccinées contre le HPV.

Suède: augmentation des taux de cancers du col de l’utérus suite à la vaccination de masse des jeunes filles

Fig. 1. Augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus chez les femmes plus jeunes (moins de 50 ans) par rapport aux femmes de plus de 50 ans. Les données de l’étude montrent le nombre de cas par rapport à un nombre de 100.000 femmes de 2006 à 2015.

Puisque cette étude jette un doute sur l’efficacité du vaccin contre le HPV et, en plus lie le vaccin à des taux accrus de cancer, il est très peu probable que vous lisiez cette information dans les médias parrainés par les entreprises américaines, où rien de négatif concernant le vaccin Gardasil contre le HPV n’est autorisé.

L’étude a été menée par Lars Andersson, PhD, du Département de Physiologie et de Pharmacologie à l’Institut Karolinska à Solna en Suède.

Le Dr Andersson déclare :

… « Lorsque les médias suédois ont discuté de l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus, les autorités sanitaires n’ont pas été en mesure d’expliquer cette augmentation ».

C’est ainsi que le Dr Andersson a évoqué la possibilité que les taux de vaccination de masse contre le HPV auraient pu être la cause de l’augmentation des taux de cancer du col de l’utérus : la vaccination contre le HPV pourrait jouer un rôle dans l’augmentation de l’incidence du cancer du col de l’utérus. Environ 25% des cancers du col de l’utérus apparaissent relativement rapidement. Ils apparaissent environ dans les trois ans, y compris la progression des cellules normales vers le cancer. Cette augmentation peut être observée dans un court laps de temps. En Suède, le Gardasil a été approuvé en 2006. C’est en 2010 que la vaccination d’un nombre important de filles a commencé. En 2010, 80% environ des filles de 12 ans avaient été vaccinées.

Avec 59% des filles de 13 à 18 ans vaccinées dans le cadre du programme de rattrapage au cours de la même période, on peut dire que la plupart des filles avaient été vaccinées. Donc, les filles les plus âgées du programme (vaccinal) avant 23 ans en 2015 ; et ce groupe d’âge fait donc bien partie du plus jeune groupe d’âge montré à la figure 1.

Le Dr Andersson souligne que même la propre analyse du Gardasil par la FDA en 2006 a montré un risque plus élevé de « modifications cellulaires prémalignes » suite au vaccin dans certains groupes qui avaient déjà été exposés à certaines souches de HPV.

L’efficacité des vaccins contre le HPV a été évaluée en étudiant les modifications cellulaires précancéreuses appelées CIN2/3, ainsi que l’adénocarcinome cervical in situ ou pire.

L’efficacité a été évaluée pour les personnes qui n’ont pas été exposées aux HPV 16 et 18. Ces personnes sont appelées « naïves ».

Le vaccin n’est efficace que chez les personnes qui n’ont jamais été exposées aux HPV 16 et 18 (individus naïfs). Si un individu a déjà été exposé aux HPV 16 et 18, aucun nouvel anticorps n’est produit.

Par conséquent, le vaccin ne fonctionnera pas pour les personnes non naïves. Les HPV 16 et 18 sont responsables d’environ 70% de tous les cancers du col de l’utérus. Il est donc crucial de ne pas donner le vaccin à des personnes déjà infectées par les virus HPV 16 et 18.

Lors de l’examen du Gardasil par la FDA, l’efficacité du vaccin a été également évaluée sur des personnes exposées aux souches de HPV oncogènes avant la vaccination. Les personnes non « naïves » ont donc également dû recevoir la vaccination.

[…] Ainsi, la vaccination avec le Gardasil d’individus non « naïfs » qui avaient des oncogènes HPV 16/18 avant la vaccination a montré un niveau plus élevé de changements cellulaires précancéreux que le groupe placebo.

Les statisticiens de la FDA n’ont pas pu tirer de conclusions fermes. Dans leur analyse, la FDA a seulement inclus les cas de HPV 16/18. Si des cas d’oncogènes autres que le HPV 16/18 avaient été inclus dans l’analyse, l’efficacité des données aurait pu être encore plus défavorable.

> Lire l’étude complète.

Scandale de santé publique aux Etats-Unis ? Le Gardasil entraîne-t-il un risque accru de cancer du col de l’utérus chez certaines femmes ?

Health Impact News a couvert des dizaines d’histoires d’effets secondaires à la suite du vaccin Gardasil. Dans plusieurs de ces histoires, les mères ont rapporté que leur médecin les avait convaincues de faire vacciner leur fille en prévention du cancer.

Combien de ces médecins ont réellement étudié les limites de ce vaccin et testé leurs patientes pour les souches de HPV avant la vaccination pour pouvoir jauger le risque de développer un cancer susceptible d’être favorisé par l’administration du vaccin chez une jeune fille déjà préalablement infectée ?  […]

Source : Vaccine Impact

Voir aussi:

Pourquoi la Suède refuse les obligations vaccinales: des raisons dérangeantes pour Big Pharma!

Japon: le Ministère retire sa recommandation en faveur des vaccins HPV Gardasil et Cervarix

Désastre du vaccin Gardasil au Danamark: le documentaire

La fronde danoise contre le vaccin HPV Gardasil

Vaccins anti-HPV: Quand le slogan de Merck "Une de moins" ("one less") devient en fait "une de plus" (one more)

Vaccins HPV: fausse protection et vrais risques: démêlez le vrai du faux?

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25 mars 2018 7 25 /03 /mars /2018 22:11

Comment les enfants vaccinés infectent les non-vaccinés

       Par Edward Morgan, 13 février 2018

Comment les enfants vaccinés infectent les non-vaccinés

Bien que des milliers d’articles de la presse officielle continuent de blâmer les non-vaccinés pour des épidémies qui peuvent se produire, le présent article fournira un contrepoids nécessaire en montrant que les vaccinés peuvent infecter les non- vaccinés (et le font)…

Une étude a été publiée en 2013 dans la revue Vaccine, et intitulée : «Comparaison par rapport à l’excrétion du virus après le vaccin vivant atténué antirotavirus pentavalent réassorti ».

 

Cette étude fait référence au fait que les vaccins antirotavirus contiennent des virus vivants capables de provoquer des infections, de se propager, et même de se transmettre à des sujets non-vaccinés.

En effet, la transmission de ces deux vaccins antirotavirus ou souches de réassortiment du vaccin à des contacts non-vaccinés a été détectée [9-13] [1], même en l’absence de symptômes. »

Une des cinq études référencées ci-dessus confirme que le vaccin peut infecter des personnes non vaccinées

« La transmission du virus du vaccin antirotavirus (Rota Teq) associée à la gastro-entérite à rotavirus ».

Cette étude, publiée en 2009, est le premier rapport publié dans la littérature qui  a pu identifier la transmission du virus dérivé du vaccin antirotavirus à des contacts non vaccinés, entraînant  une gastro-entérite à rotavirus symptomatique nécessitant des soins médicaux d’urgence.

Nous documentons ici la transmission du rotavirus d’origine vaccinale (RotaTeq [Merck et Co, Whitehouse Station, NJ] d’un nourrisson vacciné à un frère plus âgé non vacciné qui a fait une gastro-entérite à rotavirus symptomatique nécessitant des soins urgents.»

L’étude a également indiqué que deux des cinq souches de rotavirus du Rotateq se sont réassorties pour produire un virus plus dangereux, soit chez le nourrisson vacciné, soit chez le frère non vacciné infecté par la suite :

« Les résultats de notre étude suggèrent que le réassortiment entre les souches vaccinales des génotypes P7 [5], G1 et PIA [8] G6 est survenu pendant la réplication chez le nourrisson vacciné ou chez le frère plus âgé. Ce fait pourrait être de nature à augmenter la virulence du virus dérivé du vaccin.»

Ce phénomène de réassortiment des souches du vaccin Rotateq et d’infection subséquente à la gastro-entérite chez les receveurs du vaccin a également été observé au cours d’une étude menée en 2012 chez 61 nourrissons [2] – Une étude nicaraguayenne publiée en 2012 a révélé que l’utilisation généralisée du vaccin RotaTeq a conduit à l’introduction de gènes vaccinaux dans les rotavirus humains en circulation », révélant ainsi que l’introduction généralisée de la souche vaccinale a modifié la composition génétique du rotavirus sauvage qui infecte désormais les populations exposées [3].

Il a été estimé qu’entre 80 et 100% des nourrissons excrétaient le rotavirus à un moment ou à un autre pendant les 25 à 28 jours suivant la vaccination [4], [5]. Ceci révèle que les vaccinés, contrairement aux hypothèses répandues sur les risques représentés par les non-vaccinés, présentent, en fait, un risque clair d’infection des non-vaccinés, et peuvent produire les conditions virologiques idéales pour la recombinaison de diverses souches de rotavirus, en « super virus » résistants aux vaccins.

Une autre étude, rapportée dans le Document du Centre National d’Information sur les Vaccins traitant de l’excrétion virale du vaccin, précise :

« En 2010, un rapport de cas a été publié dans Pediatrics, décrivant le cas d’un garçon en bonne santé, âgé de 30 mois et qui n’avait jamais reçu de vaccin antirotavirus. Ce petit garçon ayant été infecté par le vaccin rotavirus se retrouva aux urgences avec une gastro-entérite sévère 10 jours après que son frère de deux mois, en parfaite santé, eut reçu une dose du vaccin RotaTeq de Merck. Un échantillon des selles a été prélevé dans la salle des urgences et est revenu positif pour les souches dérivées du vaccin RotaTeq (Test RT-PCR.) »

Les auteurs de ce rapport de cas ont noté que la transmission des souches RotaTeq à des contacts non vaccinés n’a pas été évaluée au cours des essais cliniques pivots [avant l’homologation] ». Ils ont ajouté que les vaccins Rotateq et Rotarix (GlaxoSmithKline Biologicals) sont tous les deux susceptibles de transmission à des contacts.

Le vaccin Rotateq et les conflits d’intérêt

Le vaccin Rotateq contre le rotavirus a été co-créé par le Dr Paul Offit, reconnu comme le principal promoteur et apologiste de l’industrie du vaccin. Il est co-détenteur d’un brevet de l’un des deux vaccins antirotavirus vivants approuvés par la FDA, et que le CDC recommande d’administrer aux nourrissons en 3  doses à l’âge de deux mois, 4 mois et 6 mois.

Apparemment et historiquement incapable d’auto-critique, malgré ses conflits d’intérêt flagrants, Offit se positionne régulièrement comme un expert des vaccins. Il gagne personnellement à présenter son produit, ainsi que l’ensemble des vaccins recommandés par le CDC comme sûrs et efficaces. Un exemple : dans une entrevue notoire  avec les représentants du magazine Parenting, il a affirmé qu’un enfant pouvait recevoir simultanément jusqu’à 10.000 vaccins sans dommage (dans une précédente interview qu’il a corrigée dans la suite, il suggéré qu’un enfant pouvait recevoir jusqu’à 100.000 vaccins.

Le vaccin Rotavirus a été insalubre depuis le début

Le premier vaccin contre le rotavirus, le Rotashield, composé de quatre rotavirus réassortis a été approuvé en 1999, pour être retiré du marché par la FDA neuf mois plus tard, lorsqu’il fut prouvé qu’il augmentait le risque d’une forme mortelle d’obstruction intestinale connue sous le nom d’invagination, dans un petit sous-ensemble d’enfants très vulnérables. [6]

Le Rotateq d’Offit, qui comprend 5 rétrovirus humains-bovins (oui, c’est-à-dire OGM) était considéré comme une alternative plus sûre quand il a été approuvé par la FDA en 2006, mais de nouvelles recherches publiées révèlent que son vaccin souffre des mêmes graves problèmes.

Une étude a été publiée tout récemment dans Vaccine, sous le titre : Risque d’invagination après le vaccin Rota Teq : Evaluation à partir de données de déclarations spontanées provenant du monde entier, et utilisant une approche de cas auto-contrôlée »

L’étude a évalué les rapports venus du monde entier et les a transmis au fabricant du Rotateq jusqu’en mai 2014, tout en ajustant les chiffres  dus à la sous-déclaration. L’étude a révélé que le risque relatif d’invagination associé à l’administration du vaccin Rotateq augmentait « dans les 3 à 7 jours qui suivaient la vaccination, principalement après la première dose, et marginalement après les deuxième et troisième doses. »

L’augmentation du risque relatif était de 3,45 fois plus élevé au cours de la période des 3  à 7 jours qui suivaient la première dose, relativement à la période témoin de 15 à 30 jours.

Une autre étude reliant le RotaTeq à l’invagination a été publiée l’an dernier dans le New England Journal of Medicine et qui a trouvé environ 1,5 cas (95% IC, 0,2 à 3,2) d’augmentation des vas d’invagination pour 100.000 receveurs de la première dose du vaccin. [7]

Vaccins vivants : une boîte de Pandore de virus adventices

La mort ou le handicap par suite d’occlusion intestinale après vaccination par le Rotateq est un effet indésirable grave qui est peu susceptible d’être négligé ou ignoré. C’est pourquoi le VAERS (= Vaccine Adverse Effects Reporting system), un système passif de surveillance post-commercialisation du vaccin, a trouvé qu’il s’agissait d’un effet secondaire significatif. On pense cependant que le VAERS n’enregistre que moins de 1% des dommages réels causés par les vaccins,  ce qui peut donner une idée de l’étendue des dommages causés par le Rotateq, et qui représente un ordre de grandeur supérieur à ce qui est repris dans le présent rapport.

L’exposition au Rotateq souffre donc, comme c’est le cas pour de nombreux autres vaccins, d’un côté plus sombre en ce qui concerne ses effets secondaires. Ceux-ci peuvent mettre des mois, des années et même des décennies à se manifester dans le nuage multifactoriel des toxicités auxquelles est exposée la population.

Il convient également de noter que le Rotateq a été identifié comme étant contaminé par un certain nombre de virus adventices, c’est-à-dire qui ont contaminé les cellules vivantes et/ ou les composants biologiques impliqués dans le processus de fabrication du vaccin original. Ces agents clandestins, inconnus des fabricants et des organismes de réglementation qui les ont approuvés, ont infecté les vaccins que reçoivent les enfants.

Ces virus comprennent :

  • Le circovirus porcin 1
  • Le circovirus porcin 2
  • L’ADN du rétrovirus de la souche endogène du babouin
  • Le rétrovirus simien classe D

Du fait que les vaccins à virus vivants sont fabriqués dans des co-cultures de cellules et de fluides biologiques provenant de différentes espèces, les virus ont de nombreuses possibilités d’adaptation et de recombinaison pour produire des agents infectieux capables d’une virulence accrue.  Le Rotateq n’est que l’un des nombreux vaccins du calendrier de vaccination du CDC. Plusieurs vaccins contiennent des virus vivants capables d’infecter ceux qui les reçoivent, cela vaut aussi pour les rétrovirus que l’on qualifie aujourd’hui de peste moderne parce qu’ils sont capables d’infecter leur hôte. Pour plus d’information, consultez le nouveau livre du Dr Judy Mikovits et de Kent Heckenlively : « Plague ».

 

De toute évidence, étant donné les preuves révélant les effets indésirables involontaires potentiels du vaccin Rotateq, en particulier la possibilité qu’il infecte des personnes exposées aux virus adventices, la mise en œuvre du principe de précaution exige la suspension immédiate de son utilisation jusqu’à ce que des réévaluations toxicologiques appropriées puissent être réalisées. Toute personne qui s’interroge sur l’innocuité du programme actuel de vaccination du CDC devrait être en mesure d’indiquer que le Rotateq est un exemple parfait de la raison pour laquelle le programme n’est pas basé sur des preuves, mais plutôt sur des croyances mythologiques en la sécurité et l’efficacité de ces produits dont on n’a jamais démontré la parfaite innocuité.

RÉFÉRENCES

 

[1] [9]  Phua KB, Quak SH, Lee BW, Emmanuel SC, Goh P, Han HH, et al. Evaluation of RIX4414, a live, attenuated rotavirus vaccine, in a randomized, double-blind, placebo-controlled phase 2 trial involving 2464 Singaporean infants. J Infect Dis 2005;192(Suppl. 1):S6–16.

 

[10]  Dennehy PH, Brady RC, Halperin SA, Ward RL, Alvey JC, Fischer Jr FH, et al. Comparative evaluation of safety and immunogenicity of two dosages of an oral live attenuated human rotavirus vaccine. Pediatr Infect Dis J 2005;24:481–8.

[11]  Payne DC, Edwards KM, Bowen MD, Keckley E, Peters J, Esona MD, et al. Sibling transmission of vaccine-derived rotavirus (RotaTeq) associated with rotavirus gastroenteritis. Pediatrics 2010;125:e438–41.

[12]  Boom JA, Sahni LC, Payne DC, Gautam R, Lyde F, Mijatovic-Rustempasic S, et al. Symptomatic infection and detection of vaccine and vaccine-reassortant rotavirus strains in 5 children: a case series. J Infect Dis 2012;206:1275–9.

[13]RiveraL,PenaLM,StainierI,GillardP,CheuvartB,SmolenovI,etal.Horizontal transmission of a human rotavirus vaccine strain—a randomized, placebo- controlled study in twins. Vaccine 2011;29:9508–13.

[2] J Infect Dis. 2012 Aug 1;206(3):377-83. doi: 10.1093/infdis/jis361. Epub 2012 May 21. Identification of strains of RotaTeq rotavirus vaccine in infants with gastroenteritis following routine vaccination. Donato CM1, Ch’ng LSBoniface KFCrawford NWButtery JPLyon MBishop RFKirkwood CD.

 

[3]Infect Genet Evol. 2012 Aug;12(6):1282-94. doi: 10.1016/j.meegid.2012.03.007. Epub 2012 Apr 2. Vaccine-derived NSP2 segment in rotaviruses from vaccinated children with gastroenteritis in Nicaragua. Bucardo F1, Rippinger CMSvensson LPatton JT.

 

[4] Phua KB, Quak SH, Lee BW, Emmanuel SC, Goh P, Han HH, et al. Evaluation of RIX4414, a live, attenuated rotavirus vaccine, in a randomized, double-blind, placebo-controlled phase 2 trial involving 2464 Singaporean infants. J Infect Dis 2005;192(Suppl. 1):S6–16.

 

[5] Comparison of virus shedding after lived attenuated and pentavalent reassortant rotavirus vaccine.

 

[6] Centers for Disease Control and Prevention. Intussusception among recipients of rotavirus vaccine—United States, 1998–1999. JAMA 1999;282:5201 CrossRefMedlineWebof Science

 

[7] N Engl J Med. 2014 Feb 6;370(6):503-12. doi: 10.1056/NEJMoa1303164. Epub 2014 Jan 14 Intussusception risk after rotavirus vaccination in U.S. infants. Yih WK1, Lieu TAKulldorff MMartin DMcMahill-Walraven CNPlatt RSelvam NSelvan MLee GMNguyen M

 

Source : Prepareforchange

 

Voir aussi :

Contamination des vaccins par des rétrovirus : la découverte explosive du Dr Judy Mikovits

Infections à rotavirus: le Haut Conseil de Santé Publique suspend ses recommandations de vaccination des nourrissons

 

Vaccins contre le rotavirus: décès d'enfants et bénéfices/risques négatif

 

Vaccins contre le rotavirus: diarrhée de la duperie

 

Un nourrisson de deux mois décède six jours après le vaccin contre le rotavirus

 

Vaccins antirotavirus : Maggie De Block appelée à se positionner sur le volte-face français

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27 octobre 2017 5 27 /10 /octobre /2017 22:04

À lire avant de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale

Senta Depuydt

Article paru dans le journal Alternative Santé nº 50

À lire AVANT de voter la loi sur l’extension de l’obligation vaccinale!!

Nous relayons une tribune qui a été rédigée pour informer les parlementaires des enjeux autour de la loi sur la vaccination qui sera très prochainement voté: il résume des réalités trop souvent occultées dans les débats publics autour de la vaccination. 
 

Ce texte est signé par

INFO VACCINS France, la Ligue Nationale pour la Liberté des Vaccinations, le REVAHB (association des victimes du vaccin Hépatite B), Senta Depuydt, Dr Nicole Delépine, Dr Michel de Lorgeril, Lucienne Foucras, Bernard Guennebaud, Jean-Pierre Eudier, Thierry Fenoy, Lucie Michel (Les Mamans courage), Raphaël Sirjacobs & Béatrice Dupont (Parents de Stacy), Patrice Maillard.

Pour trouver le député de votre circonscription et lui transmettre toutes ces informations essentielles par mail, vous pouvez vous rendre sur ce site. 

Vous pouvez également trouver et contacter votre sénateur sur ce site

 

L’obligation vaccinale n’est pas une nécessité de santé publique. Tandis que la Suède a déclaré cette pratique non constitutionnelle plus tôt dans l’année, Angela Merkel vient de se prononcer contre une telle mesure et de rappeler l’importance du libre choix des citoyens sur cette question.


Ci-dessous, plusieurs choses à savoir avant d'engager votre responsabilité sur une loi imposée dans la précipitation et sans concertation.   

Effets secondaires non rapportés et dommages neurologiques graves pour les vaccins soumis au vote de l’Assemblée.


ROR (Priorix – laboratoire GSK)


Une collaboration Cochrane de 2012 souligne le caractère « largement inadéquat» des tests d’évaluation de sûreté, après avoir constaté que le vaccin ROR augmentait le risque de survenue de méningite non infectieuse (aux conséquences parfois létales) par 14, même si certaines études parlent d’un risque multiplié par 25 (études concernant 15 millions d’enfants). (1)


Vaccins combinés : Infanrix Hexa (GSK) + Prevenar (Wyeth-Pfizer). 
Le risque de dommages neurologiques graves liés à l’administration simultanée de ces deux vaccins est multiplié par 3 ! (2)


Infanrix Hexa (Hexavalent GSK)

Le rapport de suivi de 2011 de GSK à l’AEM a dénombré plus de 825 effets secondaires : 503 effets secondaires, dont 56 effets secondaires graves, n’avaient pas été déclarés avant la mise sur le marché du vaccin. (3a) 

Vaccin Hépatite B 

Les données de la Commission nationale de pharmacovigilance faisaient état chez l’enfant de moins de 15 ans, en 2010, de 117 notifications d’affections démyélinisantes centrales (dont 67 cas de sclérose en plaque) et de 24 cas d’atteintes périphériques (Syndrome de Guillain-Barré) après la vaccination hépatite B. Malgré les demandes des associations, ces données chiffrées ne sont pas accessibles sur la période ultérieure (3b).


En outre, tous vaccins confondus « seuls 1 à 10 % des effets secondaires graves seraient rapportés », d’après notamment La Revue du praticien (4, 5).


Il est urgent de mener une évaluation sérieuse de la sécurité des vaccins pédiatriques, notamment concernant les risques de dommages neurologiques graves. Sinon, il est impossible de déterminer une quelconque balance bénéfices/risques.

Décès par vaccins pédiatriques 


Hexyon – Hexavac (Sanofi)


Mis sur le marché en 2000 et retiré en 2005 suite à une augmentation élevée du nombre de décès dans les deux jours suivant la vaccination. (6) Le vaccin Hexyon qui le remplace semble être identique à part un taux d’aluminium plus élevé. Est-il plus sûr ? 


Infanrix Hexa : 


- D’après le rapport de suivi de 2011, on peut dénombrer 73 cas de décès depuis la mise sur le marché du vaccin en 2000. (7, 8)


- Un nombre de décès, pourtant signalés dans le 16e rapport de suivi de GSK à l’Agence Européenne du Médicament, ont disparu de la « comptabilité » du 19e rapport par des jeux d’écriture. En minimisant ainsi le risque de décès suivant la vaccination, le rapport contrevient à un devoir de transparence. Cette nécessaire transparence aurait pu conduire à son retrait du marché, comme ce fut le cas pour l’Hexavac. (9). 


Suite à un nombre élevé de décès rapportés pour le vaccin pentavalent, l’OMS a modifié les critères de notification des effets secondaires en abandonnant la « classification de Brighton », un standard international créé en 2000 pour évaluer la sécurité des vaccins. En pratique, il est depuis devenu presque impossible de notifier des décès post-vaccinaux. (10)


Il est urgent de mener des études sérieuses sur l’administration des vaccins hexavalents et la mort subite du nourrisson. 

 

L’éradication de la rougeole a peu de chances d’être atteinte, même avec 100 % de couverture vaccinale.

- Le vaccin ROR est peu efficace. Seuls 25 % des vaccinés sont encore immunisés après 10 ans. (11). L’immunité vaccinale est largement inférieure à l’immunité naturelle acquise par la maladie et la durée de l’immunité par la vaccination ne cesse de décliner. (12, 13)

- Entre 2 et 10 % des personnes ne « répondent pas à la vaccination», quel que soit le nombre d’injections administrées (raisons génétiques) (14).

- Le virus de la rougeole circule aussi de manière silencieuse, sans présentation de signes cliniques manifestes de la maladie. Cette circulation silencieuse existe chez les vaccinés et les non-vaccinés. (15) Il est inutile de calculer les taux de couverture vaccinale requis pour l’élimination d’une maladie, si la vaccination n’est pas entièrement efficace et que celle-ci circule de manière invisible. Ce fait extrêmement important a été présenté dans la communication de Mr Bernard Guennebaud, mathématicien, au Congrès d’Épidémiologie de la Sfsp-Adelf à Amiens, le 6 octobre dernier. (16).


En diminuant l’immunité générale à long terme, la vaccination a aussi augmenté le risque et la gravité de la rougeole pour les catégories plus fragiles. Les nouveau-nés courent de plus grands risques, car les mères n’ont plus l’immunité solide acquise par la maladie naturelle. La rougeole à l’âge adulte entraîne des complications plus importantes. (17, 18, 19, 20).Dans quelques années, nous risquons de voir la première génération de seniors n’ayant pas eu la rougeole naturelle. Que se passera-t-il pour eux ? Ces faits résultent de la vaccination.


Selon les rédacteurs de la revue Vaccine :

« En réalité, on ne peut savoir si l’élimination de la rougeole peut effectivement être atteinte et maintenue. Il y a des limites de l’approche en termes d’immunité collective, qui ignore la variabilité individuelle dans la réponse immunitaire et la disposition génétique des uns ou des autres à réagir à la vaccination ou à souffrir d’effets indésirables » (21). 


Faible efficacité des vaccins pédiatriques 

- Le vaccin contre les oreillons. Les épidémies dans les campus américains l’ont confirmé, car tous les sujets affectés avaient été vaccinés : l’immunité a disparu et le risque s’est déplacé vers l’âge où la maladie entraîne plus de conséquences lourdes (stérilité). (22)

- Le vaccin contre la coqueluche. Le bacille Bordetella pertussis mute vers des souches plus virulentes. Les épidémies circulent malgré une forte couverture vaccinale.(23, 24)

- Le vaccin contre la polio. Toutes les épidémies de polio actuelles sont dues à des virus vaccinaux qui ont muté et retrouvent leur virulence. (25) En Inde, la campagne polio Pulse a fait 50 000 cas de paralysie flasque aiguë. (26). Tout comme pour la rougeole, une éradication de la polio est peu probable.

- Le vaccin contre les pneumocoques n’est actif au mieux que sur quelques-unes des 100 souches. Après avoir constaté l’augmentation des cas suite aux campagnes avec Prevenar 7, on est passé à un vaccin avec 13 souches. (27a).

- Le vaccin contre l’hépatite B n’est pas pertinent pour les nourrissons. D’une part parce que le virus se transmet principalement par voie sanguine ou sexuelle. D’autre part parce que de nombreuses études constatent non seulement une disparition des anticorps anti hépatite B 5 à 15 ans après l’acte vaccinal, mais aussi parfois une moindre efficacité du vaccin lors des rappels à l'adolescence, période où il serait le plus nécessaire (27b).


Les concepts de couverture vaccinale et d’immunité collective ne sont pas pertinents pour le vaccin contre le tétanos (non contagieux). En outre toutes les maladies contagieuses ont disparu grâce à l’hygiène, l’eau potable, la nutrition et leur cycle d’évolution naturel. Dans certains cas, comme la variole, le succès a été obtenu par une politique efficace de détection et d’isolement des cas et de leurs proches. (Rapport de l’OMS sur la variole) (Voir les ouvrages de Michel Georget détaillant ceci pour toutes les maladies.) (28)


Il est indispensable de réévaluer l’utilité de la vaccination pour ces maladies et de développer des stratégies alternatives visant à renforcer l’immunité naturelle de la population.

 
La jurisprudence récente évolue en faveur des victimes


La Cour Suprême des États-Unis a estimé que les vaccins sont « inévitablement risqués » (« unavoidably unsafe ») (29). Entre 1988 et 2011, le gouvernement américain a ainsi dû payer 3,5 milliards de dollars en compensation de 16 600 cas d’accidents vaccinaux (pour 1 300 d’entre eux, des problèmes cérébraux) et 1 200 morts liées aux vaccins. (30)

La Cour de Justice de l’Union européenne a refusé d’exclure le lien entre sclérose en plaques et vaccination contre l’hépatite B, et rendu un jugement de principe selon lequel un faisceau d’indices « graves, précis et concordants » peut suffire en l’absence de consensus scientifique. (Vaccin hépatite B de Sanofi) (31). 

Ce jugement confirme qu’il n’est plus acceptable d’imposer toute la charge de la preuve aux plaignants s’ils ne peuvent s’appuyer que sur des éléments susceptibles d’être produits par la partie adverse. 


Il est urgent d’évaluer en termes humains et financiers l’ensemble du coût des campagnes de vaccination et montants d’indemnisation pour dommages subis et de le comparer au coût du traitement des maladies. Supprimer l’obligation permettrait de renvoyer la responsabilité juridique et financière auprès des fabricants. 

Conflits d’intérêts au sein des instances pilotant les politiques de santé
 


Les avis du Center for Disease Control américain sont repris par l’Organisation mondiale de la santé et le Centre européen de prévention et de contrôle des maladies, et ensuite transmis dans les recommandations nationales. 

Le CDC (Center for Disease Control aux États-Unis, relayé par l’ECDC en Europe) a un chiffre d’affaires annuel de 4 milliards de dollars en vaccins et détient des brevets sur près de 30 vaccins. Une majorité des experts du comité de recommandation du calendrier vaccinal a des liens d’intérêts avec l’industrie (65 % déclarent des liens officiels), ou même des dividendes sur certains vaccins (Paul Offit, co-inventeur d’un vaccin contre le rotavirus fabriqué par Merck et ancien membre du Comité Consultatif sur les Pratiques d'Immunisation du CDC, a fait 30 millions de dollars de bénéfice sur le brevet RotaTeq, par exemple.) (32).

L’Organisation mondiale de la santé est financée et dirigée en ordre d’importance par : les États-Unis, la fondation Bill Gates (lui-même actionnaire de l’industrie pharmaceutique), la Grande-Bretagne et l’Alliance GAVI (un partenariat privé-public avec l’industrie). La contribution des autres États membres représente à peine 20 % (voir l’émission d’Arte L’OMS dans les griffes de lobbyistes). (33) 

Les obligations vaccinales ont été au cœur de la campagne présidentielle américaine. Le président Donald Trump s’est opposé à l’extension des obligations, car il a été témoin de dommages vaccinaux graves chez un de ses enfants. Sa première déclaration politique a été son intention de créer une commission d’enquête sur la sûreté des vaccins. Si Trump y parvient, tout peut basculer d’un instant à l’autre. Le 12 octobre dernier, 5 millions d’Américains ont introduit une demande officielle pour obtenir de vraies études sur la sûreté des vaccins avant d’introduire une action collective contre le responsable de l’Institut Nationale de la Santé. (34)

En Italie, le chef du cabinet de la ministre de la Santé siège au conseil d’administration de la fondation SmithKline Beecham. Le même laboratoire GSK a investi un milliard d’euros dans de nouvelles usines de production de vaccins. 

L’extension des obligations crée un chaos en Italie 


Les recours contre le décret italien imposant l’extension de l’obligation vaccinale et les procès pour dommages vaccinaux se multiplient. Le président honoraire de la Cour suprême de cassation italienne Ferdinando Imposimato, ancien héros de l’opération « mains propres » qualifie la loi de mafieuse et de contraire à la Constitution et appelle à la désobéissance civile. Loin d’instaurer la confiance, la loi divise et radicalise. L’Ordre des Médecins italien traque les praticiens pour les radier. Certains parents de victimes ont agressé des médecins refusant de reconnaître les dommages après un vaccin. Les mères de famille résistent et paralysent le système médical, scolaire et administratif.


La Vénétie a refusé l’application du décret et exigé un moratoire sur l’obligation vaccinale. Le 22 octobre 2017, la Vénétie et la Lombardie ont tenu un référendum où les citoyens se sont massivement prononcés en faveur d’une plus grande autonomie, notamment en matière de santé. (35)


Il est urgent d’analyser les conséquences politiques et juridiques de l’imposition accélérée des obligations dans un contexte similaire à celui de la France et d’en tirer les leçons. 


Risques pour la santé non ou peu évalués pour les vaccins 


- La question des adjuvants aluminiques et du préservant à base de mercure. (36)
- La présence de nanoparticules cytotoxiques contaminant tous les vaccins. (37)
- La présence de rétrovirus contaminant la majorité des vaccins.
- On ne connaît pas leurs effets sur la fertilité ou leurs risques cancérigènes.
- Les vaccins ne sont pas testés contre placebo, ni en administration combinée, ni sur le moyen ou le long terme.


Rappelons que 60 millions de personnes ont été contaminées par le virus de singe SV40 présent dans les vaccins anti-polio, soupçonné d’être associé à de nombreux cancers et au lymphome de Hodgkin. (38) 


Le vaccin Hexavac a dû être retiré du marché, Hexyon est-il plus sûr ? 
Le vaccin Infanrix est toujours en circulation alors que des décès pourraient être évités. 


Il n’y a pas d’urgence à vacciner, ni à passer cette loi. 


De plus en plus de vaccins bénéficient d’une procédure accélérée de mise sur le marché. Celle-ci signifie que moins de tests sont réalisés que pour la procédure normale d’approbation des médicaments. Face au risque accru que cela implique, on ne devrait rendre ces vaccins obligatoires que dans des circonstances exceptionnelles. 

Imposer un acte médical ou un médicament dont on ne peut prouver la sécurité revient à de l’expérimentation médicale forcée. Prendre ce risque à l’échelle collective est un acte d’inconscience.


Il est nécessaire de demander un moratoire sur la vaccination et d’évaluer l’utilité, l’efficacité et les risques associés à chaque vaccin. Tout comme il faut réévaluer la «balance bénéfices-risques » en termes de coût humain et financier.


Pour légitimer une limitation des libertés individuelles au nom de la santé publique, une loi doit répondre aux principes de nécessité et de proportionnalité. Au vu de ce qui précède, ces deux conditions ne sont pas réunies.

Références :

 
1. "Vaccines for measles, mumps and rubella in children", 15 février 2012, Cochrane Database Systematic
Review,  http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/14651858.CD004407.pub3/full
2. Infanrix + Prevenar                                                                             
http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-20-dec.-2012.pdf
3a. Infanrix Hexa 

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf  
3b. http://pediablogdlh.blogspot.fr/p/le-vaccin-la-myeline-et-lenfant.html
4. 1 à 10% effets secondaires : Revue du Praticien « La pharmacovigilance des vaccins », 27/10/2011, p715. 


5. Hazell L, Shakir S « Under-reporting of adverse drug reactions. A systematic review. Drug saf. 2006, 29 : 385-96

6. Hexavac von Kries R et al. « Sudden and unexpected deaths after the administration of hexavalent vaccines (diphtheria, tetanus, pertussis, poliomyelitis, hepatitis B, Haemophilus influenzae type b): is there a signal? Eur J Pediatr. 2005 Feb »; 164(2):61-9. Epub 2004 Dec16.

7.http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Communique-de-presse-d-IC-du-6-dec.-2012-_doc-confidentie.pdf et http://initiativecitoyenne.be/article-infanrix-hexa-le-document-confidentiel-accablant-113251207.html
8. Zinka, B.; Rauch, E.; Buettner, A.; Ruëff, F.; Penning, R. Unexplained cases of sudden infant death shortly after hexavalent vaccination. Vaccine 2006, 24, 5779–5780.
9. J. Puliyel et al. « Infanrix and Sudden Death : a Review of the Periodic Safety Update Reports Submitted to the European Medical Agency », Indian Journal of Medical Ethics, 7 sep. 2017. 

10. J. Puliyel, A. Phadke, « Deaths following Pentavalent Vaccine and the Revised AEFI Classification », Indian Journal of Medical Ethics, Vol. 2, n04, 2017. 
11. Le Baron “Persistance of measles antibodies after 2 doses of measles vaccine in a postelimination environment”, PMID, 17339511

12. D.I. Levy, “The future of Measles in Highly Immunized Populations : A Modelling Approach”, American Journal of Epidemiology, vol. 120, n°1, July 1984, pp. 39-48.

13. Davidkin, Diminution de l’immunité, 1998, Pubmed9815205
Coqueluche 
14.“Personalized vaccines: the emerging field of vaccinomics” (Expert Opin Biol Ther. 2008 Nov ; 8 (11) : 1659–1667.), Gregory A Poland, Inna G Ovsyannikova, Robert M Jacobson
15. Diane Ninkam Nghemning “Souches africaines du virus de la rougeole : étude de l’interaction virus-cellule et analyses phylogénétiques” thèse doctorale en faculté de biologie à l’Université J. Fourier, Grenoble 1, 9 juillet 2002

16. Bernard Guennebaud “Sur des fautes méthodologiques et leurs conséquences, l’évaluation d’actions de santé publique” sur questionvaccins.canalblog.com
17.Perte de l’immunité chez le nourrisson, Lennon 1986, PMID 3701511
18. Comparaison avec l’immunité naturelle, Itoh 2002, Pubmed, 11980952. 
19. Aggravation chez la femme enceinte et le bébé, Aaby 2003, 12505179
20. Rapport sur les épidémies de rougeole en France, BEH n°33-34 du 20 septembre 2011, p. 356.W. Moss, P. Strebel

21. G.A Poland and R. Jacobson « The Re-emergence of measles in developed countries : time to develop the next Generation Measles Vaccines » (Vaccine, 30, 2012, p. 103-104)

22. www.cdc.gov/mumps/outbreak.html
23. C ; Gill, « The relationship between mucosal immunity, nasopharyngeal carriage, asymptomatic transmission and the resurgence of Bordetella pertussis », F1000Research 2017, 6, 1568

24. C. Weber et al « Polymorphism of Boredetella pertussis Isolates Circulating for the last 10 years in France, where a Single Effective Whole Cell Vaccine Has Been Used for More than 30 Years », J. Clin. Microbiol. 2001, 39 (12) : 4296-4403

25. F. Delpeyroux et al. «Éradication de la poliomyélite et émergence de poliovirus pathogènes dérivés du vaccin. De Madagascar au Cameroun ».

26. J. Puliyel, N. Vashisht,V. Sreenivas « Trends in Non-Polio Acute Flaccid Paralysis Incidence in India 2000-2013 », Pediatrics, 2015 Feb. 135, sup. 1 :S16-7 et Excellence in Pediatrics, Dubai, 6 December, 2014

27a. Impact de la vaccination par le vaccin pneumococcique conjugué 13-valent sur l’incidence des infections invasives à pneumocoques, Epibac et CNR des pneumocoques (réseau CNR-ORP).

27b.http://pediablogdlh.blogspot.fr/2016/03/vaccin-hepatite-b-quelle-protection.html)
28. Michel Georget, La vaccination, vérités indésirables, Dangles. 

29. “Unavoidably safe” Bruesewitz v.Wyeth LLC, 131 S. Ct. 1068, 179 L. Ed. 2d 1 (2011)
30. Institute of Medicine of the National Academies. Adverse Effects of Vaccines, 2011. www.hrsa.gov/vaccinecompensation/resources/adverseeffects.pdf
31. Hepatite B. Communiqué de presse 66/17 du 21 juin 2017. Affaire C-621/15 N.W vs Sanofi Pasteur

32. Robert Kennedy Jr., https://worldmercuryproject.org/mercury-facts/merc... 

33.  “L’OMS dans les griffes des lobbyistes”, Enquête de 2016 menée par Jutta Pinzler et Tatjana Mischke pour la chaîne allemande NDR. Reportage diffusé sur Arte
34. Informed Consent Action Network 
www.icandecide.com
35www.comilva.org et http://tg24.sky.it/politica/2017/09/27/referendum-autonomia-lombardia-veneto.html
36. Travaux du prof. Romain Gherardi et « Toxic Story », Actes Sud, 2016.
37. Serge Rader, Antonietta Gatti et Stefano Montanari “Vaccins, oui ou non ?”, éd. Talma, 2017

38. CIF Vaccinologie 2011 « Fabrication et contrôle des vaccins » cours dispensé à l’Institut Pasteur par Jean-François Saluzzo, directeur de production des vaccins viraux et chef de recherche pour les vaccins anti-SIDA, conseiller à l’OMS. Voir aussi S. Kops « Debate on the Link between SV40 and Human Cancer Continues », Journal of National Cancer Institute, vol. 94, n°3, Feb. 6, 2002, p. 229-230.

Source: Alternative Santé

Voir aussi

Onze vaccins obligatoires: débat sensible en vue à l'Assemblée

Vaccins obligatoires: les sanctions seront plus lourdes

Michel Georget, agrégé de biologie sur la manière dont la "sécurité" des vaccins est "testée"...

Serge Rader, pharmacien sur les dangers des vaccinations

Dr Bernadine Healy, ex directrice du National Institute of Health, estimant que le lien vaccins et autisme n'a pas pu être valablement exclu compte tenu de la méthodologie inadaptée des études

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25 septembre 2017 1 25 /09 /septembre /2017 22:21

Des études en recherche biomédicale apportent les preuves que le vaccin contre le HPV peut causer le cancer: 

SUBSTITUTION DES TYPES DE HPV A HAUT RISQUE APRES VACCINATION

                      Par James Lyons-Weiler, PhD, 13 septembre 2017

Vaccins HPV: ils peuvent favoriser le cancer du col de l'utérus par substitution des souches

Nombre d’études montrent que la vaccination partielle au moyen des vaccins disponibles contre le HPV (papillomavirus humain) n’est pas seulement insuffisante pour réduire les taux globaux d’infection par le HPV; il appert que ces vaccins provoquent l’apparition de types de HPV plus rares et plus agressifs, et dont l’effet  ne pourrait être qu’une augmentation dévastatrice des cancers liés au HPV.

Je passe ici en revue les études réalisées en recherche biomédicale qui montrent que la substitution de types de HPV est bien réelle, et que la vaccination contre les types les plus courants peut, malheureusement et ironiquement, provoquer des AUGMENTATIONS des cancers liés au HPV.

La première étude émane du CDC (Centre Américain de Contrôle et de Prévention des Maladies) lui-même. Cette étude ne montre aucun changement net dans les taux d’infection par le HPV (compte tenu de tous les types) après l’introduction des vaccins contre le HPV dans la pratique médicale :

Markowitz LE et al., 2016 Prevalence of HPV After Introduction of the Vaccination Program in the United States. Pediatrics. 2016 Feb 22. pii: peds.2015-1968.

Cette étude a conclu que la substitution de souches ne s’est pas produite. Leur analyse des types individuels n’a montré une augmentation significative chez aucun type. Toutefois, étant donné que les vaccins éliminent les types ciblés par le vaccin, l’absence de changement dans les taux d’infections montre que la substitution de type a bien dû se produire.

La deuxième étude réalisée par Fisher et Al. (2016) qui a spécifiquement constaté que les types de HPV à haut risque ont remplacé les types ciblés par les vaccins. Ils ont écrit :

"Le pourcentage des souches de HPV à haut risque était plus élevé qu'attendu, étant donné que 8 types de HPV anciennement considérés comme "à bas risque" ou "probablement à haut risque" sont en réalité des souches de HPV à haut risque."

Fischer et al 2016: Shift in prevalence of HPV types in cervical cytology specimens in the era of HPV vaccination. Oncol Lett. 12(1):601-610.

Une troisième étude est celle de Guo et al. (2015). Ces auteurs ont clairement révélé des signes de remplacement de types à la suite de la vaccination contre le HPV :

« La prévalence des types non vaccinaux à haut risque était plus élevée chez les femmes vaccinées que chez les femmes non vaccinées (52,1% vs 40,4% ; taux de prévalence 1,29, IC 95% CI 1.06- 1.57), mais cette différence a été atténuée après ajustement des variables ayant trait au comportement sexuel (prévalence ajustée, ratio 1,19, IC 95% : 0,99-1,43). La vaccination contre le HPV a été efficace contre les 4 types de vaccin chez les jeunes femmes vaccinées après l’âge de 12 ans. Cependant, les femmes vaccinées présentaient une prévalence plus élevée des types à haut risque non liés au vaccin. Ceci pourrait suggérer que ces personnes pourraient bénéficier de vaccins plus récents couvrant des types supplémentaires.»

Guo et al., 2015. Comparison of HPV prevalence between HPV-vaccinated and non-vaccinated young adult women (20-26 years) American Association for Cancer Research Meeting, Apr 18-22; Philadelphia, PA. Philadelphia (PA): AACR; 2015. Abstract nr 844.

La quatrième étude est celle de Mollers et al., qui ont écrit :

«  … nos résultats suggèrent que le regroupement (clustering) diffère selon les types de HPV, et varie selon les groupes à risques. » et « la niche écologique peut aussi être envisagée selon le type de remplacement des souches, ce qui fait référence à la possibilité que l'élimination des souches 16 et 18 puisse entraîner une transmission accrue des autres types non inclus dans le vaccin. La substitution des souches a été observée après la vaccination contre d'autres agents pathogènes (par exemple, Streptococcus pneumoniae) et est plausible lorsque les souches pathogènes génotypiquement diverses sont en concurrence pour les mêmes hôtes". 

Mollers M et al., 2014. Population- and type-specific clustering of multiple HPV types across diverse risk populations in the Netherlands. Am J Epidemiol. 179(10):1236-46. doi: 10.1093/aje/kwu038.

Une étude réalisée sur des femmes italiennes s’est aussi penchée sur le type de substitution. Les auteurs écrivent : « Une surveillance post-vaccination précise s’avère nécessaire pour détecter suffisamment tôt une éventuelle substitution de génotypes. »

Giambi C. et al., 2013. Etude transversale destinée à pouvoir estimer la prévalence du papillomavirus humain à haut risque, ainsi que la distribution de types chez les femmes italiennes âgées de 18 à 26 ans. BMC Infect Dis. 13:74. doi: 10.1186/1471-2334-13-74.

… Les études en provenance des Etats-Unis, de l’Allemagne, de l’Italie et des Pays-Bas appuient toutes les mêmes conclusions : il existe des preuves d’une grande préoccupation quant à la pertinence des vaccins contre le HPV : alors que les types ciblés par les vaccins sont éliminés, la centaine de types qui sont susceptibles de les remplacer dans la population sexuellement active comprend des types pathogènes qui peuvent être plus dangereux que ceux qui sont visés par les vaccins.

Les statistiques sur les types qui sont censés provoquer la plupart des cancers pourraient être potentiellement trompeuses parce qu’il existe une relation inverse entre la possibilité qu’un pathogène puisse causer une maladie (morbidity) et les décès (mortality). Si l’on compte le nombre de cas, le HPV 16 semble bien être à haut risque. Bien que les types de fréquence peu élevée pourraient même présenter un risque PLUS ELEVE – ce qui expliquerait peut-être pourquoi leur fréquence est peu élevée.

L’étude allemande (Fisher et Al. 2016) est irrévocable. Nous avons donc la réponse : la substitution des types de HPV est réelle. Elle est causée en partie par la vaccination contre un groupe de virus oncogènes.

Source: Vaccine Impact

Voir aussi

Vaccins anti-HPV: quand le slogan "une de moins" ("one less") devient "une de plus" ("one more").

"Vaccins HPV, fausse protection et vrais risques: démêler le vrai du faux?"  

Prévention intelligente des infections à HPV: aucune place pour la vaccination!

Etats-Unis: hausse des cancers liés à une infection au papillomavirus (NB: les USA sont un des pays du monde qui a le plus vacciné contre le HPV et ce, dès 2006,...)

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2 mai 2017 2 02 /05 /mai /2017 22:32

Importante avancée de la varicelle suite à la vaccination

Jefferey Jaxen , 29 mars 2017

Importante avancée de la varicelle suite à la vaccination

Un examen récent publié dans la revue « Expert Review of Vaccines » intitulé : grave avancée de la varicelle chez des personnes vaccinées au moyen du vaccin contre la varicelle : une revue systématique de la littérature. [i] Cette étude a examiné 34 articles publiés de 1974 – 2016 afin de mieux comprendre la portée des réactions sévères de la varicelle chez les personnes vaccinées.

 

Jusqu’à présent aucun examen systématique n’a été effectué, et aucune tentative n’a été faite pour rechercher la série des complications sévères de la varicelle chez les personnes vaccinées afin de pouvoir évaluer le programme de vaccination américain contre la varicelle.

 

Les Etats-Unis ont été les premiers à recommander une seule dose de vaccin contre la varicelle en 1996. En 2006, ce programme a été remis à jour pour 2 doses du vaccin. [ii]

 

Au cours de l’examen systématique, les auteurs ont identifié 21 articles décrivant une avancée de la varicelle avec une infection par le virus Varicella-Zoster avec atteinte d’autres organes que la peau.- 9 articles évoquent des hospitalisations suite à une poussée de varicelle sans mentionner d’autres organes que la peau et 4 articles décrivent les deux types de cas.

 

Au total, les auteurs ont identifié de 52 à 60 cas de poussée de la maladie avec une infection par le virus Varicella-Zoster et l’atteinte d’autres organes que la peau. Les chercheurs ont rapporté les complications suivantes : pneumonie (n= 8-9 cas), troubles neurologiques (n= 18-24 cas), troubles hématologiques (n= 10-11 cas), troubles oculaires (n=5 cas), troubles rénaux (n=2 cas), troubles hépatiques (n=3 cas), infection secondaire avec bactériémie ou septicémie (n=8 cas), autres complications (n=4 cas). Les chercheurs ont en outre trouvé 6 cas mortels. Les chercheurs ont trouvé un certain nombre de questions clés à partir de leurs résultats de recherche.

 

Tout d’abord, les auteurs concluent qu’une varicelle sévère chez des personnes vaccinées peut impliquer une infection à virus Varicella-Zoster disséminé, impliquant d’autres organes que la peau. Des hospitalisations, ainsi que des décès peuvent s’ensuivre, mais ces complications semblent inhabituelles.

 

Ensuite, les auteurs affirment que les complications impliquant une infection à virus Zoster disséminé avec atteinte organique en plus de la peau sont similaires à celles observées dans les cas de varicelle chez des personnes non vaccinées. En troisième lieu, les auteurs ont découvert que la majorité des personnes hospitalisées suite à une avancée de la varicelle sans autre atteinte des organes (autre que la peau) n’avaient reçu qu’une seule dose de vaccin.

 

Dans leur résumé, les auteurs exposent ce qui suit en guise de leur conclusion d’experts :

 

Avec plus de 31 millions de doses distribuées chaque année dans le monde depuis 2007, de graves poussées de varicelle peuvent se produire, mais elles semblent être rares. »

 

Les vaccins contre la varicelle recommandés par les Centres Américains de Contrôle et de Prévention des Maladies ne sont pas couverts par le Programme d’Indemnisation des dommages vaccinaux. C’est en 2006 qu’est paru l’ouvrage intitulé : « Le vaccin contre la varicelle : une nouvelle épidémie et une nouvelle histoire de corruption ».

 

Dans cet ouvrage, Mark Orrin et le Dr Gary S. Goldman évoquent le problème général de la recherche sur les vaccins, y compris les omissions de données, les officiels de santé induits en erreur, la censure qui s’exerce sur les résultats négatifs du vaccin contre la varicelle et autres problèmes.

 

Source: Greenmed.info

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26 janvier 2017 4 26 /01 /janvier /2017 22:21

Un petit garçon de Galesburg décède d’une infection à HiB bien qu’il ait été vacciné

 

Jaden Lester est mort le 15 septembre après avoir contracté une infection à Haemophilus influenzae de type B (HIB)

 

 

Jaden Lester (6 ans) est décédé le 15 septembre 2016 après que sa respiration ait été réduite parce que ses amygdales se sont subitement enflammées.

 

Une autopsie a montré qu’il était décédé d’une infection à Haemophilus influenzae de type B, une infection bactérienne contre laquelle il avait été vacciné.

 

Une autopsie confirme que le petit garçon qui est mort en septembre dernier est décédé d’une infection bactérienne (en suspension dans l’air). Il est décédé le 15 septembre après avoir connu des difficultés respiratoires et que ses amygdales se soient subitement enflammées.

 

Ce qui a provoqué l’inflammation est resté un mystère jusqu’à mardi, lorsque le médecin légiste de Knox, Mark Thomas a annoncé que le petit Lester est mort d’une infection à Haemophilus influenzae de type B. (Hib)

 

Le vaccin Hib est couramment administré en plusieurs doses à partir de l’âge de deux mois. Le petit Lester avait bel et bien reçu cette vaccination, comme le précise le médecin légiste Mark Thomas.

 

Le DrThomas veut préciser que le vaccin ne couvre pas toutes les souches de Hib et que l’infection est toujours possible chez des enfants vaccinés.

 

Les Centres de contrôle des maladies (CDC)  signalent qu’un enfant peut attraper le Hib s’il se trouve à proximité d’autres enfants ou adultes qui peuvent être porteurs de la bactérie sans en être eux-mêmes informés.

 

Les décès dus à cette maladie sont rares et les cas ont diminué de manière spectaculaire depuis que le vaccin est devenu disponible dans les années 1980, avec un déclin de plus de 99%, selon le CDC.

 

Selon WGIL- radio, Lester s’était plaint d’un mal de gorge le 14 septembre 2016.

 

Le lendemain à 3h.27 du matin, les parents ont lancé un appel au 911. Mais Lester est décédé avant l’arrivée des premiers secours.

 

Source : Kwqc.com

 

NB: Puisqu'on le voit, l'efficacité du vaccin laisse à désirer, demandez-vous donc d'autant plus s'il est sensé et rationnel d'ajouter à ce risque que le vaccin ne fonctionne pas tous les autres risques d'effets secondaires, bien plus nombreux et variés que ce que la maladie naturelle serait éventuellement susceptible de provoquer et encore, si elle était contractée ce qui n'est pas certain du tout, même sans avoir été vacciné (tous les non vaccinés ne finiraient pas forcément par faire la maladie et encore moins par souffrir forcément de ses complications minoritaires s'ils la contractaient naturellement) !

 

Voir aussi

 

Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme (le cas du vaccin contre l'haemophilius influenza évoqué par Dr Classen)

 

Le vaccin HiB provoque le diabète de type 1: l'étude parue dans le British Medical Journal

 

Maladies auto-immunes et vaccins: un lien incontestable

 

Scientifiquement prouvé: les vaccins causent l'auto-immunité (et ne font donc pas que la révéler!)

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2 janvier 2017 1 02 /01 /janvier /2017 12:28

Un cancer de stade 3 s’est développé chez une jeune femme qui avait reçu le vaccin contre le HPV

 

Jacqueline, 6 juillet 2016, Posté par VAXXED

Un cancer de stade 3 s’est développé chez une jeune femme qui avait reçu le vaccin contre le HPV

Le vaccin Gardasil contre le HPV a été mis sur le marché pour empêcher le cancer. Dans le cas de cette jeune femme, au lieu d’empêcher le cancer, le vaccin l’a provoqué. Les parents et les jeunes-filles ont réellement besoin de comprendre les dangers que présente de vaccin. Pour les aider à comprendre, cette vidéo constitue une information des plus précieuses.

 

L’expérience a appris à cette jeune-fille qu’il n’était parfois pas approprié de faire une confiance aveugle aux conseils médicaux actuels souvent basés sur la cupidité.

 

Pour son cancer, cette jeune-femme a refusé la chimiothérapie et la radiothérapie qui lui avaient été proposées. En lieu et place elle a eu recours à des méthodes alternatives intensives. Dix ans plus tard, elle est là pour nous raconter son histoire !

 

J’ose espérer qu’un maximum de personnes pourront écouter son témoignage passionnant de 10 minutes !

 

Erin Crawford a fréquenté l’université de Louisville qui avait réalisé un contrat avec Merck pour la recherche et le développement du Gardasil. C’est, par hasard, à l’université que le vaccin lui fut proposé. Elle a accepté de se faire vacciner pour se protéger du cancer du col de l’utérus.

 

Au cours de la vidéo (9.33) la jeune femme explique qu’après son amygdalectomie d’urgence et après l’ablation du col de l’utérus cancéreux, un pathologiste indépendant a examiné les tissus des amygdales, du col de l’utérus, et a constaté que les types 16 et 18 du HPV y étaient présents. Les deux souches du vaccin Gardasil étaient présentes dans les tissus biopsiés.

 

Extraits de la vidéo :

 

C’est quand j’étais à l’université que j’ai reçu la première dose du vaccin Gardasil. Un professionnel de santé m’a expliqué qu’il existait un vaccin contre le cancer du col de l’utérus et le lui a proposé.

 

Au moment où on m’a proposé ce vaccin, j’avais bien en tête que 3 membres de ma famille étaient décédés de cancer. Cette situation a évidemment joué dans ma peur, et c’est comme cela que j’ai accepté la première injection, croyant bien faire. La nuit qui a suivi, je me suis réveillée pour vomir. Je me sentais terriblement faible. Je ne parvenais plus à bouger ni mes jambes, ni mes bras qui me semblaient peser des tonnes. J’avais aussi de la fièvre. Dans les jours qui ont suivi, les ganglions de mon cou sont devenus énormes. Une semaine plus tard, mes amygdales avaient tellement gonflé que j’ai dû être transportée aux urgences.

 

J’ai ainsi été malade pendant 6 mois. Finalement on a dû m’enlever les amygdales en urgence. Mes règles avaient aussi  complètement disparu. On finit par me diagnostiquer un cancer du col de l’utérus stade 3, cette maladie que j’avais précisément voulu éviter.

 

Trois mois avant de me faire vacciner, j’avais fait mon frottis annuel et tout était parfait ; bilan de santé parfaite.

 

Après la vaccination, chaque fois que je me fâchais ou m’énervais, je m’évanouissais.

 

J’ai aussi commencé à mal réagir à plusieurs aliments qui auparavant ne m’avaient jamais causé le moindre problème.

 

Pendant un an et demi, j’ai suivi plusieurs traitements pour mon cancer. Le diagnostic de cancer a été posé 3 fois à différents intervalles jusqu’au jour où il fut décidé  de m’enlever le col de l’utérus.

 

Plusieurs mois plus tard, alors même que je n’avais plus de col de l’utérus, je reçus le 4ème diagnostic de cancer. C’est à ce moment-là que j’ai réalisé que la communauté médicale ne pouvait guère m’aider.

 

Mon cancérologue m’expliqua que j’allais mourir si je n’acceptais pas la chimiothérapie et la radiothérapie. C’est alors que je me suis rappelé que la santé des 3 membres de ma famille qui avaient été traités par chimiothérapie et radiothérapie, n’avait fait que se dégrader. – J’ai alors refusé les traitements qui m’étaient proposés.- Malgré le fait que j’étais dans la peur, j’ai commencé à faire mes propres recherches, à étudier. – J’ai finalement découvert le protocole du Dr M. Gerson (jeûne avec jus de fruits et de légumes, et lavement au café). J’y ai ajouté plusieurs autres thérapies alternatives. C’est ainsi que j’ai eu recours à la chiropraxie, à la chambre hyperbare, à l’acupuncture. J’ai aussi appris à méditer. J’ai ainsi pendant 6 mois, et de manière intense eu recours à différentes thérapies alternatives.

 

Après 6 mois, le cancer avait disparu.

Un cancer de stade 3 s’est développé chez une jeune femme qui avait reçu le vaccin contre le HPV

Erin chaleureusement applaudie par toute la salle

 

Dans mon alimentation, j’ai eu l’attention particulièrement attirée par les aliments ayant des propriétés anti-inflammatoires.- Ma nourriture était essentiellement bio ; pas de pesticides.

 

J’ai aussi pris des doses importantes de vitamine C. Je veillais à prendre des aliments sans gluten, sans produits à base de soja. J’avais aussi supprimé tous les produits laitiers. Des graisses comme l’huile de coco m’ont redonné de l’énergie car, pendant environ 2 ans je m’étais sentie très fatiguée, ne voulant pratiquement plus quitter mon lit. Ce régime à base de bonnes graisses est aussi favorable au bon fonctionnement du cerveau. J’ai aussi pris beaucoup d’Oméga 3.

 

Une chose qui m’a beaucoup aidée : l’exercice (yoga et marche) Sur le plan de l’exercice, il me fallait aussi être très prudente.

 

J’ai aussi essayé d’éviter toutes les formes possibles d’aluminium, de fluor.

 

D’une certaine manière, je me rends compte que c’est une chance de n’avoir eu qu’une seule injection. C’est peut-être grâce à cela que je suis encore là aujourd’hui. C’est en effet après la première injection que j’ai de suite été malade. – Il y a maintenant 9 ans que je n’ai plus de cancer.

 

Je ne sais personnellement pas si c’est le vaccin qui a causé tout cela ; je ne suis pas compétente en la matière. Ce que je puis dire cependant c’est que la maladie contre laquelle je voulais me protéger, je l’ai finalement contractée, et ce fut une longue et dure bataille.

 

Je veux aussi dire aux victimes du Gardasil qu’il y a de l’espoir grâce à l’alimentation et au style de vie.

 

Source : Deeprootsathome.com

 

 

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