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19 mars 2013 2 19 /03 /mars /2013 22:30

Alors qu'à l'occasion de la fausse urgence grippale de cet hiver à New-York, c'était les pharmaciens qu'on autorisait à vacciner (y compris les enfants) dans leurs officines, c'est à présent au tour des infirmières d'espérer avoir "leur part du gâteau"...

 

C'est ainsi qu'on pouvait lire dans le Journal du Médecin n°2304 du 8 mars dernier qu' "en France, les infirmières pourront bientôt prescrire vaccins et dépistages" !

 

Jdm-8-mars-2013.jpg

 

Jdm 8 mars 2013 (1)

Jdm-8-mars-2013--2-.jpg

 

 

Cette décision s’inscrit dans le contexte actuel de BANALISATION & DE HARCELEMENT VACCINAL. Tout est donc bon pour vacciner le plus possible : offrir des cadeaux aux vaccinés, les piquer dans les pharmacies, leur présenter les futurs vaccins « non douloureux » sans aiguilles et autres foutaises. Ne manquait donc presque plus au tableau que la prescription de vaccins par des infirmières, alors que… la vaccination est pourtant un acte médical à part entière.

 

Et pour cause, il s’agit rien de moins que l’initiation d’un processus immunologique incontrôlable et irréversible une fois le produit injecté (expérimental par définition vu les carences graves dans l’évaluation de TOUS les vaccins actuellement sur le marché). Et on va donc confier ce geste à des infirmières… pourquoi ne pas leur confier aussi les chirurgies ou les sutures tant qu’à faire ?

 

Ah oui, c’est vrai, elles diront que ça, elles ne savent pas faire. Sauf qu’en matière de vaccination, il ne s’agit pas de seulement savoir pratiquer le geste technique de l’injection, il faut aussi en savoir assez sur les risques qui peuvent modifier toute une vie plutôt que piquer à la chaîne. Et un des indices qui montrent cruellement que les infirmiers et infirmières n’en savent généralement pas assez du tout sur le sujet, c’est l’affirmation FAUSSE d’Alda Dalla Valle, présidente de la Fédération belge des Infirmières, quand elle prétend que « les risques sont fortement réduits lors des injections de rappel » (par rapport aux injections initiales). Cela montre bien que ces gens réduisent les risques aux seules éventualités d’anaphylaxie (allergie grave) ALORS QUE l’on peut au contraire lire dans le rapport du Forum européen de vaccinovigilance de 2004 que :

 

 « La plupart du temps, l’apparition des troubles est progressive : au début, apparaissent quelques petits dysfonctionnements auxquels on ne prête pas une très grande attention. L’aggravation se produit après les rappels de vaccins. […] Plus on reçoit de doses vaccinales, plus les problèmes s’aggravent. »  (cfr p. 61/81)

 

Il est peu probable que les infirmières soient en mesure de détecter ces « petits dysfonctionnements» inauguraux  quand on sait que 61% de ceux (y compris des médecins) qui administrent le vaccin antigrippal sont incapables de reconnaître un effet secondaire.  Le risque est donc grand que des gens ayant en réalité mal supporté la première dose de vaccin mais ne faisant pas la connexion au moment du rappel, se trouvent aggravés de façon irréversible par un rappel effectué en toute insouciance par une infirmière ou un infirmier. Songeons-y avant d'accepter cette malencontreuse délégation de responsabilités !!

 

 

Voir aussi l'article du Monde intitulé "La vaccinaion, casus belli des professions de santé".

 

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commentaires

J
Je suis infirmière à domicile et je voudrais préciser certains point de l'article par rapport aux déclarations de Mme Dalla Valle : Contrairement aux pansements qui sont considérés comme du rôle<br /> propre de l'infirmière (pouvant être accomplis sans prescription médicale), les vaccins sont des actes médicaux qui peuvent être confiés l'infirmière sous la surveillance d'un médecin. Autrement<br /> dit, cet acte n'est pas autorisé aux infirmières à domicile. J'ai régulièrement des personnes qui viennent me trouver pour pratiquer un vaccin que le médecin leur a prescrit. Je refuse évidemment<br /> et les renvoie à leur médecin mais je perds à chaque fois un patient car je vois bien qu'ils se demandent ce que c'est qu'une infirmière qui refuse de faire une piqûre. Je sais que d'autres n'ont<br /> pas mes scrupules... à leurs risques et périls !
Répondre
I
<br /> <br /> Tout à fait, nous sommes bien d'accord avec vous, c'est une sage précaution car de fait, en cas de problème, votre responsabilité pourrait être engagée. Dommage que toutes les infirmières ne<br /> soient pas aussi lucides que vous en tout cas!<br /> <br /> <br /> Mais le public reste encore largement désinformé sur les effets graves possibles des vaccins qui sont sous-estimés, tant en fréquence bien sûr qu'aussi en diversité. C'est ainsi que peu de gens<br /> arrivent à comprendre qu'une "piqûre" d'un liquide puisse par exemple leur abîmer le cerveau (sclérose en plaques par exemple) ou aller progressivement détruire leurs articulations avec des<br /> phénomènes auto-immunes comme la spondylarthrite ankylosante ou encore la polyarthrite rhumatoïde. La presse grand public porte à cet égard bien sûr une écrasante responsabilité puisqu'elle<br /> aurait pu déjà depuis DES DECENNIES relayer, même sobrement les noms des maladies graves liées aux vaccinations dans la littérature médico-scientifique mondiale la plus officielle! Au lieu de<br /> cela, les médias taisent les choses, les minimisent généralement ou alors ne focalisent que sur un seul effet possible (par exemple, ils ont parlé de la SEP après vaccin HB mais pas de toutes les<br /> autres maladies possibles, pareil avec l'alu, on n'a parlé que des seules myofasciites à macrophages alors que l'aluminium est aussi associé à d'autres types de pathologies).<br /> <br /> <br /> Et donc, si on ajoute à ça aussi la jurisprudence française assez récente avec ce médecin de Bordeaux si notre mémoire est bonne, qui a été condamné à payer 3000 euros à un patient atteint de SEP<br /> après vaccin HB, non pour défectuosité du produit mais pour défaut d'information suffisamment complète sur les risques graves connus (tel qu'imposé par la loi Kouchner du 4 mars 2002), on se rend<br /> compte qu'une infirmière qui prescrirait un vaccin ne serait donc pas forcément exemptée, au contraire, de cette obligation d'information suffisamment complète, avec l'épée de Damoclès judiciaire<br /> qui ira bien sûr de pair!<br /> <br /> <br /> http://www.juritravail.com/Actualite/informations-patient/Id/33351<br /> <br /> <br /> <br />
É
Et en 2014, on proposera que ce soit le jardinier de l'hosto qui fasse les rappels des vaccins, chaque jour entre midi et deux heures, dans la cabane à outils au fond du parking ?
Répondre
I
<br /> <br /> AHH oui, mdr, ça risque peut-être bien d'arrivern au point où ils en sont... ;-)<br /> <br /> <br /> <br />

                    

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