Une étude revue par les pairs et publiée en février dernier dans la revue Vaccine tente de répondre à cette question (bien entendu, parce que cela fait obstacle aux vélléités de vaccination à tout prix un peu partout).
Elle a été réalisée en Israël auprès d'infirmières d'un Centre de Soins Mère-Enfant au sujet notamment des vaccins antigrippaux et anticoquelucheux.
Parmi les résultats, les chercheurs ont indiqué: "Perte de confiance dans les autorités de santé, surtout à la suite de la prétendue épidémie de grippe A/H1N1. En outre, les infirmières ne voient pas l’importance de servir de modèles pour le public. Elles réclament le pouvoir de décider de manière autonome si oui ou non elles vont recevoir les vaccins. Les infirmières qui veulent également qu’une différence soit établie entre leur rôle d’infirmières et leur vie privée, ont exprimé leurs craintes par rapport aux nouveaux vaccins. Elles présentent cependant de faibles niveaux de perception du risque. Les infirmières ont exprimé des idées fausses concernant la vaccination."
Au point 3.3 de l'étude, on peut notamment lire "Crainte des effets secondaires" ("Fear of side effects"), suivi du passage suivant:
"Les infirmières ont fait état de leurs expériences en matière d'effets secondaires de vaccins. Elles avaient le sentiment que la sévérité et le risque de contracter des maladies ne valaient pas celui de se faire vacciner avec un vaccin sur le marché depuis trop peu de temps que pour connaître ses possibles effets secondaires. Ceci concernait les vaccins contre la grippe et la coqueluche et elles avaient le sentiment que les autorités les utilisaient comme des cobayes."
Beaucoup de gens ont le sentiment de faire office de cobayes. La fausse pandémie de H1N1 et la teneur des contrats signés par les Etats a d'ailleurs montré que c'était bien le cas.
Il est courant et même banal que les officiels taxent d'" idées fauses" ce que des gens ont dû pourtant constater dans la réalité des FAITS, tout simplement parce que l'expression de ces faits contredit et dérange les thèses commerciales officielles. Si vous vous souvenez, la Lettre du Médecin a elle aussi sous-entendu récemment ce genre d'idées, en affirmant de façon purement gratuite que "nous ne nous lassions pas des critiques les plus dures envers les vaccins.". Si nous émettons des critiques, c'est parce qu'il nous semble au contraire qu'il y a vraiment de quoi et que ces critiques sont justes plutôt que "dures", "très dures" ou "trop dures"!
Ce qui dérange le système n'est donc pas faux pour autant, attention aux raccourcis!
Source: Vaccine Liberation Army
Les infirmières comme les médecins sont bien placés pour pouvoir constater au quotidien les effets secondaires des vaccins. Hélas, une certaine frange non négligeable du corps médical qui a pris conscience des risques des vaccins mais aussi de ceux qu’il y a à s’exprimer publiquement sur ce sujet tabou, préfèrent utiliser à bon escient leurs informations pour eux-mêmes afin d’éviter de se faire vacciner, tout en continuant cependant à vacciner leur patientèle comme si de rien n’était.