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16 janvier 2014 4 16 /01 /janvier /2014 18:24

Et bien sûr, sans surprise, les soldats sont tombés malades. L'Etat israëlite a été obligé de les indemniser mais avec des montants dérisoires au regard du préjudice subi...

 

Les Etats et les apprentis-sorciers qui collaborent à ces vaccins hasardeux traitent les humains comme du vulgaire bétail, et encore même moins bien. A qui le tour?

 

NB: Fait intéressant, et ce n'est évidemment PAS le hasard, les journalistes essaient dans toute la mesure du possible d'éviter le mot "vaccin" dans le titre d'un article qui concerne des victimes de cet acte médical, de façon à alléger la charge et à protéger l'image des vaccins qui ne le mérite pourtant nullement. C'est ainsi que le titre de l'article suivant est volontairement estompé et désinformateur et omet sciemment le mot "vaccin contre l'anthrax" pour y substituer "Anthrax".

 

Faible indemnisation pour les soldats cobayes de l’Anthrax

 

14 janvier 2014

 

L’état va devoir indemniser les soldats qui ont servi à élaborer un vaccin contre l’anthrax. En 2008, on a découvert que 800 soldats d’unités d’élite des Forces de défense israéliennes avaient fait partie d’une expérience secrète entre 1998 et 2006, celle-ci visait à développer un vaccin contre la maladie de l’anthrax (ou maladie du charbon), une maladie infectieuse mortelle qui affecte la peau, les poumons et les intestins.

 

L’expérience connue sous le nom de code « Omer 2 », a été décidée à la suite d’une évaluation du Ministère de la Défense faite il y a 15 ans sur les bases qu’Israël pourrait avoir à faire face à une attaque bioterroriste. Dans le cadre de cette expérience, les soldats ont reçu des injections d’un vaccin mis au point par l’Institut israélien de recherche biologique, un institut de recherche gouvernemental spécialisé dans les domaines de la biologie, de la chimie médicinale et des sciences de l’environnement. Les recherches et les expériences qui ont suivi avaient pour but de développer un vaccin pour le grand public.


Apres quelques années, de nombreux soldats qui ont participé aux essais cliniques ont commencé à souffrir d’effets secondaires graves tels que des lésions de la peau, des tumeurs, des pneumonies sévères, des migraines, des bronchites, des crises d’épilepsie ainsi que d’autres maladies chroniques.


Devant la Cour du district de Petah Tikva, l’Etat a déclaré que l’objectif de l’expérience avait été atteint,  que si Israël devait faire face à une menace de l’anthrax, le vaccin développé grâce aux soldats qui se sont portés volontaires pour l’expérience pourra être utilisé et protéger à la fois les forces de sécurité d’Israël et le public.


L’Etat a reconnu que le succès de Omer 2 a été assombri par les troubles de santé qu’ont subis de nombreux bénévoles.

 

Pour eux, l’Etat d’Israël a joué avec leur santé avant de les abandonner. Les ministères de la Défense et de la Justice ont publié un communiqué conjoint annonçant le règlement de cette terrible affaire portée en justice par 92 anciens soldats qui en 2010 ont déposé un recours collectif contre le ministère de la Défense. Ce règlement stipule que les 92 plaignants recevront chacun une indemnité de 27.000 NIS plus 36.000 pour couvrir les frais juridiques. D’autre part un fonds de 21 millions de NIS sera mis en place pour couvrir les frais médicaux dépensés par des centaines d’autres soldats.

 

par Dan Amselem pour Tel-Avivre

 

Source : Tel Avivre

 

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14 janvier 2014 2 14 /01 /janvier /2014 19:30

fotolia prison

Voici ci-dessous la lettre on ne peut plus juste mais aussi "cuisante" qu'un médecin généraliste belge (qui a encore le sens de son devoir d'efficacité et d'humanité envers ses patients) vient d'envoyer aux parlementaires belges sur l'immense scandale sanitaire qui est susceptible de nous concerner tous un jour ou l'autre au sujet des conditions d'accès de l'oxygène à domicile... Rappelons que ce n'est pas la première lettre que le Dr Caironi envoie aux parlementaires. Mais il le fait cette fois-ci après avoir été honteusement débouté par le Conseil d'Etat qui a osé qualifier sa requête d'"opportuniste"... qu'a-t-il pourtant à y gagner puisqu'il a lui-même payé cette procédure de sa poche? Tout cela montre de façon effrayante le peu d'indépendance de la justice (comme nous avions déjà pu le constater dans l'affaire du H1N1...)

 

Tous au cours de notre vie, nous sommes susceptibles d'avoir un jour besoin de bonbonnes d'oxygène à domicile dans le cadre d'une condition de santé particulière. Jusqu'à il y a peu, cette prescription sûre et efficace, qui ne peut apporter que du bien et un soulagement aux patients sans contrepartie en termes d'effets secondaires, pouvait être effectuée par le médecin traitant/médecin généraliste. Désormais, grâce à une soi-disant concertation de la Ministre Onkelinx avec des pseudos experts pneumologues et sous prétexte d'économie, les patients les plus démunis sur le plan financier seront OBLIGES de passer au moins une nuit à l'hôpital pour que cette prescription soit effectuée par des pneumologues hospitaliers. Un business de plus pour les hôpitaux mais absolument RIEN à y gagner pour les malheureuses personnes, souvent en fin de vie, ou atteinte de cancer ou de maladies incurables. Ces malheureux patients qui ont tout à gagner à ne pas se rendre à l'hôpital en termes de déplacement (beaucoup sont grabataires), en termes de stress aussi (l'hôpital entraîne un stress accru pour les malades, encore plus pour les seniors qui n'ont souvent plus que leur "chez soi" comme seul repère) et en termes de risque de contracter une affection nosocomiale qui pourrait bien leur coûter la vie, se retrouvent donc forcés sous peine d'asphyxier d'aller à l'hôpital. Dans le même temps, les plus riches d'entre nous pourront encore se payer ces bonbonnes hors circuit classique et donc hors remboursement. Inutile de rappeler qu'avec un salaire de 15 000 euros nets par mois, les Ministres n'ont donc pas à s'inquiéter pour eux-mêmes des mesures iniques qu'ils approuvent pour l'ensemble de leurs "dociles sujets"!

 

Si on ajoute à cela que plusieurs patients se sont vus retirer les bonbonnes à domicile dont ils disposaient en vertu de l'ancien système et que certains en ont fait une complication neurologique grave et irréversible (lésion du cerveau par anoxie =  manque d'oxygène) qui a imposé leur placement en institution de soins spécialisée et leur séparation de fait de leur conjoint, on mesure alors mieux l'ampleur de ce despotisme sanitaire implaccable et inexcusable qu'il serait urgent de combattre à la racine si on veut un jour ne pas avoir à en faire les frais.

 

 

 

Lettre aux Parlementaires belges

 

Brief aan de Belgische Parlementariërs

 

Place de la Nation

 

1008 Bruxelles

 

Le 4 janvier 2014

 

Madame, Monsieur le Député Fédéral, Dames en Heren Parlementariërs,

 

Concerne : oxygénothérapie à domicile ; A.R du 17.5.2012 ; Arrêt du Conseil d’Etat N° 221.728 du 13 décembre 2012, affaire A. 205.726/VII-38.598 (procédure en suspension) ; Arrêt du Conseil d’Etat N° 225.548 du 21 novembre 2013, (procédure an annulation) ; considérations post-mortem.

 

En tant que médecin suisse résidant en Belgique depuis ma naissance, j’ai mis ma vocation, mon altruisme, mon humanisme, et mes connaissances acquises grâce à vos universités, au service des malades – et de votre beau pays. J’en suis très fier. Cette fierté n’a d’égale que l’indignation qu’a suscitée l’Arrêté royal repris sous rubrique. J’en fais un court historique décrit par un médecin engagé, imprégné de l’Art de Guérir, imbu de ses prérogatives en la matière, pénétré du service à rendre au chevet des malades les plus démunis dans la plus grande détresse qui soit, celle où l’on respire à peine, où l’on étouffe : 

 

La loi en question fait fi d’un diplôme universitaire de sept (7) années d’études, réduit les connaissances d’un médecin généraliste à leur portion congrue, celle d’un faire-valoir, et, surtout, lui retire, sans aucune base scientifique et de manière totalement arbitraire, ses compétences historiques, scientifiques et cliniques, diagnostiques et thérapeutiques, en matière d’insuffisance cardio-respiratoire à domicile, ceci dans des conditions aiguës, souvent tragiques sur le plan social et humain. Cette loi inique, mue pas des impératifs économiques, initiée par une caste de spécialistes hospitaliers et d’experts en tout genre, provoque actuellement des drames quotidiens. L’oxygène à domicile, prescrite par un généraliste, mais refusée après trois mois de traitement, force des malades grabataires en insuffisance respiratoire grave, à quitter le lit, à risquer leur dernier souffle de vie dans des ambulances rudimentaires, d’où, extirpés après un folle équipée, ils deviennent le jouet de l’échelonnement horizontal qui fait florès au sein des entreprises hospitalières. Les liens ci-après permettent de se rendre compte de la gravité de la situation – et de la honte qui devrait submerger tout citoyen responsable prenant connaissance de ces articles ou de ces reportages : 

 

http://www.initiativecitoyenne.be/article-chantage-a-l-air-que-nous-respirons-a-va-jusque-la-114100067.html 

 

http://www.initiativecitoyenne.be/article-ces-experts-dont-le-manque-de-bon-sens-ruine-des-vies-117319458.html

  

A titre personnel, j’ai entamé, en mon âme et conscience, une procédure en suspension et annulation au Conseil d’Etat. La nuque ceinte d’une écharpe blanche, j’ai, aux côtés de mon avocat, pris la parole en néerlandais par respect pour votre multilinguisme que je ne connais que trop bien dans mon propre pays. J’ai dit aux juges l’altruisme, la dignité de ma fonction qui ont dicté et guidé ma démarche. Je me suis également adressé à vous dans un précédent courrier l’année passée. J’ai ainsi beaucoup appris sur le fonctionnement des institutions démocratiques belges. Le moins qu’on puisse dire est que votre système me semble très éloigné de celui de mon pays d’origine, imbibé des votations chères à la démocratie directe ! J’ai ainsi volé d’étonnement en étonnement. J’ai notamment appris que l’Arrêté royal en question n’a de royal que l’adjectif, qu’il n’est même pas proposé au Parlement en séance plénière, lequel, donc, ne le vote pas. Bien sûr, le texte en question a fait l’objet d’une discussion au sein d’un commission ad hoc composée de parlementaires de tout bord. Et c’est heureux, car certains d’entre vous y ont pris courageusement la parole pour clamer leur indignation. Je garde en mon cœur ce cri d’alarme lancé par le Député Damien Thiéry en date du 05/12/2012, en l’absence notoire de la Ministre : « C’est de la folie ». J’ai retenu aussi cette formule lapidaire à la fin des débats : « L’incident est clos ».

 

Le scandale de l’oxygénothérapie à domicile m’inspire ces lignes chères à Montesquieu (De l’Esprit des lois) : Lorsque dans la république, le peuple en corps a la souveraine puissance, c’est une démocratie. Lorsque la souveraine puissance est entre les mains d’une partie du peuple, cela s’appelle une aristocratie. Fin de citation.

 

Oui, Madame, Monsieur le Député fédéral, une certaine aristocratie s’est arrogée l’Art de Guérir, mais aussi le pouvoir de légiférer en la matière aux détriments du peuple et de la démocratie par lobbyistes, experts, et conseillers interposés. Vexatoires pour votre médecin, ses compétences et son aura, ces mesures touchent dangereusement votre famille, vos amis, vos électeurs et créent un véritable apartheid socio-économique. En effet, à raison de près de deux-cents (200) Euros tous les trois mois, les nantis se procurent de l’oxygène payant (…) sans aucune contrainte !

 

Je souhaiterais aussi vous faire part de quelques considérations toutes personnelles sur la séparation des pouvoirs. Ainsi, votre Conseil d’Etat prévoit des initiatives personnelles, insolites, mais citoyennes telles que la mienne, lorsqu’une loi pose question (s). Cette procédure est tout à votre honneur. Toutefois, il est communément admis que l’action de l’Auditorat se situe dans le prolongement de celle du Ministre et auteur de la proposition de loi. Il est également communément admis que les juges du Conseil d’Etat suivent l’avis de l’auditeur. Ce comportement est on ne peut plus logique puisqu’il s’agit de ne pas entraver la bonne marche d’un exécutif face à d’éventuels procéduriers. Dans ce contexte, j’ai été écouté poliment au Conseil d’Etat. Mais ai-je été entendu ? La question est posée. Sachez que je suis particulièrement choqué par une des formulations du jugement, qualifiant ma démarche de je cite « opportuniteitskritiek » ou critique opportuniste. 

 

Une telle vision de la séparation des pouvoirs, laquelle porte en soi et sciemment ou non le germe d’une continuité du pouvoir, ne peut fonctionner valablement que sous trois conditions : 1. Lorsque ladite loi a été bien pensée et savamment mûrie, à partir d’un tour de table le plus large possible incluant tous les acteurs de la société civile concernés au premier chef, en l’occurrence les malades et leur médecin généraliste. 2. Lorsque ladite loi, ensuite, a fait l’objet d’un projet, débattu sereinement, de manière contradictoire et visible, par une majorité des représentants du peuple. 3. Lorsque ladite loi, enfin, a été votée en toute clarté et en pleine lumière. Lorsque, dixit Montesquieu, l’aristocratie se substitue à la démocratie, la séparation des pouvoirs devient caduque, et le despotisme s’installe – accouchant de lois effrayantes.

 

Oui, Madame, Monsieur le Député fédéral, la loi sur l’oxygénothérapie à domicile est une loi effrayante. Il suffit, pour vous en rendre compte, de relire cette lettre en retenant votre respiration. Oppressante et opprimante à souhait, cette loi, incomprise de vos électeurs et de l’Histoire, risque de se rappeler à votre bon souvenir au crépuscule de votre vie. Ce n’est pas ce que je vous souhaite bien sûr, mais il est grand temps de penser et de légiférer avec le cœur.

 

Puisse mon action susciter un dernier baroud d’honneur au sein de votre haute Assemblée, et, ainsi, contribuer au bon fonctionnement de vos institutions en vous inspirant dans vos activités futures au service des gens et des malades les plus démunis au sein de notre société. C’est là tout le bonheur que je vous souhaite en cette fin de législature et en ce début de l’année 2014 que j’espère heureuse, épanouie, et emplie d’oxygène, bien sûr !

 

Bien respectueusement et cordialement vôtre,

 

Docteur Baudouin Caironi

 

PS : réponses stéréotypées, à partir d’un papier-collé de l’écrit d’un chef de groupe : s’abstenir.

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27 décembre 2013 5 27 /12 /décembre /2013 19:04

Une infirmière enceinte licenciée pour avoir refusé le vaccin anti-grippe

  

D’après Lily Dane, the Daily Sheeple, 23 décembre 2013

 

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Une infirmière de Pennsylvanie a été licenciée pour avoir refusé de se faire vacciner contre la grippe.

 

Dreonna Breton a pris la décision de refuser le vaccin parce qu’elle était enceinte et  qu’elle avait une histoire de fausses couches.

 

« Je veux donner le meilleur vaccin à mon bébé. Par rapport au vaccin contre la grippe il y a des choses que l’on ne connaît pas, comme par exemple la façon dont il peut affecter la croissance d’un bébé », déclare Madame Breton. […]

 

L’ancien employeur de Madame Breton acceptait les exemptions religieuses et médicales aux vaccins. Madame Breton dit qu’elle a fait part de ses inquiétudes à son nouvel employeur au sujet du vaccin. Elle lui a même remis le rapport écrit d’un médecin au sujet de son histoire de fausses couches. Son médecin avait écrit : « A mon avis, se faire vacciner contre la grippe aurait un impact significatif et négatif sur sa santé en raison de ses craintes,  de l’anxiété que la vaccination créerait, ainsi que de l’impact émotionnel qu’une nouvelle fausse couche pourrait avoir sur elle. »

 

L’hôpital a fait savoir à Madame Breton que les raisons qu’elle avait de refuser la vaccination n’étaient pas valables et elle fut congédiée.

 

Carolyn Carlson, infirmière et présidente d’ « Horizon » a expliqué dans un mail à PennLive que les demandes d’exemption sont examinées par un comité de médecins. Elle a aussi précisé que la vaccination contre la grippe est une condition d’emploi parce que le vaccin protège les patients, les employés, ainsi que la communauté par rapport à une infection qui pourrait être grave.

 

Le Centre National d’Information sur les Vaccins fournit les informations suivantes sur le vaccin contre la grippe pendant la grossesse :

 

Au cours des années précédentes, la grossesse faisait partie des contre-indications à la vaccination contre la grippe, mais aujourd’hui le Comité consultatif sur les pratiques d’immunisations (ACIP)  des Centres de Contrôle des Maladies (CDC) recommande le vaccin contre la grippe pour les femmes enceintes de plus de 14 semaines.

 

« Les notices publiées par les fabricants de vaccins contre la grippe indiquent que des études sur la reproduction animale n’ont pas été réalisées pour le vaccin à virus de la grippe. On ne sait pas non plus si le vaccin contre le virus de la grippe peut nuire au fœtus lorsqu’il est administré à une femme enceinte. Bien que des études sur la reproduction animale n’aient pas été réalisées, le médecin prescripteur se doit d’être au courant des recommandations du comité consultatif sur les pratiques de vaccination. L’ACIP précise que s’il est utilisé après 14 semaines de gestation, l’administration du vaccin  contre le virus de la grippe peut être préférable pour éviter une association fortuite entre le vaccin et une fausse couche précoce. »

 

Les femmes enceintes doivent être conscientes que le vaccin contre la grippe contient du Thimerosal, un dérivé du mercure ; Le mercure est toxique pour le cerveau et a été associé à des lésions cérébrales, ainsi qu’à des retards de développement chez les bébés dont les mères ont été exposées à des niveaux élevés de mercure pendant la grossesse.

 

Les avertissements repris dans les notices du type celle qui suit concernent bien entendu le cas de Madame Breton : « Le Fluzone ne devrait être administré à une femme enceinte que  si la chose est clairement nécessaire. » Madame Breton explique avoir fait des recherches approfondies sur le vaccin contre la grippe et « s’est donnée beaucoup de peine pour trouver des éléments scientifiques solides qui pourraient justifier l’obligation de la vaccination contre la grippe. » 

 

« Ce serait une fausse déclaration que de dire que le vaccin contre la grippe est sans danger quand il est administré pendant la grossesse. », précise-t-elle. J’ai perdu mon travail, un travail que j’aime beaucoup et dans lequel j’excelle ; tout cela parce que j’ai choisi de faire ce que je crois être la meilleure chose pour mon bébé. » a-t-elle déclaré.

 

Au cours de la saison grippale 2012-2013, il a été montré que l’efficacité du vaccin contre la grippe était juste de 56% pour tous les groupes d’âges examinés par le CDC, soit l’équivalent statistique d’un tirage au sort. Chez les personnes âgées de 65 ans et plus, l’efficacité du vaccin contre la grippe aux Etats-Unis n’était que de 9%.

 

Quel est le sens de contraindre une femme enceinte à se faire injecter un vaccin toxique, d’une faible efficacité qui pourrait nuire à l’enfant à naître ? Madame Breton est une nouvelle victime de cet ultimatum insensé qui menace les infirmières et le personnel de soins : «  faites vous vacciner ou c’est la porte ! »

 

Source : The Dailysheeple.com

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14 novembre 2013 4 14 /11 /novembre /2013 22:44

Découvrez tout d'abord les deux textes de propagande vaccinale et de harcèlement/intimidation sur lesquels nous basons notre communiqué de presse de ce jour. Ces textes concernent des établissements et des élèves/des étudiants de la région de Namur (en Belgique) mais il est malheureusement assez probable que ces pressions et cette désinformation éhontée se passent aussi dans bien d'autres régions du pays et même au-delà, dans d'autres pays....

 

* Texte du Centre Médico-Psychologique (CMP) de l'Unamur en faveur de la vaccination contre la diphtérie et le tétanos

 

* Texte du Centre de Promotion de la Santé de Namur centre en faveur de la vaccination HPV

 

 

Si vous lisez attentivement les documents et que vous confrontez leur contenu à celui de notre communiqué de presse de ce jour, vous vous rendrez compte qu'UNE FOIS ENCORE, des dizaines d'étudiants risquent d'être victimes d'une désinformation et d'une politique éhontée de la peur qui fait fi des droits des patients les plus élémentaires.

 

Ca se passe en Belgique, près de chez nous à notre époque de la soi-disant "information" et c'est TOUT A FAIT ACTUEL  puisque ces vaccinations seront organisées le mardi 21 novembre prochain et le jeudi 23 novembre pour l'Université de Namur  et dès le samedi 23 novembre pour les élèves du secondaires à Namur (première dose de vaccin HPV).

 

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19 octobre 2013 6 19 /10 /octobre /2013 20:01

Les avantages fiscaux bientôt supprimés pour les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants

 

FILLE-qui-pleure.jpg

  J.D. Heyes (Natural News)

 

Lentement, mais sûrement les grandes puissances de la démocratie sont en train de glisser vers le totalitarisme, tout en nous jurant que cette transition qui prend ses distances par rapport à la liberté, et à nos libertés est pour notre plus grand Bien.

 

L’exemple le plus récent de cette montée en douceur d’une « soft tyrannie » s’est produit à l’autre bout du monde, en Australie – jadis connue pour sa vision farouchement individualiste. C’est dans ce pays que le gouvernement travailliste socialiste dirigé par le Premier Ministre Kevin Rudd, veut forcer les parents à vacciner leurs enfants sous la menace de perdre un crédit d’impôt non négligeable.

 

Selon l’Australian Broadcasting Corporation News (ABC News) :

 

« …Rudd a annoncé que les parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants vont passer à côté de milliers de dollars qu’ils pourraient autrement recevoir du gouvernement

 

S’exprimant dimanche à l’hôpital Westmead à Sydney, M.Rudd a déclaré que « les parents qui ne feraient pas vacciner leurs enfants ne pourront recevoir le supplément de fin d’année du « Family Tax Benefit ».

 

Ce payement équivaut à 726 $ par enfant et par année. Cette somme est allouée après que les enfants aient été vaccinés à un, deux et cinq ans.

 

Il faut vacciner parce qu’il s’agit d’une « science qui a fait ses preuves »

 

Le rapport indique que, depuis l’année dernière, les parents qui avaient encore à faire vacciner leurs enfants, n’ont pas reçu la somme de fin d’année (pour laquelle ils avaient cependant cotisé (en tant que contribuables). Mais, poursuit ABC News, les parents qui se sont inscrits comme objecteurs de conscience ont cependant bien reçu la somme en question.

 

En vertu de la nouvelle politique du Parti Travailliste, les seules exceptions qui seront accordées seront celles qui sont fondées sur des motifs religieux ou médicaux.

 

Les fonctionnaires et les parlementaires du Parti du Travail précisent que leur politique de décapage des libertés vise à faire vacciner davantage d’enfants, pour « éviter que les enfants qui ne sont pas vaccinés ne contractent des maladies comme la coqueluche, la rougeole et qu’ils fassent courir des risques aux autres. » a précisé ABC News. En outre, selon les responsables Australiens de la santé, la science de la vaccination «ne peut être contestée» ( c'est-à-dire, jusqu’à ce qu’une vaccination tue ou handicape un enfant, comme ce fut le cas d’un vaccin contre la grippe qui a depuis été interdit) : voir ICI

 

Un communiqué du gouvernement précise : « La vaccination est le moyen le plus sûr et le plus efficace pour les parents de protéger leurs enfants contre la maladie, et l’une des mesures de santé publique les plus importantes à notre disposition. »

 

Tanya Plibersek, Ministre Fédéral de la Santé, a déclaré à Sky News que la toute dernière menace du gouvernement va en fait augmenter les taux de vaccination.

 

« C’est l’une des façons les plus simples et les moins chères de maintenir la communauté en bonne santé. » a-t-elle précisé.

 

« Nous pensons que, chaque année, environ 3 millions de vies sont sauvées dans le monde grâce à la vaccination. » a-t-elle précisé. Nous sommes très heureux qu’en Australie, un si grand nombre de ces maladies aient pratiquement disparu, ce qui devrait quelque peu satisfaire le public. »

 

L’Association Médicale Australienne a aussi pesé de tout son poids. Le Dr Steve Hambleton a déclaré que les bénéfices de la vaccination l’emportaient de loin sur les risques.

 

« Le message fort, c’est que le gouvernement récompense les personnes qui font ce qu’il faut (la bonne chose) … [et] vaccinent complètement leurs enfants. » a précisé ABC News. «Si nous pouvons obtenir des taux de vaccinations supérieurs à 90%, nous allons pouvoir abolir des maladies comme la rougeole et nous pourrons nous attaquer à des maladies comme la coqueluche. »

 

Même la presse Australienne est biaisée. Le Daily Telegraph de Sydney « lu par des milliers d’électeurs dans les principaux centres de l’ouest de Sydney » a publié une campagne très critique à l’égard des parents qui choisissent de ne pas faire vacciner leurs enfants.

 

Même en Australie, tout est pour le Bien des enfants !

 

Mike Adams rédacteur en chef de Natural News n’est pas dupe de ces bénédictions «officielles » des vaccins. Il y a quelques années, il s’est ouvertement moqué de la « logique » erronée à propos du vaccin contre la grippe :

 

« Les Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies, de même que l’industrie du vaccin versent dans une logique apparemment contradictoire. « Nos vaccins fonctionnent si bien qu’ils offrent une immunité quasi-totale contre la grippe », prétendaient-ils. Et pourtant ils sont si peu efficaces qu’un an après, il faut se refaire vacciner, et revacciner chaque année.

 

C’est là le grand mensonge de l’industrie du vaccin : ce mensonge qui vous oblige à vous faire revacciner chaque année, souvent avec les mêmes souches qui ont servi à vous vacciner l’année précédente. Les vaccins pour l’hiver 2011, par exemple, ont été fabriqués avec les mêmes souches que les vaccins de 2010. »

 

Qui plus est, la menace du gouvernement Australien de refuser ces sommes aux contribuables est typique d’un autoritarisme inhérent à une mentalité anti-démocratique : faites ce qu’on vous dit ou bien nous allons vous punir.

 

Sources:

 

http://www.abc.net.au

http://www.naturalnews.com

http://www.cidrap.umn.edu

http://science.naturalnews.com  

http://www.naturalnews.com/z041729_tax_benefits_forced_medication_child_vaccination.htm

 

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13 octobre 2013 7 13 /10 /octobre /2013 18:30

La Haute Cour décide que deux sœurs DOIVENT recevoir le vaccin ROR

 

11 octobre 2013- BBC News

 

BBC-vaccination-forcee-ROR.jpg

 

Un juge a décidé que deux sœurs, âgées de 15 et 11 ans doivent recevoir le vaccin ROR bien qu’elles deux et leur mère ne le veuillent pas, a appris le service des actualités de la BBC.

 

La décision de la Haute Cour, datant du mois dernier, découle de la procédure intentée par le père des deux filles au sujet de la vaccination.

 

Les parents, à ce jour divorcés, étaient d’accord, lorsqu’ils étaient mariés, de ne pas faire vacciner les filles compte tenu de la controverse entourant le vaccin ROR.

 

Mais le déroulement de l’affaire Wakefield (que certains ont assimilé à un discrédit du lien entre autisme et vaccin ROR) et les récentes épidémies de rougeole ont changé la manière de voir du père.

 

C’est la troisième fois avec ce cas, que ce genre de situations est porté devant les tribunaux.

 

En 2003, une mère se vit ordonner de faire vacciner son enfant contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, après que le tribunal eut estimé que les bénéfices de la vaccination l’emportent sur ses risques. En 2011, des enfants placés en institution furent obligés de recevoir le vaccin ROR contre le souhait de leurs parents.

 

« Fin du débat sur le ROR » ?

 

S’agissant de la justification de sa décision dans ce dernier cas, la juge Justice Theis a insisté sur le fait qu’il s’agit d’un « cas spécifique » et « uniquement motivé par le besoin de bien-être des enfants », mais les avocats disent que ce cas fait partie d’une série qui confirme qu’il n’y a plus de débat au sujet des bénéfices du vaccin.

 

La rougeole est une maladie hautement contagieuse caractérisée par une forte fièvre et un rash (éruption).

 

(La BBC indique des chiffres qui nous semblent tellement exagérés que nous prenons le soin d’indiquer que c’est elle qui l’indique) : Dans un cas sur 15, la rougeole peut mener à de sévères complications comme la pneumonie (en réalité beaucoup plus rare mais il est vrai que la vaccination généralisée a déplacé l’âge naturel de survenue de la maladie à un âge, soit plus jeune, soit plus tardif, où le taux de complications est clairement accru) et dans un très faible nombre de cas à des encéphalites qui peuvent mener à des dommages cérébraux ou même à la mort (il est bon de noter toutefois, comme ne le fait pas la BBC, que la vaccination aussi peut induire des encéphalites, des dommages cérébraux et même la mort !)

 

Le vaccin ROR est un vaccin combiné contre la rougeole, les oreillons et la rubéole, trois maladies infectieuses fréquentes dans l’enfance. Il fut introduit en 1988 au Royaume-Uni pour remplacer les vaccins individuels contre ces maladies prises séparément.

 

La première dose de vaccin ROR est donnée en injection unique aux bébés dans le cadre de leur calendrier vaccinal de base, habituellement endéans le mois qui suit leur premier anniversaire. Ensuite, une seconde injection du vaccin ROR est donnée avant l’entrée à l’école.

 

La première dose (continue la BBC) donne une protection de 95% contre la rougeole tandis qu’une deuxième dose offrirait 99 à 100% de protection.

 

Des inquiétudes de végétaliens

 

En 1988, une étude d’Andrew Wakefield (mais cosignée par de nombreux autres chercheurs, note d’IC) était publiée dans le très respecté journal médical The Lancet, et évoquait la possibilité que le vaccin ROR soit lié à des maladies intestinales et à l’autisme.

 

L’étude et le relai médiatique tonitruant de celle-ci, ont conduit beaucoup de parents à ne pas faire vacciner leurs enfants avec ce triple vaccin, incluant les parents des deux filles qui sont au cœur de l’affaire, dans le cas d’espèce.

 

La fille la plus âgée avait déjà reçu une injection de ROR, mais pas la deuxième dose ; sa plus jeune sœur n’avait encore jamais reçu ce vaccin. Ces décisions avaient été adoptées conjointement par les parents à l’époque.

 

Cependant, le père des filles a changé d’avis en janvier 2013. Il a invoqué la saga Wakefield et sa radiation de l’ordre des médecins en 2010 et la crainte de conséquences de santé négative compte tenu des « épidémies » de rougeole au Royaume-Uni. Pour lui, par conséquent, ces deux filles doivent recevoir cette vaccination.

 

Selon le texte de la décision de justice, dont a pu prendre connaissance la BBC, le père qui est à la base de l’action, a écrit en janvier à la mère des deux filles pour obtenir son accord sur le fait qu’elles devraient toutes les deux êtres vaccinées en lui indiquant que si elle ne marquait pas son accord, il porterait l’affaire devant la justice.

 

La mère n’a pas marqué son accord et le sujet a donc abouti sur le bureau de la section familiale de la Haute Cour.

 

La compréhension des enfants

 

Une experte en bien-être infantile, spécialement mandaté par le tribunal, et qui a longuement parlé avec les filles, a déclaré qu’aucune d’elles ne désire se faire vacciner.

 

Les enfants étaient particulièrement préoccupés par les ingrédients du vaccin, qui incluent des composants d’origine animale ; une des filles est végétalienne.

 

Cependant, l’expert a dit que lorsqu’elle a demandé aux filles ce qu’il arriverait si elles tombaient malades après la rougeole, les oreillons ou la rubéole et qu’elles avaient besoin de médicaments, les deux filles n’avaient clairement pas réfléchi aux ingrédients que ces médicaments-là pourraient contenir.

 

L’experte a déclaré que les deux enfants avaient été fortement influencées par leur mère qui était très anxieuse au sujet de la vaccination.

 

Mme Justice Theis a décidé que c’était dans le meilleur intérêt des enfants qu’elles soient vaccinées.

 

« Je suis consciente que ceci va à l’encontre de la volonté des filles mais ceci n’est pas le seul facteur à prendre en compte. » « La cour doit aussi prendre en compte leur degré de compréhension des tenants et aboutissants de cette problématique et des facteurs qui ont influencé leur opinion. Je ne considère pas qu’elles aient un degré de compréhension suffisamment équilibré des enjeux ici à l’œuvre. »

 

L’avocate de la mère, Philippa Dolan, a déclaré à la BBC que les filles n’avaient pas encore été vaccinées malgré le délai imparti (fixé à jeudi dernier) qui a déjà été dépassé.

 

L’avocate a également précisé : « Il y a des difficultés pratiques à forcer l’exécution de cette injonction du tribunal et ceci reste une question qui reste d’actualité. Il n’y a pas de délai légal sur le fait que la discussion qui est en cours entre les parents doit cesser et tout le monde espère que cela se résoudra sans autre litige. »

 

Source: BBC News (sauf pour les commentaires d'Initiative Citoyenne)

 

loupeS’il y a un article qui nécessite quelques commentaires, c’est bien celui-là…

 

Que voit-on, que peut-on objecter, à la juge, aux médias partiaux, au père désinformé et manipulé par la peur ? Voici en quelque sorte « la preuve par 9 » que ces gens-là ont vraiment TOUT FAUX !

 

1°) Les « arguments » du père sont très faciles à faire s’écrouler compte tenu que Wakefield n’est PAS le seul à avoir obtenu les résultats d’étude qu’il a obtenus (et que les autres chercheurs n’ont eux, pas été victimes de la même chasse aux sorcières…Wakefield était un pionnier et comme souvent les pionniers…) mais aussi compte tenu que ce qu’on appelle « épidémies » aujourd’hui est très en de ça du nombre de cas qu’il y avait chaque année dans ce pays avant l’émergence du vaccin (et sans que cela ne fasse les gros titres des journaux). Comme le montrent les données de l’annuaire statistique de France, la mortalité liée à la rougeole a baissé spontanément sans vaccin de 99,5% entre 1906 et 1983, année d’introduction du vaccin ROR.

 

rougeole Mortalité

 

Mais bien entendu, pour vendre et écouler un vaccin, la peur est toujours utilisée. C’est d’ailleurs si vrai qu’en France, avant l’introduction du vaccin, le Pr Bastin déclarait dans  le Concours Médical en 1976 : « La rougeole, une des maladies dites bénignes de l’enfance, mérite pleinement cette appellation en France. » L’année suivante, le même professeur enfonçait le clou en rappelant qu’« Il serait difficile de vacciner systématiquement chez nous où la maladie est bénigne, puisque sur 100 rougeoleux hospitalisés [donc des cas choisis pour leur sévérité], la mortalité est de 0,17. »

 

2°) La vaccination ROR peut léser des enfants, et la question de l’autisme n’est absolument pas tranchée, comme le reconnaît ouvertement le Dr Bernadine Healy, ancienne directrice du NIH (excusez du peu) sur CBS en 2008 !

 

3°) Parmi les effets secondaires du vaccin ROR, on retrouve aussi des lésions neurologiques graves et irréversibles dont les conséquences sur LA VIE ENTIERE sont sans commune mesure avec les risques statistiques réels d’une rougeole naturelle. De nombreux exemples en témoignent. Au Royaume-Uni, citons par exemple le cas de Robert Fletcher, devenu handicapé à vie après ce vaccin ROR (il ne sait plus ni parler, ni marcher ni manger seul !) et en France, nous avons encore publié au sujet du cas tragique du petit Nello il y a encore quelques semaines (lui aussi ne sachant plus parler, ni marcher ni manger seul après sa seconde dose de ROR). En outre, il ne faut pas oublier que plusieurs enquêtes et études indépendantes ont montré que la santé des enfants non vaccinés était meilleur que celle des enfants vaccinés!

 

robert fletcher avant- après

 

4°) On retrouve bien sûr aussi le problème de l’indemnisation des victimes. La juge ordonne que les filles soient vaccinées mais s’engage-t-elle aussi à assumer les conséquences si elles surviennent ? Car si on prend le cas de Robert Fletcher par exemple, qui était parfaitement normal avant la vaccination ROR et qui après ça, ne sait plus marcher, ni parler ni manger seul pour le restant de sa vie, sa famille a dû se battre pendant 18 ans pour que la justice impose aux autorités de verser une somme qui n’équivaut même pas à 100 000 euros !

 

En 1978, 280 parents d’origine britannique ont introduit une requête devant la Commission européenne des Droits de l’Homme. Leurs enfants avaient subi des dommages graves et irréversibles ou même étaient décédés (15%) à la suite des vaccinations. Les parents ont été déboutés. La Commission a estimé que, la vaccination étant libre en Grande-Bretagne, elle devait être considérée comme volontaire. Les parents avaient cependant fait valoir que le consentement qu’ils avaient dû donner pour la vaccination avait été donné dans des conditions peu correctes vu qu’aucune information ne leur avait été donnée sur les risques possibles ou les contre-indications. Ils auraient pourtant dû être informés puisque le Ministère Britannique avance l’argument qu’« aucune procédure d’immunisation n’est entièrement dépourvue d’effets secondaires. » Requête N°7154/75.

 

5°) Qu’en est-il aussi des enfants de la juge, qui prouve qu’eux ont bien été vaccinés ? Car il faut rappeler que Tony Blair, dont le gouvernement travailliste avait déployé beaucoup d’efforts pour promouvoir le vaccin ROR, n’avait pas apporté la preuve de la vaccination ROR de son fils à la presse qui lui avait demandé si son enfant avait reçu ce vaccin. Il est licite et à la fois logique qu’il eût été ravi de fournir une telle preuve si elle avait été existé ! Trop souvent encore, c’est le faites ce que je dis qui prévaut. En témoignent les résultats accablants d’une enquête anonyme de l’INPES (Institut National de Prévention et d’Education à la Santé) menée en 2005 auprès d’un échantillon représentatif de 400 médecins généralistes et pédiatres français : 58% d’entre eux se posent des questions sur l’utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité. Une des grandes raisons pour lesquelles les médecins n'informent pas les parents de leurs doutes, c'est bien sûr une raison pécunière car selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, la vaccination représente au moins 12,6% des revenus annuels des médecins généralistes et au moins 33% des revenus des pédiatres (sans compter bien sûr les autres consultations pour effets secondaires de vaccins!)

 

6°) Et il y a plus que de quoi s’interroger sur l’efficacité et la sécurité ou plutôt l’absence totale de sécurité des vaccins (qu’il s’agisse du ROR ou d’autres) compte tenu de plusieurs précédents notoires et d’informations admises au plus haut niveau.

 

a)   Au début des années 90’, le vaccin ROR Pluserix était retiré du marché en raison des risques accrus de méningite qu’il engendrait. Il a alors été réutilisé dans le Tiers-Monde…

 

b)   Des documents confidentiels couvrant une période de 30 ans, montrent noir sur blanc que les autorités britanniques ont pendant toutes ces années cherché à dissimuler les risques graves, notamment neurologiques, de plusieurs vaccins dont celui contre la coqueluche et le ROR, pour promouvoir A TOUT PRIX la poursuite des programmes. Qui peut décemment croire que ces mêmes autorités n’appliquent plus cette même politique de tromperie et de dissimulation ?? D’autres documents confidentiels sur les vaccins Infanrix Hexa et Prevenar, tels que publiés sur notre site internet, montrent que cette politique de dissimulation est évidemment mondiale et pas uniquement réservée au Royaume-Uni !

 

c)   Le Dr Peter Fletcher, ancien haut responsable du Comité sur les Médicaments au Royaume-Uni, expose clairement dans la préface du livre du Dr Wakefield (Callous Disregard) que si l’approbation du ROR n’avait tenu qu’à sa seule personne au Royaume-Uni, il s’y serait opposé. Il avance notamment le fait très important que les essais cliniques pré-commercialisation du ROR portaient sur un nombre de sujets nettement insuffisant pour évaluer valablement le risque d’effets secondaires graves. « Etrangement », c’est aussi ce que soulignent plusieurs auteurs français dans un article paru en novembre 2011 dans la Revue du Praticien qui reconnaissent que le nombre de sujets inclus dans les essais pré-commercialisation est trop faible. Ces mêmes auteurs rappellent en outre plusieurs éléments fondamentaux, comme par exemple que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont effectivement comptabilisés mais aussi qu’il n’y a « pas de consensus au sein du monde médical sur le timing de survenue et la sémiologie (= nature des symptômes) à observer pour pouvoir incriminer un vaccin. ». Par conséquent, tous ceux qui prétendent que les bénéfices d’une vaccination dépassent ses risques parlent toujours dans le vent et sans aucun fondement rationnel, au détriment des libertés publiques mais aussi du droit des enfants à la santé et donc de la santé publique toute entière.

 

d)   Le Dr Jean-François Saluzzo, consultant pour l’OMS, et responsable de toute la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur (NB : le ROR est un vaccin viral !) a admis dans un cours de vaccinologie en ligne qu’ « ils ne savent pas comment marchent les vaccins. ». Du plus haut niveau, nous recevons donc des aveux clairs que tous les vaccins sont expérimentaux. Forcer l’administration d’un produit expérimental constitue une violation du Code de Nuremberg qui n’a été rédigé qu’après 2 guerres mondiales sanglantes, guerres auxquelles la Grande-Bretagne a participé !! Ce code édicte en condition SINE QUA NON et donc auto-suffisante, le consentement libre et éclairé des individus.

 

e)   La prétendue efficacité de la valence oreillons, incluse dans le vaccin, est fausse et n’est pas de 95% comme l’ont dénoncé des anciens scientifiques haut placés de chez Merck, témoins de toute première main qui parlent clairement de « fraude ».

 

f)    La vaccination fait produire le plus souvent au corps des anticorps mais on peut encore faire la maladie bien qu’ayant tout de même développé des anticorps. Par ailleurs, l’administration aveugle d’une seconde dose de ROR a plus de chances d’avoir un effet contre-productif que positif car elle réduit en réalité le taux d’anticorps précédemment développés avec la précédente dose (étude de Daï-Bin, référence ici en fin d’article).

 

g)   L’administration d’un vaccin combiné présente plus de risques encore que des vaccins séparés. L’étude Pourcyrous l’a bien montré sur les prématurés, avec des taux d’inflammation et d’hémorragies cérébrales clairement différents d’un groupe à l’autre, selon que les enfants avaient reçu des vaccins combinés ou des monovaccins !! La rubéole est bénigne à l’âge des jeunes filles et les oreillons également, ces derniers lorsqu’ils sont contractés naturellement, conférant même aux jeunes filles une protection naturelle contre le cancer de l’ovaire !  Vu que la rougeole naturelle confère une protection contre l’asthme et les allergies notamment, contraindre ces filles à recevoir une vaccination aveugle les prive de leur droit à bénéficier de ce type de protection.

  

h)   Le Pr Delong, immunologiste américain et Professeur à l’Université de Toledo, a rédigé un livre entier consacré aux dangers incalculables des vaccins à virus vivants (sont des vaccins à virus vivants les vaccins suivants : ROR, valences séparées rougeole, oreillons, rubéole, varicelle, fièvre jaune, rotavirus, certains vaccins contre la typhoïde, l’ancien vaccin contre la variole, le vaccin nasal contre la grippe). Ce livre s’intitule « Live viral vaccines, biological pollution » (« Vaccins à virus vivants, pollution biologique. ») Dans ce livre, le Pr Delong explique notamment qu’il faut avoir complètement perdu la raison et avoir bien peu de connaissances immunologiques pour aller injecter dans des corps sains, des virus vivants fussent-ils atténués. Selon lui, le mal ainsi fait est incalculable. Et d’évoquer notamment les funestes conséquences d’une latence virale dans l’organisme de ces virus vaccinaux : risque de cancer, de mutation génétique, risque pour la descendance et la stabilité de son ADN…

 

i)    La vaccination est un tel dogme qu’une juge aussi peu informée n’a sans doute pas pris en considération le fait de faire doser les taux d’anticorps anti-rougeoleux des jeunes filles pas plus que leur taux de vitamine A (alors même que le risque de complications graves de la rougeole est augmenté chez les enfants et les gens manquant de vitamine A, une vitamine qui ferait défaut chez 40% des enfants « bien nourris » aux USA selon plusieurs experts en nutrithérapie.)

 

7°) La Convention Européenne de Bioéthique (Convention d’Oviedo) stipule en son article 2 que « L’intérêt et le bien-être de l’individu doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. » Le Royaume-Uni a signé cette Convention.

 

8°) Le Conseil de l’Europe vient d’émettre une résolution disant vouloir combattre toute forme de violation médicalement injustifiée de l’intégrité physique des enfants. Dans le texte de la résolution, il est indiqué qu’il faut TENIR COMPTE de l’AVIS des enfants, veiller à leur autonomie et à leur auto-détermination dans les cas où cela est possible (or ce cas montre que cela était possible !)

 

9°) La jurisprudence de la Cour Européenne de Justice est la suivante en matière d’obligation vaccinale (or le Royaume-Uni est un pays dans lequel aucune obligation n’est instituée, contrairement à des pays comme la France ou la Belgique par exemple) :  « qu’en tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée, garanti par l’article 8 de la Convention Européenne des Droits de l’Homme et des libertés fondamentales» (Arrêt SALVETTI c/Italie – CEDH Décision du 9 juillet 2002 ; n° 42197/98)

 

Rajoutons aussi, enfin,  en matière juridique, le parallèle entre cette triste situation et ce qui s'est passé en 2010, en Argentine, où un couple qui était d'un même avis, a été condamné à faire vacciner de façon forcée son enfant. Intéressant de noter à ce propos que les juges du tribunal concerné n'étaient pas tous d'accord entre eux... Voici à ce propos ce qu'a estimé un des juges (qui n'était pas d'accord de condamner les parents à une vaccination forcée de leur enfant) et dont la position a été rapportée à l'époque par le journal national la Nacion:

 

[Il s'agit] « d’une attitude délibérée, rationnellement assumée et librement décidée au sein de la famille. Je ne vois en cela, soutint ce juge, aucune transgression mettant en péril l’ordre public ; mieux encore, il m’apparaît que l’usage de la contrainte, en réponse à cette attitude, reviendrait à remplacer une prise de décision familiale par une autre de la part de l’Etat en inversant l’ordre naturel qui régit la vie privée et la vie publique [1]. Je ne constate pas non plus, continua-t-il, un danger particulier pour le mineur. Les risques qui pourraient découler du refus des parents et de l’alternative choisie pour la protection immunologique de l’enfant ne semblent pas différer de ceux qui peuvent survenir lorsque l’on prend tout type de décision dans notre existence. Ces risques ne sont pas, en outre, plus importants que ceux que pourrait engendrer une vaccination faite sous la contrainte ».

 

Voir aussi l'article: Ethique vaccinale & prostitution de la Science

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 20:40

24 septembre 2013, par Me Philippe Vanlangendonck, avocat au Barreau de Bruxelles.

 

BIG-BROTHER-IS-watching-you.jpg

Le 26 juillet 2013, l'hebdomadaire « Le Vif » titrait que: « La loi "Big Brother " passe comme une fleur ». C'est probablement en raison de la période estivale que cette annonce relativement fort importante à bien des égards, a pourtant fait l'objet d'un très modeste écho médiatique et politique, pour cette loi votée, peut-être pas vraiment tout-à-fait par hasard, la veille des vacances parlementaires.

 

Il est en tout cas remarquable qu'une loi ainsi clairement qualifiée de « loi Big Brother » puisse en réalité être adoptée dans un tel climat d'indifférence aussi généralisée, alors qu'elle touche aux fondements même de la liberté d'expression, la présomption d'innocence, et ainsi que de la protection de la vie privée et de la confidentialité de plusieurs professions (médecins, journalistes, avocats, ...).

 

Une telle indifférence a de quoi interpeller sérieusement sur le plan de la santé de notre société dite démocratique, à moins de refléter plutôt gravement à quel degré la démocratie en réalité ne règnerait-elle déjà plus entièrement en Belgique en 2013.

 

Nous avions déjà eu l'occasion au printemps 2013 dans un ouvrage collectif paru chez L'Harmattan[2], de souligner jusqu'à quel point la démocratie se livre à un véritable bras de fer avec la particratie en Belgique[3].

 

Comme le relevait George ORWELL dans « 1984 »[4], « L'hérétique, l'ennemi de la société, existera toujours pour être défait et humilié toujours. Tout ce que vous avez subi depuis que vous êtes entre nos mains, tout cela continuera, et en pire. L'espionnage, les trahisons, les arrêts, les tortures, les exécutions, les disparitions, ne cesseront jamais. Autant qu'un monde de triomphe, ce sera un monde de terreur. Plus le Parti sera puissant, moins il sera tolérant. Plus faible sera l'opposition, plus étroit sera le despotisme. ».

 

Plus précisément, la loi « Big Brother » en question, s'intitule : « Projet de Loi portant modification des articles 2, 126 et 145 de la loi du 13 juin 2005 relative aux communications électroniques et de l'article 90decies du Code d'instruction criminelle. »[5]

 

Cette loi a été votée à la Chambre et au Sénat respectivement les 17 et 18 juillet 2013, le Sénat ayant  décidé de ne pas l'amender, seul Ecolo-Groen avaient proposé des amendements [6].

 

Pratiquement, cette loi sur la " détention de données " obligera les opérateurs télécom à conserver durant un an le détail des courriels (reçus et envoyés) et communications téléphoniques de leurs clients - à l'exception du
contenu.

 

Sous couvert de lutte contre le terrorisme et la grande criminalité, on prévoit de surveiller tous les habitants du royaume.[7] Ettore Rizza relève que « Chez nous, la directive a suscité une levée de boucliers de la Ligue des droits de l'homme, qui y voit une atteinte inutile à la présomption d'innocence, mais aussi des organisations professionnelles de médecins, avocats et journalistes, arc-boutés sur leur sacro-saint secret professionnel. « Nous avons fait part de nos craintes au cabinet de la Justice, sans recevoir ne serait-ce qu'un accusé de réception », s'émeut Laurence Evrard, de l'Ordre des barreaux francophones et germanophones. »

 

Comme l'explique Le Vif, cette loi « Big Brother » part de la directive européenne 2006/24/CE, rédigée sur les décombres des attentats londoniens de 2005, qui visait à harmoniser la conservation de données télécom au sein des vingt-sept.

 

Il ne fait pas l'ombre d'un doute que cette loi comporte des atteintes majeures au secret professionnel des avocats (outre les médecins et les journalistes) et à la confidentialité de leurs relations avec leurs clients.

 

Plus généralement cette loi « Big Brother » permet facilement de trouver un prétexte pouvant autoriser n'importe quelle espèce de « chasse aux sorcières », que ce soit dans le domaine de la liberté thérapeutique, de la liberté religieuse et de croyance, d'enseignement, ou de la liberté d'association, sans aucun respect des normes constitutionnelles applicables en la matière :

 

- L'art. 29 de la Constitution dispose que : « Le secret des lettres est inviolable. »

- L'art. 12 de la constitution belge dispose que : « La liberté individuelle est garantie. Nul ne peut être poursuivi que dans les cas prévus par la loi, et dans la forme qu'elle prescrit. »

 

Cette loi « Big Brother » est contraire à « la liberté de manifester ses opinions en toute matière » telle que visée à l'article 19 de la constitution belge, puisqu'elle visera des écarts par rapport à des conformités sociale et idéologiques et non des transgressions de dispositions pénales.

 

Cette loi « Big Brother », sans viser une transgression de norme(s) à part entière, équivaudra aussi à une violation de l'art. 27 de la constitution disposant que «Les Belges ont le droit de s'associer; ce droit ne peut être soumis à aucune mesure préventive. », dans son impact à titre préventif, voire « proactif ».

 

Pour l'ensemble des citoyens, et non seulement les professions tenues au respect du secret professionnel, chacun est visé en violation de son droit au respect de sa vie privée.

 

En effet, si nous comparons avec les services de LA POSTE, cela équivaut à la tenue d'une double liste d'une part de tous les expéditeurs de vos courriers reçus comme professionnel et/ou privé et d'autre part, un liste de tous les destinataires de vos courriers envoyés comme professionnel et/ou privé, avec dans les deux cas, le titre (l'objet, le sujet) de chacune de ces lettres, même si la Loi en question ne porte pas sur le contenu en tant que tel des courriers électroniques ...

 

Ce n'est pas parce qu'il s'agit de courriers électroniques au lieu de courriers papiers, que les règles fondamentales permettant aux professionnels (médecins, avocats, journalistes) d'être actifs dans l'exercice de leur métier de matière autonome et indépendante, pourraient ainsi être bafouées de manière systématique et souterraine.

 

La sûreté de l'Etat dans le cadre de ses activités peut utiliser cette loi, dans le cadre de "la recherche, l'analyse et le traitement du renseignement relatif à toute menace contre la pérennité de l'ordre démocratique et constitutionnel ainsi que contre le potentiel scientifique et économique du pays et d'en informer le gouvernement."[8]

 

Alors comment se fait-il que cette loi « Big Brother » ait pu passer si discrètement en plein été, la veille des vacances parlementaires, en dessous de tous les radars protecteurs de la bonne vieille démocratie belge ? George ORWELL nous éclaire à nouveau sur un tel climat d'adhésion sans faille : « Tel est le monde que nous préparons, Winston. Un monde où les victoires succèderont aux victoires et les triomphes aux triomphes ; un monde d'éternelle pression, toujours renouvelée, sur la fibre de la puissance. Vous commencez, je le vois, à réaliser ce que sera ce monde, mais à la fin, vous ferez plus que le comprendre. Vous l'accepterez, vous l'accueillerez avec joie, vous en demanderez une part. »[9].

 

De l'indifférence actuelle à la « joie » évoquée par ORWELL, il ne reste qu'un petit pas ...

 

Le plus ridicule avec cette loi « Big Brother », c'est qu'en réalité son objectif certain d'être réalisé, c'est de réussir le flicage de monsieur et madame tout-le-monde, puisque sur le plan technique, une simple configuration technique permet de passer d'un serveur mail SMTP à une connexion cryptée SSH avec un webmail à distance, en sorte qu'il est relativement aisé en faisant usage des bonnes configurations de base disponibles, d'envoyer et de recevoir vos emails en totale indépendance par rapport à votre opérateur télécom.

 

A bon entendeur, Salut !

 

Références

 

[1]http://www.levif.be/info/actualite/technologie/la-loi-big-brother-passe-comme-une-fleur/article-4000359611187.htm

[2] http://www.editions-harmattan.fr/index.asp?navig=catalogue&obj=livre&no=39769

[3]Philippe VANLANGENDONCK, Analyse de la notion de « dérives sectaires »
Illustration d'un bras de fer entre la démocratie et la particratie en Belgique,
Le (mal) traitement des nouveaux
hérétiques, L'Harmattan, 2013 , pages 59 à 77.

[4]George ORWELL, « 1984 », Folio, page 354.

[5] http://www.dekamer.be/FLWB/pdf/53/2921/53K2921006.pdf

[6] http://www.lachambre.be/FLWB/PDF/53/2921/53K2921005.pdf

[7] http://www.levif.be/info/actualite/belgique/big-brother-a-la-belge/article-4000351628500.htm

[8]http://www.comiteri.be/index.php?option=com_content&task=view&id=53&Itemid=152&lang=FR

[9] George ORWELL, « 1984 »,


Folio, page 354.

 

Source: Droit-Technologie.org.

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 06:59

Un enfant expulsé de l’école pour ne pas s’être fait vacciner malgré une formelle contre-indication médicale

 

D’après Dave Mihalovic, 22 septembre 2013-09-23

 

Enfant-expulse-de-l-ecole-Dave-Mihalovic.jpg 

 

Une école de l’Etat de New York a mis fin aux droits d’un enfant de suivre les cours de son école  sur la seule base du fait qu’il n’était pas vacciné. Et ce, malgré la contre-indication formelle du médecin traitant qui a stipulé qu’étant donné l’état de santé de l’enfant, la vaccination pouvait lui être fatale. La maman a décidé de déposer plainte contre l’Etat.

 

La maman : quand Mary est née, et comme pratiquement tous les parents, je ne connaissais pas les ingrédients qui font partie des vaccins. J’avais été conditionnée à penser que je devais vacciner mon enfant comme les normes sociales américaines nous le faisaient comprendre. J’avais en fait eu l’esprit totalement lessivé.

 

C’est comme cela que Mary a été vaccinée comme tous les nouveau-nés de ce pays. Après chaque vaccination, Mary a eu des réactions négatives et les médecins ne comprenaient pas ce qui se passait.

 

Quand nous y repensons aujourd’hui et avec l’information que nous avons récoltée, nous savons que les plus gros problèmes ont commencé avec les vaccins DTaP (= diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) qu’elle a reçus le 9 juillet 2007 et le 13 août 2007.

 

Mary a eu des problèmes intestinaux graves. Du mucus coulait de ses yeux, de son vagin, la région de l’anus était toute rouge, toute enflammée. Elle ne parvenait plus à absorber de nourriture ; elle ne grandissait plus.

 

Après avoir reçu son vaccin Comvax le 29 août 2007, elle n’a pas arrêté de pleurer. Rien ne pouvait la consoler. Elle eut les mêmes symptômes que ceux qu’elle avait eus après ses vaccins DTaP.

 

Le médecin lui prescrivit des suppositoires antibiotiques pour ses infections de l’oreille. Mais cette prescription contribua encore à affaiblir son système immunitaire et à aggraver son état : un vrai désastre. Moins de vingt secondes après qu’on lui ait administré quelque produit (non naturel) que ce soit, elle faisait un choc anaphylactique ; elle commençait ensuite à vomir, à faire des convulsion, ses yeux se révulsaient  et de l’eau qui s’écoulait de son rectum…

 

Après des examens, des tests et des traitements qui ont duré des années, nous avons finalement appris qu’elle avait un système immunitaire hyperactif. De ce fait, elle ne tolère aucun agent de conservation ou ingrédient artificiel. Mary est très allergique au gluten, à la caséine, etc.  Les colorants, les conservateurs, les produits non naturels la rendent très malade.

 

Pour pouvoir fréquenter l’école, nous avons, en 2010, pensé à demander l’exemption religieuse pour les vaccinations. Mais en 2012, la santé de Mary s’aggrava ; elle dut être hospitalisée. Notre médecin nous a expliqué que nous pouvions aussi demander une exemption médicale de vaccinations. Ce médecin nous a confirmé que des vaccinations pourraient compromettre son système immunitaire. Il a  précisé :

 

«  A mon avis, Mary Check ne peut plus tolérer quelque agression que ce soit sur son système immunitaire, aussi minimes soient-elles, car ces dernières pourraient produire chez elle des réactions anaphylactiques. Sont concernés : les vaccins, les médicaments et certains aliments. »

 

J’expliquai cette situation au directeur de l’école en évoquant le fait que je pouvais recourir à des dispenses religieuses et médicales. Mais, quand je voulus concrétiser mes demandes pour pouvoir obtenir ces dispenses, il s’avéra que le délai était passé.

 

24 heures après, l’affaire était classée et Mary se vit refuser ses droits médicaux et fut expulsée de l’école.

 

J’ai été contrainte de porter l’affaire devant un tribunal fédéral pour prouver que ma demande d’exemption religieuse était légitime et pour déposer plainte contre le Système Educatif…

 

Que l’on soit pour ou contre les vaccinations, le droit des parents au choix doit absolument être respecté. Les parents doivent pouvoir choisir les traitements qui sont appliqués à leurs enfants.

 

Les paroles de Barbara Loe Fisher (Présidente du NVIC) m’ont été droit au cœur : «  Nous les parents, nous aimons et connaissons mieux nos enfants que quiconque. Ce sont, et les lois américaines et les impératifs moraux qui font de nous parents, les gardiens de nos enfants jusqu’à ce qu’ils aient l’âge de prendre par eux-mêmes des décisions majeures et vitales. Nous sommes responsables de leur bien-être et ce sont nous les parents qui portons le fardeau des peines, des maladies ou qui faisons le deuil quand il arrive que nos enfants décèdent. Comme nous sommes la voix de nos enfants, nous devrions, après avoir été parfaitement et totalement informés, être autorisés à prendre nous-mêmes des décisions rationnelles, volontaires par rapport à leurs maladies, par rapport aux risques des vaccins que nous acceptons de prendre sans craindre des représailles de la part des employés de l’Etat. »

 

Nous acceptons de discuter, d’être informés, d’éventuellement changer d’avis, mais de grâce, ne nous poursuivez pas et ne nous forcez pas à violer notre conscience et à renier nos croyances. Nous demandons également que les avis de nos médecins soient respectés…

 

Source: Naturalblaze.com

 

 « Il n’est pas possible d’être en présence d’une enfant dont la santé a été profondément dévastée par les vaccinations, et ne pas penser que cet enfant pourrait être le vôtre. Il n’est pas possible de tenter de réconforter une maman qui vient juste d’enterrer son enfant décédé des suites d’un vaccin…et ne pas savoir que vous pourriez être la personne qui se trouve là debout au bord de la tombe. Quand pareil drame arrive à votre enfant, les risques sont de 100 pour cent. »      

Barbara Loe Fisher, Présidente du NVIC, 13 mai 1996

 

Voir le parallèle malheureusement parfait avec l'attitude de crèches francophones soutenues par l'ONE (Office de la Naissance et de l'Enfance) ici en Belgique, qui n'hésitent pas à virer des enfants vaccinés des crèches quand ils ont mal réagi à de précédentes doses et qu'ils sont sous certificat médical de contre-indication, l'Office n'hésitant pas à prétexter que la vaccination doit se poursuivre mais en milieu hospitalier! En réalité, nous sommes arrivés à un degré de tyrannie tel que les idéologues estiment implicitement que c'est aux enfants de s'adapter aux vaccins et non l'inverse. Les enfants sous contre-indication médicale sont donc progressivement assimilés à des coupables qui empêchent les rêves totalitaires des idéologues de se réaliser (taux de vaccination à la soviétique de 100%)

 

Ecoutez cette vidéo incontournable à ce propos:

 

 

 Voir aussi: Lettre à la presse et à l'ONE sur ce scandale vaccinal qui ne peut plus durer

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23 septembre 2013 1 23 /09 /septembre /2013 21:50

C'est avec tristesse que nous avons appris la victoire du "Oui" (à raison d'environ 60%) lors de la votation suisse du 22 septembre dernier en matière de révision de la loi sur les épidémies.

 

Il s'agit d'une loi floue, et potentiellement très liberticide. D'un autre côté, on peut aussi se réjouir que quasi la moitié de la population ait décidé de voter "NON"! Il faut dire que la population avait été manipulée et effrayée par les gens du camp du "Oui" tels que Claire-Anne Siegrist (détentrice de la Chaire de Vaccinologie Mérieux de l'Université de Genève et qui n'avait pas hésité à affirmer un jour dans la presse que sans vaccins, l'espérance de vie des hommes ne dépasserait pas 35 ans!)

 

Voici, ICI, la réaction très pertinente en vidéo d'un opposant à cette loi qui explique ce que nous avions déjà dit dès la fausse pandémie de H1N1:

 

- qu'il y aura bien d'autres pandémies qui nous attendent

- qu'il est très dangereux de donner autant de pouvoir à des instances internationales opaques comme l'OMS

- que la vaccination est source de graves effets secondaires et que dès lors, elle ne devrait JAMAIS pouvoir être rendue obligatoire en quelque circonstance que ce soit!

etc etc.

 

Suisse-opposant-loi-sur-les-epidemies.JPG

  

giorgio-tremante-300x298.jpg

Cette crédulité abusive d'une majorité de citoyens qui ont ainsi cru "se protéger" en votant en faveur de cette loi, contraste fortement avec l'abnégation et les résultats salutaires obtenus grâce au travail d'un seul homme (ou presque, tant il est charismatique!), en Italie voisine: Giorgio Tremante dont deux de ses fils ont été tués par le vaccin anti-polio et un troisième (Alberto, ici en photo avec son père) rendu handicapé à vie suite à cette même vaccination imposée.

 

Dans son pays, nous tenons à rappeler que Giorgio Tremante a réussi à arracher la mise en place par l'Etat d'un système d'indemnisation des victimes de vaccins, ce qui a mécaniquement décidé les autorités à abolir dans les faits les obligations vaccinales parce qu'un nombre croissant de victimes venaient à se faire connaître avec la charge financière qui peut aller de pair...

 

plaque frères tremante

Dans son pays également, Giorgio a aussi réussi à faire placer une plaque officielle, tout à fait symbolique, en mémoire de ses deux fils décédés. Cette plaque instaurée avec l'aval des autorités véronaises (localité où GSK a d'ailleurs un siège...) mentionne ainsi explicitement, aux yeux de tous, que Marco et Andrea Tremante sont décédés suite à une vaccination obligatoire.

 

Voici à ce propos l'interview intéressante de Giorgio Tremante qu'a réalisée le Dr Françoise Berthoud, pédiatre homéopathe, membre du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins et du Forum Européen de Vaccinovigilance (EFVV), également auteure de plusieurs ouvrages sur la santé de l'enfant et la bonne santé des enfants non vaccinés:

 

Interview de Giorgio Tremante dix ans après la publication du livre

 

Françoise: Peux-tu nous parler de l’évolution des obligations vaccinales dans les diverses provinces italiennes ainsi que de celle de la compensation des dommages vaccinaux?

Giorgio: L’obligation vaccinale en Italie n’a été officiellement annulée que dans la région de Vénétie, en janvier 2008. J’ai dû exercer une forte pression au niveau de l’Institut Supérieur de Santé Publique jusqu’à ce qu’ils m’invitent en qualité d’expert à donner une information dans leurs locaux sur les méfaits des vaccinations. J’avais alors déjà été nommé, en 2007, par le Ministère de la Santé, comme Représentant des dommages vaccinaux en Italie. Je dois certainement une partie du mérite de cette charge à FlavioTosi, qui était à ce moment-là Assesseur de Santé de la Vénétie et qui est aujourd’hui titulaire d’un deuxième mandat comme Maire de Vérone.

 

Toutes les autres régions d’Italie ont maintenu l’obligation vaccinale pendant un certain temps, puis, les années passant, grâce à la pression exercée par les groupes de parents, d’autres régions d’Italie ont commencé – non officiellement, mais officieusement – à laisser les parents libres de choisir s’ils veulent ou non vacciner leurs enfants, en leur faisant signer un document attestant qu’ils en prennent la responsabilité. En 1992, j’ai lutté pour faire passer une loi prévoyant une indemnisation en cas de reconnaissance de l’état de «personne lésée par les vaccins». Ce fut grâce à cela que l’obligation fut supprimée, car le Ministère a vu arriver d’innombrables demandes de recherche des causes de problèmes de santé accompagnées de demandes d’indemnisation. En face de cette situation qui impliquait de grosses sommes d’argent à débourser, l’Etat a cherché à se protéger en annulant les obligations vaccinales, se déchargeant ainsi des problèmes d’indemnisation. Ainsi, la totale responsabilité incombe aux parents qui choisissent librement de vacciner leurs enfants en dehors de toute obligation.

Françoise : Parle-nous de la plaque commémorative se trouvant dans le petit parc près de chez toi.


Giorgio : Je pense que le parc dédié à mes fils «Marco et Andrea décédés à cause de la vaccination obligatoire» est actuellement UNIQUE AU MONDE. Elle est une conséquence logique de la lutte que j’ai menée depuis 40 ans et la preuve de cette vérité dérangeante, niée par une certaine classe médicale pleine d’a priori.


Cette plaque dédiée à mes fils est un acte «officiel» offert par l’administration de la ville de Vérone où je suis né et où je réside, non pas en reconnaissance à ma personne, mais à la mémoire de mes fils, victimes innocentes d’une obligation absurde et anachronique qui a trop duré et persiste encore en partie.

Françoise : Parle-nous un peu de tes luttes depuis la publication du livre.

Giorgio : Parmi les nombreuses actions menées pendant toutes ces années, j’en citerai quelques-unes qui ont certainement contribué à l’histoire des vaccinations en Italie.

En 1992, j’avais dénoncé à la Magistrature le Ministre de la Santé de cette époque, Francesco de Lorenzo qui avait imposé l’obligation de la vaccination contre l’hépatite B. En effet, la multinationale Smithkline-Becman avait payé à De Lorenzo près de dix millions d’euros pour rendre cette vaccination obligatoire. Pour ce faire, il avait publié un nombre de cas d’hépatites B dans un bourg près de Naples qui était supérieur au nombre de ses habitants! Lorsque la proposition d’obligation fut présentée au Parlement et que plusieurs parlementaires qui avaient compris ses manoeuvres lui posèrent problème, il se justifia en assurant que cette vaccination empêcherait les enfants italiens de devenir toxicodépendants. Cette phrase suffit alors pour faire passer cette loi d’obligation!


Plus tard, en 2008, j’ai dénoncé à la Magistrature la société multinationale Glaxo-SmitKline dont le siège italien est à Vérone où j’habite. Leur vaccin contre l’hépatite B contenait des produits transgéniques absolument illégaux.


Conclusion du Dr Françoise Berthoud : Le succès du travail incessant et courageux de Giorgio Tremante dans sa province est remarquable.


Voir la liberté vaccinale essaimer dans d’autres provinces grâce aux craintes des autorités devant les indemnités dues aux enfants lésés par les vaccins et grâce à la pression des parents et de la société civile est un résultat réjouissant. On peut espérer que l’épidémie de liberté s’étende dans tout le pays, et, pourquoi pas, passe les frontières et envahisse l’Europe, comme l’a déjà officiellement souhaité en 2005 le Forum Européen de Vigilance Vaccinale.


Merci à toutes celles et tous ceux qui travaillent dans ce sens, afin que tous nos enfants puissent jouir de la «Bonne Santé des Enfants non Vaccinés».

 

Dr Françoise Berthoud,

Pédiatre et homéopathe

 

Source de cette interview et introduction sur le livre écrit par Giorgio, ICI (Alternatif Bien-Etre)

 

La lutte collective peut réellement aboutir lorsqu'elle est légitime, juste et bien structurée. C'est ce qui s'est par exemple passé dans l'état américain du Vermont, où les activistes du National Vaccine Information Center (NVIC) ont réussi à réinformer correctement les parlementaires locaux sur les véritables enjeux et les véritables risques de supprimer leurs "clauses de consciences" qui sont en fait là-bas des exemptions soit religieuses soit philosophiques, en plus des exemptions médicales classiques. A notre époque toutefois, où les contre-indications médicales à la vaccination ont été réduites à peau de chagrin et où de dangereux fanatiques exhortent à présent les parents à vacciner un enfant ayant déjà mal réagi en milieu hospitalier (plutôt que de s'abstenir et de tout interrompre!), l'existence d'échappatoires est ESSENTIELLE, qu'il s'agisse de refus rangés dans les refus religieux ou philosophiques ou bien de l'instauration d'une clause de conscience. L'injection forcée de vaccins expérimentaux contenant divers produits toxiques constitue le comble de la tyrannie et ceci n'est nullement acceptable dans un état dit "de droit", sous aucun prétexte!!!!!!

 

   

non vaccination obligatoire!

 

 

Voir aussi ce que nous avions publié sur cette mauvaise et dangereuse loi suisse: ICI, ICI et ICI.

 

Les lecteurs suisses ne doivent pas hésiter à se rapprocher des groupes suisses qui ont milité pour le NON (il y a aussi infovaccins.ch etc.) car ils sont l'origine d'informations indépendantes et rigoureuses qui ne sont que trop rarement ou en tout cas pas assez (comparativement au camp opposé) diffusées dans les médias...

 

Nous vous rappelons pour terminer, à l’instar des médecins du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins, la jurisprudence extrêmement claire de la Cour Européenne des Droits de l’Homme (CEDH, Salvetti, Décision 9.7.2002) en matière d’obligation vaccinale : «En tant que traitement médical non volontaire, la vaccination obligatoire constitue une ingérence dans le droit au respect de la vie privée ».

 

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21 septembre 2013 6 21 /09 /septembre /2013 15:54

Le consentement désinformé

 TV tentacules DEES

 

    Par Shawn Siegel, 19 septembre 2013

 

Nous vivons à l’âge du consentement désinformé. Les parents présument que leurs médecins et les autorités de Santé Publique leur fournissent toutes les informations pertinentes sur les vaccins. Rien ne peut être plus éloigné de la vérité.

 

Il est évident que si les vaccins peuvent tuer et provoquer de graves dommages à vie – ce qu’ils peuvent provoquer et que d’ailleurs, ils provoquent – la personne qui administre le/les vaccins doit fournir cette information au patient, d’une manière non équivoque, quelle que soit l’ampleur du risque estimé. Cette obligation éthique s’impose, mais en fait, elle n’est jamais respectée dans les faits. A cela il y a une raison fondamentale : les facultés de médecine  ne fournissent pas d’enseignement sur l’histoire, la nature des dommages vaccinaux et les décès qui font suite à certaines vaccinations ; il en va de même pour les écoles d’infirmières et les facultés de pharmacie.

 

Pourtant, ce sont des médecins, des infirmières et, de nos jours des pharmaciens qui sont mandatés pour administrer les vaccins, et c’est sur eux que nous comptons pour obtenir une information complète sur la question. Il semble bien y avoir une volonté consciente de taire la réalité des effets secondaires graves des vaccins au cours de ces différents programmes d’études.

 

Beaucoup de médecins qui ont été les témoins de dommages vaccinaux – heureusement pas tous – ne possèdent pas l’intégrité professionnelle nécessaire pour se poser des questions, sans même parler d’une volonté de recherche. C’est là la chose la plus troublante dans l’ensemble des contradictions sur le problème des vaccins. Ces personnes qui sont formées à l’observation, semblent néanmoins être aveugles pour envisager ne fût-ce que la possibilité d’une relation de cause à effet.

 

Il y a une raison pour laquelle le CDC n’a pas averti le public américain en 1999 de la corrélation directe existant entre la quantité de mercure contenue dans les vaccins et l’apparition des troubles de la parole, des troubles d’apprentissage et de l’autisme qu’il avait cependant trouvée dans ses propres études internes : un processus de décision conscient et intolérable. [1]

 

Il y a une raison pour laquelle les études du Dr Viera Scheibner  qui, depuis des décennies, ont montré un lien convaincant entre les vaccins administrés aux nourrissons et l’incidence de la mort subite du nourrisson (MSN), ne sont jamais mentionnées par les responsables de la Santé Publique ; il s’agit apparemment d’une décision apparemment bien consciente. [2]

 

Il y a une raison pour laquelle le CDC (Centres de Contrôle et de Prévention des Maladies (USA) ne mentionne jamais que ce sont les changements radicaux qu’ils ont apporté à la définition et au diagnostic de la polio, juste après l’introduction du vaccin, qui a éliminé la plupart des cas de la maladie et non le vaccin : une décision consciente et délibérée de manipuler le public par rapport aux décisions qu’il est amené à prendre au sujet des vaccins. Pas plus qu’ils ne mentionnent qu’une fois que le vaccin fut autorisé, les anciens diagnostics furent éliminés. L’inclusion automatique dans les statistiques annuelles de polio des cas rapportés par des cabinets de médecins privés ou provenant des services locaux de Santé Publique fut refusée. Le CDC déclarant qu’il était le seul, après examen approfondi et analyses de laboratoire, à pouvoir officiellement valider un dossier. [3]

 

Il y a une raison pour laquelle, parallèlement aux modifications apportées au diagnostic, à l’étiquetage, une modification radicale a été apportée à la définition d’une épidémie de polio, passant de 20 cas pour 100.000 à 35 cas pour 100.000, ce qui permettait de réduire de près de moitié la probabilité que toute flambée soit étiquetée épidémie. – modification qui semble totalement aléatoire, à l’exception du fait que brusquement la polio était présentée comme étant une maladie moins grave ou moins contagieuse ou mieux maîtrisée : une décision consciente pour renforcer l’illusion de l’efficacité du vaccin. [3]

     

Il y a une raison pour laquelle les médias en général n’accorderont aucune place significative à une réelle information sur les pièges et les dangers des vaccins : c’est une décision consciente des éditeurs.

 

Il y a une raison pour laquelle l’industrie du vaccin ne discute pas le fait que pendant des années, des adjuvants tels que ceux qui sont utilisés dans la plupart des vaccins, ont été injectés à des animaux de laboratoire pour déclencher des arthrites rhumatoïdes et autres maladies auto-immunes : une décision consciente pour maintenir le public dans l’ignorance du dilemme éthique. On n’a ensuite pas hésité à recommander leur utilisation pour des injections à des nouveau-nés, des nourrissons, des petits enfants, comme compromis macabre par rapport à des maladies aiguës temporaires.

 

Les effets de ces mêmes adjuvants chez l’homme ont bel et bien été établis par des immunologistes. [4, 5]

 

Il y a une raison pour laquelle chaque médecin ou scientifique qui s’est publiquement exprimé contre les vaccins, a été accusé d’être un charlatan, quelle que soit son irréprochable réputation jusqu’alors : une campagne délibérée pour maintenir le mythe de l’innocuité des vaccins, de leur efficacité et de leur nécessité.

 

Il y a une raison pour laquelle L’Association des Publicistes Américains (AAP) a été jusqu’à suggérer que les parents qui refusent les vaccinations soient châtiés parce que jugés irresponsables et représentant une menace pour la population : une décision  bien consciente.

 

Il y a une raison pour laquelle le Dr Paul Offit a personnellement examiné et approuvé pour publication sur le site de l’Hôpital pour Enfants de Philadelphie un article sur la valeur du vaccin contre la varicelle qui précise que ce vaccin est parfaitement sûr, malgré les rapports post-marketing de réactions  catastrophiques reprises sur la notice du vaccin ; réactions comprenant le choc anaphylactique, l’encéphalite, le Guillain-Barré, ainsi que les données fournies par le VAERS : une décision bien consciente et délibérée. [6, 7, 8 ]

 

Il y a une raison pour laquelle, nulle part dans les grands médias, on a mentionné le fait que, lorsque l’équipe de médecins du Royal Free Hospital a traité douze enfants (Lancet) pour les inflammations qu’ils présentaient aux intestins, leurs symptômes d’autisme ont été considérablement allégés : une information à ce point réjouissante qu’elle aurait dû être claironnée dans les grands titres de la presse mondiale : une décision bien consciente destinée à soutenir l’affirmation selon laquelle il n’existe aucun lien entre ce nouveau syndrome de l’intestin décrit par l’équipe médicale – aujourd’hui corroboré par le Dr Arthur Krigsman, gastroentérologue – et l’autisme. [9, 10]

 

Il y a une raison pour laquelle l’industrie du vaccin ne répondra pas à la divulgation du fait que parmi les 50.000 patients de la Clinique Homefirst Health de Chicago, (le personnel est au courant), il n’y a que quelques cas d’autisme et pratiquement aucun cas d’asthme, d’allergies ou de diabète – des statistiques plus qu’étonnantes avec des implications stupéfiantes et évidentes. Dans la population générale, on pourrait s’attendre à voir 250 ou 300 cas d’autisme ou davantage et des milliers  d’incidents ou troubles auto-immuns. [11]

 

De même, il y a une raison pour laquelle des médecins du CDC qui devaient comparaître devant un Comité du Congrès Américain sur l’autisme étaient à ce point mal préparés à répondre à des questions directes que cela devenait quasi burlesque,  alors que des milliers de parents d’enfants devenus autistes après une série de vaccinations ne pouvaient que regarder ahuris et impuissants : une directive consciente de maintenir une position obtuse [12]

 

Il y a aussi une raison pour laquelle les gens du CDC ne répondront jamais aux arguments de ceux qui voudraient que l’on compare la santé des enfants complètement vaccinés à celle des enfants qui n’ont jamais été vaccinés ; ils prétendront qu’il n’est pas éthique de mener une telle étude en double aveugle, prétendant que le groupe de contrôle ne pourrait dans ce cas bénéficier de la protection du ou des vaccins. On tourne en rond, étant donné que c’est la sécurité et l’efficacité mêmes des vaccins dont il est précisément question. Tout ce qui serait seulement nécessaire, serait d’analyser les données disponibles d’un million ou plus d’Américains qui n’ont jamais été vaccinés par choix personnel : une décision consciente de ne pas débusquer et révéler la vérité.

 

Le comportement de l’industrie du vaccin – du gouvernement, des fabricants, d’une grande partie de l’establishment médical et des grands médias dépourvus d’esprit d’investigation quand il s’agit de vaccins- est vraiment répréhensible. Ces gens-là connaissent très bien la manipulation, la tromperie et la peur. Parfaitement conscients des dégâts catastrophiques qu’engendrent les vaccins, ils s’attèlent à nier farouchement la réalité, ainsi qu’à étouffer et supprimer l’information, alors qu’ils savent pertinemment que cette information est essentielle aux parents pour leur permettre de prendre des décisions responsables en matière vaccinale.

 

Le refus conscient de l’information critique est de la désinformation.

 

Références

 

1. David Kirby, Evidence of Harm, 2005, pp 127 – 131.

2. http://www.consumerhealth.org/articles/display.cfm?ID=19990705002005

3. https://www.facebook.com/notes/great-mothers-and-others-questioning-vaccines/now-ya-see-it-the-polio-caper/522168097823233

4. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/12086312?dopt=Abstract

5. http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19880572

6. http://www.chop.edu/service/vaccine-education-center/a-look-at-each-vaccine/varicella-chickenpox-vaccine.html 

7. http://www.merck.com/product/usa/pi_circulars/v/varivax/varivax_pi.pdf

8. At http://wonder.cdc.gov/vaers.html  , do the following: Click on Request Form; group results by Event Category; under vaccine products, select Varcel; at number 5, select All Locations; and click Send.

9. The first ten minutes of the following interview with Dr. Andrew Wakefield: http://www.youtube.com/watch?v=fdwk6AdaD4w 

10. https://www.youtube.com/watch?v=U83U0AWTnmg 

11. Start at 14:00 into the interview with Dr. Mayer Eisenstein: http://www.youtube.com/watch?v=NfaISU0AmZ8  

12. Video of the first segment of the Committee on Oversight and Government Reform hearing on autism, November 29,2012: http://thestir.cafemom.com/toddler/147700/congress_discusses_autismvaccine_link_

And http://www.vaccinationcouncil.org/2013/09/19/disinformed-consent-by-shawn-siegel/

 

L’un des médecins auteurs du Code de Nuremberg, le Pr, Dr Jay Katz, spécialiste des questions éthiques a déclaré : «  Si ce n’est explicitement, pour le moins implicitement, il faut que le principe qui régit l’avancement de la science s’incline devant un principe plus élevé : celui de la protection et de l’inviolabilité de l’individu. Les droits de l’individu à une auto détermination et autonomie complètes doivent primer. Les avancées scientifiques pourraient s’en trouver entravées, peut-être même parfois devenir impossibles à réaliser, mais le prix à payer en vaut absolument la peine ».

 

Dans un autre article , le Dr Katz a déclaré que les juges du tribunal de Nuremberg, accablés par ce qu’ils avaient appris «  envisageaient un monde dans lequel des hommes et des femmes libres, pourraient, après avoir été correctement informés, prendre eux-mêmes les bonnes ou même les mauvaises décisions en lieu et place de se voir imposer celles-ci par l’autorité de l’état, de la science ou de la médecine sans avoir été parfaitement informés. »

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