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20 janvier 2012 5 20 /01 /janvier /2012 10:00

La participation aux essais cliniques sur les vaccins ne devrait-elle pas devenir OBLIGATOIRE?

 

Si le développement prometteur des vaccins, du laboratoire à la clinique, ne doit pas être modifié, et étant donné qu'il y a pénurie de recrutement et que l'incitation financière représente une solution éthiquement inacceptable, d'autres stratégies doivent être envisagées. L'enrôlement obligatoire dans les études sur les vaccinations constitue une alternative qui n'est pas aussi étrange qu'elle puisse paraître au premier abord.

 

Traduction d'un extrait d'une publication de: American Medical Association Journal of Ethics, Janvier 2012, vol. 14,N°1:35-38

 

Et comme par hasard, la Commission Européenne propose de rendre possible l'expérimentation humaine SANS CONSENTEMENT "dans des situations d'urgence", cfr ici:

 
Le point commun entre ces deux évènements? LA VACCINATION (PANDEMIQUE!), au motif de l'urgence bien entendu!


Si des informations de ce genre ne sont pas dignes d'être relayées par les médias et ce de façon urgente, c'est à n'y plus rien comprendre et c'est à désespérer car après, il sera trop tard. Des groupes indépendants comme Initiative Citoyenne s'inquiètent à juste titre de ce genre de projets anti-démocratiques et non éthiques par excellence qui refont inévitablement penser à une répétition des heures les plus sombres de l'Histoire, comme si tant de gens étaient morts en vain au cours de la dernière guerre mondiale...

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15 janvier 2012 7 15 /01 /janvier /2012 12:16

Une pétition publiée début novembre dernier par le Comité pour la Médecine préventive et le soin des patients, appelle les citoyens à stopper les propositions de la Commission Européenne destinées à permettre, dans des situations d'urgences, l'expérimentation humaine sans consentement.

 

La Commission Européenne a en effet, selon ce texte comme projet, de modifier la Directive 2001/20/EC sur les bonnes pratiques cliniques et donc d'abolir le droit des patients de décider des produits qu'on peut leur administrer en cas d'urgence (par exemple en cas d'attaques ou d'autres accidents graves).

 

Il s'agit donc d'une pétition fondamentalement logique et dont les signatures seront envoyées au Parlement européen, au premier semestre 2012, lorsque ces propositions seront débattues.

 

Mais prenons surtout bien conscience qu'une telle proposition pourrait tout à fait être élargie à la vaccination au cours d'un "état d'urgence décrété", ce qui est tout à fait cohérent avec les récentes informations de l'AFP selon lesquelles le Commissaire européen à la Santé John Dalli a récemment formulé des propositions suite à la crise du H1N1 dont celle de "permettre à la Commission Européenne de déclarer une situation d'urgence sanitaire au niveau européen."

 

De là, on voit qu'une étape de plus est en passe d'être franchie puisqu'après les propos-chocs de Mme Testori (DG Santé & Consommateurs, CE.) du 5 octobre 2010 qui appelait à une vaccination humaine à la façon d'un troupeau de bétail, on voit qu'on est ici ni plus ni moins en train de préparer le terrain pour le recours forcé à des produits expérimentaux dont les vaccins pandémiques font bien sûr partie comme en témoigne d'ailleurs le contenu des contrats que les fabricants ont conclu avec les Etats.

 

Cette situation doit vraiment nous amener à mieux "aiguiser" notre vigilance sans qu'il soit question de paranoïaque car même si c'est toujours au prétexte d'une "plus grande sécurité du consommateur", il est essentiel de percevoir sur un plan pratique que c'est ainsi, par palliers progressifs, que les droits fondamentaux s'érodent et s'étiolent et que, in fine, l'étau se ressert sans qu'on ait forcément la garantie que, le moment venu, on ait encore la possibilité d'échapper à des traitements ou à des produits produits indésirables.

 

SIGNER CETTE PETITION: ICI

 

 

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"La métaphore de la grenouille met en évidence les conséquences funestes de l’inconscience du changement, qu’il affecte notre santé, nos relations, l'évolution sociale ou l’environnement. Conscience ou cuisson, il faut choisir !" Olivier Clerc

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5 janvier 2012 4 05 /01 /janvier /2012 23:51

27 novembre 2011

 

Le gouvernement fédéral australien conserve plus de 2100$ dans les avantages fiscaux pour les familles qui refusent de vacciner leurs enfants.

 

Le mouvement est une initiative du gouvernement de Gillard pour augmenter les taux de vaccination, un enfant sur 10 en Australie n’est pas immunisé.

 

Il s’inscrit dans le cadre d’une grande agitation du programme national de vaccination qui comprend l’introduction de vaccins plus.

 

Les enfants seront vaccinés contre la varicelle, le méningocoque C et l’infection pneumococcique au 1 Juillet 2013.

 

Un nouveau vaccin combiné sera également ajouté au programme en 2013 pour protéger les enfants contre quatre maladies différentes – la rougeole, les oreillons, la rubéole et la varicelle.

 

Ce vaccin sera administré aux enfants de 18 mois au lieu de quatre ans.

 

Les familles ont besoin d’avoir leurs enfants complètement vaccinés pour recevoir la prestation fiscale familiale comme un supplément de fin d’année.

 

Le supplément, d’une valeur de 726$ par enfant chaque année, ne sera payé que lorsque l’enfant est complètement vacciné à un, deux et cinq ans, ce qui signifie que plus de 2100$ pourraient être suspendus.

 

Source: Le savoir est une arme  

 

On croirait entendre parler de subsides par tête de bétail dans le troupeau d’un éleveur. Une « médecine » de masse, une érosion des libertés individuelles pour le prétendu Bien Public… L’étau se ressert de plus ne plus et la révolte et le changement ne passeront que par la base et non l’inverse. Il est grand temps de se réveiller, de s’organiser et de défendre ses libertés contestées et bafouées par des autorités de plus en plus arrogantes et méprisantes. 2012 sera ainsi une année citoyenne décisive

 

Signer la pétition contre cette mesure scandaleuse: ICI

 

 

 

 

 

 

 

 

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24 novembre 2011 4 24 /11 /novembre /2011 23:23

Discrimination de certains médecins conventionnels à l’encontre de parents qui refusent les vaccinations

  

Ethan A. Huff, 22 novembre 2011- Natural News

  

Doctor-holding-injection.jpg

 

Il y a encore beaucoup de personnes dans nos sociétés modernes, y compris des médecins qui s’accrochent à l’idée que si les autorités médicales décrètent que telle chose est bonne pour vous, c’est qu’il en est bien ainsi. Cette allégeance aveugle à la médecine occidentale a créé un véritable climat d’intolérance vis-à-vis de ceux qui, par exemple, refusent les vaccinations. Le résultat de cette situation est qu’aujourd’hui certains médecins expulsent de leur cabinet les parents qui ont fait le choix de ne pas faire vacciner leur famille.

 

Avant de recevoir sa licence, chaque médecin fait le serment de respecter l’éthique et de « ne pas faire de mal » à ses patients. Mais ceci ne s’appliquerait apparemment pas aux personnes qui choisissent de ne pas assumer les risques des vaccinations. - « USA Today » rapporte que certains médecins font carrément de la discrimination à l’encontre de ces parents qu’ils considèrent comme représentant des menaces pour la santé publique.

 

Au cours d’un récent Colloque de la Société Américaine des Maladies Infectieuses, le Dr Thomas Tyron, pédiatre, ainsi que ses collègues ont fait état de données qui montrent que plus de 20 % des 900 médecins interrogés et qui pratiquent la médecine dans les états du Middle West ont décidé d’arrêter de s’occuper des patients qui refusent les vaccinations…

 

Le Dr Tyron a toujours respecté la liberté de choix thérapeutique de ses patients, mais aujourd’hui il insiste pour que ses patients, soit se conforment à ses directives au sujet des vaccinations, soit cherchent un autre médecin.

 

Le pédiatre Raymond Catteneo de Kansas City a aussi institué une politique stricte de vaccination – pas question de refus et pas question d’alternatives. – telles sont ses propres paroles. Il pense que le fait de permettre à ses patients de faire leurs propres choix en matière de vaccinations leur permet en fait de prendre des décisions qui ne sont pas correctes.

 

Le Centre National d’Information sur les Vaccins (NVIC), un groupement Américain qui soutient le droit de tout un chacun à refuser les vaccinations, veut faire savoir que cette attitude de supériorité et d’intolérance vis-à-vis de conceptions différentes de la leur a poussé beaucoup de familles à consulter des praticiens alternatifs et holistiques qui sont plus respectueux et davantage désireux de collaborer avec leurs patients.

 

Selon ce même sondage, 60% environ des médecins ont signalé que dans leur pratique courante, une famille sur 20 a soit refusé le schéma de vaccinations, soit demandé que des modifications y soient apportées. Et 4% des médecins ont précise qu’une majorité de leurs patients ont soit refusé ou demandé des modifications au programme des vaccinations qui leur était proposé.

 

Sources: USA Today & NaturalNews

 

Jim Turner

« Le Gouvernement des Etats-Unis a payé 2 milliards de dollars de dédommagement pour les décès et les infirmités d’enfants qui ont été obligés de prendre des vaccins qui ont provoqué ces dégâts. Vous entendez bien : deux milliards de dollars !

 

Il n’est plus possible de parler de la moralité d’un pays qui exige de chacun de ses enfants de consommer un produit dont il sait qu’il pourra provoquer le décès de certains ou le handicap d’autres. Ceci relève d’une immoralité fondamentale…  Le gouvernement (US) a perdu toute autorité morale après avoir rendu des vaccins obligatoires pendant des dizaines d’années. »   Maître Jim TURNER

 

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13 novembre 2011 7 13 /11 /novembre /2011 20:26

Le site uitdaging.net relaie, dans sa neswletter de ce 13 novembre, le témoignage éloquent d'une maman belge.

 

Ce témoignage est intitulé, à juste titre, "Les enfants sont-ils encore en sécurité à l'école?"

 

"En septembre de cette année, nous avons reçu un formulaire de consentement pour la vaccination de notre fille de 12 ans contre le cancer du col de l'utérus. J'ai indiqué que je refusais. Ma fille a quand même été vaccinée. Ils avaient, sur le moment, fini par la convaincre parce que c'était "gratuit". Ma fille m'a dit: "Je ne veux quand même pas avoir de cancer, maman." J'étais choquée! J'ai tout de même eu le médecin au téléphone, qui a admis son erreur mais il a tout de même insisté pour que nous envisagions de poursuivre avec la 2° et la 3° doses! Maintenant, nous sommes déjà 3 semaines plus tard et ma fille a un pityriasis rosé (maladie dermatologique) et un bouton de fièvre (choses qu'elle n'a jamais eu auparavant). Elle se sent "vidée", sans force, et ça me fait de la peine de la voir dans cet état."

 

Source: Uitdaging.net

 

Voilà typiquement, de quel genre d’abus les médecins scolaires peuvent se rendre coupables dans un système où l’idéologie a définitivement pris le pas sur la véritable Science et sur la démocratie ! Car si les fanatiques du Journal du Médecin semblaient se réjouir de la possibilité de vacciner désormais les adolescentes californiennes contre ce type de maladie en dépit du consentement parental, on conçoit ici toute l’injustice de cette situation où cette mère doit regarder souffrir sa fille alors qu’elle avait initialement pris une décision, sans doute mûrement réfléchie. Certes, pour l’instant, les effets secondaires potentiels dans ce cas semblent modérés mais nul ne peut affirmer que cette vaccination n’aura pas d’effets nocifs à long terme sur la santé de cette jeune fille ainsi manipulée.

Par conséquent, il serait sain et sage que ce médecin fautif doive répondre de son attitude devant une juridiction et qu’il soit sanctionné comme il le mérite. Et surtout, surtout, qu’il soit financièrement responsable des effets secondaires qui pourraient découler de cet acte qu’IL a décidé en lieu et place des parents sur un enfant qui n’était pas le sien.

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30 octobre 2011 7 30 /10 /octobre /2011 16:01

Le journal de l'Armée belge, Dbriefing n°18, du 5 octobre 2011, le mentionne:

"Vaccin contre la grippe: obligatoire pour certains, recommandé pour d'autres."

 

Cette vaccination particulièrement inutile et pas sans risques est donc imposée à certains militaires de façon particulièrement contestable.

 

Cette obligation concerne les personnels participant à une mission, ceux qui y participeront avant le 31 mars prochain mais aussi tous ceux susceptibles d'y participer. (On ratisse large!)

 

Mais le texte précise aussi comme si c'était l'urgence des urgences:

 

"La période de vaccination s'étalant du 20 septembre au 20 novembre, le personnel se trouvant en opération durant cette période sera vacciné par le médecin présent sur le théâtre. Les commandants des unités désignées pour une mission sont, quant à eux, invités à prendre contact avec la cellule AMT dont ils dépendent pour que l'administration des vaccins soit faite en priorité au personnel opérationnel."

 

Une telle obligation ne repose sur aucune base scientifique valable. Rappelons, à cet égard, les propos que le parlementaire et médecin français, Pr Jean-Michel Dubernard, a tenus le 6 juin 2007 au cours d'une session particulière: "Il n'existe pas de preuve scientifique de l'utilité des vaccins." Voilà qui est clair.

 

Mais vu la militarisation croissante de la santé, il semble sans doute « stratégique » que les militaires qui pourraient peut-être un jour encadrer une vaccination obligatoire contre une future pandémie tant attendue, soient les premiers à être conditionnés à cette perte de liberté, histoire sans doute d’éviter tout état d’âme…

 

En revanche, chose étrange, le personnel médical (donc aussi celui qui vaccine) n’est lui, pas strictement soumis à cette obligation -sauf s'il part lui aussi en mission- et cette vaccination reste ainsi seulement « recommandée » dans cette catégorie. Sans doute parce que si les soignants de l’armée étaient victimes d’effets secondaires d’une telle vaccination forcée, ils risqueraient de s’en épancher auprès des collègues qu'ils vaccinent et risqueraient de les en dégoûter ?

 

Pour finir, nous pensons que la clairvoyance d’Albert Einstein mérite une fois encore d’être rappelée. Elle tient, ici en l’occurrence, en 2 phrases, particulièrement lourdes de sens :

 

« Ceux qui aiment marcher en rang sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu’ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement. »

 

« Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l’Etat te le demande. ».

 

 

 

 

 

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26 octobre 2011 3 26 /10 /octobre /2011 13:58

La loi de l’Illinois pénalise financièrement les écoles quand les taux de vaccination tombent en dessous de 90%.

 

Ethan A. Huff, Natural News, 20 octobre 2011. [Extrait]

   

La section 27-8.1.7  de la loi de l’Illinois ayant trait aux examens médicaux et aux vaccinations précise que si les taux de vaccination d’une école tombent en dessous de 90%, les aides financières de l’état à cette école seront automatiquement réduites de 10 % et ce jusqu’à ce que l’école se « conforme » aux exigences de l’état. (voir ICI)

 

[…] On commence maintenant à très bien comprendre pourquoi les directeurs d’écoles poussent les parents à faire administrer le programme complet de vaccinations à leurs enfants. Si les élèves n’obtempèrent pas, c’est le propre salaire des administrateurs qui risque d’être remis en question ! Ces quotas expliquent aussi pourquoi certaines écoles recourent à des campagnes corruptives en faisant des « cadeaux » aux élèves qui se font vacciner. (iPods, etc.).

 

Source: Naturalnews  

 

Voilà comment on s’y prend : monter les gens les uns contre les autres, les directions contre les parents d’élèves voire les parents d’élèves entre eux !

En France, il y a peu, des parents ont dû faire la classe à l’extérieure de l’école à leurs enfants car l’Inspection Académique refuse leur admission pour cause de non vaccination et ce, alors que le vaccin dit « légalement obligatoire » (l’ancienne version, sans aluminium) n’est même plus disponible !

Il n’est pas démocratiquement acceptable d’exercer ce genre de mesures de rétorsion budgétaire sur les écoles compte tenu du caractère scientifiquement très controversé de cette pratique médicale de masse, depuis ses débuts.

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19 octobre 2011 3 19 /10 /octobre /2011 15:44

"Le premier vaccin anti-malaria est né" peut-on lire sur le site internet du Soir.

 

Une fois encore, cette "nouveauté" est d'emblée assimilée à un progrès. Et ceci, au motif que la maladie est fréquente et qu'elle fait de nombreuses victimes et décès annuellement dans le monde.

 

Pourtant, rationnellement parlant, ce n'est pas parce qu'une maladie est fréquente et/ou grave que le vaccin correspondant est efficace. Cette confusion des deux notions est, il est vrai, savemment entretenue dans l'esprit du public par un conditionnement bien huilé.

 

L'article précise que cela fait 25 ans que ce vaccin a été découvert et que les essais ont eu lieu sur 6000 enfants (cobayes) de 5 à 17 mois dans 11 centres de recherche, en Afrique.

 

Il serait intéressant de pouvoir se pencher sur les conditions d'expérimentation que ces enfants ont dû subir, sur la nature des informations fournies aux parents ou tuteurs, à moins qu'il n'y ait même eu aucune demande d'autorisation à obtenir?

 

De plus, le PDG de GSK Biologicals précise dans le Soir du 19 octobre dernier, que les essais se poursuivront chez des enfants encore plus jeunes, âgés de 6 à 12 semaines. (Or, pour rappel, même chez nous où on vaccine déjà bien trop tôt, on n'injecte pas de vaccins avant les 8 premières semaines de vie)

 

Les résultats de ce vaccin ne sont guère mirobolants en terme de santé publique puisque ce vaccin (administré en 3 doses, le RTS,S/AS02) échouera au moins une fois sur deux à protéger les vaccinés seulement pendant un an, tout en faisant cependant courir à tous le risque potentiel d'effet secondaire grave voire mortel!

 

Cet article du Soir parle d'une réduction de l'incidence de la maladie de 56% sur un an puis d'une réduction de seulement 35% après 12 mois, ce qui semble donc un peu confus de leur part. Mais cet article de tout de même préciser que: "De nombreux vaccinés développent quand même la maladie."

 

Pour le Pr Frédérique Jacobs, chef du Service des Maladies Infectieuses du CHU Erasme, à Bruxelles, « Le vrai espoir de ce type de vaccin est qu’il s’ajoute aux armes actuellement utilisées comme l’utilisation de moustiquaires autour des lits, l’emploi d’insecticides, la lutte contre les eaux stagnantes, mais aussi le diagnostic et le traitement de la maladie »

 

On comprend bien que ce discours doit forcément faire les affaires de l'industrie pharmaceutique. Pourquoi: parce que l'industrie traînait un développement depuis 25 ans pour des résultats aussi décevants et qu' elle va donc pouvoir enfin commencer à rentabiliser tout ça au motif confortable que le vaccin "s'ajoutera au reste".

 

Pourtant, il est d'ores et déjà question du développement d'un autre futur vaccin plus efficace encore... cherchez l'erreur!

 

En outre, le discours du Pr Jacobs témoigne de cette vision particulièrement déformée de ce qu'est un rapport bénéfices/risques dans le cadre d'un vaccin, la croyance populaire bien ancrée chez une grosse partie de la population étant qu'un vaccin, même inutile, ne peut pas nuire et que donc mieux vaut un vaccin en plus, quitte à ce qu'il ne serve à rien, que pas de vaccin du tout. Voilà donc la fondement de cette logique consummériste (impliquant une multiplicité de vaccins et de rappels), responsable de nombreux "dégâts collatéraux".

 

Mais il faut également souligner que le Pr Frédérique Jacobs est en situation flagrante de conflits d'intérêts avec la firme GSK qui commercialisera ce vaccin puisqu'un document consultable sur le site de la firme nous apprend qu'elle est "investigatrice principale" d'un essai clinique portant sur les effets des antiviraux en cas de grippe et financé par la firme, pour la période courant de janvier 2011 à septembre 2013. Or, comme nous l'avons déjà rappelé, tout conflit d'intérêt, quel qu'il soit, est en mesure d'interférer avec le jugement clinique et de nuire à l'intérêt des patients. Ce n'est pas nous qui suçons ça de notre pouce, faut-il le rappeler (?) mais la très sérieuse revue d'Evidence Based Medicine belge, Minerva.

 

Mais revenons sur cette question fort importante des effets secondaires possibles, une question d'autant plus importante que ces populations sont pauvres, qu'elles n'ont aucun ou très peu d' accès aux soins et surtout qu'elles n'auront vraisemblablement aucun recours juridique en cas d'effet secondaire grave, invalidant ou de décès.

 

L'article du Soir précise ceci d'hautement révélateur à ce sujet:

 

"Heureusement, aucune hausse d’événements médicaux sévères n’a été constatée par rapport à une autre vaccination. Mais le pourcentage en reste élevé : 20 % des enfants en ont souffert durant l’essai. Toutefois, les auteurs des résultats publiés mardi dans le « New England journal of medecine » ne les attribuent pas à la vaccination, mais au contexte sanitaire général."

 

La belle affaire! 20% des enfants vaccinés souffrent d'effets secondaires mais ce n'est pas dû ou attribuable au vaccin... bien sûr, cela est scientifiquement "très crédible" venant d'un journal médical (Le New England Journal of Medicine) qui avait pourtant publié, il y a peu, une correspondance d'un médecin qui rappelait les propos de la Cour Suprême des Etats-Unis, celle-ci ayant qualifié les vaccins de "produits inévitablement dangereux"!!

 

Ne pas oublier non plus que dès lors qu'on compare les effets secondaires d'un nouveau vaccin (le vaccin évalué) avec ceux d'un autre vaccin, on biaise d'emblée les résultats en diluant en fait la responsabilité du nouveau vaccin évalué, ce qui profite bien sûr toujours aux industries concernées mais jamais aux patients et encore moins aux sujets cobayes des essais cliniques!

 

Or quel sera le vaccin administré dans le faux groupe test (faux groupe témoin)?

 

Le vaccin hépatite B (Engerix) de la même firme? Ce ne serait guère surprenant compte tenu de ce que nous apprend le Soir du 19 octobre sur la substance même de ce futur vaccin contre la malaria: "Le vaccin est composé de fragments d'une protéine "circumsporozoïte", présente à la surface du parasite pour s'accrocher au foie. Les chercheurs de GSK l'ont fusionnée avec une protéine développée pour le vaccin contre l'hépatite B." A ce propos, rappelons tout de même que ce vaccin hépatite B fait partie des produits ayant donné lieu au plus grand nombre d'effets secondaires de toute l'histoire française de la pharmacovigilance (rapport Dartigues)!

 

Lorsqu'on constate déjà, dès les essais cliniques, un tel dogmatisme au sujet de la "sécurité" d'un nouveau vaccin, on comprend bien que ce ne sont pas les "agences d'évaluation" supranationales qui vont de façon fiable et rigoureuse "peser les avantages et risques du nouveau vaccin" comme l'écrit le Soir. D'ailleurs, l'article parle d'un premier enregistrement fin 2012, preuve que ce calendrier fixé d'avance désigne une procédure déjà toute tracée qui risque peu d'apporter encore la moindre surprise ou la moindre modification.

 

Par ailleurs, l'article dit aussi: "Fin 2012, un premier enregistrement du vaccin, après que les autorités sanitaires auront pesé avantages et risques du nouveau vaccin, permettra sans doute d’en vérifier l’efficacité dans plusieurs pays-test, où des millions de jeunes enfants seront vaccinés." L'usage généralisé étant envisagé dès 2015...

 

Selon Frédéric Soumois, auteur de cet article du Soir, qui s'exprimait dans la partie "commentaires"/forum, à la suite de son article: "Pour enfants africains plus de détails dans le Soir papier ou PDF du jour, mais une précision: ce vaccin n'est absolument pas pour les touristes et les particuliers ne pourront l'acheter, il fera peut-être partie des programmes de vaccination infantile. il ne sert à rien sur les adultes."

 

Et le Soir du 19 octobre de préciser: "Le vaccin ne devrait pas être commercialisé en Europe ni aux Etats-Unis. Il n'a aucune utilité pour le voyageur et sera réservé aux enfants des zones hautement infectées, essentielle en Afrique subsaharienne. Ce seront les Etats africains qui autoriseront l'emploi de ce vaccin et l'intégreront dans des programmes massifs de vaccination infantile."

 

Voilà donc un vaccin qui serait utile chez les enfants et pas chez les adultes? A moins que les enfants ne soient en réalité des cibles bien plus faciles qui auront beaucoup plus de difficultés à manifester ou verbaliser leurs malaises (que les adultes) lorsqu'ils souffriront des effets secondaires très fréquents de ce futur vaccin? Sans parler du fait que ces enfants ne pourront pas dire NON et seront donc de facto vaccinés contre leur gré, comme ce sera le cas avec l'introduction prochaine en Afrique du vaccin anti-rotavirus (financé par Bill Gates), qui sera rendu obligatoire sous prétexte de philanthropie.

Un article sur le site de RTBF Info répond à la question de savoir pourquoi on a uniquement testé ledit vaccin sur des enfants, mais, à nos yeux, de façon fort peu crédible.

 

La raison en serait, soi-disant, "pour ne pas multiplier les infrastructures de vaccination" avec l'idée de vacciner les enfants en même temps que des vaccinations comme celles contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche (sans parler de tous les autres vaccins qu'on s'empresse de leur fourguer: pneumocoques, anti-rotavirus bientôt aussi obligatoire en Afrique, sous prétexte de philantropie,...) Ce soir encore, au JT de RTL, on pouvait entendre que le financement de la recherche sur cette vaccination n'aurait pas été possible sans "la générosité" de Bill Gates. Pneumocoques, rotavirus, HPV, ... décidément: quand on parle de vaccins, Bill Gates n'est jamais loin!

 

Rappelons enfin que la question des adjuvants et de leur sécurité se posera encore avec ce vaccin expérimental RTS, S/AS02 puisque cet adjuvant breveté de GSK, l'AS02, contient du MPL (un dérivé lipidique purifié issu du LPS, facteur de virulence clé des bactéries, déjà inclus dans l'adjuvant du Cervarix, l'AS04) et du QS-21, un produit issu de l'écorce de l'arbre Quillaja saponaria, originaire du Chili et d'Argentine. Le tout dans une émulsion de type "huile dans l'eau". Que l'écorce d'un arbre soit une substance d'origine naturelle ne doit pas faire oublier ici le fait que ce type d'émulsion "huile dans l'eau" était aussi ce qui caractérisait l'adjuvant AS03 (à base de squalène), qui fut incorporé dans les vaccins pandémiques H1N1 avec les effets délétères que l'on sait (cas de narcolepsie notamment) mais aussi tous les autres que l'on n'a pas comptabilisés ni évalués...

 

Toutefois, il semble que les industries pharmaceutiques aient décidé de "prendre les devants" en matière de comm' puisque le PDG de GSK Biologicals, Jean Stéphenne affirmait, de façon très (trop?) théorique dans le Soir du 19 octobre dernier qu'"il est indispensable d'apporter la preuve que les adjuvants apportent du bienfait sans risque." Précisons cependant que les adjuvants des vaccins n'apportent jamais le moindre bienfait intrinsèque à l'organisme, ces produits étant un artifice obligé de tous les vaccins tués ou fabriqués par génie génétique sans quoi ceux-ci ne sont même pas capables de déclencher la moindre production d'anticorps.

 

Même si les industriels s'en défendent, il est certain que ce genre de démarche est aussi une question d'argent. Ainsi, les responsables de GSK disent dans le Soir du 19 oct. "Il n'y a pas de prix actuellement fixé pour ce vaccin [...] mais il n'est pas question de faire du profit avec ce vaccin.[...] Nous avons donc pris l'engagement de produire de vaccin à prix coûtant, majoré de 5% qui seront directement réinvestis dans la recherche pour les vaccins de la génération suivante.[...] Quel que soit le prix, il faudra se tourner vers des donateurs comme la fondation Gates mais aussi la Malaria Vaccine Initiative, associant secteurs privé et public."

 

De tels propos constituent des aveux assez accablants puisque cela est admettre qu'ils font beaucoup de profits avec d'autres vaccins, souvent inutiles bien que présentés par les autorités comme des "stratégies de santé publique" (!). D'autre part, un vaccin est à peine "né" qu'il est déjà question d'autres futurs vaccins "de prochaine génération", preuve évidente qu'il n'est pas ici question de commercialiser des vaccins aussi efficaces (et sûrs) que possible mais de rendre des comptes à des actionnaires qui veulent que l'arrivée de nouveaux vaccins sur le marché coïncide avec l'agenda promis, même si l'efficacité est loin d'être au rendez-vous.

 

Souvenez-vous à ce propos que c'est exactement ce qui s'est passé avec les vaccins anti-hépatite B de deuxième génération (mis sur le marché en 1986), encore utilisés à l'heure actuelle et présentés depuis des années comme remarquablement sûrs et efficaces alors que les industries concernées travaillent depuis déjà plusieurs années sur un autre vaccin anti-hépatite B ce qui est à tout le moins très contradictoire par rapport à leurs précédentes professions de foi quant à la sécurité et à l'efficacité de ces vaccins actuels!

 

Quant au prix, l'industrie recourt de façon générale à deux grands types de stratégie: la stratégie du haut prix (vaccins HPV, Prevnar, Synflorix etc) qui peut aboutir dans les pays occidentaux par le truchement de la Sécurité Sociale qui garantit ainsi aux industriels de véritables mannes financières tout en grugeant le public sur l'importance et l'intérêt réels des vaccins en question; et d'autre part, la stratégie "des millions de doses à bas prix" qui rapporte cependant aussi de par le nombre très massif de vaccins achetés par des gens comme Gates qui n'hésitent pas à se positionner en faveur de vaccinations massives, aveugles et même obligatoires (l'obligation étant un autre moyen très lucratif, assurant cette "loi du nombre" sur le plan commercial). Ce dernier cas de figure permettant bien sûr à l'industrie de ne pas trop s'en faire quant au prix exact du futur vaccin (puisque le nombre de doses et les moyens financiers des donateurs suivront toujours)

 

Pour toutes ces raisons, nous dénonçons et nous condamnons cette gigantesque expérimentation humaine qui se fera sur des millions d’enfants innocents et non consentants et qui a même déjà commencé, au cours des essais cliniques, en violation flagrante des principes énoncés dans le Code de Nuremberg.

 

Il est absolument affligeant de constater qu’il aura fallu l’horreur et la désolation d’une Guerre Mondiale ayant coûté la vie à des millions de gens, pour en arriver à édicter ces principes, à présent si facilement baffoués, du fait d’une Science totalitaire devenue incontrôlable  et entièrement soumise aux puissances d’argent.

 

Lire aussi l'article de Sylvie Simon sur ce vaccin anti-malaria: ICI

 

Voir aussi ICI sur l'efficacité de l'armoise dans le traitement des formes graves de paludisme.

 

NB: Wikipedia mentionne que l'armoise est connue depuis l'Antiquité pour son efficacité dans le traitement de la malaria. Wikipedia mentionne aussi ceci:

 

"L'artémisinine est efficace contre plusieurs souches de parasites responsables du paludisme. De multiples études scientifiques confirment cette propriété[1] et l'Organisation mondiale de la santé (OMS) encourage des programmes de soins et de culture. Cette même OMS déconseille la monothérapie à base d'artémisinine et recommande les traitements combinés (polythérapie). Bien que des résultats acceptables soient obtenus avec des cures sous forme de tisanes, à utiliser au moment des fièvres, cette utilisation en tisane est également fortement déconseillée par l'OMS car cette approche pourrait favoriser la résistance du parasite à la molécule d'artéméther (dérivé semi-synthétique de l’artémisinine). Bien que l'application du principe de précaution de la part de l'OMS soit louable, certains font remarquer qu'aucune forme de résistance à l'artémisinine n'a été enregistrée en Chine, alors que cette tisane est utilisée seule depuis près de 2000 ans[1]. L'incertitude récemment apparue découle de la possibilité nouvelle d'une utilisation systématique et d'une application en masse de traitements à base d'artémisinine de qualité plus ou moins variable sur une très nombreuse population, une situation qui jusqu'à récemment ne s'était encore jamais produite avec cette substance."

 

Si l'OMS pouvait appliquer le même genre de principe de précaution pour les vaccins, nul doute qu'on s'en serait sûrement aperçu depuis longtemps! Mais il est vrai que si les gens utilisaient massivement une monothérapie naturelle, simple et pas chère, ça ne ferait sûrement pas les affaires des firmes qui planchent sur des vaccins et qui sont aussi souvent celles qui fabriquent des traitements chimiques que l'OMS entend maintenir dans son concept de "polythérapies", sans doute davantage pour éviter les résistances des fabricants que celle du moustique. 

 

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11 octobre 2011 2 11 /10 /octobre /2011 15:43

Le 9 septembre dernier, nous consacrions déjà un article sur ce qui n'était à l'époque encore qu'un projet de loi, certes inquiétant mais seulement à l'état de projet.

 

Nous venons hélas d'apprendre hier, 9 octobre 2011, que ce texte de loi AB499 est à présent effectif et qu'il a été signé par le Gouverneur de l'état, permettant donc désormais de vacciner les enfants de 12 ans contre des maladies sexuellement transmissibles (hépatite B, HPV,..) sans que leurs parents n'en soient informés!

 

Comme l'explique et le dénonce Ginger Taylor, directeur du "Canary Party", un collectif citoyen américain, préoccupé par les questions sanitaires, tout comme Initiative Citoyenne:

 

"Cela signifie qu’à partir de demain les garçons et les filles de 12 ans vont se retrouver seuls dans le bureau du médecin ou des infirmières de l’école. On leur présentera un vaccin en leur disant que s’ils ne l’acceptent pas ils pourront devenir malades ou même mourir. Le vaccin sera ensuite administré aux enfants et leurs parents n’en sauront vraisemblablement jamais rien…

 

La notice du vaccin Gardasil comporte 30 pages. A voir ici :Gardasil Package Insert. L’Etat de Californie a décidé que des enfants de 12 ans étaient compétents pour pouvoir lire et assimiler cette information, pour comprendre les risques et les bénéfices de ce vaccin et de donner un consentement libre et éclairé. Absurde.

 

[…] La plupart d’entre vous savent déjà que quand un effet secondaire du vaccin  se produit, quelque soient les preuves de la responsabilité du vaccin qui pourraient être apportées, le fait est simplement nié par l’establishment médical. En outre, aucune des personnes impliquées dans le programme d’administration des vaccins ne peut être rendue responsable de quelque dommage que ce soit, ni même de décès… "

 

 

Vidéo-débat sur la fausse pertinence de ce transfert d’autorité des parents à l’Etat : ICI (Fox News)

 

 

Malgré la mise en place de ce genre de mesures scandaleuses et inadmissibles, ce qui est véritablement réjouissant, c’est le nombre croissant de collectifs citoyens qui se créent pour défendre les libertés fondamentales, de plus en plus piétinées par des dirigeants sans éthique.

 

Initiative Citoyenne est de ceux-là, tout comme le collectif « No Forced vaccines » récemment créé en Nouvelle-Zélande suite à la volonté scélérate des autorités de lier les allocations familiales à l’administration de vaccins ou encore le « Canary Party » que nous venons d'évoquer ci-dessus.

 

Quelques soient les langues et les pays, les objectifs communs à tous ces collectifs en disent long sur le bon sens et la pertinence de leurs actions. Cette universalité témoignant en fait d'une véritable dynamique citoyenne mondiale qui sera, à terme, à même de faire tomber les pires formes de tyrannie.

 

Si nous prenons par exemples les différents principes fondateurs du « Canary Party », que voyons-nous ? Qu’ils sont en fait totalement compatibles avec les objectifs et missions d’Initiative Citoyenne alors que nous venons seulement de découvrir leur existence :

 

1. Que la prise de conscience de l’origine humaine des nouvelles pandémies tant attendues est la première condition pour faire cesser un tel manège

 

2. Que lorsque la complexité vient plomber notre compréhension des différentes crises sanitaires, le fameux principe « D’abord ne pas nuire » est un bon repère.

 

3.  Que le bonheur et le bien-être des individus est la première condition d’un environnement sûr.

 

4. Que le droit des individus d’accepter ou de refuser des actes médicaux pouvant les affecter eux ou leurs enfants, doit être défendu.

 

5. Que l’autonomie suppose que les individus assument leurs responsabilités en matière de santé et puissent prendre leur destin en main.

 

6. Que l’accès total à toutes les professions de santé et une information fiable sont des conditions essentielles à la liberté.

 

7. Que lorsque des effets secondaires et dommages surviennent en raison d’un échec des institutions, les victimes méritent justice.

 

8.  Que des décisions justes sont plus aisément adoptées quand les institutions sont entièrement dégagées de tout intérêt commercial.

 

9. Qu’une société ayant un minimum de compassion ne doit pas laisser sur le côté de la route, les personnes victimes ou lésées.

 

 

 

Aux Pays-Bas semble-t-il, les jeunes filles de 12 ans peuvent déjà se faire vacciner, même contre l’avis de leurs parents. L'institut de santé publique hollandais écrit donc (traduction):
 
"Une fille de 12 ans peut-elle se faire vacciner sans le consentement parental?


OUI, cela est faisable. Jusque 12 ans, un enfant ne peut pas se faire vacciner  sans le consentement des parents. A partir de 12 ans, cela est possible. Si une fille le souhaite, la vaccination peut être administrée et ce, même si les parents n'ont pas donné leur consentement pour ce faire."

 

Ce qui est malhonnête, c’est que ce commentaire ne précise pas explicitement que dès 12 ans, la jeune fille peut accepter OU REFUSER de se faire vacciner or il est pourtant bien évident qu’il y a beaucoup plus de cas où la jeune fille n’a pas forcément envie de se faire vacciner selon le souhait de ses parents que des cas où une jeune fille voudrait à tout prix la vaccination contre l’avis de ses parents…

 

 

 

 

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8 octobre 2011 6 08 /10 /octobre /2011 15:48

5/10/11

Santé infantile: Le vaccin antirotavirus introduit bientôt

Vaccin antirotavirus - Vingt-quatre pays d'Afrique sauvés. Les enfants de moins d'un an auront la chance de lutter contre la diarrhée sévère qui est la première cause de la mortalité d'un bon nombre d'entre eux avant leur cinquième année. L'Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI) s'est engagée à financer l'introduction des vaccins antirotavirus dans 12 nouveaux pays du continent africain. Ce vaccin va être mis en oeuvre à Mada gascar en 2013 selon le chef de service de vaccination, le docteur Marius Rakoto­manga.

« À Madagascar, l'accès à un traitement contre les diarrhées sévères à rotavirus est inexistant. GAVI participe en majorité à l'achat de vaccins mais le ministère, à travers le service de vaccination a aussi sa part d'environ 12 à 15% dans l'achat des vaccins », avance t-il.

Introduit par voie orale, obligatoire et gratuit, tous les enfants de moins d'un an en bénéficieront. Ils doivent effectuer deux doses de vaccin dont la première dose se fera au premier mois et demi et la deuxième à leur deuxième mois et demi. Mais en 2012, GAVI envisage aussi d'introduire le vaccin anti- pneumocoque dans 12 pays en Afrique.

Michella Raharisoa

 

Source: L'Express de Madagascar

 

L’aveuglement de la presse en la matière est tout de même assez interpellant.

Car parler de pays qui sont « sauvés » constitue tout de même un raccourci assez grossier. Non seulement, ces vaccins ne s’attaquent pas aux causes des cas graves de maladies diarrhéiques (pauvreté, pas d’accès à l’eau courante, dénutrition d’où immunosuppression,…), mais en plus, ils comportent des risques dont ne seront sûrement pas avertis les populations locales, souvent peu lettrées et donc plus manipulables. Un tout récent article publié sur notre site parlait justement des contaminations de divers vaccins or, il se trouve justement qu’il y a quelques mois à peine, on apprenait la contamination des vaccins anti-rotavirus par un virus porcin (circovirus). Cette contamination a suscité l’inquiétude aux USA, en France et dans d’autres pays. Bien sûr, comme toujours, les experts ont fini par dire que ce type de contamination serait sans conséquence.

 

Ce qui est en train de se passer avec l’introduction des vaccins anti-rotavirus et anti-pneumococciques en Afrique est révélateur de la désaffection croissante pour cet amas de vaccins, ici en Occident. Ecouler des vaccins en quantités, sous prétexte de philanthropie, constitue un moyen commode pour les industriels de maintenir un certain niveau de chiffre d’affaires. C’est un peu le principe des « soldes » ou des « grosses réductions de prix » avant la remise d’un commerce, histoire de perdre le moins possible.

 

Le plus vicieux est l’obligation vaccinale qu’on profite ici d’instaurer du même coup.

 

Finalement, ce sont toujours les firmes qui « demandent la compréhension » du public en cas de contamination et les citoyens qui doivent subir et assumer l’obligation vaccinale et tous les risques qui vont avec.


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