Les risques de l’aluminium sont connus depuis des années (même si des chercheurs belges ont encore osé, il y a quelques mois, en vanter les « vertus » !)
Le Dr Pilette a réalisé un formidable travail de compilation au sujet des risques aluminiques.
Les députés belges de la Commission Santé du parlement fédéral (effectifs et suppléants) avaient tous été interpellés par Sophie Meulemans d’Initiative Citoyenne dans un mail de questions détaillées. Aucun élu n'a jamais répondu !
Visiblement, on voit que les élus français sont moins lâches et qu’au niveau politique, le tabou vaccinal est peut-être moins prégnant dans ce pays que dans le nôtre.
Ceci étant dit, il est clair que la question des adjuvants se situe quelque part dans une impasse étant donné que les microbes « tués » ou « bricolés » n’ont aucune capacité de stimuler en eux-mêmes le système immunitaire (qui ne réagit fort logiquement aux microbes que parce qu’ils ont un pouvoir infectieux réel) et que, par conséquent, le leurre des adjuvants reste indispensable, sauf pour les vaccins dits « à virus vivants », ceux-ci présentant toutefois d’autres types de risques.
L’aluminium remplacé ? Oui mais par quoi ? Par le squalène qui trouve de plus en plus les faveurs des industriels et que ceux-ci ont « poussé » à l’occasion du scandale du H1N1, dans le but de le « légitimer » à l’avenir dans beaucoup d’autres vaccins….
On l’a vu : les vaccins H1N1 étaient loin d’être inoffensifs et que les victimes fassent le lien ou pas, il est bien évident qu’il y en a (troubles neurologiques, auto-immuns favorisés par le squalène injecté).