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23 septembre 2012 7 23 /09 /septembre /2012 22:00

Dr-K.-Schepers.JPG

Le 14 juin dernier, RTBF radio la Première organisait un forum de Midi sur la vaccination.

 

Parmi les invités, aucune personne critique ou contestataire de la situation vaccinale actuelle (bien que cela ne soit pourtant pas cela qui manque) mais "trois bons petits soldats" à savoir:

 

- Le Dr Christine Janne d'Othée, pédiatre à Bruxelles.

- Le Dr Kinda Schepers, infectiologue au CHU Erasme à Bruxelles.

- Le Dr Michel Van Erp, médecin épidémiologiste pour MSF Belgique.

 

Au cours de cette émission, le Dr Kinda Schepers a notamment recommandé la vaccination anti-coquelucheuse des adultes (principe dit de la vaccination cocoon), semblant ainsi ne même pas être au courant d'une publication  canadienne antérieure à cette émission et qui a pourtant très clairement démontré l'inefficacité totale de cette approche.

 

Le Dr Kinda Schepers a aussi évoqué ce qu'elle a appelé "le lobby anti-vaccin". Etrange lobby puisqu'on se demande par qui il est financé et quels intérêts mercantiles il sert, d'autant plus que les seules ressources de collectifs comme le nôtre proviennent des citoyens et des consommateurs eux-mêmes.

 

Interpellée par téléphone par Benjamin Labrique (le papa du petit Raoul qui a été scandaleusement exclu d'une crèche ONE de la ville de Bruxelles), cette infectiologue d'un hôpital pourtant renommé, ne semblait pas au courant des résultats troublants de l'étude Kiggs menée par l'Institut allemand Robert Koch, pas plus d'ailleurs que d'autres données convergentes démontrant que la santé des enfants non vaccinés est en réalité globalement bien meilleure et nettement plus robuste que celle des enfants vaccinés.

 

S'étant dit prête à l'antenne à recevoir par mail ces informations dont elle ne disposait pas, nous avons alors envoyé le 15 juin par mail au Dr Schepers -avec copie à Mme Fabienne Vande Meerssche- ces données comparatives sur la santé des enfants vaccinés VS non vaccinés, de même que la référence de cette étude canadienne sur l'inutilité de la vaccination "cocoon" des adultes contre la coqueluche.

 

Bien entendu, il était assez prévisible dans ces conditions que l'égo de Mme Schepers en prenne un coup et qu'elle cherche alors à faire passer notre démarche informative et interpellative comme agressive, intrusive ou revendicative.

 

Mais cela n'est pas tout, car nous avions aussi interrogé Kinda Schepers sur 4 grandes questions fondamentales au sujet de l'évaluation de la sécurité des vaccins. Après tout, si elle s'était permise d'assimiler très péjorativement tous ceux qui doutent et qui se posent des questions légitimes sur le sujet de "lobbies anti-vaccin", il était logique que nous la croyions alors apte à répondre à ce genre de questions fondamentales. Voici ces questions telles qu'on les lui a posées:

 

- Comment se fait-il qu'il n'y ait jamais eu, en 200 ans de pratique vaccinale, d'essais cliniques de vaccins qui comparent des vaccinés avec des gens absolument non vaccinés de façon à ne pas gonfler artificiellement le nombre d'effets secondaires dans le (faux) groupe témoin/placebo, ce qui constitue un énorme biais potentiel?

 

Bien sûr la raison évoquée bien commode est "l'éthique" (ne pas priver de grands groupes des "bienfaits décrétés plus que testés des vaccins) mais cela ne revient-il pas alors à adopter une démarche non scientifique où on part donc d'un postulat indémontrable que les vaccins font une fois pour toutes plus de bien que de tort mais sans vouloir le découvrir réellement??
 
- Comment justifiez-vous l'absence de toute analyse pharmacocinétique requise pour les vaccins (contrairement aux autres médicaments) et ce alors qu'une telle analyse aurait pu permettre de découvrir bien plus tôt ce que l'équipe de chercheurs du CHU Henri Mondor de Créteil a découvert, à savoir par exemple que l'aluminium vaccinal migre entre autres dans le cerveau sans jamais plus pouvoir en ressortir et de façon à pouvoir occasionner des séquelles d'ordre neurologique?
 
- Comment justifiez-vous aussi l'absence de toute analyse requise de cancérogénicité, mutagénicité et tératogénicité pour les vaccins (contrairement là encore à d'autres médicaments, décidément, les passe-droits des vaccins n'en finissent pas!) et ce alors même que les vaccins contiennent plusieurs produits cancérogènes mutagènes et tératogènes (ex: formaldéhyde qui est un cancérigène certain selon le CICR, le thiomersal qui est mutagène selon la notice de son fabricant Eli Lilly, le polysorbate qui a des effets stérilisants chez les souris etc) et d'autre part que la théorie selon laquelle "la dose fait le poison" est fausse et périmée, des chercheurs ayant récemment expliqué les dangers minimisés des faibles doses et le fait que ces seuils toxiques sont uniquement extrapolés de façon théorique et jamais testés?

  

- Comment pouvez-vous être sûre (ainsi que la communauté médicale mondiale) d'un bon rapport bénéfices/risques pour les vaccins étant donné que seuls 1 à 10% des effets secondaires des vaccins sont effectivement recensés (sources: publication du Dr Kessler dans Jama en 1993, Prescrire, Afssaps en page 5 etc) et qu'il n'est jamais tenu compte de cette inquiètante sous-notification dans les évaluations bénéfices/risques, ni de l'incapacité d'une majeure partie du corps médical à ne serait-ce que déceler et reconnaître des effets secondaires de vaccins?

 

Et on aurait encore tout aussi bien pu rajouter la question d'absence d'évaluation des effets secondaires des vaccins à moyen et long terme, comme l'avait déjà déploré d'ailleurs le Dr J. B. Classen dans le British Medical Journal, en 1999.

 

Suite à ces questions on ne peut plus embarrassantes et sans doute plus parce que nous avions pris le soin de mettre Mme Vande Meerssche en copie conforme du mail, le Dr Schepers nous a alors répondu quelle prendrait « le temps de répondre à toutes nos questions après ses vacances.»

 

Le temps ayant alors passé sans nouvelles de sa part (plus de 3 mois tout de même!), nous nous sommes alors demandé si la promesse du Dr Schepers était réellement sincère et nous l'avons donc relancée.

 

Probablement très énervée que nous nous rappelions à son bon souvenir, elle en a apparemment perdu son latin, puisqu'elle nous a répondu textuellement:

 

Très chères dames,

Pour être sincère,  vous n’étiez pas vraiment une priorité dans mon planning surchargé.

Néanmoins, je suis une femme de parole et répondre à vos questions reste toujours d’actualité.

Je n’ai pas le temps d’échanger des milliards de mails, je vous propose donc de fixer un rendez vous, se rencontrer et discuter de cela.

 

Bien à vous,

 

Dr Kinda Schepers

  

Son excuse de ne pas avoir le temps d'échanger "des milliards de mails" traduit un malaise évident par rapport à nos questions, compte tenu que si cette SPECIALISTE des maladies infectieuses avait réellement les réponses à ces questions, un seul mail lui aurait suffi (et cela lui aurait d'ailleurs pris nettement moins de temps qu'une entrevue dans "son planning surchargé", nous soulignons!)

 

Il apparaît évident que ces réponses ne vont pas de soi et n'ont pas l'air de faire partie des sujets de discussions classiques de ces spécialistes qui vaccinent pourtant à tour de bras dans les Travel Clinics. Mais il apparaît aussi non souhaitable à ces mêmes spécialistes de "laisser des écrits" sur ces questions sensibles qui pourraient leur valoir la désapprobation de l'establishment pour s'être perdu en confusions et autres réponses surréalistes.

Scripta manent, verba volant dit-on... (les écrits restent, les paroles s'envolent).

 

C'est donc probablement dans ce sens que le Dr Schepers nous a répondu, espérant sans doute qu'on n'irait pas jusqu'à vouloir la rencontrer. Ce n'est toutefois pas ce que nous lui avons répondu, tout en lui faisant tout de même savoir qu'elle était loin d'être la seule personne occupée et que par conséquent, nous étions prêtes à la rencontrer à condition bien sûr que ce genre d'entretien d'intérêt général puisse être enregistré et/ou faire l'objet d'une émission radio ou autre (le tout toujours avec mise en copie de Mme Vande Meerssche qui est donc au courant de tous ces échanges). Bien entendu, aucune autre réponse à ce stade du Dr Schepers qui voit plus que probablement d'énormes objections à l'enregistrement de ce type de discussion épineuse mais préfère sûrement s'abstenir de le signaler. Il fallait sauver la face devant la journaliste, faire semblant qu'il n'y avait pas de malaise et donner l'impression que c'était nous qui refusions sa proposition de discussion.

 

Ce cas du Dr Schepers est éminemment emblématique, parce qu'il démontre que ce genre d'experts accourent pour des interviews aseptisées et bien balisées par des médias vraiment très accomodants mais qu'ils appliquent en quelque sorte la très confortable "politique de la chaise vide" dès que des questions trop incommodantes leur sont directement adressées. C'est là un peu facile: recommander et pratiquer largement des vaccins sans être visiblement en mesure de répondre à des questions pourtant sine qua non sur leur sécurité d'emploi. Recommander sans rien assumer. Les conseilleurs ne sont donc jamais les payeurs.

Et les experts du sujet ne sont donc peut-être pas là où on croit.

 

Il reste à souligner que des infectiologues comme des pédiatres ne sont professionnellement presque pas capables de critiquer les vaccins avec objectivité sans scier quelque part la branche sur laquelle ils sont assis puisque sans les vaccins, ces spécialités (telles qu'officiellement et actuellement organisées) perdraient une majorité d'"actes techniques" réalisés au quotidien, les vaccinations constituant le gros de la pratique quotidienne, tant en pédiatrie générale qu'en Travel Clinics.

 

Lire l’échange mail d’Initiative Citoyenne avec le Dr K. Schepers (bien sûr, il va sans dire que si celle-ci souhaitait encore ajouter quelque chose à ce qu’elle a déjà dit, nous le publierions intégralement et il lui reste donc toujours loisible de nous adresser une réponse complémentaire.)

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2 août 2012 4 02 /08 /août /2012 13:16

Par Jennifer Hutchinson, 31 juillet 2012

 

Qu’a pu apprendre votre médecin sur les vaccins à la Faculté de Médecine ?

 

Vous êtes-vous déjà demandé ce que votre médecin connaissait des douzaines de vaccins qu’il injecte dans le corps de vos enfants ? Ce qu’il a appris en Faculté de Médecine au sujet des vaccins ? Ce qu’il a appris après l’obtention de son doctorat ? Et qui contrôle ce que la Faculté lui a appris ? Ma recherche m’a vraiment ouvert les yeux.

 

CE QUE LES MEDECINS APPRENNENT EN FACULTE DE MEDECINE.

 

Première question : qu’apprennent les médecins au cours de leurs études ? Voici ce que certains d’entre eux ont à nous dire.

 

Le Dr Suzanne Humphries, MD (néphrologue) :

 

Dr Suzanne Humphries MD

«  Nous apprenons que les vaccins doivent être administrés selon un programme déterminé. Nous sommes littéralement endoctrinés par un mantra : « les vaccins sont efficaces et sans danger » - Rien de tout cela n’est vrai. Aujourd’hui, les médecins reçoivent une formation intensive sur la manière de s’adresser aux parents « hésitants », sur la manière de les effrayer en grossissant les risques des infections naturelles… sur la nécessité de faire pression sur les parents pour que ceux-ci se conforment, ou alors se voient refuser les soins . Les médecins sont formés à croire que RIEN de mal ne peut jamais être dit des vaccins. Point final» [1]

 

Le Dr Robert Sears, MD :

 

Dr-Bob-Sears-1AA.JPG

« Les médecins apprennent beaucoup de choses sur les maladies, mais très peu de choses au sujet des vaccins… Nous n’avons pas l’occasion de vérifier ou de critiquer nous-mêmes cette recherche. On ne nous apprend pas ce qui rentre dans la fabrication des vaccins ou comment on s’assure de leur sécurité. Donc, quand des patients veulent recevoir un peu plus d’information au sujet des vaccins, tout ce que nous pouvons leur dire en tant que médecins c’est que les maladies sont négatives et que les vaccins sont bons. » [2]

 

Le Dr Larry Palevsky, MD (pédiatre) :

 

Dr-Pavlevsky.JPG

« On m’a appris que les vaccins étaient complètement sûrs et efficaces. Mais, mon expérience, mes lectures, ce que me disaient les parents au sujet des vaccins, tout cela s’est avéré tout à fait différent de ce qu’on m’avait appris.  Quand j’examine les études de l’Académie Américaine de Pédiatrie et du Centre de Contrôle des Maladies (CDC) qui concluent qu’il n’y a pas de relation entre la vaccination et l’autisme ou entre les vaccinations et l’asthme, je me dois de dire que ces études ne me paraissent pas correspondre aux exigences ou aux normes de la science. » [3]

 

Deuxième question : qui contrôle ce qu’on enseigne aux médecins ? L’industrie pharmaceutique.  Comment ? Big Pharma subsidie très largement les écoles de médecine, les hôpitaux qui assurent des formations ; Big Pharma fait de la publicité dans les journaux médicaux et finance l’essentiel de la recherche.

 

Le Dr Marcia Angell, MD, ancienne éditrice en chef du prestigieux New England Journal of Medicine résume tout cela :

 

Dr-Marcia-Angell-1AA.jpg« Si les compagnies pharmaceutiques et les éducateurs médicaux fournissaient d’authentiques formations, les médecins et les institutions académiques les payeraient pour leurs services. Si vous prenez des leçons de piano, c’est à vous de payer le professeur et pas l’inverse. Mais dans le cas qui nous occupe, c’est l’industrie qui paye les institutions académiques et les facultés ; cela va jusqu’à payer les médecins qui suivent les cours. Les compagnies pharmaceutiques  vont jusqu’à payer l’accès aux Facultés de Médecine et aux médecins tant dans leur formation que dans leur pratique. » [4]

 

Sur un plan mondial, le marché des vaccins représente approximativement 30 milliards de dollars. Pour les Etats-Unis ce marché représente les deux tiers de cette somme, soit 20 milliards de dollars. [5]. Ceci nous amène à poser cette question : Les compagnies pharmaceutiques sont-elles dignes de confiance par rapport à ce qui est enseigné aux médecins ? Elles ont en tout cas tout à gagner en vendant leurs vaccins et rien à perdre.

 

Je me suis demandé comment les médecins pouvaient s’informer par rapport aux nouveaux vaccins, alors que de plus en plus de vaccins apparaissent sur le marché. Ca ne doit pas être facile pour un médecin de se tenir au  courant de la toute dernière information sur la question. Heureusement Big Pharma apporte chaque année sa contribution substantielle aux milliards qui sont dépensés pour la formation continue des médecins (CME). Des cours de formation existent sous différentes formes : des conférences sur le net, des DVD… Leur objectif ? Enseigner aux médecins comment s’y prendre pour augmenter les taux de vaccinations.

L’Académie des médecins de famille américains ( AAFP) a, par exemple, créé un programme d’études destiné à aider les médecins à traiter les réticences à la vaccination et à « combattre la pseudoscience ». En fait, pour aider les médecins à répondre aux parents qui s’interrogent sur les vaccinations… [10]

 

Une enquête auprès des pédiatres a montré que 79,9% des parents refusent les vaccins parce qu’ils ont peur que ceux-ci puissent provoquer l’autisme, 61,5% parce qu’ils ne sont pas certains que les vaccins soient sans danger. (Ils sont soit trop nouveaux, soit pas suffisamment testés), et 59,7% parce que les enfants reçoivent trop de vaccins au  cours de leurs deux premières années. (C’est ce qu’on appelle le progrès !)  Avec ces chiffres en tête, peut-on  s’étonner que pareil accent soit mis sur la formation des médecins pour leur permettre de bien s’y prendre avec les parents « hésitants » ?

[…]

 

Les pharmaciens – « une source de premier plan pour l’information sur les vaccins, ainsi que pour leur administration » [11]

 

Les pédiatres et les médecins ne sont pas les seuls à pouvoir administrer des vaccins. Les 50 états américains autorisent également les pharmaciens à administrer des vaccins. .. En plus de leur formation au sujet des vaccins et des maladies que ces derniers sont sensés prévenir, on enseigne aux pharmaciens les techniques de commercialisation pour augmenter les taux de vaccinations et les stratégies visant à dissiper les mythes les plus habituels qui circulent au sujet des vaccinations. [11]

 

La Société Américaine des Pharmaciens et du Système de Santé (ASHP) fournit des recommandations aux pharmaciens quant à leur rôle dans la diminution des maladies susceptibles d’être évitées grâce aux vaccins. Ces recommandations comprennent les rappels aux patients, la diffusion de l’information par téléphone, par cartes postales, brochures, e-mails, télévision et journaux, par des conférences à des communautés et professionnels de la santé, des participations à des événements publics, bref, il convient de saisir toute occasion ( par exemple un patient qui demande un antibiotique et des bandages pourrait bien avoir besoin d’un rappel antitétanique. [12]…

 

Comment peuvent-ils ne pas savoir ?

 

Bien que les médecins et les pharmaciens soient littéralement bombardés au cours de leur « formation  continue », il est étonnant de prendre conscience de tout ce qu’ils ne savent pas au sujet des vaccinations.

 

De récentes histoires nous montrent que les vaccins ne sont pas conservés dans les meilleures conditions ; que des vaccins périmés sont encore utilisés et qu’il existe un problème avec des seringues réutilisées. Au cours de la dernière décade, 130.000 patients américains auraient été potentiellement ainsi exposés à l’hépatite B, l’hépatite C, etc. Tout ceci ayant nécessité une campagne dont le slogan était « une aiguille, une seringue et rien qu’une seule fois ». Comment se fait-il qu’il faille encore apprendre pareilles choses aux médecins ? [14]…

 

En outre, je parie que les médecins ne peuvent même pas citer les ingrédients, comme les quantités d’ingrédients présents dans chaque vaccin. Je veux parier aussi qu’à part une petite fièvre et une rougeur au point d’injection, les médecins ne connaissent pas les risques ou effets secondaires. Savent-ils seulement que certains vaccins contiennent encore du mercure – avec des taux supérieurs aux taux recommandés par les normes de sécurité de la FDA ?...Pensez-vous que les médecins lisent les études qui ont clairement établi un lien entre les vaccins et l’autisme ? Par exemple, les études du Dr Wakefield et toutes celles qui ont  confirmé ses recherches ? Je me permets d’en douter. Ils sont trop occupés à lire les articles publiés dans des journaux comme Pediatrics écrits la plupart du temps par des membres des conseils d’entreprise de l’industrie pharmaceutique. Des articles qui leur apprennent comment s’y prendre avec des parents qui s’opposent aux vaccinations…Bref tout ce qui est susceptible d’augmenter les taux de vaccinations.

 

Tout ce qui est enseigné aux médecins et aux pharmaciens peut être résumé par un seul mot : propagande. Ils apprennent ce que Big Pharma veut qu’ils apprennent et ils contribuent ainsi à remplir ses poches même si cela peut détruire des vies.

 

Si l’on se fonde sur leur comportement passé, les compagnies pharmaceutiques semblent avoir perdu toute crédibilité. Va-t-on encore croire ces gens sur parole quand ils disent que les vaccins sont sans danger alors que l’argent et les profits sont à ce point susceptibles d’influencer leur réponse ?

 

Source: Vactruth 

  

Références:

 

1. www.vaccinationcouncil.org/2011/11/17/smoke-mirrors-and-the-disappearance-of-polio/

2. www.askdrsears.com/topics/vaccines/inside-vaccine-book

3. http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2012/04/11/vaccination-impact-on-childrens-health.aspx

4. http://bostonreview.net/BR35.3/angell.php

5. http://jutiagroup.com/20120412-vaccine-therapies-hold-promise-for-investors-stephen-dunn/

6. www.cdc.gov/vaccines/ed/courses.htm

7. www.immunizationed.org/

8. www.eqipp.org/index.cfm?nfstatus=401&nftoken=00000000-0000-0000-0000-000000000000&nfstatusdescription=ERROR%3a+No+local+token

9. www2.aap.org/immunization/pediatricians/communicating.html

10. www.aafp.org/online/en/home/publications/news/news-now/education-professional-development/20120409vaccinesafetycurriculum.html

11.www.pharmacist.com/Content/NavigationMenu3/ContinuingEducation/CertificateTrainingProgram/PharmacyBasedImmunizationDelivery/Pharmacy_Based_Immun.htm

12. www.uspharmacist.com/content/d/feature/i/783/c/14501/

13.www.pharmacist.com/AM/Template.cfm?Section=Pharmacist_Immunization_Center1&template=/CM/ContentDisplay.cfm&ContentID=28075

14. www.oneandonlycampaign.org/about/the-campaign

15. www.thehealthyhomeeconomist.com/six-reasons-to-say-no-to-vaccination/

 

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11 juin 2012 1 11 /06 /juin /2012 15:51

Martin Winckler est médecin généraliste et ancien chroniqueur médical. Il dresse dans cet article du Monde un portrait lucide de cette caste qui croit tout savoir sur tout et dont laquelle est issue tous ces bons experts qui entendent édicter des directives sanitaires applicables à tous.

 

A mettre entre toutes les mains, pour démystifier aussi le piédestal indû sur lequel l'opinion publique a placé les médecins en les croyant tous aveuglément dignes de confiance.

 

NB: Si l'article ne s'affiche pas à l'endroit, cliquer sur l'onglet affichage (en haut) puis sur rotation et enfin faites un clic sur "rotation horaire".

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 23:19
MEDICAMENTS: RAPPORTS FAUSSES
 
EFFETS SECONDAIRES : LES PREUVES QU'ON NOUS CACHE
  

Le 28 août 2007, nous apprenions par l’agence Reuters que, très souvent, les médecins éliminent les déclarations de leurs patients sur les effets secondaires des médicaments.

Anne Harding, journaliste de l’agence, a mené une enquête et a découvert que lorsque les consommateurs de médicaments pensent qu’ils sont victimes d’effets secondaires, la plupart du temps, les médecins rejettent leurs plaintes. Au cours d’une enquête concernant 650 patients, qui prenaient des statines pour faire baisser leur niveau de cholestérol, la majorité des patients ont déclaré que leurs médecins ont nié qu’il pouvait  y avoir un rapport entre ces médicaments et les symptômes qu’ils leur rapportaient.

Le Dr Béatrice A. Golomb, de l’université de Californie à San Diego, a déclaré : «Cela semble se produire même lorsque les effets sont officiellement connus au sujet des médicaments très largement utilisés. Nous avons besoin d’une meilleure éducation des médecins au sujet des effets contraires, et d’un plus important engagement des patients pour signaler ces effets »

Les conséquences les plus graves des statines sont des atteintes du foie, et des problèmes musculaires, sans compter que les statines sont impliquées, parmi d’autres dommages, dans les pertes de mémoire, de concentration, et les sautes d’humeur.


La réaction des médecins est primordiale car les problèmes musculaires risquent de s’aggraver jusqu’à une condition rare mais fatale appelée « rhabdomyolyse » si la prise du médicament n’est pas immédiatement arrêtée.


Les chercheurs ont constaté, au cours de leur investigation, que c’est presque toujours le malade et non le médecin qui soulève ce problème.
 
Parmi les patients avec des pathologies musculaires ou cognitives, 47 % d’entre eux signalent que leurs médecins ont vigoureusement nié que les symptômes rapportés pouvaient avoir un lien avec les statines, alors que 51 % des patients ayant des neuropathies périphériques – un type de douleurs musculaires affectant les extrémités – ont constaté les mêmes dénégations.
 
Dans l’ensemble, 32 % des patients ont rapporté que leurs médecins ont affirmé qu’il « ne pouvait y avoir de lien » , 39 % ont estimé que « cela pouvait être possible » et que 29 % n’ont ni admis ni rejeté cette possibilité ».
 

Les enquêteurs ont été surpris d’apprendre qu’autant de médecins avaient refusé cette possibilité.

 

Bien que cela n’ait pas été le but de l’enquête, le Dr Golomb a noté qu’il n’existe de la part de l’industrie pharmaceutique « aucun intérêt parallèle d’être certaine que les médecins sont avertis des effets secondaires » alors qu’elle est certaine d’avoir le dernier mot au sujet des bénéfices engendrés par les médicaments qu’elle vend.

Le Dr Golomb a ajouté : « les patients devraient être prévenus des risques engendrés par les médicaments qu’ils absorbent et ceux qui constatent que leurs médecins ne remplissent pas leurs devoirs devraient s’adresser ailleurs pour être soignés. Ils devraient toujours choisir un médecin qui semble les écouter ». (cf.Drug Safety, août 2007)

Malheureusement c’est loin d’être le cas, car la parole du médecin est souvent considérée comme celle de Dieu lui-même, et l’on ne met jamais en doute la parole de Dieu.

Quoi qu’il en soit, si les médicaments étaient testés sérieusement et non sur des animaux, différents de l’homme comme nous le répétons sans cesse, ces médicaments n’auraient jamais été acceptés sur le marché. C’est bien là le problème, le « marché » et la « croissance » étant bien plus importants que la santé humaine.

Sylvie Simon
 
Source: Action Santé Libertés

Voilà un article qui ne risque hélas pas de s’être démodé avec les années, bien au contraire ! Ces chiffres, relayés à l’époque par l’agence Reuters, ne nous étonnent hélas pas, ils sont le reflet de la peur panique des médecins d’être l’objet de plaintes et autres poursuites en justice ou plus simplement de « perdre des clients », insatisfaits de leurs prescriptions.

 

Il s’agit donc principalement de la peur d’avoir une responsabilité et d’être mis en cause, en tant que prescripteur d’un médicament qui a fait « plus de tort que de bien » et surtout, qui n’avait même pas averti ses patients de tels risques, conformément à ses obligations légales (loi d’août 2002 sur les droits du patient). Cela explique déjà en grande partie ce déni face à l’évidence.

 

Et bien sûr, les effets secondaires de vaccins n’échappent pas à la règle, au contraire, c’est un sujet encore plus « sensible » et tabou.

 

Ainsi, même si un vaccin tue votre enfant ou le rend par exemple épileptique à vie, ne doutez pas une seule seconde que cet effet ne sera jamais reconnu comme « pouvant avoir été causé par un vaccin », tout au plus, vous aurez seulement droit, à une dérogation médicale pour que l'enfant soit (enfin) dispensé de vaccination mais quand il sera trop tard toutefois et que le mal sera déjà fait, hélas !

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23 mai 2012 3 23 /05 /mai /2012 08:00

Voir le document du Dr Jean Pilette à ce propos, ICI.

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15 mai 2012 2 15 /05 /mai /2012 21:50

Dans l’indifférence de tous, le code de déontologie médicale vient d’être modifié par un décret (n° 2012-694 du 7 mai 2012). A part des avancées réelles profitables aux droits du malade, ce texte, par l’ajout de neuf petits mots qui changent tout, signe en fait la fin de l’humanisme en médecine. Rien de moins. [...]

 

« Compte tenu des données acquises de la science »

 

Mais là où les choses dérapent carrément, c’est dans l’article R4127-8 du nouveau décret qui dit : « Dans les limites fixées par la loi et compte tenu des données acquises de la science, le médecin est libre de ses prescriptions qui seront celles qu´il estime les plus appropriées en la circonstance ». Cette formulation est identique à la formulation du texte en vigueur jusqu’alors, au détail près des neuf mots soulignés par nous dans le texte.

 

Apparemment, tout le monde pourrait applaudir ce rajout. On trouverait illogique et dangereux que des professionnels de la santé ne s’appuient pas dans leurs pratiques sur les « données acquises de la science ».

 

Oui, mais en France, cela signifie : tout médecin qui ne respecte pas à la lettre les indications institutionnelles, qui innove (même s’il le fait en conscience) ou adapte sa conduite pour tenir compte des particularités de son patient, tout médecin peut donc désormais être poursuivi par son Conseil de l’ordre et interdit d’exercer. Le praticien doit s’en tenir strictement à la nomenclature des actes édictée par l’Assurance maladie, aux codifications de l’Académie de médecine, aux prescriptions du ministère de la santé.

 

Cela veut dire que les maladies ont été mise en fiches et que la seule façon de les traiter est de suivre les règles, normes et décrets élaborés par le système institutionnel. [...]

 

Lire la suite de cet important article de Jean-Luc Martin Lagardette: ICI 

 

 

Ils auraient ainsi pu mieux formuler en écrivant « dans l'état actuel de ce que nous considérons comme NOTRE science bien à nous »....


Car de fait, ce système n'hésite pas à tordre ses propres principes prétendus de scientificité au point par exemple, avec les vaccinations, de ne jamais avoir voulu officiellement comparer dans les essais cliniques des vaccinés et des non vaccinés (ce qui biaise bien sûr toute observation dite réellement scientifique), au point de n' imposer à ces produits ni analyse pharmacocinétique ni test de cancérogénicité comme pourtant imposés à d'autres produits. Ces passe-droits démontrent donc surtout une fausse science très opportuniste qui ne sert pas les gens au moindre coût humain, c'est le moins qu'on puisse dire puisqu'il y a en France, selon un récent article du Dr Delépine sur Atlantico, pas moins de 300 000 hospitalisations annuelles dues aux effets secondaires des médicaments!


On se retrouve donc dans un système qui se dit "scientifique" mais qui n'en a toutefois pas le courage, de peur que de véritables constatations scientifiques ne constituent au final de grosses entraves commerciales. On trouve alors des prétextes pour le maintien de ce statu quo lucratif:


 - pour les conflits d'intérêts, on prétend que les experts totalement indépendants seraient "de piètres experts" et que donc "l'indépendance totale est un mythe" comme a encore dit ce lundi la Ministre fédérale belge de la Santé, Laurette Onkelinx
 
- pour
les faux placebos (autre vaccins ou substance intrinsèquement toxique), on les justifie par le fait qu'on ne pourrait pas priver de grands groupes de gens de vaccins et que "ça ne serait pas éthique", ce qui, il faut le noter, constitue déjà en soi un aveu d'anti-science, et de dogmes indiscutables à priori selon lesquels, il ne pourra jamais être débattu de l'utilité des vaccins, par conséquent jamais véritablement testée dans les règles de l'art.

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1 mai 2012 2 01 /05 /mai /2012 16:19

Le Journal International de Médecine (JIM), dans lequel nous avions déjà publié un commentaire au sujet de ces vélléités d'obligation vaccinale avec le vaccin ROR, publiait le 25 avril dernier une prétendue "information exclusive", selon laquelle 75% des professionnels de santé seraient favorables à l'obligation vaccinale du ROR.

 

Leur article comporte cependant de grandes incohérences puisqu'ils reprennent ainsi les affirmations assez surréalistes de l'INPES selon lesquelles « Au sein de la population générale, 99 % des personnes interrogées sont favorables au vaccin ROR et seulement 1 % se déclarent spontanément opposé au vaccin ROR (…). Les médecins généralistes sont très majoritairement favorables à la vaccination contre la rougeole (97%). Ces opinions s’accompagnent de propositions très fréquentes aux parents d’enfants de un à deux ans (88 % déclarent la proposer systématiquement) »

 

Tout qui a un peu de bon sens peut légitimement se demander pourquoi il y aurait même besoin d'être favorable à la moindre obligation vaccinale si 99% de la population générale se dit favorable à l'administration dudit vaccin et que les officiels se satisfont (disent-ils) d'un taux prétendument protecteur de couverture vaccinale de 95%.

 

La réalité est donc que les chiffres de ces enquêtes sont tout bonnement biaisés, comme le démontrent les 14% d'adolescents français qui n'ont reçu qu'une seule dose de vaccins. Car en admettant que certains ne seraient pas au courant que le schéma vaccinal officiel préconise une double dose (ce qui serait étonnant vu tout le battage autour du sujet), il n'en reste pas moins qu'une bonne partie de ces jeunes et de leurs parents ont pu s'informer et ne tout simplement pas désirer rééditer la vaccination. Une analyse par ailleurs totalement corroborée par les chiffres d'un récent sondage de Pfizer en Suisse, démontrant un pourcentage significatif d'environ 20% de personnes très critiques au sujet de la vaccination.

 

Il est donc évidemment plus commode de parler d'une "parfaite acceptation mais d'une très imparfaite utilisation" que d'une "acceptation très imparfaite en raison d'une utilisation ayant parfaitement démontré ses effets secondaires"...

 

Le JIM évoque alors les 74% des 383 votants lors de son sondage réalisé du 12 au 24 avril dernier qui se sont prononcés en faveur d'une obligation vaccinale avec le ROR, les 23% s'y étant opposés et les 3%  qui ne se sont pas prononcés. Mais le JIM affirme alors ensuite "Ces résultats témoignent non seulement de la grande confiance des professionnels de santé dans la vaccination mais plus encore de leur conviction que sans des dispositifs plus contraignants il sera difficile d’atteindre une couverture optimale."

 

La "grande confiance" des professionnels de santé dans la vaccination s'était en effet déjà illustrée au travers des chiffres accablants d'une enquête de l'INPES de 2005 aux résultats étrangement non publiées et selon laquelle pas moins de 58% des pédiatres et généralistes avouaient se poser des questions sur l'utilité des vaccins faits aux enfants et 31% sur leur sécurité.

 

Quant à la conviction erronnée des professionnels de santé sur la nécessité de dispositifs plus contraignants dont parle le JIM, il faut rappeler à ce sujet ce que le rapport de l'Agisdes (Association du groupement d'intérêt scientifique en droit européen de la santé), d'ailleurs commandé par le Ministère français de la Santé, a repris entre autres arguments pour justifier la levée des obligations vaccinales:

 

« L’analyse de littérature scientifique montre qu’il n’y a pas de lien direct entre le fait qu’une vaccination soit obligatoire et un meilleur niveau de couverture vaccinale. »

 

Une belle preuve de plus donc que les convictions des professionnels de santé ne sont souvent rien d'autre que des croyances aux conséquences potentiellement très lourdes pour la santé de leurs patients. Il est en outre assez ahurissant de constater l'illogisme d'une majorité de professionnels de santé qui ont plus que probablement fait une rougeole naturelle étant plus jeunes et qui ne le regrettent sûrement pas, mais qui présentent néanmoins à leur patentièle cette vaccination sans laquelle ils ont très bien vécu comme absolument "indispensable"! Car pour rappel en effet, dans les années 70 en Belgique, il y avait pas moins de 50 000 cas annuels de rougeole sans que cela fasse jamais les gros titres des journaux.

 

Près de 15% des 11-13 ans n'ont pas reçu les 6 doses de DTP imposées, en dépit de "l'obligation légale" ce qui démontre d'une part les limites de la soumission populaire et confirme par ailleurs les chiffres du sondage de Pfizer en Suisse qui évoquaient 20% de personnes très critiques sur la vaccination.

 

Par conséquent, quand on évoque le droit de la collectivité à se protéger pour tenter de justifier des obligations vaccinales contestables, on doit aussi pouvoir se demander si 1 personne sur 5 ou sur 6 peut décemment accepter la dictature des 4/5 ièmes autres, tout en se rappelant bien sûr l'article n°2 de la Convention Européenne d'Oviedo (ou Convention sur les Droits de l'Homme et la Biomédecine) stipulant que "L'intérêt et le bien de l'être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la Science."

 

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24 avril 2012 2 24 /04 /avril /2012 13:19

Les médecins sont un rouage indispensable des politiques vaccinales. Il est donc essentiel de les faire marcher à la baguette et de leur donner si possible, l'illusion d'être "acteurs" et actifs dans cette vaste entreprise de propagande à laquelle beaucoup pensent sincèrement adhérer, mais sans toujours bien en connaître tous les tenants et aboutissants.

 

Ceci est une évidence quand on sait que d'après une enquête officielle, 31% des médecins pédiatres et généralistes français se posent des questions sur la sécurité des vaccins pédiatriques et 58% sur leur utilité. Une majorité se posent donc des questions sans que les slogans et affirmations simplistes des officiels ne parviennent à les convaincre ou à leur enlever leurs doutes.

 

Hélas, il existe en matière de vaccination, des pressions de toute part qui finissent tôt ou tard par se concrétiser en lignes directrices rigides et standardisées que les médecins sont censés suivre quels que soient les pays, et les situations, à la manière de robots et de façon à les déresponsabiliser. Ce "moule" unique et conformisant peut en effet en rassurer quelques uns, notamment vis-à-vis du risque de poursuites en justice futures de la part de "patients malheureux".

 

Cette sorte de "police vaccinale" uniformisante avance donc à grand pas parce que c'est tout simplement le seul "outil" et à vrai dire le seul espoir des autorités nationales et internationales pour tenter d'enrayer ces énormes doutes et aussi cette énorme prise de conscience dans le chef du corps médical mondial. C'est en substance ce que semblait avouer le Pr Gaudelus dans Impact Médecine en affirmant " L'amélioration de la couverture vaccinale passe par le médecin traitant qui est l'acteur incontournable et indispensable pour faire appliquer correctement la politique vaccinale."

 

Il faut donc "faire appliquer" la loi vaccinale mondiale par une armée de bons petits soldats qui ne doivent surtout pas trop réfléchir, exactement à la manière de ce qui se passe avec Monsanto et sa "police des semences". Il ne faut pas sortir du moule, surtout ne pas trop réfléchir!

 

C'est dans ce cadre que se tiendra le 4 mai prochain à Bruxelles à l'initiative du Centre européen de Contrôle des Maladies (ECDC) et du Comité Permanent des Médecins européens (CPME), une conférence intitulée « La prévention par la vaccination chez les enfants – définir le rôle des médecins dans le débat des parties prenantes ».

 

Que pouvons-nous attendre de ce genre de conférences financées avec l'argent des contribuables si ce n'est une standardisation accrue des programmes de vaccination en Europe (mêmes calendriers, mêmes doses, mêmes produits, même propagande, même attitude du corps médical, etc)?

 

Fort heureusement, d'autres initiatives totalement contraires voient le jour comme cette conférence européenne sur la rougeole et la liberté vaccinale qui se tiendra le 18 mai prochain à Barcelone. [Infos & programme : ICI]

 

Nous pensons que les médecins gagnent à creuser ces sujets par eux-mêmes plutôt que de faire aveuglément confiance aux prétendus comités "payés pour ça" qui ne font ainsi que leur "faxer" leurs directives à appliquer aveuglément. Par respect pour leurs patients mais aussi pour leurs propres capacités de discernement, les médecins gagnent à s'intéresser précisément à la composition exacte des vaccins qu'ils injectent, aux effets respectifs possibles de chacun des composants, à la question des risques à long termes, insuffisamment évalués et donc constamment sous-estimés, etc

 

Pour terminer, nous rappelons aux médecins cette superbe phrase d'Albert Einstein, ici très à propos: 

 

"Ceux qui aiment marcher en rangs sur une musique : ce ne peut être que par erreur qu'ils ont reçu un cerveau, une moelle épinière leur suffirait amplement."

 

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23 avril 2012 1 23 /04 /avril /2012 08:12

INFIRMIEREUne étude revue par les pairs et publiée en février dernier dans la revue Vaccine tente de répondre à cette question (bien entendu, parce que cela fait obstacle aux vélléités de vaccination à tout prix un peu partout).

 

Elle a été réalisée en Israël auprès d'infirmières d'un Centre de Soins Mère-Enfant au sujet notamment des vaccins antigrippaux et anticoquelucheux.

 

Parmi les résultats, les chercheurs ont indiqué: "Perte de confiance dans les autorités de santé, surtout à la suite de la prétendue épidémie de grippe A/H1N1. En outre, les infirmières ne voient pas l’importance de servir de modèles pour le public. Elles réclament le pouvoir de décider de manière autonome si oui ou non elles vont recevoir les vaccins. Les infirmières qui veulent également qu’une différence soit établie entre leur rôle d’infirmières et leur vie privée, ont exprimé leurs craintes par rapport aux nouveaux vaccins. Elles présentent cependant de faibles niveaux de perception du risque. Les infirmières ont exprimé des idées fausses concernant la vaccination."

 

Au point 3.3 de l'étude, on peut notamment lire "Crainte des effets secondaires" ("Fear of side effects"), suivi du passage suivant:

 

"Les infirmières ont fait état de leurs expériences en matière d'effets secondaires de vaccins. Elles avaient le sentiment que la sévérité et le risque de contracter des maladies ne valaient pas celui de se faire vacciner avec un vaccin sur le marché depuis trop peu de temps que pour connaître ses possibles effets secondaires. Ceci concernait les vaccins contre la grippe et la coqueluche et elles avaient le sentiment que les autorités les utilisaient comme des cobayes."

 

Beaucoup de gens ont le sentiment de faire office de cobayes. La fausse pandémie de H1N1 et la teneur des contrats signés par les Etats a d'ailleurs montré que c'était bien le cas.

   

Il est courant et même banal que les officiels taxent d'" idées fauses" ce que des gens ont dû pourtant constater dans la réalité des FAITS, tout simplement parce que l'expression de ces faits contredit et dérange les thèses commerciales officielles. Si vous vous souvenez, la Lettre du Médecin a elle aussi sous-entendu récemment ce genre d'idées, en affirmant de façon purement gratuite que "nous ne nous lassions pas des critiques les plus dures envers les vaccins.". Si nous émettons des critiques, c'est parce qu'il nous semble au contraire qu'il y a vraiment de quoi et que ces critiques sont justes plutôt que "dures", "très dures" ou "trop dures"!

 

Ce qui dérange le système n'est donc pas faux pour autant, attention aux raccourcis!

 

Source: Vaccine Liberation Army

   

Les infirmières comme les médecins sont bien placés pour pouvoir constater au quotidien les effets secondaires des vaccins. Hélas, une certaine frange non négligeable du corps médical qui a pris conscience des risques des vaccins mais aussi de ceux qu’il y a à s’exprimer publiquement sur ce sujet tabou, préfèrent utiliser à bon escient leurs informations pour eux-mêmes afin d’éviter de se faire vacciner, tout en continuant cependant à vacciner leur patientèle comme si de rien n’était.

 

 

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8 mars 2012 4 08 /03 /mars /2012 22:00

7 mars 2012

 

L’attaque d’Andrew Wakefield et de ses collègues- les médecins qui ont suggéré un lien entre l’autisme et le vaccin ROR- était une chasse aux sorcières de la part de l’organe de régulation qu’est l’Ordre des Médecins britannique (General Medical Council, GMC), comme l’a établi la Haute Cour du Royaume-Uni elle-même.

 

Cette Cour a appelé le General Medical Council à se remettre en question après que cette instance ait radié à tort de la profession un des collègues de Wakefield.

 

Le Professeur John Walker-Smith, qui faisait partie de l’équipe de recherche de Wakefield qui avait initialement suggéré une relation entre le vaccin et l’autisme, a été radié par le GMC en 2010, en même temps que Wakefield et un autre membre de leur équipe.

 

Mais la décision était erronée a estimé la Haute Cour qui a annulé la décision du GMC, permettant ainsi au Professeur Walker-Smith de reprendre sa pratique (si jamais il le souhaitait). Le juge d’appel, Mr Justice Mitting, a appelé à des changements dans la façon dont le jury du GMC conduit les auditions.

 

Le jury a affiché «des raisonnements superficiels et inadéquats et, à plusieurs occasions, une conclusion erronée.» En d’autres mots, Walker-Smith a été jugé coupable par association car le simple fait d’être lié de quelque façon que ça soit à Wakefield était un motif suffisant de radiation.

  

Source : BBC & WDDTY

 

Lire l'intégralité de la décision de justice rendue: ICI 

 

 

 
 
Fait intéressant: Le Soir avait jadis titré en parlant de Wakefield "Un docteur au banc d'infamie" (article de Frédéric Soumois de 2010), relayant qu'il avait prétendûment "manqué à l'éthique de la recherche"; le Journal International de Médecine (JIM), dans sa réponse du 19 juillet 2011, se gaussait aussi du caractère soi-disant fraduleux de la publication de l'équipe de Wakefield, au motif qu'elle avait été retirée du Lancet. Même la revue d'EBM Minerva s'était laissée aller à parler de cette affaire dans un article intitulé "Quel arbitre sifflera la fraude?" dans lequel il était affirmé que les résultats de l'équipe de Wakefield avaient été falsifiés et qu'"aucune autre recherche ne montra un tel lien", ce qui est bien entendu faux, le Daily Mail ayant rappelé à juste titre dans un de ses articles qu'au moins deux autres équipes avaient au contraire reproduit les résultats précédemment obtenus par l'équipe de Wakefield, ce qui, soit dit au passage, a certainement dû conforter dans leur choix des parents comme le couple Blair, l'ex premier Ministre ayant étrangement refusé de répondre à la question d'un journaliste de savoir si son propre fils était vacciné.

Ces médias, ces organisations, ces revues oseront-elles enfin avouer au public qu'il s'agissait d'une véritable chasse aux sorcières et par conséquent, faire état de la légèreté de leurs propos précédents au sujet de ce dossier ou bien passeront-ils, comme à leur habitude, ce genre de nouvelles accablantes sous silence? Car le moins qu'on puisse dire est que ce genre de nouvelles les accable puisqu'elle vient précisément affaiblir leur thèse assez grotesque selon laquelle Wakefield serait un grand fraudeur et que tous ces professionnels réputés qui l'entouraient ne s'en seraient comme par hasard jamais rendu compte! L'émergence de ces nouvelles informations décisives suffira à démontrer, de par le relai qu'ils en feront, les véritables exigences d'éthique, de loyauté et de véracité de ces mêmes personnes et instances, qu'Initiative Citoyenne se charge bien entendu d'informer...
 

 



 

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