Une vaste étude mondiale confirme le lien entre les vaccins contre la COVID-19 et de potentiels problèmes de santé
20 février 2024. Journal de Montréal
Une nouvelle étude internationale sur les vaccins traitant la COVID-19, la plus importante à ce jour, a fait le lien entre cette inoculation et les risques accrus de certains effets secondaires indésirables, tels la myocardite et le syndrome de Guillain-Barré.
L’étude a été portée sur près de 100 millions de personnes vaccinées dans huit pays différents incluant le Canada: Argentine, Australie, Danemark, Finlande, France, Nouvelle-Zélande et Écosse.
Menée par l’organisation Global Vaccine Data Network, l’étude scientifique examinait les effets indésirables de santé provoqués par l’administration des vaccins Pfizer, Moderna et AstraZeneca.
L’équipe d’experts ont répertorié 13 problèmes de santé particulièrement importants et qui sont survenus chez les vaccinés jusqu’à 42 jours après les injections des vaccins, dont le syndrome de Guillain-Barré, la paralysie de Bell, les convulsions, la myocardite et péricardite.
L’étude, publiée la semaine dernière dans la revue Vaccine, a donc révélé que les produits médicaux étaient associés à une légère augmentation des problèmes médicaux neurologiques, sanguins et cardiaques.
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De rares cas de myocardite, une inflammation du muscle cardiaque, ont été découverts dans la première, deuxième et troisième dose des vaccins à ARNm de Pfizer-BioNTech et Moderna.
Une autre maladie cardiaque, la péricardite, présentait un risque 6,9 fois plus élevé chez ceux qui avaient reçu une troisième dose du vaccin à vecteur viral d’AstraZeneca, selon l’étude.
Également, le rapport note qu’une première et une quatrième dose du vaccin de Moderna présentaient respectivement un risque 1,7 fois et 2,6 fois plus élevé de péricardite.
Il y aurait aussi un risque accru de développer un type de caillot sanguin dans le cerveau à partir d’une injection à vecteur viral comme celle de l’Université d’Oxford et fabriquée par AstraZeneca.
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Les chercheurs ont observé une «augmentation significative» des cas de syndrome de Guillain-Barré, un trouble neurologique rare, chez les personnes ayant reçu le vaccin d’AstraZeneca.
Des indices de sécurité ont été reconnus pour la myélite transverse, une inflammation de la moelle épinière, auprès des vaccins à vecteur viral, tout comme l’encéphalomyélite aiguë disséminée, le gonflement du cerveau et de la moelle épinière, avec les vaccins à vecteur viral et à ARNm.
«Les signaux de sécurité identifiés dans cette étude doivent être évalués dans le contexte de leur rareté, de leur gravité et de leur pertinence clinique», ont précisé les chercheurs dans l’étude.
D’ailleurs, selon l’autrice principale Kristýna Faksová de l’Institut Statens Serum au Danemark, «la taille de la population a augmenté la possibilité d’identifier de rares signaux potentiels de sécurité».
Les chercheurs ont également précisé dans leur analyse que les infections à la COVID-19 se sont révélées plus susceptibles de provoquer les problèmes de santé observés que la vaccination.
Selon eux, ce facteur devrait être pris en compte lors de l’évaluation des bénéfices et risques. D’ailleurs, plusieurs experts ont répété pendant la pandémie que les avantages des vaccins l’emportent, alors qu’ils protègent contre les maladies graves, la COVID longue et la mort.
Plus de 13,5 milliards de doses ont été administrées dans le monde depuis le début de la pandémie.
Source : Le Journal de Montréal
Pour rappel aussi, visionnez ou revisionnez ces trois vidéos importantes sur l'arnaque absolue et le désastre sans précédent de ces pseudos vaccins anti Covid qui affecte beaucoup trop de gens via divers symptômes (nb la quatrième que nous voulions ajouter a été censurée par youtube, il s'agit de l'excellente vidéo de Christine Anderson que nous avons mise et incluse en introduction du Congrès "La victoire des fourmis" en avril de l'année passée et incluse dans le DVD du Congrès):
Témoignage du cardiologue Dr Stevens, lui-même victime du vaccin Covid