« Klenner a réalisé que le secret de ses succès résidait dans les doses massives (de vitamine C) qu’il employait. » Dr Irwin Stone
MALADIE NOSOCOMIALE OU SCORBUT HOSPITALIER ?
LA VITAMINE C : UN ANTIPOISON MAJEUR
« MORT SUBITE DU NOURRISSON »
Dr. Gilbert H. CRUSSOL, Dr. C.D., F.I.C.D.
Ex-Intern Harvard Forsyth Center, Boston, USA
Member International Academy of Oral Medicine and Toxicolgy
Diplômé de Criminalistique de la Faculté de Médecine Légale de Paris
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"Dans un silence et une discrétion exemplaires, Scorbut, Hypoascorbémie et Anascorbémie tuent chaque année plus d’humains que toutes les autres maladies réunies." Dr G.H. Crussol
INTRODUCTION
La terrible situation où se retrouvent environ 10% des patients hospitalisés et qui désarçonne médecins et infirmières pourrait être évitée dans la majorité des cas, en oubliant l’approche pasteurienne pour se concentrer sur les aspects toxique et nutritionnel.
L’aspect toxique, car on tient pour acquis que les produits utilisés sur les patients le sont pour leur bien alors qu’ils ont été mis sur le marché par une industrie beaucoup plus concernée par ses résultats financiers ou sa cotation en bourse. Ceux qui en doutent devront se référer aux variations en bourse de ces sociétés associées à des campagnes de terreur concernant des épidémies peut- être à venir, ayant abouti à des commandes de l’ordre de plusieurs milliards de la part des pays riches. Elles ont été obtenues par la peur résultant de battages médiatiques, en passant sous silence les leçons du passé.
L’aspect nutritionnel, parce que l’ensemble des populations des pays dits civilisés est nourri artificiellement avec des aliments trop riches en calories et trop pauvres en nutriments. […]
DESCRIPTION
Officiellement, c’est une infection, le patient est contaminé par un microbe. On pense d’abord à une erreur du personnel médical. Une infection est dite nosocomiale si elle était absente à l’entrée à l’hôpital. La maladie nosocomiale est, dans la majorité des textes, considérée comme une infection consécutive à un séjour dans un hôpital. La loi considère que sa responsabilité est engagée par principe. Il s’agit donc d’une responsabilité sans faute, c’est-à-dire engagée sans qu’il soit nécessaire au malade de prouver l’origine. Curieusement, dans les cas d’une maladie nosocomiale contractée dans un établissement privé, le malade doit prouver la faute pour que la responsabilité de cet établissement soit engagée.
Pour nous, la maladie nosocomiale n’est pas, comme nous allons le montrer, seulement une infection, mais le résultat d’erreurs de diagnostic, de prescription, de nutrition et d’absence d’humanité ; on doit lui attribuer presque toutes les complications post-opératoires, les retards de cicatrisation, les douleurs osseuses et bien des décès « inexpliqués ». Elle n’est que la conséquence de l’orientation « intégriste » de la médecine de Louis Pasteur.
Une étude réalisée par Robert Meynet portant sur 512 malades hospitalisés entre mai 1977 et avril 1978 dans deux services de chirurgie digestive a montré que 79 de ces malades, soit 15,4%, avaient contracté une infection au cours de leur séjour à l’hôpital. (Médecine Moderne, no 82, 1996).
L’HYGIENE, UNE CONDITION NÉCESSAIRE MAIS PAS SUFFISANTE.
On a tort aujourd’hui de choisir comme boucs émissaires médecins et infirmières qui sont, dans une énorme majorité, dévoués, compétents et parfaitement formés, à l’hygiène hospitalière […]
Mais, peut-on parler de l’indispensable hygiène sans évoquer Ignaz Philipp Semmelweis (1.7.1818 - 13.8.1865). Ce médecin d’origine hongroise qui arrive dans un service de maternité à Vienne en 1844. Choqué par la mortalité importante qui sévissait dans ce service, accepté avec un fatalisme détaché par les autres médecins, il en rechercha d’autant plus les raisons que dans une maternité des sages-femmes, celle-ci était très basse. Ce fût la mort, en 1847, d’un confrère et ami de Semmelweis qui se coupa avec un bistouri au cours d’une autopsie qui le mit sur la voie, car celui-ci mourut de symptômes très similaires à ceux des parturientes, ceux de la fièvre puerpérale. Il semble difficile de nos jours d’imaginer l’état de saleté des mains et des blouses des médecins de cette époque. Les mêmes mains, jamais lavées des étudiants en médecine, ces mains qui venaient de pratiquer des autopsies sur des cadavres, touchaient les futures accouchées afin de les examiner, ou les aidaient à mettre au monde leur progéniture.
80% DES FEMMES SURVIVAIENT…?
Ce qui m’a toujours surpris, eu égard aux circonstances, n’est pas que meurent 20% de ces pauvres femmes, c’est que 80% ne meurent pas. Si on pouvait imaginer que certaines survivaient à cette fièvre puerpérale, il n’est pas du tout fait mention des bébés qui, eux aussi, subissaient l’horrible agression de ces mains polluées et infectées, mais à cette époque un nombre très élevé de bébés mouraient de toute façon. La question est : « Pourquoi 80% des femmes ne mouraient pas ? »
a) Si le jour de leur accouchement ne coïncidait pas avec des jours d’autopsie, les femmes étaient examinées ou délivrées par des mains moins sales.
b) Les samedis et dimanches un effectif plus réduit réduisait les risques.
c) Les fruits et les légumes provenaient le plus souvent d’un jardin potager proche et étaient encore riches en vitamines et nutriments.
d) Surtout, sans doute, la « sélection naturelle » s’exerçant, seules les plus résistantes se trouvaient en état de mettre des enfants au monde.
Les femmes affublées d’une nombreuse progéniture mouraient très jeunes. Seules les plus résistantes survivaient. Si de nos jours, des femmes sur le point d’accoucher, couchées dans des draps sales, respirant une atmosphère sanieuse, étaient examinées par des médecins et étudiants aux mains et aux blouses sanglantes et souillées, ce n’est pas 20% des femmes qui mourraient, mais près de 100%. On sait que le Dr. Semmelweis, en forçant les médecins à se laver les mains, fit chuter le nombre de décès aux environs de 2% avant que l’obscurantisme et l’intégrisme de ses confrères ne le chasse et que la mortalité n’atteigne de nouveau des sommets.
LES ORIGINES INTERNES DE LA MALADIE.
Les cardiologues et les néphrologues sont très conscients de l’incidence des infections d’origine buccale ou autre sur les succès de leurs interventions. Mais, l’hôpital est un lieu clos et protégé, il est rare qu’ils obtiennent ce qu’ils demandent. […]
UNE ALIMENTATION CARENCEE.
Dans un article intitulé « L’hôpital nourrit mal », Science et Vie 959, août 1997, fait le point sur la nourriture hospitalière ; elle est carencée.
Nous savons que l’homme moderne se nourrit mal ou très mal, le drame est qu’il aime cela ou plus exactement que la nourriture industrielle est calculée pour faire de chacun d’entre nous des accros au sucre etc…
Malgré la présence de nutritionnistes, cette situation ne changera pas tant que les besoins théoriques ne seront pas revus et adaptés à l’état de maladie. La nutrition fait partie intégrante du système de soins.
La présence de sucre raffiné dans l’alimentation hospitalière est une atteinte au système immunitaire dont il diminue le potentiel.
L’HYPO-ASCORBEMIE
Il est bon de rappeler que la vitamine C apparaît avec la vie, aussi bien dans le règne animal que végétal. Elle apparaît dans la graine au moment de la germination (pas avant). Elle apparaît dans l’œuf, après fécondation, au moment des premières divisions cellulaires (pas avant). La vitamine C est une substance normalement présente dans l’organisme vivant, à l’exception de quelques espèces dont l’être humain qui doit l’obtenir dans son alimentation.
Contrairement à la faim et à la soif, le corps hypo-ascorbémique ne lance d’autres signaux d’alarme qu’une dégradation des performances de la santé. (Crussol)
Le manque relatif de vitamine C entraîne dans le corps des adaptations inévitables. Les organes normalement suralimentés se verront rationnés, l’énergie disponible le sera également (fatigue). Il se produira un ralentissement des fonctions vitales et du fonctionnement des glandes à sécrétion interne dont certaines pourront cesser de fonctionner. Mais on sait que tout phénomène d’adaptation a ses limites. Un tiers des protéines de notre corps est constitué de collagène et la qualité de ce collagène dépend de l’apport en vitamine C. L’hypo-ascorbémie a pour effet de faire d’effondrer le système immunitaire ce qui est la porte ouverte vers les affections opportunistes, souvent mortelles, comme la septicémie.
On sait aussi que l’alimentation médiocre de notre mode de vie est incapable de subvenir aux besoins de notre corps, particulièrement en période de crise de santé (hospitalière).
Le scorbut est un état terminal précédé d’un état d’hypo-ascorbémie (préscorbutique).
L’effet de la chirurgie sur le taux d’acide ascorbique plasmatique des échantillons de sang prélevés juste avant l’acte chirurgical et juste après, correspond à une réduction de 17% du taux d’acide ascorbique plasmatique. D’après Crandon, J.-H. Landau, B. Mikal.
Personne n’a mieux décrit l’aspect protecteur de la vitamine C contre les infections qu’Albert Szent-Györgyi, MD, PhD, Prix Nobel de médecine 1937 :
« Si vous manquez de vitamines, vous attrapez un rhume, qui se poursuit par une pneumonie. Votre diagnostic ne sera pas ‘manque de vitamine C, mais ‘pneumonie’ ». Alors, vous faites immédiatement fausse route. »
Les principaux agresseurs de notre système immunitaire sont le stress, le tabac ou l’alcool en consommation excessive, la pollution par les métaux lourds, les traitements par chimiothérapie, radiothérapie, les anti-inflammatoires, antalgiques, antibiotiques, l’anesthésie, la chirurgie, les vaccinations, les tranquillisants, neuroleptiques, pilule contraceptive etc.
Les substances chimiques utilisées à notre insu pour conserver et stocker les denrées alimentaires que nous consommons se trouvent également présentes dans l’eau que nous buvons et dans l’air que nous respirons, suite aux épandages et aux pulvérisations effectuées par les agriculteurs sur leurs récoltes que nous consommons également.
La carence en vitamine C s’installe en silence, insidieusement en chacun d’entre nous. Elle a pour conséquences l’apparition de rhume, de grippe, de fatigue chronique qui s’installe progressivement, de saignement de gencives intempestif lors du brossage dentaire, de bleus sur la peau au moindre choc, des varices, des hernies, d’un stress métabolique responsable d’intolérances, d’allergies et de la dégradation progressive de toutes nos fonctions pouvant aboutir à la mort.
Mais, dans certains cas, l’anascorbémie peut être instantanée à la suite d’un piqûre d’insecte, tique, moustique (Chicungunya), araignée ou d’une vaccination.
A ce propos, on a pu observer chez une patiente victime du Chicungunya, la disparition des tous les symptômes d’un bras qui perduraient depuis un mois, un quart d’heure après le début d’une perfusion de vitamine C suivie d’une spectaculaire amélioration générale.
Les descriptions des symptômes de la grippe de 1918 font penser à un scorbut d’origine toxique (Viral).
« Les gens pouvaient constater le contraste existant entre le discours officiel ‘grippe ordinaire’ et la réalité. Ils voyaient leur conjoint mourir en 24 heures, saignant des yeux, des oreilles, du nez, de la bouche, la couleur de son corps devenant si noire qu’on aurait pu penser à la mort noire (peste). »
La carence en vitamine C entraîne une fragilité des capillaires sanguins ayant pour conséquence des saignements de nez par rupture des parois des petits vaisseaux, des hémorragies rétiniennes chez les diabétiques, des dégénérescences tissulaires plus importantes chez les personnes âgées : arthrose, ostéoporose, déchaussement des dents, lésions oculaires (de macula ou cataracte)…
« La vitamine C est beaucoup plus qu’une vitamine, elle est un véritable aliment essentiel, dont le besoin dans les populations du monde industrialisé se situerait entre 1 et 3 g par jour.» – Dr. S. HICKEY
Les apports quotidiens de vitamine C doivent être permanents pour prévenir l’installation de cette carence. En effet, la vitamine C ne se stocke pas dans notre organisme, l’acide ascorbique (vitamine C) devient de l’acide déhydroascorbique (forme oxydée de la vitamine C) lorsque la vitamine C est utilisée dans les échanges cellulaires et cet acide déhydroascorbique est ensuite rejeté dans les urines tandis qu’une partie de la vitamine C urinaire est réabsorbée par les reins après avoir contribué à l’assainissement des voies urinaires. (Oscar Falconi).
L’absence de vitamine C dans les urines doit être considérée comme très préoccupante chez le nourrisson. Dettman et Kalokerinos considèrent que l’enfant est alors en danger de mort.
SUR LA RAPIDITE DE DISPARITION DE LA VITAMINE C DANS LE SANG.
Le Dr. Hugh Riordan, Directeur du « Center for the Improvement of Human Functioning International » célèbre pour ses découvertes sur l’utilisation de la vitamine C contre le cancer, se faisait quotidiennement dans le cadre de ses recherches, un taux de vitamine C dans le sang. Un jour, il est piqué par une araignée venimeuse, son taux de vitamine C sanguine tombe à zéro.
Il reçoit alors, quatre jours de suite, quatre perfusions de 15 g de vitamine C, pour un total de 60 g sans que la vitamine C ne réapparaisse dans son sang. Il fallut attendre le cinquième jour, pour que son taux recommence à monter.
On comprend alors, à quel point les thérapeutiques puissantes vont facilement et instantanément effondrer le taux de vitamine C. Les conséquences iatrogènes sont incommensurables.
Si l’on pose une perfusion de vitamine C sur le bras droit d’un cancéreux, et que quelque dix minutes après, en pleine perfusion, on fait une prise de sang sur le bras gauche, dans la majorité des cas, la vitamine C sera totalement absente, elle a été utilisée durant le trajet…
IMPORTANCE DE L’INDEX VITAL.
Le rapport acide ascorbique sur acide déhydro-ascorbique dans le sang, appelé index vital, est de 14 chez les personnes en bonne santé (C’est-à-dire qu’il y a 14 fois plus de vitamine C utilisable dans leur sang que de vitamine C oxydée). Ce rapport est inversé lorsque les personnes sont gravement malades pour atteindre le chiffre fatidique de 0,3 lorsque les personnes sont à l’article de la mort (méningite).
On comprend aisément qu’il est plus facile et rapide d’agir sur la quantité de vitamine C disponible que sur les agresseurs du système immunitaire souvent responsables de l’installation de cette situation critique. Le besoin en vitamine C peut alors devenir très élevé, soit des maxi-doses en IV pour des adultes allant de 0,2 à 2 g/kg-j pendant quelques jours. Dans ces cas-là, cette vitamine C est entièrement et instantanément utilisée par l’organisme.
ANTISEPTIQUES, UTILES, NUISIBLES, MORTELS ?
Si la propreté des locaux est importante, si des antiseptiques peuvent être utilisés pour y contribuer, nous pensons que leur utilisation sur les tissus vivants est un leurre et une grave erreur. C’est ainsi que 40 nouveau-nés atteints d’omphalocèle (= absence de fermeture de la paroi abdominale antérieure du fœtus) ont été empoisonnés par du Mercurochrome.
« Iatrogenic neonatal mercury poisoning from Mercurochrome treatment of a large omphalocele. » Mullins, ME, Horowitz, BZ.
L’onguent gris aujourd’hui interdit, était préparé à partir de mercure métallique appliqué au patient jusqu’à déterminer chez lui une intense salivation.
« Le mercure est souverain pour faire disparaître la vérole : lorsqu’il ne supprime pas la maladie, il supprime le malade. » (Un chroniqueur d’antan)
Or, il est toujours utilisé dans de nombreux vaccins.
L’alcool ne présente aucune qualité antiseptique et va brûler les plaies. L’utilisation, comme le font certains chirurgiens, de « Betadine » diluée sur des plaies ouvertes ou même versée avec abondance dans les cavités abdominales comme me confirmait un grand chirurgien, est une hérésie, en outre, le Vidal ne fait mention que d’une utilisation externe.
Il y a des décennies que nous avons cessé d’utiliser des antiseptiques et les antibiotiques principalement à cause de leur très importante toxicité pour les remplacer par la vitamine C suivant un protocole de nutrition cellulaire localisée. Le nettoyage des plaies avec une solution de « C-salts », le poudrage des plaies avec la poudre de « C-salts » micronisée donne des résultats exceptionnels, y compris sur les brûlures (Dr. Corson, Dr. Crussol).
« Parmi les avantages, on peut noter : absence d’apparition de douleur post-opératoire, cicatrisation accélérée, absence de suites opératoires et d’infection. » (Crussol)
LA SYNERGIE ANTIBIOTIQUES / VITAMINE C.
Un rapport de l’OMS publié cette année 2005 déclare :
« Nous assistons à une érosion des progrès accomplis au cours des dernières décennies. Les germes de la quasi-totalité des grandes maladies infectieuses commencent à résister aux médicaments disponibles. »
L’efficacité des antibiotiques dépend évidemment de la qualité du système immunitaire, donc de la qualité du milieu intérieur du patient dont le facteur essentiel est le taux de vitamine C (acide ascorbique) dans le corps. Certains antibiotiques ne sont efficaces qu’en présence d’une ascorbémie correcte. Si elle est faible, ces antibiotiques aggravent la carence.
Wlodkowski fit une communication où il montra la potentialisation de plusieurs antibiotiques par la vitamine C entre 50 et 75%.
Wlodkowski, A., « Abstracts of the Annual Meeting of the American Society of Microbiology.” AAM ASM A41; 1977.
RESISTANCE, ALLERGIE / ANTIBIOTIQUES?
Il est très probable que l’allergie aux antibiotiques et la prétendue résistance aux antibiotiques soient associées à une carence (Hypo-ascorbémie iatrogène). Crussol, Conférence 1990.
En neuf ans, le Dr. Cathcart n’a jamais rencontré d’allergie à la pénicilline qu’il ne prescrit jamais sans avoir donné préalablement de la vitamine C. Ce qui sous-entend qu’en réalité, ces allergies aux antibiotiques qui, on le sait, peuvent être mortelles, ne sont rien d’autre qu’un scorbut iatrogène, c’est-à-dire provoqué par les traitements. Cela semble signifier également que dans certaines circonstances, l’abus d’antibiotiques et, en particulier les plus toxiques, peut provoquer la mort.
LA VITAMINE C, UN ANTI-POISON MAJEUR
Ignoré des centres anti-poisons, à l’exception d’un seul (grâce au Dr. Bastien, Remiremont), la puissance de la vitamine C est utilisée par le corps contre : métaux lourds, polluants, poisons, piqûres d’insecte, de serpent, infections, virus, barbituriques, stress, benzène, drogues, cyanure, mercure, plomb, arsenic, chrome, toxine tétanique etc. à condition bien sûr, qu’elle soit disponible, immédiatement ou le plus tôt possible en quantité suffisante. Toutes les preuves scientifiques et cliniques existent et le prouvent.
LA VITAMINE C ET L’OXYGENE.
En 1938, on savait déjà que l’utilisation de la vitamine C rétablissait la tolérance aux hautes altitudes pour les troupes à ski. […]
Krasno & coworkers ont montré en 1950 dans une expérimentation humaine durant laquelle des sujets étaient soumis d’une manière répétitive à une altitude des 18.000 pieds une utilisation massive de leur vitamine C suivie d’une carence grave.
Chez le rat, qui synthétise, à la demande, de la vitamine C dans son foie, un manque d’oxygène chronique aboutit à une élévation importante de la concentration de vitamine C dans la presque totalité des organes. Schreiber M, Novy P, Trojan S.
On comprend mieux alors que les conséquences des anesthésies générales chez l’homme qui dépend de la nourriture hospitalière.
CES PLAIES QUI NE GUERISSENT PAS
James Lind en 1753 décrivit dans son « Treatise of Scurvy » les difficultés des blessures à guérir chez le marin scorbutique.
Sokolow en 1932, Colp en 1934, Fallis en 1937 ( ?), Ingalls & Warren en 1937 au Peter Bent Brigham Hospital à Boston conclurent que l’hypo-ascorbémie ou le scorbut asymptomatique étaient très probablement responsables des déhiscences cicatricielles.
La vitamine C est indispensable à la synthèse de tous nos collagènes, protéines assurant le maintien de nos organes. La carence en vitamine C aboutit à une résistance tissulaire et osseuse (« os de verre ») diminuée.
Le professeur Clemetson, dans son livre « Vitamin C », chapitre 1, Tome II, décrit la fragilité tissulaire due à la carence de vitamine C et l’on comprend alors mieux ce qui peut se passer après la pose d’une sonde urinaire ou oesophagienne, d’une intubation : les tissus vont être gravement sollicités, blessés.
Les escarres disparaissent avec une supplémentation orale d’au moins 1 g de vitamine C ou avec seulement 300 mg de vitamine C ajoutés à la perfusion journalière, selon l’expérience récente de quelques médecins hospitaliers.
Effets comparés (double-aveugle) de bioflavonoides de citron, vitamine C2 (900 mg par jour), sur les blessures par contact chez les joueurs de l’équipe de Football de l’université de Louisiane, USA, durant la saison 1962. On observa une diminution de 50% du nombre des entorses par rapport aux équipes recevant un placebo et, lorsqu’ils sont blessés, font un séjour à l’hôpital, quatre fois plus court.
HEPATITE B POST-TRANSFUSION.
Depuis que la vitamine C est utilisée avant toute transfusion sanguine, l’incidence d’hépatite B au Japon est passée de 7 à 0%.
« Vitamin C for Prophylaxis of Viral Hepatitis B in Transfused Patients », Journal of the International Academy of Preventive Medicine », #5, 1978, pp 54-58; Morishige F., Murata, A.
LES CHOCS OPERATOIRES
Un grand nombre d’articles a été publié autour des années autour des années 1940 à 1960 sur l’utilisation pré- et post-opératoire de la vitamine C. Nous en citerons trois ici, ainsi qu’un cas clinique :
C.P. Stewart et al. “Intraveinous Ascorbic Acid in Experimental Acute Haemorrhage.” Lancet, vol 1; pp 208-211;1944
G. Ungar “Experimental Traumatic ‘Shock’.” Lancet, vol 1; pp 421-424; 1942
Z. Pataki et al. “Vitamin C in the Control and Prevention of Surgical Shock.”
Zentralblatt für Chirurgie, vol 82; pp 883-887; 1957.
Un homme de 65 ans se prépare à l’ablation d’une prostate tumorale en recevant deux perfusions de vitamine C de 30 g deux fois par semaine. L’opération par laparotomie dure huit heures au lieu des deux heures prévues. Il perd environ 4 l de sang qui lui sont remplacés par transfusion. Le chirurgien décide, sans en exprimer la raison, de recommencer à opérer le lendemain et l’opération de nouveau sous anesthésie générale dure deux nouvelles heures. Le patient qui a reçu de nouvelles perfusions de vitamine C se porte très bien.
QUELQUES CAS CLINIQUES REMARQUABLES.
Une femme à qui un chirurgien esthétique a posé deux implants en silicone au niveau des pommettes, présente depuis six mois un abcès énorme rebelle à tout traitement et qui doit être ponctionné chaque jour. Depuis six mois la patiente est porteuse, sur le visage, d’une compresse et d’un sparadrap. La situation rentre dans l’ordre après quelques jours d’une dizaine de grammes de vitamine C par voie buccale et l’implant en silicone peut être conservé.
Une femme de 84 ans, opérée d’un cancer intestinal, développe sur le dos une escarre de 30 cm de diamètre qui l’empêche de s’allonger sur le dos et dont les soins quotidiens la font affreusement souffrir. Sa nièce lui fait boire une dizaine de grammes de vitamine C pendant quelques jours. Trois jours plus tard, elle cesse de souffrir et 12 jours plus tard, la plaie est pratiquement cicatrisée…
Une femme dans sa trentaine est hospitalisée, atteinte d’une septicémie tellement rebelle que les médecins avouent leur impuissance en admettant qu’elle va mourir dans les deux jours. Persuadée de vivre ses derniers instants, cette mère de cinq enfants distribue ses enfants à ses amis les plus proches. Puis, avec 25 g de vitamine C dans une perfusion, chaque jour pendant deux jours, elle rentre chez elle par ses propres moyens.
Jeune fille de 18 ans atteinte de la « maladie du Légionnaire » et dont on a prédit la mort prochaine à ses parents. Elle respire à peine, double pneumonie. 60 g de vitamine C par jour en perfusion ; le 4e jour elle veut aller danser… Fin du drame !
Femme de 35 ans, mère d’une fillette, atrocement brûlée dans un accident de voiture. Greffée du visage et des mains par 40 opérations sur quatre ans. Elle est dépressive, son visage est figé et impressionnant, son ouverture de bouche est d’un cm, agoraphobe, son foie est en capilotade. Elle ne peut plus écrire. Grâce à 10 g de vitamine C par jour par voie buccale, l’agoraphobie et la dépression disparaissent en un mois, l’ouverture de bouche double, le visage retrouve peu à peu de la mobilité. Son foie récupéré n’a plus d’exigence. Dans les deux ou trois mois, après quatre ans d’incapacité, elle retrouve un usage complet de ses mains, elle peut écrire et dessiner à 100%. Une 41e opération est effectuée sur son nez, elle prend toujours ses 10 g de vitamine C par jour. Pour la première fois depuis les 40 opérations, la greffe prend si bien et si vite qu’aucun antibiotique n’a le temps d’être prescrit, le service est en émoi, la surprise règne, les médecins défilent pour voir le miracle. Tout cela pour seulement quelques dizaines de grammes journaliers d’un nutriment essentiel à la vie !
SUR LA MORT SUBITE DU NOURRISSON.
Elle est, dans la majorité des cas, manifestement d’origine nosocomiale et iatrogène, comme le démontre l’aventure d’un médecin australien. Dans son livre « Every Second Child », en 1981, le Dr. Archie Kalokerinos, médecin australien formé à Londres, explique comment il est passé dans son petit hôpital de la plus forte mortalité infantile au monde, un enfant sur deux, à la mortalité zéro, lorsqu’il comprit le rôle néfaste des vaccinations sur le taux de vitamine C. Après avoir, pendant neuf ans, cherché explications et solutions, il demanda l’aide d’un spécialiste de Sydney et vit, sous ses yeux, après un diagnostic instantané de scorbut infantile, un enfant dans le coma, en sortir dans la demi-heure avec une seule injection intramusculaire de vitamine C.
Enfin, où est donc ce fameux « principe de précaution » dont la France se vante alors que le risque de la présence de sels de mercure et d’aluminium dans de nombreux vaccins n’est pas pris en compte, spécialement lorsque ces vaccins sont administrés aux nouveau-nés, en une seule fois, à des « doses équivalant à 30 vaccins administrés le même jour à un adulte de 70 kg. » ? (Pr. Boyd Haley)
Hélas, pour protéger les laboratoires, on parle de mort inexpliquée ou bien on essaye de faire condamner les parents pour mauvais traitement ou maltraitance.
Chez les nourrissons, on verra des hémorragies cérébrales (Syndrome de l’Enfant Secoué), des lésions observées dans la macula qui sont impossibles à reproduire par des chocs, qui entraîneront l’injuste condamnation des parents. En Angleterre, 250 jugements semblables ont été cassés.
Le syndrome des « Os de Verre », la maladie de Paget, présentent un facteur d’origine scorbutique et sont améliorés spectaculairement par la supplémentation de vitamine C.
CE QUI DOIT CHANGER.
Il est inacceptable qu’une radio panoramique numérique, lue et diagnostiquée par un praticien rompu (ils sont très rares) au dépistage des foyers buccaux, n’accompagne pas les patients dans les différents services. Il est inacceptable qu’un nettoyage buccal total ne soit pas fait dans les règles très contraignantes (comme le demandent trop gentiment les cardiologues et néphrologues).
LA COUVERTURE ASCORBIQUE.
Il est inacceptable que le patient ne reçoive pas des perfusions de vitamine C systématiquement avant et après toute intervention.
Il est inacceptable que la nourriture des hôpitaux soit dépourvue de vitamine C et que les patients ne soient pas complémentés et supplémentés au moins par voie buccale alors que la perte de vitamine C est considérable dans ces conditions. C’est la « couverture ascorbique » (Crussol) qui doit intervenir avant tout traitement antibiotique ou « couverture antibiotique ». Ainsi disparaîtront : la résistance aux antibiotiques, les maladies nosocomiales et les hospitalisations prolongées. Il est inacceptable que l’optimisation de la nourriture ne fasse pas partie du traitement.
INCREDULITE, EGO, INTEGRISME, SOUMISSION.
Lorsqu’en 1999, j‘ai eu l’honneur de faire, devant une assemblée de médecins et d’infirmières, une conférence sur la maladie nosocomiale, l’accueil a été mitigé. Les infirmières étaient ravies, les médecins étaient, dans l’ensemble, furieux !
Lorsque le Dr. Kalokerinos s’est rendu à Naples, accompagné d’une équipe de télévision australienne, afin d’expliquer avec beaucoup de tact qu’il connaissait les causes et la solution pour empêcher les enfants de mourir de ce que les médecins napolitains appelaient la « Maladie Noire ». Il fut reçu et écouté très poliment tandis que sous ses yeux et ceux d‘une mère décomposée, un enfant mourut.
Lorsqu’un an après, il revint, il n’a pu que constater que, pas une seule fois, l’injection salvatrice de vitamine C n’avait été tentée. Quelle honte : cela marche à 100% ! (Bande-vidéo TV australienne). Tout cela pour protéger son territoire, son ego, son industrie.
LES MEDECINS PARALYSES.
Est-ce la peur des responsabilités, la soumission à l’autorité, le phénomène de validation subjective, la peur d’être rayé de l’Ordre des Médecins pour utilisation de « technique non éprouvée », le respect aveugle de la doctrine orthodoxe ?
Des médecins et des traitements médicaux de consensus sont omniprésents dans la plupart des décès. Il serait juste que la justice pose enfin la question de savoir si une grossière erreur de concept (pasteurisme), une grave omission (vitamine C), une lenteur de réaction, n’est pas le facteur principal ou associé.
On doit rappeler que les experts sont frileux et sous influence du juge, du tribunal, de l’ordre, des confrères, des institutions et des laboratoires (Cours de Criminalistique de la Faculté de Médecine de Paris). Un de mes amis policiers me confiait l’impossibilité de conduire une enquête en milieu hospitalier. […]
« Le malade n’a d’autre choix que d’être patient, le médecin hospitalier d’être obéissant et l’hôpital de suivre aveuglément la « Doctrine Orthodoxe ». Crussol
La médecine n’est pas une science, elle est devenue une industrie. Cependant, le contrôle de l’exercice des médecins hospitaliers est un rêve pour la CNAM, ce qui explique sans aucun doute l’offensive contre ceux qui se croient encore un peu « libéraux »[…]
EN CONCLUSION
La Médecine et les Patients sont victimes d’un état de malnutrition primaire amplifié par une alimentation déficiente et des soins hospitaliers iatrogènes.
« Par ses carences, ses excès, son inadaptation à l’état de maladie ou de santé, cette combinaison est à l’origine de la dépression du système immunitaire et participe à la majorité des maladies nosocomiales. Le malade est dans une situation où, chaque jour, il brûle des quantités de vitamine C alors que son apport est quasiment nul. Un état pré-scorbutique accompagné de troubles graves de la glycémie s’installe et s’aggrave de jour en jour. Après un mois le scorbut est flagrant, mais jamais reconnu. » G.H. Crussol
Confronté à des ecchymoses, des hématomes, des pétéchies, des hémorragies, des plaies qui ne cicatrisent pas, le médecin hospitalier se doit de penser au scorbut hospitalier et d’en assurer la correction. Il n’est point besoin de se lancer dans des tests de taux sanguin de vitamine C, car ils présentent deux dangers majeurs :
a) perte de temps qui pourra être fatal au malade (Glen Dettman, Archie Kalokerinos)
b) un taux « normal » pourra inciter les praticiens à ne pas supplémenter, ce qui pourra être fatal au patient. En outre, le taux sanguin n’est nullement représentatif des besoins immédiats. Seul l’index vital sanguin est représentatif de l’état du patient, mais il est long à déterminer. Or un excès de vitamine C est toujours sans danger.
Les patients doivent enfin réaliser qu’un mode de vie inadéquat se paye le prix fort, soit par une espérance de vie raccourcie, soit par les maladies nosocomiales. Celui qui s’auto-contrôle en permanence, se complémente chaque jour et se supplémente quand l’occasion le nécessite (sports, stress, pollution, vaccins, maladie, hospitalisation, voyages lointains) sera récompensé par une diminution importante des risques.
Il est seulement essentiel de fournir au corps des quantités de vitamine C adaptées pour se défendre contre les virus, bactéries et agressions diverses.
On comprendra que l’affolement et l’acharnement thérapeutique en l’absence de couverture ascorbique va contribuer à aggraver dangereusement l’hypo-ascorbémie.
« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. » - Jean de la Fontaine
Il est tout aussi essentiel de supprimer dans les plus brefs délais toutes les sources buccales ou autres de radicaux libres, de toxiques et de toxines.
On devra se souvenir que l’origine des problèmes est souvent multifactorielle et donc mener toutes investigations et actions utiles.
On peut dire que l’absence de prise en compte du facteur ascorbique et l’emploi de produits inappropriés entraînent des morts innocentes.
Dans un silence et une discrétion exemplaires, Scorbut, Hypoascorbémie et Anascorbémie tuent chaque année plus d’humains que toutes les autres maladies réunies.
Trop d’acteurs de la maladie ont intérêt à le cacher et à maintenir les médecins dans l’ignorance totale de la physiologie et des possibilités de la vitamine C.
La désinformation, le contrôle des connaissances et des institutions étant aux mains de groupes de financiers puissants, notre seul espoir à court terme est que quelques médecins, odonto-stomatologistes et infirmières, puissent utiliser cette approche pour sauver beaucoup de vies, pour éviter beaucoup de douleur ; c’est si facile…
Dans ce texte, il ne nous a pas été possible de revoir et de détailler les différentes formes de vitamine C et leur utilisation, mais il est bon de faire remarquer que toutes les fabrications contenant du sucre, des colorants, des conservateurs sont à éviter car, si elles flattent la gourmandise, elles n’ont aucune effet positif sur la santé, bien au contraire.
Le coût de la maladie devenant une charge insupportable, il faut rêver à une prise de conscience collective des risques de la médecine allopathique et du besoin d’un enseignement individuel de base sur la santé.
Pour en savoir plus :
Alan B. Clemetson : Vitamin C. 3 volumes, 1989. Boca Raton, FL, CRC Press
Cheraskin E., Dunbar LB. and Flynn FH. : The Intradermal Ascorbic Acid Test. III. A Study of 42 Dental Students.” Journal of Dental Medicine 13: #3, 135-155, July 1958
Cheraskin E., Ringsdorf WM. Jr. et Medford FH: „„Daily Vitamin Consumption and Fatigability. Journal of the American Geriatrics society 24: #3, 136-137, March 1976
Ascorbate – The Science of Vitamin C; Dr Steve Hickey & Dr Hilary Roberts, 2004; www.lulu.com , ISBN 1-4116-0724-4
Vitamin C, Infectious Diseases and Toxins – Curing the Incurable. Thomas E. Levy, MD, JD, XLibris, 2002, ISBN 1-4010-6963-0
« Maltraitance et mort inexpliquée de l’enfant ». Mémoire de criminalistique du Dr. Gilbert H. Crussol
« Every Second Child », (Crib Death solved) Archie Kalokerinos, MD
“Miracle of Vitamin C”, Oscar Falconi
Gilbert H. CRUSSOL – crussol@mac.com
Avec tous mes remerciements à mon ami Gérard Forterre pour ses encouragements et son aide précieuse.
AVERTISSEMENT. Les conditions de santé spécifiques contre-indiquant la vitamine C tout court OU dans certains cas, uniquement la vitamine C à forte dose incluent :
- Hémochromatose (accumulation de fer dans l'organisme).
- Calculs rénaux (d'origine oxalique en particulier).
- Déficit en glucose 6 phosphate déshydrogénase (maladie aussi appelée « favisme »)
- Insuffisance rénale.
Par sécurité, dans tous ces cas-là, parlez-en à votre professionnel de santé AVANT toute prise.