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5 septembre 2014 5 05 /09 /septembre /2014 20:45

C'est toujours au nom du "Bien", de la "Sécurité" ou de "la Protection" que tous les pires abus d'autorité les plus liberticides sont commis. Avec les vaccins, c'est déjà le cas, le corps médical affirmant "mieux savoir" que nombre de parents qui ont pourtant passé d'innombrables heures de recherche sur le sujet, soit bien plus qu'un médecin lambda n'ayant eu que quelques heures de cours sur le sujet, surtout d'ordre pratique, sur la récitation et l'administration du calendrier vaccinal. Si on ajoute à cette (triste) réalité le fait que même au sein du corps médical, nombre de médecins n'en pensent pas moins mais ne révèlent toutefois pas leurs réticences à leur clientèle pour des motifs divers, cette dictature politico-scientiste fait évidemment froid dans le dos. Mais les vaccins ne sont pas le seul domaine d'exercice de pareille mafia omnipotente et arrogante. Il est aussi un autre domaine juteux où les officiels ont coutume de prendre les patients au piège de la peur et de la pression: celui du cancer. Le cas récent du petit Ashia King, garçonnet de 5 ans atteint d'une tumeur au cerveau, est à cet égard tout à fait exemplaire: il montre comment une presse complaisante et docile tente d'une façon générale (certains articles sont pires que d'autres) de dépeindre les parents qui ont sorti leur enfant de l'hôpital contre l'avis des médecins comme dangereux et sous le coup de pensées sectaires (ben oui, ils sont aussi témoins de Jéovah, fabuleux!) alors que ces parents avaient pourtant clairement expliqué dans une vidéo préalable leur souhait de choisir, en complément d'une opération chirurgicale qui a d'ailleurs déjà été effectuée, un autre traitement qu'ils jugent plus adapté pour leur enfant qu'une radiothérapie classique, ce qui est somme toute leur droit de patient (ici de tuteur de patient) le plus strict et qui ne devrait même pas faire grincer la moindre dent ou faire l'objet d'un tel chahut médiatique.


Mais dans cette chasse aux sorcières récurrente envers les dissidents sanitaires de tous poils, les parents du petit Ashia ont fini par être arrêtés en Espagne et la Grande-Bretagne demande à présent leur extradition. Voici ci-dessous un article du Figaro, pas encore trop partial, sur cette triste affaire et en fin d'article une pétition à signer en faveur des parents, de l'intérêt de cet enfant et plus généralement du droit de tout un CHACUN au libre choix thérapeutique (face à une médecine qui tentera de plus en plus de vous imposer toutes sortes de traitements et produits, toujours bien sûr pour "votre plus grand Bien"!) Nous voudrions enfin aussi vous inviter, dans un souci élémentaire de cohérence, à faire le lien entre ce type d'actualité et ce qui se passe par exemple en France actuellement dans le cadre de l'affaire du service d'oncologie pédiatrique de Garches: là aussi, on met les pires bâtons dans les roues aux parents qui souhaitent pour leurs enfants un autre traitement que le protocole oncologique standard établi et imposé par l'intelligentsia médicale qui préfère de loin le nivellement par le bas à la sauce "communiste" des essais cliniques systématiques à une saine concurrence trop dérangeante parce que permettant la comparaison...


Le père d'Ashya King se défend et dit avoir voulu soigner son fils


Par Soline Roy - le 31/08/2014


Ashya-King.jpg

 

VIDÉO - Arrêté en Espagne pour avoir « kidnappé » son fils de l'hôpital britannique où il était traité pour un cancer, Brett King affirme qu'il voulait lui faire suivre un traitement de pointe que les médecins britanniques lui avaient refusé.


Les parents d'Ashya King se sont défendus, dans une vidéo postée sur Youtube, après avoir été accusé d'avoir enlevé leur enfant de l'hôpital britannique dans lequel il était soigné. Recherché par la police et retrouvé en Espagne, l'enfant de cinq ans souffrirait d'un médulloblastome, une tumeur cérébrale cancéreuse qui, explique le site internet de l'Institut Curie à Paris, entraîne une augmentation de la pression intracrânienne en bloquant l'écoulement de liquide ventriculaire.


Le médulloblastome représenterait 20 % des tumeurs cérébrales de l'enfant, mais moins de 1 % chez l'adulte. Les premières manifestations sont souvent des maux de tête et des vomissements, suivis de problèmes visuels, de difficultés à l'écriture et d'une forme d'apathie. La plupart des médulloblastomes émergent dans le cervelet, une structure de l'encéphale située sous les hémisphères cérébraux et derrière le tronc cérébral. Le traitement classique combine neurochirurgie, radiothérapie et, en cas de métastase, chimiothérapie.


En désaccord avec les médecins


Brett King, le père du garçonnet, a expliqué qu'il avait été en désaccord avec les oncologues de l'hôpital général de Southampton quant au traitement de son fils. Celui-ci avait subi une opération sept jours avant sa disparition, et le père souhaitait que l'équipe étudie la possibilité de faire bénéficier à son enfant d'une protonthérapie, traitement qui ne serait pas disponible en Grande-Bretagne. La famille était prête, selon le père, à vendre ses biens pour financer ce traitement. Devant son refus des traitements plus classiques envisagés par les médecins de Southampton, la famille se serait vue menacée d'une mesure de protection prise à leur encontre, qui les aurait empêchés de participer aux décisions médicales concernant leur enfant.


«La protonthérapie est tellement meilleure pour les enfants avec un cancer au cerveau», a plaidé le père dans la vidéo. «Ils m'ont regardé droit dans les yeux et m'ont dit que pour ce cancer, le médulloblastome, il n'y aurait de toutes façons pas de bénéfice.»


Une technique ultraprécise de radiothérapie


Forme ultraprécise de radiothérapie, elle cible plus précisément la zone à irradier que les techniques conventionnelles: les particules utilisées (les protons) ont, en raison de leurs propriétés physiques, la capacité de déposer quasiment toute leur énergie à une profondeur donnée, puis de s'y arrêter net, et de peu se disperser le long de la trajectoire du faisceau. Cette technique permet donc d'éviter d'endommager les zones saines entourant la tumeur, et limite les dégâts que cela peut entraîner. La protonthérapie serait, selon certains chercheurs, utile dans environ 1 % des cas de cancers. Mais les indications s'élargissent: si les premiers traitements effectués concernaient les mélanomes de l'œil, les localisations tumorales prises en charge se sont depuis diversifiées, notamment aux tumeurs situées à la base du crâne.


Choqué de voir la photo de son fils publiée sur de nombreux sites internet et dans tous les médias, Brett King a assuré que son fils n'était «pas en danger», contrairement à ce qu'affirmait l'hôpital britannique. Le père en veut pour preuve la sonde naso-gastrique lui permettant de s'alimenter, qu'il montre sur la vidéo mise sur internet, où il affirme avoir pris soin d'emmener tout ce qu'il fallait pour continuer à traiter correctement son enfant. Son objectif aurait été de rejoindre Prague, où existe un centre de protonthérapie. Il existe peu de centres en Europe capables de délivrer ce genre de traitement, et la Grande-Bretagne en compte un seul, qui ne prend pas en charge cette indication médicale.


Source : Le Figaro


 

Voir aussi : L’enfant britannique « enlevé » par ses parents retrouvé en Espagne


Espagne : les parents d’Ashya King refusent d’être extradés vers la Grande-Bretagne


Le combat fait rage pour la survie du service d’oncologie pédiatrique de Garches


La vérité très indésirable sur la chimiothérapie


Dans la vidéo qui suit, ne manquez pas non plus à partir de 1H01' le cas, évoqué par sa maman, d'un petit enfant de deux ans, Dustin, qui souffrait lui aussi d'un médulloblastome agressif et auquel la médecine officielle ne donnait plus que quelques mois à vivre. Les médecins ne "proposaient" que de la radiothérapie ou une chimiothérapie expérimentale, toutes deux ayant des effets dévastateurs. Il a pu être totalement guéri grâce au traitement du Dr Burzynski, un médecin à qui le système a comme par hasard fait les pires ennuis au point qu'il était à un moment sous le coup d'accusations judiciaires qui lui faisaient encourir le risque de 290 ans de prison et 18 500 000 amende de dollars. Sa maman, très émue et on la comprend, n'ose imaginer ce qui se serait passé si le Dr Burzynski avait été en prison et incapable d'avoir pu sauver son fils comme il l'a fait...

 

 

Dustin à 4 ans et 18 ans

 

Le petit Dustin était atteint de la même maladie qu'Ashya. C'est grâce au REFUS des parents de Dustin des traitements CLASSIQUES (radiothérapie conventionnelle, chimiothérapie expérimentale) que leur fils a pu guérir et pourtant, c'est parce que les parents d'Ashya font le même type de choix salutaire de refus des traitements classiques peu fructueux qu'ils sont poursuivis, pourchassés et intimidés... injuste et absurde!!


Les parents d'Ashya King, de criminels à victimes


Sonia DELESALLE-STOLPER (correspondante à Londres) 2 septembre 2014

ashya 2

Des policiers espagnols devant le fourgon transportant les parents d'Ashya King, l'enfant britannique atteint d'une tumeur au cerveau, entendus par la justice, le 1er septembre 2014 à Madrid (Photo Javier Soriano. AFP)


Brett et Naghemeh King ont été libérés à Madrid. Ils avaient été accusés d'avoir enlevé leur fils de cinq ans, atteint d’une tumeur cancéreuse au cerveau.


En deux jours, ils seront passés du statut de criminels inconscients à celui de victimes innocentes d’un engrenage impardonnable. Brett et Naghemeh King, incarcérés depuis deux jours à Madrid, on été libérés ce mardi soir et vont retrouver le chevet de leur fils Ashya, cinq ans, atteint d’une tumeur cancéreuse au cerveau.


Le Crown Prosecution Service, le parquet britannique, a annoncé mardi en fin d’après-midi qu’il levait le mandat d’arrêt européen lancé contre le couple, qui obligeait la police espagnole à le maintenir en détention, et abandonnait toute poursuite.


Mandat d’arrêt international


Une véritable chasse à l’homme avait été lancée la semaine dernière lorsque le couple avait pris la décision de retirer Ashya de l’hôpital de Southampton (sud de l’Angleterre) pour partir en Espagne, sans en avoir averti les autorités médicales. Ces dernières avaient alerté la police, arguant que l’enfant se trouvait en danger de mort et qu’il risquait de ne plus être alimenté en raison d’un manque de batteries pour la sonde qui le nourrit avec des poches alimentaires. Les autorités britanniques avaient alors utilisé tout l’arsenal juridique à leur disposition, alertant interpol, les médias et lançant un mandat d’arrêt international.


Sauf que voilà, une fois arrivés à Malaga, les parents avaient posté une vidéo sur Youtube montrant que leur fils était alimenté parfaitement grâce aux réserves qu’ils avaient emportées avec eux. Ils expliquaient avoir pris la décision de partir à l’étranger pour aller vendre un appartement qu’ils possédaient à Malaga et lever ainsi les fonds pour payer pour un traitement de pointe pour leur fils.


Protonthérapie


Le couple souhaite tenter d’offrir à Ashya un traitement de protonthérapie, une forme de radiation extrêmement ciblée qui évite notamment de détruire les tissus sains du cerveau. Selon Brett King, l’hôpital aurait refusé de proposer cette option pour leur fils, pour qui, selon les médecins de Southampton, le pronostic vital ne devrait pas dépasser quatre mois.


Au Royaume-Uni, seul un centre médical est habilité à offrir une protonthérapie et cette option n’est offerte qu’à des patients atteints d’un cancer des yeux.


Le couple avait été arrêté samedi, transféré immédiatement à Madrid et placé en détention. Ashya de son côté avait été hospitalisé à Malaga et ce n’est que lundi soir qu’un de ses frères aînés a été autorisé à le voir, sous surveillance policière.


Pétition


Les médias britanniques se sont très vite emparés de l’affaire et, en un peu plus de vingt-quatre heures, la pression de l’opinion publique s’est fait sentir, avec notamment une pétition recueillant en quelques heures plus de 200 000 signatures.


Initialement très discrets, les dirigeants politiques ont ces dernières heures multiplié les déclarations. Le Premier ministre, David Cameron, a espéré que le «bon sens gagne» et estimé qu’il était «important que ce petit garçon reçoive un traitement et l’amour de sa famille».


Un centre offrant des traitements de protonthérapie à Prague s’est manifesté en affirmant être prêt à proposer le traitement à Ashya si, après consultation de son dossier médical, il était approprié.


Si le ministre britannique de la Santé, Jeremy Hunt, a estimé qu’il y avait «clairement eu un malentendu dans toute cette histoire», c’est finalement la police qui a jugé qu’en levant le mandat d’arrêt, le parquet prenait «la bonne décision». Mais elle a aussi affirmé avoir agi «de bonne foi sur la base des informations fournies par l’hôpital de Southampton».


Une enquête a donc été ouverte pour déterminer comment la ligne de communication entre les parents désespérés d’Ashya et l’équipe médicale de l’hôpital de Southampton a pu se rompre au point de provoquer cette chasse à l’homme tragique et inutile.


Sonia DELESALLE-STOLPER (correspondante à Londres)


Source : Libération

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13 août 2014 3 13 /08 /août /2014 15:00

La mobilisation continue contre la fermeture du service d'oncologie de Garches [signer la pétition en cours!]

 

Par Sonia Hadj-Rabah, Le Monde  du 10 août 2014

 

La fermeture deux jours plus tôt du service d'oncologie pédiatrique de l'hôpital de Garches, transféré à l'hôpital Ambroise-Paré de Boulogne-Billancourt, n'a pas empêché plus d'une centaine de personnes de manifester samedi 9 août.

 

manif.JPG

Des représentants de plusieurs associations (dont Ametist, Le Petit Soleil de Seillan, Regarde la vie, Eva pour la vie) accompagnés de patients, anciens patients et familles des malades ont marché pendant 5 kilomètres afin d'exprimer leur désaccord avec une fermeture « prématurée » — dans la lignée des précédentes actions, comme une grève de la faim remarquée à la fin de juin.

 

parents défense service delépine garchesISA/HARSIN SIPA

 

« On est désemparés, on est hors structure. Là, mon enfant est seulement dans mes bras. Je veux la continuité des soins [du docteur] Nicole Delépine, ça s'appelle le libre choix thérapeutique », témoigne Eloise Petrucci, mère de Maceo, 3 ans.

 

 

Le docteur Nicole Delépine, dont les méthodes d'individualisation des traitements ont été contestées, est partie a la retraite le 18 juillet dernier, mais était tout de même présente lors de la manifestation. L'Assistance publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) avait profité de son départ pour accélérer la fermeture du service, qui a provoqué des confrontations tendues avec les parents d'enfants malades concernés.

 


 

Une fois que le groupe est arrivé à Garches, les représentants de l'AP-HP, qui n'ont d'ailleurs pas souhaité s'exprimer, n'ont cependant pas empêché les familles et leurs soutiens de rentrer dans la cour de l'hôpital Raymond-Poincaré. Plus d'une centaine de personnes se sont retrouvées dans l'enceinte de l'établissement pour partager expérience, vécu et soutien moral.

 

« On vient de faire 5 kilomètres à pied simplement pour montrer à Marisol Touraine [la ministre de la santé] que 5 kilomètres, ça change tout… », explique Laurence Godfrin, mère d'Eline, 10 ans. Elle poursuit :

 

« On a appris hier soir que l'hôpital allait fermer. Mon enfant n'a eu le temps de dire au revoir à personne, ni à aucune infirmière, ni à aucun médecin, ni à aucun de ses copains de galère. Elle était extrêmement désespérée. (…) Le service qui est censé accueillir nos enfants n'aura pas l'autorisation d'utiliser de soins éprouvés, n'a pas les compétences pour le faire et n'a pas d'équipes d'oncologues. »

 

 

«Renvoyer des patients comme ça, je trouve ça scandaleux », résume de son côté Bendinerad Ghouti, 26 ans. Cela alors que les enfants du service de cancérologie ont dû quitter l'hôpital après la fermeture, jeudi, du service : deux enfants se sont rendus à l'hôpital Paul-Brousse (Villejuif) et deux autres ont dû rester chez eux.

 

Selon le docteur Gérard Delépine, chirurgien et mari de Nicole Delépine, « la question qui se pose, c'est : les malades ont-ils le droit de choisir leur traitement et ont-ils encore le droit de choisir leur docteur ? Nous sommes dans un système absolument tyrannique qui empêche les médecins de traiter en leur âme et conscience en fonction des données établies par la science ».

 

A la fin du rassemblement, Nicole Delépine a assuré que ce combat allait continuer :« Beaucoup de médecins nous soutiennent. Vous n'êtes pas tous seuls. On va trouver des solutions transitoires pour tout le monde en essayant que les plus urgents soient prioritaires. On va se débrouiller avec les collègues pour trouver les moins mauvaises solutions. Les bonnes, c'était notre service. »

 

Elle a également annoncé les prochains rendez-vous de soutien, qui auront lieu le 13 août devant le tribunal administratif de Cergy-Pontoise. Deux audiences se tiendront, l'une pour statuer sur la non-acceptation de cumul emploi-retraite de Nicole Delépine, et l'autre pour exiger, à la demande des parents, la continuité des soins.

 

Sonia Hadj-Rabah

 

Source : Le Monde

 

Le saviez-vous? Nicole Delépine - que des officiels de fort mauvaise foi osent traiter de "gourou" parce qu'elle appelle ses patients "mes enfants"!- utilise des protocoles qui sont LA REGLE au Canada pour les tumeurs osseuses (l'inclusion dans les essais thérapeutiques n'étant pas systématique mais proposée en dernier recours), mais cela n'empêche hélas pas la Ministre démagogue Marisol Touraine -décidément aussi crédible là-dessus que sur l'aluminium vaccinal ou la vaccination HPV!- d'affirmer que le service de Nicole Delépine échappait à toute évaluation!! Voir ici cette vidéo de Marisol Touraine (qui n'a rien à envier à Bachelot quand elle défendait elle aussi des produits expérimentaux comme les vaccins H1N1 qu'elle prétendait elle aussi bien évalués!) puis signez de toute urgence cette pétition pour les enfants!

 


 

Les enfants sont déjà cobayes avec les vaccins qui sont hélas TOUS autant qu'ils sont des produits expérimentaux non évalués scientifiquement (voir ici pourquoi c'est indiscutablement le cas) qui leur sont imposés. Alors pourquoi l'establishment médico-politique verrait-il le moindre problème à continuer dans sa "logique" liberticide avec son principe de traitements cancéreux non éprouvés et standardisés?

 

Il est nécessaire de bien comprendre l'ensemble du système, sans se limiter à la seule cancérologie car tout se tient. Il s'agit malheureusement d'un système non pas de santé mais de maladie auto-entretenu par sa médiocrité, son inefficacité et sa toxicité, un système où les médecins conformes sont laissés en paix et encouragés dans la médecine robotisante qu'ils pratiquent et où l'ouverture d'esprit et la curiosité de quelques rares dissidents est sévèrement dissuadée et même réprimée. Toute différence doit être le plus rapidement gommée dans ce genre de système médical communiste au nom d'une soi-disant égalité des patients, qui n'est autre que le nom politiquement correct du nivellement par le bas de la santé publique. La raison en est toujours la même: laisser perdurer une différence dans les approches de soins constitue une porte ouverte au CHOIX des gens qui pourront alors COMPARER l'efficacité et la toxicité relatives des différentes options et qui finiront alors inévitablement avec le temps et la diffusion de l'information, par délaisser les méthodes qui arrangaient le mieux Big Pharma et dont les autorités dites "publiques" favorisaient lamentablement la systématisation oppressante et contre-productive.

 

Avec la vaccination, il en va de même: les officiels sachant pertinemment, comme de rares enquêtes indépendantes l'ont toutes montré de façon convergente, que la santé des enfants non vaccinés (0 vaccins) est bien meilleure que celle des enfants vaccinés, elles évitent soigneusement d'imposer des règles véritablement scientifiques d'évaluation des vaccins aux fabricants, en comparant par exemple dans les essais les vaccinés aux non vaccinés. Avec le H1N1, c'était pareil, les officiels (OMS, Europe etc. en tête) ne voulaient pas que le non achat par la Pologne des  hasardeux vaccins H1N1 permette a posteriori de s'apercevoir qu'ils étaient inutiles, inefficaces, dangereux et dispendieux et c'est pourtant ce qui s'est vu après coup (d'où la décision d'acheter désormais des vaccins pandémiques au niveau européen, de sorte que tous les bons petits citoyens-moutons d'Europe seront obligés de croire que les vaccins pandémiques sont "la seule option" envisageable et "ce qui se fait partout")

 

Voir aussi cette vidéo de Jean-Yves Billien sur l'unité d'oncologie de Garches:

 

 

Interview des Drs Nicole & Gérard Delépine par Agence Info Libre:

 

 

 

 

Nicole Delépine dans l'émission Les Maternelles, le 3 septembre 2014:

 

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12 août 2014 2 12 /08 /août /2014 20:52

Une fillette de 8 ans a essayé ce traitement illégal

 

fillette-Cannabis.jpg

 

Les médecins ne lui avaient donné que quelques mois à vivre et après 20 000 crises d’épilepsie par an, une fillette de 8 ans a essayé ce traitement illégal avec succès.

 

Les efforts courageux d’une mère

 

«Elle était mourante et elle pouvait à peine marcher. En incapacité d’aller aux toilettes ou même de parler, elle s’est retrouvée dans un cycle semblable à celui d’un nouveau-né », a déclaré Cheri O’Connell.

 

« A la base, on nous a dit qu’il n’y avait pas grand-chose à faire à part ramener notre fille à la maison, de l’aimer et avec un peu de chance elle arriverait à l’âge de 9 ans. Jamais on n’aurait imaginé la voir construire un avenir » a déclaré Mme O’Connell.

 

L’histoire de Cheri O’Connell et de sa fille a pris une tournure miraculeuse, cependant, après l'essai d'un traitement controversé mais qui s'est montré efficace. En janvier dernier, ses parents désespérés ont commencé à lui donner un mélange de cannabis,connu comme stimulant aromatique sous forme de teinture alors que la fillette était déjà depuis des années sous traitement médicamenteux lourd, lequel traitement avait pour effet d'endormir profondément l'enfant sans pour autant empêcher ses crises.

 

L’évolution a énormément surpris les médecins: un an plus tard sa chaise-roulante était immobile et couverte de poussière dans le coin de la maison familiale.

 

La neuropsychologue superviseur de la clinique à Austin Health, Dr Silvana Micallef, a vu les résultats de ses propres yeux en indiquant qu’il y avait une amélioration significative « des performances cognitives » après seulement 12 mois. « Depuis le début du traitement avec le cannabis médical (conjointement avec l’interruption de ses crises d’épilepsie), l’historique clinique des améliorations de la maladie est convaincant dans toutes les facettes de sa présentation comme l’avait déclaré la mère», écrit le Dr Micallef.

 

Étonnamment, les seuls «effets secondaires» signalés étaient une augmentation de l’appétit et de la fatigue.Le traitement ne contenait qu’une quantité minuscule de THC, la molécule des cannabinoïdes qui est responsable de la sensation «élevée» associée à la consommation de cannabis.


Un phénomène de plus en plus répandu

 

cannabis-flacons.jpg

 

Malheureusement, Tara n’était pas la seule enfant qui souffrait de crises d’épilepsie dans la famille. Son frère Sean de 11 ans a également souffert de cela, son cas était moins grave par rapport à celui de Tara mais néanmoins exténuant. Sean pouvait à peine écrire en raison de son état de santé et ce fut un défi pour ce jeune artiste débutant.

 

L’handicap de Sean s’est rapidement dissipé après avoir reçu une concentration de cannabis sous forme liquide.

 

The Herald Sun a découvert après une enquête, que le personnel de l’école avait administré du cannabis médical à un certain nombre d’autres enfants (environ 70) à travers l’Australie. Ces personnes n’ont pas fait de déclarations en public en raison du statut illégal du cannabis médical en Australie.

 

Cheri O’Connell lance un appel à la légitimation des ​​nombreuses études sur le cannabis médical. Les parents d’enfants souffrant de maladies invalidantes devraient avoir le droit de traiter leurs enfants avec un traitement qui fonctionne, surtout en cas d'échec des traitements antérieurs. 70 pour cent des enfants répondent positivement aux médicaments antiépileptiques, mais est ce que les autres 30 pour cent devraient souffrir? Non, selon la famille O’Connell.

 

«Nous avons dû enfreindre la loi ou la voir mourir. Tout parent fera ce qu’il y a de mieux pour soigner son enfant malade. »

 

La consommation de cannabis médical s’est répandue. Les vieux tabous et les croyances autour du cannabis se sont dissous de notre conscience et de l’information actuellement disponible. En répartissant cette connaissance vous pourriez sauver la vie de beaucoup de personnes qui souffrent sans connaitre les avantages remarquables de cette petite plante verte guérisseuse.

 

Vous connaissez des personnes qui ont guéri grâce au cannabis? N’hésitez pas à laisser un commentaire et faites vous entendre !

 

Source: News.com.au

 

Voir aussi ici, sur les  effets du cannabis sur le cancer

 

Epilepsie & vaccins: le lien

 

Evidemment, le plus intelligent est d’essayer dans la mesure du possible de ne pas endommager les enfants dès leur arrivée dans le monde avec toutes sortes de procédés hasardeux et très mal évalués comme les vaccins, grande cause d’épilepsie infantile. Il y a fort à parier que cette petite était vaccinée et que ses crises ont commencé peu après ses premiers vaccins. Idem pour son frère. La susceptibilité génétique dans certaines familles n’empêche nullement que les vaccins puissent jouer un rôle décisif et que ces enfants auraient fort bien pu ne jamais devenir épileptiques de leur vie en l’absence de vaccins. Le pic des cas d’épilepsie se situe chez les moins de 4 ans et les + de 65 ans, deux périodes de la vie où les gens sont le + vaccinés (toutes les batteries vaccinales en cascade du nourrisson puis les inutiles vaccinations annuelles antigrippales des seniors, aussi scandaleusement imposées aux personnes démentes dans les homes!)

 

Une fois encore, les médecins sont « étonnés » qu’un procédé naturel qu’ils n’ont pas appris à la faculté puisse fonctionner, exactement comme ils pourraient être « étonnés » à l’inverse du désastre des vaccins s’ils pouvaient avoir l’honnêteté intellectuelle et prendre le temps d’observer leurs véritables effets dans toute leur variété et tout le laps de temps possible de leur apparition ! La faculté ignore bien des informations utiles qu’elle ne veut ou ne sait pas enseigner et elle enseigne aussi quantité d’inepties dangereuses estampillées à tort « scientifiquement prouvées ». Les épilepsies d’origine vaccinale sont souvent beaucoup plus agressives et réfractaires aux traitements standards que les épilepsies ayant d’autres origines, c’est ce qu’avait remarqué Dr Gherard Buchwald, un médecin allemand qui avait étudié pendant une quarantaine d’années de façon indépendante les effets secondaires de vaccins et auteur du livre « Vaccinations, le marché de l’angoisse »

 

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12 juillet 2014 6 12 /07 /juillet /2014 20:33

 

Mais à part ça, le Centre Fédéral d'Expertise des Soins de Santé décrète que l'homéopathie ne doit pas être remboursée car ce n'est qu'un placebo... Nul doute que s'ils regardent ce documentaire de France 5, ces gens-là se sentiront diablement ridicules... Voici ce que la presse "indépendante" diffusait à l'époque sur la décision "scientifique" du KCE au sujet du remboursement de l'homéopathie:

 

 

Alors que des autorités publiques honnêtes et intelligentes seraient les premières à financer ce genre de recherches d'avant-garde et sûres, elles financent à la place des recherches hasardeuses et dangereuses qui consistent à créer de toutes pièces des virus pandémiques pour soi-disant mieux les combattre avec les futurs vaccins contre les prochaines pandémies tant attendues!

 

DANS TOUS LES DOMAINES, LA LIBERTE DE CHOIX DES PERSONNES SE REDUIT ET IL EN VA DE MÊME DANS LE DOMAINE DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE OU LES PRODUITS LES PLUS LUCRATIFS DES PHARMAS SONT PRIVILEGIES, MÊME SI CE SONT AUSSI LES PRODUITS QUI PEUVENT S'AVERER LES PLUS DANGEREUX ET LES PLUS GRANDS POURVOYEURS D'EFFETS SECONDAIRES...

 

Voir aussi: L'homéopathie dénigrée par le KCE mais efficace contre le cancer

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10 juillet 2014 4 10 /07 /juillet /2014 22:23

Entretien avec Dr. Nicole Delépine

 

« Mes » méthodes sont éprouvées…

 

Le 10 juillet 2014

 

Entretien réalisé par Gabrielle Cluzel

 

Dr-N.-Delepine.jpeg

Docteur Nicole Delépine, votre service d’oncologie pédiatrique à Garches (Hauts –de-Seine) fait actuellement la une des journaux. Menacé de fermeture, parce que vos méthodes sont jugées « controversées », des parents d’enfants cancéreux ont fait une grève de la faim pour réclamer son maintien et celui des méthodes que vous préconisez. Ils ont été délogés dimanche par la force alors qu’ils s’étaient réfugiés dans la chapelle.


Pouvez-vous expliquer brièvement ce qu’il en est ?

 

Ces méthodes dont vous parlez ne sont pas « mes » méthodes. Ce sont des méthodes prouvées, éprouvées par le passé, dans le cadre d’une médecine classique répondant au serment d’Hippocrate et visant à soigner les patients et non en premier objectif à faire avancer la recherche. Je n’ai pas de méthodes « personnelles ».

 

Dans la plupart des autres services (d’autres services font l’objet des mêmes mesures que le nôtre, mais on n’en entend pas parler, nous sommes les seuls à nous défendre, en tout cas de façon un peu audible !), le « Plan cancer » exige que les patients soient intégrés dans des essais thérapeutiques, que l’on appelle pudiquement « protocoles », ou « tests », standardisés.

 

L’absence de possibilité de choisir le traitement le mieux adapté viole le serment Hippocrate, viole le code de déontologie qui doit garantir l’indépendance professionnelle, viole le code de santé publique – selon lequel un malade peut opter pour le médecin de son choix (mais si les patients ne sont pas informés qu’il existe d’autres traitements ailleurs, et si tous les médecins leur proposent les mêmes protocoles, où est le choix ?), viole enfin le code de Nuremberg qui établit que tout médecin doit privilégier le soin du malade et non la recherche clinique. Nous ne sommes pas, bien sûr, contre les essais thérapeutiques mais contre les essais thérapeutiques « d’emblée »… que l’on « vend » au malade en lui laissant imaginer qu’il aura ainsi LE traitement en pointe.

 

Quelle est votre analyse ?

 

Le « Plan cancer » stipule qu’il faut une acculturation, un changement de paradigme, une rupture avec des traitements classiques empiriques personnalisés qui ont fait leurs preuves à travers le monde. En 1985 avant l’ère des grands essais systématiques on guérissait 3/4 des patients en cancérologie pédiatrique et 50 % chez les adultes. Actuellement les résultats des essais cliniques récents ne sont pas publiés… Et pourquoi changer ce qui fonctionnait sinon pour faire marcher à plein l’industrie pharmaceutique ?

 

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Vous considérez donc que vous devez faire face à un diktat commercial des laboratoires ?

 

Complètement. Car le véritable problème de fond est là : Toutes les molécules innovantes, (fondées essentiellement sur la génétique) coûtent 2 milliards d’euros par an pour l’oncologie, remboursées par la Sécurité sociale AVANT leur mise sur le marché (« liste en sus » payée directement par la Sécurité sociale aux labos alors qu’il s’agit de recherche). Là où un traitement coûtait 500€, il faut à présent 10000€… Prenez l’exemple du vaccin Gardasil (censé lutter contre le cancer du col de l’utérus dans trente ans), c’est une catastrophe et pourtant on continue de le recommander… et le Plan cancer 2014 tente de le généraliser. C’est l’industrie pharmaceutique qui décide de ce que doivent faire les médecins, et la Sécurité sociale est au service des labos.

 

Les parents en grève de la faim ont dû trouver refuge ailleurs. Comment envisagez-vous aujourd’hui la suite ?


J’espère que les nombreuses mises au point sur les médias, y compris maintenant les chaînes de télévision, associées aux multiples actions juridiques en cours vont amener le pouvoir politique à réfléchir aux conséquences d’une fermeture à la hussarde d’un service inauguré en grande pompe par le ministère de la Santé lui-même en 2006.

 

Ne pas respecter l’ensemble des procédures institutionnelles de l’AP-HP (Assistance Publique-Hôpitaux de Paris), ni celles imposées par les ARS (Agences régionales de santé), par de nombreux textes, déstabiliserait ces institutions en même temps qu’elle priverait les parents de liberté de choix thérapeutique de fait en cancérologie pédiatrique, toutes conséquences susceptibles de recours juridique devant l’Europe.


Je suis résolument optimiste. Le bon sens devrait l’emporter et l’excitation de ces jours-ci, pour désespérer personnels et patients par des mesures coercitives injustes, illégales et d’allure carcérale (vigiles à toutes les entrées, interdiction de visites aux familles etc.), prouve bien que l’institution joue la montre pour démoraliser l’ensemble des acteurs , oubliant que l’internet des patients prime et que la guerre des nerfs inique (dont aucun n’assume la décision de surcroit) ne saurait entamer notre détermination à sauver la liberté de soigner et la démocratie.

 

 

Source : Boulevard Voltaire

 

DANS TOUS LES DOMAINES, ON RABOTE LA LIBERTE DE CHOIX, AU NOM DES INTERÊTS INDUSTRIELS... SI VOUS NE VOUS BATTEZ PAS MAINTENANT, DEMAIN, IL RISQUE D'ÊTRE TROP TARD ET VOS ENFANTS AURONT OUBLIE LES ANCIENS ACQUIS, LEUR QUALITE DE VIE SERA NIVELEE PAR LE BAS...EST-CE CE QUE VOUS VOULEZ??

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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 19:59

 

 

 Signez la pétition pour sauver ce service hospitalier unique en France!

 

Plainte après la fermeture d'un service d'oncologie pédiatrique à Garches

(article Libération 30 avril 2014)

 

Lire le communiqué des médecins d'oncopédiatrie du CHU de Garches

 

Il est urgent et essentiel de voir clair: qu'il s'agisse de vaccins, du cancer ou d'autres domaines de la médecine, tout est actuellement mis en oeuvre pour supprimer la liberté de choix (et donc aussi la possibilité gênante de pouvoir COMPARER) et mettre en place des monopoles pharmaceutiques dont les seuls bénéficiaires sont toujours les mêmes. Seules la lucidité et l'indignation suivies d'effets des masses pourront les aider à briser leurs chaînes...Leur crédulité, leur insouciance et surtout leur fatalisme étant en fait leurs premiers ennemis...

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26 janvier 2014 7 26 /01 /janvier /2014 12:15

La vitamine C a guéri une pneumonie en 3 heures

 

Paul Fassa, 21 janvier 2014

 

Vitamine-C-formule.jpg

 

Des milliers de personnes ont été sauvées de la mort ou de maladies virales meurtrières comme la double pneumonie, la poliomyélite et autres problèmes de santé grâce à l’injection de méga-doses d’acide ascorbique, de perfusions ou d’injections intraveineuses d’ascorbate de sodium. Aujourd’hui, la technologie d’encapsulation liposomale permet à l’absorption de 6 grammes de vitamine C par voie orale de donner  les résultats cliniques que pourraient donner des méga-doses de 25 à 50 grammes de vitamine C par voie intraveineuse.

 

La vitamine C Liposomale pénètre beaucoup plus facilement dans les cellules que les solutions aqueuses des perfusions ou injections intraveineuses. La vitamine C liposomale est aussi plus accessible que les traitements par perfusions ou injections. [1]

 

Traitements remarquables à la vitamine C

 

Jonathan Landsman (Natural News Talk)  a récemment interviewé le Dr Andrew Saul, PhD, sur la manière dont il a pu guérir sa pneumonie en trois heures grâce à la vitamine C. C’est le Dr Saul qui a écrit les deux livres suivants : Virez votre médecin  et Soignez-vous vous-même. Il possède un site qui porte son nom. [2]

 

Les quantités de vitamine C que le Dr Saul a utilisées sont exorbitantes. Mais sa pneumonie a été guérie en 3 heures. Aujourd’hui la vitamine C liposomale peut faire plus avec beaucoup moins. La pneumonie est la huitième maladie mortelle dans le monde. Une grande partie des statistiques (bidon) du CDC concernant les décès dus, chaque année à la grippe, ont trait aux complications de la maladie qui conduisent à la pneumonie.

 

C’est généralement la grippe qui est le tueur. Voir le bref interview du Dr Saul.

 

Une autre guérison fantastique grâce à la vitamine C a été celle d’Alan Smith de Nouvelle Zélande, il y a quelques années. (Voir article d’Initiative Citoyenne ci-dessous) Il était si mal en point avec une double pneumonie, en plus d’une leucémie que l’hôpital était sur le point de débrancher les appareils qui le maintenaient artificiellement en vie. Mais la famille s’interposa et insista pour que l’on essaie des perfusions de méga-doses de vitamine C.

 

L’hôpital est finalement revenu sur sa décision. C’est ainsi qu’Alan put recevoir des perfusions de  doses importantes de vitamine C et finit par récupérer suffisamment pour pourvoir respirer sans appareil. La famille a ensuite découvert la vitamine C liposomale. Après avoir pris cette vitamine pendant 6 jours, Alan sortait de l’hôpital !

 

Visionnez les 17 minutes de l’émission télévisée « 60 minutes » qui a raconté l’histoire. C’est à la barre des 15 minutes qu’il est question de la vitamine C liposomale.

   

Plus ample information sur la vitamine C liposomale dans cette interview du PDG de Lypo-Spheric. C’est la marque utilisée par Alan Smith pour reproduire, avec seulement 6 grammes de vitamine C liposphérique, l’effet clinique de 25 à 50 grammes de perfusion intraveineuse.

 

Cela signifie qu’il ne vous sera pas nécessaire d’aller aux extrêmes comme l’a fait le Dr Saul au cours de sa pneumonie.  Voir l'interview: ICI (en anglais)

 

Durant les années 1940 et les années 1950, quand la poliomyélite était assez répandue, un médecin de Caroline du Nord, le Dr Fredéric Robert Klenner, MD a régulièrement guéri des pneumonies et des poliomyélites dans son petit bureau, ainsi qu’à l’hôpital où il pratiquait et jouissait de certains privilèges. En 1949 il donna une conférence à l’Association Médicale Américaine (AMA) d’Atlantic City où il présenta des cas parfaitement documentés. Cette information fut purement et simplement ignorée.

 

Dr-Klenner-Vit.-C.jpg

Le Dr Klenner affirmait : « Quand les quantités apropriées de vitamine C sont utilisées, elles sont capables de détruire tous les virus. Ne vous attendez donc pas à contrôler les virus avec 100 ou 400 mg de vitamine C. » 

 

Il a également ajouté : « Certains médecins préféraient ne pas bouger et voir mourir leurs patients plutôt que de leur administrer de l’acide ascorboquie (vit.C) parce que dans leur petit esprit, l’acide ascorbique n’est qu’une simple vitamine. ». [3]

 

Le Dr Klenner a expliqué ses protocoles concernant la vitamine C pour différentes maladies et ses notes extraites de plus de 30 années d’application de ses traitements avec la vitamine C ont été résumés par le Dr Lendon H. Smith, M.D. Le document est accessible à la note [4] ci-dessous.

 

Et voici en super-prime – un accès libre au livre du biochimiste Irwin Stone, fruit de 40 années de recherches sur « la vitamine C, facteur de guérison ». [5]

 

Sources :

 

[1] http://www.naturalhealth365.com/vitamin_c
[2] http://www.naturalhealth365.com/natural_cures/pneumonia.html
[3] http://www.naturalnews.com/035696_polio_vitamin_C_history.html
[4] http://www.seanet.com
[5] http://vitamincfoundation.org/stone/

 

Au sujet de l’auteur:

 

Paul Fassa  consacre ses journées à donner au grand public les moyens d’obtenir une santé optimale comme aussi à le à mettre en garde par rapport à la corruption actuelle en matière d’alimentation et de médecine.

 

Source: NaturalNews

 

Le cas d’Alan Smith

 

Guérison spectaculaire d’un mourant grâce à la vitamine C

pourtant refusée par l’hôpital:

 

ALAN SMITH 1

+ d'infos en français sur ce cas d'Alan Smith, ici sur le site d'Initiative Citoyenne 

 

Vitamine C : une arme thérapeutique miraculeuse

 

Dr Glen Dettman,  Dr Archie Kalokerinos,  Dr Ian Dettman

 

« Si l’on  vous offrait une substance qui pourrait aider dans la production endogène d’interféron et PGE1, qui activerait les systèmes enzymatiques, qui aiderait à l’assimilation des minéraux et à la production de collagène, qui favoriserait la guérison, empêcherait la fragilité capillaire, stimulerait la fonction rénale, serait capable de guérir les infections virales et bactériennes, serait un agent efficace de détoxification par rapport aux drogues et aux morsures venimeuses, qui serait utilisé de plus en plus dans le traitement  des maladies dégénératives, vous éclateriez  probablement de rire. Et d’autant plus facilement si l’on vous disait que cette substance est la vitamine C. Et bien toutes ces prétentions comme aussi bien d’autres ont été parfaitement documentées et ont fait l’objet d’études cliniques. » (1)  Dr Dettman G, Dr Kalokerinos A.

 

« Un enfant sur deux »

 

Dans son livre " Every second Child ", le Dr Archie Kalokerinos, médecin formé à Londres, explique comment il est passé dans son petit hôpital de la plus forte mortalité infantile au monde (1 enfant sur deux) à la mortalité zéro. Ceci à partir du moment où il comprit le rôle néfaste des vaccins sur le taux de vitamine C.

Après avoir, pendant 9 ans, cherché explications et solutions, il demanda l'aide d'un spécialiste de Sydney. Il vit, sous ses yeux, un enfant dans le coma en sortir dans la demi-heure avec une seule injection intramusculaire de vitamine C.

 

LE  TETANOS

 

Une étude de DEY (1966) (2) fait état de tests sur des animaux auxquels ont été administrées des quantités identiques de toxine tétanique.

 

Dans le premier groupe auquel on a administré la toxine et rien qu’elle, tous les animaux sont  morts endéans les 47 à 65 heures.

 

Dans le second groupe qui, avec la  toxine tétanique, a reçu de l’acide ascorbique (1 gramme par kilo) deux fois par jour et pendant trois jours, tous les animaux ont survécu et ont présenté de très faibles symptômes.

 

Les animaux du troisième groupe avaient, eux, reçu de l’acide ascorbique trois jours avant que ne leur soit inoculée la toxine tétanique. Ils continuèrent à en recevoir pendant les trois jours qui suivirent. Tous ces animaux ont non seulement survécu,  mais n’ont pas manifesté le moindre symptôme d’empoisonnement.

 

Au quatrième groupe, on injecta la toxine tétanique  mais  l’acide ascorbique ne fut administré qu’après l’apparition des premiers symptômes du tétanos (de seize à vingt-six heures plus tard). L’acide ascorbique fut administré (inoculé)  (1 gramme par kilo de poids) deux fois par jour et pendant trois jours. L’acide ascorbique empêcha l’extension  des symptômes et tous les animaux survécurent.

 

Dans le cinquième groupe, l’administration d’acide ascorbique fut postposée de 40 à 47 heures jusqu’à ce que les symptômes apparaissent clairement. Tous les animaux survécurent.

 

Ce qui vient d’être décrit est au cœur même des succès qui auraient dû entraîner de larges recherches au sujet d’une maladie pour laquelle la médecine n’a pu produire de traitement efficace. Les doses utilisées par Dey, correspondent pour un adulte  de 70 Kg à 140 g par jour. Certains s’étonneront de pareilles quantités, bien  que cette dose ne soit pas tellement éloignée des 70 grammes employés en  intraveineuse pour réduire la pression  intraoculaire dans  les cas de glaucome. De nouvelles recherches devraient pouvoir donner plus de précisions sur  les doses à employer.

 

Les extraordinaires résultats du Dr F. Klenner

 

« Les résultats obtenus par le Dr F.Klenner  au cours de sa pratique clinique en Caroline du Nord frisent l’extraordinaire » Dr Raymond Obomsawin

 

Le Dr Klenner fait état de l’efficacité de la vitamine C pour la prévention et la guérison de très nombreux problèmes de santé comme :

 

L’hépatite infectieuse

Le virus de la pneumonie

La grippe

La diphtérie

Le virus de l’encéphalite

La poliomyélite

La coqueluche

La rougeole

La varicelle

Les oreillons

Le tétanos

La mononucléose

La scarlatine

Le bacille de la dysenterie

Les tumeurs

Troubles cardiovasculaires

Hémorragies après accouchement ( prévention)

Ulcères duodénaux et peptiques

Pancréatites

Graves brûlures

Troubles dus aux radiations

Empoisonnement au monoxyde de carbone

Empoisonnements aux barbituriques

Botulisme

Intoxication aux métaux lourds

Morsures d’araignées de serpents, piqûres d’insectes (3)

 

Vitamin C :Nature’s Miraculous Healing Missile

 

Dr Glen Dettman, Dr Archie Kalokerinos, Dr Ian Dettman

 

Forword by Prof. Linus Pauling, Dr Alan Lane and Dr Nell McLeod

Frederick todd Melbourne, 1993

 

Le Dr Cathcart et la saturation de l’organisme par la vitamine C

  

Le Dr Cathcart estime qu'avec sa méthode, on peut faire disparaître environ 90% des symptômes typiques d'une maladie donnée. L'effet est, selon lui, particulièrement spectaculaire avec des maladies éprouvantes comme la mononucléose ou l'hépatite. En plus, on peut dans ces cas prouver la présence du virus par des tests et donc l'efficacité de sa méthode. Ceci dit, malgré l'absence de fatigue importante, le malade doit continuer à prendre des doses importantes de vitamine C pendant souvent plusieurs semaines jusqu'à la guérison complète.

 

Apparemment, depuis la dernière guerre mondiale différents praticiens, sur la base de leur expérience clinique, ont proposé des systèmes similaires à celui du Dr Cathcart, sans être entendus. Le premier d'entre eux, le Dr Klenner, a inspiré les recherches de Cathcart (Klenner ayant quant à lui beaucoup plus travaillé avec la vitamine C injectable). Il est vrai que si de telles informations étaient confirmées, elles entraîneraient une véritable révolution médicale, ce que évidemment personne ne souhaite, sauf, peut-être, quelques malades bien informés et de trop rares médecins persécutés par l'establishment !

 

Qu'on songe au bouleversement complet de la pédiatrie que cela entraînerait pour toutes les petites maladies infectieuses de l'enfance. On peut supposer que la vitamine C, en permettant un libre déploiement du système immunitaire de l'enfant, donnerait à ceux-ci une exceptionnelle robustesse et lui éviterait par la suite d'innombrables maladies chroniques et dégénératives de l'âge adulte ! Dans la lutte contre le vieillissement, toutes les maladies infectieuses et traînantes seraient dans la grande majorité des cas circonscrites et n'entraîneraient plus une sévère usure de l'organisme comme c'est actuellement le cas. On ne peut aussi s'empêcher de penser aux ravages que font en milieu hospitalier les maladies nosocomiales, qui se développent le plus souvent à la faveur d'une sévère oxydation de l’organisme (et donc d’une carence en antioxydants comme la vitamine C)…Ajoutons que lors des interventions chirurgicales, il semble qu'elle puisse jouer un rôle décisif dans les suites d'anesthésies et pour la cicatrisation... Un tel produit polyvalent, sans danger, non breveté et économique ne peut donc que s'attirer les foudres de l'establishment médical et des multinationales pharmaceutiques!

http://gestionsante.free.fr/vitamine_c.htm



Si  le public savait comment utiliser les doses massives d’ascorbate par voie orale ou intraveineuse, ça représenterait un désastre financier pour l’industrie  pharmaceutique.

 

La grosse question est la suivante : LE SECRET CONCERNANT LA VITAMINE C peut-il encore se maintenir secret puisqu'avec internet la vérité peut être criée sur tous les toits.

 

D’énormes intérêts financiers peuvent conditionner les chaînes de télévision, la radio,  les magazines, les hommes de loi, les politiciens et les éditeurs de revues scientifiques, mais avec internet ça ne marche plus. Le secret de la vitamine C coûte en fait des trillions de dollars comme aussi des millions de vies humaines au cours des années.Dr Robert F. Cathcart, M.D. http://www.orthomed.com

 

(1) Dettman G. and Kalokerinos K. “The spark of life”, Health and Healing: Journal of Alternative Medicine Vol. 1,N°1,1981. (This article was originally accepted by the Royal Australian college of Practitioners, but not  published because…  “an article giving a contrary opinion…was not attainable.”

 

(2) P.K.DEY, Efficacy of Vitamin C in counteracting Tetanus toxin toxicity.- Naturwissenschaften, vol.53:p.310. 1966

 

(3) Klenner F. “Observations on the dose and administration  of Ascorbic acid when employed Beyond the Range of A vitamin in Human Pathology” The Journal of applied Nutrition, La Habra, Calif. V.23,N°3 and 4, Winter 1971 , pp.60-89

 

« Klenner a réalisé que le secret de ses succès résidait dans les doses massives (de vitamine C) qu’il employait. »   Dr Irwin Stone

 

MALADIE NOSOCOMIALE OU SCORBUT HOSPITALIER ?

LA VITAMINE C : UN ANTIPOISON MAJEUR

« MORT SUBITE DU NOURRISSON »

 

Dr. Gilbert H. CRUSSOL, Dr. C.D., F.I.C.D.

Ex-Intern Harvard Forsyth Center, Boston, USA

Member International Academy of Oral Medicine and Toxicolgy

Diplômé de Criminalistique de la Faculté de Médecine Légale de Paris

 

 

"Dans un silence et une discrétion exemplaires, Scorbut, Hypoascorbémie et Anascorbémie tuent chaque année plus d’humains que toutes les autres maladies réunies." Dr G.H. Crussol 

 

INTRODUCTION   

 

La terrible situation où se retrouvent environ 10% des patients hospitalisés et qui désarçonne médecins et infirmières pourrait être évitée dans la majorité des cas, en oubliant l’approche pasteurienne pour se concentrer sur les aspects toxique et nutritionnel.

 

L’aspect toxique, car on tient pour acquis que les produits utilisés sur les patients le sont pour leur bien alors qu’ils ont été mis sur le marché par une industrie beaucoup plus concernée par ses résultats financiers ou sa cotation en bourse. Ceux qui en doutent devront se référer aux variations en bourse de ces sociétés associées à des campagnes de terreur concernant des épidémies peut- être à venir, ayant abouti à des commandes de l’ordre de plusieurs milliards de la part des pays riches. Elles ont été obtenues par la peur résultant de battages médiatiques, en passant sous silence les leçons du passé.

 

L’aspect nutritionnel, parce que l’ensemble des populations des pays dits civilisés est nourri artificiellement avec des aliments trop riches en calories et trop pauvres en nutriments. […]

 

DESCRIPTION

 

Officiellement, c’est une infection, le patient est contaminé par un microbe. On pense d’abord à une erreur du personnel médical. Une infection est dite nosocomiale si elle était absente à l’entrée à l’hôpital. La maladie nosocomiale est, dans la majorité des textes, considérée comme une infection consécutive à un séjour dans un hôpital. La loi considère que sa responsabilité est engagée par principe. Il s’agit donc d’une responsabilité sans faute, c’est-à-dire engagée sans qu’il soit nécessaire au malade de prouver l’origine. Curieusement, dans les cas d’une maladie nosocomiale contractée dans un établissement privé, le malade doit prouver la faute pour que la responsabilité de cet établissement soit engagée.

 

Pour nous, la maladie nosocomiale n’est pas, comme nous allons le montrer, seulement une infection, mais le résultat d’erreurs de diagnostic, de prescription, de nutrition et d’absence d’humanité ; on doit lui attribuer presque toutes les complications post-opératoires, les retards de cicatrisation, les douleurs osseuses et bien des décès « inexpliqués ». Elle n’est que la conséquence de l’orientation « intégriste » de la médecine de Louis Pasteur.

 

Une étude réalisée par Robert Meynet portant sur 512 malades hospitalisés entre mai 1977 et avril 1978 dans deux services de chirurgie digestive a montré que 79 de ces malades, soit 15,4%, avaient contracté une infection au cours de leur séjour à l’hôpital. (Médecine Moderne, no 82, 1996).

 

L’HYGIENE, UNE CONDITION NÉCESSAIRE MAIS PAS SUFFISANTE.

 

On a tort aujourd’hui de choisir comme boucs émissaires médecins et infirmières qui sont, dans une énorme majorité, dévoués, compétents et parfaitement formés, à l’hygiène hospitalière […]

 

Mais, peut-on parler de l’indispensable hygiène sans évoquer Ignaz Philipp Semmelweis (1.7.1818 - 13.8.1865). Ce médecin d’origine hongroise qui arrive dans un service de maternité à Vienne en 1844. Choqué par la mortalité importante qui sévissait dans ce service, accepté avec un fatalisme détaché par les autres médecins, il en rechercha d’autant plus les raisons que dans une maternité des sages-femmes, celle-ci était très basse. Ce fût la mort, en 1847, d’un confrère et ami de Semmelweis qui se coupa avec un bistouri au cours d’une autopsie qui le mit sur la voie, car celui-ci mourut de symptômes très similaires à ceux des parturientes, ceux de la fièvre puerpérale. Il semble difficile de nos jours d’imaginer l’état de saleté des mains et des blouses des médecins de cette époque. Les mêmes mains, jamais lavées des étudiants en médecine, ces mains qui venaient de pratiquer des autopsies sur des cadavres, touchaient les futures accouchées afin de les examiner, ou les aidaient à mettre au monde leur progéniture.

 

80% DES FEMMES SURVIVAIENT…?

 

Ce qui m’a toujours surpris, eu égard aux circonstances, n’est pas que meurent 20% de ces pauvres femmes, c’est que 80% ne meurent pas. Si on pouvait imaginer que certaines survivaient à cette fièvre puerpérale, il n’est pas du tout fait mention des bébés qui, eux aussi, subissaient l’horrible agression de ces mains polluées et infectées, mais à cette époque un nombre très élevé de bébés mouraient de toute façon. La question est : « Pourquoi 80% des femmes ne mouraient pas ? »

 

a) Si le jour de leur accouchement ne coïncidait pas avec des jours d’autopsie, les femmes étaient examinées ou délivrées par des mains moins sales.

 

b) Les samedis et dimanches un effectif plus réduit réduisait les risques.

 

c) Les fruits et les légumes provenaient le plus souvent d’un jardin potager proche et étaient encore riches en vitamines et nutriments.

 

d) Surtout, sans doute, la « sélection naturelle » s’exerçant, seules les plus résistantes se trouvaient en état de mettre des enfants au monde.

 

Les femmes affublées d’une nombreuse progéniture mouraient très jeunes. Seules les plus résistantes survivaient. Si de nos jours, des femmes sur le point d’accoucher, couchées dans des draps sales, respirant une atmosphère sanieuse, étaient examinées par des médecins et étudiants aux mains et aux blouses sanglantes et souillées, ce n’est pas 20% des femmes qui mourraient, mais près de 100%. On sait que le Dr. Semmelweis, en forçant les médecins à se laver les mains, fit chuter le nombre de décès aux environs de 2% avant que l’obscurantisme et l’intégrisme de ses confrères ne le chasse et que la mortalité n’atteigne de  nouveau des sommets.

 

LES ORIGINES INTERNES DE LA MALADIE.

 

Les cardiologues et les néphrologues sont très conscients de l’incidence des infections d’origine buccale ou autre sur les succès de leurs interventions. Mais, l’hôpital est un lieu clos et protégé, il est rare qu’ils obtiennent ce qu’ils demandent. […]

 

UNE ALIMENTATION CARENCEE.

 

Dans un article intitulé « L’hôpital nourrit mal », Science et Vie 959, août 1997, fait le point sur la nourriture hospitalière ; elle est carencée.

 

Nous savons que l’homme moderne se nourrit mal ou très mal, le drame est qu’il aime cela ou plus exactement que la  nourriture industrielle est calculée pour faire de chacun d’entre nous des accros au sucre etc…

 

Malgré la présence de nutritionnistes, cette situation ne changera pas tant que les besoins théoriques ne seront pas revus et adaptés à l’état de maladie. La nutrition fait partie intégrante du système de soins.

 

La présence de sucre raffiné dans l’alimentation hospitalière est une atteinte au système immunitaire dont il diminue le potentiel.

 

L’HYPO-ASCORBEMIE

 

Il est bon de rappeler que la vitamine C apparaît avec la vie, aussi bien dans le règne animal que végétal. Elle apparaît dans la graine au moment de la germination (pas avant). Elle apparaît dans l’œuf, après fécondation, au moment des premières divisions cellulaires (pas avant). La vitamine C est une substance normalement présente dans l’organisme vivant, à l’exception de quelques espèces dont l’être humain qui doit l’obtenir dans son alimentation.

 

Contrairement à la faim et à la soif, le corps hypo-ascorbémique ne lance d’autres signaux d’alarme qu’une dégradation des performances de la santé. (Crussol)

 

Le manque relatif de vitamine C entraîne dans le corps des adaptations inévitables. Les organes normalement suralimentés se verront rationnés, l’énergie disponible le sera également (fatigue). Il se produira un ralentissement des fonctions vitales et du fonctionnement des glandes à sécrétion interne dont certaines pourront cesser de fonctionner. Mais on sait que tout phénomène d’adaptation a ses limites. Un tiers des protéines de notre corps est constitué de collagène et la qualité de ce collagène dépend de l’apport en vitamine C. L’hypo-ascorbémie a pour effet de faire d’effondrer le système immunitaire ce qui est la porte ouverte vers les affections opportunistes, souvent mortelles, comme la septicémie.

 

On sait aussi que l’alimentation médiocre de notre mode de vie est incapable de subvenir aux besoins de notre corps, particulièrement en période de crise de santé (hospitalière).

 

Le scorbut est un état terminal précédé d’un état d’hypo-ascorbémie (préscorbutique).

 

L’effet de la chirurgie sur le taux d’acide ascorbique plasmatique des échantillons de sang prélevés juste avant l’acte chirurgical et juste après, correspond à une réduction de 17% du taux d’acide ascorbique plasmatique. D’après Crandon, J.-H. Landau, B. Mikal.

 

Personne n’a mieux décrit l’aspect protecteur de la vitamine C contre les infections qu’Albert Szent-Györgyi, MD, PhD, Prix Nobel de médecine 1937 :

 

« Si vous manquez de vitamines, vous attrapez un rhume, qui se poursuit par une pneumonie. Votre diagnostic ne sera pas ‘manque de vitamine C, mais ‘pneumonie’ ». Alors, vous faites immédiatement fausse route. »

 

Les principaux agresseurs de notre système immunitaire sont le stress, le tabac ou l’alcool en consommation excessive, la pollution par les métaux lourds, les traitements par chimiothérapie, radiothérapie, les anti-inflammatoires, antalgiques, antibiotiques, l’anesthésie, la chirurgie, les vaccinations, les tranquillisants, neuroleptiques, pilule contraceptive etc.

 

Les substances chimiques utilisées à notre insu pour conserver et stocker les denrées alimentaires que nous consommons se trouvent également présentes dans l’eau que nous buvons et dans l’air que nous respirons, suite aux épandages et aux pulvérisations effectuées par les agriculteurs sur leurs récoltes que nous consommons également.

 

La carence en vitamine C s’installe en silence, insidieusement en chacun d’entre nous. Elle a pour conséquences l’apparition de rhume, de grippe, de fatigue chronique qui s’installe  progressivement, de saignement de gencives intempestif lors du brossage dentaire, de bleus sur la peau au moindre choc, des varices, des hernies, d’un stress métabolique responsable d’intolérances, d’allergies et de la dégradation progressive de toutes nos fonctions pouvant aboutir à la mort.

 

Mais, dans certains cas, l’anascorbémie peut être instantanée à la suite d’un piqûre d’insecte, tique, moustique (Chicungunya), araignée ou d’une vaccination.

 

A ce propos, on a pu observer chez une patiente victime du Chicungunya, la disparition des tous les symptômes d’un bras qui perduraient depuis un mois, un quart d’heure après le début d’une perfusion de vitamine C suivie d’une spectaculaire amélioration générale.

 

Les descriptions des symptômes de la grippe de 1918 font penser à un scorbut d’origine toxique (Viral).

 

« Les gens pouvaient constater le contraste existant entre le discours officiel ‘grippe ordinaire’ et la réalité. Ils voyaient leur conjoint mourir en 24 heures, saignant des yeux, des oreilles, du nez, de la bouche, la couleur de son corps devenant si noire qu’on aurait pu penser à la mort noire (peste). »

 

La carence en vitamine C entraîne une fragilité des capillaires sanguins ayant pour conséquence des saignements de nez par rupture des parois des petits vaisseaux, des hémorragies rétiniennes chez les diabétiques, des dégénérescences tissulaires plus importantes chez les personnes âgées : arthrose, ostéoporose, déchaussement des dents, lésions oculaires (de macula ou cataracte)…

 

« La vitamine C est beaucoup plus qu’une vitamine, elle est un véritable aliment essentiel, dont le besoin dans les populations du monde industrialisé se situerait entre 1 et 3 g par jour.»  – Dr. S. HICKEY

 

Les apports quotidiens de vitamine C doivent être permanents pour prévenir l’installation de cette carence. En effet, la vitamine C ne se stocke pas dans notre organisme, l’acide ascorbique (vitamine C) devient de l’acide déhydroascorbique (forme oxydée de la vitamine C) lorsque la vitamine C est utilisée dans les échanges cellulaires et cet acide déhydroascorbique est ensuite rejeté dans les urines tandis qu’une partie de la vitamine C urinaire est réabsorbée par les reins après avoir contribué à l’assainissement des voies urinaires. (Oscar Falconi).

 

L’absence de vitamine C dans les urines doit être considérée comme très préoccupante chez le nourrisson. Dettman et Kalokerinos considèrent que l’enfant est alors en danger de mort.

 

SUR LA RAPIDITE DE DISPARITION DE LA VITAMINE C DANS LE SANG.

 

Le Dr. Hugh Riordan, Directeur du « Center for the Improvement of Human Functioning International » célèbre pour ses découvertes sur l’utilisation de la vitamine C contre le cancer, se faisait quotidiennement dans le cadre de ses recherches, un taux de vitamine C dans le sang. Un jour, il est piqué par une araignée venimeuse, son taux de vitamine C sanguine tombe à zéro.

 

Il reçoit alors, quatre jours de suite, quatre perfusions de 15 g de vitamine C, pour un total de 60 g sans que la vitamine C ne réapparaisse dans son sang. Il fallut attendre le cinquième jour, pour que son taux recommence à monter.

 

On comprend alors, à quel point les thérapeutiques puissantes vont facilement et instantanément effondrer le taux de vitamine C. Les conséquences iatrogènes sont incommensurables.

 

Si l’on pose une perfusion de vitamine C sur le bras droit d’un cancéreux, et que quelque dix minutes après, en pleine perfusion, on fait une prise de sang sur le bras gauche, dans la majorité des cas, la vitamine C sera totalement absente, elle a été utilisée durant le trajet…

 

IMPORTANCE DE L’INDEX VITAL.

 

Le rapport acide ascorbique sur acide déhydro-ascorbique dans le sang, appelé index vital, est de 14 chez les personnes en bonne santé (C’est-à-dire qu’il y a 14 fois plus de vitamine C utilisable dans leur sang que de vitamine C oxydée). Ce rapport est inversé lorsque les personnes sont gravement malades pour atteindre le chiffre fatidique de 0,3 lorsque les personnes sont à l’article de la mort (méningite).

 

On comprend aisément qu’il est plus facile et rapide d’agir sur la quantité de vitamine C disponible que sur les agresseurs du système immunitaire souvent responsables de l’installation de cette situation critique. Le besoin en vitamine C peut alors devenir très élevé, soit des maxi-doses en IV pour des adultes allant de 0,2 à 2 g/kg-j pendant quelques jours. Dans ces cas-là, cette vitamine C est entièrement et instantanément utilisée par l’organisme.

 

ANTISEPTIQUES, UTILES, NUISIBLES, MORTELS ?

 

Si la propreté des locaux est importante, si des antiseptiques peuvent être utilisés pour y contribuer, nous pensons que leur utilisation sur les tissus vivants est un leurre et une grave erreur. C’est ainsi que 40 nouveau-nés atteints d’omphalocèle (= absence de fermeture de la paroi abdominale antérieure du fœtus)  ont été empoisonnés par du Mercurochrome.

 

« Iatrogenic neonatal mercury poisoning from Mercurochrome treatment of a large omphalocele. » Mullins, ME, Horowitz, BZ.

 

L’onguent gris aujourd’hui interdit, était préparé à partir de mercure métallique appliqué au patient jusqu’à déterminer chez lui une intense salivation.

 

« Le mercure est souverain pour faire disparaître la vérole : lorsqu’il ne supprime pas la maladie, il supprime le malade. » (Un chroniqueur d’antan)

 

Or, il est toujours utilisé dans de nombreux vaccins.

 

L’alcool ne présente aucune qualité antiseptique et va brûler les plaies. L’utilisation, comme le font certains chirurgiens, de « Betadine » diluée sur des plaies ouvertes ou même versée avec abondance dans les cavités abdominales comme me confirmait un grand chirurgien, est une hérésie, en outre, le Vidal ne fait mention que d’une utilisation externe.

 

Il y a des décennies que nous avons cessé d’utiliser des antiseptiques et les antibiotiques principalement à cause de leur très importante toxicité pour les remplacer par la vitamine C suivant un protocole de nutrition cellulaire localisée. Le nettoyage des plaies avec une solution de « C-salts », le poudrage des plaies avec la poudre de « C-salts » micronisée donne des résultats exceptionnels, y compris sur les brûlures (Dr. Corson, Dr. Crussol).

 

« Parmi les avantages, on peut noter : absence d’apparition de douleur post-opératoire, cicatrisation accélérée, absence de suites opératoires et d’infection. » (Crussol)

 

LA SYNERGIE ANTIBIOTIQUES / VITAMINE C.       

 

Un rapport de l’OMS publié cette année 2005 déclare :

 

« Nous assistons à une érosion des progrès accomplis au cours des dernières décennies. Les germes de la quasi-totalité des grandes maladies infectieuses commencent à résister aux médicaments disponibles. »

 

L’efficacité des antibiotiques dépend évidemment de la qualité du système immunitaire, donc de la qualité du milieu intérieur du patient dont le facteur essentiel est le taux de vitamine C (acide ascorbique) dans le corps. Certains antibiotiques ne sont efficaces qu’en présence d’une ascorbémie  correcte. Si elle est faible, ces antibiotiques aggravent la carence.

 

Wlodkowski fit une communication où il montra la potentialisation de plusieurs antibiotiques par la vitamine C entre 50 et 75%.

 

Wlodkowski, A., « Abstracts of the Annual Meeting of the American Society of Microbiology.” AAM ASM A41; 1977.

 

RESISTANCE, ALLERGIE / ANTIBIOTIQUES?

 

Il est très probable que l’allergie aux antibiotiques et la prétendue résistance aux antibiotiques soient associées à une carence (Hypo-ascorbémie iatrogène). Crussol, Conférence 1990.

 

En neuf ans, le Dr. Cathcart n’a jamais rencontré d’allergie à la pénicilline qu’il ne prescrit jamais sans avoir donné préalablement de la vitamine C. Ce qui sous-entend qu’en réalité, ces allergies aux antibiotiques qui, on le sait, peuvent être mortelles, ne sont rien d’autre qu’un scorbut iatrogène, c’est-à-dire provoqué par les traitements. Cela semble signifier également que dans certaines circonstances, l’abus d’antibiotiques et, en particulier les plus toxiques, peut provoquer la mort.

 

LA VITAMINE C, UN ANTI-POISON MAJEUR

 

Ignoré des centres anti-poisons, à l’exception d’un seul (grâce au Dr. Bastien, Remiremont), la puissance de la vitamine C est utilisée par le corps contre : métaux lourds, polluants, poisons, piqûres d’insecte, de serpent, infections, virus, barbituriques, stress, benzène, drogues, cyanure, mercure, plomb, arsenic, chrome, toxine tétanique etc. à condition bien sûr, qu’elle soit disponible, immédiatement ou le plus tôt possible en quantité suffisante. Toutes les preuves scientifiques et cliniques existent et le prouvent.

 

LA VITAMINE C ET L’OXYGENE.

 

En 1938, on savait déjà que l’utilisation de la vitamine C rétablissait la tolérance aux hautes altitudes pour les troupes à ski. […]

 

Krasno & coworkers ont montré en 1950 dans une expérimentation humaine durant laquelle des sujets étaient soumis d’une manière répétitive à une altitude des 18.000 pieds une utilisation massive de leur vitamine C suivie d’une carence grave.

 

Chez le rat, qui synthétise, à la demande, de la vitamine C dans son foie, un manque d’oxygène chronique aboutit à une élévation importante de la concentration de vitamine C dans la presque totalité des organes. Schreiber M, Novy P, Trojan S.

 

On comprend mieux alors que les conséquences des anesthésies générales chez l’homme qui dépend de la nourriture hospitalière.

 

CES PLAIES QUI NE GUERISSENT PAS

 

James Lind en 1753 décrivit dans son « Treatise of Scurvy » les difficultés des blessures à guérir chez le marin scorbutique.

 

Sokolow en 1932, Colp en 1934, Fallis en 1937 ( ?), Ingalls & Warren en 1937 au Peter Bent Brigham Hospital à Boston conclurent que l’hypo-ascorbémie ou le scorbut asymptomatique étaient très probablement responsables des déhiscences cicatricielles.

 

La vitamine C est indispensable à la synthèse de tous nos collagènes, protéines assurant le maintien de nos organes. La carence en vitamine C aboutit à une résistance tissulaire et osseuse (« os de verre ») diminuée.

 

Le professeur Clemetson, dans son livre « Vitamin C », chapitre 1, Tome II, décrit la fragilité tissulaire due à la carence de vitamine C et l’on comprend alors mieux ce qui peut se passer après la pose d’une sonde urinaire ou oesophagienne, d’une intubation : les tissus vont être gravement sollicités, blessés.

 

Les escarres disparaissent avec une supplémentation orale d’au moins 1 g de vitamine C ou avec seulement 300 mg de vitamine C ajoutés à la perfusion journalière, selon l’expérience récente de quelques médecins hospitaliers.

 

Effets comparés (double-aveugle) de bioflavonoides de citron, vitamine C2 (900 mg par jour), sur les blessures par contact chez les joueurs de l’équipe de Football de l’université de Louisiane, USA, durant la saison 1962. On observa une diminution de 50% du nombre des entorses par rapport aux équipes recevant un placebo et, lorsqu’ils sont blessés, font un séjour à l’hôpital, quatre fois plus court.

 

HEPATITE B POST-TRANSFUSION.

 

Depuis que la vitamine C est utilisée avant toute transfusion sanguine, l’incidence d’hépatite B au Japon est passée de 7 à 0%.

 

« Vitamin C for Prophylaxis of Viral Hepatitis B in Transfused Patients », Journal of the International Academy of Preventive Medicine », #5, 1978, pp 54-58; Morishige F., Murata, A.

 

LES CHOCS OPERATOIRES

 

Un grand nombre d’articles a été publié autour des années autour des années 1940 à 1960 sur l’utilisation pré- et post-opératoire de la vitamine C. Nous en citerons trois ici, ainsi qu’un cas clinique :

 

C.P. Stewart et al. “Intraveinous Ascorbic Acid in Experimental Acute Haemorrhage.” Lancet, vol 1; pp 208-211;1944

G. Ungar “Experimental Traumatic ‘Shock’.” Lancet, vol 1; pp 421-424; 1942

Z. Pataki et al. “Vitamin C in the Control and Prevention of Surgical Shock.”

Zentralblatt für Chirurgie, vol 82; pp 883-887; 1957.

 

Un homme de 65 ans se prépare à l’ablation d’une prostate tumorale en recevant deux perfusions de vitamine C de 30 g deux fois par semaine. L’opération par laparotomie dure huit heures au lieu des deux heures prévues. Il perd environ 4 l de sang qui lui sont remplacés par transfusion. Le chirurgien décide, sans en exprimer la raison, de recommencer à opérer le lendemain et l’opération de nouveau sous anesthésie générale dure deux nouvelles heures. Le patient qui a reçu de nouvelles perfusions de vitamine C se porte très bien.

 

QUELQUES CAS CLINIQUES REMARQUABLES.

 

Une femme à qui un chirurgien esthétique a posé deux implants en silicone au niveau des pommettes, présente depuis six mois un abcès énorme rebelle à tout traitement et qui doit être ponctionné chaque jour. Depuis six mois la patiente est porteuse, sur le visage, d’une compresse et d’un sparadrap. La situation rentre dans l’ordre après quelques jours d’une dizaine de grammes de vitamine C par voie buccale et l’implant en silicone peut être conservé.

 

Une femme de 84 ans, opérée d’un cancer intestinal, développe sur le dos une escarre de 30 cm de diamètre qui l’empêche de s’allonger sur le dos et dont les soins quotidiens la font affreusement souffrir. Sa nièce lui fait boire une dizaine de grammes de vitamine C pendant quelques jours. Trois jours plus tard, elle cesse de souffrir et 12 jours plus tard, la plaie est pratiquement cicatrisée…

 

Une femme dans sa trentaine est hospitalisée, atteinte d’une septicémie tellement rebelle que les médecins avouent leur impuissance en admettant qu’elle va mourir dans les deux jours. Persuadée de vivre ses derniers instants, cette mère de cinq enfants distribue ses enfants à ses amis les plus proches. Puis, avec 25 g de vitamine C dans une perfusion, chaque jour pendant deux jours, elle rentre chez elle par ses propres moyens.

 

Jeune fille de 18 ans atteinte de la « maladie du Légionnaire » et dont on a prédit la mort prochaine à ses parents. Elle respire à peine, double pneumonie. 60 g de vitamine C par jour en perfusion ; le 4e jour elle veut aller danser… Fin du drame !

 

Femme de 35 ans, mère d’une fillette, atrocement brûlée dans un accident de voiture. Greffée du visage et des mains par 40 opérations sur quatre ans. Elle est dépressive, son visage est figé et impressionnant, son ouverture de bouche est d’un cm, agoraphobe, son foie est en capilotade. Elle ne peut plus écrire. Grâce à 10 g de vitamine C par jour par voie buccale, l’agoraphobie et la dépression disparaissent en un mois, l’ouverture de bouche double, le visage retrouve peu à peu de la mobilité. Son foie récupéré n’a plus d’exigence. Dans les deux ou trois mois, après quatre ans d’incapacité, elle retrouve un usage complet de ses mains, elle peut écrire et dessiner à 100%. Une 41e opération est effectuée sur son nez, elle prend toujours ses 10 g de vitamine C par jour. Pour la première fois depuis les 40 opérations, la greffe prend si bien et si vite qu’aucun antibiotique n’a le temps d’être prescrit, le service est en émoi, la surprise règne, les médecins défilent pour voir le miracle. Tout cela pour seulement quelques dizaines de grammes journaliers d’un nutriment essentiel à la vie !

 

SUR LA MORT SUBITE DU NOURRISSON.

 

Elle est, dans la majorité des cas, manifestement d’origine nosocomiale et iatrogène, comme le démontre l’aventure d’un médecin australien. Dans son livre « Every Second Child », en 1981, le Dr. Archie Kalokerinos, médecin australien formé à Londres, explique comment il est passé dans son petit hôpital de la plus forte mortalité infantile au monde, un enfant sur deux, à la mortalité zéro, lorsqu’il comprit le rôle néfaste des vaccinations sur le taux de vitamine C. Après avoir, pendant neuf ans, cherché explications et solutions, il demanda l’aide d’un spécialiste de Sydney et vit, sous ses yeux, après un diagnostic instantané de scorbut infantile, un enfant dans le coma, en sortir dans la demi-heure avec une seule injection intramusculaire de vitamine C.

 

Enfin, où est donc ce fameux « principe de précaution » dont la France se vante alors que le risque de la présence de sels de mercure et d’aluminium dans de nombreux vaccins n’est pas pris en compte, spécialement lorsque ces vaccins sont administrés aux nouveau-nés, en une seule fois, à des « doses équivalant à 30 vaccins administrés le même jour à un adulte de 70 kg. » ? (Pr. Boyd Haley)

 

Hélas, pour protéger les laboratoires, on parle de mort inexpliquée ou bien on essaye de faire condamner les parents pour mauvais traitement ou maltraitance.

 

Chez les nourrissons, on verra des hémorragies cérébrales (Syndrome de l’Enfant Secoué), des lésions observées dans la macula qui sont impossibles à reproduire par des chocs, qui entraîneront l’injuste condamnation des parents. En Angleterre, 250 jugements semblables ont été cassés.

 

Le syndrome des « Os de Verre », la maladie de Paget, présentent un facteur d’origine scorbutique et sont améliorés spectaculairement par la supplémentation de vitamine C.

 

CE QUI DOIT CHANGER.

 

Il est inacceptable qu’une radio panoramique numérique, lue et diagnostiquée par un praticien rompu (ils sont très rares) au dépistage des foyers buccaux, n’accompagne pas les patients dans les différents services. Il est inacceptable qu’un nettoyage buccal total ne soit pas fait dans les règles très contraignantes (comme le demandent trop gentiment les cardiologues et néphrologues).

 

LA COUVERTURE ASCORBIQUE.

 

Il est inacceptable que le patient ne reçoive pas des perfusions de vitamine C systématiquement avant et après toute intervention.

 

Il est inacceptable que la nourriture des hôpitaux soit dépourvue de vitamine C et que les patients ne soient pas complémentés et supplémentés au moins par voie buccale alors que la perte de vitamine C est considérable dans ces conditions. C’est la « couverture ascorbique » (Crussol) qui doit intervenir avant tout traitement antibiotique ou « couverture antibiotique ». Ainsi disparaîtront : la résistance aux antibiotiques, les maladies nosocomiales et les hospitalisations prolongées. Il est inacceptable que l’optimisation de la nourriture ne fasse pas partie du traitement.

 

INCREDULITE, EGO, INTEGRISME, SOUMISSION.

 

Lorsqu’en 1999, j‘ai eu l’honneur de faire, devant une assemblée de médecins et d’infirmières, une conférence sur la maladie nosocomiale, l’accueil a été mitigé. Les infirmières étaient ravies, les médecins étaient, dans l’ensemble, furieux !

 

Lorsque le Dr. Kalokerinos s’est rendu à Naples, accompagné d’une équipe de télévision australienne, afin d’expliquer avec beaucoup de tact qu’il connaissait les causes et la solution pour empêcher les enfants de mourir de ce que les médecins napolitains appelaient la « Maladie Noire ». Il fut reçu et écouté très poliment tandis que sous ses yeux et ceux d‘une mère décomposée, un enfant mourut.

 

Lorsqu’un an après, il revint, il n’a pu que constater que, pas une seule fois, l’injection salvatrice de vitamine C n’avait été tentée. Quelle honte : cela marche à 100% ! (Bande-vidéo TV australienne). Tout cela pour protéger son territoire, son ego, son industrie.

 

LES MEDECINS PARALYSES.

 

Est-ce la peur des responsabilités, la soumission à l’autorité, le phénomène de validation subjective, la peur d’être rayé de l’Ordre des Médecins pour utilisation de « technique non éprouvée », le respect aveugle de la doctrine orthodoxe ?

 

Des médecins et des traitements médicaux de consensus sont omniprésents dans la plupart des décès. Il serait juste que la justice pose enfin la question de savoir si une grossière erreur de concept (pasteurisme), une grave omission (vitamine C), une lenteur de réaction, n’est pas le facteur principal ou associé.

 

On doit rappeler que les experts sont frileux et sous influence du juge, du tribunal, de l’ordre, des confrères, des institutions et des laboratoires (Cours de Criminalistique de la Faculté de Médecine de Paris). Un de mes amis policiers me confiait l’impossibilité de conduire une enquête en milieu hospitalier. […]

 

 « Le malade n’a d’autre choix que d’être patient, le médecin hospitalier d’être obéissant et l’hôpital de suivre aveuglément la « Doctrine Orthodoxe ». Crussol

 

La médecine n’est pas une science, elle est devenue une industrie. Cependant, le contrôle de l’exercice des médecins hospitaliers est un rêve pour la CNAM, ce qui explique sans aucun doute l’offensive contre ceux qui se croient encore un peu « libéraux »[…]

 

EN CONCLUSION

 

La Médecine et les Patients sont victimes d’un état de malnutrition primaire amplifié par une alimentation déficiente et des soins hospitaliers iatrogènes.

 

« Par ses carences, ses excès, son inadaptation à l’état de maladie ou de santé, cette combinaison est à l’origine de la dépression du système immunitaire et participe à la majorité des maladies nosocomiales. Le malade est dans une situation où, chaque jour, il brûle des quantités de vitamine C alors que son apport est quasiment nul. Un état pré-scorbutique accompagné de troubles graves de la glycémie s’installe et s’aggrave de jour en jour. Après un mois le scorbut est flagrant, mais jamais reconnu. » G.H. Crussol

 

Confronté à des ecchymoses, des hématomes, des pétéchies, des hémorragies, des plaies qui ne cicatrisent pas, le médecin hospitalier se doit de penser au scorbut hospitalier et d’en assurer la correction. Il n’est point besoin de se lancer dans des tests de taux sanguin de vitamine C, car ils présentent deux dangers majeurs :

 

a) perte de temps qui pourra être fatal au malade (Glen Dettman, Archie Kalokerinos)

 

b) un taux « normal » pourra inciter les praticiens à ne pas supplémenter, ce qui pourra être fatal au patient. En outre, le taux sanguin n’est nullement représentatif des besoins immédiats. Seul l’index vital sanguin est représentatif de l’état du patient, mais il est long à déterminer.  Or un excès de vitamine C est toujours sans danger. 

 

Les patients doivent enfin réaliser qu’un mode de vie inadéquat se paye le prix fort, soit par une espérance de vie raccourcie, soit par les maladies nosocomiales. Celui qui s’auto-contrôle en permanence, se complémente chaque jour et se supplémente quand l’occasion  le nécessite (sports, stress, pollution, vaccins, maladie, hospitalisation, voyages lointains) sera récompensé par une diminution importante des risques.

 

Il est seulement essentiel de fournir au corps des quantités de vitamine C adaptées pour se défendre contre les virus, bactéries et agressions diverses. 

 

On comprendra que l’affolement et l’acharnement thérapeutique en l’absence de couverture ascorbique va contribuer à aggraver dangereusement l’hypo-ascorbémie.

 

« Ils ne mouraient pas tous, mais tous étaient frappés. » - Jean de la Fontaine

 

Il est tout aussi essentiel de supprimer dans les plus brefs délais toutes les sources buccales ou autres de radicaux libres, de toxiques et de toxines.

 

On devra se souvenir que l’origine des problèmes est souvent multifactorielle et donc mener toutes investigations et actions utiles.

 

On peut dire que l’absence de prise en compte du facteur ascorbique et l’emploi de produits inappropriés entraînent des morts innocentes.

 

Dans un silence et une discrétion exemplaires, Scorbut, Hypoascorbémie et Anascorbémie tuent chaque année plus d’humains que toutes les autres maladies réunies.

 

Trop d’acteurs de la maladie ont intérêt à le cacher et à maintenir les médecins dans l’ignorance totale de la physiologie et des possibilités de la vitamine C.

 

La désinformation, le contrôle des connaissances et des institutions étant aux mains de groupes de financiers puissants, notre seul espoir à court terme est que quelques médecins, odonto-stomatologistes et infirmières, puissent utiliser cette approche pour sauver beaucoup de vies, pour éviter beaucoup de douleur ; c’est si facile…

 

Dans ce texte, il ne nous a pas été possible de revoir et de détailler les différentes formes de vitamine C et leur utilisation, mais il est bon de faire remarquer que toutes les fabrications contenant du sucre, des colorants, des conservateurs sont à éviter car, si elles flattent la gourmandise, elles n’ont aucune effet positif sur la santé, bien au contraire.

 

Le coût de la maladie devenant une charge insupportable, il faut rêver à une prise de conscience collective des risques de la médecine allopathique et du besoin d’un enseignement individuel de base sur la santé.

 

Pour en savoir plus :

 

Alan B. Clemetson : Vitamin C. 3 volumes, 1989. Boca Raton, FL, CRC Press

 

Cheraskin E., Dunbar LB. and Flynn FH. : The Intradermal Ascorbic Acid Test. III. A Study of 42 Dental Students.” Journal of Dental Medicine 13: #3, 135-155, July 1958

 

Cheraskin E., Ringsdorf WM. Jr. et Medford FH:  „„Daily Vitamin Consumption and Fatigability. Journal of the American Geriatrics society 24: #3, 136-137, March 1976

 

Ascorbate – The Science of Vitamin C; Dr Steve Hickey & Dr Hilary Roberts, 2004; www.lulu.com , ISBN 1-4116-0724-4 

 

Vitamin C, Infectious Diseases and Toxins – Curing the Incurable. Thomas E. Levy, MD, JD, XLibris, 2002, ISBN 1-4010-6963-0

 

« Maltraitance et mort inexpliquée de l’enfant ». Mémoire de criminalistique du Dr. Gilbert H. Crussol

 

« Every Second Child », (Crib Death solved) Archie Kalokerinos, MD

 

“Miracle of Vitamin C”, Oscar Falconi

 

Gilbert H. CRUSSOL – crussol@mac.com

 

Avec tous mes remerciements à mon ami Gérard Forterre pour ses encouragements et son aide précieuse.

 

AVERTISSEMENT. Les conditions de santé spécifiques contre-indiquant la vitamine C tout court OU dans certains cas, uniquement la vitamine C à forte dose incluent :

 

- Hémochromatose (accumulation de fer dans l'organisme).

- Calculs rénaux (d'origine oxalique en particulier).

Déficit en glucose 6 phosphate déshydrogénase (maladie aussi appelée « favisme »)

- Insuffisance rénale.

 

Par sécurité, dans tous ces cas-là, parlez-en à votre professionnel de santé AVANT toute prise.

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26 septembre 2013 4 26 /09 /septembre /2013 23:00

COMMENT FONCTIONNE LA MEDECINE OFFICIELLE? QUELQUES ELEMENTS POUR COMPRENDRE.

 

Dr Jacques Lacaze

 

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1) La médecine officielle est complètement dépendante de l'industrie pharmaceutique, donc il faut se poser la question du fonctionnement de Big-pharma en premier.

 

2) Le seul but de Big-pharma est de gagner de l'argent, beaucoup d'argent rapidement et à moindre frais. Il en découle plusieurs conséquences. En voici quelques unes :

 

 - Chercher les créneaux rentables. Et là, c’est tout simple : viser les maladies chroniques, mais aussi les situations de la vie comme la ménopause où on propose une « solution » sous forme d’hormones. On connaît les résultats des milliers de cancers du sein chez les femmes à qui ont a mensongèrement proposé ces produits. On a créé de toutes pièces une maladie imaginaire « le cholestérol ». D’ou un créneau très, très juteux pour l’industrie. Les anti-cholestérols sont sans doute intéressants pour des excès de cholestérol d’origine familiale qui sont très peu fréquents, mais donner ces médicaments qui ne sont pas sans risque avec des études truquées, c’est inadmissible. Pour les maladies dites orphelines (rares) pas de recherche pas de médicaments

 

 - Big-pharma n’a donc strictement aucun intérêt à guérir les maladies : il en vit comme toute une partie du corps médical et des activités connexes. L’exemple du cancer est significatif. Des campagnes médiatiques nous annoncent depuis des décennies la victoire est proche, encore un effort pour la recherche. Et en réalité, cette fameuse science progresse par sauts de puce. Grande nouvelle : la survie sous tel traitement a permis de progresser d’un mois, parfois plus, pour des prix astronomiques - qui tombent souvent sur la patient et la famille -. C'est naturel et normal, chacun de nous est prêt à tout pour garder un être cher. A coté de cette pratique franchement odieuse, des moyens thérapeutiques qui ont fait leur preuve, CE QUI SERAIT TRES FACILE DE VERIFIER, sont criminalisés, pourchassés. Une véritable  guerre contre ces chercheurs et ces praticiens  est organisée. Comme le remarque la philosophe Isabelle Stengers: le charlatan (pour la médecine officielle) est celui qui guérit et qui veut le prouver (en s’opposant bien sûr au circuit officiel de l’Evidence Based Medecine (voir plus loin).

 

 - développer des médicaments très dangereux comme le Médiator en France et le Vioxx aux USA : 30 000 décès au minimum (je dis bien trente milles).

 

 - la nécessité de réduire au maximum le prix de production des médicaments. La solution la plus simple est de faire produire dans les pays Inde, Chine en particulier) où la "main d'œuvre" est très bon marchée, ce qui veut dire que les travailleurs sont très mal payés. D’où l’invention des médicaments  génériques. Ce sont des médicaments qui ont la même formule chimique que le médicament de référence qui n’est plus protégé par un brevet, mais pas le même mode de fabrication (qui reste protégé). Il en résulte des différences très importantes. Autre conséquence, la sécu oblige, d’utiliser ce type de médicaments.

 

 - comme toutes les industries, Big-pharma est maintenant sur le marché mondial. Il en résulte qu’il y a concurrence au détriment de la qualité et surtout spéculation, comme sur les matières premières alimentaires. D’où des ruptures de stock de certains médicaments qui vont désormais devenir fréquentes. Bref, la mondialisation s’attaque aux pauvres  en provoquant des famines et aux malades et les privant de certains médicaments.

 

3) Les profits de Big-pharma permettent d’offrir des avantages  aux médecins, spécialement aux leaders qui par leur notoriété influencent l’ensemble du corps médical. En général, ces Professeurs, dirigent un secteur de recherche, appartiennent à une institution qui conseille le pouvoir politique (comme l’Académie de Médecine, ou les société savantes de tel ou tel domaine) et enfin sont conseillés de l’industrie pharmaceutique et grassement rémunérés. C’est ce qu’on appelle les 3 casquettes. J’imagine qu'aucun d’entre nous n’a entendu un épicier dire qu’il vend des produits avariés. Et bien ces Professeurs, qui dans leur secteur ont mis un produit au point, l’on fait commercialiser par Big-pharma et vont ensuite conseiller aux institutions ad hoc de le faire admettre, ne savent que faire des louanges pour leurs produits qui bien sûr n'ont aucun défaut.

 

4) Durant la dernière guerre et sous l’impulsion de l’occupant, a été créé l’Ordre des Médecins qui, quoi qu’on en dise, a été purement et simplement prorogé à la Libération. Sa fonction, s’assurer que les médecins restent dans les clous et qu’il ne leur vient pas l’idée d’aller voir ailleurs au détriment du business de big-pharma. Bref une police des médecins. Pour en savoir plus regarder sur ce site la page : MON MEMOIRE PRESENTE DEVANT L'ORDRE REGIONAL DES MEDECINS

 

5) Dernière pièce importante de ce dispositif : la médecine fondée sur les preuves : l’Evidence Based Medecine (EBM pour les initiés). Elle nous vient tout droit des USA et a été popularisée par la fondation Rockfeller. Elle se fonde tout simplement sur ce qu’on appelle le double aveugle. Je ne rentre pas dans les détails, que je reprendrai un jour, mais c’est une escroquerie scientifique. Elle consiste à comparer l’effet d’un médicament à celui d’un placébo (un faux médicament sans action en principe) ou d’un autre médicament. Ceci avec une méthodologie draconienne : ni le malade, ni l’expérimentateur ne savent ce que les personnes incluses dans l'essai utilisent. Ceci, à partir de la sélection de cobayes ayant la même maladie et des caractéristiques biologiques proches. En général, le résultat (quand c'est positif) est 80% d’effets positifs et 20% d’effets négatifs (aggravation …) et nuls. Je ne rentre pas dans le détail, sauf pour dire que quand un médicament a fait ses preuves il devient Le Médicament de telle maladie et a force de loi. Le médecin est obligé de le donner et est en faute s’il ne le donne pas. Si vous êtes dans les 20%, c’est comme au loto : vous avez perdu. La sanction peut être parfois très lourde: décès, infirmités etc. Mais vous n’avez rien à dire, le médicament est « scientifiquement prouvé".

 

Je passe pour le moment sur les aspects stupides du procédé pour indiquer deux choses : d’autres méthodes scientifiques sont possibles, mais rejetées. Et la 2éme chose, c’est que ce procédé du double aveugle a l’énorme avantage de disqualifier systématiquement les médicaments et médecines venues d’ailleurs ou partant d’autres expériences et conceptions. Le ridicule ne tuant pas, des pratiques plus que millénaires comme l’acuponcture sont ainsi disqualifiées mais aussi la médecine indienne et bien d’autres médecines, l’homéopathie et la médecine des plantes en premier. Je rappelle que le diplôme d’herboriste a été supprimé par un décret du gouvernement collaborationniste de Vichy et n’a jamais été rétabli depuis.

 

6) Dernier point important : la médecine officielle, Big-pharma en tête n’a que faire de la prévention. La prévention est pour eux l'horreur. Ils assimilent hypocritement la prévention à la prise de médicaments comme les anticholetérols, les hormones,  ou l'administration de vaccins aux conséquences souvent désastreuses. La vraie prévention est ailleurs. Elle est fondée certes sur l'élimination des causes des maladies  (pollutions de toutes sortes, malbouffe, stress, conditions de travail dans l'industrie en particulier  etc.) et sur la connaissance des mécanismes pour pouvoir intervenir avec précision. C'est le cas de la prévention active des cancers proposée par le Docteur Gernez.

 

Source: site du Dr Jacques Lacaze

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24 septembre 2013 2 24 /09 /septembre /2013 20:54

Chers amis,

 

Trop c'est trop ! Quels que soient nos efforts de pédagogie, quoi que nous fassions, le Ministère de la Santé semble parfaitement sourd et aveugle lorsque nous clamons sans relâche que détruire la médecine libérale est une folie. Mais il faut sans doute augmenter d'un cran encore la pression pour contraindre ceux qui nous verraient bien disparaître à reculer. Pour cela, nous avons un outil excessivement puissant : nos cabinets de consultation et notre million de consultants quotidien.

 

Ma Liberté de Santé est une page Facebook destinée à envoyer des messages à destination des citoyens. Cette page est là pour leur faire comprendre aux Français qu'ils doivent faire pression sur les politiques pour arrêter le délire actuel. En quelques mois, cette page compte déjà 3000 fans et permet de faire comprendre aux Français la gravité de la situation.

 

Elle relaye également les messages de tous ceux qui partagent notre constat : il n'est pas possible de continuer avec le système actuel sans le modifier profondément. Les approches des différents contributeurs sont bien entendu variées mais le constat commun est indiscutablement le même.

 

Alors mettez le feu dans vos cabinets : apposez l'affiche jointe et distribuez un tract à chaque patient. En quelques semaines, ce seront des dizaines de milliers de Français qui seront sur la page et les politiques ne pourront plus l'ignorer.

 

L'équipe de Ma Liberté de Santé.

 

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31 août 2013 6 31 /08 /août /2013 13:55

29 août 2013

 

La Médecine Traditionnelle Chinoise (MTC) s'est avérée efficace dans le traitement des patients du SRAS, de la grippe aviaire et d'autres maladies infectieuses apparues en Chine ces dix dernières années.

...

 

D'après les statistiques, les malades atteints du virus H7N9 soignés avec une combinaison de méthodes chinoises et occidentales présentent un taux de mortalité de 9,1%, contre 30% dans le cas d'une utilisation unique de la médecine occidentale.

 

La MTC peut en outre contribuer à réduire la durée d'une maladie et à améliorer la capacité des malades à endurer la douleur. Le faible coût de la MTC permet aussi de réduire les frais auxquels sont confrontés les malades, a ajouté M. Chen.

 

Cependant, les avantages de la MTC n'ont pas été pleinement mis en valeur dans le traitement des maladies infectieuses, en raison d'une faible promotion auprès du public et d'un manque de réglementation dans le système juridique, a-t-il indiqué.

 

Des technologies de MTC seront également développées pour contrôler les infections, notamment à l'hépatite et au VIH/sida.

 

Source : French.News.Cn

 

Mais à part ça, les officiels viendront nous ressortir dans l’urgence leur traditionnel couplet sur le fait qu’ils ne peuvent appliquer et recommander que « ce qui a été scientifiquement prouvé » !! Comme on le voit ici en Occident, ce qui est labélisé comme « scientifiquement prouvé » est uniquement ce qui arrange l’industrie pharmaceutique dominante et considérée comme « partenaire naturel » par nos bonnes autorités officielles !!

 

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