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8 novembre 2014 6 08 /11 /novembre /2014 12:52

L'Avenir.net, 7 novembre 2014

 

pauvre enfant vaccinéLe tribunal correctionnel de Dinant l’a confirmé: vacciner son bambin contre la polio, c’est bien obligatoire. Sous peine d’amende.

 

Une amende de 300 euros, plus 150 euros au Fonds des victimes et les frais de justice. Voilà ce qu’il en coûte, à cette dame qui avait refusé de vacciner sa fille contre la polio.


Le tribunal correctionnel de Dinant a suivi le ministère public: l’arrêté royal de 1966 reste bien d’application, au nom de la préservation de la santé publique. Et la législation de 2002, relative aux droits des patients, n’est pas enfreinte, puisque le droit à l’information a bien été respecté.


Me Vanlangendonck, pour la Défense, s’était déplacé pour écouter le prononcé de ce jugement tant attendu. La décision dinantaise, d’après lui, ne répond pas à ses conclusions. «Rien que cela, déjà, c’est un motif d’appel…»


L’avocat avait défendu une série d’arguments qui méritaient débat en effet.


1. La loi de 2002 sur le droit des patients évoque certes la nécessité d’informer ceux-ci avant de prodiguer un acte médical, mais elle donne le droit, aussi, au patient, de refuser un acte médical. Ce dernier aspect n’est pas abordé dans le jugement, bien qu’il ait été évoqué largement par l’avocat durant l’audience.


2. Une loi prévaut sur un arrêté royal. Donc, celle relative aux droits du patient peut primer sur l’arrêté royal de 1966 qui impose la vaccination, d’après la défense.


3. Une jurisprudence de 2011 à Tournai donnait raison à un patient dans le même cas. On y évoquait cette primauté de la loi, ainsi que des travaux parlementaires réclamant l’avis de l’Europe sur le sujet. La juge Deprey, elle, invoque une jurisprudence en Cassation, en 2013, pour asseoir sa décision.


4. Me Vanlangendonck avait suggéré au tribunal de poser trois questions préjudicielles. Le tribunal n’y donne pas droit. La défense voulait savoir, à Strasbourg, si la vaccination obligatoire était compatible avec le libre consentement du patient (loi de 2002). En Cassation, si l’arrêté royal de 66 peut encore être appliqué vu la loi de 2002. À Luxembourg, si le Traité de Lisbonne n’est pas ici enfreint, puisque de nombreux autres citoyens européens ne sont pas soumis à cette obligation alors que tous les Européens doivent être égaux.


Insistant sur le fait qu’il n’est pas contre cette vaccination mais pour le libre arbitre des parents, l’avocat devait consulter sa cliente pour envisager un recours en appel. In fine, celle-ci ne devra pas faire vacciner sa fille, aujourd’hui âgée de 4 ans, puisque ce vaccin doit être donné avant les 36 mois d’un enfant. L’amende, par contre…


Source : L’Avenir.net

 

Etrange comme en matière économique, les officiels sont toujours si prompts à ramper devant tous les pires diktats financiers européens (au détriment de la population d'ailleurs) et là, ils craignent même le fait de poser des questions au niveau européen??… Ce seul contraste devrait suffire à faire comprendre à Mr et Mme tout le monde le caractère tabou des vaccins et l’anomalie totale à ce qu’on soit sommés de recevoir des produits dont même les pontes de l’OMS et des firmes pharmas ne savent en réalité RIEN de RIEN des effets possibles

 

 

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10 octobre 2014 5 10 /10 /octobre /2014 19:05

Faut-il contraindre à la vaccination?

 

10 octobre 2014, Patrick Lemaire, Vers l’Avenir

 

vaccin-enfant.jpg

Le débat revient devant le tribunal correctionnel de Dinant: une dame n’a pas vacciné son enfant contre la polio. Elle conteste l’obligation.

 

Le débat est extrêmement important, tant sur la question éthique que sur l’aspect juridique.

 

Une dame est poursuivie pour maltraitance vis-à-vis de son enfant, puisqu’elle ne l’a jamais fait vacciner contre la polio, malgré un arrêté royal contraignant tout parent belge à le faire, depuis 1966.

 

Mère indigne? Son avocat s’insurge. Et argumente, de plusieurs façons:

 

1. La contradiction des lois. Citant plusieurs textes légaux, Me Philippe Vanlangendonck démontre d’abord que le fait de vacciner un patient constitue bel et bien un acte médical. De là, il épluche la loi du 22 août 2002, sur le droit des patients. Non seulement on y dit qu’ils ont droit à l’information sur l’acte qui sera posé mais, en outre, ils doivent aussi donner leur consentement à ces actes médicaux. « Un consentement libre, préalable, et éclairé… Voilà qui est en opposition frontale avec l’obligation de 1966…» Sa cliente a dès lors respecté la loi de 2002, en se forgeant un avis sur les conséquences du vaccin.

 

2. La jurisprudence. Il évoque une jurisprudence à Tournai, où un prévenu fut acquitté, en raison de l’article 159 qui donne la primauté à une loi (ici, celle de 2002 offrant cette faculté de donner son consentement) par rapport à un arrêté royal (celui qui oblige un Belge à vacciner son enfant, depuis 1966). Des travaux parlementaires devaient en outre permettre d’éclaircir cette zone d’ombre: ils n’ont jamais été réalisés.

 

3. L’assistance à personne en danger. Il cite divers composés du vaccin contre la polio: « Du formaldéhyde, un conservateur réputé cancérigène, et du phénonxyéthanol, qui est un constituant de l’antigelAccepter ce vaccin, n’était-ce pas exposer ma cliente à des poursuites pour non-assistance à personne en danger ?», ose-t-il même, en glissant que les médecins ont le choix de ne pas poser un acte médical. « D’autant que la polio n’est pas incurable…»

 

4. La discrimination. Enfin, Me Vanlangendonck épingle une particularité: « Seules la France et la Belgique imposent ce vaccin. Les Pays-Bas, le Royaume-Uni, l’Allemagne ou le Luxembourg ne le font pas. Et nous sommes dans l’Espace Schengen et en Europe, où la libre circulation est un droit. Cela a-t-il encore un sens, dès lors? En 1966, quand le vaccin fut imposé, il n’y avait déjà pas d’épidémie. Mais notre pays et la France l’ont imposé. Étonnamment, nos deux pays sont les plus grands producteurs mondiaux de vaccins…»

 

Après ce long plaidoyer, à peine contrecarré par le substitut Herbay qui rappelle l’utilité du vaccin, en requérant juste que les deux législations, celle de 1966 et celle de 2002, coexistent et ne s’opposent pas, la cour annonce une décision pour le 6 novembre.

 

La défense l’invite à poser trois questions préjudicielles, à Strasbourg, en Cassation et à Luxembourg:

 

– La vaccination obligatoire est-elle compatible avec le libre consentement du patient et avec son intégrité ?

 

– La vaccination peut-elle encore être obligatoire malgré la loi de 2002 sur le consentement du patient ?

 

– Suivant le traité de Lisbonne, les citoyens européens sont égaux. N’y a-t-il pas discrimination sur le respect de l’intégrité physique en imposant un tel vaccin aux citoyens belges ?

 

Et de plaider l’acquittement de sa cliente, sur base de l’article 159. À titre subsidiaire, il espère une reconnaissance de l’absence d’intention délictueuse. «Nous ne sommes pas contre le vaccin. Nous voulons juste que les patients aient le choix d’en avoir usage ou non.»

 

Source : Vers l’Avenir

 

 

Refus de vacciner ses enfants: le Conseil Constitutionnel tranchera

 

Le Monde.fr. 09.10.2014 Mis à jour le 10.10.2014. Par François Béguin (Auxerre, envoyé spécial)  



 

 

« C'est une première étape ! » Samia et Marc Larère ne cachaient pas leur satisfaction, jeudi 9 octobre, après que la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) déposée par leur avocat eut été déclarée recevable par le tribunal correctionnel d'Auxerre (Yonne).

 

Poursuivis pour avoir refusé de faire vacciner leur fille aînée -aujourd'hui âgée de 3 ans- et s'être ainsi soustraits à leurs «obligations légales compromettant la santé, la moralité ou l'éducation », Samia et Marc Larère encourent deux ans de prison et 30 000 euros d'amende.

 

La protection maternelle et infantile (PMI), alertée par un pédiatre, avait transmis leur dossier au procureur de la République après avoir échoué à les faire changer d'avis. Sous réserve que la Cour de cassation valide le choix du tribunal d'Auxerre, et estime à son tour que la question de la vaccination obligatoire est une question « innovante » suscitant un débat « réel et sérieux» en termes de santé publique, ce sera au Conseil constitutionnel de se prononcer sur ce dossier. Une fois saisi, il aura trois mois pour le faire.

 

« L'ETAT N'A PAS À ME DICTER CE QUE JE DOIS FAIRE »

 

« C'est l'affaire qu'on attendait pour pouvoir déposer cette QPC », s'est réjoui sur les marches du palais, Jacques Bessin, le président de l'Union nationale des associations citoyennes de santé (UNACS), l'association qui a choisi et payé l'avocat du couple icaunais. Il explique :

 

« Normalement, ce type d'affaire va devant un tribunal pour enfants et se solde par un non-lieu.  Avec leur bourde d'aller en correctionnel, ils nous ont servi cette QPC sur un plateau. On va enfin poser la vraie question : suis-je réellement libre de disposer de mon corps et de refuser un traitement qui peut avoir des conséquences plus graves que la maladie ? »

 

Pour justifier sa demande de QPC, Emmanuel Ludot, l'avocat du couple Larère, a mis en avant le « droit à la santé », une « liberté constitutionnelle » figurant dans le préambule de la Constitution de 1958. « C'est le droit de se vacciner, mais aussi le droit de ne pas se vacciner, au nom d'un principe de précaution à l'égard des enfants », a-t-il fait valoir. Pour l'avocat, « on a ici affaire a des parents soucieux, voire trop soucieux de la santé de leurs jeunes enfants. » « Les vaccins ne sont obligatoires que par bêtise bureaucratique, ajoutait-il une fois l'audience terminée. L'Etat n'a pas à me dicter ce que je dois faire. Pas plus que les labos pharmaceutiques. »

 

Pour Grégory Leroy, le vice-procureur de la République, «le débat soulevé ne porte pas sur les réticences » liées à la vaccination, car « il y a la réponse apportée par l'histoire de l'humanité au XXe siècle » où « rien n'a apporté autant de bienfaits que la vaccination », évoquant des « centaines de millions de vies sauvées ». Il a néanmoins appuyé la demande de QPC, estimant qu'il y a « un enjeu fondamental, entre la liberté et le droit à la santé. » (à noter, note d'Initiative Citoyenne: le Haut Conseil de Santé Publique (HCSP) s'est dit en faveur de la levée des obligations vaccinales mais entre ce qu'ils disent dans un contexte où ils sont dans leurs petits souliers et les faits, il y a une marge d'où que nous n'avions pas jugé bon de relayer ces "bonnes intentions" avant la lettre...)

 

Source : Le Monde

 

 

Sondage-le-Point-octobre-2014-liberte-vaccinale.png

Site du journal Le Point où Initiative Citoyenne a laissé un petit commentaire...

 

 

Marisol Touraine, la ministre peu préoccupée par les MILLIONS DE VICTIMES DES VACCINS :

 

 

 

Marisol Touraine, la Ministre française de la Santé, semble hélas plus préoccupée par ce qu'elle appelle les "anti-vaccins" que par les millions de victimes annuelles de la vaccination. A l'instar de ce Procureur français chargé de répéter comme un perroquet un disque rayé jamais vérifié, M. Touraine répète de façon légère « les vaccins sauvent des vies ». Le gros problème est qu’il n’est guère difficile de se rendre compte, quand on se penche sérieusement et de façon indépendante sur ce sujet, qu’ils en démolissent en tout cas BEAUCOUP PLUS et la clef de voûte d’un tel système autoritaire c’est le fameux « Si c’était vrai, cela se saurait »… Hélas, non…car:

 

- Qui sait par exemple que seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES de vaccins sont officiellement comptabilisés ?

 

- Qui sait que les vaccinés ne sont pas comparés de façon honnête à des non vaccinés, ce qui induit un biais majeur et contribue à « noyer le poisson » (comme le poison !)?

 

- Qui se rend compte que les vaccins, en tant qu’ils interfèrent puissamment et durablement avec le système immunitaire et qu’ils contiennent des constituants notoirement cancérigènes tout en restant étrangement dispensés de tests de cancérogénicité, pourraient avoir une part non négligeable et jamais calculée dans l’épidémie gravissime de cancers actuelle ?

 

- Qui sait que les documents confidentiels des firmes pharmaceutiques sur leurs propres vaccins listent plus de 800 effets secondaires  pouvant affecter tous les systèmes du corps avec des effets aussi graves que des morts subites, des encéphalopathies, des cas d'autisme, des épilepsies, des diabètes insulino-dépendants (combien d’enfants et d’adultes sont devenus épileptiques ou diabétiques à cause d’un vaccin ?)?

 

- Où sont donc LES PREUVES sonnantes et trébuchantes que les vaccins n’ont pas un rôle péjoratif décisif dans une majorité de maladies auto-immunes et neurodégénaratives ?

 

Le pire c’est que c’est tout l’inverse qu’on a, des indices clairs que les non vaccinés sont en bien meilleure santé.

 

La vaccination évite donc ici ou là peut-être certains cas de complications mais il faut bien garder à l’esprit que sans aucun vaccin, tous ceux qui contracteraient une maladie naturelle donnée ne développeraient pas une complication, les complications sont l’exception et non la règle. En revanche, en vaccinant tout le monde, on court-circuite à coup sûr le système immunitaire de 100% des personnes piquées avec des produits chimiques dont on sait assurément qu’ils ne sont jamais bons pour aucun organisme ni aucune cellule vivante.

 

Les vaccins, c’est le degré zéro de la prévention, le nivellement par le bas de la santé publique qui contribue à rendre toute une population patraque (à court, moyen ou long terme) pour ne supprimer que des cas anecdotiques de complications graves, de loin inférieurs aux complications graves des vaccins. Un exemple parmi d’autres, les cas graves de méningites à pneumocoques sont peu nombreux en Belgique, l’incidence n’est que de 4 sur 100 000 ! En revanche, selon les données confidentielles des essais cliniques du vaccin Prevenar, le taux d’effets secondaires graves du vaccin atteint 3% des enfants, ce qui pourrait concerner (rien que pour ce seul vaccin !) jusqu’à 3800 enfants belges annuellement au vu du taux de vaccination. Quand on sait qu’en plus, les données épidémiologiques ont montré (en France mais sûrement dans les autres pays qui ont vacciné également) une hausse des méningites à pneumocoques à cause de la vaccination massive (effet pervers !)... On comprend alors mieux l’ampleur du désastre, une douzaine de méningites à pneumocoques naturelles par an chez les jeunes enfants en âge d’être vaccinés contre DES MILLIERS D’EFFETS GRAVES CAUSES PAR UN VACCIN, alors faites le compte si on additionne tous les effets secondaires de tous les vaccins … de quoi avoir le vertige !  

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12 juin 2014 4 12 /06 /juin /2014 05:50

Suspension du prononcé pour plusieurs parents qui avaient refusé de faire vacciner leur bébé contre la polio

 

Belga

 

Un couple originaire de Riemst qui avait refusé de faire vacciner sa petite fille contre la polio a obtenu mercredi la suspension du prononcé devant le tribunal correctionnel de Tongres. Le vaccin est légalement obligatoire, mais les parents estimaient ce dernier trop dangereux.

 

pauvre-enfant-vaccine.jpgPhoto DR. Commentaire d'IC: on lit  toute la détresse dans le regard de cet enfant dont toute la santé peut être compromise de façon irréversible par cet acte automatique, aveugle et totalement anti-scientifique.

 

La poliomyélite est une maladie très contagieuse provoquée par un virus qui envahit le système nerveux et peut entraîner une paralysie totale en quelques heures. Le vaccin est obligatoire depuis 1966 pour les enfants âgés entre deux et dix-huit mois.

 

Le couple avait refusé la vaccination de sa fille en 2009. Selon les parents, il était trop dangereux d’administrer un vaccin contenant du FORMALDEHYDE, une substance potentiellement cancérigène. Ils soulignaient également que le vaccin contre la polio n’était obligatoire qu’en Belgique et en France, au contraire des autres pays de l’Union européenne, où ce n’est plus le cas.

 

Même si la polio a presque totalement disparu dans nos pays, le tribunal a estimé qu’une vaccination était encore toujours primordiale en raison de l’immigration grandissante. Le juge a néanmoins fait preuve de compréhension envers les parents et leur a accordé la suspension du prononcé, ainsi qu’à un autre couple passé mercredi devant le même tribunal pour des faits similaires.

 

Source: Sudinfo.be

 

NB: Comme à son habitude, Belga donne dans l'à peu près vu qu'elle indique que le vaccin polio ne serait plus obligatoire qu'en Belgique et en France. En réalité, cette vaccination polio est encore obligatoire dans plusieurs pays d'Europe de l'Est (Pologne, Slovénie, Slovaquie, Hongrie etc) ainsi que dans des pays comme l'Italie, la Grèce, etc. Voir notamment ICI. Certains y verront là une (fausse) preuve ou indication que la Belgique ne serait pas si insensée que cela en maintenant une telle obligation vaccinale mais il ne faut pas oublier que les Etats n'ont que peu de pouvoir en matière sanitaire compte tenu de l'influence écrasante, en réalité quasi d'ordre dictatorial, de l'OMS dont les mensonges et le degré de corruption ne sont plus à prouver bien qu'elle continue cependant d'être en partie subsidiée par l'argent de contribuables-pigeons! Par conséquent, un semblant d'uniformité relève bien davantage d'un vrai pôle décisionnaire unique que d'un bon sens communément partagé...

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8 mars 2014 6 08 /03 /mars /2014 17:50

Dinant - Tribunal correctionnel

 

Polio: elle refuse de vacciner son enfant pour des raisons de santé

 

Fotolia femme qui dit non 

 

Jean-Luc HENRARD

 

DINANT - Une jeune Dinantaise est poursuivie pour ne pas avoir vacciné son enfant contre la polio. C’est pourtant une obligation en Belgique.

 

Cette Dinantaise est-elle irresponsable? La dame, apparemment posée, s’en défend et assure, au contraire, qu’elle se soucie beaucoup de la santé de son enfant. Si sa petite fille n’a pas été vaccinée, c’est, assure-t-elle, parce que les vaccins contiennent des substances nocives à la santé et que les «accidents » ne sont pas rares.

 

Affirmant s’être documentée, la jeune femme assure paradoxalement ne pas être contre la vaccination. «Mais je demande que l’on m’apporte des preuves scientifiques de l’innocuité des vaccins », insiste-t-elle. Le problème est que la vaccination contre la polio (maladie infectieuse aiguë et contagieuse provoquant de terribles handicaps) est obligatoire en Belgique.

 

Contraire aux intérêts de la société

 

«Connaissez-vous seulement les ravages de cette maladie? lui demande la présidente Dupraey. Vos agissements ne sont-ils pas contraires à l’intérêt de votre enfant et de la société? »

 

Sans se démonter, l’intéressée répond que cette maladie n’existe plus dans notre pays et en Europe. Il est vrai que la polio est considérée comme éradiquée en Europe. Mais elle est toujours active sur certains continents, notamment en Asie et en Afrique, où elle pose de gros problèmes de santé publique!

 

«De plus, quand on a commencé à vacciner, la maladie était déjà disparue, soutient-elle. Mais on maintient l’obligation de vacciner alors que dans d’autres pays, comme au Pays-Bas, cela n’est plus le cas. »

 

Son enfant n’est pas non plus vacciné contre d’autres maladies contagieuses, ce qui a posé des problèmes quand il a été question de mettre la petite en garderie.

 

Parlant d’«erreur fondamentale », le substitut Herbay estime que la prévenue porte des jugements sur le monde médical sans en avoir aucune compétence.

 

«Votre fille ne provoquera pas une épidémie si elle n’est pas vaccinée, insiste-t-il. Mais si tout le monde agit comme vous, nous courrons tous à la catastrophe. Vous allez à l’encontre de l’avis des médecins, d’universitaires, des états. La vaccination peut générer certains risques, mais traverser la rue encore plus. »

 

Agacé par l’entêtement de cette mère de famille qui a été interpellée plusieurs fois par le parquet pour se mettre en ordre, le ministère public réclame une amende avec sursis.

 

«Mais si la prévenue n’obtempère pas, nous passerons à des amendes fermes, prévient-il. D’une manière ou d’une autre, il faudra que cet enfant soit vacciné! »

 

La défense n’a évidemment pas le même point de vue et estime que les craintes de sa cliente sont légitimes quant aux risques liés à une vaccination.

 

Discrimination entre citoyens européens ?

 

«Des personnes ont été infectées par la polio vaccinale, certifie Me Vanlangendonck. En outre, cette maladie n’est pas incurable: il existe des traitements depuis 60 ans (NDLR: c’est oublier un peu vite qu’il vaut mieux prévenir que guérir!). Et pourtant, on pousse à la vente de vaccins. »

 

Mais surtout, l’avocat bruxellois relève que, selon la Convention européenne des droits de l’homme, la protection de l’intégrité physique est un droit absolu. Entendez, on ne peut pas imposer un acte médical comme la vaccination.

 

Et la défense d’ajouter que l’obligation belge provoque une discrimination entre citoyens européens puisque certains pays l’ont levée. En continuation au 8 mai.

 

Source: Vers l'Avenir

 

Voilà une maman qui réclame des preuves scientifiques de l’innocuité de cette vaccination, quoi de plus normal quand on sait que même le Dr Saluzzo, Directeur de la Production des vaccins viraux (dont l’Imovax polio justement) chez Sanofi Pasteur et également consultant pour l’OMS a publiquement reconnu qu’ils n’ont aucune idée de la façon dont les vaccins fonctionnent (et donc peuvent opérer, y compris de façon négative ) ! Pourtant, cette maman qui souhaite protéger son enfant se fait en retour harcelée par de dociles exécutants qui souhaiteraient pouvoir criminaliser le fait-même de s’interroger sur le bienfondé d’un acte pouvant  pourtant conditionner toute la santé future d’un enfant, au seul motif bien commode que « c’est obligatoire » et en osant encore bien invoquer une solidarité qui n’est pourtant JAMAIS de mise vis-à-vis des victimes de cette pratique ! Ces juges et ces procureurs agissent en bons exécutants mais n’assument pas leur devoir civique d’information soigneuse et impartiale, information qu’ils auraient bien sûr dû personnellement effectuer. Il semble hélas aussi que la Convention européenne de Bioéthique (aussi appelée Convention d’Oviedo) ne leur dise pas grand-chose puisque l’article 2 de cette Convention signée par une majorité de pays européens stipule : « L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »

 

Par ailleurs, cette maman nous a bien précisé les omissions du journaliste de la Meuse qui a complètement passé sous silence le harcèlement inacceptable dont elle a été victime avec des actes d’intimidation policière (qui ont d’ailleurs terrorisé sa petite fille) alors que cette maman l’en avait pourtant informé. Mais en matière de vaccins, le dogmatisme est omniprésent ainsi que les images doucereuses et simplistes qui tentent à faire croire que les bons parents doivent vacciner et que les autres parents qui osent se questionner seraient de mauvais parents ou des parents maltraitants. Relater dans un article de presse via le cas de cette maman ces procédures totalitaires contreviendrait à l’image d’Epinal de la vaccination en tant que merveilleuse chance de santé. La presse n’a donc pas vraiment la liberté d’en faire état car cela contribuerait à révéler le véritable visage de la vaccinologie, une fausse science qui a comme terreau le mensonge, la peur et l’intimidation/ culpabilisation.

 

Et pendant ce temps, l'ONU se prépare à une campagne massive de vaccination anti-polio au Proche-Orient qui va consister à vacciner plus de 22 millions d'enfants de moins de 5 ans à plusieurs reprises pendant 6 mois et cela, quel que soit leur passé immunitaire (c'est-à-dire le nombre de doses de vaccins qu'ils ont déjà précédemment reçues). Ces enfants seront vaccinés avec un vaccin oral à virus vivant, c'est-à-dire le vaccin Sabin qui a été utilisé en Belgique jusqu'en 2000. La Belgique a donc maintenu obligatoire pendant 34 ans au moins (depuis l'arrêté royal sur l'obligation vaccinale polio de 1966 jusqu'en 2000) une vaccination en 3 doses alors que les cas d'"épidémies" montrent qu'on revaccine indépendamment du nombre de doses déjà reçues... voilà qui est formidablement sensé et logique! Par ailleurs, on ne vise que les enfants de 5 ans, là aussi ça pose des questions supplémentaires. Enfin, il faut savoir que ce vaccin oral maintenu obligatoire en Belgique jusqu'en 2000 est celui qui a provoqué en Inde plus de 60 000 cas de paralysie flasque aiguë (= paralysie vaccinale deux fois plus meurtrière qu'une polio naturelle), rien qu'en 2011 (Source: journal indien: The Hindu.com)! Nous étions donc encore bien en-deça de la réalité en avançant le chiffre de 47 500 cas de paralysie flasque aiguë (AFP) causée par le vaccin cette année-là. Si on tient compte des sous-notifications, on dépasse encore certainement ce chiffre de 60 000....Et "comme par hasard", s'il y avait eu 60 000 cas de paralysie due à la polio, on aurait dit, "il faut absolument vacciner, c'est une épidémie inacceptable". Mais ici, comme c'est un des MULTIPLES effets secondaires graves possibles du vaccin, les officiels préfèrent l'ignorer et continuer de plus belle... quelle éthique, quelle solidarité et quelle compassion pour les victimes, il n'y a vraiment pas à dire!

 

 

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4 mars 2014 2 04 /03 /mars /2014 15:35

TC Hasselt - Un mois de prison et une amende pour ne pas avoir vacciné son enfant contre la polio

 

lundi 03 mars 2014 à 21h06

 

(Belga) Un couple originaire du Limbourg a été condamné lundi devant le tribunal correctionnel de Hasselt à un mois de détention et une amende de 165 euros pour ne pas avoir vacciné un de leurs enfants contre la polio.

 

La femme de 31 ans et l'homme de 43 ans n'avaient pas fait effectuer, entre février 2007 et juin 2008, de vaccin contre la polio sur leur fils. Ils affirmaient pourtant être en ordre et avoir transmis une attestation de vaccination à l'agent de quartier, document qui, selon leurs propos durant la première audience, aurait été perdu entre-temps. (Belga)

 

Source: Le Vif

 

vaccine-cartoon.jpg

 

La maman: "Docteur, les vaccins ne contiennent-ils pas des embryons de poulet, du formaldéhyde qui sert à embaumer les morts, des spermicides, des agents cancérigènes, de la gélatine d'animaux de boucherie, du mercure, des antibiotiques et de l'antigel ??? "

 

Le médecin: "Je n'en sais rien... Nous sommes juste payés pour piquer le plus de gens possible !!"

 

Le bébé: "S'il vous plaît, à l'aide, appelez le centre anti-poisons !!"

 

Question éthique : Est-ce qu'il vaut mieux se faire condamner en correctionnelle à une peine de principe qui ne sera de toute façon pas effectuée ou accepter d’administrer à son enfant un vaccin dont le potentiel cancérigène n’a pas été évalué alors qu’il contient pourtant du formaldéhyde qui est un cancérigène certain et qu’il n’existe pas la moindre procédure d’indemnisation des victimes de ce genre d’acte imposé ?? Juridiquement, on peut non seulement invoquer le droit au consentement libre et éclairé (loi du 22 août 2002) mais aussi le devoir d’agir en bon père/bonne mère de famille c’est-à-dire de façon normalement prudente et diligente dans l’intérêt de son enfant (Code Civil). Est-ce bien prudent de foncer tête baissée « parce que les autorités l’imposent » alors que ces mêmes autorités se sont déjà rendu coupables de PUBLICITE VACCINALE TROMPEUSE « de nature à induire le consommateur en erreur », en violant les exigences de loyauté et de véracité ?? Est-ce donc bien cela agir en père ou mère de famille prudents??

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28 décembre 2013 6 28 /12 /décembre /2013 17:16

Extrait du Courrier des lecteurs de la revue belge néerlandophone 't Prijke:

 

Complications après la vaccination contre la polio

 Dessin--Prikje.jpg

 

Bonjour,

 

14 jours après son deuxième vaccin contre la polio (16 mois), ma petite fille a présenté une sérieuse réaction au vaccin. Il s’agit de mon opinion personnelle car la chose n’est pas confirmée officiellement.

 

Sans que l’on ne puisse s’y attendre, elle a, le soir, fait une forte fièvre. Une heure plus tard, elle a commencé à vomir et a immédiatement perdu connaissance. Pendant plus de 5 minutes elle est devenue grise, avait les yeux grand-ouverts et ne montrait plus le moindre signe de vie.

 

Un voisin est venu à la rescousse pour pratiquer une réanimation. On a alors pu voir qu’elle commençait à réagir.

 

Au moment où l’ambulance est arrivée, elle avait repris conscience et avait encore 39,8° de fièvre, mais un de ses yeux était complètement de travers. A l’hôpital, ils ont fait une prise de sang, l’ont retournée dans tous les sens, mais tout était parfaitement en ordre. Le lendemain elle n’avait plus de fièvre et l’appétit était revenu.

 

Diagnostic : fièvre convulsive à la suite d’une infection, en dépit du fait que les analyses sanguines étaient normales. Le pédiatre a dû reconnaître qu’il s’agissait d’un cas sérieux de fièvre convulsive et il m’a conseillé de faire examiner ma petite fille par un neurologue. Mais là non plus, l’examen n’a rien donné.

 

Maintenant, je dois d’urgence lui faire administrer son troisième vaccin. J’ai déjà 5 mois de retard. La commune m’a permis de postposer la vaccination, étant donné que j’avais l’attestation de la précédente vaccination.

 

Mais malgré qu’il s’agisse d’un vaccin tué qui est obligatoire en Belgique, j’hésite beaucoup à le faire administrer à ma petite fille.

Qu’en est-il si ça tourne mal ?

 

Salutations distinguées

 

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Réponse :

 

Chère Madame,

 

Il ne peut absolument pas être question d’une troisième vaccination !!!!!!! Votre fille risque de graves dommages neurologiques si le scénario précédent se répète, et ce risque est très réel.

 

Bien que la règle veuille que trois doses du vaccin polio soient obligatoirement administrées, une attestation de votre médecin ou de votre pédiatre pourra exempter l’enfant de cette obligation pour raisons médicales.

 

Il est en outre très important que tout ce qui s’est passé après la dernière vaccination soit repris en détails dans son dossier médical et que vous en conserviez une copie, de même que la trace du séjour de l’enfant à l’hôpital.

 

Il arrive parfois assez souvent que ces rapports disparaissent comme par hasard, alors qu’ils pourraient s’avérer fort utiles dans la suite.

 

Il est aussi très important de noter que ces convulsions se sont produites après la vaccination. Les médecins ont en effet tendance à négliger ce rapport possible.

 

Il vaut aussi vraiment mieux ne pas administrer d’autres vaccins. Dans beaucoup de cas, les réactions ne sont pas provoquées par l’antigène du vaccin (dans ce cas le poliovirus), mais par les autres composants du vaccin qui se trouvent également dans d’autres vaccins.

 

J’espère avoir pu vous être utile.

 

Salutations amicales

 

Dr Gaublomme

 

‘t Prikje Décembre 2013, p.22

 

Ajout d'Initiative Citoyenne/ Suggestion de confrontation avec l'information suivante:

 

Quinze jours de prison (et 275 euros) d'amende pour avoir refusé de faire vacciner (7 sur7)

 

(Nombreux commentaires éclairants qui montrent que le public est globalement moins crédule qu'il y a 10 ou 15 ans d'ici... Petit exemple:

 

« Je trouve scandaleux le fait de porter atteinte à l'intégrité physique de quelqu'un en ne lui laissant pas le choix. Parce qu'aujourd'hui, seul ce vaccin est obligatoire, mais demain, on peut nous imposer tout et n'importe quoi. Quand on réfléchit un peu, on ne connait pas réellement les effets des produits pharmaceutiques. » )

 

PS: A ceux qui soumettent leurs choix de santé à leur "crainte du gendarme" qu'ils sachent ou qu'ils se rappellent que ces décisions servent davantage à "faire peur", à "faire des exemples" mais que les prisons sont déjà pleines en Belgique. Dans notre pays comme dans d'autres, les vrais cirminels (dont ceux en col blanc) ont hélas souvent droit à bien plus de laxisme que les honnêtes gens qui ont commis le seul crime de REFLECHIR en adultes.

 

Révisez l'expérience de Milgram et ses résultats, tout était déjà dit. Obéir aveuglément aux autorités "parce que c'est obligatoire" est délétère et cela peut coûter des vies (le cas de cette maman qui avait tellement intégré l'idée de soumission est à cet égard exemplaire... sans un message de prudence du Dr Gaublomme, elle aurait sûrement refait vacciner l'enfant, peut-être jusqu'à la mort comme cela arrive à plusieurs familles!)

 

Forcer quiconque à recevoir un produit chimique injecté dans son corps au nom de n'importe quel prétexte est un abus de droit incommensurable, injustifiable et inexcusable!! Que ceux qui veulent se faire injecter ces cocktails chimiques sur base de croyance, ça les regarde mais qu'au nom de ces croyances (et non connaissances ce qui est différent) ils entendent forcer la liberté la plus fondamentale et le droit le plus essentiel à la santé d'autrui constitue un acte d'une violence inouïe digne des pires régimes qui soient au monde!!

 

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20 décembre 2013 5 20 /12 /décembre /2013 21:00

« Si les gens du peuple permettent au gouvernement de décider de leur nourriture et de leurs médicaments, leurs corps ne tarderont pas à présenter l’état pitoyable des âmes qui vivent sous la tyrannie. » Thomas JEFFERSON, (1743-1826) 3ième Président des Etats-Unis, auteur de la Déclaration d’Indépendance

 

 Seringue-Palevsky.jpg  

 

 Vaccination : condamnation confirmée

 

L’avenir ;  Jean-Pierre De Staercke

 

La vaccination contre la polio est obligatoire depuis 1966.

   

LESSINES - Acquitté à Tournai, un couple avait été condamné en appel pour avoir refusé de vacciner leur enfant. Ils se sont battus jusqu’en Cassation.

 

En vain.

 

Cette fois, la vérité judiciaire est définitive.

 

Un couple de parents de Lessines (J.D. et N.C.), tous deux âgés de 37 ans, sont définitivement condamnés à une amende de 143 euros, ainsi qu’aux frais de la procédure, soit quelque 500 euros. Une sanction somme toute symbolique mais un symbole de taille, aux yeux des autorités sanitaires de notre pays.

 

Les intéressés avaient été acquittés par le tribunal correctionnel de Tournai, le 16 mars 2011. Ils répondaient d’une infraction à la loi de 1966 rendant obligatoire le vaccin contre la poliomyélite. Car ils avaient refusé pendant plus de 3 ans de faire vacciner leur enfant né en août 2006.

 

Le libre consentement ?

 

Le juge avait suivi l’argument majeur de l’avocat de la défense, Me Philippe Vanlangendonck, qui avait fait valoir que la loi du 22 août 2002, garantissant le libre consentement du patient pour toute intervention médicale, devait primer sur celle de 1966. Mais le parquet avait immédiatement relevé appel du jugement. Et, à l’étage supérieur, à la cour d’appel de Mons, les magistrats avaient réformé la décision, condamnant chaque prévenu à l’amende de 143 euros.

 

Pour établir cette vérité judiciaire, le trio magistral avait longuement motivé son arrêt, le 25 mars dernier. De considérer notamment: «En tout état de cause, ce droit du patient de consentir librement à toute intervention du praticien professionnel (et son droit au respect de la liberté thérapeutique) n’est pas absolu et spécialement lorsque l’obligation au traitement par le professionnel est fondée sur des considérations de protection de la santé, laquelle participe de l’ordre public ».

 

En d’autres mots, le libre consentement concerne les rapports entre le patient et son médecin. Par contre, la loi sur l’obligation de vacciner va bien plus loin et s’impose à tous.

 

L’ultime recours

 

Mais ni les condamnés ni leur conseil n’avaient digéré cette défaite qui n’avait pourtant rien d’une déroute. Et ils avaient saisi la Cour de cassation. Me Vanlangendonck a bataillé rude, à l’appui d’un écrit de conclusions – un mémoire – épais comme un bottin. Le plaideur s’était notamment indigné de la mise à l’écart de ses conclusions par la cour d’appel, celle-ci estimant qu’elles avaient été déposées tardivement. Il avait également brandi les droits de l’homme et l’absence de proportionnalité entre les effets de la loi de 1966 et l’objectif louable poursuivi par cette législation.

 

En vain. Hier, la haute Cour a validé l’arrêt montois.

 

Source : Vers l’Avenir

 

Lire l'arrêt de la Cour de Cassation du 18 décembre 2013: ICI

  

Avec les suites du "procès polio" comme on pourrait l'appeler, la Cour de Cassation avait une réelle occasion: faire évoluer une situation éthiquement IN-TE-NA-BL-E qui consiste à forcer soi-disant au nom de leur sécurité tous les citoyens à recevoir des injections de vaccins mal évalués faisant ainsi d'eux des cobayes qui s'ignorent.

 

Car il faut le rappeler encore et toujours: le vaccin polio, s'il ne contient pas d'aluminium lorsqu'il est monovalent (ex: Imovax Polio) contient néanmoins du formaldéhyde qui est un cancérigène certain (de classe I), répertorié ainsi par une instance qui dépend de l'OMS mais "fort étrangement", les vaccins restent pourtant depuis le début dispensés de tests destinés à évaluer leur potentiel cancérogène, contrairement aux autres médicaments!

 

Les effets secondaires des vaccins ne sont pourtant jamais évalués sur plus de quelques jours ou quelques semaines (dans le meilleur des cas!) or des manifestations graves comme des cancers ou des maladies auto-immunes peuvent prendre des mois ou des années avant de se manifester. Ces manifestations pathologiques qui gangrènent largement la qualité de vie des citoyens du monde restent donc VOLONTAIREMENT confinées hors du champ de la recherche par des idéologues de la vaccination qui ont alors nettement plus facile pour affirmer (SUR BASE DE LA FOI et non de la Science!) qu'il n'y a aucun lien entre la vaccination et ces maladies.

 

L'être humain est pourtant un tout et chacun est immunologiquement différent de son voisin. Personne ne peut donc garantir que X doses de vaccins contenant du formaldéhyde cancérigène injecté ne vont pas être suffisantes chez un pourcentage donné de gens (quelques centaines ou milliers)  pour déclencher un cancer à la manière de la Xième goutte qui fait déborder le vase.

 

Au cours des années 50' et 60', des MILLIONS de gens dans le monde (y compris en Europe, en Belgique...) ont été contaminés par le virus simien cancérigène SV40 par le biais des vaccins polio (qui étaient produits à partir de cellules de reins de singes contaminés). Il y a eu des dizaines de publications scientifiques qui ont relevé la présence de ce virus au niveau de tumeurs diverses (plèvre, os, cerveau,...). Plusieurs études ont montré aussi que ce virus pouvait se transmettre de générations vaccinées à des générations non vaccinées par ces mêmes vaccins contaminés. Le risque de cancer cérébral et de leucémies est alors multiplié chez ces enfants nés de mères contaminées.

 

Le Dr Jean-François Saluzzo, chef de la production des vaccins viraux chez Sanofi Pasteur (qui produit l'Imovax Polio) et également consultant pour l'OMS avoue le sourire aux lèvres que ce genre de contaminations se reproduira encore. Il avoue également qu"ils ne savent pas comment marchent les vaccins" et que si on veut développer de nouveaux vaccins dans le futur, il faudra commencer par étudier le système immunitaire:

 

 

Vous rendez-vous compte oui ou non de ce que ces aveux signifient ? Ils signifient que PERSONNE, pas même les médecins des firmes ni les "grands experts" de l'OMS ne sait ce qui peut se passer ni quel domino morbide peut découler d'une vaccination. Or de cette méconnaissance les idéologues de la vaccination ont fait de façon intellectuellement frauduleuse une CERTITUDE que le rapport bénéfices/risques est positif. Intellectuellement, ce saut constitue un délire mais surtout une tragédie.

 

Prendre la gravité possible d'une maladie donnée comme justification suffisante à une vaccination X ou Y est une erreur funeste de raisonnement car la gravité possible d'une maladie ne rend pas de facto dans un rapport de cause à effet le vaccin forcément efficace et/ou sûr. En outre, il convient aussi de voir la fréquence des complications. Pour la polio, il faut savoir que la paralysie ne survient pas dans 100% des cas, loin s'en faut, elle survient dans environ 1 cas d'infection sur 200. Beaucoup de gens doivent leurs séquelles de la polio (qui se présente parfois sans symptômes ou à la façon d'une banale angine) à des imprudences médicales dues à l'ignorance: la mode de l'ablation des amygdales qui disséminait alors le virus en phase d'incubation et donnait lieu à des polios de type bulbaire particulièrement graves et souvent mortelles; les injections de vaccins ou d'antibiotiques sur des patients en incubation silencieuse qui provoquent une démultiplication des virus polio au niveau des récepteurs musculaires après l'effraction due à l'aiguille; la sinistre mode consistant à faire baisser la fièvre aussi or selon les travaux du Pr Lwoff (Prix Nobel), une fièvre de 39° stoppe naturellement le développement des virus polio (on imagine alors le nombre de gens infectés qui auraient pu ne jamais avoir de séquelles mais qui, parce que leur bon docteur a cru bien faire en leur donnant un antipyrétique, leur a donné une polio séquellaire!).

 

Dans le même temps, à cause du dogme vaccinal qui écrase, occulte et étouffe tout le reste, aucun citoyen n’est informé des travaux concrets du Dr Neveu qui a pu guérir complètement des paralysies poliomyélitiques déclarées avec administration précoce de chlorure de magnésium, un produit simple et peur cher. Des enfants qui continuent d’avoir la polio en Afrique et dans d’autres pays pauvres comme le Pakistan ou l’Afghanistan auraient ainsi pu ne pas être paralysés s’ils avaient pu bénéficier à temps de chlorure de magnésium mais non, les grands médias et l’establishment préfèrent mettre en scène le cas de ces enfants comme dans Envoyé Spécial sur France 2 avec le message simpliste que le refus de vaccination est lié à des arguments religieux ou simplistes !

 

La vaccination orale qu'on a imposée en Belgique contre la polio depuis 1966 a fait pas moins de 47 500 cas de paralysie flasque aigüe en Inde rien qu'en 2011, année où l'OMS a ironiquement déclaré le pays "vierge de polio"! Cette paralysie qui est directement causée par la vaccination est pourtant deux fois plus meurtrière que la polio. L’Encyclopedia Universalis elle-même en 1988 faisait état d’une hausse de 300% des cas de polio après les grandes campagnes vaccinales menées par l’OMS dans les pays subtropicaux avec le vaccin oral, celui-là même que les autorités réutilisent en Israël en ce moment!

 

Le vaccin contre la polio injectable qu'on impose actuellement en Belgique n'empêche pas les patients d'être porteurs du virus et de le transmettre comme cela s'est vu relativement récemment en Israël où des virus polio ont été retrouvés malgré une couverture totale de la population par le vaccin injectable.

 

Les gens jugent souvent de façon "émotionnelle" en disant "il n'y a plus de poumons d'acier". En fait, ce qui s'appelait poumons d'acier à l'époque a juste changé de nom et de forme mais cela existe encore, ce sont les "respirateurs" et ils sont toujours utilisés, notamment dans diverses paralysies dont certaines sont d'origine vaccinale (que les parents ou les gens fassent le lien ou pas!)

 

La Cour de Cassation n'hésite pas à tordre les lois pour leur faire dire le contraire de ce qu'elles établissaient. Prétendre que la loi sur les droits du patient relève de la sphère privée entre un patient et son médecin en opposition à une prétendue sphère publique est inopérant dès lors que chaque patient vacciné l'est toujours dans un cadre privé en lien avec un médecin et dans une relation de soins donnée. La Convention Européenne de Bioéthique d'Oviedo rappelle en son article 2 en outre que "L'intérêt et le bien-être de l'être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la Science." Accepter l'idée de sacrifices humains, c'est retourner au temps des sociétés primitives qui noyaient l'individu dans une masse informe (mais qui avaient cependant un autre respect que nous de la Nature!).

 

Condamner les parents qui refusent que leurs enfants servent de cobayes, c'est retourner au Moyen Âge où on condamnait des thérapeutes en les qualifiant de "sorcières" et en prétendant de façon ridicule et inconsistante qu'elles avaient constitué un danger pour la société.

 

La Cour de Cassation nous fait revenir en ces temps-là  et cette décision est d'ailleurs d'autant plus inquiétante qu'elle servira sans doute de base pour justifier d'autres obligations vaccinales dans le cadre des futures pandémies tant attendues... Ce jour-là, ceux qui avaient naïvement pensé que cette décision de la Cour est une bonne chose au simple motif que "la polio leur fait peur" risquent malheureusement de comprendre trop tardivement l'ensemble du puzzle dont ils ne voulaient pas forcément.

 

Souvenons-nous à cet égard que l'Etat belge avait acheté assez de vaccins H1N1 pour vacciner l'ensemble de la population et que les officiels avaient initialement envisagé une vaccination obligatoire avec le vaccin expérimental Pandemrix qui avait fait sept morts sur 2000 patients dans les essais cliniques. Le Dr Daniel Reynders de la Cellule Infuenza avait d'ailleurs avoué (nous en avons le film) le 30 septembre 2009 à Ciney que les autorités avaient même envisagé de faire cette vaccination obligatoire à la manière nous citons d'un "week-end électoral" en utilisant les bureaux de vote pour faire les vaccinations!

 

Le vaccin contenait du squalène comme adjuvant, molécule hautement réactogène et dangereuse quand elle est injectée et les flacons d'adjuvant (AS03) continuent d'être conservés dans des casernes militaires en Belgique pour pouvoir reservir "en cas de besoin"! Les cas de narcolepsies ne sont que la partie émergée de l'iceberg et bien d'autres maladies ont découlé de cette vaccination.

 

Outre que cette sinistre décision de la Cour de Cassation était prévisible pour maintenir "l'effet d'entrain" qu'a cette obligation polio sur l'entièreté des autres vaccins pédiatriques, cette décision constitue donc aussi une volonté de ne pas mettre d'entrave juridique ou de créer de précédent dans la perspective de futures pandémies, de façon à ne pas compliquer davantage l'instauration d'une vaccination obligatoire "pour le plus Grand Bien de tous" bien entendu!!

 

 

Voir aussi : Procès polio: la liberté vaccinale coûte environ 900 euros par enfant en Belgique

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11 octobre 2013 5 11 /10 /octobre /2013 20:05

Voici, sur base d'un exemple extrêmement concret, comment des administrations communales peuvent désinformer et intimider des parents en matière de vaccination.

 

Le courrier que vous pouvez lire ICI est ce que la commune de Havelange (Province de Namur, Belgique) envoie aux jeunes parents. (merci au médecin qui nous a transmis ce courrier surréaliste).

 

femme menaçant fotolia

 

La désinformation est manifeste. Tout d'abord, parce que la commune continue d'indiquer aux parents que la vaccination anti-variolique est obligatoire alors que l'obligation a été levée en Belgique depuis ...1976 (selon le site du Conseil Supérieur de la Santé) !!. Ce genre de mention contribue à semer inutilement un climat de peur (*), tout en contribuant aussi à faire croire que la vaccination aurait joué un rôle-clé dans l'élimination de la variole, ce qui n'est en réalité pas le cas.

 

Ensuite, il est fait mention de 4 dates à fournir pour la vaccination polio ALORS QUE les textes de loi ne mentionnent que 3 doses et non 4. (deux doses dans la première année de vie et une dose dans la deuxième année de vie) et encore, il faut aussi souligner que ces dispositions règlementaires, sous la forme d'arrêtés royaux, sont contraires à la loi du 22 août 2002 sur les droits du patient, qui a une portée (un poids) juridique supérieure et qui consacre le droit des patients (et des tuteurs dans le cas de mineurs d'âge) à un consentement pleinement libre et éclairé pour tout acte médical. Cela implique bien sûr le droit d'accepter comme de refuser un acte médical donné si on s'estime insuffisamment informé sur ses bénéfices et ses risques par exemple. Aucune exclusion ou "dispense" n'est faite dans cette loi en matière de vaccinations ce qui sous-entend clairement que celles-ci doivent être régies par ce principe du droit au consentement libre et éclairé et que toute obligation vaccinale s'oppose à un tel principe.

 

Mais pour en revenir à cette mention erronée du nombre de doses de vaccin requises dans les documents communaux à compléter, il faut rappeler que les cocktails de vaccinations (tétra, penta ou hexavalente), qui incluent cette valence polio, impliquent en principe l'injection de 4 doses de vaccination et non 3 - bien que la France ait récemment "simplifié" son calendrier vaccinal en supprimant une de ces 4 doses. Ce schéma en 4 doses est celui qui s'applique aux enfants dont les parents croient naïvement qu'ils sont obligés de commencer la vaccination dès l'âge de 2 mois. Cependant, les notices professionnelles indiquent clairement qu'on peut supprimer une dose de vaccination si on commence à vacciner après les 4 mois de l'enfant ou au-delà.

 

Il est donc clair que l'intérêt financier des pharmas n'est pas à la suppression généralisée d'une quatrième injection. Partant, on peut donc s'interroger sur la complicité (consciente ou non) des communes vis-à-vis d'une telle rapacité financière, car il est manifeste que ces pratiques doivent contribuer à faire croire à certains parents qu'ils sont non seulement obligés d'administrer 4 doses (et donc de recourir aux vaccins combinés, les plus chers et les plus rentables pour les firmes mais aussi les plus réactogènes en termes d'effets secondaires) mais en plus qu'ils doivent absolument commencer si tôt (2 ou 3 mois).

 

La lettre de "bienvenue" au bébé de la part de la bourgmestre (maire) de la commune fait étrangement penser aux nouvelles manoeuvres de nombreux gouverneurs d'états américains qui, s'étant associés à la firme de cartes de voeux Hallmark, envoient un message personnalisé de bienvenue à tous les jeunes parents accompagné d'injections vaccinales et de calendriers vaccinaux actualisés...

 

* Voici la copie d'une page du site du Conseil Supérieur belge de la Santé, au sujet des préparatifs en matière de risque d'épidémie de variole et du peu de démocratie que cela impliquerait....

 

Au fil des siècles, la variole a été à l’origine de nombreuses épidémies. La mise au point d’un vaccin à la fin du 18e siècle a permis petit à petit d’en réduire l’impact. Au début de la seconde moitié du 20e siècle, l’utilisation de la lyophilisation a permis de transporter le vaccin jusqu’aux coins les plus reculés du monde.

 

Comme la variole se transmet directement d’une personne infectée à une personne saine et non protégée par la maladie, sans intervention d’un vecteur externe ou d’un autre agent intermédiaire, l’idée a été conçue de tenter d’éradiquer la maladie à l’aide d’une campagne de vaccination à l’échelle mondiale. La campagne mondiale d’éradication a été pilotée par l’OMS et exécutée par les Etats membres. Le dernier cas de variole a été constaté en Somalie en 1977. Le 26 octobre 1979, après une période d’observation de 2 ans, l’OMS a déclaré le monde exempt de variole. La vaccination contre la variole était légalement obligatoire en Belgique. Depuis 1976, cette obligation vaccinale a été suspendue.

 

Une nouvelle épidémie de variole est peu probable. L’OMS a approuvé deux laboratoires hautement sécurisés, dans lesquels des échantillons du virus de la variole sont conservés officiellement. Si actuellement une épidémie de variole survenait, on pourrait conclure qu’il s’agit probablement d’un acte mal intentionné. Les risques liés à la vaccination antivariolique ne sont pas négligeables. Etant donné qu’en ce moment la maladie n’existe pas, le gouvernement belge, suivant en cela l’avis du Conseil Supérieur d’Hygiène, n’est pas favorable à une vaccination préventive.

 

Dans l’éventualité d’une épidémie confirmée de variole, la vaccination concentrique (en anneaux) sera appliquée. Quiconque a été en contact avec une personne infectée par la variole sera vacciné. Pour mettre en pratique cette mesure de riposte, il est nécessaire qu’une équipe polyvalente de premiers secouristes soit elle-même vaccinée avant d’entrer en action. Il s’agit d’environ 600 personnes, le “Team d’Intervention Rapide Variole” (TIR). Cette équipe est composée de médecins, d’infirmiers, d’ambulanciers, de personnel de laboratoire (dont certains hautement qualifiés), de chauffeurs de la protection civile (pour assurer le transport des échantillons), de personnel de la police, de personnel administratif (pour les besoins des centres de vaccination), de personnel de soutien logistique, de personnel judiciaire, et de bien d’autres types de personnel encore. Le gouvernement se doit d’être préparé au cas où une telle éventualité se développerait en Belgique ou ailleurs dans le monde.

 

La sélection des candidats pour le “Team d’Intervention Rapide Variole” (TIR) a démarré. En outre, en 2002 déjà, le gouvernement a constitué un stock stratégique de vaccin antivariolique.

 

******************

 

Chose intéressante, le site La Question Des Vaccins vient de rappeler par mail de façon très pertinente les propos de Donald Henderson qui dirigea le programme d’éradication de la variole et date de 1976 :

 

Voici ce qu'écrivait Henderson en 1976 quand il tirait les enseignements de l'expérience de l'éradication [21] (11 pages en français toutes très intéressantes) :

Page 10 :

 

« Le plus important est de reconnaître que les progrès réalisés dans un programme de lutte contre une maladie peuvent être appréciés en terme d'incidence de cette maladie.  Nous avons constaté, jusqu'à une date très récente, que les autorités sanitaires, la presse et le public dans leur ensemble ont cherché à évaluer les progrès réalisés en premier lieu d'après le nombre de vaccinations effectuées. Lorsqu'une épidémie se produisait, l'attention était surtout dirigée vers les chiffres de la vaccination. Si ceux-ci étaient élevés on en concluait que le programme se déroulait bien.

 

La mesure des progrès réalisés d'après le nombre de vaccinations effectuées semble être un échec trop fréquent des programmes de vaccination aujourd'hui aussi bien dans les pays développés qu'en voie de développement. […] »

 

[21 ] Les enseignements de l'éradication par Henderson :

http://whqlibdoc.who.int/smallpox/WHO_SE_75.76_fre.pdf

 

Voir aussi ici sur le mythe de la vaccination éradicatrice (en matière de variole)

           

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25 juillet 2013 4 25 /07 /juillet /2013 20:10

Polio : les parents sous-informés sur les effets secondaires 

  

Kinshasa, mardi 23 juillet 2013

 

enfant-polio.jpg

 

 

Plusieurs centres de santé ont enregistré un taux important  d’enfants amenés en urgence, souffrant de vomissements et diarrhée, la semaine dernière. Certains de ces enfants dont l’âge varie entre zéro et cinq ans ont dû être hospitalisés pour suivre de soins appropriés.


Cela s’est malheureusement passé  tout juste après la dernière  campagne de vaccination ou le rappel de vaccination contre la poliomyélite et l’administration du mebendazole  contre les vers intestinaux.

Ces symptômes ont sérieusement entamé le moral de beaucoup de parents qui ne savaient pas à quel saint se vouer et dont certains envisagent sérieusement le boycott de ces campagnes dites de « porte à porte ».

 

Source: Mediacongo

 

NB: Le vaccin oral (de type Sabin) encore utilisé au Congo fut utilisé en Belgique jusque l'an 2000... et les parents n'étaient certainement pas mieux informés des risques chez nous!

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26 mars 2013 2 26 /03 /mars /2013 23:05

Lire notre communiqué de presse de ce jour: ICI

 

Des parents "anti vaccin polio" condamnés en appel

 

Bebe-pique.jpg

Les parents du petit Olivier, originaires de Lessines, ont été condamnés en appel à une amende pour ne pas avoir fait vacciner leur petit garçon contre la polio. En 1ère instance, en Mars 2011, le Tribunal Correctionnel de Tournai avait acquitté pour ces faits Nathalie Comblet et son ex-mari mais le Parquet avait décidé de faire appel de cette décision.

 

La Belgique est un des derniers pays européens avec la France où le vaccin anti-poliomyélite est resté obligatoire avant les dix-huit mois.  Dans les autres pays européens, soit cette vaccination a été supprimée, soit elle est laissée à l’appréciation des parents concernés.

 

Si les parents d’Olivier n’ont jamais voulu administrer ce vaccin à leur enfant, c’est parce que non seulement ils ont toujours douté de son efficacité mais aussi parce qu’ils lui attribuent des risques d’effets secondaires.

 

Nathalie Comblet s’étonne donc de la décision " j’espérais -confie-t-elle- qu’il y allait avoir confirmation de la décision du premier juge, ce qui n’a pas été le cas, nous avions beaucoup d’arguments et le dossier était très, très, complet, malheureusement la Cour en a décidé autrement... ".

 

La maman a l’impression d’avoir été condamnée pour l’exemple "étant donné que le premier jugement nous avait donné raison et fait donc un cas qui fait jurisprudence, il fallait un petit peu, je pense, rétablir l’autre et remettre les choses en leur état pour un petit peu montrer au citoyen que la loi est faite pour être respectée".

 

Les parents et leur avocat  envisagent le pourvoi en cassation. [actualisation: le pourvoi en cassation a bien été introduit hier]

 

Stéphanie Vandreck, Vincent Clérin

 

Source : RTBF info

 

 

 Ce mercredi 27 mars 2013, entre 12H05 et 13H00 SUR RTBF la première,

émission du "Forum de Midi" consacrée à la vaccination et 

lors de laquelle l'avocat des parents n'aura droit qu'à 5 minutes...

 

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