Dinant - Tribunal correctionnel
Polio: elle refuse de vacciner son enfant pour des raisons de santé
Jean-Luc HENRARD
DINANT - Une jeune Dinantaise est poursuivie pour ne pas avoir vacciné son enfant contre la polio. C’est pourtant une obligation en Belgique.
Cette Dinantaise est-elle irresponsable? La dame, apparemment posée, s’en défend et assure, au contraire, qu’elle se soucie beaucoup de la santé de son enfant. Si sa petite fille n’a pas été vaccinée, c’est, assure-t-elle, parce que les vaccins contiennent des substances nocives à la santé et que les «accidents » ne sont pas rares.
Affirmant s’être documentée, la jeune femme assure paradoxalement ne pas être contre la vaccination. «Mais je demande que l’on m’apporte des preuves scientifiques de l’innocuité des vaccins », insiste-t-elle. Le problème est que la vaccination contre la polio (maladie infectieuse aiguë et contagieuse provoquant de terribles handicaps) est obligatoire en Belgique.
Contraire aux intérêts de la société
«Connaissez-vous seulement les ravages de cette maladie? lui demande la présidente Dupraey. Vos agissements ne sont-ils pas contraires à l’intérêt de votre enfant et de la société? »
Sans se démonter, l’intéressée répond que cette maladie n’existe plus dans notre pays et en Europe. Il est vrai que la polio est considérée comme éradiquée en Europe. Mais elle est toujours active sur certains continents, notamment en Asie et en Afrique, où elle pose de gros problèmes de santé publique!
«De plus, quand on a commencé à vacciner, la maladie était déjà disparue, soutient-elle. Mais on maintient l’obligation de vacciner alors que dans d’autres pays, comme au Pays-Bas, cela n’est plus le cas. »
Son enfant n’est pas non plus vacciné contre d’autres maladies contagieuses, ce qui a posé des problèmes quand il a été question de mettre la petite en garderie.
Parlant d’«erreur fondamentale », le substitut Herbay estime que la prévenue porte des jugements sur le monde médical sans en avoir aucune compétence.
«Votre fille ne provoquera pas une épidémie si elle n’est pas vaccinée, insiste-t-il. Mais si tout le monde agit comme vous, nous courrons tous à la catastrophe. Vous allez à l’encontre de l’avis des médecins, d’universitaires, des états. La vaccination peut générer certains risques, mais traverser la rue encore plus. »
Agacé par l’entêtement de cette mère de famille qui a été interpellée plusieurs fois par le parquet pour se mettre en ordre, le ministère public réclame une amende avec sursis.
«Mais si la prévenue n’obtempère pas, nous passerons à des amendes fermes, prévient-il. D’une manière ou d’une autre, il faudra que cet enfant soit vacciné! »
La défense n’a évidemment pas le même point de vue et estime que les craintes de sa cliente sont légitimes quant aux risques liés à une vaccination.
Discrimination entre citoyens européens ?
«Des personnes ont été infectées par la polio vaccinale, certifie Me Vanlangendonck. En outre, cette maladie n’est pas incurable: il existe des traitements depuis 60 ans (NDLR: c’est oublier un peu vite qu’il vaut mieux prévenir que guérir!). Et pourtant, on pousse à la vente de vaccins. »
Mais surtout, l’avocat bruxellois relève que, selon la Convention européenne des droits de l’homme, la protection de l’intégrité physique est un droit absolu. Entendez, on ne peut pas imposer un acte médical comme la vaccination.
Et la défense d’ajouter que l’obligation belge provoque une discrimination entre citoyens européens puisque certains pays l’ont levée. En continuation au 8 mai.
Source: Vers l'Avenir
Voilà une maman qui réclame des preuves scientifiques de l’innocuité de cette vaccination, quoi de plus normal quand on sait que même le Dr Saluzzo, Directeur de la Production des vaccins viraux (dont l’Imovax polio justement) chez Sanofi Pasteur et également consultant pour l’OMS a publiquement reconnu qu’ils n’ont aucune idée de la façon dont les vaccins fonctionnent (et donc peuvent opérer, y compris de façon négative ) ! Pourtant, cette maman qui souhaite protéger son enfant se fait en retour harcelée par de dociles exécutants qui souhaiteraient pouvoir criminaliser le fait-même de s’interroger sur le bienfondé d’un acte pouvant pourtant conditionner toute la santé future d’un enfant, au seul motif bien commode que « c’est obligatoire » et en osant encore bien invoquer une solidarité qui n’est pourtant JAMAIS de mise vis-à-vis des victimes de cette pratique ! Ces juges et ces procureurs agissent en bons exécutants mais n’assument pas leur devoir civique d’information soigneuse et impartiale, information qu’ils auraient bien sûr dû personnellement effectuer. Il semble hélas aussi que la Convention européenne de Bioéthique (aussi appelée Convention d’Oviedo) ne leur dise pas grand-chose puisque l’article 2 de cette Convention signée par une majorité de pays européens stipule : « L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science. »
Par ailleurs, cette maman nous a bien précisé les omissions du journaliste de la Meuse qui a complètement passé sous silence le harcèlement inacceptable dont elle a été victime avec des actes d’intimidation policière (qui ont d’ailleurs terrorisé sa petite fille) alors que cette maman l’en avait pourtant informé. Mais en matière de vaccins, le dogmatisme est omniprésent ainsi que les images doucereuses et simplistes qui tentent à faire croire que les bons parents doivent vacciner et que les autres parents qui osent se questionner seraient de mauvais parents ou des parents maltraitants. Relater dans un article de presse via le cas de cette maman ces procédures totalitaires contreviendrait à l’image d’Epinal de la vaccination en tant que merveilleuse chance de santé. La presse n’a donc pas vraiment la liberté d’en faire état car cela contribuerait à révéler le véritable visage de la vaccinologie, une fausse science qui a comme terreau le mensonge, la peur et l’intimidation/ culpabilisation.
Et pendant ce temps, l'ONU se prépare à une campagne massive de vaccination anti-polio au Proche-Orient qui va consister à vacciner plus de 22 millions d'enfants de moins de 5 ans à plusieurs reprises pendant 6 mois et cela, quel que soit leur passé immunitaire (c'est-à-dire le nombre de doses de vaccins qu'ils ont déjà précédemment reçues). Ces enfants seront vaccinés avec un vaccin oral à virus vivant, c'est-à-dire le vaccin Sabin qui a été utilisé en Belgique jusqu'en 2000. La Belgique a donc maintenu obligatoire pendant 34 ans au moins (depuis l'arrêté royal sur l'obligation vaccinale polio de 1966 jusqu'en 2000) une vaccination en 3 doses alors que les cas d'"épidémies" montrent qu'on revaccine indépendamment du nombre de doses déjà reçues... voilà qui est formidablement sensé et logique! Par ailleurs, on ne vise que les enfants de 5 ans, là aussi ça pose des questions supplémentaires. Enfin, il faut savoir que ce vaccin oral maintenu obligatoire en Belgique jusqu'en 2000 est celui qui a provoqué en Inde plus de 60 000 cas de paralysie flasque aiguë (= paralysie vaccinale deux fois plus meurtrière qu'une polio naturelle), rien qu'en 2011 (Source: journal indien: The Hindu.com)! Nous étions donc encore bien en-deça de la réalité en avançant le chiffre de 47 500 cas de paralysie flasque aiguë (AFP) causée par le vaccin cette année-là. Si on tient compte des sous-notifications, on dépasse encore certainement ce chiffre de 60 000....Et "comme par hasard", s'il y avait eu 60 000 cas de paralysie due à la polio, on aurait dit, "il faut absolument vacciner, c'est une épidémie inacceptable". Mais ici, comme c'est un des MULTIPLES effets secondaires graves possibles du vaccin, les officiels préfèrent l'ignorer et continuer de plus belle... quelle éthique, quelle solidarité et quelle compassion pour les victimes, il n'y a vraiment pas à dire!
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