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19 mai 2014 1 19 /05 /mai /2014 19:50

« Syndrome du bébé secoué » : croire ou savoir ?

 

Par Rosa Klein-Baer, 16 mai 2014

 

Syndrome-bebe-secoue-dessin.jpg

   

Le mois dernier, Jennifer Del Prete a été libérée sous caution après avoir purgé près de la moitié d’une peine de 20 ans de prison pour le meurtre d’un enfant dont elle avait la charge.

 

Del Prete – une gardienne sans antécédents de violence qui a maintenu être innocente depuis son accusation – avait été reconnue coupable d’avoir secoué un enfant de 4 mois, Isabella Zielinski,  et qui est tombée inconsciente alors qu'elle en avait la charge. Isabella ne s’est jamais réveillée de son coma et est morte à l’hôpital dix mois plus tard. Les procureurs ont insisté sur le fait qu’il s’agissait d’un cas classique de syndrome violent et intentionnel de bébé secoué (SBS), et qu’ils avaient des experts médicaux pour le prouver.

 

Jennifer-del-prete.jpg

 

Cependant, Matthew Kennelly, le juge de district américain qui a ordonné la libération de Del Prete, ne fait pas du tout confiance au verdict de SBS (Syndrome du bébé secoué). Il n’est pas convaincu que les symptômes typiques utilisés pour diagnostiquer un cas de SBS soient suffisants pour prouver qu’une personne est coupable d’abus ou d’assassinat d’enfant.

 

Dans un document très complet de 97 pages, le juge Kennelly attire l’attention sur le fait que la science traitant du « syndrome du bébé secoué » est à ce point controversée qu’il va jusqu’à suggérer : L’affirmation qu’il s’agit du syndrome du bébé secoué relèverait davantage de la foi que d’une proposition de la science. 

 

La décision du juge Kennelly est révolutionnaire, car elle condamne pour la première fois le diagnostic de SBS comme peu fiable, pourtant utilisé au cours du premier jugement. C’est aussi ce diagnostic qui a été utilisé pour condamner des centaines de personnes accusées d’abus et d’assassinats d’enfants. Depuis 1990, plus de mille cas de SBS  ont été présentés devant les tribunaux. Entre la moitié et les trois quarts de ces cas  se sont appuyés sur la triade de symptômes SBS comme seule preuve médicale.

 

Pendant des décennies, cette triade – hémorragie sous-durale (hémorragies à la périphérie du cerveau), hémorragie rétinienne et œdème du cerveau – a été utilisée par les procureurs comme preuves irréfutables pour préciser virtuellement tous les aspects importants de l’affaire : comment l’enfant est mort (enfant secoué violemment), quel en est l’auteur (la dernière personne qui s’est occupée de l’enfant), ainsi que l’état d’esprit du meurtrier sur la scène du crime (furieux, avec intention).

 

On a supposé que – à l’exception des accidents de voiture ou de la chute à partir d’un immeuble – la seule chose qui pouvait provoquer pareilles hémorragies internes, ainsi que des oedèmes du cerveau ne pouvait s’expliquer que si la dernière personne qui avait la garde de l’enfant l’avait violemment et délibérément secoué.

 

D’autres symptômes physiques tels que contusions et coupures auxquels on pourrait s’attendre dans les cas extrêmes d’abus n’étaient en fait pas nécessaires pour l’établissement d’un verdict de culpabilité. Il n’était pas non plus nécessaire qu’il y ait eu des témoins. Un degré énorme de foi dans les principes scientifiques qui établissaient la triade signifiait que, elle seule (la triade), avait le pouvoir de déterminer une culpabilité.

 

Tout ceci est troublant pour plusieurs raisons et non des moindres puisque la science  qui sous-tend cette triade  est remise en question. Beaucoup de médecins reconnaissent aujourd’hui que les mêmes symptômes qui autrefois étaient utilisés pour conclure définitivement que le SBS avait bel et bien eu lieu, pourraient en fait être causés par d’autres éléments comme des infections et des troubles de la coagulation. D’autres chercheurs ont contesté l’hypothèse qu’il était nécessaire que l’enfant soit secoué violemment et intentionnellement pour que ces symptômes aient lieu.

 

Plus important encore, le cas Del Prete nous rappelle la vulnérabilité du système de justice pénale et nous oblige à nous interroger sur notre propre compréhension des théories scientifiques  qu’il nous arrive de prendre pour des « faits ».

 

La notion que les idées sont toujours susceptibles  de faire l’objet de controverses ou d’être sujettes à changement se trouve au cœur même de la science. Pourtant ce principe essentiel n’a pas été retenu au cours du premier procès de Del Prete, comme au cours de centaines d’autres procès semblables au cours desquels on a estimé que la théorie relative au SBS était suffisante pour envoyer quelqu’un en prison. En faisant confiance à cette théorie de la triade comme étant une preuve évidente de culpabilité, nous faisons dépendre les vies de centaines de personnes  d’une seule idée – une idée que l’on arrive maintenant à considérer fausse.

 

Le cas de Del Prete peut nous apprendre beaucoup sur la controverse qui entoure le SBS. Il nous montre combien il est important et crucial que la preuve ne soit pas exclusivement  basée sur une seule idée. La théorie est importante, mais trop compter sur elle serait comme faire confiance à un seul témoin, alors que d’autres n’auraient strictement rien à déclarer à charge. Les choses doivent être vues de manière complète au cours des jugements, faute de quoi le principe « innocent jusqu’à démontré coupable » perd tout son sens.

 

Source : care2.com

 

« Je n’ai aucun doute que cette affaire du « bébé secoué » finira un jour par être enregistrée comme l’une des pires pages de l’histoire de la pédiatrie. » Dr A. Kalokerinos

     

Voir aussi :

 

Syndrome du bébé secoué & vaccinations : parents et gardiennes sont parfois accusés à tort

 

Certaines accusations infondées de maltraitance d’enfants cachent les funestes effets des vaccinations

 

Le père d'une petite fille emprisonné à perpétuité sans possibilité de libération conditionnelle après que sa petite fille eut reçu 8 vaccins

  

Danger: des vaccins qui déclenchent le syndrome du bébé secoué

 

Nexus n°92, mai-juin 2014 : Bébé secoué : un diagnostic abusif ?

 

Syndrome du bébé secoué: un diagnostic abusif?

 

De dangereux vaccins peuvent provoquer  les symptômes du bébé secoué

 

Une police endoctrinée poursuit des parents pour protéger les vaccins

 

Les effets secondaires des vaccinations et les fausses accusations détruisent des familles 

  

Syndrome du bébé secoué (Dr Mercola) 

 

http://www.wellwithin1.com/shakenbaby.htm

 

http://www.whale.to/vaccines/innis_h.html

 

http://www.whale.to/vaccine/yazbak_sbs.html

 

http://www.whale.to/v/buttram1.html

 

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15 mai 2014 4 15 /05 /mai /2014 07:14

Les vaccins surchargent le système immunitaire et sèment des maladies à tous vents chez les enfants : une nouvelle étude le prouve. 

 

Communiqué de presse

13 mai 2014

 

Un nouveau document fournit des preuves convaincantes que les surcharges immunitaires induites par les vaccins, de même que les graves problèmes de santé qui en découlent deviennent la norme et non l’exception chez les enfants américains.

 

Dr-Bart-Classen-immune-overload.jpg

 

Le Dr Bart Classen, MD est immunologiste. Il a créé et supervisé des projets de recherche sur les effets indésirables des vaccins à l’Institut National de Santé, ainsi qu’à l’Institut National des Allergies et de Maladies Infectieuses.

 

Baltimore, 13 mai 2014 / PRNewswire / - Une nouvelle étude évaluée par les pairs a été publiée dans un récent numéro de Molecular and Genetic Medicine (s1 :025)(s1:2014) et présente des preuves convaincantes que l’augmentation rapide du nombre de vaccins administrés aux enfants des Etats-Unis a créé une surcharge immunitaire chez quasi la majorité d’entre eux, et cela se traduit par des problèmes de santé connexes, y compris des épidémies d’obésité, de diabète et d’autisme. Ce nouveau document a été rédigé par le Dr J. Bart Classen, M.D.

 

« Depuis des années, nous avons publié une information qui montre que les vaccins sont à l’origine d’une épidémie de maladies inflammatoires telles que le diabète, l’obésité et l’autisme. Toutefois le nombre de vaccins administrés aux enfants a continué d’augmenter à un point tel que nous avons atteint un état de surcharge immunitaire chez presque la majorité des jeunes enfants américains. Cette nouvelle publication passe en revue les éléments de preuve ayant trait à la surcharge immunitaire et aux nombreux et différents effets sur la santé qui se sont développés chez les enfants suite à leur surcharge immunitaire. », déclare le Dr J. Bart Classen, M.D.

 

La recherche du Dr Claessen indique que le grand nombre de vaccins administrés aux patients conduit à une véritable épidémie d’inflammations chroniques qui, à leur tour, entraînent des épidémies de maladies auto-immunes, des allergies, ainsi que l’obésité et le « syndrome métabolique ».

 

« Les meilleurs données indiquent que les maladies chroniques induites par le vaccin sont aujourd’hui d’une telle ampleur qu’elles éclipsent presque tous les précédents types d’intoxications de l’être humain, y compris l’empoisonnement par des produits comme l’amiante, les radiations à faible dose, le plomb et même les cigarettes. La plupart des patients ne réalisent même pas qu’ils souffrent des effets indésirables des vaccins. Plus grave encore, les patients et/ ou leurs parents sont harcelés, accusés d’avoir adopté de pauvres régimes alimentaires ou des habitudes qui mènent finalement au développement de l’obésité et du diabète, alors qu’en fait ils souffrent d’obésité et de diabète induits par les vaccins. », explique le Dr J. Bart Classen.

 

Source : Marketwatch & Vaccineliberationarmy

 

Autres citations du Dr Bart Classen

 

Dr-Bart-Classen-New-Zealand-Medical-Journal.jpg

« Le vaccin contre l’hépatite B, de même que d’autres vaccins peuvent induire des diabètes insulinodépendants. » New Zealand Medical Journal, 24 mai 1996.

 

« J’ai publié de nombreux articles reliant le diabète aux vaccins. Dans une étude basée sur un essai clinique concernant le vaccin Haemophilus, j’ai montré que le risque du vaccin dépassait le bénéfice. Ce rapport est publié dans le British Medical Journal ».- Dr Bart Classen

 

«  Il m’apparaît clairement que les politiques de vaccination tant militaires que civiles sont inspirées et motivées par la politique et non par la science… Le vaccin contre l’anthrax a été approuvé sans qu’aucune étude clinique contrôlée n’ait été réalisée. Il n’existe aucune donnée de sécurité à long terme à propos du vaccin contre l’anthrax. Le fait a été reconnu par le gouvernement au cours d’une audience du Congrès. C’est une déformation de la vérité que de prétendre qu’il y a des données de sécurité importantes … J’ai publié de nombreux articles  reliant le diabète aux vaccins… » Dr Bart Classen

 

« Le CDC (Centres de contrôle américains et de prévention des maladies) a fait deux études : une sur le diabète et une sur l’asthme…Ces études qui relèvent de la pure science de pacotille (pseudo science) sont essentiellement de la propagande. » (lettre) Dr Bart Classen

 

« Le calendrier de la vaccination affecte le développement du diabète chez les rongeurs », Autoimmunity, 1996, 24 : 137-145.

 

Source : Whale.to

 

Voir aussi: "Le public devrait être informé que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme"

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13 mai 2014 2 13 /05 /mai /2014 11:50

Décès de la petite Haylee cinq heures après

son vaccin contre l’hépatite B

   

Par Linda Williams, Fox 10 News, 18 février 2014. (Extraits)

 

Petit-Haylee.JPG

   

Une petite fille de 10 mois est décédée en mai dernier – victime du syndrome de la « mort subite du nourrisson » (MSN) ont dit les enquêteurs …

 

Mais une autre raison pourrait-elle expliquer le décès de cette petite fille ?

 

Haylee-debout.JPG

  

Elle a reçu le vaccin contre l’hépatite B seulement quelques heures avant de mourir. Sa maman et sa grand-mère ont vécu dans l’incertitude, et ne sachant plus la supporter, elles se sont mises à chercher d’autres réponses.

 

« Perdre votre bébé est la pire douleur que vous puissiez jamais ressentir dans votre vie » dit la maman, Kallie Schmidt, la maman de Haylee.

 

Haylee est née le 15 juillet 2012. Elle est décédée juste 10 mois plus tard. « J’étais émerveillée tant elle était belle », dit la maman.

 

« Elle était toute joufflue, pleine de vie, très facile, la plus merveilleuse petite fille qui soit », dit Debbie Moore, la grand-maman. – Nous étions en train de nous téléphoner quand Kallie (la maman) a trouvé Haylee. »

 

La maman : «  j’au eu un choc épouvantable…. Je ne savais plus quoi croire… Je ne pouvais même pas imaginer que ma petite fille était déjà « partie ».

 

La grand-maman : « De toute ma vie je n’ai jamais entendu quelqu’un hurler de pareille façon et je ne veux plus jamais entendre une chose pareille. »

 

Les examens du médecin légiste ont signalé que pour Haylee, il s’agissait d’un cas de MSN ou « mort subite du nourrisson ». Mais la famille de Haylee suspectait qu’il y avait autre chose. Quelques heures plus tôt, le même jour, Haylee avait reçu le vaccin contre l’hépatite B.

 

La maman : Il n’est pas normal que cinq heures après avoir reçu un vaccin, un bébé ne se réveille jamais plus. » […]

 

Maman-de-Haylee-en-pleurs.JPG

                                    

La grand-mère voulut en savoir davantage : « Nous avons, de manière indépendante, fait appel à un médecin légiste. », déclare-t-elle. Voici son rapport : Le Dr Steven Rostad a constaté que la rigueur de l’autopsie n’était pas extraordinaire et que l’enfant « ne montrait aucun signe de MSN (Mort subite du nourrisson) » Au lieu de cela, Haylee montrait les caractéristiques d’une réaction allergique généralisée probablement due à la vaccination qui avait été administrée plus tôt dans la journée. »

 

La grand-mère de Haylee : « Son rapport a montré qu’il s’agissait absolument du vaccin. »

 

Deces-de-Haylee.JPG

 

Mais le Dr Justin Wheeler, résident en chef à l’hôpital pour enfants de Phoenix qui n’est intervenu d’aucune manière dans le cas de Haylee a déclaré : « Ce vaccin est universellement recommandé pour tous les enfants », il connaît le vaccin que la petite a reçu et le bien qu’il peut réaliser : « Les avantages l’emportent largement sur les risques chez 99,9% des enfants. » déclare-t-il.

 

Pour le Dr Matthew Baral, (Southwest College of Naturopathic Medicine) qui n’est lui non plus pas du tout lié au cas de Haylee, déclare : « Beaucoup de parents ne sont guère intéressés à faire administrer cette vaccination à leur nouveau-né. »

 

« Les risques d’un choc anaphylactique après un vaccin sont très rares, de l’ordre de 1,5/million. »

 

Aujourd’hui, Kallie (la maman) et sa propre maman veulent faire circuler l’information : « On m’avait dit que le vaccin était sans danger et il ne l’est pas » déclare la maman de la petite fille défunte.

 

Elles veulent que les parents puissent prendre en considération les conséquences possibles d’un vaccin qui, comme elles le croient fermement, a tué la petite Haylee. « Je ne veux pas que d’autres parents passent par la douleur que j’ai dû vivre en perdant ma petite fille », ajoute la maman.

 

Comment pourraient-elles oublier cette merveilleuse petite fille qui leur a été volée dans la nuit ?

 

Le débat sur les bénéfces/risques du vaccin hépatite B et d’autres vaccins dure depuis des années et n’est pas prêt de s’arrêter.

 

Source : Vaccinationinformationnetwork

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 10:04

L’histoire de la petite Adaline avec les vaccins

 

Par Erwin Alber, 16 janvier 2014

 

Sweet-Adaline-seringue.jpg

  

Une maman veut partager son histoire. Elle écrit :

 

« Je maudis les vaccins après avoir mis mon bébé dans son berceau. Tout ce que je pouvais faire n’était que pleurer. La prochaine fois que quelqu’un vous dira « les vaccins sont sans danger », «  les dommages sont rares », «  les anti-vaccins sont fous », je voudrais vous demander de partager mon histoire avec ces personnes. Parce que les souffrances sont malheureusement bien réelles.

 

J’ai hésité à publier la photo de ma petite fille (ci-dessous), mais j’ai finalement pensé que je devais le faire parce que je veux que tout le monde sache par quelles situations il nous a fallu passer avec les vaccins en lesquels j’ai cru. Je ne pouvais pas arrêter de pleurer en voyant que mon bébé pleurait lui aussi alors que je lui caressais la tête en priant. Je suis sûre  qu’elle finira par en sortir, mais continuer à attendre que sa situation s’améliore est, d’heure en heure, plus difficile. Après qu’elle fut intubée, j’ai dû sortir. J’aurais préféré pouvoir prendre sa place. Elle n’est qu’un bébé qui ne comprend pas. »

 

adaline-respirateur.jpg La petite Adaline en détresse respiratoire à l'hôpital

 

L’histoire de notre merveilleuse petite Adaline

 

« Adaline était un bébé heureux quand elle est née le 7 mai 2013. A deux mois, elle a reçu ses vaccins de routine comme tout le monde et nous ne nous sommes pas posé la moindre question. La nuit suivante, la santé d’Adaline s’est aggravée et n’a fait qu’empirer dans la suite. Elle a commencé par souffrir des effets indésirables suivants : enflure, rougeurs, irritabilité, somnolence, étourdissements, nausées et vomissements. Cinq jours plus tard, elle était léthargique et vomissait des caillots de sang. Nous l’avons emmenée aux urgences où ils ont vu qu’elle souffrait d’un grave reflux et de déshydratation. Elle y est restée quelques jours, puis on l’a ramenée à la maison. A partir de ce moment, notre petit ange n’a plus jamais été la même.

 

On nous a dit que ces réactions au vaccin étaient normales et qu’il était prudent de lui administrer la seconde série de vaccins prévus pour les 4 mois.  C’est ainsi qu’à 4 mois Adaline a reçu sa nouvelle série de vaccins. Cette fois, elle est tombée malade beaucoup plus rapidement. Elle a fait de graves convulsions, a souffert de terribles vomissements, des caillots de sang se sont formés et tout son corps était enflé. Elle a perdu un demi kilo cette semaine-là. Comme elle était à peine réceptive, elle fut emmenée à l’hôpital texan des enfants. Elle y fut admise pour un séjour de quelques semaines pour y faire de nombreux tests. Nous avons découvert que son cœur qui était parfaitement normal souffrait maintenant de régurgitation tricuspidienne, qu’une valvule était endommagée et devait probablement être remplacée. Nous avons aussi appris qu’elle souffrait de gonflements internes dans tout le corps. Comme elle ne savait plus manger, on a dû lui mettre une sonde gastrique. Elle a aussi été mise sous moniteur d’apnée et moniteur cardiaque pour vérifier l’état du cœur et des poumons. On lui a aussi administré plusieurs médicaments pour que tout soit sous contrôle. A l’âge de 4 mois, elle a subi sa première intervention chirurgicale. Mon cœur était brisé de la voir souffrir. On m’a dit qu’elle souffrait de tas de choses horribles. Mais heureusement, elle a récupéré de la plupart de ces problèmes. Elle a finalement pu rentrer à la maison avec une sonde gastrique, un moniteur d’apnée et quelques médicaments pour le cœur, ses vomissements et sa mobilité.

 

Depuis, elle a encore dû passer quelques séjours à l’hôpital et devra encore y retourner.

 

Je ne savais rien des dangers des vaccinations. Les « risques » qui sont repris sur les notices n’avaient rien à voir avec ce qu’a vécu ma petite fille. Ces vaccins ne devaient lui faire aucun mal ; ils étaient, en outre sensés la protéger.

 

Nous voulons plaider, prendre la défense des enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins, les enfants qui ont eu des problèmes cardiaques, les enfants auxquels on a dû placer des sondes gastriques, les enfants qui souffrent comme Adaline. Je veux espérer que les jeunes parents prendront le temps de faire leur propre recherche sur les vaccins et les médicaments que l’on administre à leurs enfants innocents.

 

Source: Vaccinationinformationnetwork

 

Il nous paraît important de rappeler ici qu’un document confidentiel de la firme GSK sur son vaccin Infanrix hexa (que nous avons publié sur ce site) liste plus de 800 effets secondaires possibles, pouvant affecter tous les systèmes du corps, y compris le cœur et les poumons avec des effets secondaires comparables à ceux décrits par la famille d’Adaline ! Autisme, diabète, épilepsie, mort subite, hépatite etc complètent le triste palmarès de cette liste de drames pouvant découler d’une telle vaccination…

 

Par ailleurs, un autre élément qui doit faire couper court à tout déni malvenu et non éthique du corps médical entre la vaccination et ce type de désastre est la notion importante de « rechallenge » qui est une notion cruciale en pharmacovigilance. De quoi s’agit-il exactement ? Le rechallenge, c’est la répétition, la ré-occurrence d’une série d’effets secondaires après la ré-administration d’un ou des produits qu’on suspectait d’avoir déjà pu déclencher la première série initiale d’effets secondaires. C’est un indice fort supplémentaire qui plaide en faveur d’un lien de cause à effet entre le ou les médicaments (ou vaccins) et les troubles constatés.

 

La médecine peut-être dangereuse et même mortelle dans son entêtement coupable, ses idéologies et son dogmatisme. Ce triste cas en est un exemple parmi tant d’autres et malheureusement, cela ne se passe pas qu’aux Etats-Unis mais en Belgique aussi où des enfants ayant déjà mal réagi à des vaccins sont expulsés de crèches en cas de certificats médicaux de contre-indication, au motif que les parents n’avaient qu’à accepter de revacciner malgré tout leurs enfants, mais en milieu hospitalier !

 

Le dogme vaccinal est d’une violence inouïe, il faut revacciner, quitte à ce que cela entraîne la mort ou des séquelles irréversibles, il faut revacciner jusqu’à ce que les parents osent enfin s’élever de façon infranchissable contre toute nouvelle ré-administration de vaccins. C’est ce qui s’est notamment passé avec les parents de la petite Stacy, décédée en 2011 une semaine seulement après ses 3 premiers vaccins réalisés à l’ONE, alors que la petite était déjà enrhumée. Des travailleurs de l’ONE étaient venus encore jusqu’au domicile des parents peu après le décès pour essayer de les influencer afin qu’ils continuent d’administrer les vaccins à la petite Leslie, la jumelle survivante de Stacy, malgré qu’elle avait elle aussi manifesté des effets secondaires graves comme des apnées qui auraient pu la tuer mais que l’équipe de l’ONE avait été entraînée à minimiser.

 

Fait intéressant (on verra si cela se vérifie dans les faits avec des parents de plus en plus harcelés par cette tyrannie vaccinale in-dé-fen-da-ble !!), le site officiel de la Communauté Française en matière de vaccins – qui continue cependant d’afficher fièrement comme bannière des images de sa pub vaccinale reconnue comme trompeuse par le Jury d’Ethique Publicitaire en 2011- mentionne désormais… pour se couvrir ( ?) ce qui suit :

 

« Comme pour tout vaccin, si un effet secondaire important survient après l’administration d’une dose, il constitue une contre-indication formelle à la poursuite de ce vaccin. »

 

On notera « à CE vaccin »… ben oui, vous ou votre enfant réagirez peut-être mieux à un autre vaccin qui comportera par exemple un petit peu plus de formaldéhyde et moins d’alu et de mercure ou vice-versa, ces gens-là ont toujours en tête le reste du château de cartes des autres vaccins quand ils se trouvent confrontés à des victimes (de plus en plus nombreuses) qui menacent toujours plus le reste de cet édifice et en définitive, de leur idéologie anti-scientifique !

 

 

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11 mai 2014 7 11 /05 /mai /2014 09:22

    Mon bébé est mort après ses premiers vaccins de 2 mois   

   

Bebe-Gunner-Wayne.jpg

 

Alicia LeAnn Bohn,  11 avril 2014

 

Voici mon petit garçon Gunner Wayne. Il est né le 14 janvier 2014. Il est mort moins de 18 heures après avoir reçu la série de vaccins qu’il devait recevoir à huit semaines :

 

HIB (Pedvaxhib)

 

PEDIARIX (DTCa – HEP.B – POLIO inj.)

 

PREVNAR

 

ROTATEQ 3

 

Les médecins examinateurs ont parlé de la “mort subite du nourrisson”, mais je connais la vérité et je ne vais pas m’arrêter jusqu’à ce que je découvre toute la vérité ! Quand j’ai demandé au médecin qui a examiné l’enfant si sa mort pouvait avoir un rapport avec les vaccins, il m’a répondu : «  je ne peux pas parler de cela ». Cette réponse m’a renvoyée à ma propre intuition. - Je voudrais presser les parents et les futurs parents de faire leur propre recherche avant qu’ils n’acceptent que l’on injecte à leur enfant toute une série de produits meurtriers. Personnellement, je donnerais tout ce que j’ai pour pouvoir retrouver mon petit garçon !! DE GRACE, FAITES VOS RECHERCHES AVANT QU’IL NE SOIT TROP TARD !!!!

 

Alicia Le Ann Bohn

 

Source : Vaccinationnetwork

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9 mai 2014 5 09 /05 /mai /2014 08:09

 

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3 mai 2014 6 03 /05 /mai /2014 15:06

Réactions de ma petite fille au vaccin DTCa (Diphtérie-Tétanos- Coqueluche (acellulaire)

 

D’après Edwina Olesen, 30 janvier 2014

 

Izzy-s-story--1-.JPG

 

Izzy  était une petite fille en parfaite santé à la naissance.

 

Izzy-s-story--2-.JPG

 

Elle était heureuse et aimait s’amuser. Je me rappelle quand elle est devenue malade, c’était comme si c’était hier. A ce moment-là, elle avait 18 mois. C’est à ce moment que j’ai décidé de tout mettre en ordre par rapport à ses vaccins.

 

Tout allait bien, mais deux jours plus tard ses yeux nous ont paru gonflés et des taches rouges ont commencé à apparaître sur son corps. Je l’ai de suite emmenée chez le médecin qui a diagnostiqué une fièvre conjonctivite.

 

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Le lendemain matin ce sont ses pleurs qui m’ont réveillée. Elle avait de l’écume à la bouche et son visage était couvert d’une éruption rouge.

 

Izzy-s-story--4-.JPG

 

Je l’ai immédiatement conduite aux urgences de l’hôpital royal des enfants. A la fin de la journée on l’a placée dans une aile vide du bâtiment au cas où elle serait contagieuse.

 

A 11 heures du soir, le médecin nous téléphona de son domicile pour nous dire qu’il avait effectué des recherches toute la journée et qu’il voulait nous informer qu’Izzy avait fait une réaction allergique grave à sa vaccination et qu’elle souffrait du Syndrome de Stevens-Johnson. Je me souviens très bien de notre conversation. Il n’arrêtait pas de répéter à quel point il était désolé. Je n’avais jamais entendu parler de cette maladie et ne savais pas pourquoi il disait tout le temps qu’il était désolé. Moi, je paniquais. J’ai jeté un coup d’œil sur mon iPad et dès que j’ai pris conscience du taux de mortalité, je l’ai refermé.

 

Le Syndrome de Stevens-Johnson est une maladie rare et grave au cours de laquelle la peau et les membranes muqueuses réagissent fortement à un médicament ou à une infection. Cette maladie apparaît le plus souvent après utilisation d’un médicament qui contient de l’Ibuprofen comme le Nurofen, après des traitements à base de soufre, après utilisation d’antibiotiques ou de médicaments antiépileptiques et plus rarement après des vaccinations comme dans le cas de Izzy (réaction au vaccin DTCa). Ce qui est troublant, c’est que l’on peut prendre ces médicaments pendant des années sans aucun problème et puis, pour une raison inconnue le corps va réagir en raison d’une hyper sensibilité quel que soit l’âge.

 

Le Syndrome de Stevens-Johnson commence souvent par des symptômes pseudo-grippaux, suivis d’une éruption cutanée douloureuse rouge ou violacée qui se propage en formant des cloques et qui finit par détruire la peau. Dans le cas de ma petite fille, c’est un peu comme si elle brûlait de l’intérieur. Elle a dû être intubée et placée dans un coma artificiel pour empêcher que son œsophage ne se ferme comme c’est parfois le cas avec les grand-brûlés.

 

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 Izzy a passé les deux semaines suivantes aux soins intensifs pendant qu’on essayait de lui sauver la vie.

 

Une nuit, ils m’ont demandé de venir directement parce qu’ils pensaient qu’elle ne passerait pas la nuit. De toute ma vie je n’ai jamais été aussi malade de peur. Je suis restée à côté d’elle en priant le ciel de la laisser vivre, même si elle devait perdre la vue.


Les choses se sont finalement passées comme si mes prières avaient été entendues. Elle a finalement quitté les soins intensifs, et au cours des trois mois qui suivirent on a essayé de lui rendre un peu de santé. Elle a dû réapprendre à marcher et à manger. Sa peau a heureusement pu se reformer avec un minimum de cicatrices, mais ses paupières restaient collées à ses yeux. . Il a fallu une longue opération à l’ « hôpital des yeux et de l’oreille » pour pouvoir séparer l’œil de la paupière sans endommager la cornée. Heureusement les médecins ont pu réaliser cette opération.

 

Izzy-s-story--6-.JPG

Deux mois plus tard, ses lunettes qui s’étaient brisées lui ont perforé l’œil. Il a fallu une greffe de cornée d’urgence. Je n’ai pas arrêté de pleurer toute la journée sur le sort de ma petite Izzy, et aussi par rapport à l’émotion qu’avait suscitée chez moi le don de cornée d’un petit enfant qui était mort ce jour-là. J’ai trouvé extraordinaire qu’une famille qui était dans la souffrance et dans le désespoir puisse avoir un geste aussi généreux. Je pense souvent à eux et je voudrais tant qu’ils sachent que leur don a permis une si grande différence pour ma petite fille.

 

Izzy a cependant gardé des cicatrices irréversibles à la cornée qui l’ont pratiquement rendue aveugle. Elle ne peut voir que des couleurs fortement contrastées et percevoir le mouvement. Elle porte maintenant des lunettes spéciales de protection.

 

Son œil droit reste toujours collé à la paupière. Elle ne pourra voir que plus tard après une nouvelle opération. Ces opérations ne sont pas sans risques. Le fait d’opérer un œil pourrait enflammer l’autre et lui faire perdre le peu de vue qu’il lui reste.

 

Suite à sa greffe, Izzy est régulièrement sous médicaments immunosuppresseurs. Elle reste courageuse en dépit de toutes les opérations qu’elle a dû subir. Il lui arrive de rire et de paraître heureuse. En plus de tous ses problèmes, elle souffre aussi de photophobie et du syndrome de l’œil sec. Pour le restant de ses jours, elle devra avoir recours à des pommades et à des gouttes. Elle souffre sans arrêt  parce qu’elle a tout le temps l’impression d’avoir du sable dans les yeux.

 

Ce fut une fameuse lutte de tous les jours, mais je veux cesser de me plaindre face au courage d’Izzy qui fait tout ce qu’elle peut pour pouvoir un jour être comme sa sœur aînée.

 

Source : Vaccinationinformationnetwork.com

 

Autres articles :

 

 - Stevens-Johnson Syndrome

 

- The Dangers Of Whooping Cough Vaccination – Prof. Gordon Stewart

 

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22 avril 2014 2 22 /04 /avril /2014 06:30

« Une vie UNIQUE pleinement vécue »

   

L’amour, l’espoir et le courage de Karen Kain pour sa fille handicapée après un vaccin

 

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Lorrin est née à Newport Beach en Californie le 15 mars 1994. A six semaines, Lorrin a fait une mauvaise réaction au seul vaccin qui lui fut administré, le DTC (Diphtérie, Tétanos, Coqueluche). Le vaccin a attaqué son cerveau et a laissé de graves lésions cérébrales. Les médecins n’ont jamais eu d’espoir pour son avenir. Ils ont suggéré à la maman d’accepter que la situation ne serait plus jamais comme avant.

 

Se sentant abandonnée par la médecine moderne, Karen se tourna vers des traitements alternatifs et des conseils spirituels.

 

Malgré tous les efforts de sa maman, Lorrin a continué de faire d’horribles crises incontrôlées qui nécessitaient qu’elle soit chaque fois conduite pour plusieurs jours à l’hôpital.

 

Malgré tout cela, Karen a mobilisé toutes les fibres de son être  pour créer la vie la plus normale possible pour sa fille unique. Elle l’a inscrite dans une école, lui a donné des leçons d’équitation. Sur le plan de l’âme, Lorrin et Karen étaient très proches l’une de l’autre. Ensemble, elles étaient capables de communiquer avec quantité de personnes qui entraient en relation avec elles.

 

Malgré son environnement restreint, Lorrin a vécu la vie la plus pleine possible, bien que son environnement spirituel semblait illimité. On peut dire que la mission de Karen fut une réussite. Bien que la vie de sa fille fût courte, elle n’en fut pas moins unique et « bien remplie ». Jusqu’à son dernier souffle, Lorrin fit preuve beaucoup de courage et même d’un sens incroyable d’humour, comme ont pu le constater tous ceux qui l’ont connue : il n’y avait que de l’amour.

 

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  Lorrin, ma merveilleuse petite fille avant la vaccination DTC

   

BIO

 

Karen Kain – maman d’une enfant fragile, Lorrin, dont la santé avait été, et est restée endommagée pendant 15 ans après la vaccination – enseigne aux parents comment pouvoir profiter de la vie de leurs enfants  quelques soient leurs handicaps ou capacités. Elle partage son expérience pour montrer qu’il est parfois possible de faire autre chose que de s’occuper uniquement des besoins essentiels, et ce, dans tous les domaines de la vie : de meilleurs amis, des soirées, des concerts, du camping, des concours, de la danse à l’école, des comédies musicales, des voyages.

 

Karen voue sa vie à aider les parents d’enfants qui vivent une expérience particulière.

 

C’est en 1994 que la santé de Lorrin a été gravement endommagée à la suite d’un vaccin, et c’est alors que la vie de sa maman s’est littéralement effondrée. La vie comme elle la connaissait a dû être « mise en attente » parce qu’elle espérait pouvoir « guérir » sa fille et lui donner la meilleure vie possible. Karen qui a dû surmonter les rejets, les obstacles, l’isolement,  s’est efforcée d’adapter sa vie pour, malgré tout, tenter d’en faire une réussite avec son unique enfant.

 

Ce à quoi elle ne s’attendait pas du tout, c’est que pour elle ce fut aussi un fameux apprentissage tant pour grandir que pour guérir. Il s’est avéré que Lorrin avait en fait été son maître. Elle lui a appris que la vie était pleine de magie, elle lui a appris à s’aimer, à ne pas juger, à vivre le moment présent que ce soit à l’hôpital ou à Disney Land. Elle lui a appris que la beauté émanait toujours de l’intérieur. Elle lui a appris que nous sommes tous UN et que chaque âme est importante quelles que soient ses possibilités.

 

Karen-Kain-2eme-photo.jpg

   

Lorrin a toujours été parfaitement à l’aise malgré sa cécité, malgré qu’elle ne pouvait pas parler, malgré qu’elle était quadriplégique, malgré toutes les crises qu’elle a connues tout au long de sa vie. C’est quand Lorrin eût 3 ans que Karen a fait le choix courageux « d’embrasser » le caractère unique de Lorrin  et qu’elle a décidé de profiter avec elle de tous les moments et domaines de la vie en surmontant tous les obstacles. Le fait de tenir ensemble la tête haute, a en quelque sorte contribué à donner à d’autres parents la permission d’explorer et de profiter aussi de la vie. Karen a trouvé que la solution pour être gagnants dans pareils types de vie est l’engagement de se maintenir dans des attitudes et perspectives positives, indépendamment de la situation. Pour plus d’information : LorrinsWorld.com and KarenKain.com

 

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Source: Holyhormones.com 

 

« Toute vaccination est susceptible de provoquer une encéphalite légère ou grave…Que faut-il penser d’une « science » qui inflige des dommages neurologiques à plusieurs centaines de milliers d’enfants chaque année ? » Harris Coulter PhD, historien de la médecine

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21 avril 2014 1 21 /04 /avril /2014 09:55

Un tribunal américain admet que le vaccin anti-hépatite B a provoqué une maladie auto-immune fatale chez un nourrisson

 

Family Health Freedom Network, 10 avril, 2014

 

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Dans la société d’aujourd’hui, on injecte aux nourrissons quantité de produits chimiques alors qu’ils viennent de naître. Au nom de la « prévention » on leur administre des vaccins dont nous ne savons même pas s’ils sont ou non sans danger. En fait, dans de nombreux cas, nous savons qu’ils sont « dangereux ». C’est précisément le cas avec le vaccin contre l’hépatite B qui a été approuvé pour les nourrissons à la naissance, mais qui, d’autre part  a été reconnu responsable de maladies graves et même de décès. La Cour fédérale américaine des plaintes a eu à traiter du cas de Tambra Harris qui est décédée d’une maladie auto-immune (lupus érythémateux) systémique (LES). A la suite du décès de l’enfant le tribunal a accordé un dédommagement de 474.000 dollars après avoir trouvé que le vaccin contre l’hépatite B avait causé à l’enfant un dommage sous la forme d’un lupus érythémateux systémique. Mais, cette quasi admission d’une relation de cause à effet entre le vaccin, la maladie et la mort n’a pas suffi. Non, nous continuons à administrer ce vaccin aux nouveau-nés, (alors que la plupart des enfants ont à peine 12 heures. Dr Mercola)

 

Qu’est-ce que l’hépatite B et pourquoi nous raconte-t-on qu’il est si important que les nourrissons soient vaccinés contre cette maladie ? L’hépatite B n’est pas agréable et peut être mortelle.  Mais les nouveau-nés (et l      a majorité des personnes de mon âge) ne sont pas à risque par rapport à  cette maladie. Cette dernière se propage au travers de contacts avec des liquides corporels, comme des rapports sexuels non protégés ou des aiguilles souillées.

 

Les risques associés à la vaccination contre l’hépatite b  sont beaucoup plus importants que le risque de contracter la maladie, déclare le Dr Jane Orient de l’Association des médecins et des chirurgiens américains (AAPS). «  Pour la plupart des enfants le risque d’une réaction grave au vaccin peut être 100 fois plus élevé que le risque de contracter l’hépatite B. »

 

Pourtant, les nouveau-nés reçoivent le vaccin dès leur entrée dans notre monde.

 

Considéré par beaucoup comme crime contre les bébés, la vaccination contre l’hépatite b a été liée au syndrome de la mort subite du nourrisson (MSN), la sclérose en plaques et d’autres maladies auto-immunes. De nombreux experts se sont interrogés sur l’usage très répandu de ce vaccin apparu sur le marché il y a plusieurs dizaines d’années. De plus, de nombreux parents commencent à s’interroger sur la nécessité de ce vaccin.

 

« De plus en plus de parents aux µEtats-Unis prennent contact avec le Centre national d’information sur les vaccins (NVIC) pour signaler leur opposition à la réglementation en cours d’adoption par les fonctionnaires du ministère de la Santé qui exigerait que la loi impose la vaccination contre l’hépatite B à tous les enfants qui fréquentent des garderies, des crèches, l’école maternelle, l’école primaire, le lycée  le collège ou l’université », d’après le NVIC http://www.nvic.org/nvic-archives/newsletter/untoldstory.aspx

 

En tant que parent, c’est toujours à vous qu’il appartient de décider si oui ou non vous allez faire vacciner votre enfant. Il existe de nombreuses recherches qui peuvent vous aider à prendre votre décision. Ne permettez pas que ce soient votre médecin ou les gens de votre entourage qui soient vos seules sources d’information. Faites votre propre recherche pour pouvoir déterminer quelle est la meilleure solution pour la santé future de votre enfant.

 

Références

 

1.http://articles.mercola.com/sites/articles/archive/2011/05/19/us-government-concedes-hep-b-vaccine-causes-systemic-lupus-erythematosus.aspx

 

2.http://naturalsociety.com/hep-b-vaccination-crimes-infants/

 

Source : Family Health Freedom Network

 

Voir aussi: Hépatite B: obligation vaccinale illégitime pour le personnel soignant!

 

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15 avril 2014 2 15 /04 /avril /2014 09:00
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