Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 15:09

Samedi 18 août 2012- Heidi Stevenson [Extraits]

 

SMILEY-triste.jpg

[...] La science fait autorité : Non seulement le vaccin contre l'hépatite B est associé à cette maladie du foie, mais il la provoque. Les dégâts précis qu’il fait sont connus, clairement documentés. De faibles doses de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant aluminique entraînent la perte de l'intégrité mitochondriale, la mort cellulaire et l'apoptose, en particulier chez les cellules hépatiques.



Il est vraiment ironique qu'un vaccin dont le but prétendu est de protéger le foie, soit lui-même cause de maladie du foie.



Les auteurs de Hepatitis B vaccine induces apoptotic death in Hepa1–6 cells [Le vaccin contre l'hépatite B induit la mort par apoptose chez les cellules Hepa1-6], signalent clairement que leur inquiétude se porte sur l'adjuvant hydroxyde d'aluminium, et ses profondes répercussions, car l'aluminium est systématiquement utilisé dans les vaccins pour enfants.   

 

Voici leur conclusion :



"Nous concluons que l'exposition des cellules Hepa1-6 à une faible dose de vaccin contre l'hépatite B avec adjuvant entraîne la perte de l'intégrité mitochondriale, l’induction de l'apoptose, et la mort cellulaire ; l’effet de l'apoptose a été aussi observé dans la lignée des cellules myoblastes de souris C2C12 après traitement avec de faibles doses de vaccin (0,3, 0,1, 0,05 μg/ml). En outre l’effet apoptotique du vaccin contre l'hépatite B a été observé in vivo dans le foie des souris. "



FOIE-HEPATITE.jpg

Solde final : le vaccin contre l'hépatite B est responsable de la mort des cellules hépatiques. Cela ne serait pas en soi une grosse affaire, mais cette étude recoupe un nombre croissant de preuves montrant que la maladie du foie, avec d'autres troubles, résulte des vaccinations contre l'hépatite B et de l’adjuvant aluminique :



 

- Dans l'étude in vivo des effets du vaccin contre l'hépatite B sur l'inflammation et l'expression des gènes du métabolisme : L’expression de 144 gènes ayant des liens avec la fonction hépatique est modifiée.



- Vaccin contre l'hépatite B et réactions gastro-intestinales adultes associés : Analyse de suivi : Les fonctions gastro-intestinales et du foie sont associées à la vaccination contre l'hépatite B.



- Vaccin contre l’hépatite B et problèmes hépatiques chez l’enfant de moins de 6 ans, 1993 et 1994 : Les enfants ayant été vaccinés contre l'hépatite B sont 2,57 fois plus susceptibles de souffrir de problèmes de foie.

 

[…]

     

L’absence d’intérêt du vaccin contre l’hépatite B

 

Bien que la vaccination contre l'hépatite B prélève un lourd tribut d’enfants, une question reste toujours en plan : Quel est l’intérêt de vacciner des nouveau-nés, comme cela se pratique couramment dans les hôpitaux ?

 

La réponse à cette question est particulièrement troublante. La maladie contre laquelle ces bébés sont censés être protégés peut s’attraper seulement par contact sexuel ou être transmise par la voie sanguine. Il est possible de l’avoir de naissance quand la mère est infectée, mais les futures mères peuvent être protégées de l'hépatite B, de sorte qu’il n’y a aucun risque plausible pour le nouveau-né des mères non infectées.

 

Peut-être est-il logique de vacciner la femme enceinte afin de protéger son bébé ? Cette idée ne marche pas, car l’innocuité est très douteuse pour le fœtus.

 

Et la durée de l'efficacité du vaccin contre l'hépatite B ? On peut répondre de deux façons à cette question. Tout d'abord, même si le vaccin dure toute la vie, cela ne justifie pas de vacciner un nourrisson qui n’a même pas développé sa barrière hémato-encéphalique, en augmentant considérablement les risques.

 

La deuxième réponse, est encore plus convaincante : Selon la propre estimation des Centers for Disease Control eux-mêmes (qui, comme beaucoup d'entre nous en sommes conscients, sont suspects), la couverture maximale du vaccin dure 20 ans. Ainsi, juste au moment où l’enfant entre dans l’âge de la plus grande activité sexuelle, le vaccin ne procure plus aucun avantage. (Il convient de noter qu'il existe d'importantes questions quant à son efficacité, même quand il est récent.)

 

Il ne peut y avoir aucune justification à la vaccination généralisée des nouveau-nés contre l'hépatite B. Elle ne leur confère aucun atout possible.

 

Les raisons de vacciner contre l'hépatite B à la naissance

 

Vu l'absence totale d’intérêt du vaccin contre l'hépatite B à la naissance, pourquoi est-il pratiquement obligatoire aux Etats-Unis ? [Ndt : Il n’est pas obligatoire en France.]

 

La première raison, et la plus évidente, est naturellement les profits. Il y a de l'argent à gagner en assurant pratiquement que quasiment tous les nouveau-nés soient vaccinés. Il y a pourtant une possibilité encore plus perfide.

 

Il est désormais évident que les profiteurs de vaccins et leurs larbins gouvernementaux ne permettront pas que l’on se mette en travers de leurs profits. Tel que Jagannath Chatterjee l’a documenté dans Autisme : Conspiration du silence, peu importe que des carrières soient ruinées ou des vies détruites. Si les prébendes vaccinales sont menacées par la démonstration des préjudices des vaccins, alors cette information doit être étouffée, surtout s’il est question d'autisme.

 

L’une des choses que les parents d'un enfant autiste relèvent systématiquement, c'est sa normalité avant le vaccin. Leur enfant n’est pas né autiste. Ils le savent.

 

Seulement, si un bébé est vacciné à la naissance, il n'y a aucun moyen de savoir qu'il y a eu régression dans l'autisme. Pour les parents, il est impossible de savoir que le saccage définitif de leur enfant est dû à un vaccin fait à la naissance.

 

Étant donné le saccage de la réputation du Dr Wakefield et de ses recherches de haute qualité, et le fait que l'autisme a été clairement associé aux vaccinations dans d'autres études, et aussi la reconnaissance par des tribunaux spécialisés d’une relation de cause à effet entre symptômes et vaccinations, on doit se demander si le but réel d'injecter le vaccin contre l'hépatite B aux nouveau-nés n’est pas de cacher la vérité sur l'autisme, qu’il s’agit d’un état induit par les vaccins.

 

Par quel moyen un parent peut-il savoir que son bébé parfaitement normal a régressé dans l'autisme, plutôt que d’être né ainsi, si la régression de l'enfant a commencé avec un vaccin à la naissance ? Combien de parents d'aujourd'hui croient que leurs bébés sont nés autistes tout simplement parce qu'ils n'ont jamais eu l'occasion de le connaître normal ?

   

Sources :  Alter Info & Gaia Health

 

Quel comble ! Rien que cela devrait IMMEDIATEMENT faire lever toutes les obligations de vaccination anti-hépatite B pour le personnel soignant et les autres professions concernées car il est totalement inacceptable d’obliger les gens à troquer le risque d’hépatite B contre des dommages certains au foie, qui est un organe si crucial pour notre bonne santé !

 

Pour les enfants également, le forcing parental pour les faire accepter le vaccin le plus combiné (l’hexavalent, avec la valence anti-hépatite B) est totalement inadmissible.

 

Une fois encore, on remarque que les vaccins ne résolvent RIEN mais ne font « au mieux » que créer d’autres problèmes encore plus graves. Car qui dit un foie qui fonctionne moins bien dit aussi une moins bonne détoxification du corps vis-à-vis des très nombreux polluants cancérogènes et mutagènes qui nous entourent mais également un dysfonctionnement possible de toute une série de circuits métaboliques dans lesquels le foie est impliqué (conversion des précurseurs des hormones thyroïdiennes en hormone T3 bio-assimilable ; synthèse de la coenzyme Q10 endogène et participation à la synthèse de plusieurs hormones, participation à la régulation de l’équilibre glycémique,etc etc…).

 

En prétendant « protéger » les gens, on les affaiblit encore donc beaucoup plus puis le système profite hélas par après, sur le plan financier, de leurs maladies en faisant vendre des médicaments aux pharmas et en faisant tourner les hôpitaux et les machines.

  

Les vaccins anti-hépatite B actuellement disponibles sont en outre des vaccins transgéniques (c'est-à-dire fabriqués par génie génétique, avec tous les risques propres que cela comporte bien entendu). Les premières versions sont sur le marché depuis 1986 déjà soit depuis plus de 25 ans. Et c’est seulement en 2012 qu’une étude sort sur les dégâts cellulaires objectifs que ces vaccins peuvent causer au foie, l’organe pourtant cible de cette vaccination! Les vaccins anti-HPV prétendument « contre le cancer du col de l’utérus » sont soit disant déjà étudiés depuis plusieurs années. Pourtant, des données récentes indiquent que ces vaccins peuvent aussi favoriser et augmenter les taux de frottis anormaux, dysplasies du col et de cancer du col de l’utérus liés à des souches non vaccinales mais aussi aux souches vaccinales lorsqu’une jeune fille déjà contaminée se fait malgré tout vacciner (+ 44,6% de risque !)

 

Tout cela suffit donc à démontrer une fois encore que les vaccins sont en réalité des produits purement expérimentaux dont on sait bien trop peu des effets possibles avant de les utiliser massivement sur le public. Et d’ailleurs, même le Dr Anne-Marie Moulin du CNRS a admis en conclusion du documentaire « Vaccins, le virus du doute », qu’ « il ne faut pas cacher au public que ces nouveaux vaccins sont des vaccins expérimentaux et que quelque part, on ne peut pas se passer d’un saut, qui est le saut dans la population pour appliquer à un grand nombre d’individus un vaccin qui, par définition, n’est pas nécessairement adapté à la constitution de chacun. »

 

Au prochain nouveau vaccin qu'on vous présentera, posez-vous donc la question de savoir s'il ne risque pas de faire pire que bien, et de vous faire échanger un risque incertain de maladie contre des dégâts certains de l'organe prétendûment protégé par la vaccination!

 

Partager cet article
Repost0
19 août 2012 7 19 /08 /août /2012 12:21

Mort mystérieuse d'un nourrisson 

   

17 août 2012- L'UNION

 

Sekoumar.jpg

REIMS (Marne). C'est une tragique histoire qui s'est déroulée à Reims le 10 juillet dernier. Après s'être fait vacciner, un nourrisson d'un mois est décédé sans explication apparente.

 

LE 10 juillet dernier, un mois après avoir donné naissance à son fils Sekoumar, Aminata Bach se rend à ce qui devait être un rendez-vous de routine à la PMI de l'espace Pays-de-France de la maison de quartier Croix-Rouge afin d'y faire vacciner le nourrisson.


D'après les parents, c'est une infirmière en stage qui s'occupe de lui administrer le vaccin BCG contre la tuberculose. Mais lorsque celle-ci plante l'aiguille et lui injecte le sérum, la réaction de l'enfant est inexplicable.


« Dès que l'aiguille a été introduite, mon enfant a commencé à pleurer et à vomir une grande quantité de sang. Le sang sortait même par son nez, c'était vraiment horrible. Puis, d'un coup, il a arrêté de respirer, j'ai bien senti que mon enfant était mort », explique la jeune femme de 28 ans.


La stagiaire avertit aussitôt sa responsable, pédiatre de la PMI, qui, dès son arrivée, constate que l'enfant est sans vie. Elle tente immédiatement de le réanimer.


Quelles sont les causes du décès ?


« Je suis très vite arrivé pour rejoindre ma compagne, j'ai tout de suite vu tout ce sang sur la table de soin, sur le sol… mon fils avait à ce moment-là été réanimé. Les secours avaient été prévenus mais tardaient à venir et mon enfant continuait à vomir du sang. Alors avec la pédiatre, nous avons décidé de l'emmener nous-mêmes à l'hôpital », ajoute Koita Sekou, le papa de 32 ans d'origine guinéenne.


Juste après leur départ, le pédiatre et le jeune couple croisent l'ambulance des secours qui prend le relais pour le transporter aux urgences pour enfants de l'Hôpital américain.


« Sur place, les différents médecins ont fait des diagnostics mais sans être sûrs de la piste à suivre. Ce n'était que des probabilités. Sekoumar a été pris en charge par les médecins et les infirmières dans le but de subir des examens complémentaires et éventuellement une intervention chirurgicale si celle-ci s'avérait nécessaire. Puis aux alentours de 19 heures, le docteur Béatrice Digeon est venue nous informer que notre enfant était décédé et que tout avait été fait pour le réanimer », précise le couple meurtri.


Personne ne semble pouvoir indiquer aux parents les causes exactes du décès du nourrisson et malgré le choc qu'ils viennent de subir, ils ont la lucidité d'exiger des explications. Dès lors, le docteur Béatrice Digeon répond à leurs demandes et leur fait signer les documents relatifs à toute procédure d'autopsie médico-légale.


« Cette autopsie n'a pas permis d'éclaircir la mort de Sekoumar. Par contre, elle dit bien que mon fils était en parfaite santé et vient appuyer les documents de la clinique Saint-André qui allaient également dans ce sens », affirme Koita Sekou.


Une information judiciaire est alors ouverte par le parquet de Reims puisque le décès a été jugé suffisamment inquiétant. Une seconde autopsie est ordonnée par le juge d'instruction saisi du dossier. Commence alors une interminable attente pour les parents.


« Je fais vraiment confiance aux institutions françaises, nous sommes dans un état de droit, mais toujours est-il que le médecin nous a conseillé de nous porter partie civile pour pouvoir avoir accès au dossier. Nous avons donc contacté l'aide juridictionnelle qui nous a mis en relation avec maître Élisabeth Rota-Gualtieri.
Aujourd'hui, cela fait plus d'un mois que notre fils est mort et nous ne savons toujours pas pourquoi. Personne pendant ce mois ne nous a communiqué quoi que ce soit sur le dossier hormis Mme Bezard de l'aide aux victimes. Ce que j'ai du mal à admettre c'est que notre avocate ne se soit pas plus impliquée que cela. Lorsque je lui posais des questions, elle me disait d'aller voir moi-même l'hôpital et nous venons d'apprendre qu'elle est partie en vacances. Sans nous expliquer s'il est possible ou non de récupérer le corps…C'est incompréhensible et en même temps inhumain de nous laisser dans le doute. Cela augmente notre douleur de ne pas savoir si le décès est en rapport avec le vaccin ou si c'est un problème génétique », soulignent les parents.


Hier, le docteur Béatrice Digeon a reçu les parents pour leur communiquer les résultats de la seconde autopsie effectuée à Lyon, mais là encore, les médecins sont dans l'incapacité d'expliquer la mort du petit Sekoumar.


Aminata Bach et Koita Sekou, à l'heure où nous écrivons ces lignes, ne savent toujours pas quand ils vont pouvoir récupérer la dépouille de leur enfant, ne connaissent pas les causes de son décès et surtout ne peuvent toujours pas commencer à faire le deuil de leur enfant qui aura passé plus de temps entre les murs d'une morgue qu'auprès de sa famille de son vivant.

 

Thierry ACCAO FARIAS

 

Source : l’Union.presse.fr  (Voir aussi ICI)

 

Cette triste nouvelle impose UNE SEULE QUESTION: Que faudrait-il exactement trouver comme éléments dans l'autopsie pour que les officiels puissent éventuellement considérer que le vaccin ait pu causer ou contribuer au décès?

Cette question se pose d'autant plus que les effets secondaires des vaccins font l'objet d'un déni carabiné et d'une véritable chape de plomb. En Belgique, le petit Xandro était mort une semaine après ses vaccins et nous avions déjà annoncé avant les résultats d'autopsie la teneur sans surprise des résultats. Pour la petite Stacy Sirjacobs, décédée aussi une semaine après ses vaccins en Belgique, l'autopsie a été carrément refusée. A un moment donné, il faut en revenir à l'élémentaire bon sens: l'autopsie a confirmé que Sekoumar était en parfaite santé? Alors la logique commande de considérer la vaccination comme LA CAUSE la plus probable jusqu'à preuve de contraire! C'est tout de même un acte qui n'est ni neutre ni anodin la vaccination qui consiste en un court-circuitage de tout notre système immunitaire puisqu'une injection ne respecte PAS les voies d'entrée immunologiquement prévues par la Nature pour la pénétration des microbes dans l'organisme (peau, muqueuses). Si vous installez mal des programmes sur un PC, il va "bugger", on considère ça comme normal et logique or ici, si on court-circuite un système aussi subtil et complexe que le système immunitaire d'un tout jeune enfant jusqu'alors en parfaite santé et qu'il décède brutalement, on innocentera le vaccin?? Absurde!

 

Un lecteur attentif et vigilant nous a par ailleurs communiqué un article sur la contamination par des moisissures de vaccins BCG de Sanofi Pasteur au Canada, à l'origine du fait que le pays s'approvisionnera désormais au Japon. Faudrait-il y voir un lien avec le décès du petit Sekoumar?

Partager cet article
Repost0
18 août 2012 6 18 /08 /août /2012 21:36

malaria.JPG

6 août 2012. Philly.com

 

Médecine évolutionniste: Une recherche montre comment les vaccins peuvent accélérer l'évolution de parasites plus agressifs. [Analyse d'IC en fin d'article]

 

Quand le biologiste de l'Université d'état de Pennsylvanie, Andrew Read, a injecté aux souris le composant de plusieurs vaccins prometteurs contre la malaria, il a obtenu un résultat inquiétant: les parasites de la malaria se sont répandus parmi les souris vaccinées et ont évolué pour devenir plus virulents.

 

Les souris non vaccinées infectées par ces "super parasites" étaient encore plus malades que celles infectées avec le parasite ordinaire de la malaria.

 

Les résultats, a dit Read, ne devraient pas décourager la recherche sur des vaccins anti-malariques. [...] Entre 15 et 20 vaccins contre le paludisme sont actuellement au stade des essais cliniques un peu partout dans le monde, pour la plupart en Afrique. Read, qui est un biologiste évolutionniste expérimenté a dit espérer que ses résultats accéléreront l'analyse, par les chercheurs qui développent ces vaccins, de la manière dont ceux-ci peuvent affecter l'évolution des parasites.

 

Read a également travaillé sur l'évolution de bactéries résistantes aux antibiotiques. Dans une publication provocante sortie l'année dernière, il a suggéré que les doses d'antibiotiques habituellement prescrites peuvent parfois favoriser l'émergence de souches résistantes. Des doses plus faibles, qui permettent au système immunitaire de tuer les bactéries résistantes, pourraient constituer une meilleure approche à long terme.

 

Dans les maladies infectieuses, les microbes ou parasites se font concurrence à l'intérieur de l'hôte, comme le font les individus dans une population. Si un médicament ou un vaccin n'éradique ou ne prévient pas complètement l'infection, l'intervention peut faire basculer le champ des évolutions possibles  et éventuellement favoriser non seulement les insectes qui résistent à un médicament particulier, mais aussi ceux qui se répandent plus vite, ou causent des symptômes plus sévères, a encore dit Read.

 

Les résultats sur la malaria, publiés la semaine dernière dans le journal PLoS Biology, sont pris au sérieux par les chercheurs qui travaillent sur ces vaccins. "S'il y a un effet comme celui-là, nous devons être conscients de cela et prendre des mesures pour minimiser ce genre d'impact." a dit Patrick Duffy, le responsable du laboratoire sur l'immunologie de la malaria et la vaccination à l'Institut National de Santé (NIH).

 

Les résultats ne s'appliquent pas à la plupart des vaccins existants, comme ceux utilisés contre la variole, la rougeole et les oreillons. Ceux-là empêchent d'être jamais infectés d'où qu'il n'y a pas d'opportunité pour les virus d'évoluer chez les personnes immunisées, a dit Read. Mais le parasite de la malaria est un organisme plus complexe et aucun vaccin actuellement testé n'est capable de l'éradiquer complètement.

  

A ce jour, le mieux que les scientifiques puissent faire avec des vaccins, est de mettre l'infection en sourdine et d'améliorer les symptômes, de façon à ce que les enfants infectés aient moins de chances de mourir. Mais les personnes vaccinées restent encore porteuses du parasite et de ce fait, ces moustiques peuvent encore aller contaminer d'autres gens. De tels vaccins imparfaits sont en quelque sorte des vaccins "permissifs" car ils permettent encore la fuite des pathogènes qui peuvent encore se multiplier et évoluer à l'intérieur de l'hôte. D'autres vaccins "permissifs" pourraient éventuellement être utilisés pour le traitement du HIV.

 

L'évolution pourrait aussi jouer un rôle dans la façon dont les maladies réagissent aux vaccins. La coqueluche est l'une d'entre elles, a expliqué Read, depuis que les effets du vaccin s'amenuisent.

 

Les chercheurs devraient aussi être vigilants au sujet de l'évolution du papillomavirus humain (HPV) qui est impliqué dans le cancer du col de l'utérus a-t-il dit. Les vaccins actuels ne protègent pas contre toutes les souches du virus et pourraient ainsi permettre à des souches non ciblées de devenir progressivement plus virulentes.

 

"Nous nous dirigeons vers des situations où les parasites évoluent en présence de populations vaccinées" a-t-il dit. "Nous devons être sûrs que nous n'allons pas créer des situations qui permettront la diffusion de souches plus virulentes."

 

Tandis que le parasite de la malaria qui infecte les humains ne peut pas être transmis aux rats ou souris de laboratoire, ces animaux peuvent être infectés avec une version différente du parasite qui infecte dans la nature certains rongeurs africains. 



Pour un vaccin dans cette expérience sur souris, Read et sa collaboratrice Victoria Barclay ont choisi une protéine appelée AMA-1, qui est le composant-clé de plusieurs vaccins actuellement en développement en Afrique. Ils ont permis au parasite de se diffuser à 10 souris vaccinées différentes. Ensuite, ils ont laissé ces parasites infecter des souris non vaccinées.

 

Ce nouveau parasite de la malaria a rendu les souris non vaccinées encore plus malades qu'avec la forme classique de la malaria qui n'avait pas évolué chez les souris vaccinées. Read a dit qu'ils étaient encore en train de comprendre les mécanismes spécifiques par lesquels le parasite de la malaria est devenu plus agressif et plus virulent.

 

Il est possible, a-t-il dit, que la réponse immunitaire accélérée par le vaccin ait barré la route aux parasites les plus faibles, laissant ainsi les plus agressifs se répandre plus rapidement du fait d'une moindre compétition entre eux. 

 

Duffy, de l'Institut National, de Santé a dit que les résultats influenceront la manière dont ils conduisent les essais cliniques de vaccins sur les humains dans plusieurs pays africains. Dans l'expérience de Read, c'était les souris non vaccinées qui risquaient le plus de souffrir d'une maladie aggravée. Si les choses tournent donc de la même manière pour les humains que chez les souris, a-t-il dit, les vaccins pourraient bénéficier à certaines personnes mais rendraient la situation plus dangereuse pour ceux qui resteraient non vaccinés.

 

"Nous avons non seulement besoin de suivre les gens à qui nous avons donné le vaccin mais aussi les autres personnes de la communauté" a dit Duffy.

 

Les chercheurs sont en train d'explorer différentes tactiques de développement des vaccins, a dit Duffy. Ils sont en train de cibler le parasite à différents stades de son cycle de vie complexe, y compris la phase où il vit à l'intérieur du moustique. Certains de ces stades pourraient être moins favorables que d'autres pour l'évolution du parasite

 

Duffy et Read s'accordent sur le fait que cette nouvelle publication devrait accroître la conscience d'une possible évolution mais pas mettre le feu à des craintes irrationnelles envers les vaccins. (sic). "Les vaccins restent notre meilleur outil de santé public" (sic) a dit Duffy. "Ils sont notre meilleur moyen le plus rentable d'améliorer la santé publique." (resic)

  

Source: Philly.com

 

Hallucinant: Non seulement des scientifiques irresponsables jouent aux apprentis-sorciers avec les deniers publics en risquant de faire PIRE QUE BIEN mais en plus, ils finiront par mettre directement en péril la santé des non vaccinés et le DROIT de tout un chacun de ne pas se faire vacciner car bien entendu, la fameuse “solidarité” dont on ne cesse de nous parler en matière de vaccination va ici complètement s’inverser en se transformant en un égoïsme particulièrement lucratif, oppressant ainsi de plus en plus les non vaccinés tout en les mettant davantage en danger !

 

Ainsi, la question éthique sera de taille : le droit des gens de se faire vacciner en pensant ainsi se protéger eux pourra-t-il légalement primer sur le droit des non vaccinés de se protéger (et de protéger les générations futures également) de « super parasites » responsables de maladies encore plus graves qu’auparavant ??

 

Les non vaccinés vont donc pouvoir culpabiliser comme il le faut les sujets très égoïstes (mais surtout très désinformés) qui accepteront bêtement de recevoir ce vaccin sans aucune compassion pour la véritable « protection de groupe »…

 

Et le pire c’est que ces gens qui mettent ces énormes risques en lumière sont plus que probablement obligés de rester dans le « politiquement correct » en répétant les louanges éculées à la gloire des vaccins, tout en rappelant que cela ne doit pas amener « des craintes irrationnelles ». Des gens qui manifestent ceci dit de grosses lacunes dans leur connaissance des vaccins puisqu’on ne peut absolument pas dire qu’il n’y a pas d’évolution possible pour des vaccins comme les oreillons ou la rougeole ou autres ; la vérité est qu’ils n’en savent rien. Si on prend le cas des oreillons, on voit que le vaccin semble de moins en moins efficace (même en deux doses). Par ailleurs, pour ce qui est d’un vaccin comme celui contre l’hépatite B, il a été constaté en plusieurs endroits (dont en Italie où ils ont très massivement vacciné) des formes mutantes plus dangereuses encore du virus ! Pourtant, apparemment, on aurait pu aussi à priori croire que pour un tel virus (de l’hépatite B), il n’y avait pas « 36 versions ». La Nature a définitivement des parades que la Science doit avoir l’humilité de ne pas forcément pouvoir prévoir !

 

Soyons en tout cas « sans crainte », seuls les labos n’ont vraiment rien à craindre dans toute cette (sale) histoire !!

 

Partager cet article
Repost0
15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 15:00

L’étude la plus accablante sur les vaccinations

seringue jaune naturalnews 

Paul Fassa, 15 août 2012 (Natural News)

 

Des études épidémiologiques ont déjà confirmé qu’en ce qui concerne la santé à long terme, les vaccinés ne se portent pas aussi bien que les non vaccinés.

 

Ces études épidémiologiques ont montré que l’on retrouve davantage de problèmes de santé parmi les vaccinés que parmi les non vaccinés.

 

Cet état de choses  n’a jamais fait l’objet d’études contrôlées sur les animaux avant l’étude japonaise de l’Université de Kobe en 2009.

 

L’étude revue par les pairs qui a été publiée dans Plos One Open Journal fin 2009 n’a guère attiré l’attention du public. C’est un article de Heidi Stevenson qui a fait connaître cette étude importante.

 

Résumé de l'étude japonaise

 

L’auto-immunité systémique semble bien être "la conséquence inévitable" d’une sur-stimulation du système immunitaire faisant suite à une immunisation avec antigènes et qui dépasserait les possibilités propres du système immunitaire.

 

L’objectif initial de cette étude indépendante a été de comprendre comment les maladies auto-immunes se développent à partir de l’auto-immunité. Elle n’a en aucun cas été destinée à montrer les dangers ou la sécurité des vaccins. Les chercheurs ont utilisé des souris et leur ont fourni une nourriture leur permettant d’éviter au maximum les maladies auto-immunes. Ils leur ont ensuite injecté des solutions contenant des antigènes.

 

Les antigènes génèrent des anticorps destinés à protéger contre l’invasion de pathogènes. Mais il arrive que les anticorps se retournent contre leur hôte et provoquent des maladies auto-immunes. Les vaccins injectent des antigènes de virus atténués ou tués en vue de produire des anticorps contre cet antigène pour induire une immunité contre telle ou telle maladie. Il n’est pas rare que des tempêtes de cytokines (réactions excessives du système immunitaire) puissent submerger le sujet vacciné. Il est connu que les vaccinations peuvent produire des effets invalidants irréversibles, l’autisme ou même des décès ; complications qui la plupart du temps ne sont pas rendues publiques.

 

Les chercheurs de Kobe ont injecté des antigènes à des souris qui avaient été spécialement nourries pour éviter de déclencher des maladies auto-immunes et ce, à plusieurs reprises comme c’est le cas avec les vaccins qui sont administrés à des nourrissons ou à des enfants. Leur objectif était de comprendre comment le système immunitaire pouvait se retourner contre son hôte en créant des maladies auto-immunes.

 

Ils ont utilisé le Staphylococcus enterotoxin B (SEB) comme antigène.

 

L’étude ne fait pas mention de l’utilisation d’adjuvants toxiques ou de conservateurs comme le mercure, l’aluminium, le formaldéhyde qui sont généralement utilisés dans les vaccins. Les antigènes ont été utilisés sans les additifs toxiques que l’on retrouve dans la plupart des vaccins.

 

Après 7 injections, les souris ont encore pu récupérer et leur système immunitaire est resté intact. Mais après la 8ème injection, des problèmes avec les cellules clé du système immunitaire ont commencé à apparaître. Les cellules endommagées qui ont été observées au microscope ont montré des signes d’auto-immunité débutante. Le système immunitaire avait en fait commencé à produire des réactions auto-immunes après l’inoculation répétée d’antigènes.

 

Conclusion

 

Les tests sur animaux de l’étude de Kobe ont montré comment des réactions auto-immunes peuvent être la conséquence de l’injection répétée d’antigènes et que seules les injections répétées après des intervalles de temps suffisamment longs pouvaient permettre une complète récupération.

 

Les maladies auto-immunes ont augmenté en quantité et en variété dans la mesure où de plus en plus de vaccins ont été proposés aux personnes naïves. Même les maladies infectieuses que les vaccins étaient sensés prévenir ont touché les vaccinés dans des proportions plus importantes que ce que l’on a bien voulu révéler au public.

 

Sources : Natural News, Gaia Health & Plos One

 

casino-roulette-russe.png

Les enfants reçoivent dès leur plus jeune âge des dizaines de stimulations antigéniques d’origine vaccinale à des intervalles relativement rapprochés.

 

Qui peut donc prouver, comme en atteste cette étude, que ces stimulations artificielles intempestives ne se soldent pas par des milliers de maladies auto-immunes inutiles chaque année ? La vaccination ne consiste-t-elle pas alors, dans le meilleur des cas, en une sorte de troc sinistre de maladies aigues majoritairement bénignes et réversibles en maladies auto-immunes débilitantes et le plus souvent incurables ?

 

En outre, ces résultats accablants concernent uniquement les antigènes alors que les vaccins consistent en un cocktail d’autres substances dont l’effet synergique n’est donc certainement pas « plus doux » que ce que les chercheurs ont obtenu sur les souris avec l’injection des seuls antigènes !

 

Chaque dose de vaccin peut donc être « la dose de trop » et  chaque injection s’avère être par conséquent une véritable ROULETTE RUSSE. Que les parents décident ou souhaitent y soumettre leurs enfants est une chose, mais qu’ils le fassent sans en être pleinement conscients est autrement plus grave encore, en termes d’éthique et de démocratie.

 

Voir aussiUne nouvelle étude montre que les vaccins surchargent le système immunitaire et génèrent des maladies auto-immunes

Partager cet article
Repost0
15 août 2012 3 15 /08 /août /2012 14:35

fotolia, oeil qui analyse

Comme nous, nos animaux de compagnie subissent une inflation vaccinale, moins par la variété des nouveaux vaccins qui arrivent progressivement sur le marché que par la fréquence des rappels qu’ils subissent.

 

Il est intéressant, en ces temps de frénésie vaccinatoire, d’analyser les différences qui existent dans les types de recommandations et les mesures de « prudence » respectives. 

 

Les effets secondaires sont-ils aussi tabous qu’en médecine humaine ?

 

 

> Voir le tableau comparatif et lire la suite de cet article sur Agoravox.

Partager cet article
Repost0
14 août 2012 2 14 /08 /août /2012 21:12

La députée fédérale Ecolo Thérèse Snoy a adressé deux questions orales, le 21 juin dernier, à la Ministre de la Santé Laurette Onkelinx au sujet de la sécurité des vaccins.

 

Ces questions concernent l'aluminium en tant qu'adjuvant vaccinal d'une part et les critères d'évaluation de la sécurité des vaccins d'autre part.

 

La première question faisait notamment référence au rapport parlementaire français (rapport Jardé) et consistait à demander à Laurette Onkelinx ce qu'elle pensait de cette recommandation d'un moratoire sur l'aluminium vaccinal qui va donc dans le sens du principe de précaution.

 

Sans surprise, Laurette Onkelinx a tout nié en bloc, en se réfugiant derrière ses comités d'experts belges ainsi que derrière la très décevante Agence européenne des Médicaments selon laquelle, nous citons, "il n'existe aucun argument scientifique pour remettre en question le profil de sécurité de l'aluminium, tel qu'utilisé en sa qualité d'adjuvant, dans les vaccins utilisés chez les enfants."

 

Laurette Onkelinx répète ensuite le baratin de cette instance européenne (financée à 80% par les industriels du médicament) qui évoque un seuil de toxicité jamais testé pour l'aluminium de 1,25 mg par vaccin alors que la toxicité de l'aluminium ingéré est pourtant très inférieure à celle de l'aluminium injecté. Selon la réponse de Laurette Onkelinx, les vaccins ne comporteraient que 0,5 mg d'aluminium par dose soit moins que le seuil limite et il n'y aurait aucun problème puisque moins de 2% de l'aluminium injecté serait absorbé par le corps. En réalité, elle n'en sait rien, pas plus que les instances derrière lesquelles elle se réfugie puisqu'aucune analyse pharmacocinétique n'est jamais imposée aux vaccins.

 

Une analyse pharmacocinétique consiste en fait justement à analyser le devenir des différents composants d'un médicament  une fois administré, c'est à dire comment ils se diffusent, se distribuent, se métabolisent, s'éliminent. Autant de questions cruciales, d'autant plus cruciales d'ailleurs qu'avec un vaccin, on ne sait pas minimiser les effets secondaires en arrêtant la prise et que cela met en branle le système immunitaire de façon autrement plus irréversible! Laurette Onkelinx prétexte qu'il serait difficile de faire une analyse pharmacocinétique pour les vaccins en raison des faibles doses des divers composants. Ce n'est là guère convaincant puisque ces analyses sont effectuées et requises pour les autres médicaments qui contiennent pourtant eux aussi des doses infimes de certaines substances! Les laboratoires de recherche actuels seraient parfaitement à même de mener ce genre de  recherches puisque l'équipe du Pr Gherardi de Créteil a pu "marquer" l'aluminium vaccinal pour le suivre à la trace jusque dans le cerveau des souris où il a abouti. Il s'agit donc uniquement ici d'un manque de volonté politique, qui bénéficie aux industriels mais qui a un effet ravageur sur la santé publique.

 

Les réponses du style "On suit ça de près" ne doivent donc plus duper personne. En réalité, ce qu'on suit le plus de près dans les Ministères, ce sont les proffits et les intérêts des amis de l'industrie, la signature du contrat surréaliste d'achat de vaccins H1N1 en ayant apporté la preuve ultime, si besoin en était encore.

 

La deuxième question portait sur les critères d'évaluation de la sécurité des vaccins, un sujet tellement tabou que le titre même de cette question a été détourné vers le thème de "l'efficacité et la fiabilité des vaccins", critiquer l'efficacité des vaccins étant toujours plus politiquement correct que débattre de leur sécurité.

 

Vient alors une introduction consistant à se défendre de partager les opinions d'Initiative Citoyenne (surtout pas, quelle horreur!!) et qui ressemble presque à une excuse préalable d'oser poser de si désagréables questions à cette Ministre inflexible.

 

Les questions sont bonnes, ce sont celles que nous avions soulevées sur le véritable scandale des passe-droits accordés aux vaccins comparativement aux autres médicaments, à savoir l'absence de tests de cancérogénicité, mutagénicité et tératogénicité, le non recours à de vrais groupes placebos, l'absence de toute exigence d'analyses pharmacocinétiques pour les vaccins, ainsi que la durée ridiculement faible des essais cliniques de vaccins.

 

La réponse de Laurette Onkelinx à cette nouvelle série d'interrogations est sidérante.

 

Elle débute par un aveu maison et tellement lourd de conséquences pour la santé de millions de vaccinés!

 

Laurette Onkelinx: "Pour évaluer la sécurité des vaccins, on les compare effectivement avec un autre vaccin, un vaccin dit référence. Ce choix de méthode est le résultat de débats, menés il y a quelques années, avec notamment les comités d'éthique."

 

"Cette méthode permet d'évaluer la plus-value réelle du nouveau vaccin. En outre, dans certains cas -dans le cas de l'oncologie par exemple- on ne peut admettre de soumettre des individus à des placébos purs."

 

On aperçoit, ceci dit, mal où est l'éthique d'avoir exposé depuis plus de 200 ans, des millions de gens à des vaccinations massives sans que jamais leur sécurité réelle n'ait pu être évaluée par l'indispensable et seul recours fiable possible aux vrais groupes placebos avec substance neutre. Il s'agit là de tout l'inverse car c'est contraire à la Science qui impose de vérifier ce qu'on avance. Ici, on impose ce qu'on ne veut surtout pas vérifier (c'est à dire un dogme, à savoir que c'est un FAIT, les vaccins font forcément plus de bien que de tort- on est ici dans l'idéologie et plus du tout dans le champ scientifique au service de l'utilité publique!).

 

Loin d'évaluer la plus-value réelle du nouveau vaccin, on offre simplement aux industriels un beau cadeau qui leur facilite formidablement la tâche pour prouver de façon assurément factice que leurs produits ont "un profil de tolérance acceptable par rapport au (faux) groupe placebo"! Ceci démontre donc que tout est axé sur les prétendus bénéfices des vaccins mais jamais sur leur sécurité réelle. En effet, si la volonté d'objectivité avait existé, rien n'aurait empêché qu'on compare les vaccinés à d'autres vaccinés pour ce qui est de l'évaluation de l'efficacité d'un nouveau vaccin donné mais qu'on recourt cependant à de véritables substances neutres (vrais placebos) pour ce qui est de l'évaluation de leur sécurité or c'est seulement sur base de ces deux données au moins (les bénéfices ET les risques) qu'on peut évaluer la plus value réelle et globale d'un nouveau vaccin donné!

 

En matière de cancer également, c'est cette même ficelle commerciale qui prévaut, en dépit des chiffres ridiculement faibles de succès de la chimiothérapie (et encore, au prix de quelles souffrances!). Mais voilà, chaque chimiothérapie est une manne financière pour les fabricants...un bon million d'ancien francs belges au moins, et tout ceci remboursé avec les deniers des contribuables!

 

Laurette Onkelinx évoque ensuite la durée d'évaluation des vaccins en déclarant sans les énumérer que certains vaccins ont déjà été approuvés au terme de périodes relativement courtes mais pour ensuite affirmer que les vaccins Gardasil et Cervarix, évoqués par Thérèse Snoy ont, eux, fait l'objet d'évaluations beaucoup plus longues. En réalité, les effets secondaires du Gardasil n'ont été évalués que sur 14 jours et ceux du Cervarix sur 30 jours après chaque dose de vaccin, ce qui est bien entendu ridicule compte tenu du timing de plusieurs mois et années que mettent traditionnellement les maladies auto-immunes à se déclarer. La confusion entre le suivi réel des effets secondaires après chaque dose et la durée de persistance des anticorps semble donc ici un peu trop grossière pour ne pas être volontaire de la part de la Ministre. Mais c'est ici encore tout l'art d'éluder les questions dérangeantes, chapeau aux fidèles rédacteurs des réponses ministérielles qui doivent décidément y mettre tout leur art!

 

Enfin, Laurette Onkelinx prétend que des analyses de cancérogénicité, mutagénicité et tératogénicité des vaccins sont bel et bien effectuées sur l'animal, suivant les lignes directrices européennes en la matière. Fort étrangement pourtant, les notices américaines des vaccins de mêmes noms et de même composition que ceux utilisés en Belgique (Infanrix, Prevenar, RotateqGardasil, etc) mentionnent en toutes lettres l'absence de ces analyses pour ces vaccins. De même, un document de l'Agence européenne du Médicament ayant trait aux exigences de tests précliniques pour les vaccins, confirme que ces analyses-là ne sont généralement PAS demandées ni requises pour les vaccins!

 

Un document de l'OMS sur ces exigences précliniques en matière de vaccins achève de convaincre définitivement du laxisme dont ces produits sanitaires bénéficient puisqu'ils sont par exemple dispensés de tests consistant à évaluer un potentiel effet néfaste sur la fertilité des individus vaccinés!! Les études de tératogénicité ne sont requises qu'en cas d'administration à des femmes enceintes et encore, il est possible de s'en passer "pour autant que LE FABRICANT développe un argument sensé selon lequel de telles études ne seraient pas nécessaires... on croit rêver!!

 

Ce document aterrant de l'OMS tend aussi à banaliser de façon dramatique la présence d'anticorps contre des propres composants de notre corps, dont la seule présence dit l'OMS "n'est pas forcément le signe d'une maladie auto-immune"!

 

L'OMS rappelle que la cancérogénicité et la génotoxicité ne sont généralement pas évaluées pour ce qui est de la formulation générale des vaccins mais seulement, éventuellement, pour l'un ou l'autre de leurs composants. Non seulement ce n'est pas le cas puisque le formaldéhyde qui est un cancérigène certain (de classe 1) reste incorporé à de nombreux vaccins comme si de rien n'était mais en plus, il faut aussi noter qu'un cocktail de substances chimiques peut potentialiser la toxicité et la cancérogénicité possibles de chacun des composants pris séparément! On est donc très loin ici de l'idéal de rigueur et d'objectivité que de nombreux citoyens attendent encore en vain de la part d'une telle instance internationale.

 

Quant aux nouveaux adjuvants, il ne semblent pas plus faire l'objet d'études de cancérogénicité: souvenons-nous notamment du squalène et des propos du Dr Deborah Novicki de Novartis qui disait que sa compagnie n'avait jamais testé la cancérogicité de ses vaccins en contenant et n'avait en fait nullement l'intention de le faire (le squalène étant incorporé dans les vaccins de Novartis sous l'appelation opaque de MF59, qui équivaut en fait au AS03 de GSK )

 

L'analyse pharmacocinétique n'est pas non plus requise dit l'OMS, sauf pour de nouveaux adjuvants ou d'autres voies d'administration ou pour étudier par exemple la rétention d'un adjuvant au site d'injection. Ah bon, comment se fait-il alors que cette même OMS ait fait tout son possible pour étouffer et nier les recherches sérieuses sur le lien entre aluminium vaccinal et myofasciite à macrophages qui débute par un infiltrat et une persistance anormale de l'aluminium au niveau deltoïdien avant de déboucher sur une imprégnation beaucoup plus profonde des organes nobles par l'aluminium ?

 

Tout ceci est cousu de fil blanc. Il est juste question en réalité de faire croire au public que les vaccins sont sûrs. Grattez seulement un tout petit peu et le pâle vernis de scientificité aura tôt fait de s'écailler...

 

Pinocchio.JPG

 

Partager cet article
Repost0
29 juillet 2012 7 29 /07 /juillet /2012 21:12

Ce récit bouleversant, c'est celui de Sandrine, qui a déclenché une sclérose en plaques à 18 ans, un mois seulement après avoir été vaccinée contre l'hépatite B en 1994, en France. Depuis 19 ans, la maladie a inlassablement progressé au point que Sandrine ne sait plus ni marcher, ni parler, ni même manger. Son état nécessite donc des soins constants, que lui prodiguent avec amour et compassion ses admirables et très courageux parents. Ceux-ci sont toutefois très angoissés, et on les comprend, à l'idée de ce qui arrivera à leur fille une fois qu'ils ne seront plus là pour s'en occuper, et ce d'autant plus que la "justice" les a déboutés!  En découvrant ce cas, vous pourrez vous rendre compte à quel point même les cas les plus dramatiques d'hépatite B ne se soldent pourtant jamais par un sort aussi tragique en termes de qualité de vie...

 

Voir l'extrait de "Vaccins, le Virus du doute" (voir entre 14'41'' et 19'30'')   

 

Père de Sandrine (5)« Les symptômes sont apparus relativement vite, dès février ’94, un mois grosso modo après la vaccination. Elle était en pleine santé ; elle était heureuse de vivre etc. – Du jour au lendemain, elle se retrouve dans un fauteuil roulant et l’on se dit : on l’a fait vacciner pour la protéger. Donc je me dis, on l’a fait vacciner pour la protéger, hein c’est ça l’objectif, et résultat, elle est plus malade encore que si elle n’avait pas été… Donc, voilà, moi ça me fait hurler de rage ça c’est clair. »

 

Le lien entre la maladie de Sandrine et la vaccination avait été suggéré à l’époque par le neurologue qui l’a diagnostiquée, mais rien d’officiel n’avait été écrit. Depuis, l’état de Sandrine nécessite une présence de chaque instant.

 Sandrine--fauteil-1-.JPG 

« C’est une vie qui est fichue en l’air. C’est ça qu’il faut que les gens voient ! C’est que, ma fille avait 18 ans à l’époque. Ca fait 19 ans qu’elle est comme ça maintenant. »

 

Sandrine-plage.JPG

Sandrine--mere-et-seringue.JPGLa maman : « Une seringue toutes les 10 minutes pour qu’elle ait bien le temps de digérer chaque seringue. » (note d'IC: via une sonde gastrique donc)

 

Journaliste : « Elle ne peut plus manger ? »

 

La maman : « Non, plus du tout ! »

 

Le papa : « Il paraît tout à fait logique de demander des compensations, non pas strictement financières ; ce n’est pas ça qui lui rendra effectivement la santé, c’est clair, mais au moins aménager. Moi, ce que je veux c’est aménager son existence à partir du moment où nous ne serons plus en mesure de nous en occuper. »

 

Pere-Sandrine--6-.JPG

Comme des centaines d’autres familles dans le même cas, les parents de Sandrine ont alors saisi la Justice. Sans succès !

 

Le papa : « Les experts ont dit que, compte tenu de la chronologie des évènements, il pouvait y avoir un lien effectivement avec le vaccin hépatite B, mais ils ne pouvaient pas prouver le lien vraiment établi entre la vaccination et la pathologie. Mais le tribunal, lui, a retenu effectivement cette absence de démonstration de lien de causalité. Donc, nous avons été déboutés purement et simplement. »

 

Depuis 1998, 2600 familles ont signalé des effets secondaires graves suite à ce vaccin. Faut-il y voir un lien de cause à effet ? Pour certains médecins le doute subsiste.

 

Pour estimer le risque, le Dr le Houezec (pédiatre) s’est plongé dans les chiffres de l’Assurance Maladie. Nombre de vaccins vendus, cas de scléroses en plaques, il en a fait des courbes.

 

Vaccin-HB--le-houezec-.JPG« Si on compare les deux courbes, (celle des) scléroses en plaques et (celle des) ventes de vaccins, on s’aperçoit que 1994, 1995 et 1996, ce sont les trois années où il y a eu le plus de vaccins vendus en France et, comme par hasard, c’est juste à ce moment-là qu’on a une augmentation du nombre de scléroses en plaques nouvelles et du nombre de maladies neuro-dégénératives graves. »  

 

Jean Stéphenne, ex PDG de GSK Biologicals, (= section Vaccins) à une conférence sur les facteurs-clés de la réussite de son entreprise au cours de son histoire, le 27 juin 2012, au Cercle du Lac:

 

Jean-Stephenne-copie-1.JPG

 

« Je dirais que nous avons surpris toute l’industrie en disant ben voilà, nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B. C’était la première fois qu’un vaccin était protégé par brevet. Nous avons tous les brevets et maintenant vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, vous allez devoir négocier avec nous. Et je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful. Et puis après, on a développé si vous voulez des vaccins combinés. C'est-à-dire qu’on a mis l’hépatite B avec tout d’autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets et en faisant ça évidemment, on rendait les produits combinés protégés. Mais donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. Avoir l’esprit marchand et économique est très important, en parallèle de l’esprit scientifique et innovation. » (voir l'entièreté des propos disponibles sur youtube.)

 

Télécharger cet article en pdf: ICI

Partager cet article
Repost0
28 juillet 2012 6 28 /07 /juillet /2012 21:26

vactruth inde

Par Christina England, Vactruth, 27 juillet 2012.

 

Dans les quelques derniers mois, les vaccinations ont causé le décès de huit enfants en Inde et en ont laissé d’autres sévèrement malades. Le décès le plus récent à avoir été rapporté est celui d’une petite fille de 3 mois, qui est décédée seulement quelques heures après avoir reçu un vaccin pentavalent (= 5 vaccins en un)

 

La petite Tanujasree a reçu la deuxième dose d’un vaccin pentavalent mercredi dernier à 9H30 du matin mais elle est malheureusement décédée quelques heures plus tard. Son père, Ramarao, de la localité de Mettupalayam, a raconté au journal The Hindu qu’il avait amené son bébé au Centre de Santé de Vadima Nagar pour sa vaccination mais son état de santé a rapidement commencé à se dégrader. The Hindu a rapporté que le bébé fut très rapidement ramenée inconsciente au Centre de Santé :

 

« Après être rentrée à la maison, Tanujasree est devenue agitée et à commencer à pleurer. A 11H30 du matin, le bébé a perdu conscience, suite à quoi les parents l’ont immédiatement ramenée au centre de santé. 

 

Le staff médical a alors examiné l’enfant et a alors informé les parents que la petite se trouvait dans un état grave. Ramarao et sa femme ont alors amené en urgence leur petite fille à l’Hôpital des Enfants d’Egmore où ils n’ont pas pu lui prodiguer un traitement efficace et où elle est décédée quelques heures plus tard. » (1)

 

Quand un décès survient après une vaccination, des excuses sont habituellement avancées pour exonérer les vaccins de toute responsabilité et ce cas-ci ne fait pas exception à la règle, puisqu’il a été prétexté que la mère de Tanujasree avait allaité le bébé peu de temps après qu’elle ait été vaccinée.

 

Pour persuader désespérément les parents indiens que les vaccinations sont sures et qu’ils doivent continuer à faire vacciner leurs enfants, les officiels de santé ont aussi fait deux autres tentatives de dissimulation (des causes) probables du décès de l’enfant en affirmant que :

 

« Seize autres enfants ont été vaccinés avec la même fiole. Le même lot de vaccins a été utilisé pour vacciner beaucoup d’autres bébés de la ville. Ceci est un vaccin qui a déjà été essayé et testé et il n’y a pas de raison de paniquer. »

 

Ce que les officiels ont oublié de dire, c’est que cette petite fille n’était pas la première à décéder avoir reçu le vaccin pentavalent en Inde au cours des derniers mois. Cette vaccination était la première a être lancée à Kerala et à Tamil Nadu en décembre 2011 et est actuellement administrée aux enfants de 6, 10 et 14 semaines. La vaccination est censée protéger les enfants de la diphtérie, du tétanos, de la coqueluche, de l’haemophilius influenzae de type b et de l’hépatite B ; cependant, les premiers résultats n’ont pas été encourageants. En mai, la ville de Kerala avait enregistré un total de quatre décès d’enfants après cette vaccination, ce qui avait suscité la critique un peu partout en Inde. (2)

 

Le vaccin pentavalent n’est pas le seul à avoir causé la mort d’enfants cette semaine. Il y a quelques semaines, l’Express Tribune (3) a rapporté que 3 enfants sont morts et que 3 autres sont tombés gravement malades après avoir reçu des vaccins périmés contre la rougeole dans un dispensaire de Banjot Manglawar.

 

L’Express Tribune a rapporté que :

 

« Six enfants de là ont commencé à frissonner et à vomir peu de temps après l’administration du vaccin.

 

Ils furent ensuite conduits à l’hôpital universitaire du Groupe Saidu. L’un d’entre eux est mort en chemin, deux autres sont décédés à l’hôpital et les autres furent hospitalisés dans un état critique. »

 

Et si cette situation n’était déjà pas suffisamment tragique, l’Express Tribune a rapporté que ces enfants mourants et malades furent traités dans des conditions extrêmement mauvaises et ayant même dû reposer par terre à l’hôpital dû au manque de place.

 

Le Dr Alladin a raconté à l’Express Tribune que :

 

« Tous les enfants furent traités au service des urgences. Ils avaient des symptômes d’hépatite. Cependant, nous n’avons pas été capables de diagnostiquer le problème parce que nous ne savions rien au sujet des vaccins qu’ils avaient reçu… »

 

Vous pourriez avoir pensé que toutes la date d’expriration de toutes les vaccinations aurait été vérifiée, et tout particulièrement après que 3000 enfants avaient reçu des gouttes d’un vaccin polio oral périmé dans le Sud Waziristan, quelques semaines au préalable.

 

A la mi-juin, il était signalé que 3000 jeunes enfants vulnérables avaient reçu des gouttes d’un vaccin polio oral périmé. Dans un article à présent retiré du net, l’Express Tribune avait rapporté qu’en juin de cette année, 3000 enfants vulnérables de moins de 5 ans avaient reçu des gouttes d’un vaccin anti-polio périmé dans plusieurs cliniques de la région de Shakai, à Aslam. Un responsable officiel avait raconté à l’Express Tribune que les fioles de vaccins périmés avaient été immédiatement saisies et qu’un rapport avait été rendu auprès du bureau de l’adjoint du représentant politique local du district de Wana, déclarant que les gouttes de vaccin polio étaient périmées depuis un mois lorsqu’elles furent administrées.

 

Le Journal « The Tribune » a rapporté que les gouttes du vaccin avaient affecté un certain nombre d’enfants, y compris  l’enfant de Muhammad Nawaz Kehl qui a souffert des effets secondaires négatifs d’un vaccin polio périmé. Muhammed a raconté à l’Express Tribune que le 14 juin, une équipe de vaccinateurs s’est présentée chez lui à Landi Noor (Shakai) pour vacciner son enfant contre la polio. Shah Zeb reçut quelques gouttes d’un vaccin polio périmé. Au cours de la nuit, la température de l’enfant  grimpa rapidement et dès le matin, il dut être transporté à la clinique Noor Muhammad de Wana Bazaar.  Monsieur Kehl a précisé :

 

« A la clinique, les médecins nous ont raconté que l’enfant avait fait une infection pulmonaire.

 

Le lendemain mati, nous avons appris que d’autres enfants de Landi Noor avaient également souffert de fortes fièvres. Mais nous n’avons jamais pensé qu’ils auraient pu tomber malades la suite à  la vaccination.

 

Nous voulons immuniser nos enfants, mais nous ne voulons pas les tuer en leur faisant administrer des vaccins périmés. Il faudrait organiser une enquête pour découvrir ce qui s’est vraiment passé. »

 

Ce papa a parfaitement raison car des vaccins périmés sont potentiellement très dangereux comme d’autres parents de Banjot Manglawar en ont fait l’expérience à leurs propres dépens. Ce qui est encore plus scandaleux à propos de cette affaire, c’est que, comme l’a rapporté l’Express Tribune, le gouvernement avait essayé de garder tout l’affaire secrète mais elle finit malgré tout par être connue du public parce que d’autres enfants affectés par ces gouttes de vaccin durent être amenés aux deux cliniques de Shakai et Wana Bazaar pour y recevoir des soins.

 

Il est regrettable que le compte rendu original de cette affaire ait  étrangement disparu d’internet quand j’ai voulu préciser les liens. Quand pareilles choses se passent, je ne peux que me demander ce qu’il y a à cacher et pourquoi.

 

Pour prouver que je n’ai rien imaginé au sujet de cette histoire, je tiens à signaler que le journal « Ahmadiyya Times » a également rapporté la même histoire qui semble avoir, elle  aussi, été supprimée. (4)

 

Quand ces tragédies prendront-elles fin ? L’Inde a suffisamment de problèmes sans que l’on y rajoute l’administration de dangereux vaccins périmés à des bébés souvent malades et vulnérables. Ce dont ces enfants ont réellement besoin, c’est d’eau pure et d’une nourriture décente et pas que l’on leur administre des substances toxiques périmées dans leurs petits corps.

 

Les membres de cette équipe qui a vacciné ces petits enfants avec des produits périmés devraient être tenus responsables. Si, dans un supermarché on avait vendu de la viande périmée et que des enfants en étaient décédés, la compagnie en question serait poursuivie en justice et pourrait être condamnée à débourser des millions de dollars. Mais quand il s’agit de vaccinations, les membres de l’équipe qui ont provoqué le décès de ces enfants n’auront sûrement rien de plus qu’une simple réprimande.

 

Source : Vactruth

  

Références :

 

1.  The Hindu 3-month-old girl dead hours after vaccination in Chennai http://www.thehindu.com/news/cities/chennai/article3628673.ece?homepage=true#.T_4kI-fSRHI.gmail

 

2.  The Times of India Two Infant Deaths After Vaccination in Tami Nadu http://articles.timesofindia.indiatimes.com/2012-07-13/chennai/32662981_1_pentavalent-vaccine-immunization-programme-aefi

 

3.  Hati Cheri India serves up costly cocktail of vaccines   http://www.dadychery.org/2012/05/01/pentavalent-vaccines-promoted-by-who-despite-deaths/

 

4.  Express Tribune Anti-measles drive: Expired vaccines claim three lives in Swat

http://tribune.com.pk/story/406079/anti-measles-drive-expired-vaccines-claim-three-lives-in-swat/

 

5.  Ahmadiyya Times Pakistan Over 3000 children given expired polio drops. http://ahmadiyyatimes.blogspot.co.uk/2012/06/pakistan-over-3000-children-given.html

 

Photo : Flickr

 

Peut-on réellement croire qui plus est à ces excuses de « vaccins périmés » dès lors que tous les professionnels de santé sont censés pouvoir lire et compter au moins jusque 10 ?

 

N’est-ce pas là plutôt une Xième tentative pour sauver l’image des vaccins ?

 

Il ne faut pas oublier non plus que des vaccins non périmés ont déjà maintes fois été associés dans le monde à des décès d’enfants plus que suspects. Mais non, il s’agit à chaque fois d’innocenter les sacrosaints et intouchables vaccins.

 

Les officiels sont d’ailleurs dans une telle panique qu’ils ne se rendent même plus compte du ridicule et de la non plausibilité totale des excuses bidon qu’ils donnent, comme par exemple en invoquant le fait que la mère de la petite Tanujasree avait allaité cette enfant peu de temps après la vaccination (laissant ainsi presque supposer que le lait de la mère aurait été « mortellement empoisonné » pour justifier le décès) !

 

Partager cet article
Repost0
25 juillet 2012 3 25 /07 /juillet /2012 13:52

AVC

Un programme des Centers for Disease Control and Prevention et de la Food and Drug Administration vise à surveiller les effets indésirables des vaccins aux USA.

 

Entre 1990 et 2010, 306 cas d'AVC (âge moyen 42 ans, de 0,1 à 94 ans) survenus dans les six semaines après une vaccination  (mais dans les 2 semaines pour 257 patients ; 83,9 %) ont été signalés. Dans 120 cas (39,2%), l'AVC s'est produit après une vaccination antigrippale, dans 40 cas (13 %) après une vaccination contre l'hépatite B et dans 20 cas (6,5 %) après une vaccination antidiphtérique, antitétanique et anti-coqueluche (vaccin acellulaire). Douze patients (4 %) avaient eu au moins 2 vaccins. La répartition déséquilibrée des AVC dans les 6 premières semaines après la vaccination avec un pic dans les 2 premières semaines suggère que certains cas pourraient être déclenchés par la vaccination. Il est nécessaire de poursuivre la surveillance et d'organiser des études contrôlées prospectives.

 

Dr Gérard Loeb

 

64ème congrès de l’American Academy of Neurology.Du 21/04/2012 au 28/04/2012-Nouvelle-Orleans (Louisiane, Etats-Unis)

 

Al Qudah Z. : Stroke after Vaccination in United States. A Report from the CDC/FDA Vaccine Adverse Event Reporting System. [1990–2010]. 64th Annual Meeting of the American Academy of Neurology. (Nouvelle-Orléans) : 21– 28 Avril 2012.

 

Source: Sante24.ma

 

Quand on sait qu’il y a 19 000 AVC chaque année en Belgique et que 70% des seniors se font vacciner annuellement contre la grippe (sans parler des non seniors qui se font aussi vacciner à longueur d’année contre l’hépatite B, la diphtérie ou le tétanos, la coqueluche etc), on ne peut que se demander COMBIEN DE CAS d’AVC, et donc aussi de décès, sont donc annuellement imputables à la vaccination ?

 

Pour rappel, voici la mortalité et la morbidité qu’impliquent un AVC (et qu’on comparera utilement à celles liées à la grippe) :

 

« Après un AVC, 1 personne sur 5 décède dans le mois qui suit. Les 3/4 des survivants en garderont des séquelles définitives et 1/3 deviendra dépendant dans la vie de tous les jours. Concrètement, le 1/4 des patients frappés par un AVC ne reprendront jamais d'activité professionnelle du fait de leur handicap. »  Source : association belge « Stroke »

 

 

 

 

Partager cet article
Repost0
23 juillet 2012 1 23 /07 /juillet /2012 20:59

Une aide-soignante malade d'avoir été trop vaccinée contre l'hépatite

 

Par L.V. Le 12/07/2012

 

Photo-aide-soignante.jpg

           Martine Sempietro entourée de son mari, Thierry, et de son avocate, Denise Pombieilh.

           (Jean-Philippe Gionnet)

 

"J'ai subi une vaccination obligatoire imposée par l'hôpital. Aujourd'hui, je ne peux plus travailler, c'est injuste". Aide-soignante à l'hôpital d'Oloron, Martine Sempietro, 46 ans, a reçu huit vaccins contre l'hépatite B de septembre 1991 à avril 1998. Cette vaccination était à l'époque obligatoire pour tous les personnels hospitaliers suite à une loi de 1991.

 

Dès 1995, elle ressent des douleurs mais pendant des années on lui répondra que ce sont de simples douleurs musculaires. En 2006, à l'occasion d'un exercice, elle chute car ses jambes ne répondent plus. Elle est alors arrêtée pour accident du travail.

 

"Je souffre de douleurs musculaires et articulaires, je suis toujours fatiguée et j'ai des problèmes cognitifs", explique l'aide-soignante. "J'étais comme une loque, ça a été un vrai parcours du combattant pour qu'on me fasse une biopsie musculaire", poursuit Martine Sempietro. La biopsie révèle une maladie à l'époque méconnue des neurologues : une myofasciite à macrophages, sorte de myopathie inflammatoire. Les travaux du professeur Brochet, neurologue, font le lien entre cette maladie et l'aluminium contenu dans les vaccins en 2009.

 

Me Denise Pombieilh, son avocate, saisit le tribunal administratif en 2010 pour une expertise judiciaire. Selon elle, l'Etat est en faute car les deux derniers vaccins subis par sa cliente étaient illégaux. Le rapport conclut que la faute n'est pas imputable au service. Une contre-expertise est en cours.

 

Parallèlement, un rapport du professeur Authier, expert neurologue qui soigne Martine Sempietro, conclut à la causalité entre maladie et survaccination en avril dernier. Pour ce neurologue, la survaccination a multiplié par quatre le risque de développer cette maladie.

 

Comble de malheur, une erreur administrative remet en cause les remboursements de soins. En juin, s'appuyant sur l'arrêt du tribunal administratif, l'hôpital décide que ce n'est plus une maladie professionnelle mais une maladie ordinaire, "oubliant" le rapport du neurologue. Conséquence : il faut avancer les frais médicaux et le salaire de l'aide-soignante va être divisé par deux.

 

Me Pombieilh a déposé un recours devant le tribunal administratif contre cette décision. "Ma cliente a été empoisonnée légalement. Nous sommes partis pour une longue procédure", reconnaît l'avocate. Deux décisions de la cour de cassation reconnaissant qu'une maladie consécutive à une vaccination peut constituer un accident du travail la laissent toutefois espérer une issue heureuse. Mais en attendant, Martine Sempietro souffre et s'use…

 

>> Une maladie liée à l'aluminium

 

La myofasciite à macrophages (MMF) se caractérise par des lésions musculaires montrant la persistance à long terme de l'hydroxyde d'aluminium dans les macrophages au site d'une précédente vaccination. Des recherches de l'Inserm en 2009 confirment le lien entre l'aluminium contenu dans le vaccin et les troubles cognitifs, musculaires et articulaires subis par les patients. Il n'y a pas de traitement spécifique pour le moment conte la MMF. Martine Sempietro se contente de traitements pour atténuer la douleur et régénérer les cellules.

 

Source : La République des Pyrénées

Partager cet article
Repost0

                    

Recherche

Contact

 

initiative.citoyenne[at]live.be

Courriers Aux Autorités & Autres Documents Importants

Ce site refuse de cautionner le label HONcode.

Ce site refuse de cautionner le label HONcode    

Ce site soutient Nurpa pour la liberté d'internet

Boutton de soutien à la NURPA