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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 18:22

La vaccination provoque l’autisme

 

Voici ce qu’ils savent…

 

Autisme-fille-contre-un-mur.jpg

 

Christina England, 4 juillet 2013

 

Depuis de nombreuses années, des parents ont été convaincus que les vaccinations multiples ont provoqué l’autisme chez leurs enfants. Mais partout dans le monde, les gouvernements ont catégoriquement nié cette possibilité. Ils continuent à mettre leur tête dans le sable et à ignorer ce qui se passe. Ils refusent d’effectuer  les études pertinentes et ne veulent répondre à aucune question qui pourrait mettre la vérité sur les vaccins en pleine lumière.

 

Leurs actions sont clairement démontrées dans une vidéo publiée le 11 mai 2013, enregistrée au Congrès Américain et dans laquelle apparaissent les Députés Burton et Bill Posey et le Dr Weldon.

 

Cette vidéo  illustre ce qui s’est passé au fil des années derrière des portes closes. Elle donne aux parents l’occasion rare de pouvoir être les témoins directs des mensonges qui sont racontés au public, ainsi que de l’énormité de la supercherie en ce qui concerne les vaccins. [1]

 

Vaccins, mensonges et vidéo

 

Cette vidéo a commencé à être tournée en l’an 2000.

 

Le Député Dan Burton, président du la Commission de Réforme Gouvernementale sur l’autisme et les vaccinations pour enfants (2000) a ouvert la séance en déclarant que l’autisme, autrefois considéré comme une maladie rare, était quasi devenu une épidémie. Il devait préciser qu’il existait une priorité absolue à effectuer un maximum de recherches sur la relation possible entre les vaccins et l’autisme. Il a terminé son introduction en précisant qu’il nous fallait  cesser de nous mettre la tête dans le sable et ignorer cette possibilité.

 

S’adressant au Dr Coleen Boyle, Directrice du Centre National sur les Malformations Congénitales et les Troubles du Développement du CDC (Centres de Contrôle des Maladies), il a demandé :

 

« Nous avons vérifié tous les dossiers financiers de la FDA, du HHS, du CDC.- Pouvez-vous croire que quelqu’un qui reçoit des fonds de Merck ou d’autres sociétés pharmaceutiques  devrait figurer dans les Comités Consultatifs qui donnent leur avis sur des produits pharmaceutiques en provenance de ces sociétés, ou croyez-vous qu’on a, là affaire, à des conflits d’intérêts ? »

 

Pour la plupart d’entre nous, la réponse à cette question ne devrait poser aucun problème. La chose n’a pas été aussi simple pour le Dr Boyle qui a d’abord semblé être sans voix quand elle a finalement déclaré :

 

« Je pense qu’il est difficile de répondre à cette question. »

 

Le Député Burton s’est alors tourné vers le Dr Paul Offit, et lui a dit :

 

« Vous parlez de collaboration… je suppose que c’est avec la société pharmaceutique Merck ? »

 

A cette question, Offit  commença à bredouiller :

 

« Oui, je, euh, comme je, euh, l’ai écrit dans mon rapport, j’ai collaboré avec Merck & Company depuis 1992 pour le développement du vaccin contre le rotavirus. »

 

Le Député Burton a simplement répondu :

 

« Ce sont eux qui fabriquent le vaccin ROR, (Rougeole, Oreillons,Rubéole) n’est-ce pas ? »

 

Se retournant vers le Dr Boyle, Dan Burton lui demanda pourquoi le CDC n’avait pas, au cours de l’enquête, envisagé la possibilité que certains de ces vaccins aient pu provoquer l’augmentation de l’autisme. Burton lui demanda de vérifier ce fait. En dépit du fait qu’elle marqua son accord, il semble qu’une fois de plus cette tâche relativement simple ait été trop difficile pour le Dr Boyle, parce que treize ans plus tard, nous attendons toujours sa réponse.

 

Après avoir parlé à d’autres membres du Congrès, le Député Burton se retourna vers le Dr Boyle et lui dit sur un ton très ferme :

 

« Pour votre information, Dr Boyle, lors d’une réunion publique dans la région de Brick en 1997 avec le CDC et autres personnes (vous devez être au courant), plusieurs membres de l’auditoire ont posé des questions sur les vaccins et sur le lien possible qui pourrait exister avec l’autisme. Ces personnes ont demandé que des vérifications soient faites. »

 

Il poursuit :

 

« Et je soutiens que c’est peut-être, juste peut-être, parce que la compagnie pharmaceutique qui les fabrique avait  une certaine influence sur les gens assistant à cette réunion vu qu’ils ont dit : Hey, nous ne voulons pas entrer dans ces détails… Et je précise que si c’est le cas, cela frise le criminel ! »

 

Depute-Dan-Burton.JPG

 

Député Dan BURTON : audition au Congrès Américain

 

Mon petit-fils, comme des milliers d’enfants étaient en parfaite santé, jusqu’à ce qu’ils reçoivent ces vaccins multiples…Je veux que vous puissiez VOIR ce que ces parents doivent endurer avec ces enfants

 

 

Cfr temps entre 3'36'' et 4'00 environ

 

 

Femmes-qui-pleurent.JPG

 

En concluant la séquence 2000, je pense que c’est le Dr Rimland qui a fourni la réponse la plus honnête de la journée quand, après avoir écouté tous les commentaires et effectué sa propre recherche scientifique,  il a répondu à la question du Député Burton qui voulait savoir s’il existait une possibilité que les vaccins puissent contribuer à l’augmentation des cas d’autisme.

 

Dr-Rimland.JPG

 

Le Dr Rimland a répondu :

 

« Il y a non seulement une possibilité, mais une très forte probabilité à partir de toutes les preuves disponibles…Il est assez intéressant de constater que la plupart des autorités officielles ont choisi d’affirmer que l’augmentation des cas d’autisme n’avait aucun rapport avec les vaccinations. – J’ai l’habitude de m’en référer à une citation qui m’apparaît très juste : l’histoire des progrès de l’humanité s’est accomplie sur la réfutation d’arguments d’autorité. »

 

Ce sont là des mots forts. Pourquoi n’a-t-il pas été entendu ?

 

Les organismes gouvernementaux continuent d’ignorer les appels

 

Si l’on s’en réfère à l’année 2002, il semble bien que rien n’ait beaucoup changé. Le Député Dan Burton a une nouvelle fois présidé une réunion de Comité. Il a décidé d’ouvrir cette cession avec le film poignant et émouvant d’un enfant souffrant d’une forme grave d’autisme pour permettre à l’assemblée de se rendre compte de ce que des parents ont à souffrir jour après jour. Ce bout de film a ému l’assistance jusqu’aux larmes. Le Député Burton a ajouté que comme son petit fils, il y avait des milliers d’enfants dans le pays qui étaient parfaitement normaux jusqu’à ce qu’ils reçoivent des vaccins multiples. Il a poursuivi en des termes extrêmement durs :

 

« Nous ne pouvons pas permettre à l’industrie pharmaceutique et à notre gouvernement de camoufler ce gâchis, car il ne va pas disparaître et va coûter des milliards de plus aux contribuables si nous permettons à la FDA, au HHS et aux agences de santé de continuer à se cacher derrière une façade où ils prétendent que des études prouvent le contraire de manière concluante, alors que tout cela est faux ! »

 

En fait, comme le montre la vidéo, tout ce débat houleux dure depuis plus d’une décennie. Chaque année, ce sont les mêmes problèmes qui sont discutés, les mêmes questions qui sont soulevées et la Commission en arrive toujours aux mêmes conclusions que les études nécessaires n’ont pas été réalisées pour établir le lien entre vaccinations et autisme.

 

Alors, pourquoi pareille situation et pourquoi rien n’a-t-il été fait ?

 

La représentante (chercheuse) du gouvernement s’est montrée hésitante

 

En 2012, le Député Bill Posey a tenté à nouveau d’interroger l’insaisissable et maintenant grisonnante Dr Boyle du CDC sur les vaccinations et l’autisme. 

 

Le Député Posey pose alors la question :

 

« Dr Boyle, mon prédécesseur, le Député Welder est un médecin très compétent et respecté de tous. C’est de lui que j’ai appris qu’il pensait avec beaucoup de certitude que le thimérosal dans les vaccins était certainement un facteur qui contribuait à provoquer l’autisme. Je me demande donc si le CDC a déjà organisé ou facilité une étude qui comparerait des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés. L’avez-vous fait ? »

 

Comme on pouvait s’y attendre, au lieu de répondre à la question posée, le Dr Boyle évite complètement la question et répond :

 

« Nous avons réalisé un certain nombre d’études portant sur la relation entre le thimérosal et l’autisme et autres troubles du développement. »

 

Sans renoncer à sa première question, le Député Posey reformule sa question dans l’espoir d’obtenir une réponse claire et directe. Il demande :

 

« Donc, clairement, nettement et sans équivoque, avez-vous étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés ? »

 

Ce à quoi, le Dr Boyle a répondu :

 

« Nous n’avons pas étudié des vaccinés comparativement à des non vaccinés. »

 

Comme le Dr Boyle essayait de poursuivre dans une langue de bois, le Député Posey l’arrêta en disant :

 

« Peu importe, c’était le sens de ma question, vous m’avez fait perdre deux minutes de mon précieux temps. »

 

Il lui a alors demandé :

 

« Quelles sont les mesures qu’a prises le CDC pour s’assurer de l’intégrité de la recherche réalisée par le Dr Thorsen qui, comme vous le savez, a été inculpé pour faute grave par rapport à une mauvaise utilisation des ressources ? »

 

Une fois encore, on peut s’apercevoir que Boyle essaie d’esquiver la question. Au lieu de répondre directement au Député Posey, elle a essayé de s’en référer à des données incorrectes qui avaient trait au fait que le Dr Thorsen avait été co-investigateur dans seulement deux des études réalisées. Cette réponse fut immédiatement démentie par Posey qui a alors demandé si on pouvait l’autoriser à divulguer l’information selon laquelle le Dr Thorsen avait en fait été impliqué dans 21 des 24 études réalisées.

 

A aucun moment, et dans n’importe quelle partie de la vidéo, le Dr Boyle n’a répondu aux questions posées sans essayer d’éluder la question qui lui était posée, et même quand Posey lui a demandé :

 

« Etes-vous revenue pour valider les différentes études auxquelles Thorsen a participé ? Ce que je veux dire, c’est que vous savez pertinemment bien que ce type est  un monstrueux malfrat, un des hommes les plus recherchés de la planète, et c’est sur lui que vous comptez pour vous fournir les données qui vous permettront de décider si le thimérosal a des effets pervers ? »

 

Plutôt que d’admettre les défaillances du Dr Thorsen, le Dr Boyle s’est immédiatement attelée à la défense de Thorsen, alors même que cet homme se trouve en tête de liste des hommes  les plus recherchés de l’état fédéral pour 22 chefs d’accusation pour fraude électronique, blanchiment d’argent…. qui devraient lui valoir 260 ans de prison pour ses crimes. [2]

 

Conclusion

 

Après avoir vu la vidéo, il est évident  que pas une seule personne interrogée par le Député Burton ou par la Commission ne possédait la moindre preuve que les vaccins ne pouvaient pas provoquer l’autisme.

 

Au lieu de cela, les personnalités ont donné de fausses informations et ont tenté d’éviter toutes les questions qui leur étaient posées. Nombreuses étaient les personnes ayant des conflits d’intérêts avec l’industrie qui fabrique les vaccins et qui paradoxalement n’y voyaient aucun problème.

 

Les membres du CDC et de la FDA et autres organismes qui régulent le problème des vaccinations se doivent d’être totalement indépendants. Si, comme Paul Offit, ils détiennent des brevets relatifs aux vaccins ou collaborent avec les entreprises qui fabriquent les vaccins, il ne leur est pas possible d’être réellement indépendants comme de faire totalement preuve d’impartialité.

 

Il est certain que les parents qui font toute confiance aux fonctionnaires en ce qui concerne la vie de leurs enfants, méritent mieux que cela. Il est grand temps que les choses changent. Les parents qui font confiance au programme de vaccinations doivent impérativement être en possession des preuves concrètes que les vaccins qu’on leur propose sont sans danger. Au lieu d’ajouter sans cesse de nouveaux vaccins au programme et de tenter de les rendre obligatoires, les gouvernements et leurs représentants doivent d’abord répondre aux questions qui leur sont posées.

 

Cette vidéo représente une preuve concluante que ce n’est  toujours pas le cas.

 

The-rise-in-autism.JPG

 

Le plus grand crime jamais perpétré contre le public Américain

 

Député Dan Burton : « C’est pire qu’une épidémie; c’est un désastre absolu ! »

 

Références

 

1. http://www.youtube.com/watch?v=3wwDPcNdxJQ   (VIDEO)

2. http://www.sciencebasedmedicine.org/the-curious-case-of-poul-thorsen-fraud-and-embezzlement-and-the-danish-studies/

 

Source: Vactruth

 

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9 juillet 2013 2 09 /07 /juillet /2013 19:15

VACCINS en Chine : plus de mal que de bien ?

 

Pour sauver une seule vie, les vaccins endommagent la santé de plus de 1000 enfants en Chine !!!

 

Chine trois photos

 

D’après : China Daily, 6 juillet 2013 – Asia News Network

 

 

CHINE – Plus d’un milliard de vaccins sont administrés aux Chinois chaque année, mais pour chaque vie qu’ils contribuent à sauver de la maladie – le redoutable vaccin nuit également à la santé de plus de 1.000 enfants, selon le Centre Chinois pour le Contrôle et la Prévention des Maladies.

 

Ces enfants dont la santé a été endommagée par les vaccins souffrent de problèmes allant de lésions nerveuses jusqu’à la mort.

 

La plupart des pays possèdent des systèmes de vaccinovigilance en ligne, mais en Chine, tout le monde est d’accord pour dire que l’on pourrait faire beaucoup plus pour améliorer la politique de vaccination.

 

Wang Yu, directeur du CCDCP, dit qu’il existe des technologies vaccinales plus avancées utilisées dans certains pays. Mais la technologie chinoise de vaccination s’améliore très lentement ou même pas du tout. La Chine utilise encore les techniques de production d’il y a 30 ans.

 

Le professeur Wang Yuedan de l’Université de Pékin met en cause un manque de savoir faire.

 

« La raison de cette importante disparité est une question de talent. Dans le domaine de l’immunologie, les talents ont fait défaut suite aux bas salaires et au pauvre développement des carrières. L’immunologie est le cœur même de la biomédecine et, par rapport à la technologie vaccinale, l’Occident garde jalousement ses secrets. Si nous ne changeons pas de système, les talents vont continuer à nous faire défaut et il n’y aura pas d’amélioration substantielle dans ce domaine. »

 

Le vaccin contre le méningocoque

  

Chine-enfant-dans-les-bras.jpg

 

Li Baoxiang, dont le fils est resté paralysé après un vaccin contre la grippe H1N1 dans la ville de Linyl (Province de Shandong), écrit : «  La seringue du vaccin a atterri dans notre famille comme une bombe nucléaire; elle a détruit nos enfants et notre famille…Comme aucun pays ne peut assurer à 100% que le vaccin est sans danger, il devrait y avoir un système d’aide efficace pour ceux qui souffrent des effets indésirables. »

 

Le journal Southern Metropolis Daily a passé trois ans à suivre près de 50 familles qui ont connu des cas similaires.

 

Parmi elles, relevons le cas de Lu Jiarun. Elle avait à peine 7 mois et pouvait se tenir debout. Elle se réveillait chaque matin en criant « papa ». Ce papa se sentait l’homme le plus heureux du monde quand un vaccin qui était censé empêcher sa petite fille de tomber malade a fait tout le contraire et a ruiné son bonheur pour toujours.

 

C’est en 2009 que la maman de la petite fille la conduisit à un Centre local de santé pour la faire vacciner contre la méningite. A peine rentrée à la maison, la petite fille à commencé à pleurer avant de faire des convulsions. Après avoir subi des traitements dans plusieurs hôpitaux, l’état de santé de la petite fille se détériora. Les médecins ont reconnu que son état était dû à la réaction qu’elle avait faite à la suite du vaccin.

 

Après de nombreux rebondissements, et de démarches auprès de l’administration, la famille a finalement obtenu un dédommagement de 120.000 yuan du gouvernement local. Après des années de traitement l’enfant n’a toujours pas récupéré.

 

Le vaccin contre la grippe H1N1

 

En 2009, Fei Jingming, 17 ans avait une merveilleuse voix d’opéra et se réjouissait de suivre des cours dans une école d’art. En novembre, elle demanda à ses parents si elle devait se faire vacciner contre la grippe H1N1. Son père qui s’était déjà fait vacciner, lui conseilla d’accepter le vaccin. Mais dans la famille, ils regrettèrent tous cette décision.

 

Après l’injection, Fei commença à éprouver des douleurs dans les articulations. Le jour suivant, ses yeux commencèrent à saigner. Le diagnostic tomba : troubles sanguins. Les médecins lui expliquèrent que le seul traitement possible était une greffe de moelle. Mais il ne fut malheureusement pas possible de trouver, à temps, un donneur compatible et, à partir du 8 mars 2010 sa santé se détériora et elle finit par mourir.

 

Dans la suite, la maman apprit que la compagnie qui avait produit le vaccin avait été suspendue pour avoir produit des vaccins contrefaits.

 

«  Comment est-il possible que des vaccins contrefaits puissent passer les différents tests et être achetés par le gouvernement ? Combien d’autres familles ont-elles dû subir la perte de leurs enfants à cause de vaccins contrefaits ? » a demandé la maman.

 

Chine-cimetierre.jpg

 

Le vaccin contre le méningocoque (encore)

 

En mai 2009, la naissance de Dong a apporté beaucoup de joie dans la famille. Sept mois plus tard, elle fut vaccinée contre la méningite. Très vite, elle développa des complications. Le jour même, elle fit de la fièvre et par après des convulsions.

 

Quelques jours plus tard, un médecin dut expliquer à la famille que l’enfant souffrait de lésions cérébrales irréversibles. La famille reçut finalement un dédommagement de 300.000 yuan.

 

Chine-meningocoque.jpg

 

 

Le vaccin contre la rougeole

 

Zhang Wen était une jeune fille en parfaite santé. Elle jouait de la batterie et se réjouissait de rentrer à l’école d’art.

 

En octobre 2009, un vaccin contre la rougeole est venu bouleverser sa vie. Une semaine après l’injection, Zhang commença à tousser et son nez n’arrêtait pas de couler. Plus tard, elle commença à souffrir de maux de dos. Elle éprouvait aussi de grosses difficultés pour aller aux toilettes. Elle avait aussi l’impression qu’elle portait des chaussures brulantes…Comme elle préférait mourir, elle demanda plusieurs fois qu’on arrête les traitements.

 

Après des années de traitement, Zhang est encore faible et ne peut fréquenter l’école qu’une demi- journée. Son kit de batterie qui a été rangé dans la cave est couvert de poussière.

 

Chine-rougeole.jpg

 

Sources: Asiaone & SaneVax

 

Ainsi donc l’excuse officielle serait que les vaccins chinois seraient tellement moins sûrs que les vaccins occidentaux….Comment se fait-il alors que l’OMS ait pré-qualifié en 2011 l’Agence Nationale Chinoise des Médicaments après une « collaboration technique approfondie » ?? Margaret Chan a également précisé que « quand des vaccins individuels sont pré-qualifiés par l’OMS, la capacité d’un pays à produire une grande quantité de vaccins à des prix très bas, est de nature à révolutionner le marché des vaccins et leur prix. »

 

La vérité, c’est que l’objectif vaccinal de l’OMS est purement idéologique, il est de vacciner un maximum de gens contre un maximum de maladies toujours et tout le temps et pas en tout premier lieu d’assurer la meilleure santé globale possible. C’est entre autres ce qui explique que le premier poste budgétaire de l’OMS en 2012-2013 reste consacré aux maladies infectieuses et aux vaccins alors que des dépenses fondamentales en faveur de l’eau et de la nourriture n’arrivent qu’en 5° position ! 2,6 milliards de gens sur terre ne disposent toujours pas d’un système d’assainissement de base pour l’eau et 1,1 milliard de gens n’ont même pas accès à une source d’eau potable. Dans le même temps aussi, seuls 3% des enfants atteints de formes sévères de malnutrition profitent des pâtes nutritives prêtes à l’emploi et 87% de ces enfants continuent de mourir de cette absence vitale de nourriture alors qu’on continue de les inonder par contre de vaccins.

 

Dans un tel contexte, il semble bien que la question du prix des vaccins est plus prioritaire aux yeux de l’OMS que leur sécurité. Les pré-qualifications de vaccins par l’OMS ne sont absolument pas une garantie. La preuve notamment avec le Quinvaxem qui avait été pré-qualifié lui aussi par l’OMS et qui a provoqué le décès de plusieurs dizaines d’enfants dans des pays pauvres.

 

La vérité, dure à admettre pour ceux qui avaient encore toutes leurs illusions, c’est que la sécurité des vaccins est mauvaise, où que l’on se trouve dans le monde ! Les vaccins ne sont pas et n’ont jamais été scientifiquement évalués en plus de 200 ans d’utilisation. Alors forcément, ça se ressent fortement en termes de santé publique globale. Nous sommes de plus en plus atteints de maladies chroniques et nos enfants aussi, y compris et même encore plus dans les pays les plus riches qui ont accès au plus grand nombre de vaccins, fussent-ils « améliorés ».

 

Alors que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves de vaccins sont comptabilisés dans nos pays dits "avancés", il ne nous étonne nullement que le fait de sauver une vie (donc réduction de la mortalité d'un seul point) impose de rendre malades 1000 autres enfants. Quel nivellement de la santé publique par le bas! En fait, la vaccination ne consiste pas à assurer la santé de tous au prix d'un nombre soi-disant infime de victimes mais consiste au contraire à rendre patraque quasiment toute une population (qui ne s'en rend pas forcément compte car l'altération de la santé peut être subtile et progressive) pour ne sauver qu'une infime minorité de gens, le nombre de décès possibles étant statistiquement très très faible dans des pays comme les nôtres.

 

Et pendant ce temps-là, l’OMS, qui dit vouloir contribuer au bien-être de tous les citoyens du monde, rêve d’un monde idéal où les vaccins seraient enfin appréciés de tous

 

Ce n’est vraiment pas pour demain ! En Chine comme ici !!

 

 

 

chine--vaccins--OMS.JPG

 

Vu sur le site de l'Alliance Gavi, partenaire mondial de l'OMS et de la Fondation Gates en matière de vaccination

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 16:40

AUSTRALIE

 

Un enfant gravement handicapé après un vaccin

Le fabricant nie toute responsabilité

 

D’après Rebecca Trigger, The West Australian, 3 juillet 2013

 

Bebe-Australie.jpg

 

Le fabricant d’un vaccin qui aurait provoqué de graves lésions cérébrales chez un jeune enfant de Perth, a nié toute responsabilité et prétend que le Ministre de la Santé et le gouvernement de cet état australien auraient été négligents et auraient dû suspendre la campagne de vaccination de 2010 contre la grippe.

 

Dans une affaire qui a mobilisé l’attention nationale, le bébé Saba Button de Watermans Bay, a dû être transporté d’urgence à l’hôpital le 19 avril 2010, après avoir reçu le Fluvax, un vaccin contre la grippe fabriqué par CSL.

 

La fillette a fait des convulsions fébriles qui l’ont laissée quadriplégique et presque complètement aveugle. Trois ans plus tard, Saba fait encore des crises régulières et nécessite des soins médicaux constants.

 

Les parents Mick et Kirsten Button ont poursuivi la firme CSL devant  le Tribunal Fédéral.

 

Cette affaire pourrait entraîner l’allocation d’une des plus importantes indemnités médicales jamais octroyées en Australie. Les parents exigent des dédommagements pour leur petite fille qui a maintenant quatre ans. Ces dédommagements sont réclamés pour la perte de joie de vivre de l’enfant, ses souffrances, son handicap profond, les frais occasionnés par les soins médicaux et les fréquents déplacements.

 

La semaine dernière, l’avocat de CSL, Belinda Thompson a affirmé que Saba avait eu deux autres vaccins  le même jour: le Neisvac (méningite C) et le Priorix ( = ROR), et a prétendu qu’ils auraient pu provoquer les convulsions fébriles.

 

Me Thompson a déclaré que CSL n’avait pas été tenue de réaliser des études cliniques pré-marketing pour les vaccins contre la grippe saisonnière. Elle a déclaré que son client n’avait pas été informé des cas de 90 autres enfants qui avaient dû être hospitalisés au Princess Margaret Hospital après avoir reçu le Fluvax entre le 18 mars et le 15 avril et dont 19 avaient fait des crises ou des convulsions après avoir reçu le vaccin.

 

L’avocate devait préciser que le Ministère de la Santé d’Australie de l’Ouest (WA) avait été officiellement informé de ces cas le 16 avril. La campagne de vaccination contre la grippe a été suspendue le 22 avril.

 

Le lendemain, le médecin en chef du Commonwealth a conseillé de ne pas administrer ce vaccin aux enfants âgés de cinq ans ou plus jeunes.

 

L’avocate, Me Thompson, a précisé qu’en mars et en avril 2010, le Ministre agissant pour le compte de l’Etat savait ou aurait dû avoir connaissance du nombre, ainsi que de la gravité des effets secondaires après ce vaccin contre la grippe saisonnière.

 

Elle a ajouté que le Département ou le Ministre auraient dû suspendre la campagne de vaccination de 2010 contre la grippe. Ils auraient aussi dû conseiller aux médecins de cesser d’administrer les vaccins aux enfants âgés de cinq ans ou plus jeunes, et préciser aux parents que ce vaccin n’était plus recommandé pour les enfants de cinq ans ou plus jeunes.

 

L’avocate a encore ajouté qu’en omettant de prendre ces mesures raisonnables pour ou avant le 18 avril, le Ministre et le gouvernement de l’Etat ont manqué à leur obligation (de soins de santé) vis-à-vis de Saba et devraient en prendre l’entière responsabilité juridique

 

Me Thompson a également précisé que CSL, habituée à s’en référer aux autorités de Santé, a attendu que les professionnels de la Santé et que les Agences de Santé du gouvernement du Commonwealth l’informent de tout effet secondaire signalé après la vaccination.

 

Me Julian Johnson, l’avocat de la famille Button, a déclaré que ses clients avaient été déçus par la réponse de CSL , comme par le refus de reconnaître les problèmes liés à ce vaccin contre la grippe ; déçus aussi de ne recevoir aucune explication par rapport au pourquoi des problèmes qui auraient pu être liés à leur produit.

 

Le Ministère de la Santé et le Ministre de la Santé, Kim Hames n’ont pas répondu à une demande de commentaires. Un porte-parole du Ministre a précisé que ce dernier était en congé.

 

Le porte-parole de CSL, Sharon Mc Hale, a voulu préciser que le cas de Saba était « tragique », mais qu’il s’agissait d’un cas complexe et que tous les faits n’étaient pas encore connus.

 

Sources: SaneVax & Yahoo.com

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7 juillet 2013 7 07 /07 /juillet /2013 14:30

Voici tout d'abord plusieurs courtes vidéos de différents intervenants français (journaliste, hommes et femmes politiques, médecin, victime), qui fournissent déjà une bonne information de base sur le problème de l'aluminium vaccinal, qui bien sûr n'est pas le seul problème en matière de vaccins, comme ce présent site l'a déjà expliqué plus d'une fois.

 

Après ces vidéos, vous pourrez alors aussi lire ci-dessous, les derniers développements de la lutte française pour le retour de vaccins sans aluminium... les choses bougent, vous verrez!!

 

 
 
 

 

 

NB: Nous invitons vraiment Mme Cohen à s'informer sur le laxisme règlementaire dont jouissent hélas tous les vaccins (y compris ceux sans aluminium), avec une absence d'évaluation des effets à long terme, l'absence de recours à de véritables placebos pour le volet "sécurité" des études ainsi que l'absence d'analyses pharmacocinétiques et d'analyses destinées à évaluer le potentiel cancérogène, tératogène et mutagène des vaccins...

 

 
 

Le Ministère de la Santé refuse pour l'instant de recevoir vos plus de 66 000 signatures.

Malgré 23 jours de grève de la faim devant le Ministère, celui-ci ne respecte toujours pas les engagements pris en décembre 2012 : mettre en place un comité de pilotage au sein duquel la mise à disposition d'un vaccin DTPolio sans aluminium devait être abordée.

 

Et bien, ensemble, nous allons continuer d'agir et nous irons jusqu'aux 100 000 signatures.

 

Les quelques avancées obtenues à ce jour l'ont été grâce à la mobilisation citoyenne et politique initiée par notre association et grâce à votre soutien. Depuis, nous constatons que le Ministère cherche systématiquement à revenir sur ses engagements. Pour les autorités sanitaires, c'est un sujet tabou, interdit. Par leur attitude de déni, elles cherchent à étouffer le scandale de l'aluminium vaccinal. La situation est actuellement bloquée.

 

Le retour du DTPolio sans aluminium se heurte à l'opposition de l'Agence du médicament. Pourtant, lors d'une réunion fin juin, elle concédait que la hausse importante d'effets indésirables graves (à l'origine de la suspension de ce vaccin sans aluminium en 2008) n'existait pas. Le Ministère de la Santé reste sourd et muet…

 

Les vaccins adjuvantés sur aluminium continuent à empoisonner des centaines de milliers de personnes, telle une immense roulette russe.

 

Pour les victimes de l'aluminium vaccinal (myofasciite à macrophages, sclérose en plaques et SLA post-vaccinale, syndromes autistiques, syndromes de fatigue chronique, une partie des personnes classées en fibromyalgie…), il n'y a actuellement aucune solution. Par contre, pour nous tous et nos enfants, il est urgent d'agir maintenant. C'est le moment de réunir toutes les énergies pour qu'enfin la Santé Publique prime sur les intérêts financiers.

 

Dès lundi prochain, 10 personnes (malades et non-malades) seront en grève de la faim devant le Ministère. 

 

66 000 signatures, dont la vôtre, ont été recueillies en un mois :

 www.change.org/VaccinSansAluminium

 

Aux côtés des patients atteints de myofasciite à macrophages, une partie du corps médical, désormais informé des risques induits par l'aluminium vaccinal, lance un "appel des médecins aux médecins", pour le retour d'un DTPolio sans aluminium: www.change.org/DTPolioSansAluminium

 

Trois personnes, atteintes de myofasciite à macrophages du fait de l'absence de DTPolio sans aluminium, vont déposer une plainte au pénal. L'association E3M se constitue partie civile à leurs côtés. Nous étudions aussi la possibilité de déposer une plainte devant le tribunal administratif, pour non-application du principe de précaution.

 

Enfin, nous avons décidé de demander aux parlementaires de s'engager avec force. 142 députés et sénateurs ont interpellé la Ministre de la Santé depuis 2 ans. Mais les réponses qui leur ont été apportées sont mensongères (par exemple, le comité de pilotage mentionné dans les courriers de la ministre n'existe pas. Autre exemple : la hausse d'effets indésirables sévères qu'elle utilise pour justifier le retrait du DTPolio n'existe pas). La seule argumentation invoquée est que "tout vaccin comporte des risques"…

 

Nous initions donc un "appel des élus de la République". Cet appel sera lancé par un premier cercle de parlementaires de toutes tendances politiques (Michèle Rivasi, Jean Lassalle, Laurence Cohen, Corine Lepage…).

 

Une conférence de presse sera organisée (sans doute le jeudi 11 juillet) dans les locaux parisiens du parlement européen, autour des 10 grévistes de la faim, autour des 3 personnes qui portent plainte et en présence de plusieurs élus de la République.

 

Nous avons décidé d'aller plus loin et de frapper plus fort.  C'est maintenant que nous devons, tous ensemble, chacun en fonction de ses possibilités, et au-delà de toutes nos différences, agir avec détermination.

 

C'est  maintenant que nous devons obtenir ce que nous demandons depuis tant d'années : le financement de la recherche à la hauteur des enjeux, la mise à disposition d'un vaccin de base sans aluminium.

 

Pour soutenir nos actions, vous pouvez :

 

Envoyer la pétition à tous vos proches et vos amis :

 www.change.org/VaccinSansAluminium

 

- Contacter vos médecins et en leur proposant au plus vite de signer la pétition qui leur est réservée : www.change.org/DTPolioSansAluminium

 

- Que ceux qui le peuvent viennent nous rejoindre dans ce mouvement de grève de la faim. Vous pouvez contacter notre ami Laurent Lehrer (06 06 64 72 17).

 

- Que ceux qui le peuvent viennent avec nous passer un moment face au Ministère. Nous sommes devant le Ministère 24h/24h, avec des temps forts de 9h à 10h et de 18h à 19h, dans un silence digne, chaque jour.

 

- Si vous le souhaitez, vous pouvez nous soutenir en apportant votre contribution, même minime, auprès de notre trésorier (Jacky Barreault, 7 rue du Chêne vert, 17340 CHATELAILLON).

 

Nos instances sanitaires, que l'on rémunère avec nos impôts, doivent remplir la mission qui leur a été confiée. Par ces actions, nous, malades, médecins, parlementaires, citoyens, nous exigeons que notre santé soit respectée.

 

Bien à vous et avec vous,

 

Didier Lambert

 

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19 juin 2013 3 19 /06 /juin /2013 22:58

Arrêt de la distribution d'un vaccin contre la typhoïde après une contamination

 

Par AFP le 19 juin 2013

 

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Le laboratoire Sanofi Pasteur MSD a arrêté temporairement la distribution de son vaccin Typhim contre la fièvre typhoïde après la découverte d'une contamination bactérienne sur un des composants du vaccin fabriqué sur son site de Marcy-l'Etoile près de Lyon, a-t-on appris auprès du laboratoire.

 

"Nous avons détecté la présence d'une bactérie particulière et arrêté la production d'un des composants du vaccin le 10 juin", a déclaré un porte-parole de Sanofi-Pasteur, confirmant en partie des informations parues dans Le Canard enchaîné.

 

Il a ajouté que cet incident avait conduit le laboratoire à bloquer la distribution du vaccin "pour une durée indéterminée" mais qu'il n'existait "pas de risque de rupture de stock" pour l'instant.

 

"Le laboratoire a signalé un défaut qualité, en l'occurrence une contamination, sur sa chaîne de production qui a été arrêtée", a confirmé pour sa part l'agence du médicament ANSM.

 

Mais comme le défaut qualité porte sur des lots non distribués, aucun rappel de lots ne devrait intervenir, a-t-elle ajouté.

 

Le site de Marcy-l'Etoile est un site de recherche et de production de vaccins, destinés en majorité à l'exportation.

 

La production du vaccin Typhim avait déjà été perturbée en septembre dernier lorsque le laboratoire avait décidé de procéder au retrait de deux lots de ces vaccins après avoir découvert "des concentrations antigéniques hétérogènes", c'est-à-dire des doses ne permettant pas, dans certains cas, de produire suffisamment d'anticorps après l'injection.

 

Le retrait de ces lots avait entraîné des problèmes d'approvisionnement qui risquent de se reproduire si l'arrêt de production actuel perdure, relève l'ANSM.

 

L'agence précise avoir inspecté le site de Marcy-l'Etoile à plusieurs reprises dans le passé, la dernière en date remontant à fin 2012-début 2013.

 

Selon Sanofi Pasteur, l'agence américaine du médicament FDA procède actuellement à une inspection "de routine" sur le site, comme le droit international l'y autorise puisque les vaccins sont massivement utilisés sur le territoire américain.

 

L'inspection fait suite à une première inspection effectuée l'an dernier par la FDA.

 

Le vaccin Typhim est utilisé dans la prévention de la fièvre typhoïde, une maladie provoquée par l'ingestion d'eau ou d'aliments ayant subi une contamination fécale d'origine humaine par des Salmonella typhi.

 

La vaccination est recommandée aux adultes et aux enfants de plus de 2 ans séjournant dans des pays endémiques de manière prolongée ou dans de mauvaises conditions d'hygiène.

 

Source : Notre Temps

 

Voici une actualité intéressante à commenter !

 

Remarquez bien la phrase suivante : « Mais comme le défaut qualité porte sur des lots non distribués, aucun rappel de lots ne devrait intervenir . »

 

Comme c’est merveilleux ! Quel heureux hasard, aucun vaccin contaminé n’a donc été injecté à qui que ce soit ? ! Et nous sommes franchement censés les croire sur parole ?! CAR…. Légèrement plus bas dans l’article, ils attribuent à « des concentrations hétérogènes en antigènes » la suspension du même vaccin à l’automne 2012.

 

Toutefois, en 2005, Sanofi retirait son vaccin Hexavac du marché et le faisait sous de faux prétextes d’efficacité insuffisante pour la valence anti-hépatite B. Cette Xième affaire trouble est bien racontée dans le dernier livre de Virginie Belle « Faut-il faire vacciner son enfant ? » Grâce à la complicité de l’Agence Européenne des Médicaments, la firme a pu ne pas justifier ce retrait par le fait que ce vaccin était suspecté d’induire des œdèmes cérébraux mortels du nourrisson.

 

Il est moins dérangeant de dire qu’on retire un vaccin parce qu’il est moins efficace que prévu plutôt que parce qu’il est plus risqué que prévu….

 

En 2008, Sanofi retirait le vaccin DTP sans aluminium sous le prétexte non crédible de réactions allergiques soudaines alors que sa composition n’avait pas varié depuis des décennies (et alors que les vaccins ne sont jamais retirés définitivement du marché pour cette seule raison temporaire). Là encore les raisons réelles de ce retrait ont été réarrangées pour masquer la vérité au public, car il s’agissait en fait de pouvoir substituer à ce vaccin un vaccin plus combiné et au moins 4 fois plus cher, qui inonde les corps d’aluminium en plus de forcer la main aux parents. Cet épisode-là est également bien expliqué avec de plus amples détails dans le livre précité de Virginie Belle.

 

Par conséquent, il s’agit de prendre avec la plus grande circonspection les causes officielles de retrait ou de suspension de vaccins, les vaccins en général les plus risqués n’étant jamais retirés du marché alors qu’à l’inverse, d’autres vaccinations peuvent être retirées pour des raisons de stratégie commerciale et financière.

 

Article du 19 juin 2013 du Canard Enchaîné

 

Canard enchaîné, 19 juin 2013, typhoïde

 

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11 juin 2013 2 11 /06 /juin /2013 21:54

 

Combien d'autres personnes sont dans le même cas à l'échelle du monde??

 
Combien de gens et de parents doivent donc "faire le deuil" de ce qu'ils étaient ou des enfants qu'ils avaient??
 
Quel coût pour la collectivité ont tous ces handicaps qui peuvent retentir sur le travail et la productivité des pays??

 

Combien de cas de cancers dans le monde ont été provoqués ou favorisés par l'aluminium des vaccins, depuis la fin des années 1920' ? 
 
Combien de temps allons-nous encore accepter que des experts en conflits d'intérêts dilapident l'argent des contribuables avec des vaccins dont les effets se retournent contre eux?

 

Même si cette pétition pour le retrait de l'aluminium vaccinal est insuffisante et ne règle pas le problème global du caractère expérimental propre à tous les vaccins (avec aluminium ou non), elle mérite cependant d'être signée.
 
____________________________________
 

Yves, victime de l’aluminium vaccinal, fait une grève de la faim.

 

Il demande le retour du DTPolio sans aluminium.

 

Yves Ketterer a entamé, le 10 juin, une grève de la faim devant le ministère de la Santé, à Paris. Cet ancien collaborateur de député, atteint de Myofasciite à Macrophages, maladie invalidante induite par les sels d’aluminium vaccinaux, refuse le déni des autorités sur ce sujet de santé publique majeur.

 

Son combat : Le retour du Vaccin DTPolio « sans aluminium », suspendu depuis 2008 par le laboratoire Sanofi. Depuis sa suspension, des jeunes, soumis à l’obligation vaccinale, sont atteints de myofasciite à macrophages. Ces victimes, dont la vie a été brisée, auraient pu être évitées. « Nous sommes tous concernés », explique-t-il. « Nous ne pouvons plus rester inactifs ».

 

L’objectif : Le ministère de la Santé a le pouvoir d’exiger le retour dans les officines de ce vaccin sans aluminium, dont l’autorisation de mise sur le marché est toujours valide. Ce DTPolio bénéficiera aux malades, à leurs enfants, aux adultes soucieux de leur santé et aux parents désireux de faire vacciner leur nourrisson, sans les exposer à un risque d’effet secondaire grave et inutile.

 

Certains considèrent cette démarche comme extrême, mais…

 

Que faire d’autre alors que nos enfants n’ont plus accès à un vaccin DTPolio sûr pour la vaccination obligatoire

 

L’aluminium contenu dans les vaccins, neurotoxique, cancérigène et perturbateur endocrinien, migre vers le cerveau, selon les travaux les plus récents, validés par l’Académie de Médecine.

Que faire d’autre lorsque toutes les voies « classiques » de la démocratie ont été explorées…

 

Le Groupe d’Étude Vaccination de l’Assemblée Nationale a demandé, en 2012, un moratoire sur l’aluminium vaccinal. Classé sans suite.

 

Les sénateurs ont alerté la ministre sur les risques inhérents à l’aluminium vaccinal lors du débat sur la politique vaccinale, le 23 avril 2013.


Ils n’ont pas été entendus.

 

Plus de 100 parlementaires ont interpellé la ministre de la santé depuis les dernières élections (questions écrites, courriers, lettre ouverte, etc.). Des alertes vaines.

 

Que faire d’autre lorsque le ministère reste sourd aux 56.045 signatures de la pétition « Nous demandons des vaccins sans aluminium pour protéger nos enfants », recueillies depuis 10 jours…

 

Cette pétition bénéficie notamment du soutien de Michèle Rivasi (députée européenne), Laurence Cohen (sénatrice du Val de Marne), Jean-Jacques Lasserre (sénateur des Pyrénées Atlantiques), Jean Lassalle (député des Pyrénées Atlantiques), Philippe Madrelle (sénateur de la Gironde), Alain Tourret (député du calvados), Noël Mamère (député de la Gironde), Alain Anziani (sénateur de la gironde), José Bové (député européen), etc

 

Que faire d’autre lorsque la ministre de la Santé elle-même ne respecte pas son engagement pris en 2012 pendant la campagne présidentielle :

 

« [Les familles] doivent également avoir le choix de faire procéder aux vaccinations obligatoires par des vaccins sans sel d'aluminium, d'autant plus que cela était le cas jusqu'en 2008 »*.

 

Déterminées, les sentinelles de l’association E3M sont revenues s’installer, lundi 5 juin, devant le ministère de la Santé. Elles y resteront, avec les grévistes de la faim, jusqu’à ce que la remise à disposition de ce DTPolio sans aluminium soit annoncée.

 

Nous vous invitons à venir les rencontrer, afin d’échanger sur les conséquences au quotidien de la présence d’aluminium dans l’organisme. Vous pourrez aussi prendre connaissance des conflits d’intérêt toujours très présents dans ce sujet de santé publique.

 

Retrouvez la pétition : www.change.org/VaccinSansAluminium

Aidez-nous à protéger nos enfants !

Nous sommes tous concernés.

 * http://myofasciite.fr/Contenu/Divers/Presidentielle2012_ReponsePS.pdf

 

--

Didier Lambert

Président E3M

Tél: 06 72 41 20 21

www.myofasciite.fr

Pétition: www.change.org/VaccinSansAluminium

Résumé en images: www.terre.tv/fr/5157_aluminium--un-poison-legal-dans-nos-vaccins

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7 juin 2013 5 07 /06 /juin /2013 21:34

Certains experts en bioéthique devraient-ils être tenus responsables des dommages et des décès causés par les vaccinations ?

 

Alan Phillips, Juriste, J.D., 4 juin 2013

 

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Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée, de se fier au jugement des médecins de confiance, ou à des directives médicales faisant autorité. Ca ne m’amuse pas d’en arriver à pareilles conclusions, mais j’ai dû y arriver lentement et à contre cœur pendant les vingt années que j’ai travaillé comme éditrice du New England Journal of Medicine.  Dr Marcia ANGELL, MD

 

(Natural News)  L’expert en bioéthique, Art Caplan, PhD. De l’Université de New York a prétendu que les parents d’enfants non vaccinés devaient être tenus responsables au cas où des maladies ou des décès auraient été causés par leurs enfants non vaccinés. [1] Le présent article réfute la thèse de Caplan et explique pourquoi cette responsabilité devrait précisément lui incomber suite à l’utilisation délibérée ou négligente de son statut académique et de son autorité alors qu’elle est soutenue par de fausses informations, afin de promouvoir une politique vaccinale inepte susceptible d’entraîner des dommages ou des décès évitables.

 

Les prémisses du Dr Caplan concernant la responsabilité parentale se résument essentiellement à ces trois points : 1) Les enfants non vaccinés mettent les autres en danger, 2) Les enfants non vaccinés causent, en tant que tels, des préjudices réels aux autres, et 3) Les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants connaissent les deux premiers points et devraient dès lors être tenus responsables pour les dommages causés par le fait qu’ils ne font pas vacciner leurs enfants.

 

Le véritable problème éthique

 

Le Dr Caplan semble mettre la charrue avant les bœufs. Il semble bien avoir ici raté la cible, car une question éthique bien plus fondamentale sous-tendant sa position lui fait supposer à tort que les parents qui refusent les vaccins pour leurs enfants font  preuve de négligence. Mais les choses ne sont pas aussi simples. Compte tenu du fait médicalement et juridiquement bien établi que les vaccins peuvent provoquer des invalidités permanentes et des décès [2], aucun parent  ne peut raisonnablement être catalogué « négligent » pour avoir choisi de ne pas vacciner son enfant. La véritable question éthique n’est pas de savoir si oui ou non les parents devraient être tenus responsables pour leur choix de ne pas vacciner leurs enfants, mais plutôt, et en tout premier lieu, si les parents devraient être poussés à vacciner leurs enfants, au risque de mettre en danger leur santé et leur vie. La gravité de cette question est soulignée par le fait que le risque pour l’enfant est indéterminable et que le bénéfice présumé pour l’enfant vacciné et les autres est seulement hypothétique – et ceci par définition du fait que les vaccins représentent un traitement administré à des personnes en bonne santé pour les protéger d’une exposition future et hypothétique à la maladie. En outre l’exposition à une maladie ne signifie pas obligatoirement que l’enfant exposé à la maladie tombera malade ou propagera la maladie.

 

D’une manière plus générale, la question éthique la plus pertinente revient à ceci :

 

Est-il éthique d’obliger quiconque à risquer sa vie pour un avantage futur et hypothétique qui pourrait soi-disant profiter à d’autres. ?

 

En supposant que les vaccins soient efficaces (une hypothèse erronée, puisqu’une baisse de 90 à 95% des maladies infectieuses a été enregistrée avant l’introduction des vaccinations ; que ces dernières ont même temporairement inversé les courbes descendantes ; que des épidémies se produisent régulièrement dans des populations hautement vaccinées [3]).  Cette question tout à fait fondamentale (si on a en tête le problème de la responsabilité des parents évoquée par le Dr Caplan ayant trait à des dommages de santé, ainsi qu’à des décès), est au mieux une question sur laquelle des parents raisonnables pourraient marquer leur désaccord.

 

Sur cette seule base, la question de la responsabilité des parents évoquée par le Dr Caplan est réduite en poussière. Mais nous n’avons fait qu’égratigner la surface. Du fait que selon le CDC, la FDA et l’Association Américaine des Médecins et Chirurgiens (AAPS), 90% ou plus des effets secondaires des vaccins ne sont jamais signalés – et même plus de 99% selon l’ancien commissaire de la FDA, David Kessler [4], nous ne pouvons nous faire la moindre idée de la véritable ampleur des dommages et des décès causés par les vaccinations. Il est donc clair qu’il n’existe aucune base objective pour rendre de quelque manière que ce soit les vaccins obligatoires (sans parler de rendre responsables les parents qui ne vaccinent pas leurs enfants) parce que personne ne peut absolument vous dire s’ils apportent un avantage net à la société et encore moins si ces vaccins sont sans danger pour VOTRE enfant en particulier. Ainsi, encore une fois nous ne pouvons rejoindre les conclusions du Dr Caplan quant à la responsabilité parentale.

 

Si, à cette argumentation, on ajoute la documentation sur la corruption de l’industrie pharmaceutique et des agences gouvernementales de santé, le problème soulevé par le Dr Caplan se perd dans l’oubli. A titre d’exemple, en 2011, la Coalition pour les médicaments sans mercure a pu grâce au « Freedom from Information Act » obtenir la révélation que le CDC avait délibérément retenu les données montrant que les taux d’autisme chez les enfants Danois avaient chuté quand le mercure avait été retiré des vaccins, puis frauduleusement promu une étude prétendant faussement que les vaccins ne causent pas l’autisme.[5] En 2011, le Dr Poul Thorsen, un chercheur engagé par le CDC pour organiser des études réfutant la relation vaccin-autisme a été inculpé pour 13 chefs d’accusation de fraude et 9 chefs d’accusation pour blanchiment d’argent remettant en question l’ensemble de son travail avec le CDC (et le Dr Thorson a été l’un des auteurs de l’étude frauduleuse sur le vaccin et l’autisme). En 2008, le Dr Marcia Angell de la « Harvard Medical School », après avoir été rédacteur en chef du New England Journal of Medicine pendant 20 ans, a déclaré : «  Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie de la recherche clinique publiée, de se fonder sur le jugement des médecins de confiance ou sur des directives médicales faisant autorité. » [6] Enfin, en 2012 et 2009, Glaxo et Pfizer ont été respectivement condamnés à des amendes criminelles d’un milliard de dollars. Des condamnations au pénal et au civil de l’ordre de 100 millions de dollars sont fréquentes pour l’industrie pharmaceutique.

 

Il est donc bien évident que la controverse à propos des vaccins ne peut être réduite à la question simpliste de la responsabilité parentale, comme l’affirme le Dr Caplan

 

La vie et la qualité de la vie ne devraient jamais être négociables selon la formule utilitariste : « Risquer votre vie aujourd’hui pour que quelqu’un d’autre puisse éventuellement en profiter dans le futur ». Mais, c’est là exactement ce que nous faisons avec les vaccinations obligatoires ; c’est là ce que nous faisons à nos nourrissons innocents et à  d’autres enfants.  

 

Dans le monde réel où l’on invente le faux et où l’on cache ce qui est vrai pour servir des buts privés et politiques, alors que cette situation est documentée tant dans le gouvernement que dans l’industrie, il devrait être interdit à nos gouvernements d’imposer à qui que ce soit des traitements qui peuvent s’avérer meurtriers. (Je ne veux évidemment pas dire que tous ceux qui font partie de l’industrie et des gouvernements sont des gens corrompus ; que du contraire. Je pense effectivement que c’est l’affaire de quelques rares individus qui occupent des postes décisionnels-clés.)

 

Il n’y a pas de décision sûre à 100%. La vie est par définition imprévisible. Les vaccins comme les maladies infectieuses peuvent provoquer des dommages et des décès. Mais, en l’absence de données suffisantes qui pourraient permettre une comparaison crédible, le Dr Caplan ne possède pas de base légitime pour poser la question de la responsabilité parentale. Même s’il était prouvé que les vaccins pouvaient fournir un net avantage, la question éthique n’en demeurerait pas moins valide : comment pouvoir exiger des parents qu’ils sacrifient leur enfant au profit de la communauté ? Etant donné les diverses possibilités et les informations disponibles, de nombreuses personnes ne demanderont qu’à opter pour des mesures raisonnables afin de protéger les autres ; ces mesures peuvent bien entendu inclure la vaccination. Tout cela est parfait SI on propose un choix véritablement éclairé. Mais il est aussi clair que d’autres auront le droit de refuser. Les deux options sont parfaitement justifiées sur un plan éthique et elles sont d’ailleurs parfaitement indissociables l’une de l’autre.

 

Compte tenu de la réalité des dommages et des décès qui pourraient être imputés aux vaccins, compte tenu de l’absence de données suffisantes, la seule réponse civilisée à la question vaccinale en général est de permettre aux parents de faire des choix réellement éclairés en fonction de ce qu’ils croient convenir le mieux à leur(s) enfants(s). Si le gouvernement doit être impliqué dans des questions d’urgence, il convient alors de mener des recherches indépendantes pour apporter davantage de clarté à la question. A titre d’exemple, le projet de loi actuel en attente devant le Congrès exigerait aujourd’hui une étude comparant les taux d’autisme chez des populations vaccinées à des populations non vaccinées.[7]

 

La seule raison pour laquelle une telle recherche n’a pas encore été réalisée est évidemment le risque qu’elle représenterait pour les milliards de profits que les compagnies pharmaceutiques retirent de la vente des vaccins (Pour les prochaines années, les profits devraient augmenter de 12% par an) [8] A cela il convient d’ajouter l’érosion des profits des compagnies pharmaceutiques qui proviendraient de la chute vertigineuse des maladies chroniques de l’enfance du fait que les taux de vaccination tomberaient en chute libre une fois que les conclusions de ces études seraient rendues publiques. Mais, s’il s’avérait même que ces études favorisaient les vaccins,  cela ne justifierait nullement d’obliger chaque enfant à risquer sa santé ou sa vie pour un bénéfice présumé pour les autres. Et en particulier, lorsque le risque individuel est indéterminable et les avantages hypothétiques.

 

Finalement, la suggestion de la responsabilité parentale évoquée par le Dr Caplan est absurde quand on prend en compte les alternatives documentées à la vaccination et qui sont plus efficaces et ne présentent aucun risque d’invalidité ou de décès. [9] Pourquoi devrait-on être pénalisé pour avoir recours à des moyens qui se sont avérés plus efficaces que les vaccins ? La vraie réponse est que ces moyens alternatifs ne sont pas rentables pour l’industrie pharmaceutique et dès lors, on ne veut pas en entendre parler. C’est aussi pourquoi ils ne peuvent représenter des alternatives légales aux vaccins obligatoires.

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 Alan Phillips, Juriste

 

Contradictions juridiques

 

Ensuite, la position du Dr Caplan soulève des problèmes juridiques fondamentaux. Il y a d’abord le problème des exemptions légales aux vaccinations (qui concernent  probablement la grande majorité des parents qui ne font pas vacciner leurs enfants). Le Dr Caplan n’est nullement qualifié pour traiter ce problème de manière autoritaire ; il s’agit d’un problème d’ordre juridique. Il ne faut cependant pas être juriste pour se rendre compte qu’il n’est pas possible d’inculper quelqu’un parce qu’il exerce un droit légal. Cela n’a aucun sens. Mais, dans sa logique, le Dr Caplan propose d’abroger toutes les exemptions non médicales aux vaccins. Mais alors, quel sens ont encore les dispositions juridiques des 48 états, de tous les territoires des Etats-Unis, ainsi que des juridictions fédérales qui ont légalement choisi d’accorder des exemptions philosophiques et /ou religieuses ? Les législateurs sont sensés s’être demandé si les différentes exemptions constituaient un risque important pour la santé. Ils ont en effet été obligés de se livrer à de véritables enquêtes et, étant donné les intérêts concurrents des firmes pharmaceutiques, on peut être certain que ces enquêtes ont été parfaitement menées. Si les législateurs avaient pu déterminer qu’une exemption était susceptible de provoquer un risque significatif pour la santé, ils n’auraient, en tout premier lieu, pas adopté ces exemptions étant donné que les seules exemptions admises par la Constitution sont des exemptions médicales. [10] En conséquence, l’adoption d’une loi prévoyant une exemption vaccinale comporte une présomption légale que l’exercice de l’exemption ne posera pas de risque significatif à la santé ; c’est une question de droit. Non seulement le Dr Caplan s’écarte de l’évidence – en l’occurrence que personne ne peut être rendu responsable pour se conformer à une loi au sujet d’une exemption vaccinale – mais il s’éloigne et s’oppose aux législations de 48 états dont les exemptions non-médicales ne posent un risque pour quiconque, comme la loi l’indique – loi qui est basée sur les propres investigations scientifiques de ces législatures…

 

Fausses affirmations

 

Finalement, le Dr Caplan fonde sa position sur des renseignements faux et trompeurs. En particulier, M. Caplan a récemment affirmé que :

 

«  Les vaccins ont une efficacité de 92 à 95% » Le CDC de son côté dit cependant que les vaccins ont une efficacité qui varie entre 85 et 95%, et que la majorité des épidémies surviennent chez des enfants vaccinés. [11] Le vaccin contre la grippe, que le Dr Caplan ne distingue pas des autres vaccins par rapport à l’efficacité, est, selon une étude récente du Lancet efficace à 60%. Même ce chiffre a été réfuté par des experts médicaux et des études médicales revues par les pairs. [12] Le CDC lui-même a admis l’année dernière que les exemptions vaccinales n’ont pas été responsables des récentes épidémies de coqueluche. [13]

 

On dit que « Les nouveau-nés n’ont aucune immunité ». Cette affirmation est trompeuse. Depuis toujours les mères passaient les anticorps protecteurs qu’elles avaient acquis au cours de leurs maladies d’enfance à leurs nourrissons au travers du lait maternel.

 

Ces derniers temps, les mères ne disposent plus des anticorps naturels à transmettre à leurs enfants parce qu’elles ont été vaccinées au cours de leur enfance (depuis, l’immunité du vaccin contrairement à l’immunité naturelle, n’est que temporaire). Donc, si les nouveau-nés sont vulnérables, nous disposons de vaccins pour remédier à cette situation. Mais, le fait que les nourrissons d’aujourd’hui manquent d’immunité ne signifie pas que ces petits êtres doivent être soumis aux risques de dommages ou de décès qui pourraient être causés par les vaccins. Il existe d’autres moyens  plus efficaces, plus sûrs et moins coûteux de faire face aux maladies infectieuses.

 

On nous dit que nous devons avoir un taux de vaccination de 90% pour pouvoir protéger la communauté (sans doute selon la théorie de « l’immunité collective » largement acceptée.) Selon les affirmations du CDC sur l’efficacité du vaccin, on pourrait avoir une couverture vaccinale de 100% (une chose que le Dr Caplan admet comme non réaliste) et toujours ne pas atteindre le niveau d’immunité requis pour une immunité collective, du moins avec certains vaccins (Il est clairement impossible d’obtenir une immunité de groupe avec le vaccin contre la grippe). Si on examine la littérature médicale au fil du temps, on peut se rendre compte que le niveau d’immunisation nécessaire pour obtenir une immunité de groupe est en fait une cible mouvante. Le chiffre n’a cessé d’augmenter au cours des dernières décades et des épidémies se sont produites dans des populations de plus en plus vaccinées. La seule chose qui peut permettre un consensus sur les taux de vaccination nécessaire pour obtenir l’immunité de groupe, ce sont les profits de l’industrie. Au plus les taux pour obtenir l’immunité de groupe sont élevés, au plus la pression augmente pour vacciner toujours plus de monde. Cependant, la vérité est que personne ne sait quel est le taux de vaccination nécessaire (si vraiment il existe) pour réaliser une immunité de groupe, vu que toute la théorie a  été à plusieurs reprises remise en question, voire catégoriquement démentie. Il y a toujours eu des épidémies documentées dans des populations hautement vaccinées. Le CDC a même documenté une épidémie de rougeole dans une population vaccinée à 100%.

 

Une méta-analyse de nombreuses études qui ont porté sur des épidémies qui se sont déclarées dans des populations hautement vaccinées a conclu qu’au plus les taux de vaccination contre la rougeole étaient élevés, au plus la rougeole devenait  une maladie de populations vaccinées. [14] L’immunité de groupe est une théorie fausse et qui a même été réfutée. Elle existe  dans le seul but de soutenir l’industrie des vaccins hautement rentable. La médecine traditionnelle s’accroche à cette théorie qui a échoué, car elle permet de fournir la seule explication à la question de savoir pourquoi « vous » devez être vacciné pour protéger « les autres » - et pour qu’ « eux » à leur tour puissent évidemment « vous » protéger. Le phénomène de l’immunité de groupe peut s’avérer réel quand on a affaire à des maladies infectieuses naturelles, mais  elle n’est absolument pas fiable avec les vaccins.

 

Résumé et conclusion

 

Bien  qu’il soit clair que je suis en profond désaccord avec le Dr Caplan, je ne veux vraiment pas  que l’on puisse penser qu’il soit responsable de cette situation – Il a droit à son opinion comme tout le monde. Mais, dans la loi, nous avons un principe : « savait ou aurait dû savoir » qui fait que des gens sont parfois rendus responsables pour ce qu’ils auraient raisonnablement dû savoir, même s’ils ne savaient pas réellement. L’ignorance n’est pas toujours une excuse acceptable. Je dois dire que je ne sais pas si le Dr Caplan croit réellement que les parents devraient être tenus responsables ou non. Par contre, je crois vraiment que toute personne qui revendique  une autorité dans un certain domaine a une responsabilité éthique de s’informer suffisamment sur le sujet quand elle s’exprime publiquement. Il est immoral d’utiliser son autorité et son pouvoir pour promouvoir un agenda personnel ou privé sous prétexte de protéger le public. Soulever une question d’éthique sur la responsabilité des parents qui ne vaccinent pas leurs enfants, sans prendre la peine de mentionner que les vaccins comportent des risques de dommages et de décès, relève au mieux d’une négligence professionnelle.

 

Quant aux parents qui ont pris la décision de ne pas vacciner, ils ne devraient jamais être sanctionnés pour le choix éclairé qu’ils font en voulant protéger leurs enfants des risques de dommages ou de décès que comportent les vaccins. Et ce, tout spécialement quand le système politique qui impose les vaccins est rongé par la corruption et quand la politique vaccinale officielle est avant tout conçue pour servir et soutenir une industrie vaccinale multimilliardaire en croissance rapide. Compte tenu de cette réalité, aucune obligation vaccinale n’aurait, au grand jamais, dû être imposée à qui que ce soit.

 

Références

 

[1] See http://blogs.law.harvard.edu , and
http://hereandnow.wbur.org/2013/05/28/liable-unvaccinated-child

[2] The federal Vaccine Injury Compensation Program has paid approximately $100 million annually to vaccine victims and their families for about the past 25 or so years. See the NVICP website, http://www.hrsa.gov/vaccinecompensation/index.html --the Data and Statistics link.

[3] See, e.g.: a) on disease declines, "Immunization Graphs Prepared by: Raymond Obomsawin M.Sc., Ph.D., December 2009; http://www.theoneclickgroup.co.uk

b) on polio increase following introduction of the vaccine, "Dispelling Vaccination Myths," Vaccination Myth #6 Alan Phillips, http://articles.mercola.com , and "The polio vaccine: a critical assessment of its arcane history, efficacy, and long-term health-related consequences," Neil Miller, www.thinktwice.com/Polio.pdf , and

c) on outbreaks in highly vaccinated populations, see footnote 13 below.

[4] Percentage of vaccine adverse events reports: Less than 1%, according to Barbara Fisher, citing former FDA Commissioner David Kessler, 1993, JAMA, in the Statement of the National Vaccine Information Center (NVIC), Hearing of the House Subcommittee on Criminal Justice, Drug Policy and Human Resources, "Compensating Vaccine Injuries: Are Reforms Needed?", September 28, 1999; Less than 10% according to KM Severyn, R. Ph., Ph.D. in the Dayton Daily News, May 23, 1993; Only 10% according to the CDC as reported by the Association of American Physicians and Surgeons, Fact Sheet on Mandatory Vaccines, http://www.aapsonline.org/testimony/mandvac.htm

[5] "Scandal Exposed in Major Study of Autism and Mercury," http://mercury-freedrugs.org

[6] See, e.g., "Big Pharma, Bad Medicine, How corporate dollars corrupt research and education," by Marcia Angell, M.D., http://bostonreview.net/angell-big-pharma-bad-medicine

[7] Perhaps this will finally happen? See "Congressman introduces bill requiring study of autism rate in vaccinated vs. unvaccinated,"http://therefusers.com . Not all politicians are pharmaceutical industry cronies.

[8] Global Market Forecast to 2017, Research and Markets, May 2013, http://www.researchandmarkets.com

[9] See., e.g., "Successful Use of Homeopathy In Over 2.5 Million People Reported From Cuba," discussing scientifically verified use of homeoprophylaxis to prevent disease far more effectively than conventional immunization, and at 1/15 of the cost - with no disability or death from the treatment, http://homeopathyresource.wordpress.com

[10] See, e.g., Workman v. Mingo, No. 09-2352, U.S. Court of Appeals or the Fourth Circuit (holding that the Constitution does not require states to offer a religious exemption).

[11] Centers for Disease Control and Prevention, Vaccines and Immunizations, Misconception #2. The majority of people who get disease have been vaccinated,
http://www.cdc.gov/vaccines/vac-gen/6mishome.htm#Themajorityofpeople

[12] See, e.g., a) "Flu Shots, Fosamax and Pharmaceutical Fakery: The Common Use of Misleading Statistics in the Medical Literature," Gary G. Kohls, M.D., Dec. 3, 2011, http://www.thepeoplesvoice.org

b) "Vaccines for preventing influenza in healthy adults," a Cochrane Collaboration Review that issued a "WARNING" stating that "reliable evidence on influenza vaccines is thin but there is evidence of widespread manipulation of conclusions," http://summaries.cochrane.org , and

c) "What, in Fact, Is the Evidence That Vaccinating Healthcare Workers against Seasonal Influenza Protects Their Patients? A Critical Review," Int J Family Med. 2012; 2012: 205464, http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC3502850/ , which concluded: "The arguments for uniform healthcare worker influenza vaccination are not supported by existing literature."

[13] CDC, Press Briefing Transcript, Pertussis Epidemic in Washington State - 2012 Telebriefing, July 19, 2012, http://www.cdc.gov/media/releases/2012/t0719_pertussis_epidemic.html

[14] See., e.g.: a) "The Deadly Impossibility of Herd Immunity," Russell Blaylock, M.D., Neurosurgeon, International Medical Council on Vaccination, Feb. 18, 2012, http://www.vaccinationcouncil.org

b) 17 Examples of Admitted Vaccine Failure, http://vactruth.com/2013/02/23/17-examples-of-vaccine-failure/ , and

c)"Dispelling Vaccination Myths," Vaccine Myth #2, Alan Phillips, at http://articles.mercola.com , citing medical studies disproving herd immunity.
==========
About the author:
Alan Phillips, Vaccine Rights Attorney
attorney@vaccinerights.com, 1-828-575-2622

Vaccine Rights (www.vaccinerights.com)

 

Source: NaturalNews

 

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4 juin 2013 2 04 /06 /juin /2013 21:55

Aux USA, les victimes de vaccins ont déjà été plusieurs fois auditionnées par les parlementaires, devant différentes Commissions du Parlement, contrairement à la France ou à la Belgique où des experts irresponsables continuent de prétendre qu'ils sont sûrs du bon rapport bénéfices/risques des vaccins, que les cas graves ne sont que des coïncidences et qu'une causalité ne peut jamais être retenue par Dieu sait quel tour de leur esprit....

 

VACCINATIONS – TEMOIGNAGES                                                  

Etats-Unis, Audition  28 juin 2011

 

Salle-temoignages.JPG

Audition de témoignages en vue de soutenir une proposition de loi visant à accorder la liberté de choix en matière de vaccinations

(Extraits de la vidéo)

 

Ameya-10-ans.JPG

Ameya, 10ans, a eu la santé endommagée par les vaccins. Il a souffert d’importantes crises d’asthme et d’allergies. Son frère est devenu autiste à la suite des vaccinations.

 Mark-Blaxil.JPG

Mark Blaxil est le papa d’une fille autiste. Il se demande :

 

« S’agit-il ici d’une vaste expérimentation humaine réalisée sur cette génération d’enfants ? Nous ne savons pas ! Nous ne savons pas non plus si les 26 doses de 9 vaccins que les enfants reçoivent au cours de leur première année de vie contribuent ou non à améliorer leur santé ! »

 

Allison-Chapman.JPG

Allison Chapman. Mère de 3 enfants dont la santé a été endommagée par les vaccinations.

 

« Ma fille aînée a fait des convulsions dans l’heure qui a suivi l’injection d’un vaccin. A 15 mois, après le ROR, mon enfant n’a pas pu dormir et a pleuré toute la nuit. 48 heures après le vaccin, il avait toujours une forte fièvre ; tout son corps était couvert d’éruptions. Les jours qui ont suivi, il n’arrêtait pas de me dire : « mal tête, mal tête, mal tête ».-Les procédures médicales ne doivent jamais être des actes « passe-partout ». Les parents doivent avoir le droit de protéger leurs enfants.

 

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Mish Michaels - Au cours de mes enquêtes  et communications scientifiques, j’ai eu l’occasion de présenter plusieurs cas d’enfants dont la santé avait été endommagée par les vaccinations.

 

Dr-Janet-Levitan--pediatre.JPG

Dr Janet Levitan, Pédiatre : « J’ai vu mourir un enfant dans les heures qui ont suivi une vaccination. Ce drame s’est encore produit deux fois au début de ma carrière ! Les vaccinations de routine ont leur part dans les maladies chroniques que nous voyons aujourd’hui chez les enfants. »

 

Ryan-quelques-heures-apres-le-ROR.JPG

Ryan quelques heures après qu’il ait reçu son vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole)

 

Erin-Williams.JPGErin Williams – « En cette seule année, 120 enfants du Massachussetts ont présenté de graves réactions aux vaccins : 47 recours aux urgences, 11 hospitalisations. Un enfant a passé 60 jours à l’hôpital avec de graves complications. Il a aussi eu un arrêt cardiaque. »

 

Dame-qui-pleure.JPG

 

enfants-les-plus-sains-exemptions.JPG

Les Etats des USA qui comptent le plus grand pourcentage de gens en bonne santé ont tous un système d'exemptions philosophiques qui permettent de se soustraire aux vaccinations.

 

VIDEO :  http://www.youtube.com/watch?v=j3IMSUApeW4

 

 

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25 mai 2013 6 25 /05 /mai /2013 20:31

Lien entre un vaccin et la narcolepsie

  

Par Europe1.fr avec AFP

 

Publié le 23 mai 2013

 

Une nouvelle étude finlandaise a confirmé que le vaccin Pandemrix (GlaxoSmithKline), largement utilisé contre la grippe pandémique A (H1N1) en 2009, multiplie le risque de développer la narcolepsie chez les adultes. Auparavant, plusieurs études avaient déjà montré le lien chez les enfants entre ce vaccin et la narcolepsie, une maladie rare.

 

Selon l'Institut national de santé et bien-être finlandais THL le lien existe aussi chez les adultes. "Chez les adultes entre 20 et 64 ans qui ont pris Pandemrix, le risque de développer la narcolepsie a été multiplié par 3 à 5, comparé aux personnes non vaccinées", a indiqué l'institut dans un communiqué. Toutefois, chez les adultes, le risque de tomber malade, à 1/100.000, serait six fois inférieur à celui couru par les enfants. Après des campagnes de vaccination avec le Pandemrix, la Finlande et la Suède ont constaté une hausse des cas de narcolepsie. Quelque 200 Suédois et 79 Finlandais entre 4 et 19 ans ont été atteints. Les gouvernements des deux pays ont décidé d'indemniser ces malades, et de lancer des études sur le lien avec le vaccin.

 

Une étude française, coordonnée par l'Inserm et le CHU de Bordeaux a conclu en septembre que le risque était multiplié par quatre chez les personnes vaccinées de développer la narcolepsie, rappelant toutefois que d'autres études seraient nécessaires pour établir l'association chez l'adulte.

 

Source: Europe1.fr

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15 mai 2013 3 15 /05 /mai /2013 21:20

Situation désespérée pour ceux qui nient

les risques des vaccins

 

Par Barbara Loe Fisher,

Présidente du Centre National d’Information

 sur les Vaccinations (NVIC)

 

Le fils de Barbara a été victime du vaccin DTC en 1980 

 

Barbara-L-F---Vac.-Unavoidably-unsafe.JPG

Les vaccins sont « inévitablement dangereux » - Cour Suprême des Etats-Unis

  

Ce sont effectivement des temps désespérés pour ceux qui continuent à nier les risques des vaccins. Nous le savons parce que nous assistons à tant d’actes de désespoir de médecins déterminés à mettre fin au débat public sur la vaccination et la santé. Ceux qui veulent nier les risques des vaccins déploient un maximum d’efforts pour restreindre l’accès du public à l’information, camoufler les dommages vaccinaux, les décès, et s’arranger pour violer le droit fondamental à un consentement libre et éclairé.

 

Pas de vaccins contre la grippe ? Pas d’emploi !

 

2013 avait à peine commencé que des agences de Santé publique et des associations médicales professionnelles demandaient que les infirmières et les membres du personnel de soins de santé soient licenciés s’ils refusaient d’obéir aux ordres qui les enjoignaient de se faire vacciner contre la grippe – il n’y avait pas d’exception et on ne pouvait poser aucune question. [1] Peu importait que ce vaccin comporte des risques, qu’il soit inefficace  et quasi inutile contre les souches les plus répandues cette année aux Etats-Unis. [2]

 

Projet de loi pour rendre le vaccin obligatoire

 

Cette première mesure a été suivie par la mise en place d’une législation soutenue par les autorités sanitaires et les associations professionnelles médicales financées par les pharmas comme l’Académie Américaine de Pédiatrie dans les états du Texas, d’Oregon, d’Arizona et du Vermont. [3] Leur objectif était d’éliminer ou restreindre les exemptions à la vaccination pour donner plus de pouvoir aux médecins et ainsi contraindre enfants et adultes à subir la vaccination – sans exceptions et sans questions à poser.

 

Rapport de l’Institut de Médecine : où trouver la véritable science vaccinale ?

 

A la mi-janvier, le Comité de l’Institut de Médecine a publié un rapport qui a permis d’ouvrir les yeux de certains. Ce rapport reconnaissait que seulement 37 études scientifiques avaient examiné la sécurité de l’actuel calendrier vaccinal américain pour les nouveau-nés et enfants de moins de 6 ans [4] qui comprend un total de 49 doses de 14 vaccins [5] comparativement aux 23 doses de 7 vaccins recommandées en 1983. [6] Suite à l’absence d’un nombre suffisant de bonnes études scientifiques, le Comité se trouvait dans l’impossibilité de déterminer si le nombre de doses et le timing recommandé par le gouvernement était ou n’était pas associé au développement de problèmes chroniques de santé comme des convulsions, des problèmes d’auto-immunité, des allergies, des problèmes d’apprentissage, des cas d’autisme au cours des six premières années de vie. [7] 

 

Prévalence de l’autisme aux Etats-Unis : 1 enfant sur 50

 

En mars, un rapport a été publié par le Centre National des Statistiques de Santé. Ce rapport estimait que parmi les enfants qui fréquentaient l’école aux Etats-Unis, 1 enfant sur 50 avait reçu un diagnostic de trouble du spectre autistique (TSA) [8]. En 2004, il s’agissait d’1 enfant sur 150. En 1992, c’était  1 enfant sur 500 et en 1986 1 enfant sur 2.000. [9]

 

En avril, qui est le mois de sensibilisation à l’autisme aux Etats-Unis, on assista à des pressions tous azimuts de la part de médecins à l’intérieur, comme à l’extérieur du gouvernement pour rejeter toute association entre la forte hausse du nombre de vaccins administrés aux enfants au cours des 30 dernières années et les fortes augmentations correspondantes des cas d’autisme chez les enfants.

 

Ces médecins savaient, mais de nombreux parents aujourd’hui ne savent toujours pas que le débat public sur l’inflammation du cerveau due aux vaccins,  les troubles cérébraux chroniques et les dysfonctionnements immunitaires, comprenant aussi l’autisme, a commencé 16 ans avant qu’une étude soit publiée dans The Lancet en 1998 et qui examinait l’association possible entre le vaccin ROR (Rougeole, Oreillons, Rubéole) et l’autisme. [10, 11]

 

Le CDC ne confirme pas l’affirmation du Dr Offit que 10.000 vaccins sont sans danger pour les bébés.  (CDC : Centres Américains de Contrôle des Maladies)

 

Le vendredi 1er avril, une étude menée et financée par le CDC a été publiée  dans le Journal of Pediatrics. Cette étude précisait que «  l’exposition croissante aux protéines stimulant les anticorps et aux polysaccharides des vaccins n’est pas associée à un risque d’autisme » et, par conséquent, les vaccins ne causent pas l’autisme. [12] Il s’agissait en fait d’une tentative pathétique pour valider une hypothèse machiavélique émise en 2002  par un développeur de vaccin, Paul Offit, qui affirmait qu’un enfant pouvait réagir sans problème à l’administration de 10.000 vaccins en même temps. [13]

 

Cependant, n’importe quel étudiant en science possédant une compréhension élémentaire des méthodes de recherche en matière de santé [14] et qui serait au fait  des effets des ingrédients vaccinaux [15, 16, 17, 18 ] comme de la  différence entre l’immunité naturellement acquise et l’immunité induite par les vaccins, pourrait aisément comprendre qu’en l’absence d’un groupe de contrôle non vacciné, l’étude serait fatalement biaisée. Cette étude n’a en fait rien prouvé du tout quant à la relation possible entre l’administration de plusieurs vaccinations dans la première enfance et le développement de l’autisme parmi des enfants génétiquement différents avec ou sans augmentation de la susceptibilité biologique aux réactions indésirables à la vaccination. [20]

 

Les pédiatres qualifient les parents faisant partie des réseaux sociaux de « trouble-fêtes »

 

Le 15 avril, Pediatric News a publié les résultats d’un sondage en ligne qui présentait une lapalissade : dans les réseaux sociaux, les connaissances, les valeurs et les croyances d’une personne, ainsi que l’opinion des amis et des familles influencent fortement les décisions concernant la vaccination. [21] Les parents qui émettent des doutes quant à l’innocuité des vaccins et ont recours à des calendriers vaccinaux alternatifs ont été péjorativement étiquetés de  « trouble-fêtes ».

 

Les pédiatres qui ont commenté l’enquête ont fait entendre que les parents « trouble-fêtes » ne fondaient pas les décisions qu’ils prenaient par rapport aux vaccins sur « une logique rationnelle » et sur des « preuves scientifiques » parce qu’ils étaient influencés par des amis « trouble-fêtes » et des informations trompeuses sur des sites non-conformistes et « trouble-fêtes » eux aussi. [22] Apparemment, il ne fut  tenu aucun compte du fait que les parents dits « trouble-fêtes » n’ont pas pu être convaincus par cette pauvre science comme par cette rhétorique creuse qui préconise des vaccins passe-partout. [23]

 

Un journaliste et un magazine attaqués pour avoir mis en cause la sécurité du Gardasil

 

C’est en avril également qu’un journaliste chevronné et animateur de radio a été personnellement attaqué par des pédiatres et des responsables de la Santé publique à Buffalo, dans l’état de New York, pour avoir osé écrire un article mettant en cause l’innocuité du vaccin Gardasil et avoir exhorté les parents à faire des choix éclairés en matière de vaccins. [24] Des médecins indignés ont menacé de ruiner financièrement le magazine qui a publié l’article et de retirer toute publicité payante si l’article n’était pas supprimé. [25]

 

Offit tente de diaboliser les parents « trouble-fêtes »

 

Fin avril, un journaliste de CNN a cité des médecins  qui attribuaient les épidémies de coqueluche, de rougeole et d’oreillons aux personnes non vaccinées des pays développés parce que ces dernières diffusaient leurs doutes sur internet quant à la sécurité des vaccins, mettant du même coup en danger la santé du monde. [26] La réaction du Dr Offit ne se fit pas attendre : «  C’est la classe moyenne supérieure, les parents bien éduqués de race blanche qui boudent les vaccins. Ces gens ont généralement fait des études supérieures, occupent des postes de gestion et sont habitués à tout contrôler » a-t-il déclaré platement.

 

Les médecins qui sont entrés dans le jeu du blâme et de la critique ne sont même pas d’accord entre eux pour affirmer que les parents « trouble-fêtes » qui s’interrogent sur les vaccins ne sont que des gens stupides et irrationnels ou peut-être des gens bien éduqués, riches, de race blanche, qui refuseraient de reconnaître la supériorité intellectuelle et l’infaillibilité de ceux qui portent les titres de docteur en médecine, docteur ès science quelque soit la couleur de leur peau ou l’argent qu’ils gagnent.

 

Les docteurs Offit, [27], Halsey , [28, 29 30] Plotkin, [31, 32] Omer, [33, 34, 35, 36] et autres qui nient les risques que présentent les vaccins s’occupent de critiquer tout le monde sauf bien entendu eux-mêmes par rapport aux tristes statistiques qui montrent qu’1 enfant sur 50 en Amérique développe un type de dysfonctionnement immunitaire et cérébral appelé autisme, alors que précédemment, avant qu’on ne multiplie par trois le nombre de vaccins administrés aux bébés, on ne comptait qu’1 cas sur 2000 enfants.

 

Régression vers une mauvaise santé après la vaccination : une expérience universelle

 

Ce que les médecins qui se complaisent dans le négationnisme [37] refusent d’accepter, c’est qu’aujourd’hui tout le monde connaît quelqu’un qui était en bonne santé qui s’est fait vacciner et qui, dans la suite, ne s’est plus jamais senti bien. [38]. Cette régression vers un état de mauvaise santé, [39]  ce type d’expérience universelle de souffrances et de risques après l’utilisation d’un produit pharmaceutique a une longue histoire parfaitement documentée [40, 41, 42]. Ces risques et ces échecs [43, 44] expliquent pourquoi  le débat public sur la santé et les vaccinations se poursuivra au 21ème siècle et devra continuer. Ce débat continuera jusqu’à ce que les médecins (qui poussent les enfants et les adultes déjà plus vaccinés et malades que jamais), à recevoir de plus en plus de vaccins, se décideront enfin à présenter de meilleures explications que : « c’est la faute de mauvais gènes », « on a aujourd’hui de meilleurs diagnostics » ou « tout n’est que coïncidence ».

 

Les fabricants de vaccins et les médecins qui sont effectivement à l’abri de toute responsabilité n’en ont pas moins un strict devoir éthique

 

Aux Etats-Unis, les fabricants de vaccins sont à l’abri de toute responsabilité devant les tribunaux civils. Les médecins qui promeuvent et administrent les vaccins sont aussi à l’abri de toute poursuite en cas de complications vaccinales. [45, 46]

 

Les médecins qui échappent à toute responsabilité sur le plan juridique n’en ont pas moins une plus grande obligation éthique d’encourager leurs patients et les parents d’enfants mineurs à s’informer le mieux possible au sujet des risques que comportent les vaccins. Ils ont aussi l’obligation morale de respecter les décisions des patients et des parents, même si personnellement, ils ne partagent pas la décision prise. [47, 48]

 

La liberté de pensée, de parole et de conscience est protégée par la Constitution aux Etats-Unis. [49] La confiance du public dans l’intégrité des politiques de santé publique est détruite lorsque des médecins ne respectent pas le droit au consentement éclairé par rapport à des risques médicaux et quand ils se comportent en intimidateurs en lieu et place de guérisseurs pleins de compassion dont le principal objectif est d’abord de ne pas nuire.

 

Références:


1   Fisher BL. Women, Vaccines & Bodily Integrity. NVIC Vaccine Newsletter Jan. 14, 2013.

2   Centers for Disease Control. What You Should Know for the 2012-2013 Flu Season: Can I Get Vaccinated and Still Get the Flu?

3   LaVigne P. New State Vaccine Bills Threaten Vaccine Choices. NVIC Vaccine Newsletter Apr. 22, 2013.

4   Institute of Medicine Committee on the Assessment of Studies of Health Outcomes Related to the Recommended Childhood Immunization Schedule. The Childhood Immunization Schedule and Safety: Stakeholder Concerns, Scientific Evidence and Future Studies. Washington, DC: The National Academies Press 2013.

5   Centers for Disease Control.  Advisory Committee on Immunization Practices (ACIP) Recommended Immunization Schedule for Persons Aged 0 Through 18 Years – United States, 2013. MMWR 2013; 62(01): 2-8.

6   Centers for Disease Control. Recommended schedule for active immunization of normal infants and children 1983.

7   Businesswire. National Vaccine Information Center Supports Three of Five Recommendations of New IOM Report on US Childhood Immunization Schedule Safety and Calls for Transparency. NVIC Jan. 16, 2003 Press Release.

8   Blumberg SJ, Bramlette MD, Kogan MD et al. Changes in Prevalence of Parent-reported Autism Spectrum Disorder in School-aged U.S. Children: 2007 to 2011-2013. National Health Statistics Reports 2013; 65: 1-11.

9   Newschaffer CJ, Falb MD, Gurney JG. Autism Prevalence Trends from United States Autism Special Education Data. Pediatrics 2005; 115(3).

10   Coulter HL, Fisher BL. DPT: A Shot in the Dark. Harcourt Brace Jovanovich 1985 (Warner 1986, Avery 1991, Penguin - current).

11   Institute of Medicine Vaccine Safety Committee. Appendix B: A Brief Chronology of Pertussis and Rubella Vaccine (1982) Adverse Effects of Pertussis and Rubella Vaccines. Washington, D.C: The National Academies Press 1991.

12   DeStefano F, Price CS, Weintraub ES. Increasing Exposure to Antibody-Stimulating Proteins and Polysaccharides in Vaccines Is Not Associated with Risk of Autism. Journal of Pediatrics.  Published online April 1, 2013.  

13   Offit PA, Quarles J, Gerber MA et al. Addressing Parents’ Concerns: Do Multiple Vaccines Overwhelm or Weaken the Infant’s Immune System?Pediatrics 2002; 109(1): 124-129.

14   Himmelfarb Health Sciences Library. Study Design 101: Case Control Study. November 2011.

15   Centers for Disease Control. Vaccine Excipient and Media Summary. February 2012.

16   Sato H, Ito A, Chiba J. Monoclonal Antibody Against Pertussis Toxin: Effects on Toxin Activity and Pertussis Infections. Infection and Immunity 1984; 46(2): 422-428.

17   Tomljenovic L, Shaw CA. Mechanisms of aluminum adjuvant toxicity and autoimmunity in pediatric populations. Lupus 2012; 2(21).

18    Santucci B, Cannistraci C, Cristaudo A et al. Thimerosal posivities: The role of SH groups and divalent ions. Contact Dermatitis 1998; 39(3): 123-126.

19   The Free Dictionary. Acquired Immunity.

20   Institute of Medicine Committee to Review Adverse Effects of Vaccines. Adverse Effects of Vaccines Evidence and Causality. Increased Susceptibility (page 82).  Washington, D.C. The National Academies Press 2012.

21   Brunson EK. The Impact of Social Networks on Parents’ Vaccination Decisions. Pediatrics published online April 15, 2013.

22   Rajaraman M. Social networks play a key role in parents’ vaccination decisions. Pediatric News April 15, 2013.

23   Fisher BL. The Safety of the Childhood Vaccine Schedule: A Public Perspective Institute of Medicine Committee on the Assessment of Studies of Health Outcomes Related to the Recommended Childhood Immunization Schedule Feb. 9, 2012 meeting.

24   Tokasz J. Column critical of vaccine for teen HPV stirs outrage. The Buffalo News Apr. 11, 2013.

25   O’Connor L. Writer Defends Column Critical of Gardasil Vaccine. “Parent Talk” radio interview with Barbara Loe Fisher on risk of HPV and Gardasil and informed consent rights of parents. The Breeze (FM102.9 & AM1230). April 13, 2013.

26   McCafferty G. Vaccines shunned by some as others struggle for access. CNN Apr. 26, 2013.

27   Fagone J. Will this Doctor Hurt Your Baby? Philadelphia Magazine June 2009.

28   NBC-TV. Debate with Neal Halsey, M.D. and Barbara Loe Fisher moderated by Matt Lauer on vaccine safety, chronic disease increases and informed consent. Today Show March 1997.

29   O’Reilly KB. Time to get tough? States increasingly offer ways to opt out of vaccine mandates. American Medical News Sept. 8, 2008.

30    Salmon DA, Halsey NA. Keeping the M in Medical Exemptions: Protecting Our Most Vulnerable Children. J Infect Dis Aug. 29, 2012 (published online).

31  31 Plotkin S, Orenstein WA, Offit PA, editors. Vaccines, 6th Edition. Saunders Elsevier Inc. 2012.

32    Plotkin S. History of Vaccines: A New Website by the Oldest Medical Society in the U.S. Shots of Prevention.com Nov. 3, 2010.

33   Omer SB, Pan WK, Halsey NA et al. Nonmedical exemptions to school immunization requirements: secular trends and association of state policies with pertussis incidence. JAMA 2006; 296: 1757-1763.

34   Salmon DA, Omer SB. Individual freedoms versus collective responsibility:  immunization decision-making in the face of competing values. Emerging Themes in Epid 2006; 3: 13-15.

35   Omer SB, Salmon DA, Orenstein WA, deHart PM, Halsey N. Vaccine Refusal, Mandatory Immunization and the Risks of Vaccine Preventable Diseases. N Engl J Med 2009; 360(19): 1981-1988.

36   Stadlin S, Bednarczyk RA, Omer SB. Medical Exemptions to School Immunization Requirements in the United States – Association of State Policies with Medical Exemption Rates (2004-2011). J Infect Dis Aug. 29, 2012 (published online).

37   Diethelm P, McKee M. Denialism: What is it and how should scientists respond? Eur J Public Health 2009; 19(1): 2-4.

38  NVIC.org. Vaccine Freedom Wall.

39   MedAlerts.org. Vaccine Adverse Events Reporting System (VAERS) searchable database.

40   Institute of Medicine Vaccine Safety Committee. Adverse Events Association with Childhood Vaccines: Evidence Bearing on Causality. Washington, D.C. The National Academies Press 1994.

41   Institute of Medicine. DPT Vaccine and Chronic Nervous System Dysfunction: A New Analysis. Washington, D.C. The National Academies Press 1994.

42   Health Resources Services Administration. National Vaccine Injury Compensation Program Statistics Report.

43   He Q, Vijanen MK et al. Whooping Cough Caused by Bordetella pertussis and Bordetella parapertussis in an Immunized Population. JAMA 1998; 280: 635-637.

44   Dayan GH, Rubin S, Plotkin S. Mumps Outbreak in Vaccinated Populations: Are Available Mumps Vaccines Effective Enough to Prevent Outbreaks?Clin Infect Dis 2008; 47(11): 1458-1467.

45   Businesswire. National Vaccine Information Center Cites ‘Betrayal’ of Consumers by U.S. Supreme Court Giving Total Liability Shield to Big Pharma. NVIC Press Release Feb. 23, 2011

46   Evans G. National Childhood Vaccine Injury Act: Revision of the Vaccine Injury Table. Pediatrics 1995; 98(6): 1179-1181.

47   University of Illinois Chicago College of Medicine. Informed Consent.

48   American Medical Association. Informed Consent.

49   American Library Association. Quotations: First Amendment, Censorship and the Freedom to Read.

 

Source: Newsletter du NVIC du 14 mai 2013

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