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14 juillet 2011 4 14 /07 /juillet /2011 15:38

Le très "indépendant" KCE revient à la charge avec ses recommandations et avis hasardeux.

L'objet de son discours cette fois? La vaccination antigrippale des malades chroniques.

 

 

Seringues--vactruth-.JPG

 

 

Sur le site 7sur7, on peut en effet quelques extraits éclairants:

   

"Seuls 20% des malades chroniques de moins de 65 ans sont actuellement vaccinés contre la grippe saisonnière", affirme jeudi le Centre fédéral d'expertise des soins de santé (KCE) qui estime que "la manière la plus efficiente de diminuer le nombre d'hospitalisations liées à celle-ci est de vacciner davantage ces personnes".

 

Les experts de cet organisme, qui réalise des études scientifiques pour documenter les pouvoirs publics en matière de décisions dans le domaine de la santé, soulignent aussi dans leur dernière étude que "les personnes de 75 ans et plus sont bien vaccinées dans notre pays, et cela à raison de plus de 70%", une couverture qui devrait être maintenue voire encore augmentée.
 
"La conférence interministérielle belge sur la santé a demandé au KCE d'étudier comment optimiser l'utilisation des vaccins disponibles", indique jeudi le centre. Le nombre de doses de vaccin contre la grippe est limité et certains groupes spécifiques sont prioritaires pour la vaccination.
 
Après avoir envisagé plusieurs hypothèses, les experts du KCE sont arrivés à la conclusion que pour diminuer les hospitalisations liées à la grippe saisonnière, il faudrait vacciner les malades chroniques. Ceux-ci courent un risque 7 fois plus élevé d'être hospitalisés.
 
"La couverture vaccinale chez ceux-ci n'est en effet que de 20% pour les malades chroniques âgés de moins de 65 ans. Une augmentation de cette couverture de 20% permettrait d'éviter 200 hospitalisations et de 1 à 15 décès".
 
En moyenne, 300.000 Belges par an consultent un généraliste pour la grippe. La moitié des patients qui ont été hospitalisés pour une pneumonie -une des complications de la grippe - avaient 65 ans et plus, et 22% avaient moins de 5 ans. La grande majorité des décès considérés comme étant causés par la grippe, soit 98%, interviennent chez les malades chroniques de moins de 65 ans et chez les personnes de 65 ans et plus. (belga) "

 

 

  

Quel est le problème, une fois de plus, avec le KCE ?

 

Comme nous l’avions précédemment expliqué, il s’agit encore et toujours du problème de « la paille et la poutre » avec cette institution.

 

Ils prétendent avoir envisagé plusieurs hypothèses mais visiblement pas assez pour ne pas avoir réussi à comprendre que, pour ces décès et complications soi-disant épargnés en vaccinant davantage, il y en aura toute une série d’autres du fait même de la vaccination car celle-ci peut entraîner des effets gravissimes et même des décès. Leur évaluation n’a donc de « scientifique » que le nom mais l’objectivité n’y est pas. Toutes ces évaluations ont toujours en point commun le fondement tacite que les vaccins ne peuvent absolument pas nuire et reposent donc toujours sur une base idéologique extrêmement forte qui n’a plus rien à voir avec la notion de scientificité réelle. Jamais non plus, ces évaluations ne prennent en compte l’existence et l’efficience de moyens alternatifs sûrs pour renforcer favorablement les défenses naturelles non seulement contre la grippe mais aussi contre tous les autres types d’infections.

 

Du reste, comme expliqué par le Dr F. Choffat dans son livre « Hold up sur la Santé » (Ed. Jouvence) : « Les vaccins sont différents d’un traitement médicamenteux qu’on peut interrompre en cas d’intolérance. Ils modifient durablement le fonctionnement du système immunitaire et peuvent provoquer des déséquilibres tardifs qui ne seront pas identifiés sans étude collective systématique

 

Quand on sait que les malades chroniques présentent quasiment tous des troubles du système immunitaire avec soit un système immunitaire affaibli du fait de la prise de traitements immunosuppresseurs (s’ils souffrent de maladies auto-immunes) soit un système immunitaire bien trop réactif (avec des crises et poussées par période), on comprend le caractère profondément hasardeux des recommandations des experts du KCE.

 

Et, par conséquent, il n’est donc pas du tout évident que ces 15 décès annuels soi-disant épargnés et ces 200 hospitalisations ne seront pas contrebalancés par un nombre bien plus grand (mais qui sera bien sûr déclaré comme « non lié » par un corps médical bien discipliné) de décès, d’hospitalisations et de troubles chroniques.

 

Quand la Caisse d’Assurance Maladie de Nantes a mené une enquête en 1993 pour évaluer le rapport coût/bénéfices de la vaccination antigrippale chez les personnes âgées de 60 à 69 ans, elle a eu comme drôle de « surprise » de constater que les personnes vaccinées étaient légèrement plus souvent atteintes… de la grippe que les personnes non vaccinées et que les vaccinées consommaient plus en soins médicaux que les non vaccinées. (Etude de l’incidence de la vaccination antigrippale sur la consommation de soins ambulatoires des personnes âgées de 60 à 69 ans CPAM de Nantes Peter C. et Fremont C.. Communication au congrès de ADELF 3/6 juillet 1995 à Nancy.)

 

Hélas, les malades chroniques sont une proie de choix pour les propagandistes de la vaccination à tout prix car ils sont souvent très influençables par le discours de leur médecin traitant. S’ils ont donc la malchance d’être suivis par un médecin docile et manipulé, les voilà embarqués dans une roulette russe à leur insu… car ils peuvent avoir le sentiment que la vaccination ne leur a fait aucun tort ou s’en rendre compte parfois bien plus tard, sans parler de ceux qui souffriront en silence, sans jamais faire le lien, de dégradations cognitives croissantes, d’inflammations chroniques ou aiguës, de troubles neurologiques, de l’émergence « soudaine » d’une hypertension « inexpliquée », etc.

 

Nous appelons donc, une fois encore, à la vigilance des citoyens et à leur bon sens.

Car les ficelles utilisées sont toujours les mêmes: la "gratuité", faire croire qu'"il n'y en aura pas pour tout le monde" (il faut "optimiser la gestion du stock disponible") et autres trucs usés jusqu'à la rogne.

 

Et nous terminerons par un commentaire reflétant justement l’opinion concrète d’une personne parmi tant d’autres, après expérimentation personnelle de ce genre de pratique :

 

« Quelle scie ces campagnes de vaccination ! Cinq fois dans ma vie, je me suis fait vacciné contre l’une ou l’autre grippe dont la saisonnière. A chaque fois, je suis tombé malade de la grippe en question. Je fais partie des personnes à risque mais heureusement, mon toubib a compris que je risque plus avec ce vaccin que sans ! »

Jacques J., Charleroi. (site de 7/7)

 

 

 

 

 

 

 

 

 



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2 juillet 2011 6 02 /07 /juillet /2011 22:55

17 juin 2011.

 

C'est ce qui s'appelle une vision très partiale de l'"aide humanitaire": le Gavi (Global Alliance Vaccine Initiative) s'est réjoui, il y a peu de la promesse de don du gouvernement britannique de David Cameron de 923 millions d'euros en faveur de programmes mondiaux de vaccination.

 

"Ce sont en effet 814 millions de livres qui seront très prochainement octroyés à GAVI Alliance par l'Angleterre. C'est ce qu'a déclaré récemment lors d'une conférence le premier ministre britannique David Cameron. Cet important fond est destiné au financement d'un projet de vaccination mondiale présenté dans la capitale anglaise au cours d'une conférence en présence de Bill Gates. En effet, le co-fondateur de Microsoft, par le truchement de sa fondation, est, avec l'UNICEF, l'Organisation mondiale de la santé et la Banque Mondiale, l'un des acteurs clefs du financement de ce vaste programme de vaccination initié par GAVI alliance, lequel a permis en dix années seulement d'éviter 5,4 millions de décès.

 

L'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation (GAVI Alliance) est un partenariat qui rassemble autour d'une même cause des acteurs des secteurs public et privé. L'objectif visé par cette coalition internationale réunissant plusieurs gouvernements, la fondation Bill et Melinda Gates, l'OMS et plusieurs autres partenaires est de « sauver la vie des enfants et de protéger la santé des populations » en favorisant largement l'accès à la vaccination dans les pays à faibles revenus. GAVI a pour ambition de favoriser l'accès à la vaccination de 243 millions d'enfants dans 72 pays, ce qui devrait permettre d'éviter 4 millions de décès d'ici 2015. Seulement, pour réussir ce pari, l'Alliance devra récolter environ 3,7 milliards de dollars américains.

 

A cet ambitieux projet, Londres veut contribuer pleinement en participant au financement de nouveaux programmes de vaccination d'ici 2015. Déjà un soutien clé de GAVI Alliance, cette aide qu'apporte Londres devrait permettre de sauver la vie de « 1, 4 millions d'enfants » selon le Premier ministre Cameron. En clair, ce sont un peu plus de 80 millions d'enfants dans le monde entier qui pourront bénéficier d'un financement grâce auquel « un enfant toutes les deux secondes pourra être vacciné ». Ainsi, Londres contribuera à « sauver la vie d'un enfant toutes les deux minutes », a ajouté David Cameron lors de la cérémonie d'ouverture de la conférence organisée par l'Alliance. Ce nouvel engagement financier de Londres hausse à près d'un tiers la participation du pays au financement de l'Alliance mondiale pour les vaccins et l'immunisation sans toutefois, selon Cameron, entraîner une réduction dans les budgets alloués à l'aide au développement."

 

"GAVI est tout simplement formidable. Elle délivre des résultats tangibles… En une décennie, elle a aidé à empêcher 5,4 millions de décès, a déclaré M. Cameron.

 

Le Premier ministre britannique, qui a lancé un programme d’austérité sans précédent dans son pays, a une nouvelle fois défendu sa décision de ne pas tailler dans les budgets de l’aide au développement.

 

La nouvelle contribution britannique porte à un tiers environ la part de la Grande-Bretagne dans le financement de GAVI.



S’exprimant peu après le discours de David Cameron, Bill Gates a pour sa part promis un milliard de dollars (690 millions d’euros) sur cinq ans. Ce n’est pas tous les jours qu’on donne un milliard de dollars mais, pour une cause comme celle-là, c’est passionnant, a-t-il déclaré."



Sur le site Santelog, on peut lire que la Norvège a consenti à un don de 677 millions de dollars mais que "la France déçoit" (!), n'ayant consenti, excusez du peu, qu'à une bagatelle de 146 millions de dollars. Ce qui a fait dire au donneur de leçons Bill Gates sur CNN que ce pays "pourrait faire beaucoup mieux".



Sources: Info.tonsite ; Santelog et Pipelette.com



 

loupe

 

 

Comme nous en avions déjà parlé précédemment, au sujet de la faramineuse gabegie financière du H1N1, cet acharnement systématique à acheter aussi massivement et aussi aveuglément autant de vaccins pose très cruellement la question d’allocation de ressources.

 

En effet, alors que ces sommes sont versées sur des bases purement idéologiques sans qu’aucune preuve concluante ne vienne étayer ces chiffres de décès soi-disant « évités », les chiffres d’enfants mourant de faim ou souffrant cruellement de faim dans le monde sont édifiants et se chiffrent eux aussi en millions.

 

Pour bien comprendre, il est important d’évoquer ces chiffres : 55 millions d’enfants au moins dans le monde souffre de malnutrition aiguë et 19 millions d’enfants souffrent de malnutrition aiguë à ce point sévère qu’ils sont en danger de mort imminente. Or il faut seulement 3 milliards d’euros par an pour sauver ces 19 millions d’enfants de la mort. La somme de 4,7 MILLIARDS d’euros à laquelle le Gavi espère donc aboutir permettrait donc, de façon scientifiquement certaine, de sauver annuellement, au moins 19 millions de vie. 

Autant dire que ce genre de sommes permettrait d'améliorer considérablement le problème de la faim dans le monde et d’aider ainsi véritablement au développement de tant de pays en souffrance, c’est à dire d’aller à l’essentiel. Car il va sans dire que des enfants dénutris sont, de facto immunodéprimés et donc bien plus à la merci d’une mort par maladie infectieuse que des enfants suffisamment nourris. Ces enfants dénutris, lorsqu’ils sont vaccinés, sont encore plus exposés aux risques d’effets graves voire mortels dûs aux vaccins eux-mêmes car leur système immunitaire n’est souvent même plus capable de supporter l’agression immunitaire que constitue aussi la vaccination, acte médicalement non neutre et qui comporte aussi des risques, rappelons-le.

 

Ces chiffres de « vies sauvées  toutes les deux minutes » ne reposent donc sur absolument rien de rationnel ni de fiable, d’autant que ne sont jamais pris en compte les décès occasionnés par les vaccins dans ces pays où les recours juridiques contre les fabricants sont matériellement impossibles ni les complications en terme de maladies chroniques, encore plus lourdes sur le plan sociétal pour ces pays qui n’ont pas de systèmes de protection sociale comme les nôtres.

 

Alors que ces mêmes sommes, investies intégralement dans l’aide alimentaire mondiale, correspondraient à un nombre annuel de vies sauvées très nettement supérieur et ce, sans risque de tuer ou de léser qui que ce soit en contrepartie (au contraire !), des idéologues continuent de s’acharner à ne pas régler l’essentiel, tout en prétendant vouloir contribuer véritablement au bien de l’Humanité…

 

Cette triste idéologie se paie hélas cash et ses victimes concrètes et quotidiennes se comptent donc en milllions, chaque année. L'existence d'une telle idéologie rappelle aussi toute l’importance de bien réfléchir au type d’aide humanitaire à promouvoir en priorité et aux meilleures structures associatives avec qui collaborer, en tant que citoyen ou acteur de terrain.

 

Enfin, ces projets de vaccination mondiale, sans cesse étendus, avec cette volonté systématique d’introduire de nouveaux vaccins dans les pays pauvres au nom du « progrès », tout cela peut être mieux compris à la lumière d’un texte conjoint de l’OMS & de l’Unicef intitulé « Projet de stratégie mondiale de vaccination pour 2006-2015 ». Dans ce texte où l’idéologie transpire à plein, on peut en fait lire ces diktats qui ne sont ainsi que docilement mis en application par un nombre croissant de gouvernements nationaux : introduire au fur et à mesure les nouveaux vaccins dans les programmes nationaux de vaccination, employer diverses stratégies pour vacciner le maximum de gens, faire en sorte que les non vaccinés aient au moins 4 contacts par an avec les services de vaccination, élargir les indications des vaccinations à d’autres groupes cibles etc…

 

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11 mai 2011 3 11 /05 /mai /2011 08:18

10/05/2011

 

Faites-vous vacciner et gagnez un ipod

 

Un district scolaire de Caroline du nord distribue des iPod et des ordinateurs portables aux enfants qui participent à un concours de vaccinations.

 

(Natural News)Chapel Hill- Le district scolaire de Carrboro en Caroline du Nord a lancé un nouveau concours de vaccination, très choquant, offrant des prix incitant les étudiants a se faire vacciner. D’après le site web du district, pour chaque vaccin que recevra un étudiant, il ou elle recevra aussi une participation à un tirage pour gagner un iPod ou un ordinateur portable—et les étudiants qui se feront injecter la totalité des vaccins recommandés, dont le HPV (Papilloma Virus Humain) pour garçons et filles, auront droit a des tickets supplémentaires et ainsi plus de chances de gagner que les autres étudiants.

 

D’après le site , les trois vaccins promus sont le vaccin contre la méningite, le vaccin trivalent ( coqueluche, tétanos, polio),et le vaccin contre le virus papilloma humain. Entre le premier avril 2011 et le 31 mai 2011, les étudiants sont encouragés à se faire injecter un ou plusieurs de ces vaccins et en présenter la preuve à leur infirmière scolaire avant le premier juin. Ceux qui le feront, recevront un ticket individuel pour chaque vaccin et 4 tickets au total s’ils ont les 3 vaccins. Le truc publicitaire se déroule sous la conduite du superintendant Neil Pedersen, et est promu à la fois par les infirmières scolaires et le Département de Santé du comté d’Orange. La page d’information du site explique que le concours a été rendu possible par la donation d’une famille dont la fille serait morte d’une méningite, mais cela n’explique pas pourquoi les vaccins diphtérie, coqueluche, tétanos et papilloma virus humain sont inclus dans le concours.

 

Source: Noxmail.us

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10 mai 2011 2 10 /05 /mai /2011 21:24

"Si toutes les données concernant les vaccins ne sont pas connues à ce jour, notamment leurs éventuels effets secondaires, il est néanmoins essentiel de promouvoir la politique de vaccination." Le Ministère de la Santé aux médecins généralistes d'Auvergne (via la DRASS) dans un courrier datant du 29 septembre 2009.

 

 

   
Intervenants :

1 Sandrine Germain /
2 Pr Jean Beytout (Chef service des maladies infectieuses -CHU Clermont-Ferrand)
3 Françoise Joët (Pdte Association Liberté Information Santé - ALIS)
4 Dr Geneviève Chereau-Lazdunski (pédiatre)
5 Dr Jean-Michel Calut (médecin généraliste)
 
En faisant ici fi, de façon criante, du plus élémentaire principe de précaution, notamment vis-à-vis de publics fragiles, les autorités démontrent qu'elles sont capables de sacrifier la santé publique au nom d'une idéologie. Et on comprendra, sans s'en étonner, que des médecins puissent s'en indigner et se dire choqués, comme c'est le cas dans ce reportage.
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4 mai 2011 3 04 /05 /mai /2011 23:54

29 avril 2011

 

C'est le thème du prochain colloque piloté par des parlementaires le 4 mai 2011. Pour eux, la campagne de vaccination contre la grippe H1N1 l’a confirmé, le vaccin n’emporte plus la confiance automatique des populations qu’il prétend soigner : il manque un socle fondamental en France sur les impératifs de la vaccination. A-t-on choisi les bons acteurs pour atteindre nos objectifs renchérira le président du CTV qui dénoncera les limites de la médecine générale et déclarera qu' il faut revoir le système …

 

Le mercredi 4 mai 2011 des parlementaires pilotent à la Maison de la Chimie à Paris, à 2 pas de l'Assemblée Nationale, leur troisième rencontre parlementaire sur les vaccins. Comme celui auquel j'avais assisté le 4 mars 2009 (voir mon article) et qui titrait « Vaccins : une excellence française à préserver ». Ce sont les mêmes parlementaires qui pilotent et participent, les députés Yves Bur, Jean-Pierre Door.

 

Titre du colloque auquel j'ai prévu d'assister pour écouter et noter, pas pour intervenir :

« Vaccins : Gagner la bataille de l'opinion – Acquérir un rôle pionnier à l'international »

 

Il est organisé par AgoraEurope qui propose le programme de la journée. L'objectif du colloque est biaisé dès son titre : il s'agit de gagner ''la bataille de l'opinion'' comme si l'opinion pouvait  être encore l'enjeu d'un combat des chefs pour s'emparer d'elle ! L'opinion serait la biche qui regarde le combat entre 2 cerfs mâles en attendant de se donner au vainqueur. A l'heure d'internet, de la circulation des idées et de l'information c'est devenu complètement archaïque.

 

« Dans ce combat à remporter, disent les députés organisateurs, ne faut-il pas mobiliser tous les acteurs de la chaîne de santé ? A cet égard et dans le contexte actuel de suspicion exacerbée à l’égard des laboratoires pharmaceutiques, il nous parait opportun d’étudier objectivement le rôle joué par les entreprises du médicament. Nous en discuterons publiquement avec eux. L’après-midi, nous élargirons notre propos à l’examen de notre politique sanitaire à l’étranger. »

 

Les députés sont des élus qui doivent vaincre des adversaires et pour cela convaincre les électeurs de voter pour eux. Mais la lutte contre les maladies infectieuses ne consiste pas à triompher d'un adversaire comme on le fait en politique. L'ennemi est le virus ou le bacille et on n'affronte pas le virus H1N1 ou le bacille de  Koch comme un adversaire politique. Nos parlementaires sont encore très loin de comprendre qu'il n'y a aucun combat à remporter ni même à mener, au sens où ils l'entendent. D'ailleurs, du fond de sa caverne, le fameux BK s'amuse beaucoup de ce genre d'attitude qui conduit à promouvoir un vaccin parce que c'est un vaccin ...

 

Pour ce colloque, l'objectif n'est visiblement pas de rechercher et promouvoir la meilleure stratégie de lutte contre des maladies mais de faire accepter des vaccins par la population nationale et au delà. Ce n'est pas nouveau : la façon dont la vaccination BCG a pollué et compromis la lutte antituberculeuse en France est démonstrative. Voir mon blog spécialisé à ce sujet.

 

En attendant cette journée passionnante voici un aperçu du programme qui va nous donner des indications sur son orientation.

 

Le matin

« Gagner la bataille de l'opinion.

Comment renforcer l’acceptabilité sociale des vaccins et associer les citoyens aux décisions ? Garantir la confiance du grand public. Quelles mesures opérationnelles ? »

 

Tout un programme ! On imagine assez facilement ce qui se prépare derrière ces mots car il en a déjà été question au cours des auditions parlementaires sur la pandémie. Voici ce qui fut proposé : introduire de la ''démocratie sanitaire'' en organisant des états généraux de la vaccination. Un panel de citoyens déclaré représentatif  serait choisi et comme ces membres ne connaîtront rien aux vaccinations on les formera au préalable pendant 2 jours

Tout est clair !!!

 

On imagine le spectacle ! D'abord, pour commencer, on leur dira que la variole a été vaincue par la vaccination généralisée, systématique et obligatoire. Mais allez voir mon article sur le sujet...Nos braves citoyens formatés et honorés d'être là valideront ce que les organisateurs voudront pour que ceux-ci puissent clamer partout qu'un panel représentatif du peuple à déclaré que la vaccination telle que proposée par les autorités sanitaires était bonne pour lui !

 

Mais une vraie démocratie sanitaire ne saurait être cela : pour être digne de ce nom et non d'une parodie de théâtre il faudrait que tous les problèmes soient mis sur la table et présentés par des personnes capables de les exposer. A commencer par l'éradication de la variole. Puis l'affaire du BCG et des tests tuberculiniques, les vicissitudes du programme d'éradication de la polio et de l'élimination de la rougeole, l'affaire de la vaccination hépatite B et des zones d'ombres autour de certaines études etc.

 

 

Source: La question des vaccins

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9 avril 2011 6 09 /04 /avril /2011 22:41

La revue Medi-Sphere du 31 mars 2011 titre, sous la plume de Johan de Neve :

 

"9° Symposium de la Saint-Valentin d'Anvers

Vacciner en toute sécurité en 2011"

 

Dans cet article, sous la rubrique "Interactivité", on peut notamment lire "Le thème central- à savoir la sécurité de la vaccination- a été déterminé, entre autres, sur la base de formulaires d'évaluations collectés à la fin de l'édition précédente en 2009. Ce choix a été renforcé par les discussions sur les données de sécurité menées à l'occasion de différents forums dans le sillage de la pandémie H1N1. A l'occasion des séances de questions/réponses, un panel d'experts (le Dr Pieter Neels, le Pr Karel Hoppenbrouwers, le Dr Heidi Theeten, le Dr Geert Top, le Dr Iris Deschutter et le Pr Pierre Van Damme, qui était également modérateur) a répondu, sur la base des données scientifiques actuelles, à des questions envoyées au préalable ou posées "spontanément" par le public. Enfin, le symposium représentait aussi l'occasion idéale d'annoncer le thème de la semaine européenne de la vaccination."

 

 

 Van Damme

                                              http://www.mediattitudes.info/2010_11_01_archive.html

 

 

En première page de cet article, on trouve des aveux extrêmement importants, de la part de ceux-là même qui défendent toujours plus de vaccins pour toujours plus de monde à tout prix.

 

 

Ethique-1.jpg

 

 

 

Là où un caractère scientifique élémentaire aurait imposé avant toute vaccination massive de réelles études long terme entre des gens vaccinés et des gens jamais vaccinés (au risque de créer un biais), cela n'a jamais été fait en plus de 200 ans d'histoire des vaccinations, et ceci, au nom d'un prétexte "éthique" fumeux qui ne fait que démontrer le postulat intouchable "les vaccins sont bons, en priver quiconque est donc non éthique"! On touche là non plus à la science mais à la croyance et au domaine de l'idéologie qui sont particulièrement dangereux quand il s'agit de santé publique.

 

Cette comparaison, sans cesse biaisée, est la raison principale expliquant le fossé entre le discours officiel théorique et dogmatique (rassurant) et la dure réalité du terrain, constatée voire vécue par nombre de gens et de praticiens, même quand ceux-ci n'établissent pas le lien. Cette comparaison, sans cesse biaisée, est ce qui permet aux producteurs de vacciner sans cesse plus et d'affirmer constamment que leur nouveau vaccin "présente un profil de tolérance acceptable par rapport au (faux) groupe contrôle," ayant reçu un autre vaccin.

 

Tant que ce postulat idéologique des vaccins "bénéfiques à priori" demeurera ainsi intouchable, le public se verra constamment opposer un discours faussement rassurant et potentiellement dangereux pour sa santé individuelle mais aussi pour l'état global de santé de la collectivité avec les conséquences financières que l'on sait.

 

Mais continuons à lire dans cette revue médicale les illogismes et autres prévisions d'apprentis-sorciers:

 

donnees-securite.jpg

 

C'est l'arroseur arrosé. Comment peut-on prétendre déplorer l'absence de données sur l'incidence "normale" de certaines maladies alors que précisément, dans le même temps, on organise et on soutient cette absence permanente de comparaison fiable entre vacciné et gens (absolument) non vaccinés? On a donc tout biaisé, dès le départ. Et ce genre d'incohérences venant de soit-disant "experts" donne véritablement froid dans le dos quand on sait que ce sont ce type de personnalités qui "conseillent" nos dirigeants et sont censées le faire "pour le bien du public"!

 

Poursuivons donc car nous ne sommes pas au bout de nos (désagréables) surprises...

Sous la rubrique "Vaccins sûrs", on peut lire que "Il  est notamment stipulé (dans les documents de l'Agence Européenne du Médicament en ce qui concerne les étapes requises pour l'obtention d'une autorisation de mise sur le marché) "qu'un vaccin doit avoir été administré au minimum à 3000 reprises dûment documentées avant d'être mis sur le marché."

 

Non seulement c'est un chiffre insignifiant et hautement insuffisant (destiné à préparer le public à d'autres vaccins "pandémiques" expérimentaux à venir) mais en plus, même quand il se produit un nombre effrayant de décès au cours des essais cliniques comme les 7 décès sur les 2000 patients ayant reçu le Pandemrix, les autorités européennes agissent comme si de cela ne s'était jamais passé, les fabricants de vaccins et les officiels belges de la santé le nient à la télé (avant de revenir lamentablement sur leur déni pour essayer de sauver la face!)

 

Quand on sait que le "suivi" de ces patients vaccinés se borne à quelques jours, quelques semaines ou tout au plus quelques mois, on ne peut que s'étonner du contraste effarant avec les précautions beaucoup plus draconiennes de l'Europe des lobbies envers les plantes traditionnelles.

 

Là où on peut lire dans Medi-Sphere qu' "afin que les vaccins soient disponibles plus rapidement pour la protection de la population en cas de grippe pandémique, un certain nombre de procédures spécifiques ont été introduites par l'Union européenne. Ces procédures (gérées par l'EMA) assurent l'approbation plus rapide d'un vaccin antigrippe, par comparaison à la période de 18 à 24 mois généralement requise pour approuver un médicament dans l'Union Européenne. La procédure dite "mock-up" permet de mettre au point et d'approuver un vaccin préalablement à toute pandémie sur la base de données indiquant qu'une souche virale pourrait être à l'origine d'une pandémie. En ce qui concerne ces vaccins, des dispositions prévoient par ailleurs une surveillance étroite consécutivement à la mise sur le marché. La procédure d'urgence assure l'approbation accélérée d'un nouveau vaccin lorsqu'une pandémie a d'ores et déjà été annoncée."

Voyons maintenant, par contraste, ce que prévoit la Directive 2004/24/CE du Parlement et du Conseil au sujet des médicaments traditionnels à base de plantes:

 

 

"(5)L'ancienneté du médicament permet de réduire la nécessitéde réaliser des essais cliniques puisque son efficacitéest plausible du fait de l'ancienneté de l'usage et del'expérience. Les essais précliniques ne semblent pasnécessaires dès lors que le médicament, sur la base desinformations relatives à son usage traditionnel,démontre son innocuité dans les conditions d'emploi spécifiées. Cependant, même l'ancienneté n'écarte pastoute préoccupation liée à la sécurité du produit, de sorte que les autorités compétentes devraient être habilitéesà demander toutes les données nécessaires pour évaluer la sécurité. L'aspect qualitatif du médicament estindépendant de son usage traditionnel, ce qui explique qu' aucune dérogation ne devrait être prévue en ce quiconcerne les essais physicochimiques, biologiques et microbiologiques requis."

 



(7)"L'enregistrement simplifié ne devrait être acceptable que si le médicament à base de plantes peut se prévaloird'un usage médical d'une durée suffisamment longuedans la Communauté. L'usage médical à l'extérieur dela Communauté ne devrait être pris en considérationque si le médicament a été utilisé dans la Communauté pendant une période déterminée."

 

La même Directive précise que les produits traditionnels à base de plantes doivent être utilisés depuis au moins 30 ans dont 15 au sein de la Communauté européenne!!

C'est là où on se rend compte que l'accélération privilégiée de la mise sur le marché des vaccins est bien plus une affaire de pouvoir et d'argent qu'une affaire de santé...

 

Dans la suite de cet article de Medi-Sphere, ils poursuivent à la rubrique "Rapport temporel versus causal":

 

" La vaccinovigilance est difficile à mettre en oeuvre. Il existe en effet une différence entre un évènement médicamenteux indésirable (adverse drug event) et une réaction médicamenteuse indésirable (adverse drug reaction), de même qu'une différence entre un lien temporel et causal. Nous n'avons pas non plus naturellement tendance à rapporter spontanément des effets indésirables. De plus, la sécurité ne peut être évaluée en tant que telle, chaque évènement de vaccinovigilance nécessitant une analyse complète des risques et des avantages. Pour de nombreuses maladies, nous ne disposons pas d'une quantité de données suffisante en ce qui concerne l'incidence "normale". Tout lien temporel avec la vaccination est considéré comme "un signal" mais il manque une définition claire du terme "signal". S'il existe des risques partout, nous avons cependant besoin de données nous permettant de vivre avec ces risques..."

 

Il est clair qu'avec tous les liens (plus que) temporels qui se sont déjà manifestés en + de 200 ans de pratique de vaccinations, il leur manque la définition de "signal"  et ceci d'autant plus que l'industrie qui influence ces "experts" a un intérêt certain à ce que tout signal de ce type soit ignoré ou minimisé. En outre, comme rappelé par le Pr George Dick dans le British Medical Journal en juillet 1971: "Peu de médecins sont disposés à attribuer un décès ou une complication à une méthode qu'ils ont eux-mêmes recommandée et en laquelle ils croient."

 

Sur la troisième et dernière page de cet article réservé à ce symposium, on peut lire sous la rubrique "Vaccinations de rattrapage: recommandations versus casuistique" qu'il est question des enfants "insuffisamment vaccinés". Surréaliste à un moment où de plus en plus de parents se rendent compte qu'une survaccination notoire est à l'oeuvre et est de plus en plus incriminée par les rares scientifiques indépendants qu'il reste, aux quatre coins du monde...

 

Dans cet article, relatant le déroulement de ce symposium, on peut lire qu'ils persistent et signent(!): "Dans la pratique quotidienne, nous devons toutefois (trop) souvent faire face à un schéma de vaccination non conforme ou insuffisant chez certains enfants. [...] Par ailleurs, nous ne disposons pas toujours de données probantes claires sur l'immunologie de base (comment le système immunitaire peut-il agir à tout moment?), les schémas alternatifs ou les autres schémas appliqués à l'étranger, et leur contrôle."

 

 

Incroyable! Alors qu'il s'agit d'un symposium sur la sécurité de la vaccination, que les principaux intervenants reconnaissent ne pas disposer de véritables comparaisons entre vaccinés et non vaccinés, ne pas savoir comment le système immunitaire peut réagir à tout moment, ils supportent encore l'idée que certains enfants ne sont malgré tout jamais assez vaccinés!

 

 

 Ces "experts" semblent vraiment se moquer du monde. Et comme si ça ne suffisait pas ils rappellent la prochaine "Semaine européenne de la vaccination" qui se tiendra du 23 au 30 avril prochain. (Toutes les "grandes causes" ont une journée mondiale mais, pour la vaccination, un jour ne suffisait pas, il fallait le "tapis rouge" de la semaine entière)

Cette année disent-ils (en 2011), le thème sera identique à celui de 2010 à savoir "la vaccination et la grossesse". "Le groupe cible se compose de femmes manifestant un désir de grossesse, de femmes enceintes et de jeunes mères. Le point de départ de la campagne est lié au fait que les futures mères peuvent idéalement se faire vacciner avant la grossesse, mais la vaccination est également recommandée pendant la grossesse dans un certain nombre de cas."

 

Et de préciser que "la date du vendredi 10 février 2012 est d'ores et déjà réservée dans notre agenda. Ce jour-là, le dixième Symposium de la Saint-Valentin sur la vaccination est organisé à Anvers, sur le thème de la vaccination "à vie". Nous escomptons, à l'occasion du dixième anniversaire de cet évènement et dans le droit fil des éditions précédentes, un programme exceptionnel ainsi que, peut-être, quelques surprises..."

 

Les mauvaises surprises (pour les citoyens) ne dureront que le temps que nous croirons ces "experts" qui agissent à l'encontre même du principe de prudence et de précaution mais sur une base purement idéologique, le plus souvent sous-tendue par une logique commerciale forte. Ainsi, savez-vous que l'industrie pharmaceutique a 450 nouveaux vaccins en développement? 450, oui. Vous avez bien lu. Il va donc falloir créer de toutes pièces de faux besoins pour "ouvrir des marchés". Et cela consistera à vous faire peur, à appeler à "votre civisme pour vous faire vacciner", "votre responsabilité de parent" ou "votre éthique de professionnel de santé". Autant d'arguments "bon marché" qui ne devront pas émousser votre sens critique, plus que jamais nécessaire!

 

 

Il faudra aussi "s'informer pour deux" car votre ou vos enfant(s) sera/seront de plus en plus ciblés, y compris les adolescents dans le cadre de la médecine scolaire. Les adolescents constituant un public vulnérable et facilement manipulable, certains "experts" se montrent de plus en plus favorables à l'abaissement de l'âge auquel le consentement des parents ne sera plus indispensable pour pouvoir vacciner l'enfant. On devine alors toutes les manipulations dont pourront faire l'objet les jeunes, souvent bien plus préoccupés par leurs séries télé ou leur nouveau lecteur mp3.

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10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 21:31

Ca s'appelle une idéologie, quelque chose qui doit s'appliquer à TOUT PRIX.

Et ça n'a dès lors plus rien à voir avec la Science.

 

La vaccination à tout prix, c'est ce que soutiennent et défendent tantôt les autorités sanitaires les plus officielles tantôt les pharmas. Souvenons-nous qu'en Grande Bretagne, le Daily Mail signalait que, pour tenter d'augmenter l'adhésion au vaccin "contre le cancer du col", de plus en plus controversé, les officiels de santé ont déjà mis sur pied un scandaleux système de "bons d'achats dans les magasins" pour les jeunes filles qui avaient reçu les 3 doses (soit le schéma complet) de cette vaccination.

 

Voici à présent un bon d'achat en épicerie pour ceux qui se laisseraient bien docilement vacciner contre la grippe, sans trop se poser de questions....

 

FREE FOOD

 

A-t-on déjà vu ça, de telles manoeuvres, en faveur d'un quelconque autre produit pharmaceutique?

 

Si c'était si salutaire pour le citoyen et bénéfique pour la collectivité (déjà bien endettée à tous points de vue), il n'y aurait aucun besoin de recourir à ce type de manipulation....

 

D'un côté, la carotte, de l'autre le bâton. Voilà comment fonctionnent tous ces gens et toutes ces institutions qui, sous une fausse robe "scientifique", nagent en pleine idéologie!

 

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22 octobre 2010 5 22 /10 /octobre /2010 00:00

Grippe / Un an après le psychodrame suscité par le virus A/H1N1, la Confédération appelle les Suisses à se faire vacciner. Mais répondront-ils à l’appel?

 

Caroline Zuercher | 20.10.2010 | 00:00

«Je ne me vaccinerai pas. Je suis jeune et en bonne santé, s’exclame une Genevoise qui travaille dans le domaine médical. Et puis, tout le débat autour de la grippe A (H1N1) a encore diminué mon envie de le faire

La saison de la vaccination contre la grippe a commencé. Hier, l’Office fédéral de la santé publique (OFSP) a lancé sa campagne, visant à encourager les personnes à risque et celles qui les entourent à se prémunir contre cette maladie qui, en moyenne, tue 400 à 1000 personnes chaque année dans notre pays.

1,4 million de doses de vaccin ont été commandées. Mais un an après la grande peur du virus A (H1N1), qui ne s’est pas concrétisée, ne sera-t-il pas difficile de convaincre la population de se faire piquer?

La société PMSE SA, qui organise des campagnes de vaccination dans les entreprises, a constaté une diminution des inscriptions. «Mais, précise Judith Seydoux, l’une de ses associées, je ne peux pas vous dire s’il s’agit d’une confusion entre la grippe saisonnière et les événements de l’an dernier, ou si la peur d’attraper la grippe est moins présente chez les employés cette année.»

Protéger les plus vulnérables

Faut-il regagner la confiance de la population? «Je ne pense pas que les autorités sanitaires et les médecins l’aient perdue, répond Jean-Louis Zurcher, porte-parole de l’OFSP. Les évaluations qui ont été faites l’an dernier le montrent. Et les chiffres parlent d’eux-mêmes: outre les décès, jusqu’à 5000 personnes sont hospitalisées chaque année.»

Dans ces conditions, son office cible sa campagne sur les personnes à risque et les individus qui les entourent, sa préoccupation étant de protéger les plus vulnérables.

«Le brouhaha et les difficultés rencontrées en 2009 ont plutôt sensibilisé les autorités et le grand public à l’importance de se protéger», renchérit Ueli Grüninger, secrétaire général du Collège de médecine de premier recours.

Dans le monde médical, on prône donc le retour à la normale. «J’ai commencé les vaccinations il y a dix jours et j’ai l’impression que nous avons retrouvé la routine, celle que nous connaissions il y a deux ans, confirme François Héritier, président de la Société suisse de médecine générale. Mes patients ne m’ont pas posé de questions particulières. Le fait que l’épidémie a pu être endiguée l’an dernier conforte aussi une partie de la population.»

Mais si les personnes appartenant à des groupes à risque sont sensibilisées par leurs médecins, ce n’est pas forcément le cas du reste de la population! Cette «petite défiance», le médecin cantonal vaudois Karim Boubaker l’admet. Dans ces conditions, il prône un message: «Il faut insister sur le fait que la situation vécue l’an dernier était tout à fait exceptionnelle. Nous avons assisté à l’arrivée d’un nouveau virus, et nous ne savions pas comment la population y réagirait. Mais cette année, les conditions sont bien plus confortables. La population doit donc retrouver ses réflexes du passé, ceux qui prévalaient avant 2009

Source: 24hCh

 

Les commentaires laissés sous cet article suisse sont réjouissants: ils démontrent que le public conscientisé des pratiques non éthiques du couple Big Pharma- Etat ne souhaite justement plus répéter les mêmes erreurs et se maintenir dans des réflexes anti-santé qui font fi de toute rationnalité.

 

Petit échantillon intéressant:

 

"Ces vaccins sont proposés pour faire vendre le laboratoire qui les fabrique.C'est du vent, le danger est surestimé avec cette grippe. Je n'en veux pas." (Marinette)

 

 

"on nous a manifestement roulé dans la farine l'année derniere, bien sûr, les labos pharmaceutiques sans ethique voulaient comme d'habitude nous faire payer pour nourrir leurs actionnaires... A bon entendeur. pierre"

"J'ai travaillé en contact avec le public pendant 30 ans et pris quotidiennement train et bus pendant des années et je n'ai attrapé la grippe une seul fois il y a environ 25 ans. Je fais confiance à mon corps."

 

"Profitons de l'expérience de l'an passé pour faire des statistiques correctes sur la mortalité due à la Grippe. Demandons des tests, comme pour le AH1N1 pour chaque décès hivernal du à des complications suite à un état grippal, vaccinés ou non.
La Grippe a-t'elle vraiment régressé depuis les campagnes de vaccination?" (Anne)

 

 

"En raison de la polémique qu'il y a eu l'an dernier entre le vaccin contre la grippe saisonnière et la grippe A/H1N1, j'ai décidé de renoncer définitivement à ce genre de vaccin. Disons qu'il s'agit d'un risque calculé." (Jean-Claude Randin)

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 22:16

Alors que la supercherie a été, et ce plus d'une fois,  très clairement mise à jour depuis cette scandaleuse campagne vaccinale militaire, en France notamment, voilà que des gens de l'Institut national de veille sanitaire (InVs) et de l'European Center for Disease Control (ECDC) rédigent un article déplorant l'insuffisance de "couverture vaccinale" contre le H1N1, un virus bénin et insignifiant contre lequel il était logique, légitime et scientifiquement fondé de ne pas chercher à se protéger avec des mesures hasardeuses et plus risquées encore...

Comme chacun pourra le constater, il est préoccupant pour la santé publique -la vraie-  que des soi disant scientifiques continuent de s'entêter dans une vision irréaliste et purement idéologique, tout cela pour ne surtout pas avoir à se remettre en question!

 

Comme l'a dit avec bon sens Claude Bernard:

 

"Quand le FAIT que l'on rencontre ne s'accorde pas avec une théorie régnante, il faut accepter le fait et abondonner la théorie."

 

Ici, comme toujours, quelle était la théorie (non vérifiée d'ailleurs)?

Que la vaccination est le seul moyen de protection et qu'il faut se protéger du méchant virus H1N1....

 

Et le fait?

Que le virus est bénin, qu'il n'y a pas besoin de tout un arsenal et qu'il existe d'autres solutions plus douces et plus efficaces pour renforcer son immunité d'une façon générale (et pas seulement contre le H1N1)

 

Voici à présent à quoi les scientifiques payés par les contribuables perdent leur temps:

 

 

"Insuffisance de couverture vaccinale grippale A(H1N1)2009 en population générale et dans les groupes à risque durant la pandémie 2009-2010 en France"

 

Date de soumission: 22/07/2010

 

1/ Institut de veille sanitaire, Saint-Maurice, France
2/ EPIET- European Programme for Intervention Epidemiology, ECDC, Stockholm, Suède

 

 

RÉSUMÉ

 

La campagne de vaccination contre la grippe A(H1N1)2009 a débuté en France le 20 octobre 2009. Une invitation de vaccination gratuite dans un centre dédié a été envoyée par la Caisse nationale d’assurance maladie à tous les assurés sociaux en commençant par les groupes prioritaires. Les données individuelles ont été saisies dans une base de données centralisée contenant 64,9 millions d’enregistrements. Nous avons estimé la couverture vaccinale globale et dans des groupes à risque spécifiques. Celle-ci a été définie comme le nombre de personnes ayant reçu au moins une dose de vaccin pandémique dans un groupe donné sur l’ensemble de la population invitée à se faire vacciner dans le même groupe.

 

La couverture globale était de 7,9%. Elle variait avec l’âge : elle était la plus élevée chez les enfants de 6-23 mois (20,7%), diminuait ensuite pour atteindre 3,1% chez les personnes âgées de 18-24 ans, augmentait pour se situer entre 5 et 8% chez les adultes plus âgés et était de 7,6% chez les personnes âgées de 65 ans ou plus. Les femmes jeunes (25-44 ans) étaient mieux vaccinées que les hommes jeunes (8,2% versus 5,9%, p<0,001), alors que les hommes étaient mieux vaccinés que les femmes après 45 ans (8,2% versus 6,0%, p<0,001). Les estimations de couverture dans les 22 régions de France métropolitaine variaient de 6,1% (Languedoc-Roussillon) à 12% (Bretagne) (médiane=8,2%). La couverture chez les femmes enceintes était de 22,7%.

 

Ces faibles couvertures vaccinales confirment que la population française a été peu réceptive aux messages délivrés par les autorités sanitaires, et reflètent probablement les controverses concernant le vaccin A(H1N1)2009 et l’organisation de la campagne vaccinale, ainsi que la faible perception du risque lié à la grippe pandémique par la population. Ces résultats sont importants pour préparer les mesures à prendre en prévision de la nouvelle saison grippale et pour les futures pandémies.

 

 

 

Dans le reste de l'article, on peut notamment lire ceci:

 

"L’ensemble de ces données confirment que la population française a été peu sensible aux messages délivrés par les autorités sanitaires. Elles reflètent très probablement l’impact négatif des controverses aussi bien autour du vaccin (notamment les rumeurs selon lesquelles les vaccins auraient été produits trop rapidement et leur innocuité pas complètement démontrée, en particulier pour les vaccins adjuvantés), qu’autour de l’organisation de la campagne vaccinale, basée sur des centres de vaccination mis en place spécifiquement pour cette occasion [4]. Elles sont aussi le reflet d’une perception de la grippe A(H1N1)2009 par la population comme étant une maladie peu grave [13]. Ces raisons, parmi d’autres [8], ont vraisemblablement conduit la population française à douter de la nécessité de se faire vacciner. Ceci s’est traduit par des couvertures vaccinales très faibles qui doivent faire réfléchir au contenu des messages et à la manière dont ils devront être délivrés lors de la prochaine saison grippale et lors d’une éventuelle nouvelle situation pandémique. En particulier, une réflexion pourrait être menée sur une communication spécifiquement orientée vers les sujets les plus à risque de complications."

 

 

Source: Bulletin Epidémiologique hebdomadaire (BEH) n°3 du 16 septembre 2010

 

Vous voilà prévenus de deux choses:

 

- Il faut fourguer du vaccin à tout prix, par principe (car pour des gens formatés, microbe veut forcément dire vaccins, ils ne connaissent que ça)

 

- Il est partout question de "nouvelle pandémie", de "nouvelle situation pandémique"...

 

 

 

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3 mai 2010 1 03 /05 /mai /2010 19:35

" On a souvent observé que c'est au moment où une idéologie est sur le point de disparaître qu'elle devient la plus virulente." (Jean-François Revel)

 

Alors que la population est en train, à juste titre, de se méfier du "tout vaccin" et de prendre conscience que le vaccin n'est pas du tout un geste anodin et qu'il appelle un principe de précaution au moins équivalent à celui qu'on veut développer contre les microbes, on pouvait lire un article écoeurant sur le site de la RTBF:

 

La grippe A(H1N1) a dopé la recherche dans les vaccins

 

Forts des leçons tirées de la pandémie de la grippe H1N1, autorités sanitaires et laboratoires aux Etats-Unis accélèrent le développement de nouvelles techniques de production de vaccins plus rapides et fiables que les méthodes traditionnelles.

 

Il s'agit des vaccins à base de cultures cellulaires et ceux plus récents produits grâce à des techniques de recombinaison génétique.

 

"Nous n'avons jamais été dans une position aussi favorable pour créer de nouveaux et meilleurs vaccins", a déclaré cette semaine Kathleen Sebelius, la ministre américaine de la santé à l'occasion du premier anniversaire de la découverte du nouveau virus (A) H1N1.

 

L'une des leçons de la dernière pandémie (...) a été de confirmer la nécessité de "faire entrer la technologie de développement et de production de vaccin anti-grippe dans le XXIe siècle", a expliqué à l'AFP le Dr Anthony Fauci, directeur de l'Institut américain des maladies infectieuses et des allergies (NIAID), partie des Instituts nationaux de la santé (NIH).

 

Le gouvernement américain investit des milliards de dollars dans le secteur privé sous forme de partenariats pour encourager cette conversion qui permettra de mieux combattre les futures pandémies qui sont imprévisibles et aussi inéluctables, a-t-il dit.

 

Il a rappelé que malgré la rapidité de la mobilisation aux Etats-Unis en 2009 pour identifier le nouveau virus (deux semaines et demi), isoler la souche pour être cultivée dans des oeufs, et procéder aux essais cliniques, il n'a pas été possible de produire le nombre de doses prévues car ce pathogène se développait lentement.

 

Bien que prouvée, la technologie traditionnelle "à base d'oeuf reste fragile et soumise à des aléas qui sont hors de contrôle", a observé le Dr Anthony Fauci.

 

Cette conversion vers de nouvelles techniques de production de vaccins se fera en deux phases avec tout d'abord le développement de la production de vaccin anti-grippe à partir de cellules animales, a-t-il poursuivi.

 

Ce processus n'est pas beaucoup plus rapide -quelques semaines à un mois de moins- mais est beaucoup plus prévisible et fiable, a expliqué cet infectiologue. Avec des oeufs, la production de vaccin peut prendre de six à neuf mois.

 

Supprimer la culture de virus

 

Mais l'objectif ultime est de convertir entièrement la production de vaccins anti-grippe basée sur la recombinaison génétique qui ne nécessite plus de cultiver un virus pour fabriquer un vaccin.

 

Cette technologie moléculaire permettra de produire très rapidement des vaccins, probablement en deux mois, a prédit le directeur du NIAID.

 

"Nous devons maîtriser la technologie qui est à la mesure de notre réponse aux grandes menaces sanitaires mondiales", a-t-il insisté.

 

Le Dr Fauci a cité l'exemple du laboratoire de la firme pharmaceutique suisse Novartis qui construit une usine en Caroline du Nord, avec des subventions du gouvernement fédéral, pour produire dans un délai raisonnable des vaccins à base cellulaire.

 

Le Ministère américain de la santé, qui coiffe les NIH, a passé aussi passé plusieurs contrats avec des firmes de bio-technologie comme Protein Sciences Corporation pour mettre au point des vaccins basés sur la recombinaison génétique, a-t-il précisé.

 

Selon lui "on verra les premiers vaccins produits ainsi, à destination humaine, d'ici environ un an".

 

Le "Saint Graal" reste toutefois le développement d'un vaccin anti-grippe universel efficace d'une pandémie à l'autre, a noté ce chercheur estimant que cela est possible. "Mais cela prendra entre cinq et dix ans", a-t-il prédit.

 

AFP

 

Avis d'Initiative Citoyenne : Alors que le H1N1 est un pur fiasco vaccinal non seulement en terme du peu de succès de la vaccination mais aussi à cause des milliers de victimes inutiles que ces vaccins pandémiques ont fait, Mme Sébélius, qui avait octroyée au printemps dernier l'immunité totale à l'industrie pharmaceutique ose encore affirmer qu'il s'agit là d'une "position favorable" pour créer de nouveaux vaccins! Alors que le vaccin antigrippal compte parmi les vaccins les moins efficaces et qu'il existe une confusion énorme entre "syndrômes grippaux" et grippes vraies (= influenza), il faudrait encore plus miser sur ce type de vaccination? Il est vrai qu'ils y tiennent à leurs "pandémies" soi disant tellement imprévisibles (tellement que c'était comme par hasard que l'OMS avait modifié sa définition de la pandémie juste 2 semaines avant que l'état de pandémie ne soit déclaré!) et qu'ils tiennent plus que jamais à cette "reconversion" pharmaceutique compensatoire avec l'arrivée à expiration de nombreux brevets... Des vaccins qui seront toujours plus bâclés, faits à la va-vite (c'était aussi le souhait du Pr Osterhaus, on l'a vu) et faisant appel à des technologies peu enviables comme le génie génétique/technologie OSM (vaccins transgéniques comme les vaccins très risqués contre l'hépatite B, le papillomavirus, etc) et les cultures cellulaires (on sait que les cultures sur des cellules animales sont dangereuses car ces cultures sont toujours porteuses d'un tas de virus étrangers pas toujours détectables comme ça a été le cas avec le SV40 qui n'a pas été détecté tout de suite au sein des vaccins polio cultivés sur cultures de reins de singe verts pour ne citer qu'un seul exemple!) AUCUNE Leçon n'est tirée une fois encore, on fonce aveuglément en se basant sur des croyances et sur une idéologie au plus grand détriment de la santé publique, du consentement éclairé et des libertés individuelles!

 

Alors qu'un article paru dans le journal Le Soir en 2009 parlait des "vaccins Star" qui sont une affaire très très rentable pour le portefeuille des labos et de leurs actionnaires, un autre article, plus récent celui-là, paru dans Le Figaro, évoque "les vaccins, nouvel Eldorado des laboratoires":

 

Les vaccins, nouvel eldorado des laboratoires pharmaceutiques

 

Armelle Bohineust
25/09/2009 | Mise à jour : 00:21

Longtemps derniers de la classe, les vaccins sont devenus les chouchous des laboratoires. Chris Vieh­bacher, le PDG de Sanofi Aventis, a fait de cette activité l'un des cinq piliers de sa croissance. Le laboratoire français, déjà leader mondial du vaccin, vient de racheter le groupe indien de vaccins Shantha Biotechnics et de lancer la construction d'une usine au Mexique. Sanofi Aventis prend même des risques pour accélérer son développement dans ce secteur. Sa filiale Sanofi Pasteur a investi au printemps 350 millions d'euros dans une usine de vaccins contre la dengue. L'investissement est adapté aux enjeux de la maladie qui touche 250 millions de personnes chaque année. Mais le pari est audacieux, car le vaccin n'existe pas encore. Il a «une chance sur trois de ne jamais voir le jour», estime Chris Viehbacher. Sanofi Aventis est loin d'être le seul laboratoire à investir sur ce marché porteur. C'est notamment pour entrer dans l'univers du vaccin, que l'américain Pfizer a mis en janvier la main sur son compatriote Wyeth. Dans la corbeille, il a trouvé le Prevenar, un vaccin contre la méningite dont les ventes ont atteint 2,7 milliards de dollars en 2008.

 

Les grands labos misent sur les vaccins pour compenser la chute brutale qui attend leur chiffre d'affaires d'ici à 2013. À cette date, la plupart des brevets qui protègent leurs médicaments vedettes auront expiré. Autant dire que les fabricants de génériques, c'est-à-dire de copies moins chères, envahiront le marché.

 

Difficiles à copier

 

Or, l'un des atouts des vaccins, c'est justement qu'ils ne sont pas généricables. Fabriquer un vaccin exige un savoir-faire et des usines spécifiques, alors qu'il suffit de composer une formule pour copier un médicament classique. Autre avantage, les vaccins peuvent, eux aussi, accéder au statut de blockbusters, c'est-à-dire dégager un chiffre d'affaires supérieur au milliard de dollars. Il suffit pour cela qu'un ou plusieurs gouvernements décident de vacciner tout ou partie de leur population ! Mieux, quand les États passent commande, les laboratoires échappent aux stocks et aux invendus. C'est ainsi que Sanofi a réalisé, l'an dernier, un chiffre d'affaires de 736 millions d'euros rien qu'avec la grippe saisonnière. La grippe A est «une opportunité de revenus significative en 2009 et 2010», a précisé jeudi Chris Viehbacher.

 

Le vaccin a un bel avenir devant lui. Il représentait l'an dernier moins de 3 % du marché pharmaceutique mondial. Mais il affiche une croissance annuelle à deux chiffres. Le secteur devrait générer plus de 20 milliards de dollars (14 milliards d'euros) de chiffre d'affaires à l'horizon 2012. «C'est un outil de prévention. Et, à ce titre, il est de plus en plus intégré dans les politiques d'assurance-maladie», explique un expert du secteur. Sans compter que les nouveaux besoins, liés aux pandémies grippales, au virus du sida, etc., multiplient les pistes à creuser. Les laboratoires l'ont bien compris. L'industrie du vaccin investit désormais autant dans la recherche et le développement que le reste de l'industrie pharmaceutique. Pas loin de 150 vaccins sont à l'étude aujourd'hui dans le monde.

 

Mais cette frénésie en faveur du "tout vaccin" doit aussi être appréhendée à la lumière d'autres documents plus inquiétants encore comme ceux issus de l'OMS/ UNICEF ainsi que celui de la 10° réunion de sécurité sanitaire. 

 

- Dans le communiqué (en anglais) issu de cette 10° réunion de sécurité sanitaire, on peut notamment lire que "la vaccination est la meilleure mesure de protection contre le virus" qu'il faut "encourager une large acceptation du vaccin", qu'il y a "un partenariat avec l'OMS en conformité avec son règlement sanitaire international (RSI)" qui rappelons-le comporte des dispositions contraignantes en cas d' "urgence sanitaire". Il est notamment question de soi disant "tirer les leçons" des réponses au H1N1 dans la perspective d'autres pandémies (ils mettent l'accès sur les pandémies d'influenza dans ce texte). Enfin, autre fait relevant, on parle dans ce document de "développer des stratégies de communication avec le public sur le risque de menaces sanitaires "

 

Ce document en pdf ICI

 

- Dans le document de l'OMS et de l'UNICEF intitulé "Projet de stratégie MONDIALE de vaccination", on peut lire des propos hallucinants qui témoignent non plus d'une volonté réelle de protection et de santé globale mais bien d'atteindre des chiffres pour des chiffres, dans un simple but de concrétiser une idéologie qui n'est même plus discutable:

 

"élargir la vaccination à d'autres âges que ceux habituellement prévus", faire en sorte que tous les nourrissons aient au moins 4 contacts avec les services de vaccination, faire en sorte que les non vaccinés aient au moins 4 contacts par an avec les services de vaccinations, généraliser l'emploi des nouvelles technologies pour la fabrication de vaccins, "utiliser plusieurs approches à la fois pour vacciner toutes les personnes visées", "faire en sorte que toute la population visée ait été vaccinée en-déans les 5 ans de l'adoption d'un nouveau vaccin", etc etc:

 

Pour consulter sans attendre ce document scandaleux et édifiant, se rendre ICI

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