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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 21:00
C'est vraiment délirant! Vacciner les seniors contre le zona alors qu'il s'agit d'une sorte de "méga vaccin contre la varicelle" (14 fois plus dosé et aussi à virus vivant) , que la grande majorité des gens âgés ont déjà fait cette maladie dans l'enfance et qu'il n'est pas forcément si anodin qu'on le dit de vacciner des gens contre des microbes qu'ils ont déjà précédemment contractés de façon naturelle.
 
Prenons aussi le cas de gens qui n'ont encore jamais contracté la varicelle et qui recevraient ce faux vaccin miracle contre le zona: comme le zona n'est qu'une réactivation d'une précédente infection par le virus de la varicelle, cette vaccination avec un virus vivant atténué les mettrait de facto plus à risque de faire un zona que s'ils ne l'avaient jamais reçu. Ce vaccin peut entraîner des varicelles chez des sujets contacts dont des enfants.
 
Mais qu'importe pour les pseudos experts puisque, disent-ils, au Canada tous les enfants ou presque sont déjà vaccinés contre la varicelle... quelle "merveilleuse" logique! D'autant que la généralisation de la vaccination contre la varicelle a augmenté très clairement l'incidence ... des zonas dans des pays qui l'ont déjà implémentée comme les USA et le Canada, ce qui a été prétexte à recommander la vaccination contre le zona et aussi des rappels de vaccin contre la varicelle... un vrai cercle vicieux qui ne profite donc une fois encore qu'à Big Pharma.
 
En outre, le vaccin contre la varicelle, pas plus que celui contre le zona ne garantissent une efficacité de 100%, les échecs sont loin d'être rares. Pour ce vaccin contre le zona, l'efficacité est assez médiocre puisqu'il y a 30% d'échec entre 50 et 69 ans et 62% d'échec chez les plus de 70 ans!! Mais nul doute bien sûr que certains médecins et "experts" viendront encore justifier que 30% d'efficacité c'est mieux que rien, et que cela justifie de vacciner autant de seniors que possible.
 
Comme d'habitude, la bonne vieille recette vendeuse en matière de vaccins consiste à insister sur le caractère effrayant de la maladie ("on ne sait plus marcher ni dormir en cas de zona" etc). Oui, c'est vrai, le zona est terriblement douloureux, mais on oublie de rappeler que les effets secondaires des vaccins peuvent aussi toucher très durement le système nerveux, engendrer nombre de cas de paralysies irréversibles et autres invalidités et même, dans certains cas, la mort.
 
zona-pub-dramatisante-de-merck.jpg
 
Voir aussi la vidéo publicitaire de Merck, ICI
 
"J'aurais donné n'importe quoi pour diminuer ma douleur pendant des semaines." dit la pub.
 
Nous pensons qu'il est pertinent que vous vous demandiez si vous êtres vraiment prêt à RISQUER N'IMPORTE QUOI, y compris ce genre d'effets-ci qui, eux, durent toute une vie:
 
 
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11 juillet 2013 4 11 /07 /juillet /2013 20:25

Streptococcus_pneumoniae.jpgComment vacciner quasiment 100% d'une population sans en avoir l'air? C'est simple: il suffit de décréter un vaccin nécessaire chez des catégories tellement vastes de malades que dans notre société où les biens portants deviennent progressivement une denrée rare, tout le monde finit par entrer dans le groupe cible qui se superpose progressivement à la population générale.

 

Petit rappel: les pneumocoques sont des bactéries dont il existe environ 90 souches différentes. Ces bactéries peuvent être impliquées dans des otites, des pneumonies, des méningites. Les infections graves restent tout de même statistiquement assez rares. Cela n'a pas empêché que l'on ait initialement recommandé cette vaccination lucrative ET dangereuse à TOUS les jeunes enfants (sans parler qu'on la co-administre avec l'Infanrix hexa ce qui, selon des documents confidentiels des fabricants, multiplie par 3 le risque d'effets secondaires neurologiques.).

 

Le Prevenar est le vaccin le plus lucratif de toute l'histoire des vaccins. C'est vraiment ce qu'on appelle un "blockbuster" et bien sûr, ce jackpot financier n'a été possible QUE parce que les autorités officielles qui considèrent les pharmas comme "leurs partenaires naturels" ont apporté leur concours à cette vaccination en la recommandant et en la remboursant généreusement...

 

Malgré une large vaccination des enfants, et aussi parce que la Nature est plus complexe et plus intelligente que ce que les vaccinologues simplistes imaginent, la première version du Prevenar s'est soldée par une hausse des méningites à pneumocoques, la complication la plus grave qui était censée être diminuée par une vaccination massive. Cette vaccination a donc été un échec flagrant, elle a fait pire que bien. Mais comme il fallait sauver les profits du fabricant (Wyeth, "mangé" depuis par Pfizer), il fallait "trouver une astuce". Elle fut trouvée par la mise sur le marché d'une nouvelle version du Prevenar incluant 13 souches au lieu de 7, ce qui ne fera donc que déplacer le problème dans le temps.

 

En décembre 2011, on apprenait que l'Agence Européenne des Médicaments avait approuvé l'extension de l'autorisation de mise sur le marché du Prevenar pour qu'il puisse aussi être injecté aux plus de 50 ans.

 

Mais voilà qu'après l'étrange recommandation subite de la vaccination contre le méningocoque C aux homosexuels masculins en France, on apprenait récemment que l'on élargissait aussi la recommandation vaccinale du vaccin anti-pneumococcique à toutes sortes de catégories d'adultes, seuls les alcooliques et les fumeurs n'ayant pas été inclus, les officiels n'allant évidemment pas oser aller jusque-là car cela démasquerait trop leur volonté de vacciner vraiment 100% d'une population de façon purement idéologique.

 

Désormais sont donc aussi inclus dans cette recommandation: les asthmatiques, les gens avec bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO), tous les insuffisants respiratoires, les insuffisants rénaux, les diabétiques (même ceux de type 2 s'ils ont la malchance de ne pas être "équilibrés"!), tous les immunodéprimés et tous ceux qui souffrent de maladies hépatiques chroniques aussi. Bref, en rajoutant tous les fumeurs et tous les alcooliques, n'aurait-on pas réussi à englober au moins 60% de l'ensemble de la population adulte?

 

Il ne faut plus seulement prendre en compte le critère d'âge selon le Haut Conseil de Santé Publique, donc en gros, il faut vacciner quand même les gens âgés mais le fait que d'autres gens soient plus jeunes ne doit pas dissuader de les vacciner aussi... ratissons aussi large que possible tant qu'on y est!

 

Pfizer avait obtenu une extension de l'autorisation de mise sur le marché de son vaccin Prevenar pour qu'il soit utilisable jusque 17 ans et aussi pour les 50 ans et + ? Qu'à cela ne tienne, grâce au fameux coup de pouce des autorités, leur vaccin sera sûrement aussi utilisé au-delà de ces "seuls" groupes d'âges déjà très vastes c'est à dire potentiellement à tout âge.

 

Source de cet info: Santemagazine.fr

 

Voir aussi Grande générosité de la Commission Européenne envers Pfizer: le Prevenar 13 désormais pour tous les âges!

 

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10 juillet 2013 3 10 /07 /juillet /2013 13:20

 Les vaccins, mieux que la saignée ? 

 

saignee-2.jpg

 

I - Plus un médicament est puissant et actif, plus ses effets secondaires peuvent être défavorables.

 

Mais les vaccins échappent, de façon surprenante, à cette règle de la biologie. Il serait temps de se demander pourquoi ?

 

En effet, les vaccins sont parmi les médicaments les plus puissants puisqu'ils sont capables d'agir sur de longues durées : 1 an, 5 ans, 10 ans, voire plus. Et cependant on nous affirme que les effets secondaires sont rarissimes !

 

Notons en plus que si les médicaments sont donnés à des malades, les vaccins, eux, sont injectés à des personnes en bonne santé.

 

Les vaccins auraient donc des effets favorables au long cours.

 

Alors que leurs effets défavorables ne sont reconnus que dans les quelques jours qui suivent leur injection. Par exemple le VAERS, l'Agence gouvernementale américaine qui recense les accidents post-vaccinaux, n'accepte de reconnaître ces accidents que s'ils se manifestent dans les 7 jours après l'injection. Légalement cela signifie que si votre enfant décède le 8ème  jour après la vaccination, ou au delà, ce décès ne pourra être attribué au vaccin. Et vous ne pourrez prétendre à aucune compensation.

 

Sur ce même sujet des effets au long cours,  le potentiel cancérogène des vaccins n'a jamais été étudié, comme on peut s'en rendre compte en consultant le PDR (Physicians’Desk Reference). Et cependant des études montrent qu'entre 1960 et 1980,  l'augmentation des cancers des enfants n'a jamais eu son pareil dans l'histoire de l'humanité.

 

II - On sait, qu’au delà de 3 médicaments pris en même temps, des effets secondaires imprévisibles et aléatoires peuvent se présenter.

 

Mais les vaccins échappent à cette règle, sans poser aucun problème, prétendument. Ainsi les vaccins sont censés agir contre 3, 4, 5 et même 6 maladies d'un coup, peut-être même plus à l’avenir, sans que cela n’éveille de questionnement !

La nature quant à elle, n'apporte qu'une maladie à la fois, sauf de très rares exceptions.

 

III - On sait que le système immunitaire des enfants ne se met en place que progressivement et lentement.

 

Mais les vaccins n'ont pas besoin qu'il soit constitué !. Dés la première année, en France (pays champion de la vaccination obligatoire, mais aussi recommandée), le calendrier vaccinal prévoit que l'enfant va recevoir, 27 sollicitations. Dans l'histoire de la médecine, seul le crédit accordé à la saignée a réussi à provoquer autant d'acharnement.

 

Depuis 30 ans, les études sur le stress ont fait apparaître que le système immunitaire était beaucoup plus complexe que nous ne le soupçonnions, lors des premiers pas de la vaccination entre Pasteur (1880) et la mise au point du vaccin polio (1950). Les chercheurs parlent maintenant de l'axe Psycho-Neuro-Immunologique.

 

Les vaccinologistes, quant à eux, en sont toujours au premier étage. Ces découvertes laissent donc entendre que toute perturbation du système immunitaire peut influencer tout le système nerveux, mais aussi tout l'espace psychique des personnes. Une zone d'ombre inattendue et inquiétante dans la compréhension  simplificatrice de la vaccinologie. Quand cet assemblage diaboliquement complexe se dérègle, les conséquences peuvent être lourdes et graves. Il semble que cela ait échappé aux recherches à court terme de la vaccinologie.

 

IV - Il y a lieu de se pencher et de réfléchir au grave problème posé par le franchissement de la barrière des espèces.

 

Cette situation est en train de prendre une tournure qui semble peu angoisser les chercheurs, les politiques et les populations.

 

Mais on est obligé de constater que les vaccins ont été et restent un des plus grands acteurs de ce franchissement de la barrière des espèces. Toute la vaccinologie repose sur des mécanismes de transfert, qui au fond ne sont que des franchissements de la barrière des espèces. Ces mécanismes ont été de plus en plus élaborés, à partir du moment où on a commencé à comprendre l'interrelation entre les virus et les noyaux cellulaires. Ces premiers transferts ont été utilisés pour la mise au point du vaccin contre la polio. On s'est alors aperçu, tardivement, que ces vaccins étaient contaminés par le virus SV 40 du singe. Ce virus est, de façon surprenante, un cousin proche du virus du SIDA, dont les chercheurs estiment qu'il vient du singe, lui aussi.

 

Si on se penche sur les premiers OGM, dans l'industrie biomoléculaire, on constate que la première filière mise au point a été élaborée par la vaccinologie avec la production des vaccins contre l'hépatite B. C'est ce que décrit le professeur François Gros, ancien directeur de l'Institut Pasteur, qui rapporte l'épopée de la découverte du code génétique et de ses applications industrielles, dans un livre synthétique : « Les secrets du gène ».  De façon surprenante, les français qui semblent un des peuples le plus opposés aux OGM, sont cependant ceux qui ont été les plus vaccinés par ce premier vaccin OGM. Ce serait peut être l'explication de la polémique,  spécifiquement franco-française paraît-il, qui persiste toujours concernant l'innocuité et la sûreté prétendue de ce vaccin.

 

V - Et nous voici au niveau des lois, de la justice et de l'éthique.

 

Là un petit détour historique semble nécessaire pour éclairer notre lanterne. Il s'agit de se pencher sur la situation juridique des experts scientifiques et donc aussi souvent médicaux. En France, nous avons un lourd héritage de ce côté, si on regarde ce qui est advenu dans l'affaire du sang contaminé. Tout en se souvenant que la France, parmi les pays avec un développement comparable, a été le pays le plus gravement atteint par l'ampleur considérable de la contamination,  et même si d'après l'OMS, nous avons la meilleure qualité de soins au monde.

 

Les principaux acteurs ont été poursuivis et condamnés à la prison. Notamment le Dr Garetta avec 3 ans de prison.  Les politiques à leur tour ont été poursuivis par la justice, mais tous sauf un ont été blanchis après 10 ans de procédure. Qu'est-il arrivé aux experts-conseillers de ces ministres ? 15 ans de procédure ont abouti à un non lieu général, le 18 juin 2003.

 

Ainsi les experts scientifiques n'ont pas de compte à rendre de leurs agissements. 

 

Une réussite exceptionnelle de la démocratie, sans doute ?

 

Or, dans la longue polémique qui entoure le vaccin contre l'hépatite B, une conférence de consensus a été organisée rapidement, au mépris des règles de constitution de telles conférences, pour quelle se tienne dans les trois mois, soit le 11 septembre 2003. Elle a conclu que les avantages du vaccin contre l'hépatite B l'emportaient sur les risques d’effets secondaires.

 

Les experts en vaccin avaient compris la leçon délivrée trois mois plus tôt. Ils n'ont pas de compte à rendre. Ne sont-ils pas au dessus des lois ?

 

Conclusion : les vaccins sont au dessus des règles et des lois de la logique, de la biologie et de l’éthique !

 

Les vaccins sont un véritable défi au bon sens et aux règles touchant tous ces domaines. La vaccination est parvenue à s'imposer au point qu'elle a réussi ce qu'aucune religion ou idéologie n'avait réussi avant elle : d'être acceptée non seulement par toute l'humanité (aucune religion ou idéologie n'a réussi à convaincre tous les humains !) mais bien plus, à être injecté à tous les humains.

 

Un triomphe de la rationalité, de la science, de la technologie ? Un défi au bon sens ? Une mystification planétaire ?

 

Un mystère confondant en tout cas, où la peur et la manipulation ont réussi à contaminer tout un chacun au point de rendre incontestable une fausse réussite construite sur un aveuglement ou un mensonge collectif prolongé.           

                                                          

Dr Didier TARTE

 

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5 juillet 2013 5 05 /07 /juillet /2013 21:50

GAY-PRIDE.jpg

C'est tout de même un "drôle" de hasard que l'on crée subitement un nouveau groupe cible pour le vaccin anti-méningocoque C qui est justement en perte de vitesse depuis plusieurs mois chez les enfants où il fait de moins en moins recette (et pour cause vu que le vaccin est statistiquement plus risqué que la maladie, c'est prouvé!)...

-26% des ventes en France de ce vaccin anti-méningocoque C en 2012.

 

Difficile dans ces conditions de ne pas voir la volonté des pouvoirs publics de sauver les parts de marchés des fabricants qu'ils considèrent, de l'aveu même d'un rapport du Sénat français de 2007, comme leurs "partenaires naturels"!

 

L'excuse invoquée est qu'il y aurait eu 3 cas d'infections invasives à méningocoque de type C chez des homosexuels de sexe masculin, en Île de France entre le 13 et le 20 juin dernier et que 2 d'entre eux auraient fréquenté des établissements gays endéans les 10 jours qui auraient précédé leur hospitalisation.

 

Entre 2010 et 2013 dit aussi l'article, 22 cas d'infections invasives à méningocoque ont été décelés dans la communauté gay de New York  avec 7 décès. Les autorités locales ont alors recommandé le vaccin contre la méningite C aux homosexuels et cela aurait, selon l'article toujours, évité la survenue du moindre cas de méningite C chez les gays de cette ville depuis février 2013. (Quelle rapidité d'action pffffiou, miracle!!! Sauf que la méningite C survient par vagues et jamais de façon constante)

 

22 cas pour une communauté gay d'une ville aussi grande que New York et pour une période de 3 ans, ça fait 7 cas par an et 2,3 décès par an en moyenne. On ne peut pas parler d'épidémie, ni justifier non plus avec ça les risques de ce vaccin, au demeurant plus élevés que la probabilité statistique de contracter cette maladie. On ne fournit aucun chiffre du nombre d'homosexuels vaccinés qui ont pu souffrir d'effets secondaires graves du vaccin en comparaison.

 

Ce serait l'Europride, manifestation gay européenne, qui aurait justifié "la prudence" des autorités françaises mais il faut savoir compter et savoir aussi que ces manifestations européennes rassemblent souvent plusieurs centaines de milliers de participants, un juteux business qui n'est donc pas à dédaigner par Big Pharma, avec un vaccin qui coûte environ 25 euros la dose.

 

Les vaccins contre la méningite C contiennent par ailleurs tous de l'aluminium, qui est une substance notoirement toxique pour le système nerveux et d'ailleurs de plus en plus remise en cause, en France notamment.

  

Après le juteux business des pharmas assuré par l'obligation vaccinale pour TOUS les pèlerins qui se rendent à la Mecque, voici maintenant un business du même genre mais sans obligation stricte. Tel un lézard qui arrive à se faufiler partout, la pression vaccinale mute et se transforme au gré de l'évolution sociale. A la manière d'un caméléon, elle ne cesse d'inventer de nouvelles incitations et de nouvelles contraintes déguisées.

 

cameleon_026.jpg

 

Source de cette info sur cette nouvelle recommandation vaccinale: Yagg.com

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2 juillet 2013 2 02 /07 /juillet /2013 20:50

Men-B-vac.JPG

N'importe qui a un peu de bon sens a la capacité de s'interroger sur le bienfondé de vacciner plusieurs milliers de personnes avec le vaccin expérimental contre la méningite B14 (qui n'a même pas une autorisation de mise sur le marché règlementaire mais qui est au contraire autorisé "sous des conditions exceptionnelles" sur base de seulement 6 cas déclarés de méningite de cette souche...

 

Ce vaccin, le MenBVac, est un vaccin riche en aluminium. Des médecins français viennent justement de lancer une pétition pour des vaccins sans aluminium, précisément parce qu'ils savent le caractère toxique notoire de cet adjuvant.

 

En outre, ce vaccin a déjà fait l'objet d'un scandale en Norvège et en Nouvelle-Zélande où il a été utilisé sur une population de cobayes non informés et donc par définition non consentants. Les effets secondaires de ce vaccin avaient été complètement passés sous silence par les autorités de ces pays et des victimes désinformées en ont hélas fait les frais. C'est précisément l'objet du documentaire norvégien "The vaccine experiment; in the service of Good".

 

Initialement utilisé dans la région de Dieppe, on prétexte maintenant quelques cas pour aller aussi vacciner dans la région des Pyrénées-Atlantiques. 6 cas seulement (de la souche visée par le vaccin) en l'espace d'environ un an dans ces régions! Tous les habitants de 2 mois à 24 ans sont ciblés.

 

Voici par exemple ce qu'on pouvait lire sur le site de SudOuest il y a environ une semaine:

 

« Suite aux récents cas d’infections invasives à méningocoque B14 survenus dans le département des Pyrénées-Atlantiques et particulièrement sur les cantons de Lagor et de Navarrenx, l’Agence régionale de santé d’Aquitaine met en place une campagne de prévention par la vaccination". Le courrier envoyé par l'ARS aux habitants des deux cantons a été suivi d'effets ce lundi.

 

Les premiers vaccins ont été administrés en début d'après-midi, sur les cantons de Lagor et Monein. La campagne vise en tout 7000 personnes, agées de 2 mois à 24 ans.

 

A l'origine de cette action préventive et bien sûr facultative : les 15 cas de méningite B, dont 6 de méningite B14 recensés dans le département entre décembre 2011 et novembre 2012. Quatre patients touchés résidaient dans les cantons de Navarrenx et Lagor



En mars 2012, le site Paris-Normandie.fr publiait un article intitulé "Méningite: le décès qui interroge en Normandie." Dans cet article, on pouvait notamment lire ceci au sujet de ce décès:

  

"Santé : après la mort d'une adolescente vaccinée, une enquête est en cours.

 

La souche circulant toujours, les quatre doses assurent une meilleure immunité.

 

Le décès de Mathilde, 15 ans, adolescente de Bazinval, scolarisée au lycée d'Eu, est le premier depuis 2008 consécutif à une méningite B14 en Seine-Maritime. La victime a succombé le 25 février à une forme grave de l'affection contre laquelle elle avait pourtant été vaccinée dans son collège de la Somme en 2009, avec trois injections du vaccin norvégien MenBVac selon le protocole en vigueur. En avril, elle aurait dû, comme ses camarades, recevoir une quatrième injection de nature à garantir une meilleure immunité.


Par mesure de précaution, la vaccination a été recommandée à l'entourage de l'adolescente. Et les séances d'injections prévues dans son lycée en avril vont être organisées de manière anticipée à la rentrée des congés scolaires."

 

Au lieu de tirer les conclusions sur les risques qu'on fait encourir aux vaccinés en l'échange de bénéfices aussi faibles, on a changé le schéma de vaccination initialement prévu de 3 doses en en préconisant 4!! On marche donc vraiment sur la tête. Car en réalité, le taux d'efficacité du vaccin n'aurait jamais été jugé suffisant pour avoir une autorisation de mise sur le marché classique.

 

Qui dit même aussi que le décès de cette adolescente n'a pas été favorisé par le fait qu'elle avait été vaccinée, étant donné le fait que tout vaccin affaiblit le système immunitaire et le laisse tout un temps plus réceptif à toutes sortes d'infections opportunistes dont certaines peuvent hélas s'avérer mortelles.

 

Récemment un nouveau vaccin censé être efficace sur toutes les souches de méningocoque du groupe B, le vaccin Bexsero de Novartis, a reçu le feu vert européen pour être mis sur le marché. Il a même reçu le prix Galien, bien que cela ne prouve en réalité rien, vu sa précédente attribution à des médicaments très toxiques comme le Vioxx (retiré du marché depuis) et le Gardasil, des plus controversés.

 

Pourquoi continue-t-on alors à injecter le MenBVac qui n'a pas d'autorisation règlementaire de mise sur le marché et pas le vaccin Bexsero censé couvrir plus de souches du groupe B et qui lui dispose à ce stade d'une autorisation dite "règlementaire"? Les recommandations vaccinales vont-elles rester inchangées ou va-t-on substituer le Bexsero au MenBVac?

 

Ce qui se passe avec la vaccination ne serait en réalité toléré dans aucun autre domaine, ce degré d'opacité et de désinformation dépassant vraiment l'entendement.

 

Il est en tout cas manifeste que les gens qui accourent se faire vacciner contre la méningite B14 sur base des courriers racoleurs des agences régionales de santé, font partie de ces plus de 70% de gens capables d'obéir sans réfléchir aux injonctions des autorités, comme l'avait très bien mis en évidence le célèbre psychologue Stanley Milgram dans sa célèbre expérience.

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1 juillet 2013 1 01 /07 /juillet /2013 21:20

Les nanoparticules sont extrêmement mal évaluées et font hélas déjà partie de nombreux produits dont on nous inonde (cosmétiques entre autres).

 

Mais qu'à cela ne tienne, puisque cela fait partie de la dernière lubie en date de certains apprentis-sorciers qui ont été "enrober" des tiges de nanoparticules d'or avec certaines fractions du virus de la bronchiolite (RSV)!

 

Leur dernière folie? Aller injecter des nanoparticules d'or, tout en prétendant que cela sera plus efficace et que cela sera bien toléré. Un discours qu'on ne connaît que trop bien pour tous les autres vaccins avec les résultats qu'on sait...

 

Franchement, aller injecter des nanoparticules d'or et des fractions de virus, qu'est-ce que tout cela va encore donner comme maladies incontrôlables, alors qu'adultes comme enfants, les gens sont de plus en plus souvent atteints de maladies chroniques.

 

Allons-y gaiement, remettons-en une couche!

 

Mais les pédiatres et autres médecins qui ne manqueront pas de recommander sûrement par pur opportunisme financier cet Xième vaccin, pourraient bien par là-même contribuer à l'éclatement de la bulle vaccinale. Ils devront en outre tôt ou tard rendre des comptes pour avoir été complices d'une expérimentation sans le consentement express des gens...

 

Des particules d'or dans les vaccins nanotechnologiques

 

Le vendredi 28 juin 2013 à 14 h 10 par Mathieu M.  

 

nanoparticules-or.jpg

 

 

Les particules d’or pourraient prochainement permettre de profiter d’un meilleur système de vaccination en se voyant directement injectés aux patients.

 

Aujourd’hui la vaccination repose sur l’injection d’un virus, mort ou modifié pour l’affaiblir ou le rendre inactif dans le but de stimuler les défenses immunitaires d’un patient.

 

Demain, la vaccination pourrait être tout à fait différente et beaucoup plus performante grâce à l’utilisation de nanoparticules d’or.

 

Des scientifiques américains viennent de créer une nouvelle méthode de vaccination qui repose sur l’utilisation de nanoparticules d’or capables de mimer un virus tout en transportant des protéines spécifiques jusqu’aux cellules immunitaires du corps.

 

Dans une récente étude, c’est le virus respiratoire syncytial (VRS) qui a été pris pour cible. Le VRS est un virus très contagieux qui mène à des infections respiratoires, principalement chez les nourrissons âgés de moins de deux ans.

 

Son action est principalement due à la protéine F qui entoure la surface du virus. Cette protéine permet au virus de pénétrer les cellules et les amène à coller les unes aux autres, le rendant difficile à éliminer. Les défenses naturelles du corps humain ciblent directement cette protéine, mais les chercheurs n’ont jamais été capables de proposer un vaccin efficace à son encontre.

 

Le nouveau système de vaccination développé pourrait ainsi amorcer une réponse immunitaire que le corps serait capable d’enregistrer pour intervenir immédiatement lorsqu’il rencontrera le vrai virus.

 

Pour les tests, les chercheurs ont créé des nanotiges d’or enrobées de protéines F du VRS. Les tests ont ensuite été créés sur du sang humain. Une fois analysé, il a été démontré que les nanoparticules ont été capables de mimer l’action du virus, de stimuler une réponse immunitaire, le tout sans se révéler toxique pour les cellules humaines.

 

Les chercheurs pensent que la technique déployée pourrait permettre de développer des vaccins qui n’existent actuellement pas encore et de pouvoir ainsi proposer des protections efficaces contre un grand nombre de maladies souvent mortelles ou très contagieuses.

 

En outre, la méthode employée pourrait également servir à créer des vaccins contre certaines bactéries ou certains champignons.

  

Source : Dvice

 

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30 juin 2013 7 30 /06 /juin /2013 22:18

diabetes.jpg

Un récent article de la presse canadienne évoquait la piste d'une guérison du diabète de type 1 par l'intermédiaire d'un vaccin selon les travaux d'une équipe de chercheurs de Stanford, en Californie.

 

L'article donne peu de détails mais il appelle toutefois quelques commentaires importants.

 

L'article indique que ce vaccin supprimerait la réaction auto-immune indésirable qui mène au diabète de type 1, ce qui permettrait d'en venir à bout.

 

Ce que l'article n'indique toutefois pas est que le diabète de type 1 est une affection de type lésionnel où il y a donc une destruction d'une zone de cellules du pancréas. Or en général, au moment du diagnostic, les gens sont déjà à un stade lésionnel avancé (car en fait le corps est capable de "compenser" tout un temps avant cela). On voit donc mal comment ce vaccin thérapeutique pourrait arriver à temps ou même ressusciter les précieuses zones-clés déjà détruites.

 

L'article dit aussi que "ce vaccin semble efficace sur une période de deux mois" et que des tests plus approfondis devront être menés.... 2 mois c'est vraiment court, combien de doses pourraient être requises et peut-être même à vie pour un nombreux et juteux marché de diabétiques de type 1 dans le monde?

 

Selon ces scientifiques, ce vaccin ne supprimerait que la réaction immunitaire indésirable qui se retourne contre le pancréas sans affecter le reste de la réponse immunitaire dans son ensemble.... ça, ça reste à prouver et à vérifier. Avec les autres vaccins en général aussi, on a l'habitude de nous dire qu'on en a les avantages sans (ou avec si peu) les inconvénients.

 

Mais surtout, ce qui importe, c'est de voir que ce futur vaccin ressemble au principe d'un vaccin contre les allergies, alors que le diabète de type 1 comme les allergies peuvent être causés par... des vaccins!

 

On en parle trop peu, et certainement pas dans les médias grand public mais les vaccins peuvent en effet causer le diabète de type 1. Plusieurs recherches l'ont démontré. Le vaccin contre l'haemophilius influenzae de type b fait à quasi tous les enfants (et inclus dans les vaccins pentavalents et hexavalents donc dans l'infanrix quinta/penta, le pentavac, l'infanrix hexa et l'hexyon) et la valence anti-hépatite B (aussi incluse dans les vaccins hexavalents) font donc des vaccins hexavalents des vaccins doublement diabétogènes. Mais à part ça certains font semblant de s'étonner de la hausse du diabète de type 1 chez les enfants, ... on marche vraiment sur la tête dans un monde bien hypocrite et très irresponsable!

 

Voici ce que le Dr Classen qui a étudié le lien entre vaccin hépatite B et diabète, déclare dans le livre "La santé publique en otage; les scandales du vaccin contre l'hépatite B." de Eric Giacometti:

 

« En 1996, j'ai publié dans le New Zealand Medical journal une étude qui montrait une augmentation de 60 % des diabètes chez les enfants après la campagne de vaccination massive entre 1988 et 1991. Le diabète est une maladie autoimmune qui peut avoir plusieurs causes et qui est bien connue des spécialistes de la sécurité des vaccins. À l'époque, je voulais seulement lancer un signal d'alerte et que les pouvoirs publics lancent des études sur ce sujet. Un rapport officiel est paru deux ans plus tard pour mettre en pièce mes travaux. Selon ce texte, aucun autre médecin n'avait trouvé les mêmes tendances. Mais mes véritables ennuis ont commencé après mon passage à la télévision dans une émission d'ABC. J'ai été convoqué par le docteur Neal Hal sey, l'une des plus grosses huiles du milieu de la vaccination, professeur au john Hopkins Hospital, responsable de l'association des pédiatres américains, membre du Comité national des vaccinations. En guise d'entretien, c'était un procès en bonne et due forme. Je me suis retrouvé seul face à une assemblée de médecins, du NIH, du CDC, de la FDA, qui m'ont attaqué violemment, me reprochant d'avoir voulu affoler la population sans fondements. Selon eux, je risquais de détruire la campagne de vaccination alors que mes travaux avaient été réfutés. Exprimer des inquiétudes dans un média grand public sur un vaccin était inqualifiable. Depuis, j'ai été marginalisé comme opposant aux vaccins, un comble alors que mes recherches n'ont comme seul but que de renforcer leur sécurité ! Or, il existe un véritable problème avec ce vaccin et le public est en droit d'exiger une plus grande transparence, mais il est clair que cette affaire met en jeu des intérêts énormes. Si on ne trouve rien, c'est surtout parce qu'on ne veut rien trouver. »

 

Par la suite complète Eric Giacometti, auteur du livre « La Santé publique en otage, les scandales du vaccin contre l’hépatite B. », j'apprendrai que le docteur Halsey, l'accusateur principal de Classen, entretient des liens financiers avec les fabricants de vaccins.

 

En 1999, le Dr J.B Classen écrivait une lettre au British Medical Journal dans laquelle il rappelait aussi les résultats de ses autres travaux sur le lien entre vaccin anti-haemophilius influenzae de type b (Hib) et diabète de type 1:

 

« En mai 1998, une conférence fut organisée à Bethesda, Maryland pour évaluer nos données. Au cours de cette conférence, nous avons précisé que les données concernant le vaccin corroboraient les résultats de nos publications, à savoir que quand la vaccination avait lieu à l’âge de 2 mois, elle était associée à un risque accru de diabète. Notre analyse est également confirmée  par une augmentation similaire des cas de diabète après la vaccination Haemophilus Influenzae type b aux Etats-Unis, ainsi qu’au Royaume Uni (5).

 

En outre, nous devons signaler que, dans le groupe d’enfants vaccinés, l’augmentation des risques de diabète dépasse en importance ce qui était attendu en ce qui concerne la diminution de complications de la méningite à Haemophilus influenzae de type b. »

 

Il semble donc que la première des priorités n'est pas de "trompéter" au sujet de ces nouvelles découvertes mais d'informer avant tout utilement le public pour essayer d'éviter la survenue initiale de cette maladie en recommandant de vacciner moins.

 

Dans un monde normal où les médias fonctionneraient bien, de façon libre et indépendante, il est évident que les journalistes auraient le droit et même le devoir déontologique de mentionner ces éléments qui éclairent d’un jour nouveau ce genre de « percée ». Mais voilà, il se trouve que les médias ne fonctionnent pas très bien, que donc leur lectorat ne cesse de baisser ce qui est logique, et aussi que les vaccins sont vraiment LE tabou des tabous. Du coup, ils ne relaieront que le côté « enthousiasmant » et partial de ce genre de nouvelle. C’est pourquoi cela reste très intéressant, et cela le sera de plus en plus, de varier ses sources d’information et de consulter par exemple le site très fourni d’Initiative Citoyenne !

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25 juin 2013 2 25 /06 /juin /2013 15:50

La variole n'avait-elle pas été déclarée "éradiquée" par l'Organisation Mondiale de la Santé en 1980?

 

Pourtant, le Comité des Médicaments à Usage Humain de l'Agence Européenne des Médicaments (CHMP) a remis le 30 mai dernier un avis positif sur le vaccin Imvanex de la société Bavarian Nordic.

 

 

bavarian nordic

 

Le vaccin Imvanex est un vaccin transgénique (càd produit par génie génétique) à virus vivant atténué, mais qui n'induit soi-disant pas de réplication virale au sein de l'organisme contrairement à la précédente version du vaccin, prétexte évidemment saisi par l'Agence Européenne du Médicament pour le décréter utilisable tant chez l'adulte sain que chez les patients immunodéprimés... et comme les gens sont de plus en plus malades, il s'agissait de ne pas "perdre" toutes ces cibles vaccinales-là...

 

Le vaccin est censé viser autant les gens qui n'ont encore jamais été vaccinés contre la variole que ceux qui ont déjà été précédemment vaccinés.

 

Le Comité a décidé que les bénéfices étaient plus grands que les risques sur base de 5 études principales. Toutefois, comme la variole n'existe plus et que des essais cliniques (dans le cadre desquels les gens auraient la possibilité d'être naturellement infectés) ne peuvent être menés, ce vaccin a été approuvé dans l'Union Européenne "sous des circonstances exceptionnelles".

 

En matière de sécurité, le Comité affirme que le vaccin est "généralement bien toléré", les effets secondaires les plus courants étant des maux de tête, des douleurs musculaires, des nausées, de la fatigue, un érythème et une douleur au site d'injection.

 

Comme il est à prévoir, la Commission Européenne dont l'accord purement formel suffit à valider définitivement l'autorisation de mise sur le marché, va suivre docilement l'avis de l'Agence Européenne des Médicaments.

 

Mais ce qui doit alerter ici, c'est le caractère étonnamment familier de ces affirmations venant de ce genre d'instances. Souvenez-vous leurs déclarations sur la soi-disant "bonne tolérance" du vaccin expérimental anti-H1N1 Pandemrix à base de squalène.... un vaccin qui lui, avait fait l'objet d'essais cliniques dans le cadre desquels il y a eu 7 décès sur 2000 patients.... un vaccin qui a engendré combien de centaines de cas de narcolepsies, une maladie neurologique auto-immune incurable et particulièrement invalidante.

 

Et répétons-le encore une fois, le Pandemrix, lui, avait pourtant fait l'objet d'essais cliniques, certes bâclés et aux conclusions bidouillées selon nous mais des essais cliniques tout de même. Ici, pour l'Imvanex, non. Mais on affirme qu'il est "généralement bien toléré". Mais quid si vous, votre conjoint ou votre enfant faisait partie sans évidemment le savoir à l'avance, de ceux dont la vie va dérailler à jamais après ce vaccin?

 

Si on prend par exemple un autre document, celui rédigé par le Centre Européen de Contrôle des Maladies (ECDC) à l'automne dernier sur l'introduction de la vaccination anti-HPV dans divers pays européens, on peut s'apercevoir que c'est le même angélisme qui est de mise, avec des affirmations tout à fait similaires selon lesquelles "ces vaccins (GARDASIL et CERVARIX donc) sont généralement bien tolérés". Et là, ces affirmations mensongères interviennent pourtant après plusieurs années d'utilisation et de controverse puisque rien qu'aux USA, alors que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont comptabilisés, plus de 30 000 effets secondaires et 136 décès ont déjà été notifiés depuis 2006 en lien avec l'usage du Gardasil et du Cervarix! Les autorités américaines ont déjà déboursé à ce stade plus de 6 millions de dollars pour indemniser une cinquantaine de plaignants dont deux familles dont la fille est morte après ces vaccins "généralement bien tolérés".

 

Et dernièrement, la décision japonaise de ne plus recommander officiellement les vaccins Gardasil et le Cervarix, suite à près de 2000 rapports d'effets secondaires, a elle aussi contribué à montrer tout le sérieux et toute la crédibilité qu'on peut encore accorder à ces Comités et instances européennes quand elles affirment, sur base d'arguments d'autorité que tel ou tel (nouveau ou ancien) vaccin est "généralement bien toléré".

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14 juin 2013 5 14 /06 /juin /2013 16:10

L'insécurité des vaccins rebute de plus en plus, et pour cause.

 

Mais fort évidemment, vu toute l'industrie lucrative qui repose sur ce gigantesque marché, il y a de quoi s'agiter. C'est dans ce contexte que les travaux de l'ingénieur biomédical Mark Kendall sur les nanopatchs vaccinaux, avancent à grand pas.

 

Ces nanopatchs faciliteront nous dit-on une vaccination rapide, à moindre coût, à très large échelle, avec soi-disant toutes sortes d'avantages: caractère non douloureux du vaccin, meilleure conservation, etc.

 

En fait, cette innovation permettra sûrement de continuer à banaliser la vaccination et à édulcorer ses risques graves possibles, auprès des plus crédules. Si ces travaux aboutissent d'ici à 5 ans sur une mise sur le marché, la question est de savoir s'ils arriveront toutefois à temps pour empêcher la bulle vaccinale d'exploser. Peut-être aura-t-elle même déjà explosé d'ici là...

 

Les nanotechnologies ne sont pas sans risque. Mais si ce patch jouira du même laxisme règlementaire que celui dont profitent déjà les vaccins depuis plus de 200 ans de vaccination, il ne faut alors guère espérer avoir une juste idée de ses risques réels d'ici sa mise sur le marché. Il ne faut pas non plus se leurrer, dans le sens où ce patch, qu'on les sente ou non, comporte des milliers de micro-projections qui ont l'effet d'une aiguille, ne mimant toujours pas ainsi le réel processus de pénétration des microbes dans l'organisme à l'état Naturel, qui se fait en réalité sans injection, lors du contact de la peau ou des différentes muqueuses. On prévoit de tester ce patch d'ici deux ans, et de le mettre sur le marché d'ici 5 ans tout au plus, ... une fois encore donc, on n'aura aucune idée des risques graves sur le long terme et les gens seront de nouveau cobayes sans le savoir!

 

Les chercheurs évoquent 17 millions de morts par an liés aux maladies infectieuses dans le monde, mais combien de millions d'autres victimes des vaccins chaque année, sur des milliards de gens survaccinés? Le fait que l'immense majorité des victimes de vaccins s'ignorent et ne penseront jamais à faire le lien ne permet absolument pas de nier ces dommages et d'affirmer péremptoirement qu'ils sont forcément inférieurs aux "bénéfices"!

 

Faciliter la vaccination avec des patchs plutôt que des seringues

 

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L'ingénieur biomédical australien Mark Kendall a présenté à la conférence TEDGlobal cette semaine à Edimbourg un patch qui pourrait avantageusement remplacer "d'ici à cinq ans" les seringues dans l'administration des vaccins, rendant les campagnes de vaccination beaucoup plus aisées. (Hector Retamal)

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L'ingénieur biomédical australien Mark Kendall a présenté à la conférence TEDGlobal cette semaine à Edimbourg un patch qui pourrait avantageusement remplacer "d'ici à cinq ans" les seringues dans l'administration des vaccins, rendant les campagnes de vaccination beaucoup plus aisées.

 

C'est dans la capitale écossaise qui a vu la naissance de la seringue en 1853 que ce chercheur a présenté aux 900 participants du forum de discussions TEDGlobal son Nanopatch, conçu à l'université australienne du Queensland.

 

Ce petit carré d'environ 1 cm2 est doté "de près de 4.000 micro-projections" qui pénètrent dans "la couche externe de la peau" sans causer la moindre douleur.

 

Il a rappelé les risques d'utilisation de seringues, du fait de la transmission de virus notamment. Sur 16 milliards d'injections annuelles faites dans le monde, 1,3 million entraînent la mort selon l'Organisation mondiale de la santé (OMS).

 

Il a aussi souligné que, contrairement au patch, "la seringue injecte le liquide dans le muscle et qu'en conséquence celui-ci ne pénètre pas dans les cellules du système immunitaire de la peau", les plus propices pour accueillir le vaccin qui immunisera contre la maladie concernée.

 

Cette optimisation de la diffusion permet d'administrer une quantité de vaccin près de "100 fois moins importante", selon lui.

 

Ainsi, "un vaccin qui coûtait dix dollars (en injection) reviendrait alors à dix cents en patch, une différence considérable dans les pays en développement", a-t-il fait valoir.

 

Autre atout essentiel du patch, il contient le vaccin sous forme "sèche" ce qui permet, selon ses travaux, de le transporter ou de le "stocker à 23 degrés Celsius pendant plus d'une année sans aucune perte d'efficacité".

 

Sous la forme liquide actuelle, le vaccin doit absolument être "réfrigéré de sa création jusqu'à son injection sans interruption".

 

"C'est un gros problème parce que, selon l'OMS, la moitié des vaccins utilisés en Afrique ne sont pas efficaces parce que la chaîne du froid a été rompue à un moment donné", a-t-il ajouté.

 

Ces patchs ont été présentés l'année dernière au personnel de santé en Papouasie-Nouvelle Guinée pour le vaccin du papillomavirus, qui peut provoquer des cancers du col de l'utérus. Ils doivent faire l'objet d'essais cliniques sur des humains "dans les deux ans", a dit Mark Kendall à l'AFP, reconnaissant ne pas disposer encore de l'ensemble du financement.

 

D'autres essais humains menés sur le vaccin de la grippe à Brisbane sont quant eux assurés d'avoir lieu "dans l'année à venir", a-t-il ajouté.

 

Le patch a d'ores et déjà donné des résultats concluants sur les animaux pour le papillomavirus humain, la grippe, le chikungunya, le virus du Nil occidental, l'herpès (HSV2), et récemment la malaria, a expliqué M. Kendall.

 

Quant à la commercialisation, "mon observation dans le domaine des vaccins est que pour passer de l'idée au marché il faut environ 15 ans". Le Nanopatch, "si tout se passe bien, pourrait être sur le marché dans les cinq ans", a-t-il prédit.

 

Plusieurs autres programmes de recherche portent actuellement sur des patchs de vaccination, notamment à la Emory University Medical School et au Georgia Institute of Technology d'Atlanta.

 

"Il y a plusieurs patchs à l'étude, on sent que c'est un terrain d'avenir mais de notre point de vue, nous avons un mode d'action unique et différent" des autres études avec "une réponse immunitaire améliorée", assure, Mark Kendall.

 

Interrogée par la BBC, la société britannique d'immunologie a salué ces travaux tout en mettant en garde contre de possibles limites à leur utilisation.

 

"Cette approche permet d'espérer l'émergence d'une vaccination facile et à grande échelle", a déclaré à la BBC le Dr Diane Williamson.

 

"Cependant, un des problèmes potentiels est le temps de transit et la difficulté de s'assurer de l'apport d'une dose de vaccin suffisante pour être efficace". "En outre il peut y avoir des problèmes de tolérance". Mais "si ces questions peuvent être surmontées, il est envisageable de renoncer à l'idée d'une administration classique de vaccins par les aiguilles intramusculaires", a-t-elle jugé.

 

"J'aimerais partager un souhait avec vous, celui d'un avenir dans lequel les 17 millions de morts que nous déplorons actuellement chaque année à cause des maladies infectieuses ne soit plus qu'un mauvais souvenir", a conclu mercredi soir Mark Kendall, sous un tonnerre d'applaudissements de l'assemblée de TEDGlobal composée de scientifiques, de politiques et d'artistes.

 

Sources : AFP et France 24

 

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13 juin 2013 4 13 /06 /juin /2013 14:36

C'est la folle ambition de chercheurs aveuglés par leur idée obsessionnelle de vaccination des voyageurs. La tourista ou "diarrhée des voyageurs" est certes fréquente, mais vraiment peu grave.

 

En revanche, il s'agira d'un vaccin transgénique, c'est à dire produit par génie génétique, avec tous les risques qui vont de pair.

 

Il faut en effet savoir que la vaccination produite par génie génétique entraîne inévitablement un ADN hétérogène dans le produit fini dont la pureté ne peut jamais être parfaite. Or il se trouve qu'on ne peut hélas exclure que cet ADN hétérogène ("contre nature donc") issu du processus de fabrication, puisse interférer négativement avec le propre patrimoine génétique du sujet vacciné, entraînant par exemple un risque de mutation ou de cancer.

 

C'est d'autant plus important de comprendre un tel risque que les vaccins sont 1. dispensés de tests destinés à évaluer leur potentiel mutagène et cancérogène (c'est à dire leur faculté d'induire des mutations et des cancers chez les receveurs) et 2. leurs effets ne sont JAMAIS évalués sur le long terme alors que des maladies liées à des mutations de l'ADN ou des cancers sont par définition des processus qui peuvent prendre des années à se concrétiser et à se manifester!

 

Voici donc, puisque ce n'est évidemment pas Initiative Citoyenne qui suce cela de son pouce, ce qu'écrivait l'OMS dans son rapport technique N°747 sur "l'Acceptabilité des Substrats Cellulaires pour la production de Substances Biologiques" en 1987 (déjà!):

 

« Un des grands problèmes soulevés [à cette conférence] est le risque de malignité que pourrait représenter à long terme un A.D.N contaminant hétérogène, en particulier s’il s’avère qu’il contient des séquences codantes ou régulatrices potentiellement oncogènes. Ce point est réellement préoccupant, car de nombreuses personnes en bonne santé, notamment des nourrissons, seront peut-être vaccinées avec des produits issus de lignées cellulaires continues, ou les recevront de toute autre manière. »

 

Grisés par leur "découverte", les chercheurs espèrent ainsi "faire coup double" puisqu'ils ont incorporé des fractions d'ADN de souches pathogènes de la bactérie Escherichia Coli (responsable de la fameuse tourista) dans la paroi cellulaire de salmonnelles (= d'autres bactéries), un certain type de salmonelles n'étant autre que le bacille responsable de la fièvre typhoïde.

 

La poudre de salmonelles génétiquement modifiées (OGM) sera ainsi à avaler pour passer sans doute soi-disant de bonnes vacances, même si le projet n'en est encore qu'au stade des essais sur la souris.

 

voyageur.gif

  Voyageur ou.... pigeon voyageur??

 

Après les projets de vaccins contre la carie, l'obésité, l'acné et le tabac, voici donc celui contre la diarrhée des voyageurs, puisqu'après tout existe déjà l'inutile (coûteux) et dangereux vaccin contre la diarrhée des nourrissons (rotavirus). Il est évident que la bulle vaccinale explosera tôt ou tard et que nous ne sommes donc ici que dans une phase de "bois de rallonge", jusqu'au ras-le bol final d'un nombre critique de gens sur cette planète.

 

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