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6 juin 2013 4 06 /06 /juin /2013 22:10

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La presse nous présente la situation comme étant soit un dilemme entre les deux vaccins (l'ancienne version à germes entiers ou la version actuelle, de type acellulaire), soit un dilemme sur les groupes à vacciner, soit encore sur la fenêtre de temps dans laquelle vacciner. Nous devons choisir mais surtout, dans le cadre très étroit des vaccins à tout prix à l'exclusion de la moindre autre décision!

 

A aucun moment notez bien il n'est question de remettre en question cette véritable fuite en avant vaccinale consistant à vacciner toujours plus dans l'espoir de mieux masquer les échecs flagrants de cet acharnement vaccinal dont les conséquences négatives en termes de santé publique restent cependant lamentablement occultées ou à tout le moins, minimisées!

 

Faux dilemme entre les deux types de vaccins

 

Voici un extrait de ce qu'un site canadien publiait à ce sujet:

 

(Québec) D'après une étude parue dans le dernier numéro de la revue savante Pediatrics, le vaccin contre la coqueluche utilisé en Amérique du Nord depuis une quinzaine d'années protège presque six fois moins bien que l'ancien type de vaccin. Et comme ce dernier provoquait par ailleurs d'importants effets secondaires, cela place les autorités sanitaires devant un dilemme cornélien.

 

«On se trouve devant un choix douloureux, parce qu'il n'y a pas de solution idéale. Pour le moment, les comités scientifiques sur la vaccination n'ont pas tranché cette question-là, ni au Canada, ni aux États-Unis», dit le Dr Gaston De Serres, infectiologue à l'Institut national de santé publique du Québec.

 

La coqueluche est causée par une bactérie (Bordetella pertussis) qui infecte les voies respiratoires et provoque une toux violente pouvant durer deux mois. Jusqu'aux années 90, la plupart des pays du monde, dont le Québec et le Canada, immunisaient leurs populations avec des vaccins dits «entiers» - c'est-à-dire fabriqués à partir de bactéries entières, bien que mortes. Ces vaccins fonctionnaient très bien, mais avaient l'inconvénient de provoquer fréquemment des symptômes indésirables, comme une fièvre plus ou moins forte.

 

Il y a une quinzaine d'années, donc, tout ce beau monde a adopté un autre type de vaccin, dit acellulaire, ne contenant que des parties de bactéries, comme des protéines.

 

Or, plusieurs éclosions de coqueluche ont touché différentes parties du monde ces dernières années. Les épisodes les plus graves ont d'ailleurs frappé des parties du monde très dispersées, comme l'Australie (en 2011-2012), la Californie (2010-2011) et le Nouveau-Brunswick (2012).

 

Dans une étude publiée la semaine passée dans Pediatrics, une équipe du Kaiser Permanente Vaccine Study Center, à Oakland, a examiné l'éclosion californienne et comparé la fréquence de la maladie chez les enfants de 10 à 17 ans qui avaient reçu l'un ou l'autre des deux types de vaccin - car un certain nombre ont continué à recevoir l'ancien. Résultat: ceux qui ont reçu la version acellulaire ont 5,6 fois plus de chance d'attraper la coqueluche que ceux qui ont reçu l'«ancien» vaccin, fait à partir de bactéries entières.

 

Comme il s'agit d'un vaccin qui demande plusieurs rappels, les chercheurs ont aussi pu constater que ceux qui avaient reçu un mélange des deux types de vaccin tombaient entre les deux extrêmes (3,8 fois plus vulnérables à la maladie), ce qui démontre un effet de dose.

 

Hypothèses des doses défectueuses

 

D'après Dr De Serres, cela confirme la conclusion d'une autre étude, australienne celle-là et parue l'an dernier, et le fait que les mêmes résultats aient été obtenus à deux endroits aussi éloignés, dans des contextes que l'on devine assez différents, ajoute du «poids», pour ainsi dire, à l'hypothèse du vaccin plus ou moins défectueux.

 

Pourtant, le vaccin actuel a été testé et retesté, ce qui a permis d'établir qu'il protège bien contre la coqueluche, ayant une efficacité de 85 %. Mais ces mesures de l'efficacité ne concernent que le court terme, explique Dr De Serres, si bien qu'à plus long terme, la protection peut diminuer significativement. D'ailleurs, il a été démontré que l'incidence de la coqueluche varie selon l'âge des enfants, augmentant année après année après l'âge du dernier rappel, puis chutant lorsqu'une cohorte atteint l'âge d'un autre rappel.

 

Une étude récente, poursuit Dr De Serres, a montré un taux de protection de 98 % pour le vaccin acellulaire dans les 12 premiers mois suivant l'injection, taux qui chutait toutefois à 71 % après cinq ans. L'épidémiologiste souligne cependant qu'à l'heure actuelle, plusieurs études sur cette question demeurent contradictoires.

 

N'empêche que d'un point de vue de santé publique, les questions posées sont particulièrement épineuses. Doit-on garder le vaccin actuel, malgré ses défauts? Si oui, est-il réaliste de faire des rappels aux cinq ans pour tout le monde, même les adultes? Sinon, les effets secondaires effrayeront-ils une portion significative des gens à vacciner?

 

«Ce qui s'est passé depuis 2010 aux États-Unis, en Australie et au Nouveau-Brunswick soulève d'énormes questions», concède Dr De Serres.

 

Faux dilemme sur les groupes à vacciner

 

Alors qu'on a bassiné et harcelé des milliers de jeunes parents au nom de la fameuse stratégie "cocoon" pour prévenir les cas graves chez les nourrissons, on pouvait récemment lire dans la presse (il était temps!) que cette stratégie était "dépassée", quelque chose de ce style... Cela fait des mois qu'Initiative Citoyenne rappelait les résultats de l'étude de l'équipe du Pr De Serres qui mettait en lumière l'utopie irréaliste d'une efficacité de cette stratégie de vaccination cocoon, totalement inopérante dans nos pays, n'en déplaise à des témoignages de parents dont l'enfant est hélas décédé des conséquences de la coqueluche et qui s'imaginent évidemment que s'ils avaient été vaccinés, ils auraient forcément évité le décès de leur enfant!

 

Voici ce qu'on pouvait donc récemment lire dans Vers l'Avenir:

 

"Le Comité de conseils sur les pratiques de vaccination aux USA (ACIP) mais également son équivalent au Royaume-Uni invitent depuis peu, aux États-Unis, les praticiens à une vaccination systématique à chaque grossesse des femmes enceintes avec le vaccin «acellulaire» faiblement dosé («Boostrix»). Les études ont montré que cela était plus efficace en fin de grossesse, entre la 27e et la 36e semaine.

 

Tout comme le vaccin contre la grippe ou contre le tétanos, celui contre la coqueluche est bien toléré et ne provoque pas d’effets secondaires. Les anticorps passent très bien au fœtus qui est dès la naissance protégé contre la coqueluche et ne doit pas attendre sa première dose de vaccins à deux mois. «Cette vaccination doit être répétée à chaque grossesse, suivant les recommandations de l’ACIP, car les anticorps induits par une vaccination durant une grossesse ne perdurent pas et ne permettent donc pas de protéger un bébé qui naîtra d’une grossesse ultérieure», conclut le Dr Jean-Philippe Stalens."



Ces propos sont évidemment affligeants et reflètent un fameux esprit grégaire. Avec les vaccins en effet, nous sommes dans un système de dogmes et de croyance et non pas de Science. La croyance tout à fait non fondée en des vaccins considérés comme des "vaccins sauveurs" amène alors les fidèles à distiller des contre-vérités comme celles qui consistent par exemple à oser affirmer qu'il n'y a PAS d'effets secondaires pour les vaccins contre la grippe, contre le tétanos ou contre la coqueluche. Même les fabricants dans leurs notices n'oseraient pas écrire de telles aneries, c'est dire! Vous pouvez aussi par exemple voir ici et ici si des vaccins comme ceux contre la grippe ou le tétanos sont réellement sans risque...



Avec les vaccins, il faut également savoir que nous sommes dans un système où toutes les vraies fausses bonnes idées des experts américains (ACIP= comité américain des vaccinations) finissent le plus souvent par être suivies comme parole d'Evangile. Une des "idoles" des experts vaccinalistes européens n'est autre que le fameux Dr Paul Offit, détenteur de brevets sur les vaccins-rotavirus, qui avait osé prétendre qu'un enfant pouvait sans risque recevoir 10 000 vaccins en un jour. C'est d'ailleurs le même personnage qui milite à présent pour la levée du système d'exemptions religieuses ou philosophiques à la vaccination, pour la suppression du droit au consentement libre et éclairé et finalement pour la suppression tout court de la moindre possibilité de CHOIX.



Vacciner les femmes enceintes à chaque grossesse avec un vaccin comme le Boostrix qui contient du formaldéhyde cancérigène, de l'aluminium neurotoxique encore plus risqué pour le foetus dont le développement neurologique n'est pas achevé, ce n'est plus de la Science mais de l'idéologie. Avec une idéologie, il n'y a plus de place pour le bon sens ou encore pour le principe de précaution. Médicamenter les femmes enceintes est dangereux, l'exemple du distilbène ou celui de la thalidomide l'ont montré. Et encore, avec des médicaments classiques, il reste la possibilité de stopper la prise quand on suspecte un risque ou un effet secondaire, ce qui n'est absolument pas possible avec un vaccin qui est d'emblée irréversible une fois qu'il a été injecté.

 

Une fois encore, prétendre qu'il faut vacciner la femme enceinte pour mieux masquer l'échec cuisant de la vaccination cocoon, ne profite qu'aux fabricants, à fortiori s'il s'agit de revacciner à chaque grossesse. D'un groupe lucratif à un autre, pourvu qu'on sauve un marché de vaccins!

 

Faux dilemme du moment auquel vacciner

 

Voici ce qu'on pouvait récemment lire sur ce site belge:

 

Selon le Centre belge d'Information Pharmacothérapeutique (CBIP), «Une piste possible pourrait être de vacciner les femmes enceintes » (ceci est déjà recommandé au Royaume-Uni et aux Etats-Unis) et « une alternative serait d’anticiper la primovaccination en administrant une première dose directement après la naissance ». 


Toutefois, des données supplémentaires de suivi et d’efficacité sont nécessaires pour bien encadrer ces modifications.

  

La conclusion de tout ceci est que les pharmas se trouvent sur une « défensive commerciale » qui consiste à vouloir sauver des marchés;  cela supposant donc de compenser par une autre cible, toute cible éventuellement perdue.

 

Cependant, il s’agit d’un système ou le serpent se mordra tôt ou tard la queue jusqu’à s’engloutir lui-même puisqu’un accroissement de la vaccination, à fortiori chez des publics particulièrement fragiles comme les femmes enceintes et les bébés à peine nés, ne pourra que se solder par un nombre accru d’effets indésirables graves qui lui-même se soldera par une prise de conscience accrue d’un rapport bénéfices/risques qui n’est pas des plus favorables.

 

On a beau essayer d’agiter l’épouvantail en disant « la coqueluche est une maladie très dangereuse avec un taux de mortalité très élevé » (350 000 décès à l’échelle du monde, la majorité de trouvant dans les pays pauvres), lorsque les gens vivront eux-mêmes le drame irréversible des effets secondaires, ils auront évidemment un tout autre regard. Et il est absolument certain que de moins en moins de gens croiront au leitmotiv selon lequel « ce n’est qu’une coïncidence ».

 

Nous sommes vraiment à une époque où chacun connaît désormais dans son entourage au moins une personne qui était en bonne santé avant les vaccins et n’a plus jamais été bien depuis. Vacciner A QUEL PRIX ? C’est cela le grand débat d’aujourd’hui et de demain et on ne pourra faire l’impasse sur ce débat, il aura lieu : éviter prétendument un décès en créant cependant X autres handicapés ou malades chroniques en retour, est-ce cela le choix de société que nous voulons ? Tout le monde n’est en tout cas pas d’accord sur cette façon d’imposer des politiques dites non sans une certaine ironie de... « santé publique » !

 

 

Voir aussi les articles sur l'importance de la vitamine C en cas de coqueluche:

 

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Intérêt de la vitamine C dans les cas de coqueluche

 

Coqueluche et vitamine C: pourquoi c'est tabou

 

Vitamine C extrêmement indiquée en cas de coqueluche

 

 

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1 juin 2013 6 01 /06 /juin /2013 18:20

Un documentaire diffusé ce jeudi 30 mai 2013 sur ARTE:

L'avis d'Initiative Citoyenne: Un documentaire qui ne dit PAS UN MOT des effets secondaires de ce vaccin RTS-S ni de l'acharnement vaccinal général de Bill Gates dans les pays les plus pauvres. On reste donc ici dans le politiquement correct en n'osant aborder que l'efficacité contestable de ce vaccin sur fond de concurrence "scientifique" et surtout commerciale. Malgré une "efficacité" de seulement 30 à 50% qui risque en fait de susciter des résistances et d'aggraver encore la situation, les médias désinformateurs propagent massivement le chiffre de 70% d'efficacité de ce nouveau vaccin, exactement comme ces mêmes médias avaient aussi désinformé sur les faux 70% d'efficacité des vaccins HPV!

 

Ce documentaire permet de voir comment Bill Gates est reçu à l'ONU, comme un véritable chef d'Etat... comme quoi, avec l'argent dans ce monde, on peut tout acheter, même les lois, et l'éthique.
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29 mai 2013 3 29 /05 /mai /2013 17:05

Vaccination : Rexall a violé la loi ontarienne

 

28 mai 2013

 

Ministre-ontarienne.jpg

La ministre ontarienne de la Santé reçoit le vaccin contre la grippe dans une pharmacie Rexall en octobre dernier.  Photo :  PC/Kelsey Rolfe

 

Exclusif - La chaîne de pharmacies Rexall a utilisé les noms et les adresses fournis par des dizaines d'Ontariens dans le cadre du programme provincial de vaccination contre la grippe l'hiver dernier, pour leur envoyer, plus tôt ce mois-ci, des dépliants publicitaires les incitant à magasiner dans l'une de ses succursales.

 

Les Ontariens qui ont reçu l'encart s'étaient fait vacciner dans une pharmacie Rexall. 

 

La ministre de la Santé Deb Matthews, avait lancé en grande pompe, en octobre dernier, cette nouvelle option, qui s'ajoutait aux cliniques d'immunisation traditionnelles notamment. Selon la ministre, il s'agissait d'une autre façon de rendre le vaccin contre l'influenza, qui est offert gratuitement en Ontario, encore plus accessible, étant donné que les résidents n'avaient qu'à se présenter dans une pharmacie, sans avoir à prendre rendez-vous ni à faire la queue, pour se faire inoculer.

 

Le gouvernement a versé 1,4 million de dollars à la compagnie pour sa participation au programme provincial de 30 millions

 

L'opposition néo-démocrate, pour sa part, affirme que l'utilisation par Rexall de renseignements personnels est une sonnette d'alarme quant aux dangers de la privatisation du système de santé.

 

Rexall a refusé d'accorder une entrevue à Radio-Canada, mais affirme dans une déclaration écrite avoir mis fin à sa campagne d'envois postaux. La compagnie n'est pas en mesure de dire combien d'Ontariens ont reçu les encarts « par erreur », expliquant qu'une enquête interne est en cours.

 

[…]

 

Vaccination contre la grippe en 2012-2013 :

 

- 246 611 Ontariens ont reçu le vaccin dans une pharmacie

- 188 455 Ontariens ont été vaccinés dans une pharmacie Rexall

- 1 839 432 $ ont été payés à toutes les pharmacies impliquées (Rexall et Shoppers   

   Drug Mart)

- 1 415 579 $ ont été payés à Rexall 

 

Source: Radio Canada

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13 mai 2013 1 13 /05 /mai /2013 21:16

Plusieurs médecins d'un grand hôpital bruxellois nous ont fait parvenir le mail qu'ils ont reçu de la direction médicale et du département des maladies infectieuses au sujet de l'épidémie actuelle d'oreillons.... le contenu est vraiment, comme qui dirait.... savoureux!

 

oreillons--parotidite.JPG

Chers Collègues,

 

L’épidémie d'oreillons qui sévit actuellement en Belgique a commencé en 2010-2011 aux Pays-Bas et a touché la Flandre l’année passée. Le génotypage de la souche (avril 2013, cas wallons) montre un sérotype différent de celui présent dans le vaccin. Néanmoins, les personnes vaccinées présentent moins de complications (de 50 à 70% en moins que les non-vaccinés).

La vaccination est donc toujours recommandée. L'incubation est de 19 j en moyenne. La contamination se fait par voie aérienne ou par contact direct avec la salive d'un sujet infecté.

Signes et symptômes: Fièvre modérée, otalgie, gêne à la mastication puis parotidite douloureuse (uni ou bilatérale), pharyngite et céphalées.

Complications possibles mais peu fréquentes: orchite, méningite, encéphalite

Contagiosité: 2-5 j avant l'apparition des symptômes et puis pdt toute le durée des symptômes (max 9j)

Evolution en général favorable en 8-10j.

La confirmation du diagnostic par recherche d'IgM par ELISA est peu utile (pas d'IGM si personne vaccinée et sérotype circulant différent).

Le diagnostic est essentiellement clinique.

Evoquer ce diagnostic devant tout tableau de parotidite aux urgences vu l'épidémie actuelle (même chez un sujet jeune vacciné)

* Traitement symptomatique (repos, antalgiques, antipyrétiques)
* Mettre en place des précautions de type gouttelettes

Affiche N°4= gouttelettes: Voici le lien sur l’intranet :

http://intranet/intranet/hygiene/pdf/precautions-affiches.pdf


* Donner une ITT de 8 j
* Déclarer le cas suspect à l'équipe d'hygiène hospitalière (qui le rapportera à l'inspecteur d'hygiène)
* Penser à se faire vacciner soi-même

 

Dr…, Clinique des maladies infectieuses
Dr …, Médecin-Chef

 

La vaccination a sûrement favorisé une adaptation des souches. Elle n’est aucunement efficace contre des souches non couvertes par le vaccin, mais il faut constamment continuer à recommander le vaccin, masquer ou minimiser les échecs. Les gens croient que le vaccin les protège et les praticiens, eux, se font dire qu’ils ne doivent pas exclure le diagnostic, même chez les gens vaccinés….

 

ON SE FOUT VRAIMENT DU MONDE !

 

Nul doute que peu de médecins seront pressés, dans ces conditions, de se faire vacciner ou revacciner eux-mêmes !

 

 

 

diabolisation des microbes

Un dessin vaut mille mots: diabolisation simpliste des maladies pour pousser aveuglément aux vaccins. Ilustration issue du livret de propagande vaccinale de la Communauté Française intitulé "Vaccination, mieux comprendre pour décider." (de même que le dessin ci-dessus)

 

NB: La Fédération Wallonie-Bruxelles (ex Communauté Française) a vu sa pub officielle pour les vaccins tout au long de la vie sévèrement désapprouvée par le Jury d'Ethique Publicitaire en novembre 2011, suite à notre plainte. Le Jury a estimé que cette pub était "de nature à induire le consommateur en erreur." et contraire aux exigences de loyauté et de véracité. La raison en est que les avantages de la vaccination étaient présentés de façon trop absolue, alors que dans le même temps, les risques graves possibles du vaccin étaient tus!

 

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10 mai 2013 5 10 /05 /mai /2013 19:30

Le site Siliconwadi.fr vient faire l'éloge d'un vaccin hépatite B de troisième génération qui serait soi-disant le nec plus ultra en terme d'efficacité et de sécurité par rapport aux anciennes versions, dites de deuxième génération.

 

Bien sûr, cet article nous ressert la sauce dramatisante sur l'hépatite B, présentée comme une maladie grave et terrifiante (alors que statistiquement, elle ne se complique que dans une minorité de cas). L'hépatite B qui est 100 fois plus contagieuse que le SIDA et autres propos destinés à faire se précipiter aveuglément sur le vaccin.

 

L'article nous apprend aussi (bien qu'à vérifier) que 167 pays du monde vaccineraient les nouveaux-nés dès la naissance contre l'hépatite B... si cela est vrai, c'est décidément que le bon sens est tombé encore plus bas que ce que nous pensions!

 

Le vaccin dont on fait l'éloge est en fait le vaccin Sci-B-Vac, mis au point par deux médecins israëliens de l'Institut des Sciences Weizmann et fabriqué par l'entreprise pharmaceutique nationale SciGen.

 

sci-b-vac.JPG

 

L'article signale que chaque nouveau-né israëlien ou presque a reçu ce vaccin Sci-B-Vac.

 

Ce vaccin, considéré comme l'unique vaccin de troisième génération actuellement disponible contre l'hépatite B, est assimilé au nec plus ultra de la lutte contre l'hépatite B.

 

Est-ce vraiment le cas ou s'agit-il surtout d'encourager et de motiver davantage les citoyens à consommer ce que des firmes de leurs propres pays ont fabriqué?

 

L'article présente tout d'abord les vaccins de première génération (= ceux fabriqués à partir du plasma de donneurs infectés) comme dangereux. Ce qui était vrai, sauf que cela donne à penser à tort que ceux de la génération suivante seraient sûrs.

 

Les vaccins de seconde génération sont des vaccins transgéniques, produits donc par génie génétique, à base soit de cellules de levure, soit de cellules cancéreuses de hamsters chinois. Ces vaccins sont à la source de dizaines de milliers de cas de scléroses en plaques et sont responsables d'une des plus grandes séries d'effets secondaires de médicaments en France (selon le rapport Dartigues) mais donc aussi logiquement dans tous les pays du monde où ils ont été utilisés. Encore aujourd'hui, ces vaccins sont obligatoires pour certains enfants du monde et plusieurs professionnels de santé dans des pays aussi "civilisés" que l'Italie, la Belgique, la France etc.

 

Les vaccins de troisième génération sont eux encore des vaccins transgéniques, avec les risques de malignité et de maladies auto-immunes qui peuvent aller de pair.  Ils sont produits sur des lignées cellulaires de hamster chinois, sûrement les mêmes lignées cancéreuses que celles déjà utlisées pour la production du vaccin anti-hépatite B de deuxième génération de Sanofi.

 

Les doses de Sci-B-Vac incluent trois antigènes au lieu d'un seul, ce qui permet à ses partisans de se gausser d'être nettement plus efficace pour toute une série de publics-cibles comme les enfants nés de mères infectées, les diabétiques (sic, puisque le vaccin HB est en mesure de provoquer le diabète!!) et les gens allergiques au gluten ou encore les immunodéprimés (des gens qu'il vaut en réalité surtout mieux ne pas vacciner car ils ont déjà assez de problèmes comme cela au niveau immunitaire!). Ce vaccin entraîne paraît-il une production très rapide et élevée d'anticorps. Il est vrai que pour les fanatiques de la vaccination, tout repose sur la seule présence d'anticorps. Ils se sont ainsi construit un système simpliste en marge de toute la complexité de notre système immunitaire car une telle complexité a sans doute de quoi les rebuter intellectuellement. Leur seul but, faire produire des anticorps, toujours plus et toujours plus vite. Sauf que dans la Nature, une production d'anticorps n'a pas forcément besoin de crever les plafonds pour être efficace et que tout vient à point à qui sait attendre, quand toutes les étapes immunitaires ont été remplies. Or avec une vaccination, qui ne mime en rien une infection naturelle, l'étape initiale cruciale qui est l'introduction de l'antigène naturel par voie muqueuse, se trouve être court-circuitée. Il s'en suit un processus immunologique par définition incontrôlable, ou cet excès artificiel d'anticorps peut au contraire être le signe d'un bug immunologique non désiré accompagnant possiblement toute une série de graves effets secondaires et d'ailleurs, à ce propos, ce sont le plus souvent chez les trop bons répondeurs ou à l'inverse, les non répondeurs, qu'on retrouve statistiquement le plus d'effets secondaires.

 

En outre, le phénomène de mimétisme moléculaire générateur de maladies auto-immunes post-vaccinales, n'est pas du tout exclu ici puisque ce nouveau vaccin inclut 3 antigènes au lieu d'un seul mais donc aussi l'antigène qui a déjà été associé à de nombreuses maladies auto-immunes!

 

En Israël, on recommande le Sci-B-Vac aux non répondeurs au vaccin hépatite B traditionnel. On croit vraiment rêver: le corps a dit immunologiquement non à "l'information (antigène) vaccinal hépatite B" mais "la Science" ne l'entend pas de cette oreille et entend lui forcer la main. On imagine alors les risques graves possibles.... Mais il faut dire que les législations qui imposent le vaccin anti-hépatite B aux travailleurs ont déjà l'outrecuidance d'étendre l'obligation vaccinale à un nombre de 6 injections, imposant à un travailleur qui aurait déjà subi en vain 3 injections vaccinales mais qui n'aurait pas ou trop peu développé d'anticorps, d'en resubir encore 3 autres avec tous les risques qui vont de pair, avant de lui foutre administrativement la paix. A ce sale petit jeu, on comprend qu'on protège avant tout le business du pharma plutôt que le santé des travailleurs. Qui serait, dans ces conditions, encore vraiment assez naïf pour croire le contraire?

 

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Ce "merveilleux" vaccin "un des plus efficaces au monde" (sic!) n'est pas utilisé qu'en Israël, mais aussi à Hong Kong, aux Philippines, en Inde, au Vietnam, et en Afrique Centrale. Les dirigeants de Sci Gen rêvent déjà de voir le monde entier vacciné avec leur produit de rêve.

 

A l'heure où on écrit ces lignes, des millions d'enfants et d'adultes ont déjà dû recevoir ce vaccin sans jamais savoir qu'il a été déclaré sûr sur base d'essais cliniques n'impliquant que 5000 personnes ce qui est un nombre de sujets véritablement dérisoire et ne permettant absolument pas de détecter les effets très graves mais plus rares. Une fois encore, on a là une expérimentation grandeur nature qui est contraire au Code de Nuremberg et qui fut initiée avec ce vaccin-là, ironie du sort, en Israël... comme quoi, les hommes retiennent si peu de chose de l'Histoire!  

 

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6 mai 2013 1 06 /05 /mai /2013 20:00

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Incroyable mais vrai: alors que l'association française ALIS avait réussi, au bout d'un combat judiciaire long de huit années, à obtenir pour les égoutiers de la ville de Paris la liberté de se faire vacciner (ou non) contre la leptospirose, on pouvait lire avec déception il y a quelques jours sur le site de différents médias français, ce qui nous apparaît comme une véritable manipulation syndicale et médiatique de cette affaire.

 

Pour bien comprendre le caractère tout à fait surréaliste de cette histoire, il est utile de rappeler certains faits:

 

a) La leptospirose est une maladie qui est transmise par l'urine des rongeurs. Elle n'est généralement pas transmissible d'homme à homme.

 

b) La vaccination contre la leptospirose était obligatoire pour les égoutiers de Paris, mais pas pour les égoutiers des autres régions de France!

 

c) Selon le bulletin épidémiologique hebdomadaire, la vaccination contre la leptospirose n'a un effet préventif que sur un seul type de leptospire, qui n'est impliqué que dans 30% des cas de leptospirose qui surviennent en France.

 

d) Suite à la décision du Tribunal Administratif de Paris de suspendre cette obligation, la Mairie de Paris avait annoncé qu'elle maintiendrait la gratuité de cette vaccination pour ceux qui souhaitaient continuer à y recourir.

 

Malgré ces faits pourtant on ne peut plus irréfutables, que pouvait-on lire sur le site de médias comme l'Humanité, le Figaro ou France 3 ?

 

Voyons plutôt ci-dessous quelques extraits de ce que ces médias ont osé publier pour mieux se rendre compte:

 

"Les égoutiers de la ville de Paris, à la merci de la leptospirose" ;

 

"C'est un scandale", "Une mise à mort"; "on rend les agents plus vulnérables";

  

«Une fois de plus, on émiette le statut des agents, on les rend plus vulnérables, alors que les égoutiers ont déjà une espérance de vie réduite. Supprimer la vaccination obligatoire équivaut à l’écourter davantage.», s’emporte Frédéric Aubrisse, membre du bureau de la CGT Égouts de Paris et élu au CHSCT (comité d’hygiène, de sécurité et des conditions de travail), tout en dénonçant le lobbying d’Alis. À l’origine de la plainte en justice, l’Association Liberté Information Santé milite contre les obligations vaccinales. Sollicitée par l’Humanité, elle n’a pas répondu.

 

Pour Claude Danglot, médecin biologiste et syndicaliste CGT, cette décision est «dramatique»: «Depuis que la vaccination est obligatoire, on n’a jamais eu de cas de leptospirose chez les égoutiers parisiens, contrairement à d’autres égoutiers en France, qui n’étaient pas vaccinés. En tant qu’expert, je le répète, ce n’est pas une bonne idée sur le plan sanitaire

 

Inciter les agents à se vacciner, c’est bien, mais la CGT espère obtenir davantage. Hier, lors d’une réunion avec la direction des Égouts de Paris, le syndicat a obtenu que celle-ci saisisse les ministères de la Santé et du Travail pour que le vaccin anti-leptospirose devienne obligatoire pour tous les égoutiers. «Le syndicat va faire la même démarche», indique Frédéric Aubrisse. Le syndicat a également obtenu la réunion, début juin, d’un CHSCT spécifique sur cette question. Et espère le report à fin juin du prochain Conseil supérieur des administrations parisiennes (Csap), initialement prévu le 26 avril, qui doit modifier les textes sur la vaccination obligatoire. «S’il y a report de cette réunion, on lève le mouvement de grève prévu vendredi. Mais tout dépend de l’exécutif», prévient le syndicaliste." (L'Humanité)

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« Les égoutiers restent inquiets de cette décision qui implique des risques pour leur santé. Pour le syndicat CGT ce vaccin sauve la vie de nombreux égoutiers. Ne plus le rendre obligatoire conduirait certains salariés à ne plus se faire vacciner. Or pour les égoutiers, le risque d’attraper la maladie du rat est important. « En supprimant ce vaccin, la mairie met en danger les quelque 450 personnes qui descendent dans les égouts ».

 

« Une espérance de vie inférieure à 17 ans par rapport à celle de la population générale et de 7 ans plus courte que celle des ouvriers, c'est ce que révèle une étude sur la santé des égoutiers de l'Inserm publiée en mai 2012. » (France 3)

 

Ce 6 mai, on pouvait lire sur le site Miroirsocial.com :

  

Maladie du rat : la polémique sur la vaccination des égoutiers parisiens remonte jusqu’à l’Élysée

 

« Ce n’était sûrement pas prévu au programme mais la proposition de la Mairie de Paris de supprimer la vaccination obligatoire des égoutiers municipaux contre la leptospirose, également appelée maladie du rat, pourrait avoir pour conséquence de rendre obligatoire ladite vaccination à tous les égoutiers de France et de Navarre. »

Le coup de grâce est finalement venu de l’Élysée puisque l’affaire est remontée jusqu’au conseiller social de la présidence, Michel Yahiel. Il est vrai que ce dernier est un fin connaisseur des arcanes parisiens car il n’est autre que l’ancien DRH de la Mairie de Paris en poste sous la première mandature de Bertrand Delanoë. Résultat: les ministères concernés (Travail et Santé notamment) ont été saisis. Cela pourrait aboutir à une loi rendant obligatoire la vaccination contre la leptospirose à l’ensemble des égoutiers travaillant sur le territoire. »

 

Ces aberrations médiatiques (on  ne les compte plus!) soulèvent quelques questions incontournables:

  

* En quoi les égoutiers doivent-ils être inquiets de se voir octroyer un droit supplémentaire, qu'ils peuvent exercer dans le sens qu'ils veulent, sur base d'une information suffisante?

  

* Les égoutiers, vaccinés ou non, ne restent-ils pas quand même à la merci de la leptospirose puisque le vaccin n'est en mesure de prévenir que 30% des infections? N'est-il donc pas absurde d'attribuer l'absence de cas de leptospirose chez les égoutiers de Paris à la seule vaccination étant donné que les autres cas survenus ailleurs pouvaient très bien avoir été provoqués par des souches sur lesquelles le vaccin était de toute façon sans action?

 

* En quoi la levée de l'obligation est-elle un scandale ou une mise à mort puisque le vaccin reste gratuitement accessible à ceux qui le veulent?

  

* N'est-ce pas là une insulte à l'intelligence et au libre-arbitre des travailleurs que de penser qu'ils ne sont pas suffisamment intelligents de décider pour eux-mêmes? Les travailleurs ont-ils psychologiquement besoin de savoir qu'une vaccination est obligatoire? Ou bien est-ce plus "rassurant" en cas d'effets secondaires car les effets secondaires de vaccins obligatoires sont censés être couverts par l'Etat, contrairement à ceux des vaccinations non obligatoires...

  

* La vaccination, en ce qu'elle n'est efficace qu'à 30%, ne contribue-t-elle pas à mettre les hommes en danger, leur faisant ainsi croire à tort à une protection totale et risquant ainsi de les faire négliger d'autres mesures de prévention?

  

* Qui peut affirmer que si la vie des égoutiers est réduite de 17 ans par rapports aux non égoutiers (ce qui constitue une différence énorme!), ce n'est pas justement à cause de cette vaccination contre la leptospirose car il se trouve qu'elle est répétée tous les deux ans et qu'elle contient du thiomersal, ce dangereux composé mercuriel qui a précipité le décès de plusieurs malades chez lesquels son fabricant, Eli Lilly, l'avait expérimenté dès 1930?!

  

* Les syndicalistes, fussent-ils médecins, sont-ils vraiment si experts que cela?  Que cache ce positionnement syndical extrême, allant jusqu'à encourager une grève pour exiger le retour d'une obligation vaccinale? N'est-ce pas aussi parce que ce même syndicat pourrait s'inquiéter du sort des travailleurs du secteur pharma dans un contexte où les ventes de vaccins ont baissé de 12% en 2012 et où l'image de la vaccination a de moins en moins la cote?

  

* Pourquoi les médias ne font-ils jamais le travail d'investigation nécessaire, ce qui aurait par exemple permis de révéler qu' à Cuba, les officiels ont utilisé à large échelle avec succès, le nosode homéopathique de la leptospirose pour arriver à contrôler les épidémies et même, à faire tomber l'incidence de la maladie en-dessous du seuil historique moyen?

  

* Pourquoi l'ignorance, la mauvaise foi et/ou l'idéologie, fussent-elles l'apanage d'une majorité, doivent-elles imposer à tous une vaccination au mercure toxique que rien ne vient rendre légitime, compte tenu de l'absence de transmission inter-humaine de cette maladie?

 

Dans le pays considéré comme « Pays des Droits de l’Homme », il est vraiment plus qu’affligeant que les médias osent publier de telles inepties, tellement contraires à la dignité humaine et au bon sens, et consistant finalement à transformer l’octroi de libertés supplémentaires en quelque chose de « dramatique » ou même, en « une mise à mort » !!!

 

Une fois encore, on reconnaît là, la manipulation éhontée dont les mass médias ne se lassent visiblement pas (contrairement à leur lectorat qui se réduit de plus en plus). Ainsi, l’Humanité s’est visiblement empressée de publier son article partial avant même d’avoir recueilli la réaction d’ALIS, de façon à pouvoir noircir « les absents » et tenter plus facilement de les assimiler à des gens peu responsables : «À l’origine de la plainte en justice, l’Association Liberté Information Santé milite contre les obligations vaccinales. Sollicitée par l’Humanité, elle n’a pas répondu.» Selon nos informations, il s’avère au contraire que la journaliste de l’Humanité n’a cherché à joindre ALIS que le 23 avril dernier et lorsque les représentants d’ALIS lui ont répondu, il était prétendument trop tard et l’article était alors publié le lendemain, inchangé.

 

Le journalisme a beaucoup perdu en qualité ces dernières années, les « journalistes » se bornant désormais à rabâcher les dires des officiels sans jamais la moindre vérification, tout en ne donnant presque jamais une place suffisante aux voix dissidentes. Le lectorat des grands journaux, lui, a plutôt tendance à s’effilocher et c’est heureux !

 

Quant à l'état de nos libertés, il suit hélas la même courbe descendante que la qualité du journalisme! Etendre à tous une Xième obligation vaccinale, il faut espérer que cela réveillera les consciences et l'intelligence de certains... car la situation des égoutiers qui en arrivent finalement à réclamer leurs propres chaînes, fait immanquablement penser à l'allégorie de la caverne de Platon: effrayés par une liberté à laquelle ils ne sont pas habitués, ils préfèrent rester dans la caverne avec le faux confort de leurs chaînes (obligation vaccinale).

 

Mais Benjamin Franklin le disait déjà, et c'est sans conteste à méditer: "Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux."

 

 

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5 mai 2013 7 05 /05 /mai /2013 20:52

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Une équipe de chercheurs japonais est parvenue à modifier génétiquement un moustique pour qu'il diffuse un vaccin lorsqu'il pique une souris. Une expérience qui soulève de nombreuses questions pratiques et éthiques. 


L'idée aurait de quoi faire rêver : au lieu de véhiculer des maladies graves (paludisme, dengue, fièvre jaune), les moustiques, modifiés génétiquement par l'homme, transmettraient aux individus qu'ils piquent le vaccin contre cette même maladie. Et chaque nouvelle piqûre, loin de s'avérer dangereuse, viendrait renforcer la défense immunitaire de la personne «piquée». Une méthode «peu coûteuse et non douloureuse», résume le Dr Yoshida, qui a mené l'étude scientifique publiée dans la revue Insect Molecular Biology. 


Ce scientifique japonais de la Jichi medical university est parvenu à concrétiser dans son laboratoire une théorie caressée, selon lui, depuis une dizaine d'années par les chercheurs. Pour cela, il a introduit un gène chez un moustique pour qu'il produise dans sa salive la molécule SP15 permettant d'immuniser contre une maladie tropicale grave, la leishmaniose. Particulièrement virulente en Afrique du Nord, au Moyen-Orient et dans le Sahel, la leishmaniose, également présente à moindre échelle dans le sud de la France, concernerait 12 millions de personnes dans le monde et peut s'avérer mortelle ou causer de graves lésions cutanées. 


Les chercheurs ont ensuite mis ces moustiques génétiquement modifiés en contact avec des souris. Piquées à de nombreuses reprises par l'insecte qui se nourrissait de leur sang, celles-ci ont développé des anticorps contre la leishmaniose, sur le modèle d'un vaccin classique, qui, en introduisant à très faible dose l'agent infectieux dans le corps, lui apprend à organiser sa défense immunitaire. Le moustique, par le biais de sa salive, avait bel et bien joué son rôle de «vaccinateur volant». 


Dans le labo seulement 


«C'est une idée originale, remarque le Dr Jean Beytout, chef de service des maladies infectieuses au CHU de Clermont-Ferrand. Jusqu'à présent, on avait plutôt tenté de faire de la sélection génétique sur les moustiques vecteurs de maladie, afin de réduire leur nombre ou leur dangerosité». 


La prouesse de l'équipe japonaise reste néanmoins expérimentale et ne vise pas à être étendue à plus grande échelle. L'équipe du Dr Yoshida reconnaît elle-même plusieurs obstacles à cela. Non seulement il semble impossible de doser la molécule inoculée aux individus par les insectes, mais rien ne permet en outre d'assurer que le même insecte ne transmettrait pas, dans le même temps, une autre maladie, comme le paludisme ou la fièvre jaune. A cela s'ajoutent des considérations éthiques, puisqu'on se trouverait dans l'incapacité de s'assurer que la personne est d'accord pour se faire vacciner


«Au final, cette étude trouve surtout son intérêt dans les pistes qu'elle ouvre pour les recherches sur le paludisme, résume le Dr Beytout. Elle souligne en effet le rôle essentiel de la salive de moustique du moins, de certains de ses composants pour favoriser la pénétration de la molécule immunisante dans le sang».

  

 Sources: Le Figaro & Wikistrike

 

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2 mai 2013 4 02 /05 /mai /2013 19:53

1 - Rien que du porc immuno-castré dans l’assiette

 

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130502_00304672

 

Mise à jour : jeudi 02 mai 2013 06h00

 

porcs.jpg

 

La castration chirurgicale des porcelets interdite en 2018? Un pas a été franchi et certains s’inquiètent de l’alternative : la castration par vaccin.

 

Le porc castré chimiquement est présenté comme la panacée. Pas pour tous.

 

Les défenseurs de la cause du bien-être animal présentent la chose comme une victoire, tandis que les adeptes du principe de précaution s’inquiètent des risques pour la santé humaine. Le consommateur, lui, risque de ne guère avoir le choix : en 2018 il ne trouvera peut-être plus à mettre dans son assiette que du porc castré par vaccination.

 

C’est en tout cas ce que craint une série d’associations agricoles – singulièrement celles engagées dans l’élevage de porcs. C’est-à-dire l’association wallonne des éleveurs de porcs (AWEP), la coopérative Coprosain, Porcs Qualité Ardenne et Filière porc du Pays de Herve mais aussi la fédération unie de groupements d’éleveurs et d’agriculteurs (FUGEA) qui dénoncent un protocole d’accord qui organise de fait pour 2018 l’interdiction de la castration chirurgicale des porcelets. Ouvrant ainsi une voie royale à l’immuno-castration (voir encadré).

 

Ce protocole d’accord «qui vise à bannir complètement la castration chirurgicale des verrats en 2018» vient d’être signé par plusieurs associations qui détiennent dans les faits la quasi-totalité des circuits de commercialisation de la viande porcine. Il s’agit de l’APFACA (aliments pour animaux), FEVIA (industrie alimentaire), FEBEV (abattoirs et ateliers de découpe), FENAVIAN (transformation de viande) et COMEOS (grande distribution) qui « considèrent que l’élevage des verrats castrés d’une façon non-chirurgicale est économiquement acceptable», s’engagent à encourager «activement l’élevage des verrats castrés d’une façon non-chirurgicale» et «banniront la castration chirurgicale en 2018».

 

Pour les cinq associations qui protestent contre cette décision (qui pourrait ouvrir la voie à une loi interdisant la castration chirurgicale) outre le risque potentiel pour la santé humaine, une telle mesure ne profitera qu’à l’industrie pharmaceutique et coûtera cher aux éleveurs (donc aux consommateurs).

 

« Les deux injections du vaccin, c’est entre 3 et 4 € par tête, dit Patrick Siraux, président de l’AWEP. Si on nous l’impose, il faudra bien le faire. Mais on préférerait l’anesthésie ou les analgésiques, méthodes qui ne coûtent que quelques cents

 

À la FUGEA, on préconise une méthode plus naturelle encore. Celle du mâle entier. Non castré donc. «De récentes études montrent d’ailleurs que seulement 5 % de ces porcs ont une odeur à la cuisson», note Gwenaëlle Martin, conseillère en politiques agricoles. Précisant que ces viandes sont facilement détectables dès l’abattoir et peuvent alors être orientées vers les salaisons (l’odeur disparaît avec ces produits) et que des techniques d’élevage (alimentation, espace de vie,…) peuvent aussi réduire les risques d’odeur de verrat. Et sont, elles, sans équivoque sur de potentielles conséquences pour la santé humaine.

_________________________________________________

 

2 - Mesures de protection qui interpellent

 

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130502_00304670

 

Mise à jour : jeudi 02 mai 2013 06h00

 

Ce vaccin d’immuno-castration est-il sans danger pour l’homme ? Les autorités sanitaires européennes qui ont donné leur accord pour son utilisation et a fortiori Pfizer qui développe ce vaccin estiment que c’est le cas en ce qui concerne le fait de manger du porc qui a été castré de la sorte.

 

Les détracteurs de cette méthode estiment, eux, que le recul est insuffisant.

 

Même si le propos concerne les risques par injection (et non en mangeant le porc ainsi castré), les mises en garde du Centre belge d’information pharmocthérapeutique vétérinaire (CBIP Vet), qui «assure une information indépendante relative aux médicaments» ne rassureront pas les plus sceptiques.

 

Dans ses mises en garde, le CBIP Vet indique qu’une injection chez l’humain peut provoquer une diminution temporaire des hormones sexuelles et des fonctions reproductives, aussi bien chez les hommes que chez les femmes, ainsi que des effets indésirables sur la grossesse. «Le produit doit donc être administré avec la plus grande prudence […]. Le produit ne doit pas être manipulé ni administré par des femmes enceintes ou susceptibles de l’être. En cas de contact avec les yeux ou la peau ou en cas d’(auto-) injection, rincer immédiatement et abondamment à l’eau. En cas d’(auto-) injection, consulter un médecin. On conseille aux personnes ayant été victimes d’une (auto-) injection de ne plus manipuler ce produit ou des produits similaires dans le futur.»

 

A.W.

____________________________________________

 

3 - « Les éleveurs ne mangent plus que les femelles »

 

http://www.lavenir.net/article/detail.aspx?articleid=DMF20130502_00304869

 

Mise à jour : jeudi 02 mai 2013 06h00

 

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La castration chimique : pas sans risque pour la santé de l’animal. Et quid de la viande produite ?

 

Reporters/Mainstream_data

 

Patrick Siraux le dit sans détour : «Les éleveurs qui pratiquent la castration par vaccin, quand ils tuent un porc pour leur consommation personnelle, ils choisissent toujours une femelle

 

Farouchement opposé à l’immuno-castration, le président de l’AWEP (association wallonne des éleveurs de porcs) estime que le recul est insuffisant pour juger des effets sur l’homme. Sans compter les risques que prennent les éleveurs lorsqu’ils doivent faire les injections aux cochons. « Je connais même des vétérinaires qui refusent de le faire car ils craignent pour leur santé en manipulant le produit. » (voir aussi ci-contre).

 

Et en matière de bien-être animal est-ce mieux?, interroge Patrick Siraux qui est aussi éleveur. «Castrer un porcelet de 10 jours ou faire une injection à des porcs de 30 kg, puis de 80 ou 90 kg lors du rappel, ce n’est pas sans risque. Ils sont plus stressés, ils se débattent et les risques de blessures comme des fractures sont grands

 

Patrick Siraux admet évidemment que la castration chirurgicale n’est pas sans douleur non plus pour l’animal. Mais l’utilisation d’un gaz pour l’étourdir (technique utilisée aux Pays-Bas), l’anesthésie locale ou l’utilisation d’analgésiques sont des alternatives efficaces.

 

A.W.

 

Non seulement les gens sont victimes de l’empoisonnement vaccinal tout au long de leur vie, mais en plus, ils seront aussi désormais empoisonnés avec la « viande vaccinée » qui leur sera imposée ! Initiative Citoyenne tient ici à dénoncer ce nouveau diktat qui risque d’être imposé aux consommateurs sans leur avis… payer plus cher une viande de porc qui sera plus toxique, est-ce là un bon calcul ?

 

Wikipedia indique également au sujet de ce vaccin de Pfizer, l'Improvac, que « Malgré un lobbying très actif, ce vaccin ne fait pas l'unanimité. Ainsi en Grande Bretagne, l'Assured Food Standards (AFS) Agency a jusqu'ici refusé l'utilisation de ce vaccin et certains éleveurs demandent plus d'assurances quant à la totale innocuité du vaccin pour les consommateurs. En France, l’inter-profession se pose la question de l'acceptabilité d'un tel procédé pour les consommateurs, étant donné le risque de confusion dans l'opinion publique entre cette vaccination et un traitement hormonal (avec en arrière-plan la mémoire collective des scandales du "poulet aux hormones"). Elle évoque aussi le risque d'auto-injection pour l'opérateur. La Commission européenne a délivré une autorisation de mise sur le marché valable dans toute l’Union européenne pour Improvac à Pfizer Limited, le 11 mai 2009. L'Improvac contient un conservateur mercuriel, le thiomersal. »

 

Par ailleurs, Initiative Citoyenne déplore cette sorte de fatalisme chez les éleveurs qui décrètent déjà d’emblée que « si on leur impose, ils devront bien le faire » !

 

NON, il faut rompre avec cette mentalité de perdant en tablant toujours sur notre impuissance. Il faut se relever et OSER reprendre le pouvoir de citoyens qui est le nôtre.  Si le consommateur refuse ou boycotte, c’est LUI qui gagne toujours à la fin, il ne faudrait toutefois pas l’oublier! Que ceux qui consomment de la viande porcine se joignent à ces éleveurs et à ces associations protestataires, qu’ils fassent entendre leur désaccord aux médias et au monde politique (en dessous de tout) !

 

Voir AUSSI la contribution d'Initiative Citoyenne sur le sujet dans La Lettre Paysanne de Juin 2013 (en page 20)

 

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27 avril 2013 6 27 /04 /avril /2013 18:51

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Comment qualifier autrement que "criminelle" la scandaleuse témérité dont font aujourd'hui preuve les ayatollahs de la vaccination, à l'encontre des malades chroniques qui comptent pourtant parmi les plus fragiles en matière de risques vaccinaux?

 

En fait, nous nous trouvons dans un contexte de pression vaccinale sans précédent où, d'un côté tous les contestataires sont de facto assimilés à des "membres de sectes" ou à des farfelus et où, d'un autre, on ne cesse de raboter les contre-indications aux vaccins qui se trouvent ainsi réduites à peau de chagrin. Dans les deux cas, il n'est guère difficile de voir que ces façons de procéder ne profitent qu'à Big Pharma, et jamais aux patients!

 

Le 10 décembre 2012 dernier, la revue Vax Info sponsorisée à 100% par GSK, relayait l'avis du Conseil Supérieur de la Santé sur la vaccination des personnes immunodéficientes et des malades chroniques.

 

L'avis du Conseil Supérieur est une fois encore éminemment contradictoire puisqu'il a pour mission impossible de servir les intérêts des pharmas d'une main et de faire croire de l'autre qu'il répond à une mission de santé publique. Ainsi, le document du Conseil Supérieur de la Santé arrive de façon tout à fait incohérente à refléter la complexité de l'analyse à effectuer pour chaque patient, avec demande d'un avis pluridisciplinaire dans l'intérêt du patient et d'un autre, il affirme qu'il n'existe aucune contre-indication à l'administration en routine des vaccins de base, ni même aucune contre-indication aux vaccins du voyage à base de virus vivants (à quelques exceptions près pour ces derniers)!

 

Vax Info, se basant alors sur l'avis du Conseil Supérieur de la "Santé" poursuit avec "les règles de sécurité auxquelles il faut être attentif"... En vérité, il n'y en a aucune vu qu'aucune contre-indication formelle ou presque ne semble être dégagée, comme on on peut lire ici:

 

« Les vaccinations en soi ne sont responsables ni d’une déstabilisation ou d’une exacerbation de la maladie (auto)immune inflammatoire, ni de son apparition. Bien qu’il existe quelques études de cas mal documentées, un lien de cause à effet n’est généralement pas prouvé. Si cela s’avère possible, il est préférable d’attendre que la maladie ait atteint un stade plus stable ou plus calme mais vous pouvez, si nécessaire (après concertation avec le spécialiste en charge du patient et après évaluation individuelle), procéder à la vaccination durant une période d’activité modérée ou grave de la maladie. »

 

Dans le document du Conseil Supérieur de la Santé, on lit aussi qu'on peut réadministrer des vaccins 3 mois après des chimiothérapies oncologiques... on doit se pincer pour y croire quand on sait que les vaccins contiennent plusieurs composants notoirement cancérigènes et que JAMAIS leur pouvoir cancérogène n'est pourtant évalué!

 

La vérité, puisqu'on se refuse à évaluer les vaccins et leurs effets secondaires de façon réellement scientifique, c'est que les experts conseillent SANS SAVOIR et ils ne seront hélas jamais sanctionnés pour pareille témérité inexcusable. On dirait que pour ces gens le principe de précaution est un gros mot, presque un cauchemar! Mais il faut dire qu'un nombre non négligeable de ces experts du Conseil Supérieur de la Santé sont en conflits d'intérêts avec les fabricants. Dès lors, il leur est impossible de pouvoir prendre le recul nécessaire et ce d'autant plus, que dans un monde où le nombre de malades chroniques explose et où le nombre de candidats vaccins s'accroît, reconnaître davantage de contre-indications vaccinales revient à limiter les marges bénéficiaires de ces Pharmas auxquelles ces "experts" sont liés! 

  

Prétendre que "Les vaccinations en soi ne sont responsables ni d’une déstabilisation ou d’une exacerbation de la maladie (auto)immune inflammatoire, ni de son apparition. Bien qu’il existe quelques études de cas mal documentées, un lien de cause à effet n’est généralement pas prouvé.", c'est littéralement se foutre du monde! En effet, il existe de nombreuses publications scientifiques faisant état de maladies auto-immunes nouvellement apparues après les vaccins (ex: sclérose en plaques, lupus, polyarthrite, thyroïdite, etc. après vaccin HB ou d'autres) Bien entendu, pour les vaccinalistes, la chose est aisée, il s'agit pour eux toujours de coïncidences et de rien d'autre et tant qu'à leurs yeux rien n'est jamais prouvé (mais rien ne le sera jamais puisque c'est Big Pharma qui finance la majorité des études), on continue à vacciner tout ce qui bouge!

 

Les malades sont "intéressants" pour Big Pharma, dans la mesure où ils lui rapportent des sous. Si tous les malades chroniques se mettaient à juste titre à investiguer le rôle des vaccins qu'ils ont reçu dans la genèse de leur(s) maladie(s) chronique(s), il y aurait d'énormes chutes des ventes de vaccins à l'échelle mondiale. Ce marché des patients fragiles est donc à préserver par le biais de recommandations d'experts-leaders d'opinion qui auront ainsi une influence considérable sur les médecins traitants de tous ces malades chroniques et en qui ils ont confiance. Une démarche intéressante et qui n'est pourtant hélas jamais préconisée dans les faits, c'est de se faire prescrire une prise de sang très exhaustive AVANT toute vaccination ou revaccination incluant bien sûr tous les paramètres de base mais aussi divers dosages de minéraux ou de vitamines importantes. Puis, on refait idéalement une nouvelle prise de sang après la vaccination (à fortiori si on ressent le moindre effet secondaire) et on compare. Il va sans dire que si toutes les personnes, y compris les bébés, se soumettaient à ces analyses, on aurait d'énormes surprises et beaucoup d'explications intéressantes sur les mécanismes pathologiques induits par les vaccins mais qui ne sont même jamais étudiés dans le cadre des essais cliniques avant mise sur le marché. Ainsi, on ne sait par exemple pas du tout l'impact des vaccinations sur le taux de Co-enzyme Q10 ou le taux de zinc. Est-ce à dire qu'elles n'ont pas d'impact sur des paramètres comme ceux-là? Non bien sûr, mais les officiels font comme si! Quand on sait toutefois que zinc est impliqué dans 300 réactions enzymatiques du corps, qu'il a un rôle-clé dans le système immunitaire et l'activation de la fameuse protéine P53 (protéine anti-cancer majeure du corps, déficiente chez les cancéreux!); quand on sait que la Co-enzyme Q10 a un rôle majeur dans le vieillissement prématuré et aussi dans le métabolisme cardiaque, on se rend compte du DRAME que constituent les essais cliniques bâclés des vaccins qui n'évalueront jamais tous ces paramètres dont la perturbation post-vaccinale pourrait contribuer à des millions de maladies évitables dans notre monde actuel, de plus en plus inondé de vaccins!

 

Après avoir recommandé la vaccination des malades chroniques et des patients cancéreux, il était clair que les experts n'auraient pas plus d'égards pour la vulnérabilité évidente aux vaccins des femmes enceintes et des enfants à peine nés. C'est ainsi que des documents du Centre Belge d'Information Pharmacothérapeutique (CBIP) de février dernier, révèlent les intentions de nos bons experts à l'égard de ces catégories sensibles....

 

Ils envisagent la vaccination des femmes enceintes contre la coqueluche (sic!), dont ils arrivent à considérer qu'elle est sûre même si les données sont rares!! Mais il est vrai que c'est justement parce que ces données sont rares qu'ils souhaitent sûrement que plus de personnes acceptent de jouer les cobayes sans le savoir! De même, ils envisagent aussi la vaccination des nourrissons contre la coqueluche dès la naissance. Tout ça parce qu'ils ne veulent surtout pas admettre les échecs du vaccin et qu'ils faut entretenir les marchés des pharmas!

 

Folia-Pharmaceutica-fevrier-2013--coqueluche-.jpg

 

Un médecin révolté par ces intentions scandaleuses nous informe également du fait que L'Association Pharmaceutique Belge (APB) est représentée au sein du Comité de Rédaction du CBIP. Tout finit toujours par s'expliquer quand on veut bien se donner la peine de chercher les vraies réponses à ses vraies questions!

 

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17 avril 2013 3 17 /04 /avril /2013 11:12

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Que les choses soient claires: chacun ne peut que se réjouir de la recherche et de l'obtention de traitements plus efficaces contre la leucémie infantile. Ce n'est donc pas ce volet-là du Télévie* qui nous interpelle ici. En revanche, nous nous interrogeons sur un autre volet, sans doute moins connu des généreux donateurs de cette grande action caritative annuelle...

 

Voici ce qu'a déclaré en février 2005 dans la revue de l'ULB Esprit Libre, le Pr Michel Goldman, ancien directeur de l'Institut d'Immunologie Médicale (IMI)**, situé dans le complexe industriel de Gosselies et né d'un partenariat entre GSK, la région wallonne et l'Université Libre de Bruxelles:

  

"Par ailleurs, nous sommes partenaires d'un second projet qui vise à accélérer la maturation du système immunitaire chez le jeune enfant. Celui-ci est basé sur la découverte à l'IMI des bases moléculaires de l'immaturité immunologique du nouveau-né humain. L'activation de certains gènes dans les cellules dendritiques (les cellules qui déclenchent les réponses immunes) ne se développe que progressivement au cours des premiers mois de la vie. Ce phénomène explique probablement la susceptibilité du nouveau-né aux infections, ses réponses vaccinales insuffisantes, et sans doute aussi le déclenchement de certaines formes d'allergie. La caractérisation d'agents pharmacologiques susceptibles d'accélérer la maturation du système immunitaire représente une des priorités de l'IMI dans le cadre de ses projets de collaboration en Europe et en Afrique."

 

Dans la même revue, le Pr Goldman a aussi précisé:



« Il faut souligner que l'IMI n'aurait pu voir le jour sans l'important soutien que nous accorde le Fonds national de la recherche scientifique (FNRS), à travers des mandats de chercheurs, des conventions de recherche et le Télévie.» (NB: FNRS= Fonds National de la Recherche Scientifique; c'est l'équivalent belge du CNRS)



Ces déclarations sont extrêmement interpellantes parce qu'elles semblent signifier que l'argent de généreux donateurs qui pensent ainsi tous aider à lutter contre la leucémie, sert apparemment aussi à des projets nettement moins nobles qui consistent à considérer le système immunitaire humain tellement mal fait et imparfait qu'il faille bricoler son fonctionnement avec des agents chimiques, une démarche sinistre qui n'est d'ailleurs pas sans rappeler l'initiative d'autres apprentis-sorciers s'attelant à la mise au point d'un nouvel adjuvant vaccinal redoutable ciblant le système immunitaire particulier des nouveau-nés. Il est tout de même extrêmement important de rappeler qu'il a fallu des dizaines de milliers d'années pour aboutir au système immunitaire complexe et efficace qui est le nôtre et que ce système immunitaire n'est pas pleinement mature avant l'âge de 6 à 7 ans.



Dès lors, il nous semble en tout cas très peu probable que ce genre de projets, consistant à recourir à des agents pharmacologiques, c'est à dire à des produits chimiques artificiels, plus que probablement pour pouvoir vacciner plus tôt dans la vie et caser ainsi davantage de nouveaux vaccins de Big Pharma au sein d'un calendrier vaccinal déjà hyperchargé, aide à éviter ou à prévenir la moindre leucémie. Bien au contraire, il est davantage probable que cela contribuera à en créer davantage. Quel sens a ainsi le don au Télévie si le donateur n'a pas la garantie que son argent ne financera pas d'une main un projet dont les résultats pourraient ainsi très bien contribuer à générer plus de maladies que d'autres projets financés par le Télévie serviront d'autre part à combattre? Et surtout, qui va le plus profiter de ce genre de sombre projet si ce n'est Big Pharma qui est un des fondateurs de l'Institut d'Immunologie Médicale? Peut-on imaginer une seule seconde que Big Pharma se soit associée à cet Institut de façon totalement désintéressée? Et le fait de trafiquer le système immunitaire des nourrissons, voire celui des foetus in utero (?) pourrait bien lui rapporter gros en termes de ventes de nouveaux vaccins prétendument "révolutionnaires"!



S'il faut croire ensemble au Télévie, cela ne doit pas dispenser, nous semble-t-il, les généreux donateurs de s'interroger sur le SENS qu'ils veulent donner à leur don et à la responsabilité qu'ils pourraient avoir dans la poursuite de ce genre de projets éminemment contestables tant sur le plan scientifique, éthique que démocratique et dont les conséquences gravissimes sur des millions de nouveau-nés pourraient un jour devenir totalement incontrôlables.



* Le Télévie est une opération belge de solidarité qui ressemble, dans sa méthode, au Téléthon français, sauf que le Télévie se focalise surtout sur la leucémie infantile, ainsi que quelques autres cancers. Wikipedia indique au sujet du Télévie: "Le Télévie, organisé par la chaîne de télévision privée belge francophone RTL-TVI depuis 1989, est une émission caritative qui se bat contre la leucémie, et plus généralement contre toutes les formes de cancer."



** L'IMI se définit sur son site internet comme "un Institut de recherche de la faculté de Médecine de l'Université Libre de Bruxelles (ULB). Il a été créé en 2004 par Michel Goldman sur base d'un partenariat avec le secteur industriel (GSK Biologicals= GSK Vaccins) et la région wallonne. Ce "partenariat public-privé" a engendré suffisamment de fonds pour permettre la relocalisation de l'ancien "Laboratoire d'Immunologie Expérimentale"(anciennement situé sur le campus universitaire de l'hôpital Erasme, à Bruxelles) dans les nouveaux locaux situés dans le Bioparc de Gosselies (Charleroi)."



Les soutiens de l'IMI se trouvent ci-dessous (capture d'écran): 

IMI-soutiens--sponsors.JPG



Et voici ci-dessous des captures d'écran de la page du site de l'ULB donnant accès aux déclarations du Pr Michel Goldman dans la revue de l'ULB Esprit Libre n°28 de février 2005:

 

Esprit-Libre--1-.JPG

Esprit-Libre--2-.JPG

 

Maintenant que vous avez lu cet article, n'oubliez pas de répondre à ce petit sondage...

 

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