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15 décembre 2013 7 15 /12 /décembre /2013 12:30

Comme "on n'arrête pas le progrès", surtout en matière de propagande et de désinformation dans nos sociétés dites "démocratiques", nous en profitons pour vous faire part ici de prétendus "progrès" ou "avancées" dans le domaine de cette fausse science qu'on nomme "vaccinologie":

 

Le laser à la rescousse du vaccin contre la grippe

  

Ecrit par Frédéric Laroche. Jeudi 12 décembre 2013

 

laser

Une récente étude de l'Hôpital Général du Massachusetts présente une solution qui promet de rendre plus efficace le vaccin contre la grippe qui comme on le sait, ne s'avère pas toujours aussi performant pour chaque personne. Les scientifiques ont remarqué qu'un prétraitement avec un laser pointé à l'endroit où sera administré le vaccin pourrait permettre d'augmenter de beaucoup l'efficacité tout en réduisant les effets secondaires du vaccin. Les tests auprès de souris en laboratoire ont été très positifs selon l'équipe du Massachusetts General Hospital qui a trouvé la bonne calibration du laser pour précéder l'injection. Déjà, on pense à la production d'un laser de petite taille pour les cabinets de médecins.

 

Source: game-focus.com

 

Autre perle...



Ajout du vaccin contre le zona au calendrier vaccinal des aînés (mais qu'on se rassure, il pourra être administré en même temps que les autres: grippe, pneumocoques etc..)

 

Recommandations du Haut Conseil de la santé publique sur le vaccin zostavax®

 

Le Haut Conseil de la santé publique, dans son avis du 25 octobre 2013 mis en ligne le 11 décembre 2013, définit les recommandations du vaccin Zostavax® en soulignant qu'aucune alternative préventive et thérapeutique n'est actuellement satisfaisante.

 

Compte tenu du fardeau de la maladie et d'une meilleure efficacité de vaccination chez les sujets plus jeunes, le choix est de vacciner dès 65 ans. En conséquence, le Haut Conseil de la santé publique recommande la vaccination contre le zona chez les adultes âgés de 65 à 74 ans révolus avec un schéma vaccinal à une dose. Durant la première année suivant l'inscription du vaccin au calendrier vaccinal, les personnes âgées de 75 à 79 ans révolus pourront être vaccinées dans le cadre d'un rattrapage.

 

Schéma vaccinal du vaccin Zostavax®

 

Le vaccin est administré par voie sous-cutanée en une dose, la nécessité d'une dose de rappel n'étant pas connue actuellement.

 

Il peut être administré de façon concomitante en des sites d'injection différents avec d'autres vaccins tels que le vaccin grippal et le vaccin pneumococcique polyosidique.

 

Source : mesvaccins.net

 

Voilà où veulent vous mener les « zonards de la vaccinologie » : Vous bourrer de vaccins, vous faire accepter des artifices grotesques en prétendant que cela diminue le risque d’effets secondaires alors que ces gens-là ne connaissent RIEN de RIEN aux effets des vaccins sur le système immunitaire (cf aveux du Dr J-F Saluzzo de chez Sanofi Pasteur et aussi consultant pour l’OMS) ni sur les autres systèmes du corps !

 

La vaccination contre la grippe ayant de moins en moins la cote, s’agit-il ici d’une nouvelle ficelle pour contrer cette perte de profits des firmes ?

 

Les sujets les plus sensibles au zona sont les sujets immunodéprimés qui ne pourront pas recevoir ce vaccin car il est à virus vivants et en outre, toute vaccination, y compris la vaccination antigrippale, contribue à induire un état d’immunodépression, c'est-à-dire de fragilité immunitaire au cours duquel un zona risque bien davantage de se produire. Ca c’est la triste réalité, il est donc utile de l’avoir toujours à l’esprit et de bien comprendre alors le sinistre non sens d’accepter les vaccins à la chaîne : grippe, zona etc.

 

Si on veut éviter la grippe, le zona et bien d’autres affections dont chacun a envie de se passer, la première logique, c’est de ne PAS aller affaiblir son système immunitaire, que ça soit avec des vaccins ou avec un mode de vie inadapté, des pollutions en tous genres de la vie courante etc. A cela, il est souvent très utile d’ajouter la nutrithérapie qui consiste à combler les carences en éléments essentiels de notre organisme qui sont ultra-fréquentes même chez les gens « mangeant équilibré ». Ces éléments-clés qui sont nécessaires à la bonne marche du système immunitaire ne peuvent jamais être remplacés par des vaccins remplis de produits chimiques hasardeux. On retrouve notamment parmi ces éléments essentiels que les vaccins ne pourront jamais remplacer : la vitamine D, la vitamine C, le zinc, etc etc..

 

 

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6 décembre 2013 5 06 /12 /décembre /2013 21:57

Un vaccin contre la tuberculose (le BCG), aux lourds effets secondaires, fabriqué avec de la bile de boeuf, pour soi-disant traiter la sclérose en plaques!! Un vaccin dont l'inefficacité était connue depuis les années 60' mais qui est cependant resté obligatoire pendant 57 ans en France (obligation instaurée en 1950 grâce à la collusion d'élus et des firmes pharmas et une levée de l'obligation en 2007!)

 

Un vaccin qui continue à être largement administré dans les pays pauvres alors qu'il n'est pas du tout un obstacle contre la maladie, comme l'OMS le sait depuis plusieurs décennies et comme cela ressort de son rapport technique n°651 de 1980.

 

GRAPHE-BCG-FRANCE-HOLLANDE.jpg

 

Graphe tiré du livre "Vaccinations, les vérités indésirables" de Michel Georget (éditions Dangles) montrant l'évolution de la mortalité tuberculeuse dans deux pays différents selon qu'ils ont ou non instauré une obligation vaccinale. On remarque pourtant que le taux de mortalité était comparable au sortir de la Seconde Guerre mondiale.

 

Mais voilà qu'on vient lui trouver un nouvel usage, une certaine façon de le "recycler" et de rattraper des profits perdus d'une main, de l'autre... le vaccin anti-hépatite B a largement contribué à faire passer les 20 à 30 000 cas de scléroses en plaques d'avant la grande campagne des années 90' aux plus de 80 000 cas que compte la France actuellement.

 

Voilà donc une façon de "limiter la casse" pour les pharmas avec un vaccin devenu moins rentable.

 

Lire ici sur l'expérience des chercheurs en faveur du BCG

 

Pour prévenir la sclérose en plaques (avant même de devoir en camoufler les premiers signes), il conviendrait d'oser analyser tout d'abord les antécédents vaccinaux des malades car il est hautement probable que l'incidence de la maladie soit nettement plus élevée chez les vaccinés que chez les non vaccinés d'une part et que cette incidence soit aussi d'autant plus élevée proportionnellement que les gens ont reçu beaucoup de vaccins. Mais il conviendrait aussi de repenser tout le rapport aux diverses pollutions qui affectent la vie humaine par de nombreux biais majeurs (alimentation, OGM, pesticides,  métaux lourds, des amalgames dentaires notamment, pollution électromagnétique), vérifier aussi le statut des populations en vitamine D, une vitamine dont quasi 100% des gens sont déficients alors qu'elle joue un rôle efficace en prévention des poussées de scléroses en plaques.

 

Mais tout cela, qui relève de la vraie prévention, et de la vraie santé publique, efficace, intègre et courageuse, cela ne va évidemment pas dans le sens du business des pharmas dont le développement économique, en dépit de leurs slogans hypocrites ("l'essentiel c'est la santé") se bâtit sur la maladie chronique et les rentes médicamenteuses à vie plutôt que sur la santé réelle qui implique une non consommation pharmaceutique.

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1 décembre 2013 7 01 /12 /décembre /2013 21:38

Un implant sous-cutané activé à distance pour optimiser l'efficacité des vaccins

 

Vendredi 29 novembre 2013 à 15:10 par Mathieu M.  

 

Source initiale de l’info : The Verge

 

Bien que prouvant chaque jour son utilité, la vaccination reste une procédure médicale inconfortable et qui présente des aléas, principalement du fait de la nécessité d'une piqûre de rappel. Pourtant, une nouvelle technique impliquant un implant biotechnologique pourrait rendre ce type de traitement plus efficace.

 

Certaines procédures de vaccination se révèlent bien plus complexes qu'une simple piqûre associée à une piqûre de rappel. À quelques jours près, le rappel peut être effectué trop tôt, ou trop tard, et le vaccin se rendre inefficace chez certains patients.

 

Une situation d'autant plus vraie pour certains traitements qui impliquent plusieurs injections sur plusieurs semaines ou moins, mais aussi particulièrement vraies pour les jeunes enfants qui subissent une batterie de vaccinations dans les premières années de leur vie.

 

Des chercheurs en biotechnologie d'Europe viennent ainsi de présenter un nouveau système qui pourrait éviter les allers et retours chez le médecin et d'optimiser les vaccinations en facilitant la procédure de traitement.

 

Dans ce nouveau traitement décrit dans Advance Functional Materials, les patients n'auraient qu'à avaler une pilule qui activerait la libération d'une dose de vaccin stocké en attente dans un implant en gel placé sous la peau. De ce fait, une personne nécessitant trois doses de vaccin séparées de 2 semaines pourrait elle-même avaler ses pilules à la maison plutôt que de prendre rendez-vous chez son médecin.

 

Décrit comme un "dépôt télécommandé de médicament", l'implant est constitué d'un hydrogel biocompatible qui reste intact dans le corps humain tant qu'un catalyseur ne vient pas l'activer pour le dissoudre. La pilule associée une fois avalée contiendrait une substance qui permettrait d'activer l'implant pour qu'il libère une dose de vaccin. En fonction de la concentration de la substance d'activation, il serait en théorie possible de rendre un implant utilisable plusieurs fois.

 

Malheureusement pour ceux qui ne raffolent pas des aiguilles et des piqûres, la pose de l'implant nécessite une injection, plus douloureuse même que l'injection d'un vaccin.

 

Actuellement, les scientifiques n'en sont qu'aux phases préliminaires du développement de leur procédure. Si le système s'est montré efficace avec un vaccin contre le Papillomavirus humain (HPV) et l'hépatite B sur des souris, il faudra plusieurs années de recherche pour affiner le processus d'activation de l'implant sur l'homme puisque actuellement, chaque implant est à usage unique et ne permet pas de couvrir un traitement de plusieurs injections.

 

http://onlinelibrary.wiley.com/doi/10.1002/adfm.201370218/abstract

 

Hydrogels: Remote-Controlled Hydrogel Depots for Time-Scheduled Vaccination (Adv. Funct. Mater. 43/2013)

Raphael J. Gübeli1, Désirée Hövermann2, Hanna Seitz3, Balder Rebmann2, Ronald G. Schoenmakers2, Martin Ehrbar4, Ghislaine Charpin-El Hamri5, Marie Daoud-El Baba5, Martin Werner6, Martin Müller3, Wilfried Weber2,*

Article first published online: 15 NOV 2013

DOI: 10.1002/adfm.201370218

 

Copyright © 2013 WILEY-VCH Verlag GmbH & Co. KGaA, Weinheim

Issue

 

Advanced Functional Materials

Volume 23, Issue 43, page 5337, November 20, 2013

Source de l’article en français: Generation-nt.com

 

Que faut-il en penser?

 

Cette dérive inquiétante qui fait fi du moindre bon sens et qui considère l'organisme comme un simple réceptacle à vaccins (donc comme un objet) est le témoin indubitable des efforts effrénés d'idéologues fébriles conscients de jeter leurs derniers efforts dans la bataille pour repousser mais non empêcher l'éclatement inévitable de la bulle vaccinale (comme toutes les bulles). Conscients que la vaccination rebute à juste titre de plus en plus et conscients aussi des plus de 300 projets de nouveaux vaccins que les pharmas ont dans leur pipeline et qu'ils vont donc chercher à caser progressivement dans un calendrier vaccinal officiel déjà surchargé, il va donc de plus en plus s'agir dans le futur de ce genre de subterfuges destinés à banaliser la vaccination, à la rendre soi-disant "plus simple", "moins contraignante" mais cela ne sera que plus trompeur car parallèlement, et compte tenu de la défiance croissante pourtant parfaitement justifiée envers les vaccins, il sera aussi de plus en plus question de miser sur des moyens de vacciner les gens malgré eux. C'est dans ce sens que sont développés des aliments-vaccins ou par exemple aussi des "moustiques de synthèse" capables de piquer les gens de façon "incognito" pour injecter et même prélever des cellules ou de l'ADN à leur insu. Avoir conscience de ces réalités aura donc une importance capitale autant médicale qu'éthique, politique et juridique pour les citoyens du monde. Depuis déjà bien longtemps, il est clair que le sujet des vaccinations est loin de se cantonner au seul domaine médico-scientifique pour s'étendre à celui des libertés fondamentales.

 

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5 novembre 2013 2 05 /11 /novembre /2013 21:56

Comment injecter 5 doses de vaccins (avec de multiples valences)

au cours d’une seule visite chez le médecin

 

Comment injecter 7 doses de vaccins (avec de multiples valences)

au cours d’une seule visite chez le médecin

 

 

Page extraite d’un manuel de santé à destination des médecins du Colorado

 

Bebe-Bras---jambres.JPG

 

 

Commentaire du Dr A.Wakefield, gastroentérologue:

 

« Cette manière de procéder n’a jamais, au grand jamais,

fait l’objet de quelque étude que ce soit. »

 

http://www.youtube.com/watch?v=C4LYvjSFuLA

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12 septembre 2013 4 12 /09 /septembre /2013 15:38

 

 

Cette vidéo est très rélévatrice de la médecine idéologique (et non plus scientifique) et robotisée qui est en train de niveler par le bas l'ensemble de la santé publique de tous les pays du monde. Le plus grave ici, c'est finalement le fait que la santé de générations entières est impactée sans que les principaux intéressés (c'est à dire les enfants qui subissent) aient véritablement leur mot à dire! Comme cela a déjà été rappelé dans un précédent témoignage, les bébés et les jeunes enfants n'ont tout simplement pas les mots et donc les outils pour dénoncer le drame qu'ils peuvent vivre dans leur chair (et malheureusement aussi, parfois pas tout de suite, pas immédiatement!). Tout ceci est donc une véritable aubaine pour les pharmas qui ont encore énormément de vaccins dans leur pipeline à écouler.
 
Avec les vaccins, il s'agit en permanence de manipuler les parents en jouant sur la peur de complications minoritaires de maladies hypothétiques en y substituant des vaccins mal évalués aux effets secondaires notoirement sous-estimés. Que les firmes pharmaceutiques s'adonnent à ce sinistre jeu est déjà grave en soi mais "logique". Mais que les autorités publiques cautionnent pareille fuite en avant, en n'hésitant par exemple pas à diffuser des PUBLICITES TROMPEUSES (et reconnues comme telles par le Jury d'Ethique Publicitaire par exemple) est scandaleux et révoltant.
 
Au niveau international, diverses instances comme l'UNICEF répondent par exemple à leurs donateurs déçus qui sont venus lire sur ce site , qu'ils n'entrent « pas dans le débat « pour ou contre la vaccination » et nous voulons simplement que chaque enfant ait accès aux soins de santé et puisse grandir en bonne santé. C’est leur droit le plus strict. ». Ainsi donc, il suffit d'évoquer la Convention relative aux Droits de l'Enfant pour arriver avec une facilité déconcertante à échapper à toute démonstration scientifique du bienfondé médical de la vaccination et faire des vaccins des "droits". Quel glissement, quelle façon de procéder!
 
Mais en attendant, les enfants, eux, continuent de trinquer. Et les parents de jouer aux complices bien malgré eux. Quelle tragédie!
 

Beaucoup trop de médecins marchent comme de bons petits soldats. Hélas, en coulisses, c'est souvent la sinistre politique du "Faites ce que je dis, pas ce que je fais!" qui prévaut comme le montre noir sur blanc le résultat d'enquêtes au sein de la profession, officielles mais dérangeantes au point de ne pas être publiées! Il faut dire que selon le rapport d'octobre 2012 de la Cour des Comptes française, les vaccinations  représentent au minimum 12, 6% des revenus des médecins généralistes et 33% des revenus des pédiatres mais ces chiffres-là ne comprennent que le prix des consultations pour l'administration des vaccins et n'incluent donc pas toutes les rentrées qui découlent des nombreuses consultations pour effets secondaires de ces mêmes vaccins. Dans le business vaccinal, il y a donc les vaccins ET LEURS SUITES (qui elles ne sont jamais calculées) alors que de l'aveu même de l'ONE et Provac, au moins 1 enfant sur 20 (5%) est obligé de consulter endéans les 48H pour effets secondaires après les vaccins (cf. p 43/54). Et ceci, c'est donc pour la seule période des 48H post-vaccination mais donc combien de consultations évitables pour effets secondaires ont-elles lieu dans la semaine, dans les deux semaines, dans le mois ou même l'année après chaque vaccin??

 
Les propos suivants du Dr Pilette sont une conclusion d'une rare justesse à l'obligation vaccinale qui, pour les enfants, concerne toujours 100% des vaccins étant donné qu'ils restent liés et contraints aux décisions le plus souvent non éclairées de leurs parents "qui font confiance à leur médecin":

 

"La vaccination, ce n'est pas un drame, ce sont d'innombrables drames. Des enfants gravement abîmés par un vaccin devront, jour après jour, leur vie durant, en supporter les conséquences. Bien souvent, à leur handicap physique, s'ajoutera la douleur morale de n'être ni compris, ni soutenu dans leur démarche de faire reconnaître ce vaccin comme la cause de leur drame. Omissions, mensonges ou tout simplement ignorance, se retrouvent dans les discours de certains défenseurs des vaccins, et tout cela est curieusement mélangé à des considérations philanthropiques. Pour ces défenseurs-là de la vaccination, l'obligation vaccinale est une nécessité. Etre obligé de subir une vaccination potentiellement dangereuse est inadmissible. Nous devons demander la suppression de l'obligation vaccinale. Nous devons exiger des pouvoirs publics la liberté de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Que chacun puisse, après s'être informé des avantages et des inconvénients de la vaccination, décider, en âme et conscience, de se faire vacciner ou de ne pas se faire vacciner. Appliquons le premier principe d'Hippocrate: "Primum non nocere"- "D'abord ne pas nuire".  (Dr Jean Pilette)

 

PS: Vous pourrez aussi remarquer, au niveau de la teneur des commentaires sous cette vidéo de Youtube, que la plupart des gens manquent l'essentiel, ils manquent toutes ces considérations les plus importantes sur les effets réels et parfois différés de tous ces cocktails vaccinaux qu'ils ne connaissent en réalité pas du tout; à la place, ils se focalisent sur le fait que la petite fille semble "courageuse", qu'elle ne pleure pas, etc. Derrière les apparences toutefois, et compte tenu de cette expérimentation à l'insu de la petite fille (première intéressée), il y a toutefois plus que jamais de quoi pleurer.

 

Voir aussi les deux articles suivants du blog Expovaccins :

 

Cinq tactiques psychologiques utilisées par les médecins pour vacciner vos enfants

 

Non à la survaccination des nourrissons… sachez compter les vaccins !

 

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3 septembre 2013 2 03 /09 /septembre /2013 18:55

2 septembre 2013, Christina England, Vactruth [Traduction]

 

Ces étranges nouvelles astuces pour vacciner votre enfant

 

gates-vactruth.JPGLa Fondation Bill & Melinda Gates finance différentes opérations vaccinales dans les pays du Tiers Monde.

 

Un récent rapport révèle que la Fondation Gates (qui a plus d’argent que de bon sens) a investi 100 000 $ dans le développement de petits bracelets roses et bleus en silicone destinés à rappeler aux mères qu’il est temps qu’elles fassent vacciner (ou revacciner) leur enfant.

 

Selon Change Generation, les enfants de 4 ans doivent avoir reçu 20 vaccinations pour être et rester en bonne santé. Chaque bracelet comporte une série de chiffres représentant les mois et les années, ainsi qu’une série de symboles représentant les diverses vaccinations requises.

 

Chaque fois qu’une mère visite une Clinique pour faire vacciner son enfant, l’infirmière « transperce » le petit symbole lié au vaccin correspondant et enregistre ainsi la dose reçue.

 

Change Generation a signalé que les infirmières locales sont continuellement en train d’arpenter les villages, pour essayer de localiser les mères des enfants qui échappent à leurs vaccinations. L’étudiant de l’Université de Cornell, Lauren Braun a estimé qu’une solution à ce problème était nécessaire et c’est pourquoi elle a spécifiquement conçu ces bracelets en silicone pour s’accommoder à ce genre de situation. Change Generation déclare :

 

« Si le projet pilote est un succès, Braun (qui fabrique les bracelets), va demander une subvention de 1 million de dollars répartie en deux phases. Cela lui permettrait de s’investir dans d’autres projets pilotes (elle est impatiente de l’essayer en Afrique) et de développer d’autres tailles de bracelets. La version actuelle ne comporte qu’une seule taille standard qui est trop petite pour des bébés plus âgés dont les poignets et les chevilles sont plus épais. »

 

Braun a déclaré aux journalistes qu’elle va prendre contact avec les entreprises pharmaceutiques pour envisager des partenariats public-privé, étant donné qu’elle croit que c’est de cette façon vraiment peu coûteuse que des résultats rapides à large échelle pourront être obtenus en matière de vaccination des enfants. [1]

 

Plus de trucs pour que les parents vaccinent

 

Des cartes de vœux dans votre boîte mail

Les mères du monde entier sont constamment bombardées de rappels et d’incitations à la vaccination. En avril dernier, j’avais déjà indiqué l’initiative vaccinale en vigueur dans 27 états des Etats-Unis, qui consiste à envoyer à chaque nouveau parent une carte de « félicitations pour la naissance de votre bébé ». [2]

 

Les gouverneurs de 27 Etats des Etats-Unis se sont liés à la firme éditrice de cartes de vœux Hallmark pour envoyer une carte à chaque nouveau parent après la naissance de leur enfant. Ces cartes incluent un message personnel du gouverneur de leur état, une courbe de croissance détachable et un calendrier de vaccination actualisé.

 

Examinons à présent quelques autres moyens par lesquels le gouvernement aide les entreprises pharmaceutiques à s’enrichir sur le dos de parents innocents.

 

En 2010-2011, un groupe de chercheurs américains a lancé une étude destinée à voir si les parents vaccinaient davantage leurs enfants lorsqu’ils sont sollicités par des rappels textuels de vaccination.

 

Un essai randomisé a été effectué au sein de quatre communautés pédiatriques de cliniques affiliées à l’Hôpital Presbytérien de New York ou au Centre Médical de l’Université de Columbia lors de la saison grippale 2010-2011. L’essai fut conçu pour évaluer s’il fallait ou non envoyer des messages textuels aux parents urbains à bas revenus pour les encourager à faire vacciner leurs enfants.

 

Les parents d’enfants et d’adolescents visés dans l’essai ont reçu une série de 5 rappels de vaccination antigrippale hebdomadaires automatiques, envoyés par sms sur leur gsm.

 

Les données publiées indiquent que le groupe test comme le groupe témoin ont été l’objet de l’attention habituelle : un rappel téléphonique automatique et l’accès aux flyers d’information disponibles dans les diverses cliniques fréquentées.

 

Les résultats mettent en lumière peu de différence entre les deux groupes. Cependant, parce que les taux de vaccination étaient 3,7% plus élevés chez ceux qui avaient continuellement reçu des messages textuels, le dispositif évoqué dans cette étude fut considérée comme un succès. [4]

 

Cependant, si cette façon de procéder fut considérée comme un succès, nous devons nous questionner sur la raison pour laquelle les gens recevant ces messages textuels ont aussi reçu en plus des rappels téléphoniques automatiques et les flyers promotionnels ? En quoi cela était-il aussi nécessaire ?

 

Des programmes de télévision destinés aux enfants

 

En 2009, le programme de télévision animé pour enfants Sid the Science Kid, destiné aux petits enfants, a diffusé un épisode spécialement destiné à encourager les enfants à se faire vacciner aux Etats-Unis. L’épisode, qui s’intitulait « Recevoir un vaccin : Tu peux y arriver ! », était particulièrement attrayant avec des personnages lumineux et colorés et des chansons attrayantes.

 

Pour ceux d’entre vous qui en sont parfaitement inconscients, Sid the Science Kid est un programme de télévision pour enfant conçu par ordinateur et destiné aux enfants de moins de 5 ans. Le personnage central est un petit garçon appelé Sid, qui essaie de découvrir pas à pas son environnement, en posant des questions et en utilisant les principes scientifiques de base.

 

L’épisode relatif à la vaccination commence avec Sid et ses amis qui expliquent à de jeunes enfants impressionnables et à leurs parents en train de visionner le programme, que recevoir une vaccination est réellement « une très bonne chose ». L’épisode tout entier fut conçu pour présenter les vaccinations comme une aventure excitante.

 

Sid commence par déclarer:

 

« Hey, les scientifiques, c’est moi, Sid. Ma grand-mère est une infirmière et donc, elle est en train de me vacciner moi et mes amis. Donc, moi et mes amis, on est en train de découvrir que quand on réfléchit  vraiment comme un scientifique, recevoir un vaccin est réellement une très bonne chose. »

 

La vaccination que Sid et ses amis reçoivent était la vaccination antigrippale et le programme tout entier était d’ailleurs à peine plus qu’un outil marketing destiné à présenter aux jeunes enfants la vaccination comme quelque chose de vraiment excitant. Considérant que cet épisode a été vu au moins 3 millions de fois sur YouTube, ce fut évidemment un large succès. [4]

 

Les Etats-Unis ne sont pas  le seul pays à avoir adapté le sujet des vaccinations à la télévision pour enfant. La chaîne britannique BBC a aussi couvert ce sujet récemment dans CBeebies. Anna Watson, du Réseau Arnica, a exprimé très clairement son opinion au sujet de l’épisode intitulé « Vacciner pour protéger » dans la revue The Economic Voice. Elle a dit :

 

Un homme en blouse blanche sourit et propose une injection à une marionnette représentant un enfant qui est seul. « La vaccination est un médicament parfait » dit-il à l’enfant, après avoir dansé et chanté avec une seringue. (Coupé par une infirmière racontant autre part aux enfants que s’ils sont vaccinés avec le vaccin ROR, ils n’attraperont pas la rougeole, les oreillons et la rubéole) « Est-ce que ça va faire mal, demande le garçon ? « Eh bien, ça se pourrait » répond le Dr Ranj. « Mais tu peux pleurer si tu veux. » Sans attendre pour un OK, le docteur pique le garçon qui déclare alors « Je ne suis pas sûr que je suis prêt pour l’injection. » mais le docteur a déclaré de façon émerveillée « Je l’ai déjà faite. » [5]

 

Malheureusement, je ne peux pas fournir aux lecteurs un lien vers cet épisode, étant donné qu’il s’agit d’un programme de la BBC inaccessible sur internet. Je peux cependant, fournir un lien qui prouve que ce programme existe. [6] Il y a aussi un exemple de ce délicieux programme sur le site internet de l’émission CBeebies, durant lequel ils chantent la chanson « Tu iras bientôt mieux. » pour accompagner des seringues qui dansent. [7]

 

Les trucs utilisés pour vendre les vaccins au public

 

Les publicités vaccinales peuvent être trouvées n’importe où de nos jours. Elles apparaissent dans les journaux, les magazines, à la télévision, dans les salles de cinéma et dans les transports publics. Voici ici plusieurs manières que j’ai découvertes et dont les compagnies pharmaceutiques et le gouvernement se servent pour promouvoir les vaccins auprès du public.

 

Publicités accompagnant les films

 

Imaginez que vous emmenez votre enfant regarder un film durant les vacances d’été et que vous soyez bombardé de publicités en faveur du vaccin HPV Gardasil ! Eh bien, c’est exactement ce qui est arrivé aux parents américains lorsqu’ils emmenaient leurs enfants voir le film l’Incroyable Hulk, en 2008.

 

Ceci s’expliquait parce que, tout comme les parents avaient décidé d’aller voir ce film, Merck avait aussi décidé de lier sa publicité à divers films. Un porte-parole de Merck a déclaré à CNBC News que les publicités en faveur du Gardasil seraient diffusées sur les écrans lors des films L’Incroyable Hulk, Get Smart, The Happening et You don’t mess with the Zohan, entre autres. [8]

 

La campagne « Comment être un super héros »

 

L’an passé, le Service National de Santé Britannique de Portsmouth, dans le Hampshire, a lancé une campagne publicitaire massive. La campagne affirmait que si les parents souhaitaient que leurs enfants deviennent un super héros, alors il fallait qu’ils les fassent vacciner avec les vaccinations officiellement recommandées.

 

Pendant des semaines, la ville de Portsmouth était placardée de posters de super héros colorés racontant aux parents les bénéfices de la vaccination.

 

La campagne était extrêmement impressionnante, avec des vidéos et des publicités vantant les affirmations suivantes :

 

- Sois un héros !

 

- Protégez vos enfants !

 

- La vision par rayons X et la super force, c’est super bien, mais vous pouvez être un héros en faisant une simple chose pour vos enfants : faites-les vacciner !

 

- Les vaccinations infantiles comme le ROR pourraient ne pas sembler aussi excitantes que sauver la planète, mais elles sont réellement importantes pour prévenir de graves maladies et même la mort !

 

- Les vaccinations aident à protéger votre enfant contre tous ces personnages diaboliques que sont – La rougeole, les oreillons, la rubéole, la diphtérie, la coqueluche, le tétanos, la polio, la méningite C, les infections aux pneumocoques, le Hib et le HPV !

 

- Ne l’oubliez pas, les vaccinations sont sûres ! Sans elles, votre enfant est en danger !

 

- Le Système National de Santé de Portsmouth est déterminé à vacciner autant d’enfants que possible… Nous avons besoin de votre aide pour cela.

 

- Souvenez-vous, la vaccination peut sauver leur vie.

 

- Donc, allez-y papa et maman, protégez votre enfant.

 

- Parlez-en à votre infirmière aujourd’hui. [9]

 

Cependant, est-ce que faire une vaccination à votre enfant est réellement la bonne manière de faire de lui un super héros ? Vous avez besoin de vous demander pourquoi les industries pharmaceutiques et les gouvernements ciblent les esprits de vos enfants en utilisant de cette façon ce genre de publicités ?

 

Publicités à l’épicerie

 

Même le supermarché est vu comme une opportunité en or pour nous bombarder de rappels de vaccination. Fini les publicités pour des bonbons ou des gâteaux à la crème alléchants, elles ont depuis longtemps été remplacées pour les dernières vaccinations en date qui doivent être faites! [10]

 

Cependant, comme nous sommes déjà bombardés par des incitations à la vaccination dans chaque parcelle de nos vies quotidiennes, ces publicités sont-elles des rappels bienvenus de vaccination pour vous et vos enfants ou bien plutôt une intrusion indésirable ?

 

Un client en colère a filmé dans son magasin local le grand nombre de publicités destinées à promouvoir la vaccination antigrippale. Comme nous pouvons le voir lorsqu’il arpente chaque rayon, le nombre de publicités est ridiculement grand et je suis sûre que beaucoup d’entre nous seraient tout à fait d’accord pour considérer cette quantité comme franchement excessive. [11]

 

Conclusion

 

Voyons les choses en face – les vaccinations sont un énorme business. Où que vous alliez ou quoi que vous fassiez, les industries pharmaceutiques sont déjà arrivées les premières et vous attendent avec leur propagande vaccinale. Que vous croyez en la vaccination ou pas, la majorité d’entre nous serait d’accord pour dire que les vaccinations sont probablement le produit de consommation pour lequel on fait le plus de publicité sur notre planète.

 

Année après année, nous sommes confrontés à des publicités en faveur du vaccin antigrippal, du vaccin HPV ou encore du ROR. Les annonces sont diffusées sur des panneaux publicitaires, dans nos magasins, dans les magazines ou au cinéma. Les industries pharmaceutiques et nos gouvernements sont même tombés plus bas que jamais, en vendant leurs marchandises aux enfants d’âge préscolaire, via la télévision pour enfants.

 

Le lavage de cerveau de nos jeunes enfants est révoltant. Lorsque les compagnies pharmaceutiques et les gouvernements manipulent de jeunes esprits impressionnables et encouragent leurs parents à croire qu’ils sont de mauvais parents s’ils ne font pas vacciner leurs enfants, cela constitue un abus de pouvoir manifeste.

 

Références

 

1. http://www.fastcoexist.com/3015834/cleverly-designed-bracelets…
2. http://vactruth.com/2013/04/15/hallmark-cards-vaccinations/
3. http://jama.jamanetwork.com/article.aspx?articleid=1148197
4. http://www.youtube.com/watch?v=eXvu3R-aYBo
5. http://www.economicvoice.com/bbc-misses-another-child-protection-issue/50033698
6.http://www.bbc.co.uk/iplayer/cbeebies/episode/b01p019d/Get_Well_Soon_Inject_to_Protect/
7. http://www.youtube.com/watch?v=gaNSMsXPdnM
8. http://www.cnbc.com/id/24929739
9. http://www.youtube.com/watch?v=CLU0y1WPnP8&feature=related

10. http://www.summithealth.com/immunization/
11. http://www.youtube.com/watch?v=ft0eJ4MuGXw

 

Source: Vactruth

 

Photo Credit

 

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27 août 2013 2 27 /08 /août /2013 16:16

Pour un vaccin en perdition, il s'agit de trouver toutes les ficelles possibles: prétendre qu'il diminuerait le risque d'autisme chez l'enfant des mères vaccinées (alors que c'est l'inverse), prétendre qu'il réduirait les crises cardiaques... et puis quoi encore ?

 

Et on peut bien sûr compter sur de dociles médias pour relayer de telles absurdités. Car on voit du reste assez mal comment un vaccin inefficace sur le taux de grippe et la mortalité associée pourrait comme par miracle prévenir les infarctus!! (Entre parenthèse: n'oublions pas que c'est justement dans les pays occidentaux qui vaccinent le plus que la mortalité infantile est la plus grande!!)

 

Cette affirmation sur le faux caractère protecteur du vaccin antigrippal vis-à-vis des crises cardiaques est d'ailleurs d'autant plus absurde que les vaccins, et notamment le vaccin antigrippal, favorisent les AVC (accidents vasculaires cérébraux) dont certains sont de type ischémiques (obstruction d'un vaisseau), un mécanisme similaire  à celui de l'infarctus!

 

 

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5 août 2013 1 05 /08 /août /2013 21:34

Va-t-on vers une nouvelle contrainte pour les personnes hospitalisées? Seront-elles un jour obligées de se faire vacciner durant ou avant leur séjour? Y aura-t-il un jour un chantage vaccinal qui conditionnera l'accès aux soins et aux services... au nom des "économies de santé" à faire?? Cet exemple montre aussi toute l'étroitesse d'esprit de l'establishment qui n'envisage par exemple JAMAIS de faire ce qu'on appelle un "aromatogramme", c'est à dire une sorte d'antibiogramme mais relatif aux huiles essentielles (au pouvoir microbicide considérable), de façon à pouvoir contourner intelligemment la résistance aux antibiotiques et réduire de façon efficace, sans les risques du moindre vaccin, la mortalité liée à ces infections.

 

Sanofi Pasteur lance une étude de phase III d’un vaccin contre le Clostridium difficile

  

Cdifficile.jpg

 

Publié le Lundi 5 août 2013

 

Sanofi Pasteur, la division vaccins de Sanofi a annoncé le lancement des essais cliniques de phase III du programme Cdiffense, pour évaluer l’innocuité, l’immunogénicité et l’efficacité d’un vaccin candidat pour la prévention des infections primaires symptomatiques à Clostridium difficile (ICD).

 

Le Clostridium difficile (C. difficile) est une bactérie sporulée potentiellement mortelle qui cause des affections intestinales. Le risque de contracter le C. difficile augmente avec l’âge, les traitements antibiotiques et la durée des séjours à l’hôpital ou dans les maisons de soins, où le nombre de cas peut provoquer des épidémies. Le vaccin candidat est conçu pour aider à protéger les individus à risque contre le C. difficile, qui apparaît comme l’une des principales causes d’infections associées aux soins potentiellement mortelles dans le monde.

 

Les toxines de C. difficile provoquent des affections gastro-intestinales pouvant causer la mort chez environ 8 % à 15 % des personnes infectées. Étant donné que 20 % à 30 % des patients infectés connaissent une rechute d’ICD, les réhospitalisations et les séjours prolongés à l’hôpital demeurent fréquents. Des données combinées des États-Unis (U.S.) et de l’Union européenne (UE) indiquent que les systèmes de santé dépensent plus de 7 milliards de dollars américains par an pour les soins de courte durée visant à traiter les ICD. Au niveau mondial, on rapporte une augmentation de l’incidence et de la sévérité des ICD dans les pays d’Amérique du Nord, d’Europe et d’Asie, probablement due à l’apparition de souches hypervirulentes. Le vaccin candidat contre le C. difficile est conçu pour déclencher une réponse immunitaire qui cible les toxines produites par la bactérie C. difficile pouvant causer une inflammation de la paroi intestinale et entraîner une diarrhée. A terme, le vaccin pourrait aider à prévenir les futures infections à C. difficile.

 

« Avec l’apparition de souches de C. difficile plus difficiles à contrôler au cours des dernières années, les ICD sont devenues plus fréquentes, plus graves et plus compliquées à traiter, ce qui soulève des inquiétudes concernant les méthodes de contrôle et de prévention de la transmission », a expliqué le Dr John Shiver, Senior Vice-Président pour la Recherche et le Développement chez Sanofi Pasteur. « En offrant une manière efficace et rentable de protéger des individus contre C. difficile, la vaccination pourrait devenir une mesure importante au service de la santé publique. »

 

Cdiffense, le programme clinique de l’étude de phase III, vient de commencer le recrutement de 15 000 volontaires adultes pour participer aux essais cliniques internationaux multicentriques randomisés en simple aveugle et contrôlés par placebo. Ces essais se dérouleront sur 200 sites répartis dans 17 pays. Pour cette étude, les volontaires doivent être âgés de 50 ans et plus, bénéficier d’une hospitalisation planifiée ou avoir été hospitalisés au moins deux fois au cours de la dernière année et traités par antibiotiques à action systémique.

 

Source : mypharma-editions.com

 

A noter: le "placebo" n'est jamais d'application QUE dans le seul volet "efficacité" (= immunogénicité, soit le dosage des taux d'anticorps) des études vaccinales, et jamais dans le volet "sécurité". Il s'agit là d'une nuance très importante et nous vous renvoyons pour de plus amples explications à nos articles intitulés:



TOUS les vaccins sont expérimentaux: voici pourquoi



Le vrai scandale des faux placebos

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 15:50

Place du vaccin Epaxal, premier vaccin virosomal inactivé de l’hépatite A

 

17/07/2013

 

Présentation du vaccin Epaxal

 

Virus-hepatite-A

Le vaccin Epaxal est un vaccin monovalent contre l'hépatite A. Son caractère innovant réside dans ses propriétés car il s'agit du premier vaccin virosomal développé pour la prévention de l'hépatite A. Chaque dose de vaccin est composée de virus d'hépatite A (VHA) cultivé sur cellules MRC5 et inactivé par le formaldéhyde (ce qui est classique pour la fabrication des vaccins contre l'hépatite A). Puis les VHA sont associés à des virosomes : il s'agit de pseudoparticules virales constituées d'une double membrane de phospholipides et de glycoprotéines de surface de virus grippal A, qui interviennent comme adjuvant, favorisant la mémoire immunitaire et la production d'anticorps post-vaccinaux.

 

Le vaccin Epaxal se différencie des autres vaccins monovalents par l'absence d'hydroxyde d'aluminium utilisé comme adjuvant.

 

La firme pharmaceutique (Jansen) ayant décidé de commercialiser ce vaccin en France, le Haut Conseil de la santé publique s'est auto-saisi afin de déterminer la place de ce nouveau vaccin parmi les vaccins monovalents disponibles en France. Il est à noter qu'Epaxal est déjà commercialisé en Suisse et dans de nombreux pays d'Europe. Le vaccin Epaxal devrait être prochainement disponible en France (pharmacies d'officine, centres de santé et centres de vaccinations internationales).

 

Schéma vaccinal d'Epaxal

 

Ce vaccin peut être administré à partir de l'âge de 1 an. Le schéma vaccinal complet comprend 2 doses séparées de 6 à 12 mois, avec une possible administration de la 2ème dose après un délai de 4 ans.

 

Efficacité et tolérance du vaccin Epaxal

 

Les données d'immunogénicité (taux de séroprotection), sont comparables à celles obtenues avec un autre vaccin monovalent contre l'hépatite A.

 

Le vaccin contre l'hépatite A étant un vaccin du voyageur, l'association vaccinale avec le vaccin contre la fièvre jaune a été testée (administration des 2 vaccins dans 2 sites différents). Il a été observé une diminution de la réponse immunitaire contre le virus de l'hépatite A, tandis que celle du vaccin contre la fièvre jaune n'était pas connue.

 

Le profil de tolérance est comparable à celui des vaccins contre l'hépatite A inactivés disponibles, qui est excellent. Du fait de sa composition (présence de protéines de virus grippal), il est contre-indiqué de principe chez les personnes allergiques à l'œuf.

 

Recommandations du vaccin Epaxal.

 

Elles sont identiques à celles des autres virus monovalents contre l'hépatite A, avec des recommandations particulières en milieu professionnel et chez le voyageur.

 

Lien: http://www.hcsp.fr/Explore.cgi/Telecharger?NomFichier=hcspa20130524_hepApla...

 

En savoir plus sur : Hépatite A - EPAXAL®

 

Auteur : Elisabeth NICAND - Biographie et Liens d'intérêt

 

Source: Mesvaccins.net

 

L’essentiel à retenir au sujet de cette vaccination anti-hépatite A :

 

- Avec ou sans aluminium, la sécurité des vaccins est mal évaluée, et les effets ne sont JAMAIS évalués à long terme. Par conséquent, quand on affirme que la tolérance des vaccins est « excellente », cette affirmation n’a aucune valeur. Et cela vaut donc aussi pour ce vaccin-ci.

 

- Les procédés d’apprentis-sorciers consistant à utiliser des virosomes, mélanger des antigènes d’un virus X (ici l’hépatite A) à des protéines d’un virus Y (ici grippe A) ne sont pas évaluées correctement car tous les vaccins quels qu’ils soient sont évalués de façon laxiste, ce qui en fait toujours des produits expérimentaux.

 

- La faible dangerosité du virus de l’hépatite A (qui entraîne parfois des effets gênants mais statistiquement largement bénins et réversibles !) doit faire réfléchir au bienfondé de se faire vacciner, même avant un long séjour. D’autant plus qu’il n’est pas si difficile que ça d’éviter une hépatite A par des mesures d’hygiène simple (éviter les glaces, les crudités, ne boire que de l’eau en bouteilles scellées, faire bouillir l’eau, etc) En outre, l’idée de se rendre dans une « travel clinic », par exemple pour certaines vaccinations obligatoires comme la vaccination contre la fièvre jaune pour certaines destinations, se solde le plus souvent par l’administration inutile et non obligatoire du vaccin contre l’hépatite A, fait vraiment pour un oui ou pour un non. Lorsqu’on voit que la co-administration de ce genre de vaccins (fièvre jaune et hépatite A) se solde par une moindre réponse au vaccin contre l’hépatite A, il convient donc de réfléchir d’autant plus à accepter autant de vaccins à la fois, car le « bénéfice » prétendu du vaccin anti-hépatite A se réduit alors qu’il n’en est pas de même pour les risques. En cas d’effets secondaires graves, pouvant même hypothéquer le voyage (même les compagnies de voyage reconnaissent cette éventualité dans le cadre de leur assurance annulation…), comment les patients pourront-ils facilement déterminer si les effets sont imputables au vaccin contre l’hépatite A dont on jure que la tolérance est « excellente » ou au vaccin contre la fièvre jaune dont on dit aussi que la tolérance est excellente alors qu’il a déjà donné lieu ceci dit à plusieurs décès et que des scientifiques déclarent dans des revues médicales que le nombre de maladies et de décès post-vaccinaux chez des voyageurs excèdent depuis 1990 le taux d'infections naturelles ?!

 

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18 juillet 2013 4 18 /07 /juillet /2013 14:15

Un vaccin contre l’herpès en cours de préparation

  

herpes-genital.jpg

 

Un site internet fait état des développements en cours au sujet d'un futur vaccin contre l'herpès génital, un virus sexuellement transmissible.

 

Dans l'article du site en question, on peut lire à quel point cette infection est pénible, que ce virus menacerait deux millions de Français, des nouveau-nés et même qu'il faciliterait le VIH. Un tableau bien noir donc.

 

L'entreprise Coridon Pty Ltd commencera bientôt la phase 1 des essais du vaccin contre l'herpès simplex virus 2 à Brisbane, en Australie, et ce en collaboration avec l'Université du Queensland (les fameux "partenariats public-privé").

 

Dans cet article, on peut aussi lire tout l'enthousiasme du Pr Ian Frazer, celui qui a mis au point le vaccin anti-HPV, et qui dirige également le développement de ce nouveau vaccin contre l'herpès. Il s'est réjoui que cette nouvelle technique de mise au point du vaccin pourrait à la fois avoir un rôle préventif et curatif de ce genre d'infections. Selon lui, ce serait aussi un moyen efficace contre des maladies incurables comme le VIH.

 

L'OMS -dont on connaît bien la volonté de vacciner le monde entier- ne manque jamais à l'appel quand il s'agit d'en remettre une couche avec des chiffres dramatisants destinés à légitimer des politiques massives de vaccination. Selon cette organisation controversée qui continue de maintenir la vaccination comme premier poste budgétaire, bien loin devant les financements en eau et en aliments (alors que plus d'un milliard de gens sont toujours privés d'une source d'eau potable sur terre et 2,6 milliards d'un système d'assainissement de base!), un demi-milliard de personnes âgées de 19 à 45 ans vivent avec une infection à herpès simplex de type 2 dans le monde.


Autre point préoccupant, le vaccin ne va être injecté qu'à 20 volontaires sains pour ce qui concerne l'évaluation de sa sécurité! Ridicule donc quand on repense à ce qui était écrit déjà en novembre 2011 dans la Revue du Praticien à savoir que les effectifs classiques des essais pré-commercialisation (d'ordinaire de l'ordre de quelques centaines ou même milliers de sujets, soit un nombre déjà bien plus élevé que 20), restent insuffisants pour pouvoir valablement étudier le risque d'effets secondaires graves AVANT la mise sur le marché...

  

Les sirènes concernent également l'impact de l'infection à herpès simplex virus 2 sur les enfants car, c'est bien connu, quand on joue sur la corde sensible des mères vis-à-vis de leurs bébés ou futurs bébés, c'est toujours commercialement plus porteur. C'est en fait une culpabilisation subtile, mais une culpabilisation tout de même. Au secours du vaccin...

 

On rappelle aussi qu'on ne peut supprimer l'infection elle-même (sous-entendant mieux vaut prévenir que guérir donc vacciner...) mais ces affirmations ne sont bien sûr valables que dans le seul cadre de la médecine officielle, étant entendu que dans le domaine naturel, il existe un grand nombre de solutions efficaces en matière virale, dont notamment celle des huiles essentielles qu'on a hélas coutume à réduire aux seuls "petits bobos" alors qu'il existe plus de 10 000 études scientifiques officielles sur leurs vertus établies et notamment leur très grand pouvoir anti-microbien (tant anti-bactérien qu'antiviral).

 

Pour Ian Frazer, c'est "le début d'une période passionnante" qui s'ouvre avec ce nouveau vaccin.

 

NB: Nous avions initialement posté par erreur un copier-coller de l'article du site Civilisation2.org en lieu et place de la présente analyse ci-dessus qui figurait juste en-dessous dans notre fichier Word original, consacré à ce dossier. Nous présentons donc nos excuses aux lecteurs et au site Civilisation2.org qui n'est donc aucunement lié à la position qui est la nôtre.

    

Ca y est, tout recommence, tous les ingrédients sont de nouveau-là :

 

- les sirènes de l’OMS qui se réjouit de vacciner la terre entière quoi qu’il arrive.

- la noirceur de l’agent microbien « soupçonné de favoriser le VIH » en plus !

- la corde sensible des mères car « la santé de leur enfant peut être en jeu »… vers une possible vaccination supplémentaire des femmes enceintes… tant qu’on y est ?!

- la tolérance du futur vaccin évaluée sur un nombre ridiculement faible (20 sujets !)

- les passions des idéologues chercheurs pendant que les autres effets secondaires de tous les vaccins existants, déjà bien trop nombreux, continuent de faire des ravages ! 

 

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