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9 mars 2015 1 09 /03 /mars /2015 21:40

Il ne se passe pas un seul jour désormais sans qu'on entende des "informations" sur les vaccins -on devrait plutôt parler de propagande- qui ne fassent pas bondir et qui ne justifieraient pas, à elles seules, de descendre manifester dans la rue, tant il est vrai que les mesures en question, non seulement coûtent très cher et plombent les finances des Etats mais aussi et surtout, qu'elles sont totalement contre-productives puisqu'elles induisent des dangers inouïs dont certains citoyens peinent toujours à comprendre l'ampleur.

 

Petit tour d'horizon pour mieux comprendre en quoi les officiels se foutent dangereusement de la santé ET de l'intelligence du plus grand nombre...

 

 

Pour commencer ce petit tour de l'actualité, nous voudrions commencer par ces centaines d'emprisonnements, tout à fait scandaleux d'ailleurs, de parents pakistanais qui refusent la vaccination polio de leurs enfants. 470 parents ont déjà été écroués et sommés de faire allégeance au dogme vaccinal: pour sortir de prison, ils doivent promettre à un garant qu'ils feront vacciner leurs enfants après leur sortie. Les personnes qui ne connaissent rien aux vaccins à part ce qu'elles ont toujours cru et lu dans les mass médias ne peuvent que se réjouir de pareille information et se sentir (faussement) rassurés. Hélas, quand on examine ce dossier avec un peu plus d'objectivité, on ne peut que se rendre compte de l'injustice et de l'aberration de ce type de mesure. Pourquoi? Tout d'abord parce qu'on jette des parents en prison pour avoir refusé un vaccin polio oral qui est exactement similaire à celui qui a directement causé en Inde, pour la seule année 2011, plus de 60 000 cas de paralysie flasque aigue, une maladie deux fois plus meurtrière que la polio et qui est toujours irréversible (contrairement à la polio dont un cas sur 200 infections peut déboucher sur une paralysie avec, encore, des possibilités de séquelles à minima ou de guérison). Pour tenter d'être plus crédibles, les officiels, aidés d'une presse docile, ont pris l'habitude de mettre ces refus de vaccination sur le compte de "motifs religieux", contribuant à dépeindre ces populations locales comme bêtes, primaires ou dieu sait quoi.

 

Mais une fois encore, analysons les motifs de refus (plus qu'innombrables!) et voyons si les parents ont l'air si bêtes que ça. Il faut en effet se rappeler qu'entre autres méfaits, le vaccin polio oral a contribué de façon directe à contaminer des millions de personnes dans le monde avec un virus simien cancérigène, le SV40, dont aucune personne sérieuse ne peut encore réfuter de nos jours l'implication et la présence dans de nombreux types de tumeurs. Au moins jusque 1978, des milliers de personnes ont continué à recevoir ces vaccins polio contaminés dans le monde or il faut hélas savoir que le virus cancérigène SV40 peut parfaitement se transmettre par voie sexuelle et aussi de la mère (vaccinée) à l'enfant (non vacciné). Déjà, à cet égard, ce sinistre passé devrait enjoindre les officiels pakistanais (et mondiaux) à plus d'humilité et de discernement avant de jeter des parents en prison, surtout quand ces même officiels ne font absolument pas leur travail en veillant à la base, c'est-à-dire la lutte contre la pauvreté, contre la malnutrition, le manque d'infrastructures en eau potable, en retraitement des eaux usées, etc. 

 

Les propos des mass médias dépeignent ces gens comme craignant que le vaccin ne stérilise leurs enfants comme s'il s'agissait d'une crainte grotesque, de l'ordre du complot. Pourtant, là encore, un peu plus de retenue serait d'autant plus salutaire que les évêques kenyans viennent de publier un rapport d'analyse du contenu des vaccins antitétaniques financés par l'OMS et l'UNICEF et sélectivement réservés aux femmes de 14 à 49 ans de ce pays et il s'avère, sur base d'analyses de laboratoire rigoureuses, que 30% des fioles contiennent de l'hormone bêta HCG, une hormone qui a un effet stérilisant quand on l'injecte.

 

Jeter des parents en prison parce qu'ils ne conçoivent pas la vaccination orale contre la polio comme opportune ou sûre pour leur progéniture est donc un pur scandale, et ce d'autant plus que les officiels eux-mêmes ont déjà publiquement dit que ce vaccin devait être remplacé par un autre, soi-disant plus sûr et qu'on peut lire sur internet que la recherche sur un vaccin polio synthétique est en cours. Bien sûr, ce nouveau vaccin présentera aussi son lot de risques, mais ceci indique bien la fragilité scientifique et éthique patente qu'il y a à villipender ces parents vigilants au nom d'un vaccin qu'on juge pourtant suffisamment imparfait pour en fabriquer un nouveau. Ajoutons à cela la fausse urgence de revacciner des millions d'enfants dans des contextes où ces grandes campagnes se sont souvent plusieurs années de suite, avec des enfants qui reçoivent ainsi fréquemment 4,5,6,7 doses ou plus de vaccins en peu d'années, tout simplement parce que l'OMS et l'UNICEF estiment trop incommode de distinguer ceux qui l'auraient déjà reçu des autres. Là encore, l'inefficacité et la dangerosité ne sont pas assumées par les conseilleurs-forceurs mais par les vrais payeurs, à savoir les citoyens!

 

Passons ensuite à un autre sujet d'actualité en matière de vaccins, qui montre bien là aussi l'idéologie dégoûlinante du vaccin à tout prix: la poursuite d'essais cliniques du vaccin Ebola que les populations africaines recevront à dose accrue alors que l'épidémie s'est améliorée d'elle-même, sans vaccination. Exactement comme les pays occidentaux avaient déversé sur l'Afrique les inutiles vaccins H1N1 que les gouvernements avaient achetés inutilement à la pelle. Malgré l'arrêt temporaire des essais du vaccin menés en Suisse sur seulement 120 personnes, ceux-ci ont repris et les officiels ont fini par conclure sans doute sans même plus se rendre compte de leurs énormités que "le vaccin est sûr mais présente des effets secondaires intenses"! Aveuglement, quand tu les tiens....

 

Songeons à ces centaines de millions de gens qui n'ont toujours pas à manger et à boire et demandons-nous vraiment si nous croyons sérieusement que nous allons leur éviter des maladies et contribuer à la sécurité sanitaire du monde en gavant ces personnes affaiblies de vaccins chimiques alors que les bases mêmes du fonctionnement normal du système immunitaire ne sont pas présentes! Au lieu de faire des dons utiles et de contribuer véritablement au développement humanitaire (au sens noble du terme et non dans un sens hypocrite et opportuniste pour exporter les poisons de grandes entreprises occidentales...), l'Union Européenne continue sa gabegie d'argent public en faveur des vaccins: parmi les 1,2 milliard débloqués pour lutter contre Ebola, des sommes de plus de 200 000 millions d'euros sont englouties dans le dogme du vaccin. A côté de ces dépenses insensées, l'Union européenne prévoit encore de donner 200 millions d'euros supplémentaires au GAVI pour vacciner dans les pays pauvres, comme si les populations n'en n'avaient déjà pas assez, sans parler des taux de paupérisation qui ne cessent de s'accroître, y compris en Europe où l'austérité ne touche donc décidément jamais le dogme des vaccins! Mais comme la presse ne cesse de désinformer au sujet des vaccins, elle ose encore titrer dans un pays comme le Congo que "L'accès à la vaccination dans les pays pauvres reste difficile" alors que le GAVI inonde les enfants pauvres de vaccins et qu'il dit vouloir atteindre "chaque enfant" finalement jusqu'au dernier, ce qui s'apparente en réalité beaucoup plus à une chasse à l'homme qu' à une oeuvre éthique ou philanthropique

 

Dans nos pays occidentaux aussi bien sûr les médias désinforment constamment au sujet des vaccins. On pourrait citer le cas récent du Télémoustique ici en Belgique qui tentait sans doute de lutter contre la chute de son lectorat il y a quelques semaines en indiquant de façon racoleuse en première page "Les antivaccins sont une menace" ... dans le numéro, un article de grand art dans le genre du "journalisme bling bling" qu'on doit à Anne-Cécile Huwart et qui pourrait faire sourire des enfants de primaire tant on peine à reconnaître le moindre professionnalisme dans ce pseudo article. Petit extrait savoureux: "Laurence a elle aussi choisi d’épargner à sa fille quelques piqûres lorsqu’elle était bébé. Elle l’a un peu regretté par la suite. "Je ne l’ai pas fait vacciner contre la rougeole, la rubéole, le tétanos et le papillomavirus, commente cette Bruxelloise. À l’âge de 12 ans, elle a eu la rougeole et elle a dégusté pendant 15 jours. Elle a perdu 4 kg. J’avoue que j’ai bien flippé… J’avais un ami qui travaillait dans le secteur pharmaceutique et qui était pourtant antivaccin. Son fils a eu la rougeole en même temps que ma fille et les complications pour lui auraient pu être plus graves encore."  La fille de cette Laurence n'a donc eu aucune complication grave en échange d'une immunité à vie mais la mère "aurait un peu regretté par la suite" ? Qui est cette femme dont le peu d'authentification donne à penser que ce texte peu cohérent aurait très bien pu être inventé par n'importe qui. La suite en dit en tout cas long sur l'intelligence de la journaliste puisque le témoignage déjà pour le moins flou en vient à parler "d'un ami" (c'est donc dire comme le récit d'Anne-Cécile Huwart n'est pas de première main!) qui travaille dans le secteur pharmaceutique et n'a lui non plus pas fait vacciner (tiens donc, pourquoi, l'article ne le dit pas?) dont le texte dit que son fils a aussi fait la rougeole et que "pour lui les complications auraient pu être plus graves". Comme c'est malin et subtil, cela équivaut à dire ou écrire que si vous avez acheté un billet de loto et que vous perdez, eh bien, vous auriez pu gagner! Si vous traversez la rue et que vous ne vous faites pas écrasé, ça n'est pas très vendeur journalistiquement parlant, ça manque un peu de sensationnalisme alors mieux vaut rajouter que vous auriez quand même pu vous faire écraser ou que si vous n'étiez pas né, vous ne vous seriez pas fait écrasé non plus. Pfff... ça vole bas Télémoustique avec Anne-Cécile Huwart qui n'a sans doute jamais dû bien se rendre compte qu'avant le vaccin, il y avait des milliers de cas de rougeole annuellement en Belgique sans qu'aucun expert de santé publique n'ait osé à l'époque crier à l'urgence ou au drame. 

 

Mais il faut dire qu'Anne-Cécile Huwart n'est pas la seule personne à être instrumentalisée par une propagande basée sur la peur, à l'instar de ce qui se fait aux USA: là encore, avant la vaccination, des dizaines de milliers de cas annuels de rougeole naturelle qui donnaient lieu à une immunité à vie et à un très faible taux de complications. Mais voilà, vu la perte de terrain énorme des propagandistes des vaccins, ils alarment la population pour un oui ou pour un non, en n'hésitant pas à crier à l'urgence de santé publique pour seulement... 200 cas répartis sur 14 états américains! La politicienne poussiéreuse Hillary Clinton, plutôt habile en mensonges il faut bien le dire, au point que certains la qualifient dans son pays de menteuse pathologique, a même cru bon d'y aller d'une formule de son cru qui est plutôt de nature à la ridiculiser, à savoir "La terre est ronde, le ciel est bleu et les vaccins fonctionnent", n'étant bien entendu pas à la hauteur d'aborder le très glissant sujet des vaccins en tant que produits non scientifiques et dès lors, extrêmement risqués. Prenons un exemple qui montrera l'intelligence des propos de Mme Clinton: si vous devez ouvrir une porte qui est bloquée et que vous tirez sur elle au bazooka, vous pourrez aussi dire après avoir tiré un coup qu'"ouvrir une porte grâce au bazooka fonctionne". Peut-on en déduire par là qu'ouvrir une porte au bazooka est le meilleur moyen d'ouvrir une porte?" Non bien sûr, et il y va de même avec la santé et l'immunité des enfants, de plus en plus court-circuitée par divers vaccins et aussi de plus en plus malades avec un enfant sur cinq qui connaît dans ce pays des troubles du développement neurologique, sans parler qu'un enfant américain sur deux souffre de maladies chroniques!

 

Remarquez bien comme il est toujours question de peur et d'entretenir la peur dans le chef des officiels au détriment des libertés et du droit à l'information! Quand ce n'était pas avec le bébé allemand décédé de la rougeole (alors qu'il avait été vacciné), c'était avec des nouvelles comme ces échappements de bactéries et de virus mortels à répétition parmi divers labos de soi-disant haute sécurité, comme s'il s'agissait d'habituer constamment la population à la banalisation de ces scénarios pandémiques depuis quelques années (et le fiasco du H1N1 que les officiels tentent ainsi toujours de faire oublier). Encore récemment, voici ce qu'on pouvait lire sur RTL:

NB: Remarquez bien la mention "sans vaccin" consistant à faire croire que les vaccins seraient un salut, quelque chose d'inspensable qui aurait de quoi être plus rassurant. Ce type de stratégie de communication s'apparente au marketing social et économique. C'est ainsi qu'on formate les opinions publiques dans un sens ou un autre...

NB: Remarquez bien la mention "sans vaccin" consistant à faire croire que les vaccins seraient un salut, quelque chose d'inspensable qui aurait de quoi être plus rassurant. Ce type de stratégie de communication s'apparente au marketing social et économique. C'est ainsi qu'on formate les opinions publiques dans un sens ou un autre...

Et pendant qu'on sème la peur ou le sensationnalisme de cette affligeante façon, on occulte aux citoyens les atteintes dramatiques aux libertés les plus fondamentales comme la liberté d'expression, comme cela s'est vu avec le refus du VISA de l'Américaine Dr Tempenny par les autorités australiennes lui interdisant ainsi d'oser venir donner des conférences sur les vaccins dans ce pays! Cela en dit donc très long sur l'absence de science qui sous-tend les vaccins si les autorités de ce pays en sont arrivées là...il faut dire que dans ce pays, la lutte fait rage... les autorités ont forcé l'AVN (Australian Vaccination Network) a changer de nom pour se faire appeler "Australian vaccination skeptics network", voulu conditionner l'octroi des allocations familiales à l'administration de tous les vaccins aux enfants etc.

 

Ce déni de la liberté d'expression au détriment de la santé publique s'inscrit dans un contexte de plus en plus liberticide où il s'agit purement et simplement d'évacuer les opinions dérangeantes, fussent-elles argumentées, au lieu d'oser leur opposer d'éventuels arguments (si du moins il y en a). La dernière édition (5) du DSM, cette sorte de compendium officiel des maladies psychiatriques répertoriées, est ainsi l'objet de vives critiques en raison de l'inclusion de fausses maladies mentales comme l'anticonformisme et le franc-parler, une information en effet particulièrement alarmante que vous êtes des dizaines de milliers d'internautes à être venu lire à juste titre sur notre site internet. A côté de cela et de façon tout à fait convergente (hélas), on lit que Google va aider (encore plus que jusqu'à présent) les officiels à ce que les gens ne tombent plus sur les informations dérangeantes de divers sites internet (qui en général sont d'autant plus dérangeantes qu'elles apportent des preuves) mais uniquement sur la vraie fausse vérité des officiels et leurs sites bourrés de langue de bois et d'arguments d'autorité gratuits et non scientifiques dont la prétendue vérité tiendrait simplement au fait que plusieurs instances officielles (style OMS, Ministères etc) se les partagent. 

 

La liberté d'expression en matière sanitaire pourrait sauver bien plus de vies et de santés que ne l'ont jamais fait les vaccins tant il est vrai que la désinformation en matière médicale est énorme, le nombre de décès et d'hospitalisations sans parler des effets secondaires de médicaments et du nombre de solutions naturelles alternatives moins dangereuses existantes. Pour ne citer qu'un exemple mais très actuel, celui du chikungunya, on est en train de développer un (inutile) vaccin alors que le chlorure de magnésium est efficace contre cette maladie, plus simple, déjà disponible et surtout incomparativement plus sûr que le moindre vaccin. La conseillère municipale de Nice, Marie-France Billi en a déjà fait parvenir avec succès dans les régions touchées mais pour les pharmas, cela n'est pas vraiment payant.

 

Finalement, comme le relevait déjà il y a plusieurs années Sherry Tempenny (et bien d'autres également), les humains se révèlent beaucoup moins bien traités que les animaux de compagnie en matière de vaccination. Là où les vétérinaires ne vont jamais prendre le risque de vacciner des animaux malades ou des femelles gestantes, les pédiatres et autres experts vaccinologues ne sont pas gênés pour vacciner sans précaution ni adaptation les nouveaux-nés prématurés, les malades chroniques avec des affections auto-immunes actives, les femmes enceintes, les vieillards... Ce décalage est si évident et à la fois si alarmant qu'il finira tôt ou tard par exploser à la figure même des plus crédules... il nous semble illusoire d'attendre que les législations s'adaptent à une telle prise de conscience car cela se fera tout seul. Aussi, ne nous faisons pas trop d'illusions sur la QPC (question prioritaire de constitutionnalité) posée il y a quelques semaines en France au Conseil constitutionnel au sujet de l'obligation vaccinale DTP (diphtérie-tétanos-polio) et voyons par exemple ce qui s'est récemment produit à cet égard dans un pays comme la République Tchèque où les juges constitutionnels ont avalisé le caractère obligatoire des vaccinations infantiles

 

Le sujet des vaccins est un sujet tabou et le changement ne pourra venir que des populations qui comprennent fort heureusement de plus en plus qu'elles ont été dupées et ne pourront qu'approfondir davantage leurs réflexions et leurs recherches sur ce sujet qui peut conditionner toute la vie future des jeunes enfants! En témoignent notamment les résultats d'une récente étude publiée dans Pediatrics indiquant que 93% des pédiatres rencontrent des parents leur demandant de reporter la date des vaccins

 

Comme le disait le biologiste Jean Rostand "l'obligation de subir nous donne le droit de savoir" or avec les vaccins, il y a une obligation de subir et aucun droit de savoir. Une telle situation est donc littéralement intenable. Et si nous nous interrogeons sur les raisons profondes de cette "obligation de subir", il faut en arriver à l'évidence que c'est simplement... parce que tel ou tel vaccin existe et a été fabriqué! En effet, la seule existence des vaccins justifie et impose selon des instances comme l'OMS (et ses fidèles suiveurs, Ministères de la Santé etc) d'être absolument utilisés et étendus au plus grand nombre de personnes possibles après leur mise sur le marché. Lisez-le vous-mêmes dans les projets de vaccination mondiale de l'OMS, cela ressort clairement! Comment s'étonner alors des manoeuvres (en Belgique, en France etc.) pour supprimer des vaccins moins combinés et ainsi forcer la main aux parents en faveur des vaccins les plus combinés et les plus lucratifs pour les firmes? En Belgique, on ne trouve plus de vaccin pentavalent pour favoriser le vaccin Infanrix hexa, un des plus dangereux. En France maintenant, c'est la même stratégie: après avoir supprimé l'ancien DTP sans aluminium au profit du vaccin Revaxis (qui n'a pas d'autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans) et du vaccin tétravalent, voici qu'ils ont aussi supprimé le vaccin pentavalent pour pousser, comme ils l'ont fait en Belgique, à l'hexavalent (avec l'hépatite B). Les parents n'en veulent plus? Qu'importe, les officiels se sont mis dans la tête qu'ils trouveraient encore des astuces pour leur faire faire ce qu'ils veulent!

 

C'est tout à fait dans cet esprit que s'inscrit également l'affigeante ministre française de la Santé Marisol Touraine qui après avoir nié totalement le scandale des vaccins HPV (Gardasil etc.) ainsi que les risques de l'aluminium vaccinal, affirme qu'il y a eu trop peu de gens vaccinés contre la grippe à son goût (43%), qu' "elle ne peut s'y résoudre" et que tous les professionnels de santé devraient être vaccinés contre la grippe; Touraine osant même encore ajouter, alors que toute son attitude la trahit, qu'elle veut "une réflexion collective, à froid, calmement, sur la manière de faire face à ces défis de la vaccination". Sa fermeture au sujet des vaccins montre qu'elle veut uniqueent bien d'une réflexion à la sauce soviétique, c'est-à-dire une réflexion à sens unique dont le but est uniquement d'appliquer ses positions par tous les moyens. Manuel Valls vient d'ailleurs de nommer la parlementaire Sandrine Hurel pour établir un rapport et des idées à souffler à l'oreille de Marisol Touraine en vue, non pas d'améliorer la sécurité des vaccins ou de débattre avec le grand public de l'aberration de leur imposer des produits expérimentaux aux conséquences lourdes mais bien d'augmenter le taux d'adhésion de la population aux divers vaccins nombreux et variés. 

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8 mars 2015 7 08 /03 /mars /2015 19:13

C'est une contradiction tellement "belle" que nous ne pouvions manquer de vous la signaler. Alors que les populations africaines ont besoin de tout sauf de vaccins et que les cas locaux ne font plus l'objet de tout un ramdam médiatique, voilà que l'on s'entête avec ces vaccins expérimentaux au point de dire vraiment n'importe quoi à leur sujet. Quand on voit le nombre tout à fait ridicule de sujets inclus dans l'étude et malgré cela, les affirmations selon lesquelles les effets secondaires sont déjà intenses, on ne peut que plaindre les populations africaines qui recevront ces vaccins et songer à ce que les soi-disant très sûrs vaccins H1N1 ont donné en termes de maladies graves créées de toutes pièces....

 

Ebola: le vaccin testé au CHUV est sûr, mais les effets secondaires sont intenses

 

Les essais ont été menés sur 120 volontaires. Crédit photo: KEYSTONE

 

Le vaccin actuellement testé au CHUV est sûr, mais les effets secondaires sont importants. Les résultats de l'évaluation du vaccin seront publiés prochainement.

 

L'évaluation du vaccin contre Ebola testé au CHUV à Lausanne touche à sa fin. Les résultats vont être publiés prochainement. Les médecins sont rassurés quant aux effets secondaires. Ces derniers sont cependant plus importants que ceux des vaccins de routine.

 

Les essais menés sur 120 volontaires à Lausanne depuis début novembre avec le vaccin ChAd3 sont en voie d'achèvement. "Nous avons attendu la fin de la visite des trois mois même si les effets secondaires arrivent la plupart du temps pendant les deux premières semaines", a déclaré mardi à l'ATS le professeur Blaise Genton, médecin-chef des maladies tropicales au CHUV/PMU.

 

Les résultats montrent que les effets secondaires locaux (rougeurs, douleur locale) sont semblables à ceux des vaccins de routine comme celui de l'hépatite B ou de la grippe. En revanche, les effets généraux ou systémiques tels que maux de tête, fièvres et douleurs musculo-articulaires sont nettement plus intenses.

 

Réponse immunitaire

 

"C'est une preuve que le vaccin agit", souligne le professeur. "On sait que les réponses immunitaires sont en général proportionnelles à l'importance des effets secondaires". Les résultats sont en cours de formalisation. Ils devraient être publiés d'ici un mois.

 

Sur le terrain, ce vaccin fera l'objet d'études de sécurité et d'efficacité. "Tout est en place pour le démarrage", relève M. Genton. Une dose légèrement supérieure à celle administrée à Lausanne sera probablement utilisée.

 

Le vaccin génère en effet des réponses immunes dont le niveau n'est pas très élevé.

 

L'étude d'efficacité doit désormais démontrer si la dose choisie est suffisante, note le professeur.

 

Tests parallèles

 

Des tests de phase 2 comparables à ceux qui ont été effectués à Lausanne seront réalisés sur 3000 adultes et 600 enfants dans cinq pays limitrophes des pays où l'épidémie est encore présente. En parallèle, des tests d'efficacité de phase 3 seront menés en Guinée, au Libéria et au Sierra Leone.

 

Le vaccin évalué au CHUV a été développé par l'Institut national américain sur les maladies infectieuses et allergiques (NIAID) et par la société pharmaceutique GlaxoSmithKline (GSK).

 

Source: ATS

 

 

Une étude montre que c’est le vaccin et non Ebola qui aurait rendu le médecin malade

 

D’après un article de Maggie Fox, 5 mars 2015

Ebola: "le vaccin est sûr mais... les effets secondaires sont intenses"!

Juste 12 heures après avoir reçu un vaccin expérimental contre Ebola, et juste deux jours après qu’il ait été piqué par une seringue alors qu’il soignait des personnes atteintes d’Ebola en septembre, le Dr Lewis Rubinson a commencé à se sentir malade.

 

Dans l’avion qui le ramenait de Sierra Leone vers les Etats-Unis, le médecin s’interrogeait, se demandant s’il avait été infecté par Ebola ou s’il s’agissait d’une réaction au vaccin. Il fut mis en quarantaine à l’Institut National de Santé un peu à l’extérieur de Washington D.C.

 

Des mois plus tard, il apparut assez clairement que c’était le vaccin qui avait causé la réaction. Il n’y avait en fait plus de trace d’une infection par Ebola. On ne sait cependant pas clairement si c’est le vaccin qui a empêché le virus de provoquer la maladie ou si le médecin n’avait même jamais été infecté par le virus.

 

« A mon avis, le médecin n’a jamais été exposé au virus. On ne saura de toute manière jamais le prouver », a déclaré à NBC News, Thomas Geisbert, un expert d’Ebola à la Faculté de Médecine de l’Université de Texas à Galveston.

 

Rubinson a fait le récit de son expérience dans un article publié dans «The American Journal of Tropical Medicine and Hygiene » […]

 

Le Dr Robinson avait deux choix: un médicament expérimental de la compagnie canadienne Tekmira ou un vaccin expérimental contre Ebola qui, à cette époque n’avait pas encore été testé chez l’homme. Le Dr Robinson choisit finalement de se faire vacciner. « Le patient développa un état de malaise, il eût des nausées et de la fièvre 12 heures après la vaccination alors qu’il était toujours dans l’avion » signale le Dr Mark Mulligan de l’Université Emory dans une étude publiée avec des collègues pour le Journal de l’Association Médicale Américaine.

 

Il était possible que ces symptômes soient ceux d’Ebola, ou du vaccin qui utilise un virus « vivant » appelé « vesicular stomatitis virus » (VSV) et qui est génétiquement modifié pour véhiculer une petite partie non infectieuse du virus Ebola. Le vaccin est intentionnellement destiné à provoquer une légère infection qui active le système immunitaire, l’aidant ainsi à reconnaître Ebola.

 

Le deuxième jour, la fièvre a diminué bien que de graves symptômes persistaient avec de faibles nausées et de l’arthralgie (articulations). L’équipe de Mulligan écrivait : « du troisième au cinquième jour, on put observer la résolution des symptômes avec cependant des anomalies dans les résultats de laboratoire. Le septième jour, le patient était tout à fait asymptomatique. »

 

On ne sait pas clairement si tous ces symptômes ont été causés par le vaccin. Rubinson aurait aussi pu attraper d’autres microbes en Sierra Leone.

 

Depuis, le vaccin a été testé sur des douzaines de personnes, et est en cours de déploiement pour différents essais cliniques en Sierra Leone, Libéria et en Guinée. Il s’agit d’arrêter l’épidémie d’Ebola qui a infecté près de 24.000 personnes et en a tué près de 10.000.

 

Geisbert qui a participé à l’essai sur le vaccin dit que le cas d’une seule personne ne donne pas suffisamment d’information quant à l’efficacité du vaccin.

 

Il ajoute  dans un commentaire sur l’étude pour JAMA : « Cela montre qu’il y a eu une forte réponse immunitaire contre le vaccin chez une seule personne »

 

[…] Geisbert dit que la forte réaction a montré que le vaccin fonctionnait bien.

 

« Il y a toujours ce débat entre les vaccins vivants et les vaccins tués » dit Geisbert. « Les vaccins à virus vivants protègent mieux et leurs effets durent plus longtemps.

 

Mais il y a un compromis…on observe davantage d’effets secondaires avec un vaccin vivant. »

 

Pour une maladie qui ne met pas la vie en danger ou qui n’est pas spécialement commune – pensons notamment aux vaccinations destinées aux enfants – un vaccin tué est clairement un meilleur choix. Mais, avec Ebola pour lequel les taux de décès approchent les 70%, Geisbert estime qu’un vaccin à virus vivant est préférable. […]

 

Source: NBCnews

 

Voir aussi:  

 

Les essais du vaccin Ebola suspendus à Genève pour cause d'effets secondaires

 

Notre dossier consacré à l'affaire Ebola

 

Le Dr Broussalian s'est rendu en Afrique pour voir ce qui se passe avec Ebola: son compte rendu est plus qu'interpellant!

 

Informations diverses sur l'épidémie d'Ebola: vaccins, tests de détection, enjeux commerciaux,...

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12 février 2015 4 12 /02 /février /2015 13:45

Chacun peut constater dans son entourage que la défiance envers les vaccins va croissante car le public se rend bien compte que les officiels sont dans le mensonge, les propos flous, généraux et faussement rassurants et que la loi sur les droits des patients et le consentement libre et pleinement éclairé est constamment bafouée quand il s’agit de vaccins.

 

Les statistiques le montrent : il y a de plus en plus de gens qui ont pris conscience des risques incalculables des vaccinations et qui choisissent pour cela de ne plus accepter le moindre vaccin désormais ni pour eux ni pour leurs enfants.

 

L’establishment qui entend bien maintenir son idéologie A TOUT PRIX ne l’entend toutefois pas de cette oreille et il continue de marteler et de financer son grand rêve : la vaccination de la terre entière avec de plus en plus de vaccins (voir aussi à ce propos sur Bill Gates, le GAVI etc, grands alliés de l’OMS)

 

Que s’agit-il alors de faire ? Non pas bien sûr d’améliorer une sécurité vaccinale qui n’a jamais été de mise (au travers d’essais cliniques bâclés et biaisés) mais bien de mieux embobiner/manipuler le public pour qu’il continue d’accepter docilement les vaccins… C’est si vrai que l’OMS avait un temps mis en ligne un document extrêmement révélateur intitulé « Sécurité des vaccins. Comment affronter les évènements supposés être attribués à la vaccination et l’immunisation ? »   Rien que ce titre déjà dénote l’ensemble de l’a priori et de l’idéologie de l’establishment en la matière. Ce document, qui est bien plus un manuel de communication/manipulation des foules vise avant tout à sauvegarder l’image de la vaccination et non la santé des populations censées croire à ce dogme intangible.

 

nanopatchMais le temps presse et c’est une véritable course contre la montre qui est engagée par les officiels pour tenter de sauver la vaccination : à côté du véritable lavage de cerveau idéologique que les officiels opèrent par une répétition débilitante de slogans simplistes et trompeurs en faveur de la vaccination, et à côté aussi de la propagande spécialement destinée aux enfants dès leur plus jeune âge et visant à banaliser le geste vaccinal, les officiels planchent aussi sur des méthodes encore plus concrètes de banalisation. A cet égard, après le morceau de sucre imbibé de virus polio (des fois contaminé au virus de singe cancérigène SV40), voici bientôt venu le temps des patches vaccinaux aux nano-aiguilles.

 

Leurs (énormes) avantages aux yeux des officiels ?? Une capacité inouïe de leurrer le public vaccino-sceptique pour les raisons suivantes :

 

1) Ne sera plus douloureux contrairement à l’injection classique

 

2) Apparaîtra moins menaçant et à tort plus physiologique car ce type de nanopatch s’appliquera sur la peau, ce qui donnera à penser que cela respecte davantage la voie d’entrée normale/naturelle des microbes dans le corps MAIS cela serait oublier que ces patches seront pourvus de 20 000 nano-aiguilles, qui, si elles ne se sentiront pas, auront bel et bien un effet différent d’une infection naturelle par les voies naturellement prévues !!

 

3) Sera plus facile et moins cher à produire, ce qui signifie en clair que la pression vaccinale ira encore croissante, y compris dans le contexte des pandémies à gogo où on invoquera la facilité de « se vacciner soi-même » chez soi dans l’intérêt de tous en minimisant les risques possibles au regard de « grandes méchantes maladies » qui feront peur à tous…

 

Qui, dans le public pourra alors penser qu’une sorte de « timbre vaccinal » non douloureux pourra avoir le moindre lien avec des effets aussi graves que les paralysies, la mort subite, l’autisme, la narcolepsie, …Nous entendons déjà certaines belles âmes arguer que ces systèmes soi-disant prometteurs permettront peut-être de se passer d’adjuvants chimiques toxiques et de plus en plus contestés comme l’aluminium ou le squalène (AS03 et MF59) et que donc ils seraient forcément plus sûrs et enviables avec une immunogénicité similaire ou accrue. Ne soyons toutefois pas dupes : ces nanopatches ne subiront pas de tests plus drastiques que les vaccins classiques et il y a peu à parier qu’on les teste sur des sujets (adultes et enfants) qui n’auraient reçu que ces seuls « vaccins » et qu’on compare ces sujets à d’autres absolument non vaccinés (0 vaccins), ce qui est le principe de vrais groupes dits « placebo ». De même, il est peu probable que l’on impose à ces nouveaux dispositifs vaccinaux des évaluations pharmacocinétiques, de même que des évaluations de leurs effets secondaires sur de très longues durées ou encore des tests de leur potentiel cancérogène, mutagène et tératogène.

 

Par conséquent, rien n’aura réellement changé au problème de l’intolérable insécurité vaccinale et ces futurs vaccins seront alors tout aussi expérimentaux que ceux d’aujourd’hui, quel leurre !

 

Apprenez aussi ce qu’un parlementaire français, Mr Roger Duveau, particulièrement visionnaire, avait émis comme constat et quel texte de proposition de loi il avait rédigé contre la tyrannie vaccinale dès la fin des années 50' !!

 

Et maintenant …. voici venu le temps du « meilleur des mondes » que nous promettent en somme les scientistes vaccinophiles avec leurs patches vaccinaux et autres pseudo-progrès…

 

Vaccin: un nanopatch qui pourrait tout changer 

 

LE MONDE ECONOMIE, 23.01.2015

 

Et si un petit carré de silicone à peine plus grand qu’un cachou pouvait changer la face du monde ? Inventé par un chercheur australien, Mark Kendall, . le nanopatch pourrait bientôt reléguer aux oubliettes de l’histoire les seringues utilisées depuis plus d’un siècle pour administrer les vaccins. Hérissé de 20 000 nano-aiguilles enrobées d’antigènes (= le principe actif du vaccin), il déclenche une réponse du système immunitaire en sollicitant les cellules de la peau qui sont très sensibles.

 

Indolore, le nanopatch a aussi le mérite d’être bon marché. Il peut être fabriqué pour moins de 50 centimes de dollars à partir de silicone ou de bicarbonate, et il requiert une dose d’antigène minime (moins de 1 % de la dose utilisée dans les vaccins classiques). Autre atout : il est stable à température ambiante. « S’affranchir de la coûteuse et fragile chaîne du froid changerait tout », s’enthousiasme Seth Berkley, de Gavi Alliance, qui finance des campagnes de vaccinations dans le monde.

 

Les essais cliniques commencent tout juste, mais cette technologie a déjà conquis l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ainsi que le laboratoire américain Merck. M. Kendall est aussi cette semaine l’un des invités d’honneur du Forum de Davos qui a décerné à sa start-up Vaxxas le label très convoité de « Technology Pioneers ».

 

«J’ai toujours voulu faire quelque chose de grand », plaisante le scientifique de 42 ans. « Je rêvais d’être pilote dans l’armée de l’air australienne, mais comme je porte des lentilles de contact, j’ai été recalé », raconte-t-il. Devenu ingénieur, il débute sa brillante carrière à Oxford. C’est là qu’il découvre l’univers des maladies infectieuses. Avec d’autres chercheurs, il développe une première technologie consistant à projeter des microparticules de vaccin à la surface de la peau à une vitesse de 2 000 km/heure. Trop compliqué, trop cher, estime-t-il.

 

Une aubaine pour certains pays

 

De retour en Australie, à l’université du Queensland, il développe une idée née d’une rêverie. « Je m’ennuyais à une conférence et j’ai profité de cette parenthèse en dehors de mon laboratoire pour imaginer ce patch », se souvient le chercheur. « De retour à ma paillasse, j’ai transformé cette idée en réalité. »

 

Il fonde Vaxxas en 2011 et en 2012, il remporte le Rolex Award. Ce prix créé par l’horloger suisse en 1976 lui permet de financer un voyage de terrain, en Papouasie-Nouvelle-Guinée. L’objectif du chercheur est encore modeste : il s’agit de voir comment se comporte le patch dans des conditions réelles d’utilisation, par une température de 40 degrés et avec une humidité proche de 100 %. « Il est resté parfaitement stable, mais nous nous sommes aperçus que notre packaging était trop difficile à ouvrir avec des doigts humides de transpiration », s’amuse le chercheur.

 

Surtout, il mesure l’attente créée par son projet dans des régions reculées et démunies, où une bonne partie des fonds alloués à la vaccination est engloutie par la logistique. « La Papouasie-Nouvelle-Guinée, dont la surface correspond à peu près aux deux tiers de la France, ne compte que 400 réfrigérateurs adaptés », insiste Mark Kendall. « Et faute d’infrastructures, le moindre trajet prend des airs d’expédition, ce qui explique que de nombreux patients renoncent à aller se faire vacciner. »

 

Alors que l’OMS a lancé une offensive pour éradiquer la polio, son patch pourrait bien être l’arme qui manquait encore à l’arsenal des médecins. « Dans des pays comme le Pakistan ou le Nigeria, imaginez la difficulté d’acheminer et d’administrer des vaccins classiques ! Le patch permet d’aplanir bon nombre des obstacles auxquels l’OMS se heurte », se réjouit Mark Kendall. Les premiers tests sur l’homme seront réalisés sur quelques volontaires à Brisbane en Australie cette année et, dès 2016, un essai clinique démarrera à Cuba« En cas de succès, nous pourrions le lancer en 2020 », estime M. Kendall. D’ici là, il lui faudra être en mesure de produire 100 millions de patchs. « Un vrai défi », reconnaît-t-il. « Nous avons ouvert une filiale aux Etats-Unis pour travailler avec des fabricants. »

 

Le potentiel du patch de Vaxxas n’a pas échappé aux géants de la pharmacie, dont l’américain Merck. Le laboratoire, numéro deux mondial du vaccin juste derrière Sanofi, a signé en 2012 un accord secret avec la start-up pour tester son patch avec trois vaccins «maison». « D’autres partenariats sont en discussion», indique avec un grand sourire Mark Kendall qui a déjà réuni plus de 75 millions de dollars (66 millions d’euros) pour financer ses travaux et s’apprête à lever d’autres fonds.

 

Sources : Le Monde (voir aussi 20Minutes.fr et sen360.com)

 

Voir aussi

 

Le système d'administration sans aiguille de vaccins par nanopatch: miracle ou menace?

 

La dangereuse tromperie des « vaccins sans aiguilles »

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1 février 2015 7 01 /02 /février /2015 20:10

FOTOLIA médecine autoritaireLes habitants de la planète sont déjà très largement saturés de vaccins. Alors que plus d'un milliard de gens sont sans eau potable et quasi le même nombre souffrent de la faim, le Gavi se flatte d'avoir déjà récolter plus de 7,5 MILLIARDS de dollars pour la vaccination, nous citons, "de tous les enfants jusqu'au dernier" entre 2016 et 2020, une formulation éminemment  révélatrice de l'autoritarisme inquiétant et de l'idéologie sous-jacente à pareille sinistre démarche. Nous vous invitons à lire les deux articles mentionnés à la fin de ce présent article car ils vous fourniront des chiffres plus précis pour une bonne comparaison, de façon à ce que vous sachiez vraiment ce que vous soutenez si vous étiez partisans de projets aussi incohérents que révoltants.

 

La triste "prouesse" du Gavi en défaveur de la santé et des droits des enfants...

 

BERLIN,  27 jan 2015 (AFP) - L'organisation Gavi a recueilli des  promesses de dons de 7,539 milliards de dollars pour poursuivre une campagne de vaccination d'enfants dans les pays pauvres entre 2016 et 2020, ont annoncé ses responsables mardi à l'issue d'une conférence de donateurs à Berlin.

 

Gavi, Alliance globale pour les vaccins et l'immunisation, s'était fixé un objectif de 7,5 milliards de dollars (6,6 milliards d'euros) pour financer la prochaine étape de sa campagne de vaccination, qui doit permettre d'immuniser 300 millions d'enfants et de sauver entre cinq et six millions de vies.

 

L'objectif de récolte de fonds a été légèrement dépassé "parce que certains donateurs ont augmenté leur contribution de manière substantielle", s'est félicité lors d'une conférence de presse Dagfinn Hoybraten, président de l'Alliance.

 

Gavi a recueilli un engagement à hauteur de 365 millions d'euros sur la période de la France, l'un des plus gros contributeurs au projet; l'Allemagne a promis 600 millions d'euros, 100 millions d'euros de plus que ce qu'elle avait budgété au départ.

 

La Chine, Oman, le Qatar et l'Arabie Saoudite ont rejoint pour la première fois le rang des donateurs, a précisé M. Hoybraten, alors que Pékin faisait il y a quelques années encore partie des bénéficiaires du projet.

 

La Fondation Gates, du fondateur de Microsoft Bill Gates, va contribuer à hauteur de 1,55 milliard de dollars à la prochaine phase, a précisé à Berlin M. Gates.

 

Gavi, lancé en 2000, a vacciné jusqu'à présent 440 millions d'enfants contre la pneumonie, la méningite A, la fièvre jaune, le HPV (virus du papillome humain), ou encore l'encéphalite japonaise.

 

Grâce à Gavi "nous avons déjà beaucoup avancé", a salué la chancelière allemande Angela Merkel, s'adressant aux donateurs. "Mais il y a encore des défis", a poursuivi la dirigeante, soulignant que l'épidémie d'Ebola en Afrique avait montré "la faiblesse des systèmes de santé dans certains pays". 

 

La santé "sera aussi une priorité de notre présidence du G7", a dit Mme Merkel, dont le pays préside cette année le groupe des pays les plus développés de la planète.

 

Jasmine Whitbread, présidente de l'ONG Save the Children, a estimé que les engagements pris constituaient un bon départ pour cette présidence allemande.

 

Elle a rappelé que, aussi "impressionnantes" qu'aient été les réalisations de Gavi jusqu'à présent, elles avaient été "inégales" selon les pays et les publics. L'objectif de la prochaine campagne sera d'atteindre "jusqu'au dernier des enfants", a-t-elle dit, y compris dans les zones rurales reculées.

 

Source: La Dépêche.fr


Voir aussi:

 

Vaccination (Prevenar) dans le Tiers Monde: le principe des soldes

De l'eau et de la nourriture? NON! Des vaccins? OUI!!!!!  

Bill Gates appelle le monde à "une guerre contre une pandémie mondiale"

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4 décembre 2014 4 04 /12 /décembre /2014 07:00

VACCINS : IGNORANCE MEDICALE OU TROMPERIE ?

 

Une maman en a eu par-dessus la tête !

 

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FAITES-MOI CONFIANCE, JE SUIS MEDECIN

 

TLB Staff, 29 novembre 2014 – Préface Roger Landry

 

Je suis récemment tombé sur le texte d’une lettre qui a de suite attiré mon attention pour de nombreuses raisons :

 

Cette lettre était manifestement écrite par des parents conscients,  bien informés et manifestant un haut niveau de préoccupation au sujet de la santé de leurs enfants.

 

Les arguments de la lettre sont précis et révèlent un niveau de connaissances que la majorité du personnel médical ne pourrait imaginer chez des parents ou chez un profane, ceci dit avec tout le respect que l’on doit à tout un chacun.

 

J’ai contacté l’auteur de la lettre et lui ai demandé la permission de la publier. La personne s’est montrée heureuse de constater notre intérêt. De notre côté, nous sommes aussi heureux de vous en faire prendre connaissance.

 

Pendant trop longtemps, une grande partie de la société a cru que les vaccins étaient les sauveurs de la société moderne, et qu’ils avaient protégé des millions de personnes de la maladie et de la mort. Cependant, les preuves du contraire sont à la fois crédibles et abondantes. Toutes mes recherches personnelles et tous mes écrits ont pu prouver que la réalité était en fait tout le contraire de ce qu’on veut bien nous dire.

 

Les vaccins administrés dans le monde au cours du siècle dernier sont en fait responsables de plus de décès de plus de dommages à l’humanité que n’importe quelle guerre moderne. En conséquence, ceux qui profitent des vaccins, ceux qui les administrent, tout en étant au courant des faits, semblent bien être parmi les personnes les plus dépravées de la planète.

 

Protéger nos proches, en particulier nos chers enfants, est une tâche dans laquelle nous ne faillirons pas. Nos enfants sont le futur de nos communautés, ainsi que de l’humanité elle-même. Notre groupe voit ces parents comme de véritables étoiles qui vont montrer à tous le meilleur des exemples. Nous ne saurions surestimer l’admiration et la reconnaissance que nous leur portons.

 

Ce que vous vous apprêtez à lire est rafraîchissant. Ce texte constitue un exemple de parents qui veulent sortir des sentiers battus pour protéger l’enfant qu’ils aiment.

Faites part de cet exemple aux médecins et personnel médical que vous connaissez… Ces personnes ne peuvent pas tout savoir. Et c’est précisément ce qu’ils ne savent pas qui risque d’endommager la santé de nos enfants et mettre l’avenir de l’humanité en danger.

 

Aimable contribution au projet de «  Liberty Beacon »

 

Par Trina Ricketts

 

En Colombie Britannique (Canada), les infirmières scolaires pourchassent délibérément les jeunes de 14 ans et plus qui présentent des formulaires de consentement sur lesquels les parents ont écrit NON à tous les vaccins. Ces infirmières déploient beaucoup d’efforts pour persuader ces enfants de se faire vacciner en se basant sur la loi ayant trait au « consentement de maturité » qui stipule que les enfants de plus de 14 ans peuvent prendre leurs propres décisions à propos d’interventions médicales. Plusieurs enfants d’amis ont ainsi été poussés à faire les vaccins contre la volonté de leurs parents. Un de ceux-ci a porté l’affaire devant l’Association pour les Libertés Civiles de Colombie Britannique.

 

J’ai voulu garder ma fille à la maison le jour de la vaccination. Je sais que beaucoup de parents finissent par accepter que leurs enfants soient vaccinés bien que leur intention initiale soit de refuser les vaccins. Ces parents sont souvent victimes d’intimidation par des infirmières ou des médecins. Je peux aussi facilement comprendre combien il est difficile pour un enfant de refuser face à pareilles pressions.

 

Bien que j’aie initialement décidé de garder ma fille à la maison le jour de la vaccination, cette dernière n’a pas voulu rater ses cours favoris. J’ai donc entraîné ma fille par rapport à ce qu’il fallait dire si quelqu’un essayait de la pousser à la vaccination. J’ai aussi pris la précaution d’envoyer une lettre demandant que ma fille ne soit pas vaccinée. Dans cette lettre, j’avertissais ceux qui auraient voulu obliger ma fille à se faire vacciner, que je porterais l’affaire devant les tribunaux et que j’en informerais les médias.

 

A ma grande surprise, le responsable médical a répondu à ma lettre. C’était la propagande habituelle avec un soupçon de condescendance et un fameux paquet d’ignorance. Je n’y tenais plus et n’ai pas pu m’empêcher de répondre…

 

19 novembre 2014

 

Au responsable médical

 

Bonjour,

 

Je ne m’attendais pas à une réponse de votre part. Mais puisque vous avez pris la peine de me répondre, j’ai pensé que l’élémentaire politesse était d’aussi prendre la plume. Vous m’aviez en effet encouragé à vous contacter si j’avais des questions ou des préoccupations.

 

J’ai en effet un certain nombre de préoccupations au sujet des vaccins en général. Mais je suis tout particulièrement préoccupée par les infirmières qui cherchent à identifier les enfants non vaccinés en déployant tous leurs efforts pour que ces enfants soient vaccinés même contre la volonté de leurs parents. Je vais vous présenter toutes mes questions et vous serais très obligée de bien vouloir y répondre. Pourrais-je aussi vous demander de me fournir les preuves (avec les sources) de ce que vous affirmez dans votre lettre.

 

Mon premier groupe de questions a trait au « consentement éclairé ». Puis-je vous demander :

 

* Quelle est la procédure que vous suivez pour « informer » l’enfant des avantages et des risques associés aux vaccins que vous administrez ?

 

* Fournissez-vous la notice et parlez-vous des ingrédients de chaque vaccin, leur toxicité connue et la raison pour laquelle ces ingrédients sont nécessaires ?

 

* Informez-vous les enfants du risque de contracter la maladie en question ?

 

* Informez-vous les enfants des risques éventuels de décès s’il contracte la maladie ?

 

* Donnez-vous des explications sur les symptômes de la maladie, pour que l’enfant puisse décider s’il veut prendre le risque de faire le vaccin ou de faire éventuellement la maladie ?

 

* Enumérez-vous les effets secondaires potentiels qui sont repris dans la notice qui accompagne le vaccin ?

 

* Demandez-vous aux enfants si des membres de leur famille ont déjà connu des effets secondaires après vaccinations ?

 

* Offrez-vous un consentement éclairé aux enfants qui se présentent avec un formulaire précisant que leurs parents ont répondu « oui » dans la case destinée aux vaccins recommandés ? Leur avez-vous expliqué qu’ils ont le droit de refuser le vaccin en dépit du souhait de leurs parents ? Avez-vous donné une information sur les risques et avantages comme je l’ai précisé plus haut ?

 

* Si vous ne faites pas ces choses avant d’administrer un vaccin, surtout quand il s’agit d’enfants, alors vous ne pouvez prétendre obtenir un « consentement éclairé ».

 

Mon second groupe de questions concerne le problème des preuves.  Dans votre lettre, vous dites que « la vaccination est une mesure de santé publique importante et efficace pour la protection des individus et de la communauté contre les maladies à prévention vaccinale. »

 

* S’il vous plaît, veuillez me fournir les preuves montrant que cette affirmation est vraie en me faisant parvenir copie des études ou liens d’études que je pourrais examiner  en toute indépendance, et qui prouvent que les vaccins sont sûrs et efficaces. Ces études devraient montrer la causalité et non une corrélation quelconque. Prenons un exemple, si une maladie a disparu au moment où le vaccin a été introduit, je vous saurais gré d’inclure les dates, ainsi qu’un graphique montrant la corrélation avec le déclin de la maladie, et aussi la raison pour laquelle on considère qu’il s’agit d’une preuve causale.

 

* Veuillez s’il vous plaît me citer la source des études qui ont été à la base de la modification du nombre de vaccins HPV administrés aux filles (Fraser Health). J’ai reçu un courrier qui indiquait que les filles ne devaient désormais pas recevoir plus de deux vaccins contre le HPV. J’aimerais savoir ce qui, dans ces études, a entraîné une telle décision.

 

* Pourriez-vous s’il vous plaît me fournir la preuve que le vaccin contre le HPV prévient le cancer ?

 

* Veuillez s’il vous plaît me conseiller les études qui montrent, sur le plan de la santé, les différences entre enfants vaccinés et enfants non vaccinés ?

 

* Veuillez s’il vous plaît me préciser la durée de formation que des infirmières reçoivent avant d’administrer des vaccins ?

 

* Dans votre lettre, vous mentionnez que les infirmières «  reçoivent des informations sur les contre indications spécifiques aux vaccins » Qu’est-ce que cela veut dire ? Comment réalisez-vous la chose ?

 

* En ce qui concerne les preuves, je vous prie de savoir que je ne puis accepter des études au cours desquelles le groupe contrôle reçoit de l’aluminium ou d’autres vaccins en guise de « placebo ». Le fait d’utiliser des substances toxiques dans un groupe de contrôle en guise de « placebo » ne relève nullement d’une science soucieuse de l’éthique. Le fait de comparer des personnes auxquelles on injecte des vaccins avec d’autres personnes auxquelles on injecte les ingrédients des vaccins, relève d’une science de pacotille.

 

Votre lettre relève les étapes suivantes pour obtenir, comme vous dites,  un « consentement mature » :

 

* Informer l’enfant qu’il peut se faire vacciner contre la volonté de ses parents ;

* Evaluer la capacité de la personne à donner son consentement ;

* Fournir des « informations standard ».

* Accorder du temps pour les questions et les réponses ;

* Assurer l’enfant qu’il peut refuser ou révoquer son consentement.

 

Au sujet de ces différents points, j’aurais quelques questions à vous poser :

 

* Qu’entendez-vous par « information standard » ; en d’autres mots quelle information donnez-vous ?

 

* Comment une infirmière peut-elle évaluer la capacité d’une personne à fournir un consentement » ? Possède-t-elle une formation en évaluation psychologique ? Si l’évaluation est une affaire de quelques minutes, comment peut-elle être considérée fiable ?

 

En conclusion, je souhaiterais  vous partager une petite histoire sur le « consentement éclairé ».

 

Il y a peu un médecin m’a recommandé de faire le vaccin contre le tétanos. Il m’a dit que j’avais de fortes chances de mourir si je ne faisais pas le vaccin avant mon intervention. Il m’a aussi dit que le tétanos était une bactérie qui provenait de l’intérieur de l’estomac. Cette bactérie pouvant donc provoquer la mort d’une personne non vaccinée contre le tétanos. Voici ce que moi je sais du vaccin antitétanique que ce médecin ne connaît pas :

 

* La bactérie qui provoque le tétanos, Clostridium tetani, se trouve dans le sol, les poussières et les excréments d’animaux. Et non pas dans nos estomacs.

 

* En 2009, 19 cas de tétanos ont été rapportés (la plupart chez des personnes au-delà de 65 ans), dont deux décès.

 

* Jusqu’à août 2012,  22.143 effets secondaires ont été rapportés chez les enfants et les adultes à la suite des vaccins antitétaniques ou des vaccins combinés comprenant Diphtérie-Tétanos-Coqueluche et 67 décès. Ces effets secondaires ont fait l’objet de rapports envoyés au VAERS.

 

* En 1994, l’Institut de Médecine a conclu qu’il existait des preuves scientifiques irréfutables qui arrivaient à la conclusion que les vaccins contre le tétanos, les vaccins Diphtérie Tétanos et le Vaccin Td pouvaient causer le syndrome de Guillain Barré, la névrite brachiale, les décès et la mort par choc anaphylactique.

 

* J’ai refusé le vaccin en dépit des tentatives du médecin de me persuader au moyen de fausses informations. Je n’ai pas fait un tétanos et je ne suis pas morte.

 

J’ai passé de nombreuses heures à effectuer des recherches sur les vaccins, j’ai lu de nombreuses études et je me suis documentée sur les vaccins par rapport aux maladies que ces derniers sont censés prévenir. En revanche, je trouve que la plupart des professionnels de la santé savent très peu de choses sur les vaccins, sauf pour dire qu’ils sont sûrs et efficaces parce que c’est ce qui est écrit dans leurs manuels.

 

Je suis consciente du danger qu’encourent les professionnels de la santé quand ils refusent de se conformer au discours officiel sur les vaccins. Ils risquent de perdre leur licence, d’être virés, exclus ou couverts de honte pour avoir choisi d’exercer leur droit à la liberté en matière de santé. Bien que je sympathise avec les membres de la profession, je ne puis pour autant fermer les yeux sur cette pratique qui consiste à cibler les enfants et à les persuader de se faire vacciner contre la volonté de leurs parents. En général, les infirmières ont très peu de connaissances sur les risques des vaccins et n’informent pas correctement les enfants sur les effets secondaires possibles ou sur les risques associés aux vaccins.


Le vaccin contre le HPV en particulier a déjà provoqué des insuffisances ovariennes, la stérilité, l’invalidité et le décès de nombreux enfants dans le monde entier. Plusieurs pays ont retiré le vaccin HPV de leur programme de vaccination. Expliquez-vous tout cela à chaque enfant ? L’expliquez-vous aux parents ? Si non vous négligez de donner des renseignements qui seraient en mesure d’assurer un véritable « consentement éclairé ».

 

Mon espoir, c’est d’avoir soulevé des questions dans votre esprit sur la sécurité et l’efficacité des vaccins. J’ose aussi espérer que vous pourrez vous rendre compte de l’hypocrisie d’un système médical dont la devise est « d’abord ne pas nuire » et qui est dans le déni quand une personne a subi des dommages vaccinaux. Les statistiques  d’effets secondaires des vaccins sont assez faibles parce que les médecins refusent d’admettre les accidents quand ils se produisent. Et même avec de faibles statistiques, le système VAERS (Vaccine Adverse Events Reporting System) ne fait que montrer un faible aperçu du nombre astronomique de personnes dont la santé a été endommagée par les vaccins. Les vaccins peuvent causer des dommages. Les vaccins provoquent des dommages. Nier cette vérité est un mauvais service qui détruit des vies.

 

Les gens méritent d’être correctement informés quand ils doivent prendre des décisions au sujet de leur santé. Et il s’agit que l’on respecte leurs décisions.

 

J’attends votre réponse avec impatience, ainsi que les documents qui appuient votre position. Veuillez avoir l’amabilité de me répondre par mail s’il vous plaît.

 

Cordialement,

Trina Ricketts

 

Source : The Liberty Beacon

 

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10 novembre 2014 1 10 /11 /novembre /2014 12:35

Peut-être êtes-vous intéressé(e) si vous avez des achats à faire car cela vous promet une belle réduction en perspective?? Voici donc "le deal"...

 

belle-reduction-surprise--.jpg20% de réduction sur vos achats si vous faites le vaccin contre la grippe aujourd'hui

 

Attention donc aux enfants qui achètent seuls avec peu d'argent de poche car cela pourrait s'avérer beaucoup plus coûteux pour les parents après qu'avant... voir notamment ici ou ici pourquoi:

 

 

 

 

Voir aussi: le calvaire d'une petite fille après le vaccin contre la grippe

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15 octobre 2014 3 15 /10 /octobre /2014 19:29

Les vaccins gratuits dans les centres de vaccination dès 2016

 

Jeudi 09 octobre 2014

  

homme-infirmierev.jpgL'accès à la vaccination va être facilité grâce à la gratuité du vaccin dans les centres de santé et les hôpitaux dès janvier 2016.


Le projet de loi pour le financement de la Sécurité Sociale 2015 (PLFSS) souhaite faciliter l'accès à la vaccination des populations fragiles ou éloignées du système de soins.


La vaccination est principalement réalisée chez le médecin ou l'infirmière, avec une prise en charge à 65%. Mais les centres de vaccinations - hospitaliers ou centres de santé - peuvent également la pratiquer.


Aujourd'hui, les centres financent intégralement l'acquisition des vaccins qu'ils dispensent.


Le vaccin et l'acte gratuits dès le 1er janvier 2016


Le texte propose de rendre le vaccin et l'acte gratuits dès le 1er janvier 2016 :


- par une prise en charge de l'Assurance maladie à hauteur de 65 % du prix des vaccins;

- les 35 % restants seraient à la charge des centres qui vaccinent.


La consultation au cours de laquelle un médecin (ou une infirmière) pratique la vaccination est réalisée en "tiers-payant". C'est-à-dire que les patients n'auront rien à débourser.


C'est déjà le cas pour les enfants lors des consultations et des actes pratiqués en PMI (protection maternelle et infantile).

 

Source : dossiermedical.com

 

Trois remarques … la première est que cette "gratuité" est une malhonnêteté car cela sera en réalité financé par la collectivité toute entière et cela dans un contexte où la Sécurité sociale dit vouloir faire des économies (des centaines de millions d'euros par an pour l’industrie pharmaceutique mais pas pour la santé publique !). La deuxième est que ce "cadeau" est à sens unique (cadeau empoisonné?) dès lors qu'en cas d'effets secondaires "gracieusement offerts", il n'y aura plus aucune "gratuité" pour la victime qui devra payer de son corps et de son porte-monnaie. La troisième remarque est de souligner l'indécence totale qu'il y a à dire qu'il faudrait encore "favoriser l'accès" aux vaccins pour quiconque dans un contexte où les gens sont harcelés en permanence par de nombreux canaux pour se faire vacciner du berceau à la tombe!!!!

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21 septembre 2014 7 21 /09 /septembre /2014 15:00

Grâce à deux exemples différents mais ô combien concrets, nous allons voir les nouvelles méthodes de propagande que vont utiliser les officiels (ou les médias dits "publics") ainsi que les firmes pharmaceutiques -l'Etat et les firmes se considérant comme des "partenaires naturels" (rapport du Sénat français de 2007)- pour mieux laver le cerveau des jeunes enfants et tenter d'enrayer une prise de conscience décisive du public sur les effets pervers ingérables des vaccins. 

 

Premier exemple: le dessin animé "Le village de Dany" dans l'émission de France 5 "Les zouzous". Episode intitulé "Danny se fait faire une piqûre" (cf les 11 premières minutes):

 


 

Je regarde tes oreilles, dans ta bouche, et si tu as de la fièvre. Après ça je pique, ça fait 23 euros. J'ai juste oublié d'informer ta maman des multiples effets secondaires possibles de l'acte que je viens de t'infliger. Normal, il m'aurait fallu une bonne demi-heure, et franchement, ça me fait chier. D'autant plus que si j'avais expliqué à ta maman ce qui risque de t'arriver, elle se serait sauvée en courant en me filant une bonne baffe. Ton consentement éclairé, et celui de ta maman, je m'assieds dessus. De toute façon, si elle est là, c'est qu'elle n'a rien lu sur les vaccins (moi non plus, d'ailleurs). Surtout, toi et ta maman, faites comme moi, "fermez les yeux". Commentaire d’un médecin généraliste français sur cet épisode du "Village de Dany". 

 

Remarque: comme plusieurs s'en seront aperçus, le mot "vaccin" n'est jamais prononcé dans ces 11 minutes. Il faut dire que ceux-ci ont de moins en moins la cote (voir ici ou ici par exemple). L'establishment tente donc de gagner une sorte de "course contre la montre" sur les générations, en évitant le point de rupture qui n'est en réalité plus très loin: en vaccinant de plus en plus massivement avec des vaccins qui sont aussi générateurs d'effets secondaires (puisque tous sont expérimentaux), il est clair que "le serpent va se mordre la queue" tôt ou tard et que chacun finira par connaître, si ce n'est lui-même, beaucoup plus de personnes victimes de vaccins que des personnes prétendûment sauvées des maladies infectieuses ou de leurs complications. Le mythe des vaccins sauveurs ne peut dont que voler en éclats à terme. Mais l'espoir caressé par l'establishment et les industriels, c'est d'essayer de renouveler l'idéologie de toute la jeune génération dans une sorte de grand "reset" général, de façon à faire passer comme entièrement naturel, intégré et "allant de soi" le fait de se faire vacciner. Raison de plus pour faire deux fois plus attention aux programmes devant lesquels vous mettez vos enfants!

 

Deuxième exemple, qui reprend aussi le thème du "super héros" (et donc du courage) déjà repris dans le dessin animé ci-dessus mais cette fois, dans la réalité. Un enfant se fait manipuler par ses parents et par le corps médical qui lui remet à la fin un diplôme de "courage" fabriqué par la firme GSK en lien avec son vaccin Infanrix:

 

 

 

Ce triste saut du "fictionnel" (premier exemple) au concret (deuxième exemple) peut-être lourd de conséquences. Car il y a là derrière toute une idéologie, qui ne laisse hélas plus place à la moindre réflexion. En témoignent toutes ces vidéos les plus violentes, toute cette démesure scientiste, avec tout ce qu'elle a de tragique et de désespérant. Regardez donc les infirmières et les médecins s'affairer comme des robots, en s'entêtant à faire absolument 6 ou même 7 injections à la fois sans RIEN savoir scientifiquement des effets secondaires synergiques que tous ces cocktails vaccinaux peuvent engendrer (car bien sûr, plus il y a de vaccins administrés, plus élevés sont les risques d'effets graves)... 

 

 

 

 

Si les parents (comme tous ceux qui postent fièrement toutes ces vidéos de ces mauvais traitements sur leurs enfants) n'ont pas le bon sens suffisant pour voir qu'il y a là vraiment quelque chose qui ne va pas et qui va bien au-delà de simples pleurs dus à l'effraction cutanée (piqûre) , il est probable qu'ils ne comprendront sans doute jamais rien sur le sujet...

 

« J’appelle ça de la vaccinnomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité. » Nicholas REGUSH, journaliste médical

 

Pour Initiative Citoyenne, ce n'est pas juste "friser" la criminalité. C'est déjà de la criminalité pure. En Belgique, comme en France, il existe d'ailleurs des lois sur l'ABUS DE FAIBLESSE qui gagnent à être utilisées dans le cas d'espèce pour les parents qui ont été trompés car il s'agit véritablement de cela ici.

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 15:46

10 juillet 2014

 

Grenouille verte cubaineLe champignon pathogène Batrachochytrium dendrobatidis, ou Bd, est impliqué dans le déclin de plusieurs espèces d’amphibiens dans le monde. Il y a eu peu de preuves que les amphibiens puissent acquérir une résistance à ces pathogènes, mais maintenant Jason Rohr et ses collègues présentent les résultats de recherches sur plusieurs espèces d’amphibiens, y compris la grenouille verte cubaine, Osteopilus Septentrionalis, montrée ici, et qui démontrent que les grenouilles peuvent apprendre à éviter le pathogène, pouvant survivre à l’immunodépression induite par ce pathogène après des expositions répétées, et peuvent être vaccinées en utilisant le pathogène mort/tué. Des projets de préservation (des grenouilles) ont consisté à déplacer les espèces d’amphibiens d’habitats infestés par ce pathogène et à les nourrir en captivité. Utiliser des vaccins pour induire une résistance chez les grenouilles captives avant leur retour à l’état sauvage pourrait permettre, dans le futur, le repeuplement d’aires qui avaient été marquées par un déclin catastrophique de ces espèces.

 

Source : IFLNews et Nature

 

Une fois encore, certains croiront à cette FAUSSE solution qui amènera elle aussi son lot de problèmes et de maladies (effets secondaires de vaccins) dont on ne parlera jamais, de même que la composition de ce vaccin pour grenouilles !  

 

La Nature entière finira par être contaminée par ces vaccinations (on vaccine déjà les oiseaux, les pigeons (au sens propre comme au sens figuré !), les lapins, les chevaux, certainement aussi les animaux de cirques ou de zoos…les êtres n’ayant jamais été contaminés par aucun vaccin deviendront des exceptions et comme par hasard, sur le plan global, ce sont ceux qui auront la meilleure santé.

 

Cette obsession vaccinale plonge les êtres vivants dans une dépendance, ne règle RIEN des véritables causes des maladies et de leurs complications et nivelle par le bas la santé globale. Ce n’est pas en polluant toujours plus la terre qu’on arrivera à améliorer la santé globale et à long terme de quelque être vivant que ce soit !


 

Voir aussi maintenant quelques photos, une photo d'une grenouille rendue malade par ce pathogène mais à comparer à... d'autres photos relatives par exemple aux effets créés chez l'homme par un prétendu vaccin miracle contre la variole (qui n'est en réalité PAS la cause de la disparition de la maladie, comme admis par l'OMS dans son rapport final d'éradication de 1980). Pensez-vous que l'on vous montrera jamais des photos de grenouilles estropiées par une future vaccination??

 

grenouille-infectee.jpgBatracien infecté

 

Vaccine de l'oeil (risque de cécité) et nécroses induites par la vaccination contre la variole:

 

vaccinia-oeil.JPGphoto-2.JPG

 

PHOTO-necrose-vaccin.JPG

 

Tous ces cas ont été beaucoup plus nombreux qu'on a bien voulu vous le dire et cela n'a été admis confidentiellement ou presque que très tardivement dans des ouvrages médicaux spécialisés que le public ne consulte jamais.... que ça soit pour les grenouilles, les autres animaux, les enfants, les adultes, les vieillards, les effets désastreux des vaccins sont beaucoup plus profonds, durables et dramatiques que ce que vous avez jamais pu imaginer... voilà ce qu'une étude approfondie, libre et indépendante du sujet des vaccins vous promet assurément de découvrir... dans le plus grand intérêt de la préservation future de votre santé.

 

Le drame n'est pas isolé, il est susceptible de tomber sur chacun, en raison d'une désinformation scandaleuse sur la fausse innocuité des vaccinations. Voici des exemples, faites l'effort de vous rendre compte, il y a des milliers d'autres cas!!

 


 

 


 

 

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30 juin 2014 1 30 /06 /juin /2014 21:10

En bref : vaccinera-t-on bientôt les fœtus ?

 

Le fœtus disposerait déjà d'un système immunitaire actif. C'est qu'ont découvert des chercheurs français qui estiment que l'on pourrait de ce fait renforcer les défenses de l'enfant avant la naissance.

 

Le 30/06/2014 - Par Destination Santé

 FOTOLIA--ventre-femme-enceinte.jpg

 

Les cellules spécifiques de la mémoire immunitaire sont les seules que la mère ne transmet pas à son enfant. Celui-ci, en revanche, a ses propres lymphocytes T qui pourraient apprendre à connaître des pathogènes avant la naissance. 

 

Dans le ventre de sa mère, le fœtus est protégé. Pour mieux le préparer à affronter le monde extérieur, des chercheurs espèrent mettre au point un vaccin in utero. Pour ce faire, ils envisagent d’utiliser le propre réservoir de lymphocytes T du fœtus. Or, « jusqu’ici, on était persuadé que les lymphocytes T du fœtus restaient en veille si aucune pathologie infectieuse ne survenait pendant la grossesse », expliquent les auteurs d’une étude française (Inserm, institut Pasteur et AP-HP) publiée dans la revue Science Translational Medicine. Lesquels viennent de prouver… le contraire. 

 

Dans le ventre de sa mère, « le fœtus serait en fait capable de développer sa propre immunité, de type inflammatoire ». Signe que « malgré l’absence de pathogène dans l’environnement stérile, le fœtus développe sa propre mémoire immunitaire ». L’idée serait donc de profiter du potentiel des lymphocytes T pour vacciner in utero.

 

À l’avenir, les chercheurs espèrent pouvoir administrer des vaccins à la femme enceinte pour stimuler les défenses de l’enfant à naître. « Mettre en place une mémoire vaccinale anténatale propre au nourrisson permettrait d’augmenter son immunité au cours des premiers mois de vie», concluent-ils. Et donc d’anticiper les vaccins prévus dans les premiers mois de vie de l’enfant pour renforcer sa résistance contre les maladies infectieuses du nourrisson.

 

Source: Futura-sciences.com


Alors qu’il a fallu des MILLIONS d’années d’évolution pour que le système immunitaire des singes puis des hominidés et des êtres humains se perfectionne et sélectionne la période de pleine maturation la plus appropriée et alors aussi que les plus hauts experts de l’industrie pharmaceutique et de l’OMS admettent encore aujourd’hui que le système immunitaire reste insuffisamment étudié et qu’on ne comprend toujours pas comment marchent les vaccins, voilà que des scientifiques épouvantablement dangereux et arrogants prétendent qu’il sera utile de vacciner in utero pour « stimuler les défenses de l’enfant à naître » !!!

 

La seule place de ces pseudo-savants, en réalité savants fous au sens fort, est EN PRISON et nulle part ailleurs, tant leurs pratiques sont périlleuses pour l’ADN et la survie des générations futures du monde entier. Ces pratiques et ces recherches sont inacceptables, elles font fi du plus élémentaire bon sens mais il faut dire que les cerveaux des scientifiques n’échappent pas non plus aux dommages neurologiques et à l’abrutissement cognitif auxquels contribuent certainement les vaccinations à répétition avec leur cocktail de substances neurotoxiques.

 

Le pire est que ces recherches criminelles sont financées et rendues possibles par des financements publics, parce que les citoyens ne sont plus capables de s’indigner, qu’ils se désintéressent du débat public, qu’ils ne comprennent plus les enjeux ou qu’ils s’illusionnent sur les pseudos « progrès scientifiques » promis. Cette entreprise monstrueuse, et qui ne pourra jamais avoir le moindre soubassement éthique, est peut-être malgré tout « une chance » si elle opère comme une clef, un déclic auprès des citoyens et des citoyennes les plus endormis et les plus dociles, qui finiront alors peut-être par comprendre ENFIN que quelque chose d’énorme cloche avec ce harcèlement vaccinal intempestif et indéfendable ! Fort malheureusement toutefois, il faut souvent qu’un drame arrive et le choc de l’après-coup et des regrets pour que les gens se décident enfin à voir les choses en face, à intenter des poursuites en justice etc.

 

Pour l’amour de l’humanité et par respect vis-à-vis du véritable esprit scientifique, refusons dès à présent bruyamment cette dénaturation et ce traficotage hasardeux du vivant et d’un système immunitaire que ne connaissent même pas ces inexcusables apprentis-sorciers !!!!!!!!!!!!! Les véritables menaces sanitaires du futur ne résident pas du tout dans des épidémies ou dans des pandémies naturelles mais bien plutôt dans une idéologie scientifique dommageable et totalitaire dont le seul terreau possible est une crédulité et une soumission publiques excessives.

 

Voir aussi: L'argent du Télévie sert-il aussi à financer ce sombre projet?


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