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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 21:44

Grippette classée "secret -défense"

 

La Commission d'enquête parlementaire qui rend Bachelot malade.

 

L'article-vérité du Canard Enchaîné (journal INDEPENDANT) du 7 juillet 2010  ICI

 

Comme on aura pu le lire, tous les "sujets qui fâchent" (conflits d'intérêts, OMS, etc) auront été épargnés par une telle "commission d'enquête".

 

Triste Commission d' "enquête".....

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 20:23
08 JUILLET 2010
 

Deux catégories de vaccin seront disponibles en France pour l'automne 2010-2011 : un vaccin trivalent incluant des souches de grippe saisonnière et une souche A(H1N1) et un vaccin monovalent contre la seule grippe A(H1N1).

- Le vaccin trivalent comprendra, comme l'a recommandé l'OMS, la souche H1N1 2009 pandémique, en l'occurrence A/California/7/2009 (H1N1) like virus. Les deux autres souches sont A/Perth/16/2009 (H3N2), nouvelle souche par rapport au vaccin de grippe saisonnière 2009-2010, et B/Brisbane/60/2008, souche inchangée. La vaccination est recommandée pour les personnes âgées de 65 ans et plus, les enfants à partir de 6 mois et les adultes présentant des facteurs de risque, les personnes infectées par le VIH (de plus de 6 mois), l'entourage familial des nourrissons de moins de 6 mois présentant des facteurs de risque de grippe grave et les professionnels de santé et autres professionnels à risque.

- Le vaccin monovalent ne protégera que de la grippe A(H1N1)2009. Les vaccins monovalents contre la grippe A(H1N1) seront les mêmes que ceux de 2009, et principalement avec adjuvants. Le Haut Conseil de la santé publique (HCSP) les recommande pour les femmes enceintes sans facteurs de risque pour la grippe saisonnière, dès le deuxième trimestre de la grossesse, pour les personnes atteintes de maladies endocriniennes et métaboliques susceptibles d'être décompensées par une infection aiguë et pour les personnes obèses (IMC égal ou supérieur à 30).

Par ailleurs, le HCSP recommande aux personnes à risque devant voyager dans les prochains mois dans l'hémisphère sud de se faire vacciner avec le vaccin monovalent A(H1N1).

Un tableau récapitulatif de la stratégie vaccinale en fonction des populations et des catégories de vaccins qui seront disponibles est proposé sur le site du HCSP.

Le Haut Conseil réserve son avis sur le problème des nourrissons âgés de moins de 12 mois, qui ont présenté un sur-risque de développer des formes graves ou mortelles de grippe pandémique. Il le rendra après examen des études en cours sur ces formes graves et au vu de l'évolution des données épidémiologiques internationales.

En savoir plus :
Avis relatif à la stratégie vaccinale grippe pour la saison 2010-2011, HCSP (23 avril 2010)

04/06/2010 - ACTUALITÉS THÉRAPEUTIQUES / Recommandations

Source : HCSP & Arcat-Santé

 

L'avis d'Initiative Citoyenne Avec une arrogance détestable, on voit que l'expérimentation à grande échelle va se poursuivre, comme si de rien n'était!

 

Une fois encore, les femmes enceintes seront mises en danger et les gens déjà affaiblis le seront encore davantage avec un produit aux effets immaîtrisables sur le système immunitaire (lequel, on le sait, est connecté aux autres systèmes du corps). Encore des effets graves et des décès donc, en perspective! A noter que les voyageurs sont ajoutés dans le lot, on devrait davantage parler hélas de "pigeons voyageurs" pour les malheureux qui seront ainsi lamentablement désinformés car prenons-en conscience: si vraiment le virus H1N1 constituait un tel risque pour ces personnes dites "à risque" devant voyager, le plus élémentaire bon sens serait de déconseiller à ces gens de voyager plutôt que de leur proposer un vaccin expérimental aux effets pouvant être mortels ou chroniques à vie.

 

Quant à l'OMS et ses "avis", "conseils" ou "recommandations", la plus grande prudence est de mise et chaque citoyen gagnerait à se poser, à chaque fois, cette question: "Est-ce que cette position de l'OMS est avant tout bonne pour moi ou pour l'industrie?" ; Qui parle? L'OMS ou tous les labos qui la financent et donc décident de ce qu'elle dit, officiellement?

 

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 18:21

Les ministres européens de la santé ont évoqué lundi à Bruxelles la gestion cacophonique de la pandémie de grippe AH1N1, survenue l'an dernier, et décidé d'élaborer une approche commune d'achat de vaccins.

 

Les pays membres veulent se donner un pouvoir de négociation accru face à l'industrie pharmaceutique.

 

"Nous avons eu beaucoup de chance que la pandémie de grippe ait été plutôt légère. C'est l'occasion de se remettre en question et de mettre en oeuvre dès que possible les leçons tirées pour mieux nous préparer en cas de survenance d'une crise plus sévère", a commenté la ministre belge Laurette Onkelinx, qui a présidé la réunion - le premier Conseil des ministres de la présidence belge.

 

Alors qu'en 2008, avant la grippe AH1N1, 22 Etats membres sur 27 avaient exclu la piste d'un achat commun de vaccins au niveau européen, aucun pays ne s'y est plus opposé lundi, s'est félicité Mme Onkelinx.

 

Elle a rappelé avoir été l'une des seules à plaider pour cette option dès le départ.

 

La Commission européenne élaborera d'ici l'automne des propositions permettant de créer "des contrats publics communs" d'achat de vaccins, a indiqué le commissaire à la Santé, John Dalli, même s'il a admis que la base juridique d'une telle proposition était peu claire.

 

Source: RTL INFO

  

 

"L'OCCASION DE SE REMETTRE EN QUESTION", VRAIMENT????

 

Sur le site de Mme Onkelinx, on peut notamment lire dans un communiqué daté du 5 juillet 2010 et intitulé "Réunion informelle du conseil EPSCO sur la santé" que:

 

"Le second thème de la journée de lundi a été la gestion de la pandémie de grippe A/H1N1.

 
Cette séance informelle a été précédée par une conférence des experts européens, les 1er et 2 juillet : 300 représentants de toute l'Europe et d'autres pays invités ont participé à cette conférence, experts ou hauts fonctionnaires, ainsi que des représentants de l'Organisation mondiale de la Santé, du Centre européen de Prévention et de Contrôle des Maladies et de l'Agence européenne des Médicaments.
 
Le débat général a été très animé, sans tabous et très constructif.
 
En début de séance, Laurette Onkelinx a déclaré : « Nous avons eu beaucoup de chance que la pandémie de grippe ait été plutôt légère. C’est l’occasion de se remettre en question et de mettre en œuvre dès que possible les leçons tirées pour mieux nous préparer en cas de survenance d’une crise plus sévère. »
 
Les Ministres se sont mis d’accord sur 5 priorités :
 

1. Les conclusions de la conférence seront transmises au Comité d'Examen de l'OMS

Ce Comité étudie actuellement les structures de l'OMS et traite du règlement sanitaire international et de la crise de la pandémie de grippe. L'apport des Etats membres européens est un élément important pour améliorer les procédures existantes et instruments utilisés. 

2. Une révision du plan de préparation à une pandémie de l'UE

Les Ministres ont convenu de revoir le plan de préparation à une pandémie de l'Union européenne en fonction du résultat du Comité d'examen de l'OMS et des changements finaux apportés à la collaboration mondiale.

3. Un processus d’autorisation et d’information plus rapide sur les vaccins

La disponibilité des vaccins et la vaccination de la population ont été un réel défi. Bien que les institutions et agences européennes aient commencé les préparatifs bien à l'avance pour permettre une procédure d'enregistrement rapide lorsque la pandémie a commencé, il reste toujours une marge d'amélioration, surtout en ce qui concerne la communication et l'explication au grand public de la nature de ces procédures et de la façon de les exécuter.

4. Le développement d’une procédure pour l’achat groupé de vaccins et antiviraux

La fourniture de vaccins et antiviraux a été au centre des débats dans tous les Etats membres. Les Ministres ont demandé à la Commission européenne de développer une procédure qui permette des achats groupés volontaires
. La Commission a entendu cet appel puisque le commissaire Dalli a annoncé pour l’automne prochain une proposition concrète visant la mise en place d’une plate-forme commune d’acquisition sur base volontaire.

5. Une gestion solidaire de la pandémie

La solidarité est essentielle en temps de crise. Pour permettre à tous les citoyens à risque d'accéder aux vaccins et traitements antiviraux, les Etats membres de l'Union européenne doivent avant tout être solidaires entre eux ainsi qu’avec le reste du monde. Les Ministres ont convenu de travailler avec la Commission européenne et ses agences mais aussi avec l'OMS pour développer de meilleures procédures.

 
Pour Laurette Onkelinx, « Nous poursuivrons demain le fil de nos discussions dans un cadre plus large : la sécurité sanitaire. J’entends bien exploiter les leçons tirées de la pandémie de grippe pour discuter de la préparation et, en particulier, de la collaboration entre les Etats membres de l'Union européenne sur d'autres problèmes de santé éventuels en temps de crise. »

 

 

Pitoyable............ AUCUNE  N'EST REELLEMENT TIREE:

 

- Le maintien de la confiance en l'OMS qui a démontré par a+b que plus aucun citoyen ne peut désormais encore lui faire confiance!

 

- La volonté de mettre des vaccins expérimentaux ENCORE PLUS VITE sur le marché!

 

Conclusion: entre les titres qu'on peut lire dans la presse et les intentions REELLES de ceux qui nous gouvernent, il y a parfois une fameuse marge.

Prudence dès lors et surtout, surtout, pour votre santé, on ne le dira jamais assez: de la LU-CI-DI-TE!

 

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 18:17

GENEVE - Le président du comité d'évaluation de l'OMS, chargé d'examiner la gestion de l'organisation de la grippe H1N1, Harvey Fineberg, a estimé vendredi à l'issue de trois jours d'audition qu'il serait difficile de faire la lumière sur le sujet tant les opinions divergeaient.

 

"Le défi est de distinguer ce qui est vrai sans être distrait par la vaste diversité d'opinion", a confié l'Américain Harvey Fineberg, lors d'une conférence de presse.

 

Le comité d'experts a été créé en début d'année par l'Organisation mondiale de la santé en réponse notamment aux critiques accusant l'OMS d'avoir été influencée par les laboratoires pour déclarer la première pandémie du siècle qui a provoqué la production massive de médicaments face à une maladie qui a jusqu'à présent fait quelque 18.200 décès, bien moins que ce que beaucoup prédisaient.

 

Il a tenu cette semaine sa deuxième réunion de trois jours durant lesquels des responsables politiques, des représentants des laboratoires pharmaceutiques et des médias ont été publiquement entendus.

 

"La perception de ce qui s'est passé (en 2009) est radicalement différente selon les points de vue. Certaines des personnes (entendues) ont soutenu l'OMS, tandis que d'autres ont soulevé des questions très critiques", a expliqué M. Fineberg.

 

Parmi les personnes interrogées par les experts, le directeur général de la Santé en France, Didier Houssin, a ainsi félicité l'OMS pour sa "réactivité", tout en spécifiant que l'organisation devait "renforcer la crédibilité de ses experts".

 

D'autres ont été beaucoup plus critiques, comme la rédactrice en chef du British Medical Journal (BMJ) Fiona Godlee qui a demandé une plus grande transparence, recommandant à l'OMS de divulguer les noms des experts du comité d'urgence qui a conseillé sa directrice générale, Margaret Chan, tout au long de la crise.

 

Le comité d'évaluation de l'OMS s'était réuni une première fois en avril pour dresser les grandes lignes de ses travaux qui seront présentés sous forme d'un rapport lors de la prochaine assemblée annuelle de l'OMS en mai 2011.

 

Sa troisième réunion était initialement prévue en novembre mais celle-ci a été avancée à septembre afin de réaliser de nouvelles auditions, qui incluront cette fois des représentants de l'OMS.

 

(©AFP / 02 juillet 2010 18h33)

 

Source: Romandie

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15 juillet 2010 4 15 /07 /juillet /2010 17:45

Alors que les "plus grands experts" et les autorités incitaient à la vaccination sous prétexte d'altruisme et de "protection collective" tout au long de l'automne et de l'hiver derniers, les lecteurs attentifs remarqueront que, parmi la trentaine de recommandations du rapport de l'Opecst, l'Office parlementaire français des choix scientifiques et technologiques on trouve notamment celle-ci:

 

"En conclusion, il [le rapport] fait une trentaine de recommandations. Dont certaines semblent tomber sous le sens : prouver scientifiquement l’efficacité de « l’effet barrière » (le précepte selon lequel la pandémie est bloquée car le tiers de la population est vacciné, ndlr)."

 

Ah bon, si c'est encore à prouver, c'est que ce n'était pas déjà prouvé l'hiver dernier, en dépit de toutes les allégations et les affirmations des "experts" toutes plus péremptoires les unes que les autres!

 

A présent, une chose est bel et bien prouvée: pour votre santé, mieux vaut ne pas faire aveuglément confiance aux autorités!

   

Source: Journal de l'Environnement

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 23:54

ATLANTA (AP) — Environ un quart des vaccins contre la grippe A/H1N1 fabriqués pour la population américaine ont atteint leur date d'expiration: 40 millions de doses, d'une valeur de 260 millions de dollars, vont devoir être détruites. Les vaccins, dont certains sont périmés depuis mercredi, seront incinérés.

 

vaccinatio-obligatoire-grippe-a-teaser

 

 

"Ça fait beaucoup", commente Jerry Weir, chargé de la recherche sur les vaccins au sein de la Food and Drug Administration (FDA), l'agence fédérale du médicament.

 

Environ 30 millions de doses supplémentaires vont expirer plus tard, selon une estimation du gouvernement. Si la totalité de ces vaccins devaient ne jamais être utilisés, plus de 43% des doses commandées auront tout simplement été gaspillées.

 

Pour justifier cette vaste commande de vaccins, l'administration américaine, comme d'autres pays, avait invoqué un principe de précaution nécessaire face à un virus inconnu jusqu'alors.

 

De nombreux experts craignaient que cette nouvelle forme de grippe n'entraîne une épidémie mondiale mortelle. Mais la maladie a finalement tué moins de patients que la grippe saisonnière.

 

"Même si nous nous retrouvons avec de nombreuses doses de vaccins qui n'ont pas été utilisées, il valait mieux être prêt pour le pire scénario que de ne pas avoir assez de doses", a souligné Bill Hall, porte-parole du Département de la Santé.

 

Plusieurs millions de doses de vaccins contre la grippe expirent généralement chaque année, mais ces dernières années, ce surplus correspondait à environ 10% du nombre de doses. Et non 25% comme c'est le cas pour les vaccins contre le virus A/H1N1.

 

Le gouvernement américain avait commandé près de 200 millions de doses, une quantité sans précédent. Environ 162 millions de doses étaient destinées au public. Les autres à l'armée et à d'autres pays.

 

Mais la demande n'a jamais décollé, pour plusieurs raisons. Ainsi, les tests ont rapidement démontré qu'une seule dose était nécessaire pour protéger la plupart des gens. Par ailleurs, la majeure partie des vaccins n'ont pas été livrés avant fin 2009, après la plus importante vague de l'épidémie. Et enfin, il s'est avéré que le virus n'était pas aussi mortel que les experts le craignaient, avec 12.000 décès, soit un tiers des victimes de la grippe saisonnière.

 

AP

ir/v451

 

 

source: Nouvel Observateur

 

 

 

 

 

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 22:10

Alors que nous avions fourni, BIEN A TEMPS, différents éléments à Mme Onkelinx sur:

 

- l'exagération évidente de la "pandémie"

- le peu de fiabilité d'une agence comme l'OMS

- les risques évidents d'un produit au développement et à l'évaluation bâclés

- les conflits d'intérêts manifestes

 

 

Voici que, quelques temps plus tard, après le rapport cinglant rendu par le Conseil de l'Europe, après la publication du contrat scandaleux qu'elle a signé avec GSK, la ministre belge de la santé ose sans rire affirmer dans son discours d'ouverture du 1° juillet 2010:

 

" La Gestion de la crise par l’Organisation Mondiale de la Santé fait aujourd’hui l’objet de nombre de critiques. Nous, Femmes et Hommes politiques qui, dans l’Union européenne comme ailleurs dans le monde, assumons des responsabilités considérables vis-à-vis de tous nos concitoyens, sommes en droit de réclamer la transparence complète sur tout ce qui s’est passé. Je vois cette exigence non comme un réquisitoire mais comme une opportunité à saisir pour que chaque Etat, l’Union européenne et l’OMS tirent ensemble les leçons et consolident un front commun qui permettra de mieux maîtriser une nouvelle pandémie éventuelle." (cfr l'ensemble du discours sur le site de Mme Onkelinx: http://www.laurette-onkelinx.be/ )

 

 

N'est-ce pas là une forme caractéristique d'hypocrisie? N'est-ce pas là une façon stratégique de tirer son épingle du jeu quand tous les évènements, toutes les preuves du scandale sont si accablants? Nous laisserons les lecteurs en juger...

 

Ce qui est d'ores et déjà certain en revanche c'est qu' en aucun cas une telle "réunion d'experts" ne permettra réellement de tirer la moindre leçon, bien au contraire.

 

A lire le programme d'un tel meeting en effet, on s'aperçoit d'emblée du degré d'arrogance qui peut être associé à une telle démarche:

 

- cet évènement est centré sur une "pandémie" qui n'a en réalité jamais existé (en tant que telle) comme l'a dénoncé le rapport du Conseil de l'Europe!

 

- le numéro 2 de l'OMS, le Dr Fukuda aura la parole alors qu'il n'est PLUS DU TOUT CREDIBLE ayant osé affirmer que la définition de pandémie de l'OMS n'avait pas été modifiée en dépit des preuves les plus accablantes, photos du site, publications et reportages TV à l'appui!

 

- Il y a minimum 3 scientifiques invités à cette "réunion d'experts" qui ont des liens avérés avec les industries pharmaceutiques concernées!

 

- un représentant de l'industrie pharmaceutique en Europe prendra la parole

 

- Il y est aussi question de "communication" et de "stratégies de communications" avec l'invitation notamment d'un représentant de Facebook qui parlera de l'intérêt d'utiliser ce réseau social pour toucher "un large public"...

 

 

 

Hélas, ayant été avertis trop tard d'une telle réunion, nous n'avons pas pu nous enregistrer à temps afin d'y assister. Mais nous avons fait part de la tenue de cet évènement à la presse, dès que nous en avons eu connaissance, avec l'espoir qu'elle puisse elle, y assister et relayer ce qui s'y sera dit le plus largement possible au public.

 

 

Car, soyez-en bien conscients, il ne s'agit nullement de "tirer des leçons" pour plus de démocratie et de protection de la santé. Il s'agit en fait uniquement de remplir deux objectifs, l'un immédiat qui est celui de tirer son épingle du jeu et donner ainsi faussement l'impression qu' "il n'y a rien à cacher" et l'autre, à plus long terme qui est de continuer à servir l'industrie pharmaceutique en tolérant qu'elle mette des vaccins sur le marché toujours plus vite, donc en prenant toujours plus de risques pour VOTRE santé comme en témoignent les titres d'exposés de différents scientifiques et même les propres propos de Mme Onkelinx (repris sur son site):

 

"Performing clinical trials in a short time frame" par le Pr Pierre Vandamme (université d'Anvers) = "Réaliser des essais cliniques endéans un court délai"

 

"Au niveau des institutions européennes, différents points positifs peuvent être mis en exergue. Je pense notamment :

 

  • à la mise en place de procédures rapides pour une autorisation centralisée des vaccins."  Laurette Onkelinx sur son site web (...)

 

 

Nous avons tous pu voir à quel point l'agence européenne du médicament (EMEA) avait lamentablement failli en larguant sur le marché des vaccins exprimentaux au développement bâclé. Nous savons que cette agence est financée à concurrence de 80% (!) par les industriels. Cette agence avait nié voire passé sous silence des faits d'une extrême gravité concernant la sécurité de ces vaccins H1N1 (l'EMEA a ainsi nié le lien entre les 7 morts sur les 2000 personnes de l'essai clinique pour le vaccin Pandemrix de GSK et l'injection du produit; elle a tout bonnement passé sous silence avec l'ECDC les cas d'anomalies foetales et de malformations survenues chez les bébés de rattes vaccinées avec un vaccin adjuvanté similaire au Pandemrix!!!).

 

Hélas, tout ceci n'a pas empêché la Ministre Onkelinx de dire "Une gestion européenne de la pandémie, j’y crois. Je pense que c’est la solution d’avenir."

 

Quelle solution en effet  !!

 

 

Car si, véritablement, comme Mme Onkelinx l'affirme, elle avait le souhait de " tirer rapidement les enseignements des actions que nous avons entreprises individuellement ou conjointement", n'aurait-elle  pas dû:

 

- inviter la Ministre de la santé polonaise, le Dr Ewa Kopacz qui a usé de son BON SENS pour ne pas succomber aux sirènes des lobbies et à cette FAUSSE "course à l'échalotte"? D'autant que si comme le dit Mme la ministre Onkelinx "on ne peut pas rester isolés au niveau national car le risque, il est le même pour tous les européens.", on peut se demander pourquoi rester sélectivement plus proches de pays comme la France ou la Suède plutôt que d'un pays comme la Pologne qui avait, lui aussi à coeur d'évaluer les VRAIS risques pour ses citoyens...

 

 

- essayer d'expliquer au public POURQUOI  les responsables du parti SOCIALISTE européen (de même que les responsables du PPE, parti de Nicolas Sarkozy, Roselyne Bachelot, etc) ont refusé la création d'une commission spéciale sur le H1N1 au sein du parlement européen alors que celle-ci était pourtant demandée par 210 eurodéputés (!!) et qu'elle visait justement à investiguer le rôle de l'agence européenne du médicament et tout le poids des lobbies dans ses décisions?

La vérité c'est que si vraiment ce processus  de transparence jugé  essentiel pour l’avenir aux yeux de personnes comme Mme Onkelinx, on comprend mal pourquoi elle n'a pas publiquement dénoncé le refus de son parti européen de créer une telle commission spéciale sur le H1N1....

 

- inviter des associations, des scientifiques entièrement INDEPENDANTS plutôt que de "prendre les mêmes et recommencer"? A ce sujet, le Conseil de l'Europe avait pourtant démontré qu'il était possible d'inviter des médecins lucides et de qualité (Dr Ewa Kopacz, Pr Marc Gentilini, Dr Tom Jefferson, etc)....

 

 

 

"On le voit une fois encore ici, de façon particulièrement flagrante, avec la teneur de cette "réunion d'experts": jamais l'arrogance ne se sera autant opposée au bon sens et les intérêts privés à la santé des citoyens! La vigilance reste donc plus que jamais de mise par le biais de la lucidité individuelle d'une part et par la dynamique de groupe d'autre part. Quant à la presse, elle a, à présent, une opportunité inouïe de renverser la vapeur et de continuer à tendre vers plus d'objectivité et d'équilibre entre les points de vue. La santé de tous, y compris celle des journalistes, en dépend."

 

Initiative Citoyenne

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 21:54
Actualité du scandale

mercredi 30 juin 2010 par Marc Girard

 

Quoiqu’ayant significativement contribué à l’échec du plan vaccinal concocté par le gouvernement belge à l’initiative des lobbies, le groupe Initiative citoyenne a d’abord été débouté par la Justice de toutes ses demandes.

 

D’emblée dénoncées et documentées Grippe porcine : joyeux anniversaire ! , cependant, la mystification et l’imposture ont été confirmées partout où l’on s’est avisé d’enquêter. De l’alerte « pandémique » à la pharmacovigilance en passant par un développement bâclé, une autorisation de mise sur le marché proprement défectueuse et des contrats scandaleusement léonins, les dysfonctionnements sont désormais documentés à tous les niveaux.

 

Il ne s’agit pas de rejouer éternellement le match, mais simplement de comprendre que ce qui s’est passé n’est que l’épisode le plus caricaturalement documentable du processus pervers qui, depuis la directive 65/65/CEE, asphyxie la santé publique sous l’étreinte terrible des lobbies pharmaceutiques : la grippe H1N1 n’est qu’un exemple parmi bien d’autres.

 

Il existe aujourd’hui une convergence d’éléments clairs, précis, concordants qui permet à Initiative citoyenne de revenir devant la Justice pénale, civile et administrative par souci de la santé citoyenne – justement… Adressée au Procureur du Roi, leur plainte vise les chefs de coalition de fonctionnaires et de corruption de fonctionnaires (cf. l’article du journal Le Soir)...

 

C’est aussi l’occasion de revenir sur la question cruciale : qu’y a-t-il de si actuel dans ce scandale dont on voudrait nous faire croire qu’il appartient désormais au passé ?

 

 

 

 

image IC 29 juin 2010

conférence de presse du 29 juin 2010 à Bxl; de gauche à droite: S.Meulemans, M-R Cavalier, Dr Marc Girard, Me P. Vanlangendonck, Me G H Beauthier

 

 

 

L’actualité du scandale lié à la fausse pandémie grippale se reconstitue aisément d’une relecture tridimensionnelle : l’expertise, la pharmacie, le politique.

 

L’expertise

Alors que les politiques ne cessent de déléguer aux "experts" l’essentiel de leurs prérogatives décisionnelles, en contestant aux citoyens leur droit de regard eu égard à la complexité présumée des problèmes posés, la grippe porcine offre désormais une histoire paradigmatique permettant de documenter que les experts ne sont en fait que les hommes de paille des lobbies Ethique scientifique et crise de l’expertise. Si les grands problèmes politiques du moment (crise bancaire, relance économique, développement durable...) renvoient effectivement - au moins en surface - à une certaine complexité (encore parasitée par l’idéologie), la grippe porcine a offert le spectacle d’experts qui n’ont pas craint de se mouiller très précisément ("au moins 30 000 morts en France ; nécessité de vacciner 90% des enfants pour faire barrage à la pandémie) et qui se trouvent, par le fait même, littéralement ridiculisés aujourd’hui. Plus grave : loin de pouvoir s’abriter derrière leur droit à l’erreur, les experts se sont constamment trompés dans un sens favorable aux intérêts de leurs sponsors inavoués. Or, par contraste avec l’erreur aléatoire, qui peut tomber d’un côté ou de l’autre de la vérité, cette erreur systématique correspond à ce qu’on appelle un biais : elle est d’autant plus éloquente qu’en parallèle, elle s’est appuyée sur une rhétorique de dissimulation des conflits d’intérêts - contradictoire tant avec l’éthique scientifique traditionnelle qu’avec la législation en vigueur. Bref et pour le dire simplement : les citoyens ont pu voir que les experts sont tous nus - et qu’ils ne sont pas beaux. L’actualité de ce constat se renforce que de ce qui s’est depuis lors passé dans le Golfe du Mexique...

 

La pharmacie

Dans la vie d’un médicament, la phase de développement (avant la mise sur le marché) est incontournable. C’est le seul moment où l’on peut soumettre un nouveau produit à des évaluations contraintes par un minimum de rigueur : contrôle du processus de fabrication, tests chez l’animal, essais cliniques, etc. Même si ces exigences peuvent être contournées (comme attesté par les affaires cérivastatine ou Vioxx), elles ne sauraient en aucun cas être remplacées par une promesse de pharmacovigilance une fois le produit sur le marché. En l’espèce, alors que l’EMEA (l’agence européenne) reconnaissait sans fard que le rapport bénéfice/risque des vaccins antigrippaux n’avait pu être évalué au cours du développement, l’administration sanitaire ne rougit pas de clamer, une fois le produit sur le marché, que les données de la pharmacovigilance « ne modifient en rien » le rapport bénéfice/risque du produit, lequel n’avait justement pas été évalué : c’est dire, avec un parfait cynisme, que ce rapport bénéfice/risque n’a été et ne sera jamais évalué et que ces produits, pour lesquels on a un temps envisagé une obligation vaccinale, sont proprement défectueux au sens légal du terme. Or, cette séquence – développement bâclé sur la fallacieuse promesse d’une pharmacovigilance qui ne viendra jamais – est exactement celle qui sous-tend la proposition de directive modifiant la directive 2001/83/CE qui est actuellement en discussion à Bruxelles : ce projet est proprement effrayant, et la récente histoire des vaccins contre la grippe porcine est l’éloquent prélude de la caricature technico-réglementaire que les lobbies pharmaceutiques cherchent désormais à mettre en place. Cette directive scélérate, faut-il le préciser, ne se limite pas aux seuls vaccins contre la grippe : elle concerne tous les médicaments.

 

Le politique

Dans la « Préface à l’édition française », datée de février 2009, de son récent ouvrage L’Etat prédateur , l’économiste américain James Galbraith admettait que sa réflexion portait d’abord sur les Etats-Unis tout en postulant qu’elle touchait à une dynamique bien plus universelle. Il n’aura pas fallu plus de deux mois pour le confirmer. Car, ce qui frappe le plus, dans cette histoire grippale dont les enjeux financiers ne sont même pas niés par ceux qui en profitent, c’est qu’à aucun moment, on n’a entendu la voix promotionnelle des fabricants : la publicité de ces produits a été assurée par la voix du Ministre et de ses conseillers, au moyen d’arguments qui, dans n’importe quelle autre situation, eussent été sanctionnés par les instances nationales chargées de contrôler la publicité pharmaceutique. Bien pis : en France, le gouvernement n’a pas craint de recourir à la réquisition, authentifiant ainsi de la façon la plus extrême une mystification sanitaire dont les déterminants lucratifs sautaient pourtant aux yeux. Se trouve dès lors illustrée de la façon la plus éloquente la thèse de l’Américain que la déréglementation, ce n’est pas la loi de la jungle au profit de lobbies : c’est l’appropriation par les lobbies de l’autorité et de la puissance de l’Etat au bénéfice de leur prédation. En l’espèce, on les a donc vus capables de détourner à leur profit la plus extrême des prérogatives de l’Etat dans un pays qui a banni la peine de mort : son pouvoir de contrainte sur les corps – mais au seul bénéfice de la liquidation des stocks.

 

 

source: site du Dr Marc Girard

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1 juillet 2010 4 01 /07 /juillet /2010 20:43

RICARDO GUTIERREZ

jeudi 01 juillet 2010

 

Le procureur du roi de Bruxelles, Bruno Bulthé, est saisi d'une plainte pour corruption et coalition de fonctionnaires, dans la foulée de la campagne de vaccination contre la grippe pandémique. Elle vise, sans les nommer, les experts qui ont incité le gouvernement à acquérir des doses massives de vaccin contre la grippe A/H1N1.

 

La plainte est déposée par 106 citoyens, dont les animateurs de l'association Initiative citoyenne, qui avait lancé plusieurs procédures civiles, sans succès, la Justice considérant qu'elle n'avait pas intérêt à agir.

 

Des éléments neufs, comme la divulgation, dans nos colonnes (Le Soir du 6 mai), du contrat d'achat de vaccins passé par l'Etat et GSK, ont incité les opposants à franchir le cap du dépôt de plainte pénale…

 

« Sans velléité de règlements de comptes à l'égard de quelque pouvoir, commente l'avocat des plaignants, Georges-Henri Beauthier, mais avec le souci de mettre un coup d'arrêt à ce marketing médical et éviter qu'en septembre, les vaccins qui n'ont pu être écoulés, le soient avec le même manque de transparence »

 

La plainte prend appui sur le rapport adopté, ce 24 juin, par l'assemblée du Conseil de l'Europe qui dénonce le rôle des lobbies et des experts sous influence de l'industrie pharmaceutique, au sein de l'Organisation mondiale de la Santé (OMS)…

 

« Ce qui est vrai à l'OMS l'est peut-être aussi chez nous, insiste Me Beauthier : Comme les autorités belges refusent de révéler le nom des experts, seul un juge d'instruction est armé pour vérifier dans quelle mesure ces professionnels du ministère de la Santé, de l'Agence des médicaments et du Comité interministériel Influenza ne se trouvent pas en situation de conflit d'intérêts. Il s'agit de constater, en somme, s'ils n'ont pas favorisé certaines décisions alors qu'ils y trouvaient un intérêt illicite ».

 

Source: Le Soir

 

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29 juin 2010 2 29 /06 /juin /2010 20:09

Vaccin grippe A: plainte de citoyens pour corruption

 

29.06.10 - 15:37

 

Initiative Citoyenne et une centaine de citoyens ont déposé une plainte auprès du parquet de Bruxelles contre X.

 

Cette plainte vise les responsables étatiques qui auraient décidé la conclusion d'un contrat avec une firme pharmaceutique pour le vaccin contre la grippe AH1N1.

 

Les plaignants reprochent notamment à l'Etat et à certains de ses dirigeants d'avoir pris des risques pour la santé des citoyens en lançant cette campagne de vaccination.

 

En effet, selon Initiative Citoyenne, ni l'efficacité de ce sérum ni sa sécurité n'était garantie. L'Etat l'avait pourtant présenté comme "fiable".

 

Les plaignants suspectent les personnes ayant participé à la conclusion du dit contrat d'en avoir retiré un avantage personnel.

 

La plainte est dirigée notamment contre le ministère de la santé publique, l'agence fédérale des médicaments et des soins de santé et contre le comité interministériel Influenza.

 

En 2009, l'Etat avait effectivement conclu un contrat avec la firme GSK pour l'achat de doses du vaccin pour une valeur de 110 millions d'euros.

 

Initiative Citoyenne souligne que ce contrat a été caché aux parlementaires et au public.

 

L'association remarque encore que l'Etat s'était engagé auprès de la firme à la rembourser en cas de réclamation. Par contre, l'Etat ne s'était pas engagé à indemniser les victimes.

 

Les plaignants constatent enfin, que la soit-disante pandémie n'a jamais existé.

 

Source: Belga

 

Ce communiqué de l'agence Belga fait suite à la conférence de presse que nous avions organisée ce mardi 29 juin 2010 à 11H à Bruxelles.

 

Pour lire notre communiqué de presse du 29/06/2010 relatif à cette plainte, voir ICI

 

Pour lire le texte intégral de cette plainte contre X, voir ICI

 

NB: Pour respecter la vie privée des signataires effectifs de cette plainte, nous avons remplacé dans cette copie le nom et adresse des signataires par la mention :

"[105 signataires dont les noms ont été dûment communiqués au parquet]"

 

Cette plainte pourra bien sûr être complétée par différents éléments neufs et à ce sujet, les citoyens qui le souhaitent ne doivent pas hésiter à nous communiquer des données qu'ils jugeraient capitales pour l'avancement du dossier et pour l'enquête que nous espérons tous!

 

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