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15 novembre 2012 4 15 /11 /novembre /2012 11:30

Livre-Coderre.JPG

Les fanatiques des vaccins ont pour habitude de rappeler dans un discours pour le moins contradictoire que le corps médical soutient unanimement la vaccination mais que, d'autre part, les critiques sur la vaccination existent depuis le début de cette pratique. Selon ce qu'ils se contentent de dire, ces critiques étaient essentiellement d'ordre religieux ou philosophique.

 

Dans un document rare d'époque publié en 1875 par le médecin Dr J Emery-Coderre, de l'Université de Montréal, on peut découvrir avec surprise que les raisons de la controverse médicale sont exactement les mêmes qu'aujourd'hui et qu'elles ne sont absolument pas d'ordre religieux ou philosophique:

 

 

- déni systématique du moindre effet secondaire, assimilé à une "coïncidence" ou "une exception" et très vite attribué à tout autre chose.

 

- sur-estimation de l'efficacité des vaccins, sans cesse présentés comme "infaillibles".

 

- conflits d'intérêts des médecins qui vaccinent.

 

- collusion entre l'Etat et les vaccinateurs (de nos jours c'est surtout entre l'Etat et les firmes) et entre l'Etat et la presse.

 

- effets tout à fait contre-productifs de l'obligation vaccinale qui favorisait les flambées épidémiques par rapport aux zones non ou moins vaccinées.

 

- manque de rigueur scientifique des travaux de Jenner

 

- démonstration, sur base des données épidémiologiques officielles(!), de l'inefficacité criante de la vaccination

 

- fuite du débat de la part des officiels qui attaquaient ad hominem les contestataires par incapacité de répondre SUR LE FOND.

 

etc etc

 

C'est assez surprenant de découvrir cela parce qu'il n'existait à l'époque qu'un seul vaccin, celui contre la variole alors qu'il en existe à présent plusieurs dizaines.

A l'époque, la liberté de ton des médecins était beaucoup plus grande et cela se sent par les mots nettement plus tranchants qu'ils osaient utiliser comparativement à aujourd'hui.

 

Il y avait plus de 100 000 personnes dans ce qu'ils appelaient "la Ligue des Anti-Vaccinateurs" en Angleterre à cette époque avec quantité de médecins, de notables etc... comment alors a-t-on pu en arriver au stade de harcèlement, pressions et tyrannie vaccinales d'aujourd'hui?

 

Les raisons en sont déjà données dans cet ouvrage du Dr Coderre avec, en raison N°1: le manque d'indépendance et la partialité des médias qui avaient déjà pour triste habitude de marginaliser et de villipender les médecins contestataires. Ce faisant, il n'est guère difficile d'imaginer comment l'opinion a pu être "ajustée" en un peu plus d'un siècle de matraquage médiatique et de déséquilibre informationnel constant entre les deux points de vue.

 

Car, il faut le souligner: à l'époque, le public osait se battre vigoureusement pour empêcher les obligations vaccinales et il y arrivait. En Angleterre, l'obligation a fini par être levée grâce à la légitime contestation populaire. Certaines personnes préféraient déjà aller en prison, payer des amendes et se faire confisquer leurs biens plutôt que de devoir subir la vaccination pour eux et leurs enfants.

 

Et il faut croire que ces gens étaient très inspirés et avaient BIEN RAISON quand on lit les aveux des officiels sur le vaccin anti-variolique actuel (dit de deuxième génération) qui est déjà considéré comme "dangereux" alors qu'il est censé l'être beaucoup moins que celui dit "de la première génération" qui ne "répond plus aux standards actuels" mais qui est sans doute celui (ou proche de celui) que ces gens étaient forcés de recevoir sous la menace de sanctions.

 

Voici quelques extraits, encore particulièrement d'actualité (Dr J. Emery-Coderre):

 

"Je puis affirmer que mes recherches qui datent de plus de 20 ans, n'ont été faites que dans le but de connaître les résultats de la vaccination, et toujours j'ai pu me convaincre de l'inefficacité de cette pratique, et de l'erreur dans laquelle sont tombés les médecins qui en sont partisans. Cette erreur s'est perpétuée et se perpétue encore, malheureusement, malgré les efforts de ceux qui ne cessent de se récrier à la vue des maux qu'elle cause."

 

" Je n'en finirais plus si je voulais rapporter tous les mauvais cas de vaccination qui sont à ma connaissance."

 

"La plupart des médecins ont préféré, plutôt que d'étudier la vaccination, la pratiquer sans s'occuper de ses résultats ni tenir compte de l'opposition des anti-vaccinateurs. Pour beaucoup de vaccinateurs, la vaccination est une question de lucre; en Angleterre surtout, les officiers de santé font de £1200 à £1500 stg. et même plus, par année."

 

"Les arguments de Jenner en faveur de sa théorie sont réellement futiles. Encore aujourd'hui, selon les fidèles disciples du maître, lorsque la vaccine (= vaccin anti-variolique de l'époque) ne préserve point ou que des accidents surviennent après l'inoculation du vaccin, c'est dû à ce que les gens n'ont pas été bien vaccinés...[...] et Jenner n'avait d'autre raisonnement que le persiflage à l'adresse de ceux qui ne partageaient pas ses vues. Selon lui, il n'y avait que des ignorants qui pussent s'opposer à sa découverte, comme aujourd'hui ceux qui s'opposent à la vaccination devraient être envoyés dans les maisons de santé."

 

"D'après Sir James Paget, la vaccination produit un véritable empoisonnement du sang. Mais dans quel but empoisonne-t-on ainsi le sang? Dans le but de prévenir une maladie que l'on n'aura peut-être jamais; car il ne faut pas croire que tout le monde est condamné à avoir la variole; et il ne faut pas croire, non plus, que tous ceux qui sont vaccinés et qui sont exempts de variole, le doivent à la vaccine (= au vaccin.)."

 

" En Autriche, le Dr Josef Hermann, médecin en chef de l'hôpital des syphilitiques à Vienne, ayant été nommé pour faire le service des variolés dans l'hôpital impérial de Wiede, depuis le mois d'août 1858 jusqu'à la fin de l'année 1864, a donné le résultat des observations qu'il a faites pendant cette période de temps; et il en est venu à la conclusion que la vaccination était la plus grande erreur médicale des temps modernes."

 

"Si la vaccination n'était qu'une opération inutile, sans inconvénient pour celui qui s'y soumet, vous auriez bien peu de raison de la combattre; mais les faits et l'expérience sont là pour prouver qu'elle est toujours dangereuse et souvent suivie d'accidents fâcheux." (Dr A. Dagenais dans une lettre au Dr J. Emery-Coderre)

 

Dr Terzé (de France): " L'erreur que nous combattons aujourd'hui a déjà coûté des millions d'êtres à l'Europe. Quand donc voudra-t-on la détruire? Quand on songe aux graves conséquences des erreurs qui, comme de mauvais génies, escortent l'homme depuis le sein de sa mère jusqu'à la tombe, on est péniblement affecté de cette fatale condition.

 

Les erreurs en médecine, ne s'opposent pas seulement au progrès de la science, à la pratique de l'art; elles donnent souvent naissance à la routine, qu'il faut ensuite des siècles de luttes pour détruire."

 

"Tel est le préjugé que nous cherchons à renverser aujourd'hui, en démontrant de la manière la plus évidente la triste influence que la vaccine a eue sur l'espèce humaine, dont elle a opéré la dégénérescence physique et morale." (Science Populaire, Tome 1, pp 333 et 334.)

 

"Depuis que nous avons des vaccinateurs publics, la maladie s'est accrue d'année en année; ce fait a été attesté devant le bureau de santé et personne n'osera le nier. Et pourtant, le même bureau suggère de nouveaux moyens d'augmenter la vaccination. Est-ce pour se venger de n'avoir pu jusqu'à présent faire adopter sa loi compulsoire (= loi d'obligation vaccinale)?

 

J'ose espérer que, pour l'honneur de Montréal, le bureau de santé ne renouvellera pas les tentatives qu'il fit en 1875 pour nous imposer forcément la vaccination.

 

Il est heureux que les citoyens aient alors ressenti aussi vivement  quel crime allait commettre le Conseil de ville en passant des règlements qui, s'ils fussent devenus loi, eussent trop souvent froissé les chefs de famille dans leurs sentiments les plus chers."

 Montreal Manif des antivaccinateurs

 Scènes en face de l'hôtel-de-ville, par les anti-vaccinateurs, dans la soirée du 28 septembre.

Le Monde illustré, vol. 2 no 76. p. 185 (17 octobre 1885) ...

 

"La population de la cité, représentée par plus de 10 mille personnes qui envahissaient les alentours et les salles du Conseil-de-ville en imposaient par leur présence, manifeste sa volonté et fit comprendre aux conseillers tout le danger de la position, s'ils adoptaient ces règlements. Le sentiment d'indignation qu'éprouvait cette assemblée était tel, qu'il eût suffi d'un seul mot adressé imprudemment à la foule pour que l'Hôtel-de-Ville fût saccagé et la vie des conseillers mise en danger. Et encore que ces fameux règlements aient été abandonnés, les fenêtres de l'Hotel-de-Ville furent brisées, ainsi que les lustres de la salle des délibérations, et plusieurs personnes furent blessées.

 

Cette démonstration populaire fit comprendre tout l'odieux de cette mesure et le manque de confiance qu'on avait dans l'action préservative de la vaccination. Si le Bureau de Santé et le Conseil-de-Ville ont oublié les quelques heures de malaise qu'ils ont passées lors de cette assemblée monstre, les citoyens, eux, ne les ont pas oubliées.

 

Cette démonstration indiquait clairement que les citoyens ne se laisseraient jamais imposer la vaccination compulsoire (= obligatoire) sans y opposer de la résistance."

 

Le continuum de la mauvaise foi des officiels, englués dans leur idéologie, devrait nous faire prendre conscience à tous de l'urgence qu'il y a, dans l'intérêt des générations futures, à ne surtout pas continuer tête baissée dans cette voie des vaccins à tout prix. Car si l'on compare l'épidémiologie des maladies chroniques affectant les adultes et les enfants à cette époque et ce qu'il en est aujourd'hui, force est de constater que les maladies chroniques ont plus qu'explosé, sans parler des cancers et des atteintes neuro-dégénératives (certains qu'on voit déjà venir, vont invoquer d'autres facteurs pour espérer ainsi nier purement et simplement le moindre rôle néfaste des vaccinations systématiques!)

 

Ceux qui prétendent que l'espérance de vie ira encore en augmentant se trompent selon nous. Il y a au contraire fort à parier que l'espérance de vie va aller en régressant,  et ce d'autant plus que l'incidence des cancers ira notamment en augmentant. L'espérance de vie en bonne santé ne cesse déjà de se réduire avec, à l'heure actuelle, déjà pas moins de 80% des plus de 65 ans atteints d'au moins une maladie chronique! (selon les chiffres des Mutualités Neutres, cfr page 5/41)

 

Dans quel état de santé les bébés et les jeunes d'aujourd'hui, ayant reçu l'Infanrix Hexa + Prevenar + Rotarix + Priorix+ Menjugate + Revaxis + Boostrix +Gardasil ou Cervarix, seront-ils à 30, 40 ou 50 ans? Les parents désinformés n'en ont absolument aucune idée, pas plus que le moindre expert et ces parents sont donc hélas en train de plonger malgré eux, par inconscience, leurs enfants dans une vaste expérimentation que leur descendance risque bien de regretter amèrement. Car il n'y a absolument AUCUN expert au monde en mesure de prouver scientifiquement que ces vaccinations incessantes du berceau à la tombe, ne sont pas un facteur majeur de maladies et de souffrances inutiles.

 

 

 

«Celui qui ne connaît pas l'histoire  est condamné à la revivre.»

Karl Marx

 

NB: Merci au site Presse libre internationale d'avoir mentionné l'existence de ce document très intéressant!

 

Article également publié sur Agoravox

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 21:38

piqure-de-fou.gif

Décidément, tout est vraiment bon pour redorer le blason du vaccin antigrippal qui tombe de plus en plus en désaffection: après avoir prétendu que le vaccin antigrippal protégeait soi-disant des crises cardiaques et des AVC (alors que c'est justement l'inverse, les indices indiquant que la vaccination antigrippale favorise plutôt les AVC!) et après cette idée de badge vaccinal discriminant dans les hôpitaux genevois, voici la dernière trouvaille en date: prétendre que la vaccination des femmes enceintes réduirait.. le risque d'autisme chez l'enfant!

 

On croit vraiment rêver: dans les années 70, le taux d'autisme était de 1/40 000 environ alors qu'il monte jusque 1/38 dans des pays comme le Royaume-Uni. Prétendre comme le font certains que seuls des aspects génétiques et diagnostiques (meilleurs diagnostics) expliquent cette hausse, est tout simplement non crédible. La vérité c'est que cela ne suffit pas à expliquer ces hausses, la vaccination des enfants qui a plus que doublé en 20 ans est un des éléments-clés, de nombreux parents en témoignent et plusieurs études convergent également en ce sens.

 

Il existe deux types d'autisme, l'autisme inné et l'autisme régressif, le premier survient très précocément mais l'autre, le plus fréquent, ne commence à se déclarer qu'après une période tout à fait normale de développement de l'enfant. C'est cet autisme-là qui explose le plus et qui est lié de façon très nette aux vaccins, même si personne n'a jamais prétendu que cela était la seule cause possible. Le Dr Bernardine Healy, ancienne directrice de l'Institut américain de Médecine l'a bien fait comprendre dans une interview à la chaîne CBS: certains enfants prédisposés vont être sacrifiés avec la vaccination  parce qu'ils auraient pu ne pas tomber malades s'ils avaient été dépistés et s'ils avaient ainsi pu éviter cette vaccination qu'ils n'étaient pas à même de supporter. Mais il n'y a pas du tout cette volonté de dépister ces gens plus sensibles avant le drame de la vaccination, parce que les officiels ont tout simplement peur que cela rebute d'autres gens de se faire eux vacciner comme de gentils moutons dociles.

 

A présent, alors que certains groupes de scientifiques liés aux pharmas (comme le GEIG en France) déclarent qu' "il faut sauver le vaccin antigrippe", on assiste à des tentatives diverses et variées de remettre en grâce ce vaccin avec telle ou telle étude ciblée censée prouver toutes sortes d'avantages indirects. Pour ceux qui ont un peu lu sur la dangerosité accrue d'exposer les femmes enceintes à des produits chimiques quels qu'ils soient vu la fragilité du foetus, l'immaturité de sa barrière hémato-encéphalique et le fait que l'exposition précoce aux produits chimiques, au cours de la vie foetale et peu après la naissance, est une cause de maladies graves pouvant ne se déclarer qu'à l'âge adulte, ce genre de conseils pseudo-scientifiques les fera sourire ou, plus probablement, les mettra en colère tant il s'agit de recommandations irresponsables, faisant fi de tous les autres types de risques qui pourraient annihiler le moindre bénéfice promis, en plus de faire un croc-en-jambe inacceptable au plus élémentaire principe de précaution.

 

Voici ce qu'on pouvait lire ce jour sur le site Terrafemina:

 
Grippe et autisme : le vaccin recommandé aux futures mamans
 

Publié le 14 novembre 2012 

 

Selon une étude danoise, il y aurait une corrélation positive entre le fait d’avoir la grippe pendant une grossesse et les risques d’avoir un bébé souffrant d’autisme. Les chercheurs recommandent donc aux femmes enceintes de se faire vacciner contre la grippe pour limiter les risques.

 

D’après une étude danoise, le fait d’avoir la grippe durant une grossesse doublerait les risques d’accoucher d’un enfant souffrant d’autisme. Plus inquiétant encore, une période de fièvre prolongée avant la 32e semaine de grossesse triplerait les risques d’un bébé autiste. Des chiffres qui font froid dans le dos et qu’il convient de prendre avec précaution.

 
C’est l’activation du système immunitaire de la future maman durant la période grippale qui provoquerait des déficiences dans le développement neuronal du fœtus pendant la grossesse. La meilleure façon de ne prendre aucun risque selon les chercheurs ayant réalisé cette étude est de se faire vacciner contre la grippe.


Pourtant en France, le vaccin contre la grippe est de moins en moins populaire, même chez les populations considérées comme à risques. »

 

Si on n’oublie pas son bon sens, on retiendra que la grippe existe depuis des centaines d’années alors que l’incidence de l’autisme a été multipliée par plus de 100 en une trentaine d’années seulement ! A l’heure d’aujourd’hui, on sait que les enfants naissent déjà avec tout un bagage toxique conséquent (amalgames dentaires toxiques au mercure de la mère, nombreux polluants déjà présents dans le sang du cordon ombilical etc etc) et que la vaccination de la mère viendra donc inévitablement alourdir cette « barque toxique » de l’enfant dès sa naissance, ce à quoi s’ajouteront la kyrielle de vaccins pédiatriques vivement recommandés, si pas imposés. La grippe n’est qu’une infection sur des centaines d’autres pouvant générer une fièvre et de plus, le vaccin est d’une efficacité médiocre, voilà pourquoi il n’est pas médicalement censé de recommander la vaccination pendant la grossesse mais au contraire de favoriser d'autres moyens préventifs ne contenant pas ces substances et additifs toxiques.

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14 novembre 2012 3 14 /11 /novembre /2012 21:18

Le décès d’un lycéen serait lié à l’administration d’un vaccin périmé

 

14/11/2012 - par La Rédaction

 

Cela s’est passé au nouveau lycée de Aïn El Hammam (Tizi Ouzou)

deces-lyceen-algerie.jpg

 

En effet, un lycéen en 1ère AS âgé de 18 ans, Sadaouli Ahmed, originaire du village Tiferdoud, dans la commune d’Ath Vouyoucef, est décédé il y a cinq jours après qu’on lui eut administré un vaccin antigrippal au niveau de l’infirmerie du nouveau lycée de Ain El Hammam. Bien que l’information n’est pas encore confirmée au sujet de la raison exacte du décès, il semblerait que c’est le vaccin en question qui serait la cause directe de décès du jeune lycéen.

 

C’est le choc ! Ce qui vient de se passer à Ain el Hammam, localité située à environs 55 kilomètres au sud-est de la wilaya de Tizi Ouzou est d’une extrême gravité

 

C’est encore plus grave quand on sait que tout porte à croire que cette affaire a été étouffée dans l’œuf afin de ne pas faire de scandale. Cet étouffement, s’il a lieu, on ne sait avec quelle dextérité il a été opéré.

   

Selon des informations qui nous sont parvenues de Ain El Hammam, sept autres lycéens du même établissement, sont toujours hospitalisés au niveau de l’hôpital Ahmed Ali Amar de la ville. 


Les lycéens, sous le choc et en colère sont sortis, avant-hier lundi, dans la rue pour exprimer leur mécontentement et dénoncer ce qui venait de se passer. En effet, nos sources, ajoutent que les élèves des deux établissements du secondaire de cette localité, à savoir le Nouveau lycée et le le lycée Ben Boulaid, assistés par leurs camardes du lycée de la commune voisine d’Iferhounène ont organisé, une marche vers 10h00 du matin, à Ain El Hammam.

 

Lors de cette même marche, les lycéens n’ont déployé aucune banderole. Ils n’ont scandé aucun slogan. Juste un silence éloquent, qui en dit long sur leur tristesse devant l’ampleur du drame qui s’est produit dans cet établissement. 

 
Le silence et l’opacité qui entourent cette affaire qui n’a pas été médiatisée, laisse la place à de nombreuses questions. « Pourquoi, dans une région où l’on est si prompt à dénoncer tout ce qui se passe, une affaire aussi grave a-t-elle été « enterrée » ? Pourquoi les parents de la victime n’ont pas réagi ? 


Pourquoi les responsables à tous niveaux et dans les secteurs concernés, n’ont fait aucune déclaration pour confirmer ou infirmer les causes supposées de la mort du jeune lycéen ? ». 


Telles sont donc les questions qui taraudent les esprits.

  

Source: Tamurt.info

 

Apparemment, c'est peu clair, il y aurait aussi des vaccins anti-HPV périmés en Algérie (?), voici quelques liens à ce sujet: ICI et ICI

[à noter: même des vaccins anti-HPV non périmés font tourner le compteur morbide...]

 

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 23:15

13 novembre. Allodocteurs.fr

 

"Nocivité des sels d'aluminium dans les vaccins : du soupçon aux certitudes". C'est ce qu'estime aujourd'hui le Réseau Environnement Santé sur la question des sels d'aluminium utilisés comme adjuvants dans la plupart des vaccins.

 

 

Le Pr. Romain Gherardi, directeur de recherche à l'Inserm et à l'hôpital Henry-Mondor, était l'invité du "Magazine de la santé", sur France 5, le 12 novembre 2012.


Il étudie les effets des sels d'aluminium sur l'organisme depuis 18 ans.

 

Romain Gherardi

Depuis qu'on les utilise dans la fabrication des vaccins (1926 aux Etats-Unis, 1990 en France), les sels d'aluminium alimentent le débat et la controverse.

 

Techniquement, une dose infime d'hydroxyde d'aluminium suffit pour stimuler la réaction immunitaire en induisant un petite réaction inflammatoire locale. Et, si une majorité de scientifiques considère qu'une fois injecté dans l'organisme, l'aluminium se dissout spontanément et n'a donc pas d'effet toxique, d'autres comme le Réseau Environnement Santé et le Pr. Romain Gherardi, chercheur à l'Inserm et médecin à l'hôpital Henri-Mondor de Créteil, avancent le contraire. 

 

Les sels d'aluminium en cause

 

Ils estiment que les sels d'aluminium peuvent provoquer une myofasciite à macrophages, une maladie complexe dominée par un ensemble de symptômes : douleurs musculaires et articulaires, épuisement chronique, troubles du sommeil et troubles neuro-cognitifs.

 

Chez les patients observés, le Pr. Romain Gherardi a repéré la présence d'aluminium dans le muscle du deltoïde, soit à l'endroit où la personne a reçu le vaccin dans l'épaule. Ainsi, contrairement à ce qui est affirmé depuis des années, chez certaines personnes, les sels d'aluminium ajoutés dans le produit de vaccination ne seraient pas éliminés par l'organisme.

 

Cette réaction n'apparaîtrait que chez des personnes génétiquement prédisposées. Il n'empêche, pour le Pr. Gherardi, cela signifierait que l'organisme ne parvient pas "à digérer complètement les particules d'aluminium".

 

Dans certains cas, rares, l'aluminium serait capturé par des cellules du système immunitaire et pourrait ainsi être transporté jusqu'au cerveau.

 

Le Pr. Romain Gherardi a aujourd'hui identifié 585 cas, et voudrait poursuivre ses travaux pour pouvoir démontrer le lien direct de cause à effet entre la vaccination et cette maladie.

 

Travaux de recherche avortés ?

 

Malheureusement pour lui et son équipe, l'Agence du médicament (ANSM) vient de décider de ne pas poursuivre le financement de ses recherches. Se considérant comme un lanceur d'alerte, le Pr. Romain Gherardi, soutenu par l'association Réseau Environnement Santé, a décidé de publier la décision de l'Agence du médicament, et de leur demander des explications.

 

L'Agence du médicament, de son côté, se défend de toute censure, assure s'intéresser à la question mais ne pense pas que l'axe de recherche du Professeur Gherardi soit le meilleur pour répondre à la question des risques des sels d'aluminium. 

 

"La ministre de la Santé nous a saisi sur le sujet, nous sommes d'accord qu'il doit y avoir une étude à ce propos, mais pas sous cette forme", commente Bernard Delorme, responsable de l'information à l'Agence du médicament.

 

"Il a fallu dix ans pour prouver que la vaccination n'avait aucun rapport avec l'apparition de la sclérose en plaques. Il faut donc être prudent. Nous ne nions pas l'existence d'une cicatrisation vaccinale, soit de la présence d'aluminium dans le deltoïde, là où les gens se font vacciner. Par contre, aucune preuve n'a été faite sur le lien entre vaccination et les symptômes de la myofasciite à macrophages."

 

En mars 2012, des députés ont demandé un moratoire sur les vaccins à base d'aluminium, au nom du principe de précaution. Mais en juin 2012, l'Académie de médecine s'y est opposée, arguant que cet adjuvant est nécessaire à l'efficacité de certains vaccins et que la quantité contenue dans les injections est bien plus faible que celle que nous ingérons sans nous en apercevoir, via l'eau ou les aliments.

 

La couverture vaccinale menacée ?

 

L'Académie de médecine redoute que cette polémique jette une nouvelle fois le soupçon sur la vaccination en général. Pourtant, les détracteurs de l'aluminium estiment que des solutions alternatives existent. L'association E3M (Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages) a d'ailleurs dénoncé en juillet 2012 le retrait progressif du marché des seuls vaccins encore sans aluminium.

 

L'Académie, elle, revient sur la nécessité de ces adjuvants et explique qu'en cas de moratoire, les éventuelles solutions de rechange ne pourraient être prêtes avant cinq ou dix ans.


En savoir plus

 

Sur Allodocteurs.fr :

Vaccins et aluminium : un conflit d'intérêt ?

Vaccins : mode d'emploi

 

Et aussi :

 

Réseau Environnement Santé

Association d'entraide aux malades de myofasciite à macrophages

Académie nationale de médecine

Le rapport sur les adjuvants vaccinaux (PDF)

 

La-Croix.com

- "L'ajout d’aluminium dans les vaccins suscite le débat", Denis Sergent, 11

novembre 2012.

 

France Info

- "Faut-il avoir peur de l'aluminium contenu dans les vaccins ?", 12 novembre 2012.

 

Synthèse de la conférence à Paris du 12 novembre 2012 sur l'aluminium vaccinal (E3M)

 

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 22:32

Par Marion Roucheux, 13 novembre 2012

 

Sida : vers un vaccin pour les femmes ?

 

Dans une interview à Paris Match, Morgane Bomsel, directrice de recherche au CNRS, présente ce qui pourrait être un nouveau vaccin contre le sida destiné aux femmes.

 

Alors que l’on recense en France 150 000 séropositifs et 6 000 nouveaux cas par an, les équipes de Morgane Bomsel, directrice de recherche au CNRS, planchent sur le développement d’un nouveau vaccin contre le sida, qui agirait sur les femmes. Afin de mettre au point ce produit, l’équipe a commencé par étudier une population de femmes ayant eu des rapports sexuels avec des partenaires séropositifs sans se protéger et n’ayant pas été touchées par l’infection. « Nous avons pu démontrer qu’elles étaient toutes porteuses, dans leurs sécrétions vaginales, d’anticorps spécifiques capables de détecter le virus et de bloquer son entrée dans les muqueuses », explique Mme Bomsel dans un entretien à Paris Match. De là, les équipes de chercheurs ont travaillé à mettre au point un vaccin qui puisse reproduire ces sécrétions vaginales résistantes.


Après plusieurs tests concluants sur des singes femelles, les chercheurs viennent de passer aux essais chez la femme. « Comme on ne peut infecter des femmes expérimentalement, ces travaux ont été réalisés en laboratoire ex vivo avec des échantillons de muqueuses vaginales », explique à Paris Match la directrice de recherche. Résultat : « L’essai a réussi dans les sécrétions testées et le vaccin s’est révélé totalement efficace ! Le virus n’a pas pu pénétrer dans la muqueuse », se félicite-t-elle. Suite à ces tests satisfaisants, la prochaine étape consistera à vacciner en Europe 200 femmes à risques ayant des rapports sexuels non protégés. Et à attendre trois ans pour voir les effets obtenus.

 

Source : Terrafemina

 

On notera cette fois-ci encore un article qui suscitera l’espoir chez beaucoup mais qui ne dit toutefois PAS un mot sur les effets secondaires possibles.

 

Par ailleurs, on relèvera aussi que les vaccins, puisqu’ils court-circuitent l’harmonie et les étapes-clés de nos réponses immunitaires, ne génèrent justement jamais d’immunité muqueuse (IgA), ce qui explique notamment leur efficacité bien inférieure à celle obtenue grâce aux infections naturelles. Ce qui est donc classiquement négligé par tous les autres vaccins semble ici porté aux nues… cherchez l’erreur là aussi !

 

 

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 21:00

Vichy--Ordre-des-Medecins.gif

L'Ordre des Médecins, c'est cette institution poussiéreuse et arrogante qui a émergé du régime de Vichy....

 

Censé réguler la profession, l'Ordre des Médecins s'avère au contraire, dans les faits, un fervent défenseur de la pensée unique en médecine, véritable obstacle au développement de la Science, et ce, pour le plus grand bonheur des pharmas.

 

Institution opaque, les patients qui portent plainte devant celle-ci n'auront jamais de réponse sur la suite qui y aura été donnée. Les médecins peu scrupuleux sont la plupart du temps assurés d'une tranquillité parfaite, là où tous ceux qui osent sortir des sentiers battus font le plus souvent l'objet d'une féroce chasse aux sorcières (le Dr Andrew Wakefield et ses collègues en ont d'ailleurs fait les frais avec le General Medical Council, l'équivalent britannique de l'Ordre des Médecins.)

 

Les exemples à cet égard sont nombreux: Dr Gardénal en France, fut accusée à tort de charlatanisme et condamnée à 6 mois de suspension, dont 3 avec sursis, pour avoir notamment manqué d'autorité vis à vis de patients qui ne voulaient tout simplement pas suivre les traitements anti-cancer traditionnels!! Dans une vidéo assez accablante, elle révèle que les médecins français sont tenus, depuis UNE LOI DE 2005, de dénoncer, par recommandé avec accusé de réception, les patients jugés "déviants" au Conseil de l'Ordre ainsi qu'à la Sécurité Sociale!

 

Le Dr Gardénal a écrit en 2006, dans une lettre adressée au Président de la République:

 

« Une cinquantaine de mes patients est convoquée, et soumise à un flot de questions, le plus souvent sans leur expliquer qu'il s'agit d'une enquête à mon sujet. Exemple de questions : Comment est décoré le cabinet? Le Docteur imposait-il les mains ? Fait-il des prières ? Utilise-t-il un pendule? Ils ont parfois subi de la part de ces enquêteurs des pressions pour les obliger à suivre des traitements dont ils ne voulaient pas, en particulier pour une de mes patientes atteinte de leucémie. Pratiquement soumis à « la question » ils ont fini par avouer qu’ils suivaient d'autres traitements, non prescrits par moi-même, mais pratiqués partout en Europe, et ne faisant pas partie de l’arsenal allopathique français. Mes patients, totalement responsables de leur santé, se tiennent informés de tout ce qui existe. La plupart d'entre eux est sortie totalement traumatisée de ces interrogatoires inquisitoriaux. »

 

Ou encore :

 

"Il est honteux que des médecins soient  poursuivis tout simplement parce que depuis qu'ils sont sortis de la faculté, ils ont amélioré leurs connaissances et obtiennent d'excellents résultats en prescrivant un minimum d'allopathie et d'autres thérapeutiques. Ils font faire des économies à la Sécurité Sociale  qui devrait les féliciter.

 

Avec plus de 182 000 morts par an en France par le cancer, on ne peut pas prétendre que les traitements allopathiques (chimiothérapie et radiothérapie) même s’ils ont parfois quelques succès soient « des techniques scientifiquement avérées ».

 

Les malades ont conscience de cela. Il y a eu l'amiante, le sang contaminé, la vache folle, le distilbène, le Vioxx… Il y aura bientôt le cancer. »

 

Le Dr Philippe Bry, pédiatre, a écopé de 3 mois de suspension après avoir été dénoncé par un confrère. Il lui était reproché de "jeter la suspicion sur l'utilité des vaccinations" et de "recourir à des traitements insuffisamment éprouvés alors qu'il ne faisait qu'essayer d'aider un enfant victime de vaccins! La journaliste de La République du Centre Ouest n'a pu évidemment que s'indigner de pareil scandale et écrivait en 2001 à ce sujet:

 

« C'est là un comble: accuser quelqu'un de mettre la vie en danger, alors qu'il tente de soigner un patient dont la vie a été mise en danger par des vaccins. Les accusateurs mesurent-ils le paradoxe? D'autant que les isothérapiques sont des médicaments vendus en pharmacie, qu'ils sont employés par de nombreux médecins pour des drainages vaccinaux et que même l'lnstitut Pasteur les préconise ! (Réponse d'un responsable de l'lnstitut Pasteur à une victime du vaccin hépatite B atteinte de troubles qu'elle ne savait pas comment soigner) [1]. 

 

"Philippe BRY, pour sa part, analyse la mesure qui le frappe comme un procès en sorcellerie: " On m'a déjà enlevé mes cours auprès des sages-femmes, on m'a supprimé les gardes pédiatriques et mes interventions à l'hôpital Clocheville. J'ai été parmi les premiers à tiquer contre le vaccin de l'hépatite B. Il y a un tabou médical sur les vaccins, il ne faut pas entacher le dogme selon lequel le vaccin va sauver le monde. Je paie pour ma liberté de parole".

 

[…]  Rappelons que le Dr P. BRY était intervenu, parmi tous les autres orateurs, au colloque « Faut-il avoir peur des vaccinations » le 16 octobre 1999 à Paris, ce qui lui avait valu d'être cité, lui seul, dans le journal Impact Médecin hebdo (n° 466 du 22 octobre 1999, p. 45) qui rapporta ses paroles: "Les médecins devraient être mieux formés à la connaissance des effets secondaires des vaccins", et: "  Mieux informées, les familles devraient choisir librement les vaccins de leurs enfants". Jugez vous-même du sacrilège ! »

 

Plus récemment, le cas du Dr Moulinier, médecin cancérologue français, s'est fait connaître au public, grâce aux meilleurs moyens de communications (internet, vidéo etc) mais il faut savoir que ce médecin fait en réalité l'objet d'une chasse aux sorcières depuis des années. L'Ordre des Médecins lui reproche de ne pas utiliser des traitements dont l'efficacité est avérée et de recourir à des méthodes dangereuses (ce qui rejoint les mêmes stratégies que celles utilisées pour tenter de discréditer le Dr Gardénal donc). En dépit de l'absence d'une quelconque plainte émanant de ses patients - et ceci constitue un point commun saillant entre tous ces cas de médecins pourchassés-, l'Ordre des Médecins a cette fois condamné le Dr Moulinier a un an de suspension. Cela signifie donc qu'il ne peut plus donner des soins aux assurés sociaux pendant une longue année alors qu'il avait dans sa clientèle quantité de gens souffrant de cancer, satisfaits de ses traitements, et ne pouvant pas être laissés à leur sort pendant tout ce temps. Mais non, il fallait punir le Dr Moulinier pour faire un exemple: on n'a pas le droit de sortir du carcan des protocoles classiques de chimio ou radiothérapie sous peine de coups de bâton, parce que cela serait bien trop dérangeant pour l'establishment que le bruit se répande que leurs standards de soins sont hélas en la matière, ceux de la souffrance et de la médiocrité, à en juger par les réactions des malades et les statistiques officielles de "succès" de ces traitements prétendument "avérés".

 

Mais, dans le même temps, des médicaments dangereux et totalement inefficaces comme l'Afinitor (de Novartis) sont approuvés et remboursés en dépit de leur coût prohibitif, au terme de décisions surréalistes et incohérentes, qu'on peine à comprendre si on ne prend pas en compte la collusion évidente qui règne entre autorités sanitaires et pharmas. Le Dr Moulinier explique à très juste titre ce paradoxe écœurant, preuves à l'appui.

 

Plus récemment sur son site, le Dr Moulinier nous apprenait également les magouilles fiscales de ces grands pontes de l'Ordre des Médecins qui se placent finalement au-dessus des lois tout en toisant et en jugeant ceux qu'ils considèrent comme des subordonnés (le parallèle nous a d'ailleurs sauté aux yeux avec la Fédération Wallonie-Bruxelles, ex Communauté Française, qui fut sévèrement désapprouvée par le jury d'Ethique publicitaire en novembre 2011 pour sa publicité trompeuse sur les vaccins mais qui décida tout de même de continuer à diffuser une telle publicité trompeuse en estimant cette instance décisionnelle non compétente. Dans le même temps, des journalistes à la solde de cette instance tentaient de disqualifier Initiative Citoyenne en nous présentant comme "virulents et bien organisés"!)

 

Voici un extrait délectable tel qu'on peut d'ailleurs le lire sur le site de ce médecin courageux:

 

« En 2007 un scandale éclatait au sein de notre institution ordinale suite à une enquête de l’IGAS.(voir ICI). L’ensemble de la profession médicale française apprenait avec stupeur que certains de nos représentants aux conseils de l’Ordre des médecins  étaient  grassement rémunérés.   Il me paraît important de préciser que la loi interdit aux syndiqués et aux conseillers ordinaux de percevoir une quelconque rémunération mais ne les empêche pas de percevoir des indemnités qui, jusqu’à une période très récente, étaient non imposables. Sur Bordeaux nous avons essayé par deux fois de connaître le montant de ces indemnités et, bien évidemment, nous n’avons jamais reçu de réponse. Bien-sûr ce scandale a été vite étouffé car notre sainte institution doit rester irréprochable. Toutefois votre serviteur avait la mauvaise habitude d’étudier le bilan comptable annuel du conseil national de l’Ordre des médecins  qui était publié dans sa revue. L’institution se glorifiait  d’avoir une comptabilité certifiée par un haut  commissaire  aux comptes agréé par le gouvernement sous la haute surveillance bienveillante des conseillers d’État délégués pour surveiller la bonne marche juridique de l’institution. En somme que des gens irréprochables qui du fait de leur statut sont d’une compétence incontestable et d’une intégrité absolue. Mais alors comment est ce possible, car personne n’a été surpris de voir apparaitre à partir de 2008 deux nouvelles lignes de comptabilité conséquentes (voir ICI) ? Cela est étonnant non ? Et permet de s’assurer un complément de retraite non négligeable bien au chaud au sein de la noble institution. […] Vous ne rêvez pas,  nos braves conseillers, du moins pour ceux qui décrochent les bonnes places, arrivent à encaisser sur le dos de nos cotisations  plus de 2 millions d’euros et leurs frais sont remboursés jusqu’à hauteur de 1,715 millions d’euros. L’ensemble de la profession accepte tout cela sans même s’y intéresser vraiment. [ …] Celui qui a été la cheville ouvrière de ma condamnation, à savoir Mr Jean François de Vurpillières,  conseiller d’État âgé de 75 ans , sauf erreur de ma part , ancien vice-président du conseil d’État en 2009 , actuel président de la commission des infractions fiscales serait également conseiller d’État au conseil de l’Ordre des dentistes, aurait touché de manière non conforme à la législation 31 000 € (selon maître RUDYARD BESSIS)  d’indemnités annuelles  pour ses prestations auprès des dentistes . »

 

Dans un article paru dans Le Monde le 21 juin dernier, on pouvait notamment lire ceci:

 

"[...] François Mitterand avait inscrit la fin de l'Ordre dans ses 10 propositions. [...] Cet ordre, créé en 1940, puis dissous et recréé dans sa forme actuelle en 1945- il avait été un serviteur zélé du régime de Vichy."

 

Mais aussi ceci concernant les propos de Michel Legmann, actuel président du Conseil National de l'Ordre des médecins français:

 

"Le temps où les médecins n'avaient pas de comptes à rendre est révolu. Il faut rentrer dans la normalité..."

 

Ces propos ne peuvent bien sûr que faire bondir ceux qui ont compris le petit manège répétitif avec des cas comme ceux de Gardénal, Bry ou encore Moulinier. On ne peut que frémir à l'idée de ce que ces gens considèrent comme "LEUR normalité" qui est finalement un carcan idéologique extrêmement lucratif pour certains mais éminemment dommageable pour une majorité d'autres. 

  

Mais ces propos doivent aussi sembler bien hypocrites à cette maman de Menton qui s'était adressée en vain à l'Ordre des Médecins pour y dénoncer l'attitude pourtant gravissime d'une pédiatre locale qui l'a littéralement agressée verbalement parce que cette maman osait poser quelques questions sur la sécurité des vaccins!

 

L'Ordre des Médecins couvre donc des médecins fanatiques à partir du moment où ils sont respectueux des dogmes et peu importe si ce genre de fous furieux sont bons à enfermer ou dangereux pour leur patientèle!

 

Mais il faut dire qu’en France, le vice-président du Conseil National de l’Ordre des Médecins, le Dr Jean Pouillard, avait, semble-t-il, déjà donné l’exemple dans un document de 2004 intitulé « Comment faire face à un refus de vaccination ? »

 

Ce document écœurant qui parle notamment des efforts à déployer par les praticiens pour « venir à bout des réticences », stipulait également que « les vaccinations recommandées ne doivent pas être considérées comme facultatives » ou encore, tenez-vous bien, que « Le médecin ne doit pas s’incliner face à un refus vaccinal systématique car ce refus constitue en effet une mise en danger de l’enfant, une maltraitance, un refus de soins. », l’auteur étant même en faveur d’un retrait de la garde parentale et d’un signalement au Procureur de la République en cas de refus vaccinal !

 

Chez nous, en Belgique, la question de l'Ordre des Médecins a recommencé à faire débat il y a quelques mois suite à différentes dérives médicales. Laurette Onkelinx a alors prétendu souhaiter une réforme mais tout dépend bien sûr du résultat concret attendu avec ce genre de réforme.

 

Laurette Onkelinx a déclaré que l'Ordre des Médecins ne "correspond plus aux valeurs actuelles de la société" mais il est vrai qu'en matière de transparence, le contrat secret d'achat de vaccins H1N1 que Laurette Onkelinx a signé  au nom de l'Etat belge, a montré que ses valeurs étaient sans doute bien différentes de celles du reste de la société.

 

Dans un article du 4 avril dernier qui titrait "Faut-il réformer l'Ordre des Médecins?", l'association Médecine pour le Peuple indiquait notamment:

 

« Plusieurs médecins contactés par nos soins le pensent mais n'osent s'exprimer publiquement sur le sujet, par crainte de sanctions de l'Ordre. En revanche, un médecin généraliste de Herstal a décidé d’en faire une question de principe. Non seulement il parle, mais en plus il refuse de payer toute cotisation à l'Ordre des médecins depuis 30 ans. "Ne pas payer sa cotisation est une sorte de désobéissance civile", explique Johan Vandepaer qui se veut pratiquant d’une "médecine solidaire pour le peuple". Le docteur Vandepaer "ne se retrouve pas dans cet ordre, censé représenter l’éthique médicale", mais qui est à ses yeux «complètement hors du temps». 

 

Ou encore :

  

 

« A la médecine pour le peuple, on propose tout simplement d'abolir l'Ordre des médecins et de le remplacer par un Conseil supérieur de déontologie. Pour le docteur Vandepaer, cet organisme doit représenter toutes les professions. "Juristes et spécialistes d’éthique devraient y prendre place, ainsi que les mutualités, soit tous les acteurs de soins de santé", conclut-t-il. »

 

Marrant, voilà une association qui semble mal porter son nom puisque "Médecine pour le peuple" oublie ... le peuple (les patients donc) parmi les acteurs des soins de santé alors que ce sont justement les principaux, l'essence même du système: pas de patients, pas de médecin et pas de système médical non plus! C'est quand même un comble! Mais cela doit sans doute être là les vestiges d'un paternalisme qui colle littéralement à la peau d'une majorité de médecins.

 

Mais voici ce qu'on pouvait lire d'autre dans cet article:

  

« L’Ordre a déjà déposé son propre projet de réforme dans lequel on peut notamment lire que  les audiences disciplinaires pourraient devenir publiques. On saurait alors par exemple si un médecin qui monnaie des certificats est sanctionné. Et le docteur Kerzmann d’ajouter : "vous imaginez bien que vous pourrez compter sur le public présent aux audiences disciplinaires pour assurer le battage médiatique". »

 

La meilleure défense est donc toujours l'attaque: présenter un projet plutôt que de le voir s'imposer à soi, quoi qu'avec Laurette Onkelinx... auraient-ils vraiment quelque chose à craindre?



Le Dr Sophie Merckx, également de l'association Médecine pour le Peuple, refuse elle aussi de payer sa cotisation à l'Ordre des Médecins depuis des années. Son dossier a révélé au public qui ne le savait sûrement pas, que la loi impose normalement aux médecins de financer cette sorte de police interne qui s'avère bien davantage selon les cas français évoqués ci-dessus, être une police de la pensée (or l'Ordre belge diffère-t-il beaucoup de l'Ordre français? Et si oui, en quoi?).



Dans l'article posté à ce sujet sur RTBF Info, on apprend que c'est le 3 décembre prochain que la justice rendra une décision dans ce dossier où l'Ordre des Médecins réclame à ce jour pas moins de 1500 euros au Dr Sophie Merckx...



« "Aujourd’hui, en Belgique, déclare Sofie Merckx, ce sont uniquement des médecins qui jugent des médecins. C’est justement cela que nous mettons en cause. A nos yeux, c’est une espèce de guilde comme on en connaissait au siècle passé. J’estime qu’en refusant de payer, je continue quelque part le débat démocratique." A Anvers, depuis 1985, ajoute-t-elle, "on a été devant le même juge des saisies. Celui-ci a déclaré qu’il s’agissait d’un conflit politique et a donc prononcé la non-recevabilité de la plainte de l’Ordre des médecins."

 

« A Anvers mais aussi à Liège ou encore dans le Limbourg, ceux qui ne payent pas ne sont plus poursuivis. Ce n’est pas le cas en Hainaut. Pour le docteur Jean-Marie Bourgeois (président du conseil provincial de l’Ordre des médecins), ces cotisations sont pourtant nécessaires afin de faire tourner une structure qui contrôle la profession. "Cela permet de réguler la profession en intervenant dans pas mal de situations plus ou moins scabreuses que les patients ou les autres médecins nous révèlent." »



L'Ordre des Médecins joue en réalité un jeu d'hypocrite car d'un côté, il prétend défendre la déontologie mais d'un autre, et de la bouche même de ce président du conseil provincial encore bien, il démontre dans les faits qu'il encourage la délation entre confrères, ce qui est par définition contraire à la notion de confraternité qui se trouve au cœur même de la déontologie médicale. Il s'agit en fait bien de délation, comme au temps de Vichy ou il fallait aussi dénoncer et "rentrer dans la normalité"... le Dr Bry a d'ailleurs pu en faire les frais car il a été dénoncé par un confrère.



Ici aussi, en Belgique, nous avons connaissance de cas de médecins qui ont été dénoncés par des confrères, soit pour leurs positions vaccinales soit sous de faux prétextes (mais avec en toile de fond aussi des positions vaccinales). D'autres médecins encore ont décidé volontairement de rendre leur numéro Inami et de se radier eux-mêmes tant ils étaient  écœurés des dérives mercantilistes de la profession et de l'encouragement malsain à agir comme un robot distributeur de pilules.



Sur le site Pediablog, le Dr Jean-Pierre Lellouche écrit d'ailleurs dans son article intitulé "Convictions vaccinales":



« Lorsqu’un médecin milite pour les vaccins, lorsqu’il affirme que la cause est entendue, qu’il n’y a aucun doute et qu’il faut vacciner, il attire vers lui ceux qui pensent de la même manière. […]  Lorsqu’un médecin est convaincu qu’il y a un danger majeur et que le vaccin va éradiquer ce danger, il se perçoit comme celui qui va sauver un  grand nombre de personnes. Cela suffirait à le mobiliser, mais de plus, il  sait qu’il existe des médecins (des fous, des criminels, des ignorants à ses  yeux) qui ne veulent pas de ce vaccin. Il perçoit sa mobilisation comme  une lutte contre la maladie, mais aussi comme une lutte contre la bêtise criminelle de certains de ses confrères. »



Le 11 octobre à la Chambre, la Ministre Onkelinx disait être d'accord de faire de la réforme de l'Ordre des Médecins "une priorité absolue".

 

La Ministre a encore ajouté: "Je crois qu'au-delà des règlements déontologiques, il faudra trouver les moyens de supervision ad hoc pour éviter que les faits se produisent en amont et ce, par un travail de prévention et de contrôle des praticiens."



Vu les attitudes des autorités avec leur publicité trompeuse sur les vaccins fièrement revendiquée ou encore leur pacte de stabilité en faveur des pharmas, nul doute que ce "contrôle des praticiens" ne s'exercera sûrement pas en faveur de la liberté thérapeutique et des chances de santé des citoyens.

 

"Ce qu'il faut savoir et les gens n'en ont pas du tout conscience, c'est que le Conseil de l'Ordre, le corps médical, la Sécurité Sociale marchent main dans la main avec les lobbys pharmaceutiques, ce qui signifie que nous sommes dans un cadre et que nous n'avons pas le droit de sortir de ce cadre." Dr Martine Gardénal, médecin homéopathe, Présidente du Groupement français des Médecins spécialistes homéopathes.

 

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 14:19

Initiative Citoyenne a donné une interview au site Mange Mon Amour.

 

Lire cette interview.

 

 métaux lourds maladies

 

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13 novembre 2012 2 13 /11 /novembre /2012 14:00

Tamiflu-boite.JPG

Par Cyrille Vanlerberghe - le 12/11/2012

 

L'antiviral vedette du groupe pharmaceutique Roche n'a pas fait la preuve de son efficacité, d'après l'une des plus prestigieuses publications médicales internationales.

 

Le British Medical Journal, l'une des plus prestigieuses revues médicales au monde, demande au laboratoire Roche de publier l'intégralité de ses tests sur le Tamiflu, pour prouver définitivement l'efficacité de ce médicament antiviral. Le Tamiflu avait défrayé la chronique lors de l'épidémie de grippe porcine en 2009, quand des pays comme la France avaient dépensé des milliards d'euros pour en acheter des millions de doses, afin de répondre à une éventuelle explosion de la pandémie.

 

Lundi, Peter Gotzsche, le directeur du Nordic Cochrane Center de Copenhague qui collabore avec le BMJ pour demander plus de transparence aux laboratoires Roche, a estimé que les pays européens qui avaient fait des stocks de Tamiflu en 2009 devraient attaquer Roche en justice pour être remboursés de leurs achats. «Je suggère que l'on boycotte le produit de Roche tant qu'ils n'ont pas rendu publiques toutes les données sur le Tamiflu», a-t-il déclaré.

 

D'après BMJ et la Cochrane Collaboration, Roche n'a pas publié les données complètes liées à 15 études cliniques menées sur le Tamiflu. Le laboratoire a répondu à la revue britannique avec une lettre assez sèche, affirmant que «Roche n'acceptait pas le contenu de la lettre qui concernait la transparence» de l'entreprise et avait répondu à toutes les exigences réglementaires.

 

«Pas d'essai clinique réalisé dans les règles»

 

Le conflit entre Roche et le BMJ n'est pas nouveau. A la suite de l'épidémie de grippe A en 2009 et d'une enquête demandée par les parlementaires britanniques après les dépenses énormes du gouvernement pour faire des stocks de Tamiflu, le journal avait déjà demandé à Roche de prouver que l'antiviral pouvait réduire le nombre de complications en cas de grippe sévère.

 

Les essais cliniques du Tamiflu avaient en effet été réalisés pour la grippe saisonnière banale, pour laquelle il ne permet d'ailleurs de réduire les symptômes que de 24 heures.

 

Le professeur Bruno Lina, directeur du Centre national de référence de la grippe, reconnaît qu'il «n'existe pas d'essai clinique réalisé dans les règles qui permet de prouver l'efficacité du Tamiflu contre les cas de grippes sévères», mais qu'en revanche, «de nombreuses conclusions observationnelles montraient qu'il semblait réduire le nombre de morts dans les pays qui l'ont utilisé. En 2009, le Japon, qui a utilisé massivement le Tamiflu est aussi celui qui a eu le taux de mortalité le plus faible à cause de la grippe A.»

 

Le groupe pharmaceutique suisse Roche est aussi dans le collimateur de l'Agence européenne du médicament, qui l'accuse de ne pas avoir transmis aux autorités sanitaires les données de plus de 100.000 dossiers de patients, pour 19 produits, dont le Tamiflu.

 

Source: Le Figaro

 

Fabuleux ! L’efficacité n’était pas prouvée MAIS, nous dit le grand expert Bruno Lina, « il existe des données observationnelles semblant montrer que… »

 

Etrangement, quand en plus des études rigoureuses prouvant le danger des vaccinations, s’y ajoutent de très solides et nombreuses DONNEES OBSERVATIONNELLES, les vaccinalistes les balaient toujours d’un revers de la main de façon arrogante prétextant que cela n’est jamais indicatif ou à tout le moins suffisant pour remettre en cause le moindre rapport bénéfices/risques du moindre vaccin… mais à part ça, ces experts-là sont drapés dans toute leur « Science », il faut leur faire confiance et tout problème de collusion n’est que le fait d’une « théorie du complot » !

 

 

Voir aussi l'article "Les amendes infligées aux pharmas ne servent à rien."

 

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 19:40

  Les amendes dont écope Big Pharma n’ont aucun sens ;

elles ne peuvent en rien réparer les préjudices des victimes

 

Tant que les seules punitions  pour avoir dévasté des vies ne seront que des amendes qui ne réduiront même pas d’un quart leurs bénéfices, les désastres provoqués par les produits de Big Pharma ne pourront que continuer de se produire.

 

Corruption-in-a-pill-bottle.jpg

   

Par Heidi Stevenson

 

 

Au cours des deux dernières années, des compagnies pharmaceutiques ont fait l’objet  de gigantesques amendes : Novartis, 420 millions de dollars ; les laboratoires Abbott 1,5 milliards de dollars ; GlaxoSmithKline 3 milliards de dollars ; Pfizer 11 milliards de dollars (combinaison d’amendes). Nous, le public serions censés être heureux, serions censés jubiler mais personnellement je ne vois aucune raison de se réjouir.

 

Tout ceci ressemble davantage à du camouflage qu’à une authentique tentative de faire face aux malversations.

 

Les crimes dont il s’agit sont gravissimes. Ces sociétés ont agressé des millions d’êtres humains avec certains de leurs produits et elles sont pleinement conscientes de ce qu’elles ont fait. Des gens sont morts à cause de leurs produits et pas une personne n’a été punie. Seules ces sociétés ont reçu des amendes. Cela donne l’impression qu’elles ont été punies, qu’elles feront mieux à l’avenir et qu’elles seront obligées de réfléchir à deux fois avant de recommencer. Mais en dépit d’une assez mauvaise réputation, Big Pharma continue à vendre ses produits comme si ceux-ci étaient aussi populaires que des stars de cinéma.

 

Dans tous les cas, les amendes sont inférieures aux bénéfices que ces sociétés ont réalisés sur leurs produits. Le Guardian signale que pour la période couverte par l’amende, Glaxo a fait un chiffre d’affaires de 10,4 milliards de dollars sur les ventes de l’Avandia, 11,6 milliards sur les ventes du Paxil, et 5,9 milliards sur le Wellbutrin, le tout pour un total de 27,9 milliards de dollars pour ces seuls produits.

 

Pour les 9 premiers mois de 2012 , les bénéfices de Glaxo ont été d’environ 9,6 milliards. Pour un seul trimestre, les bénéfices de Glaxo ont dépassé de 3 milliards de dollars ce qu’ils ont dû payer à titre d’amende.

 

Le pire ne concerne pas ces amendes relativement faibles. Il faudrait savoir où va cet argent. A toutes les personnes dont la santé a été endommagée ? Aux familles des personnes décédées ? Non, pas un seul centime. Cet argent aboutit dans les coffres du gouvernement et ne servira sûrement pas à alléger les taxes.

 

Ces amendes ne sont rien d'autre que du spectacle; elles donnent l'impression de mettre à genoux ces géants pharmaceutiques, mais ce n'est qu'une impression.

 

Franchement, aucune amende ne paraît suffisante pour arrêter ce genre de malversations perpétrées par Big Pharma et qui touchent des millions d’êtres humains. Leurs produits estropient, mutilent et conduisent à des décès ! Comment une amende infligée en punition pourrait-elle suffire ? Pourquoi les personnes coupables ne sont-elles pas traduites en justice ? Ce sont des êtres humains qui sont lésés; il ne s’agit pas uniquement d’argent.

 

Les personnes dont la vie a été détruite, dont les carrières ont été ruinées, celles qui ont perdu un compagnon, un soutien, ces gens ne voient pas un centime de ces amendes. Pire encore, il semble qu’il n’existe aucune motivation de la part de ces géants pharmaceutiques pour changer la situation. Des vies continueront d’être détruites aussi longtemps qu’elles ne possèderont pas autant de valeur que l’argent du gouvernement et des caisses d’assurances.

 

Ces amendes sont autant de gifles à ceux dont la vie a été détruite. Elles ne sont finalement rien de plus que la démonstration de la collusion qui existe entre les gouvernements et Big Pharma, sans encore mentionner d’autres industries. Le business est la seule chose que semblent comprendre ces sociétés et les gouvernements qui sont sous leur emprise. Aucun compromis ne sera apporté quels que soient les préjudices subis, tant que des personnes ne seront pas traduites en justice pour les dégâts qui ont été commis. Ces compagnies sont elles aussi composées de personnes. Ce sont bien entendu des personnes qui prennent les décisions qui débouchent sur des escroqueries et qui finalement ruinent des santés ou conduisent à des décès. Permettre à des gens de se cacher derrière des noms d’entreprises n’est-ce pas la même chose que fermer les yeux sur des crimes ? Il faut appeler les choses par leur nom : des assassinats à des fins lucratives. Non pas des crimes passionnels, mais des crimes perpétrés de sang froid avec une totale  indifférence pour les victimes. Quand les gouvernements aborderont le problème des malversations de l’industrie pharmaceutique, en prenant vraiment en compte la vie des gens, alors et seulement alors, je pourrai dire que je suis impressionnée. Les amendes ne sont qu’une farce et aussi une gifle aux victimes.

 

Source: Gaia Health

 

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12 novembre 2012 1 12 /11 /novembre /2012 19:00

Le badge "Grippe" des hôpitaux de Genève crée la polémique

 

Par Sophie Davaris, TDG, 12 novembre 2012

 

Le port obligatoire est une discrimination pour le syndicat SIT. Un moindre mal pour l'éthicien Bertrand Kiefer

 

La grippe tue dans les hôpitaux. L’an dernier, elle a joué un rôle important ou décisif dans la mort d’au moins onze personnes aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG). Pionniers en Suisse, les HUG renforcent leur campagne de promotion du vaccin. Chaque employé devra déclarer s’il s’est fait vacciner ou non. Comment? Par le port obligatoire d’un badge. Orange: «Je suis vacciné(e) pour vous protéger». Marron: «Je porte un masque pour vous protéger. » L’employé sans badge ou sans masque recevra un avertissement oral puis une remise à l’ordre écrite s’il n’obtempère pas. Une convocation avec le responsable des ressources humaines pourra suivre. Un blâme sera infligé et une enquête administrative ouverte «si la situation perdure».

badge-grippe.jpg

 

Les syndicats réagissent. «Personne ne conteste la nécessité de protéger les patients de la grippe ni l’importance de porter un masque lorsqu’on n’est pas vacciné», déclare Mirella Falco, secrétaire syndicale du SIT. Les oppositions se cristallisent autour du port du badge. «Nous contestons son utilité et estimons qu’il stigmatise les gens. Il est possible d’informer les patients autrement: des panneaux dans les couloirs pourraient expliquer que le personnel porte un masque ou se vaccine. Nous l’avons dit à la direction.» Infirmière et militante au SIT, Daniela Neves enfonce le clou: «Le badge constitue une atteinte à l’intégrité personnelle. A quand un badge: «Je suis séropositif» ou «Je suis déprimé mais je vous soigne»? On va trop loin. Avec ce badge, ceux qui ne se vaccinent pas seront moins bien vus que les autres

 

Sondage grippe soignants Suisse (TDG)

 

Les HUG se rendent-ils coupables de discrimination? Rédacteur en chef de la Revue médicale suisse et membre de la Commission nationale d’éthique, Bertrand Kiefer reconnaît que le fait de «demander aux soignants de se faire vacciner constitue une intrusion dans la sphère privée, une atteinte à l’autonomie que l’on n’aime pas venant de l’employeur». Et il existe bien selon lui un côté discriminatoire dans le port de badges différenciés.

 

Mais pour le médecin et théologien, tout cela peut se justifier par une pesée d’intérêts. «L’Hôpital n’est pas une entreprise comme une autre. C’est un lieu de brassage de populations, où les virus circulent facilement et où de nombreuses personnes vivent dans un état particulier de vulnérabilité. Or on sait que le vaccin est efficace pour empêcher la transmission de la grippe.» Ces conditions justifient selon lui une atteinte à la liberté individuelle. D’autant qu’elle est modérée. (TDG)

  

Source : Tribune de Genève

 

On l'a déjà expliqué sur ce site: les fanatiques des vaccins sont au plus mal. La prise de conscience montant, ils espèrent trouver toutes sortes de ficelles destinées à prolonger encore un peu à leurs yeux "leur bon vieux temps", période où ils étaient tranquillement à piquer du matin au soir sans que la moindre objection ne vienne jamais les importuner.

 

C'est pourquoi, quand il ne s'agit pas de vouloir censurer Google ou opérer via ce système un filtrage destiné à empêcher des gens de tomber sur des sites critiques sur les vaccins, ils retournent à leurs bonnes vieilles ficelles de culpabilisation des uns et de manipulation des autres. Diviser pour mieux régner... un principe vieux comme le monde, qui est donc ici remis au goût du jour avec la dernière trouvaille des idéologues de la vaccination à savoir l'obligation pour les travailleurs des hôpitaux genevois de porter un badge discriminant, renseignant les patients sur la vaccination ou la non vaccination des soignants. Mais le plus grotesque dans tout cela est que la méthode même traduit le véritable désespoir des idéologues confrontés à divers obstacles gros comme des maisons: la possible tenue d'un référendum contre la révision de la loi sur les épidémies prévoyant la possibilité de vaccination obligatoire et autres joyeusetés, les violentes critiques médicales dans la presse contre la vaccination antigrippale, etc

 

En effet, pourquoi serait-il nécessaire d'imposer le port d'un badge si les soignants non vaccinés sont obligés de porter le masque? Par déduction, les patients qui voient un soignant masqué sauront donc très bien qu'il n'est probablement pas vacciné. Mais non, il fallait en remettre une couche destinée à monter subtilement les patients contre les soignants et instaurer ainsi une sorte de climat de défiance censé profiter à l'aura du vaccin. Car de fait, le badge des soignants vaccinés mentionne "Je suis vacciné(e) pour vous protéger."et celui des non vaccinés "Je porte un masque pour vous protéger." Voilà comment on arrive à créer ainsi un amalgame dans la tête des gens entre protection réelle du masque et protection douteuse du vaccin (qui est médiocre en matière grippale mais qui, en plus, majore le risque d'autres infections chez ces soignants-là, toute vaccination déprimant le système immunitaire pendant tout un temps, le laissant ainsi plus vulnérable à diverses infections opportunistes dans le décours d'une vaccination!). L'espoir, des idéologues bien sûr, c'est que les soignants qui trouvent trop inconfortable de travailler avec un masque finissent par céder et qu'ils les aient ainsi à l'usure.

 

L'enjeu de la grippe contractée à l'hôpital est en réalité minable si on le compare à celui des maladies nosocomiales. Voici à ce propos ce que déclarait le Dr Genevièvre Christiaens, médecin hygiéniste au CHU du Sart Tilman à Liège (Belgique), un des plus gros hôpitaux du pays, avant la campagne vaccinale de 2011-2012 pour laquelle l'hôpital n'a même plus pris la peine d'offrir la vaccination gratuite aux soignants vu leur peu d'enthousiasme: "C'est bien simple, dans un hôpital aigu comme le nôtre, qui enregistre 3000 admissions par mois, nous n'avons constaté la saison dernière que 4 cas de grippes potentiellement acquises au CHU. C'est à tout à fait marginal face aux 5 à 10% de patients qui souffrent d'infections nosocomiales. La vraie priorité est là."

 

On assiste donc ici à la véritable agonie d'une idéologie: celle des vaccinalistes qui voulaient non seulement vacciner tout le monde sans encombre et ce, au mépris le plus criant des particularismes biologiques individuels, mais qui espéraient en plus que chacun s'y plie de bonne grâce, avec le sourire et aussi, disent certains, "le sens du sacrifice". Eh bien non, ce temps est révolu et aucune des ficelles grotesques que ces gens-là inventeront n'auront le succès qu'ils escomptent, la prise de conscience du public étant déjà bien trop avancée à ce stade pour cela. Mais renotons tout de même au passage la troublante "coïncidence" que cette manoeuvre ait lieu peu après l'annonce d'un référendum probable qui fera voter les Suisses en 2013 sur l'acceptation ou le rejet d'une loi rendant possible la vaccination obligatoire en cas d'épidémies... Des gens, sans doute comme Claire-Anne Siegrist, vaccinologue acharnée et détentrice de la chaire Mérieux de Vaccinologie de l'Université de Genève, sont plus que probablement derrière cette idée affligeante. Ils n'ont fait en fait que dépoussiérer l'idée canadienne d'imposer aux soignants le vaccin ou à défaut, le port du masque, sauf qu'ils ont ajouté l'idée grotesque du badge en prime.

 

 

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