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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 20:25

Six Académies ont cru bon de se liguer contre le courageux Pr Séralini, exactement comme 100 Prix Nobel ont cru bon de se liguer contre le Pr Montagnier aux propos plus que dérangeants sur les vaccins...

 

Les méthodes de dénigrement et d'ostracisme sont les mêmes, qu'il s'agisse d'OGM ou de vaccins... souvenons-nous du Pr Marc Tardieu, neuropédiatre, qui fut littéralement interdit de conférence de presse parce qu'il avait mis en évidence un très dérangeant risque significativement accru de sclérose en plaques dans les 3 ans qui suivent une vaccination anti-hépatite B (par Engerix B, vaccin transgénique) chez les enfants.

 

- on attaque l'homme ou la revue, en tout cas l'aspect formel, pour FAIRE DIVERSION SUR LE FOND. On prétend que la méthodologie est mauvaise ou trop faible mais sans s'attarder sur la méthodologie anti-scientifique des études officielles qu'on doit prendre pour parole d'évangile.

 

- on espère que "l'effet de masse" (6 Académies, 100 Prix Nobel) fera croire au public que "la majorité a forcément raison".

 

- on fait croire à un faux péril si on remet le dogme en question.

 

- on a l'obsession de rassurer à tout prix, rassurer pour garantir la pérennité des marchés. Avec les vaccins aussi, c'est constamment la priorité n°1 (bien loin devant la prétendue volonté de rendre les vaccins plus sûrs!). Voici d'ailleurs quels étaient les propos du Dr Benoît Soubeyrand, directeur médical d'Aventis Pasteur, dans la revue Médecine & Maladies infectieuses en juin 2003:

 

" Chaque nouvelle polémique instaure une perte de confiance du public [...] qui peut rendre des programmes de vaccination difficiles à conduire et mettre en jeu la santé des populations. La communauté médicale a un rôle-clé à jouer pour minimiser ces risques, en améliorant la qualité de sa communication sur la tolérance et la valeur des vaccins."

 

Voyez aussi cet article fort intéressant sur ce front commun des Académies contre Séralini:

 

OGM : Séralini mis à mal par 6 Académies... qui se prononcent très peu sur l'étude !

 

21/10/2012. Fédération Inter-Environnement Wallonie (IEW)

 

L’avis de 6 Académies -  Académies nationales d’Agriculture, de Médecine, de Pharmacie, des Sciences, des Technologies, et Vétérinaire -  sur la publication récente de G.E. Séralini et al. relative à la toxicité d’un OGM vient d’être mis en ligne. Relativement léger sur les questions purement scientifiques (ils se contentent des mêmes critiques que l’EFSA par exemple), cet avis se distingue par contre par sa critique sévère relative à la médiatisation de l’étude : il condamne la revue qui a publié l’article (Food and Chemical Toxicology, classée comme étant de « notoriété excellente » par le système Noria de l’INRA) et en appel à la création auprès du Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel d’un « Haut comité de la science et de la technologie ». Rien que ça... 

 

ACADEMIES.jpg

Extraits des conclusions et recommandations des 6 académies

 

Il apparaît ainsi, au vu des arguments évoqués plus haut, que (...) deux responsabilités apparaissent clairement. D’une part celle de la revue qui, nous l’avons dit, n’aurait jamais dû accepter cet article, ce qui est grave car l’expertise de l’article par les revues tient lieu d’évaluation initiale par les pairs. La seconde responsabilité est celle de G.E. Séralini d’avoir orchestré à l’avance une sur- médiatisation à partir de résultats contestables n’apportant aucun commencement de preuve.

 

Il reste vrai, même après ces critiques, qu’il est sans doute opportun de se poser la question des protocoles expérimentaux qui devraient être utilisés pour détecter un pouvoir cancérogène éventuel des produits alimentaires. Trois mois (durée le plus souvent utilisée) sont-ils suffisants ou non ? La question peut être en particulier posée pour les pesticides ou les herbicides. Le problème n’est pas simple car l’échelle des temps, en particulier la durée de vie, n’est pas la même chez le Rat et chez l’Homme. Mais ce n’est pas la publication de cet article qui doit inciter à cette réflexion car il ne contient aucun élément probant. Il serait particulièrement dangereux d’évoquer une nécessité éventuelle d’expériences à long terme à l’occasion de cet article car l’impression serait donnée que les résultats présentés par G.E. Séralini ont une valeur suffisante pour justifier une inquiétude du public, avec tous les dégâts que cela peut avoir en France et dans le monde. 

 

Sur le plan sanitaire, il faut dans un premier temps rassurer la population et confirmer les communiqués déjà donnés sur la faible qualité de l’article. Les questions soulevées méritent d’être étudiées par des chercheurs reconnus, non suspectés de conflits d’intérêt, avec un financement sous contrôle public. La médiatisation de l’article de G.E. Séralini et son impact sur l’opinion (...) ont ainsi contribué à alimenter des peurs totalement irrationnelles dans la mesure où les résultats présentés n’ont aucune validité scientifique.

 

Pour limiter de telles dérives, les six Académies recommandent la création auprès du Président du Conseil supérieur de l’audiovisuel d’un « Haut comité de la science et de la technologie ». La mission de ce Haut comité serait d’attirer l’attention du Président du CSA sur la médiatisation de travaux scientifiques remettant en cause des savoirs partagés par la très grande majorité de la communauté scientifique internationale sans que les responsables de chaînes de télévision ou de radios se soient auparavant assurés de leur validité, alors que la diffusion de ce qui pourrait s’avérer par la suite comme « une fausse nouvelle » aura profondément et indûment influencé les Français, parfois de manière irréversible.

 

Rassurer la population, une priorité !

 

A la lecture de ces conclusions, on ne peut qu’être inquiet sur le fait que ce qui semble ici déterminant, c’est de rassurer la population. Plusieurs associations qui luttent contre la culture et la commercialisation des OGM pensent que l’EFSA aussi se concentre essentiellement sur cet aspect des choses. « Alors que l’EFSA vient de réagir dans un délai ridiculement court à la dernière étude de G.-E. Séralini, en prétendant qu’elle n’avait aucune portée, cette agence ferait mieux de faire son travail sérieusement et de s’assurer que les dossiers de demande d’autorisation d’OGM sont réalisés avec la meilleure rigueur scientifique possible », juge François Veillerette, porte-parole de Générations Futures. « L’EFSA n’est manifestement qu’une des instances qui fonctionnent comme des chambres d’enregistrement destinées à rassurer le public, au sujet des OGM, mais non à en assurer la sécurité », conclut un rapport (Expertise des OGM, l’évaluation tourne le dos à la science ) d’Inf’Ogm, une veille citoyenne d’information sur les OGM.

 

Evidemment, si la population commence à se poser des questions sur ce qu’elle mange, il y a fort à parier que certaines industries vont rencontrer quelques problèmes...

 

Que sont ces « Académies » qui critiquent Séralini

 

Un article, paru sur le blog « De l’intérêt du conflit » du journal français Rue89 et signé Benjamin Sourice, tente de répondre à cette intéressante question.

 

Pour ce faire, il interroge entre autres Jean-François Bach, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences. Celui-ci « avoue » qu’ils se sont concentrés dans leur avis sur ce qui est au centre de l’intérêt médiatique de l’étude (les tumeurs) mais non sur l’entièreté de l’étude et que c’est après « avoir été sollicités par des académies étrangères dont les pays ont été impactés par la publication de l’étude » que les membres ont décidé de monter un groupe ad hoc à la composition tenue secrète pour rendre cet avis ponctuel. Mais pourquoi donc ce secret ? Risque de conflits d’intérêts ? « Il est très difficile de garantir une absence totale de conflits d’intérêts, je ne connais pas le CV de chaque personne. D’ailleurs, un spécialiste qui n’aurait jamais eu de lien avec l’industrie au long de sa carrière, ce serait inquiétant. Il ne faudrait pas éliminer des compétences pour ce motif » avance, « prudemment » JF Bach.

 

Ces messieurs de l’Académie auraient pu faire preuve d’un peu plus de courage aux vues des entailles portées à la réputation de Gilles-Eric Séralini, accusé d’« orchestrer sa notoriété » pour « répandre des peurs » auprès du « grand public »... remarque (avec justesse) Benjamin Sourice.

 

Mais que sont ces Académies, et qui sont ces académiciens ?

 

Lire la suite sur le Blog de Rue89.

 

Deux nouveaux avis sont attendus ce lundi 22 octobre : celui de l'agence de sécurité sanitaire française (Anses) et celui du Haut conseil des biotechnologies.

 

L’intégralité de l’avis des 6 Académies

 

En prenant conscience des analogies entre les différents mécanismes scandales sociétaux, on devient un citoyen actif, capable d’agir et pleinement conscient de l’urgence qu’il y a à faire quelque chose, aussi petite que soit « cette pierre à apporter » à l’humanité….

 

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 18:41
john_dali.jpg

John Dalli, né le 5 octobre 1948 à Qormi, sur l'île de Malte, est un homme politique maltais. Il appartient au Parti nationaliste (PN/NP). 


Il a occupé le poste de commissaire européen en charge de la Santé et de la Politique des consommateurs de 2010 à 2012, au sein de la Commission Barroso.

 

Impliqué dans une affaire de corruption liée à l'industrie du tabac, il a démissionné le 16 octobre 2012.

 

John Dalli s'est retrouvé mardi clairement mis en cause dans une enquête de l'Office européen de lutte antifraude.

 

La commission Barroso a annoncé mardi soir la démission de John Dalli, titulaire du portefeuille de la Consommation et de la Santé, mis en cause dans une affaire de trafic d'influence au plus haut niveau européen.

 

L'intéressé rejette vigoureusement l'accusation et promet de rétablir son honneur.

 

Source: Le Figaro


De mieux en mieux pourrait-on dire… Rappelons que c’est ce même John Dalli qui avait émis le souhait, en janvier 2012, que « la Commission Européenne (= instance non élue et au dessus de toutes les législations !) puisse déclarer un état d’urgence sanitaire », chose des plus risquées compte tenu du précédent du H1N1 d’une part et de l’idée de la Commission européenne d’autoriser l’expérimentation humaine sans consentement « au motif de l’urgence » !

 

En attendant, la Commission vient d’autoriser dans l’Union le maïs transgénique MIR162 de Syngenta… prétendu aussi sûr que son homologue non transgénique !

Les 27 n’étaient pas parvenus à un consensus sur le sujet et dans pareil cas, la solution non démocratique de rêve pour les lobbys concernés, c’est que c’est la Commission qui tranche ! N’y a-t-il donc pas là aussi eu fraude quelque part ? On pourrait en débattre si on connaissait un peu mieux les dessous de toutes ces structures opaques.   

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22 octobre 2012 1 22 /10 /octobre /2012 15:00

vaccin-hexa.jpg

Sanofi a annoncé le 18 octobre dernier l'arrivée sur le marché d'un nouveau vaccin hexavalent (6 en 1)... c'est donc bien qu'ils se doutent de l'approbation décidée d'avance de ce vaccin.

 

Voici ce que disait ce communiqué:

 

« Le vaccin pédiatrique novateur 6-en-1 développé par Sanofi Pasteur a été soumis par Sanofi Pasteur MSD à l’Agence européenne des médicaments (EMA) pour enregistrement dans l'Union Européenne.

 

Sanofi Pasteur MSD (co-entreprise en Europe entre Sanofi Pasteur et Merck, laboratoire pharmaceutique basé aux Etats-Unis), prévoit de commercialiser le vaccin dans les pays européens sous sa propre marque.


Le nouveau vaccin hexavalent est le seul vaccin sous forme liquide 6-en-1 prêt à l’emploi (sans reconstitution) pour la protection des nourrissons contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B, la poliomyélite et les infections invasives à Haemophilus influenzae de type b. »

 

Ou l'art de faire passer du vieux pour du nouveau car pour les enfants, que ce vaccin soit à reconstituer ou pas ne change hélas rien, ça reste une véritable bombe à retardement pour leur système immunitaire et leur équilibre futur tout entier...



"Grâce à ce nouveau vaccin hexavalent, Sanofi Pasteur possède maintenant un large portefeuille de vaccins pédiatriques, qui représentent autant de solutions pour les médecins et les enfants." a déclaré dans ce communiqué le Dr Jean-Paul Kress, président de Sanofi.

 

En fait, leur précédent vaccin hexavalent, l'Hexavac, loin d'être "une solution pour les enfants" fut bien davantage une tragédie, puisqu'il fut impliqué dans plusieurs décès par oedèmes cérébraux mortels du nourrisson, une pathologie dans laquelle le sang des vaisseaux sanguins du cerveau sort de son lit et "innonde" en quelque sorte tout le reste du cerveau avec des modifications de taille et de texture qui s'ensuivent et qui sont reconnaissables à l'autopsie.

 

Comme le détaille très bien l'auteure Virginie Belle dans son récent livre "Faut-il faire vacciner son enfant?", il semble bien que les véritables raisons du retrait du marché de ce vaccin Hexavac furent maquillées avec la complicité de l'Agence Européenne du Médicament en fausses raison d'inefficacité, les gens préférant savoir qu'ils ont reçu un vaccin inefficace plutôt qu'un vaccin dangereux. Alors que l'efficacité (on parle en jargon d'"immunogénicité") des différentes valences de ce vaccin 6-en-1, dont celle de l'hépatite B, avait été validée plus d'une fois par l'Agence Européenne du Médicament, c'est sous ce fallacieux prétexte que le vaccin a été retiré précipitemment du marché en septembre 2005, très peu de temps après que les autorités allemandes aient annoncé le lancement de l'étude "Token", destinée à enquêter sur tous les décès d'enfants inexpliqués et le lien possible avec cette vaccination.

 

Dans un document du Comité des Médicaments à Usage Humain (CHMP) de l'Agence Européenne du Médicament daté du 21 juin 2012, on pouvait notamment lire que "Le produit médicamenteux Hexaxim en suspension pour injection de 0,5 ml est exclusivement prévu pour les marchés en dehors de l'Union européenne."

 

En à peine 4 mois, Sanofi aura fait volte-face à ce sujet et destine donc aussi ce Xième vaccin au marché européen.

 

Quoi qu'il en soit, GSK ne sera qu'un "demi concurrent" en la matière puisque cette firme touchera bien entendu des royalties sur les ventes d'Hexaxim de Sanofi étant donné la stratégie des brevets déployée par l'ex PDG de GSK, Jean Stéphenne, et merveilleusement expliquée dans cette courte vidéo:

 

 

Tout vaccin anti-hépatite B rapporte donc des royalties à GSK et donc, si la valence anti-hépatite B est incluse dans des vaccins combinés (plus chers que le vaccin monovalent anti-hépatite B), le brevet portera sur toute la seringue et GSK percevra aussi des royalties sur le vaccin hexavalent Hexaxim de Sanofi...

 

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 22:28

Rien n'irrite plus les lobbies derrière la Lettre du Médecin que le fait de montrer au public que le dogme vaccinal puisse être questionnable et même controversé!

 

C'est dans ce contexte que le Dr Maurice Einhorn,  rédacteur en chef de la Lettre du Médecin, reprenait sa plume en s'indignant qu'on ose poser la question "Pour ou contre les vaccins?".

 

Voici le discours, ô combien opposé à l'esprit scientifique, qu'il tenait dans la dernière newsletter:

 

  «Pour ou contre les vaccins»: rebelote à la RTBF

 

Après RTL, c’est la RTBF qui devait s’attaquer hier au dossier des vaccins, avec une question toujours aussi choquante: «Pour ou contre les vaccins». A nouveau cette équidistance entre la science avérée et les fumisteries les plus variées. ME.

 

Il est très regrettable que le Dr Einhorn sache si peu distinguer "la science avérée" "des fumisteries les plus variées", au point, comme nous l'avons récemment évoqué, que ce genre de confusions coûtent la santé à des millions de gens à travers le monde.

 

Voici une vidéo qui pourrait éclairer le Dr Einhorn sur la fumisterie des essais cliniques actuels des vaccins qu'il défend aveuglément et qui ne recourent jamais à de véritables placebos, contrairement aux standards de base de toute "science avérée":

  

 

De même, voici le genre de données que le Dr Einhorn considère sans doute comme "des fumisteries":

 

En 2000 déjà, une étude de l'Ecole de Santé Publique de l'Université californienne de Los Angeles (UCLA) incluant près de 14 000 enfants avait établi que la vaccination DTC (diphtérie tétanos coqueluche) multipliait par deux le risque de développer un asthme, permettant ainsi de mieux comprendre pourquoi cette maladie avait plus que doublé ces vingt dernières années avec 30 à 50 millions d'asthmatiques et d'allergiques dans ce pays.

 

Cette étude indique ainsi notamment que " 50% des cas d'asthme diagnostiqués chez les enfants et adolescents américains (2,93 millions) auraient pu être évités si la vaccination DTC ne leur avait pas été administrée. De façon similaire, 45% des cas de sinusite (4,94 millions) et 54% des épisodes allergiques affectant le nez et les yeux (10,54 millions) pourraient être évités chaque année si la vaccination DTC était interrompue."

 

Pour la petite histoire, le Dr Einhorn avait déjà tiré au bazooka contre le Vif à l'époque où de courageux journalistes, limogés depuis lors, avaient sorti l'article sur les dessous de la vaccination anti-HPV (Gardasil & Cervarix), en novembre 2008, n'ayant pas supporté qu'une extension dudit article traite des arguments des "pour et des contre". Bien évidemment, il ne faut surtout pas que le public devine qu'il y aurait éventuellement des raisons d'être critiques. Tendez le bras bonnes gens et surtout, taisez-vous, on ne veut PAS vous entendre... puisqu'on vous dit que c'est pour votre Bien!

 

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 21:12

lobbyiste.gif

L'hebdomadaire Le Vif l'Express vient de sortir un dossier sur l'influence des lobbys sur les élus.  C'est presque "amusant" vu le barrage que ce média (détenu par Roularta Medica) avait manifesté pour qu'Initiative Citoyenne n'ait surtout pas droit à faire valoir un autre son de cloche, suite à leur article mensonger du 23 décembre dernier sur les vaccins, ne laissant la parole qu'à des experts liés à ces mêmes lobbies pharmas sans jamais avoir mentionné ces liens aux lecteurs....

 

Que trouve-t-on dans ce dossier des journalistes Thierry Denoël & Laurence Van ruymbeke?

 

Des phrases "savoureuses" de responsables politiques, somme toute très partiaux et donc in fine méprisants pour l'ensemble de leur électorat:

 

"Il existe tout de même de bons lobbyistes qui s'inscrivent dans une logique de partenariat" nuance un ancien chef de cabinet libéral.

 

"Le secteur pharmaceutique est un partenaire comme un autre. [...] On ne peut élever de muraille de Chine entre les mondes public et privé. Il y a des domaines très pointus dont les spécialistes ont toujours un lien de près ou de loin avec l'industrie. Il est naïf de penser qu'on va pouvoir tout cadenacer. [...] Nous recevons tout le monde. Cela fait partie de notre obligation d'information." assure Laurence Bovy, la chef de cabinet de Laurette Onkelinx, la Ministre fédérale belge de la Santé qui vient de conclure un "pacte de stabilité" particulièrement avantageux pour Big Pharma.

 

Des constats absolument pas novateurs, tels que nous avons déjà pu les faire il y a des années:

 

"Face aux lobbys, il n'y a plus vraiment de contrepoids ou d'alternative. Les pouvoirs publics réfléchissent à très court terme. Désormais, ce sont surtout les lobbys qui sont pourvoyeurs de réflexion, un rôle que l'Etat et les services d'étude des partis devraient reprendre d'urgence." commente Olivier Marquet, le patron de la banque Triodos. (ce qui prouve bien que nous ne sommes pas un lobby comme l'affirment souvent les vaccinofanatiques avec un brin de mauvaise foi...)

 

"Dans le secteur pharmaceutique aussi, les firmes privées sont présentes dans toutes les instances de décision (lire ci-dessous), de l'Agence du médicament, financée par les firmes, à la Commission de remboursement des médicaments au sein de l'Inami." Thierry Denoël & Laurence Van Ruymbeke. 

 

"Le mélange des genres à pris une ampleur exponentielle avec la mondialisation et l'explosion du secteur privé" explique Alexandre Piraux qui considère ces conflits d'intérêts comme "une véritable bombe à retardement pour nos démocraties."

 

"On continue à tabler sur une autorégulation, un contrôle entre pairs, chacun ayant sa propre morale et affirmant pouvoir fermer les portes quand il le faut. Ce n'est bien sûr pas suffisant." Alexandre Piraux.

 

"Lorsque le vaccin contre le papillomavirus, provoquant le cancer du col de l'utérus, a été proposé à toutes les jeunes filles belges, le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) avait rendu un avis positif pour les vaccins commercialisés par GSK et Sanofi Pasteur MSD. Quatre des cinq experts du groupe de travail ad hoc du CSS avaient été consultants ou chercheurs rémunérés par une des deux firmes. (Le Vif/Express du 14 novembre 2008). La Ministre l'a reconnu, mais il n'y avait pas d'autres experts compétents en la matière...Il faut dire que le monde académique est largement financé par les firmes privées: recherche, chaires universitaires, essais cliniques, etc."

 

"Aujourd'hui, de plus en plus de voix s'élèvent dans la société civile pour réclamer davantage de transparence et de règles claires."

 

Le discours péremptoire des pharmas:

 

 "Partager l'expertise avec le politique est, pour nous, un devoir." Léo Neels, directeur général de pharma.be.

 

"La tendance actuelle est de chercher le moindre conflit d'intérêts et d'exclure du débat tous les experts concernés. Nous sommes dans la démocratie de l'exclusion. Cela hypothèque le débat contradictoire. Imaginez un instant que le secteur pharma ne partage plus son expertise avec les pouvoirs publics!" se plaint aussi Léo Neels.

  Le-Vif-19-oct-2012.jpg



Etant donné que les pharmas sont partout, la sécurité sanitaire du public n’est plus assurée. Mais le pire n’est pas là, le pire, c’est que les politiques déclarent hypocritement « recevoir tout le monde » alors qu’ils ferment à priori les portes à toute possibilité d’analyse objective et de débat contradictoire. Voilà en quoi consiste ce cadre « stable et sécurisant » pour Big Pharma… éviter la moindre contradiction qui serait susceptible de les contrarier !

 

Le public n’a donc, lui, pas la chance d’être considéré comme « un partenaire comme un autre » mais tout au plus comme un « partenaire de seconde zone » si pas même comme « un ennemi » à manager…un ennemi "virulent et bien organisé" (aveu tout de même d'une certaine expertise indépendante en la matière?)

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 20:00

allergies

C'est un fait absolument certain, les vaccins sont une des grandes causes d'allergies. Les preuves abondent de toutes parts et les spécialistes (qui osent) l'avouent également. La situation est assez préoccupante, puisqu'en Belgique, 1 personne sur 3 est déjà allergique et l'OMS prédit déjà que ce sera 1 personne sur 2 qui sera concernée d'ici à 2030-2050.

 

En 20 ans, le nombre de vaccins administrés aux enfants aura plus que doublé et il n'est donc hélas pas très étonnant que les allergies aient aussi augmenté en parallèle. Car contrairement aux pseudo explications qui font croire de façon assez simpliste que LA cause des allergies c'est la substance ou l'aliment allergisant, la véritable cause se situe bien en amont et c'est cette cause primaire qui explique d'ailleurs que l'on n'était pas allergique depuis toujours à tel ou tel aliment ou substance (= causes secondaires).

 

En général, c'est l'ingestion ou l'exposition à telle ou telle substance pendant un phénomène immuno-perturbateur qui va faire que la personne sera allergique à ceci plutôt qu'à cela. La véritable cause est donc le mécanisme immuno-perturbateur sous-jacent et pas la substance elle-même. Car une fois encore, la personne aurait sinon été allergique depuis toujours à ces molécules!

 

Différentes études et enquêtes indépendantes ayant valablement comparé des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés (ce qui n'est jamais fait dans les études officielles dont les résultats sont donc toujours biaisés compte tenu de cette absence de comparaison contre placebo véritable) sont toutes parvenues à des conclusions similaires: il y a significativement moins d'allergies et de maladies atopiques chez les enfants non vaccinés.

 

Voici un exemple (étude menée aux Pays-Bas sur une durée de 5 ans, comparant 312 enfants ayant reçu tous les vaccins officiellement recommandés et 231 enfants n'ayant jamais reçu le moindre vaccin de leur vie):

 

Vaccines-VS-non-vaccines--NVKP-.JPG

 

 Résultats:

 

+ de réactions allergiques chez les enfants vaccinés (89 vs 61,5 soit 30% plus)

+ d'asthme chez les enfants vaccinés (46 vs 19 soit 60% plus)

+ d'intolérances alimentaires chez les enfants vaccinés (74 vs 60,1 soit 20% plus)

+ d'eczéma chez les enfants vaccinés (167 vs 101 soit 40% plus)

 

Mais il y a certains "experts" qui oseront encore nier ce genre de résultats, en exhibant, comme expliqué par le pédiatre Dr Palevksy dans cette vidéo(sous-titrée en français), des études prétendant le contraire, études bien évidemment biaisées sans véritable comparatif neutre (= placebo) puisque toutes les études officielles comparent les vaccinés à d'autres groupes ayant reçu d'autres vaccins ou des substances toxiques et ce, au nom de l'éthique nous-dit-on...

 

Voici ce qu'a dit le Pr Lucienne Chatenoud, immunologiste à l'Hôpital Necker enfants malades à Paris:

 

"L'hypothèse la plus avancée est l'hypothèse hygiéniste. Dans tous les pays industrialisés, on observe une diminution des infections endémiques chez les jeunes enfants, liée aux programmes de vaccination et à l'utilisation des antibiotiques; or cette diminution est corrélée à une augmentation de la fréquence des maladies auto-immunes ou dysimmunitaires: diabète de type 1, sclérose en plaques, maladies inflammatoires des intestins, mais aussi les allergies."

 

Voici maintenant ce qu'a dit le Dr Valérie Dufresne, pneumo-allergologue du CHU de Charleroi le 3 novembre 2011 au JT de la RTBF:

 

"Dans nos populations, notre système immunitaire n'est plus habitué à combattre des infections, des bactéries. On vit vraiment dans un monde aseptisé et notre système immunitaire trouve une voie d'échappement. Il commence à produire des anticorps un petit peu contre n'importe quelle molécule qu'il rencontre et voilà, l'allergie se met en route."

  

Voyons à présent les tout récents propos du Dr Marie Baeck, dermato-allergologue au CHU St Luc, dans le "Question à la Une" consacré aux allergies:

 

 "Je pense qu'il y a des choses qui sont tout à fait positives, par exemple on vaccine beaucoup plus, je ne vous dirai jamais qu'il ne faut pas vacciner vos enfants au contraire, mais c'est sans doute un facteur explicatif de l'augmentation du nombre d'allergies."



En effet, créer de toutes pièces des millions d'allergiques de par le monde (avec le risque mortel que cela implique pour les personnes concernées) au nom d'une idéologie mortifère est véritablement très positif! Ce genre de réactions du corps médical, qui commence avant tout par se protéger en faisant une courbette préalable au sacrosaint dogme vaccinal, témoigne du profond malaise qu'il y a lorsqu'on prend le risque d'ébranler les ouailles dans leur foi.

 

Et quand nous parlons de millions de cas évitables dans le monde, nous n'exagérons absolument rien...

 

En 2000 déjà, une étude de l'Ecole de Santé Publique de l'Université californienne de Los Angeles (UCLA) incluant près de 14 000 enfants avait établi que la vaccination DTC (diphtérie tétanos coqueluche) multipliait par deux le risque de développer un asthme, permettant ainsi de mieux comprendre pourquoi cette maladie avait plus que doublé ces vingt dernières années avec 30 à 50 millions d'asthmatiques et d'allergiques dans ce pays.

 

Cette étude indique ainsi notamment que " 50% des cas d'asthme diagnostiqués chez les enfants et adolescents américains (2,93 millions) auraient pu être évités si la vaccination DTC ne leur avait pas été administrée. De façon similaire, 45% des cas de sinusite (4,94 millions) et 54% des épisodes allergiques affectant le nez et les yeux (10,54 millions) pourraient être évités chaque année si la vaccination DTC était interrompue."

 

Malgré ce genres de données accablantes, on continue encore et toujours, au nom du dogme et des emplois liés au secteur pharmaceutique !



Le grand public va donc inévitablement être confronté à un GRAND CHOIX dans les années qui viennent:



- soit il regarde de façon rationnelle ces données qui attestent de façon incontestable d'un lien entre vaccins et allergies, ce qui l'amène à la conclusion inéluctable que les vaccins ne sont pas aussi sûrs ni anodins qu'on le dit et que le corps médical manque quelque part de loyauté à l'égard des patients en ne leur communiquant pas ce genre de risques.



- soit il fait l'autruche, parce que "cela fait trop peur ou trop mal" de se dire qu'on ne peut décemment plus croire aveuglément le discours lénifiant des autorités ou de son médecin traitant, le plus souvent sous-informé. Dans ce dernier cas de figure, ce sont des enfants innocents qui continueront d'être "nivelés par le bas" pour le restant de leurs jours et qui paieront le douloureux prix de la crédulité parentale.



Mais il convient également de dénoncer les fausses solutions qui se profilent et qui ne profiteront qu'aux pharmas: des vaccins... anti-allergies!



Ce genre de fuite en avant serait très grave car on poursuivrait ainsi la spirale négative faite d'emplâtres sur des jambes de bois... au point de laisser progresser la gangraine de façon dramatique. Ce dont notre société a plus que jamais besoin, c'est de bon sens et de réapprendre à tirer les leçons du passé plutôt que d'avoir sans cesse la mémoire bien trop courte!



Car lorsqu'on entend les conclusions lénifiantes du Question à la Une sur les allergies, on ne peut qu'avoir peur: profiler des vaccins à 500 euros l'année (soit 1500 euros par personne allergique à traiter) comme une prétendue solution avantageuse à prendre en charge à 100% par la collectivité, c'est quelque part légitimer un gaspillage qui ne profitera encore et toujours qu'aux mêmes, avec d'autres effets secondaires encore pires qui restent désespérement non abordés.



+ d'informations sur le lien entre vaccins & allergies?



Allergies & vaccinations: y a-t-il un lien?

 

Des vaccins efficaces contre... des effets secondaires d'autres vaccins?

 

Les enfants non vaccinés sont en meilleure santé

 

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 18:44

 

Quels que soient les vaccins, le scénario est toujours le même...
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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 16:00

Voilà une question plus qu'intéressante quelques jours seulement après le numéro du "Question à la Une" de la RTBF sur les vaccins dans lequel on n'apprenait que GSK avait refusé toute interview...

 

A partir de la 32ième minute d'émission, la RTBF diffuse un extrait d'une vidéo que nous lui avions communiquée et qui montraît l'ex PDG de la division vaccins de GSK, le baron Jean Stéphenne, raconter fièrement les dessous de l'essor financier de sa société. Il y expliquait alors tout sourire la méthode employée et basée sur le système des brevets du vaccin hépatite B qui permet à GSK de toucher des royalties sur tous les autres vaccins anti-hépatite B vendus par ses concurrents mais qui a également permis le juteux business du vaccin hexavalent, lui aussi concerné par ce brevet qui porte dès lors sur tout l'assemblage et plus sur le seul vaccin HB.

 

Voici en effet ce que Jean Stéphenne disait dans cette séquence:

 

Jean Stéphenne-copie-1

« Je dirais que nous avons surpris toute l’industrie en disant ben voilà, nous avons acheté tous les brevets sur l’hépatite B. C’était la première fois qu’un vaccin était protégé par brevet. Nous avons tous les brevets et maintenant vous les concurrents, si vous voulez venir sur le marché, vous allez devoir négocier avec nous. Et je pense que c’est comme ça que la société s’est créée et est devenue successful. Et puis après, on a développé si vous voulez des vaccins combinés. C'est-à-dire qu’on a mis l’hépatite B avec tout d’autres produits qui n’étaient pas protégés par brevets et en faisant ça évidemment, on rendait les produits combinés protégés. Mais donc la stratégie, c’est pas plus compliqué que ça. Avoir l’esprit marchand et économique est très important, en parallèle de l’esprit scientifique et innovation. »

 

Mais, comme par hasard (et comme nous l'avions prédit ainsi que le journaliste concerné), cette vidéo qui avait été prise au Cercle du Lac et postée sur youtube de façon publique il y a quelques mois a subitement été rendue "privée" et n'est donc plus accessible au public...

 

POURQUOI si cette société n'a rien à se reprocher? Le moins qu'on puisse dire à cet égard est que leurs experts en communication sont assez médiocres car ils attirent, ce faisant, encore davantage, l'attention sur ce qu'ils voulaient occulter et qui, de toute façon, est définitivement repris et podcasté dans le montage de l'émission de la RTBF...

 

 

Mais POURQUOI aussi ces gens avaient-ils alors initialement posté cette vidéo si cette information les dérangeait à ce point? A moins qu'ils manquent tout simplement de conscience et qu'ils aient besoin que les médias commentent leurs procédés pour se rendre enfin compte 

de leur cynisme?

 

En novembre 2009, le journaliste de la RTBF Olivier Maroye précisait sur le plateau de Mise au Point qu'ils avaient dû terriblement insister pour que GSK accepte d'envoyer un de ses représentants sur le plateau du débat consacré à leur vaccin pandémique anti-H1N1. 

 

En février 2010, la RTBF diffusait un précédent numéro de Question à la Une sur la fausse pandémie de H1N1. La journaliste Pascale Bollekens y déplorait déjà l'opacité du monde pharmaceutique, anormalement réticent à la moindre interview. A force d'insistance, elle avait alors réussi à décrocher une entrevue avec Emmanuel Hanon de GSK, le même responsable de la firme (chargé du développement des vaccins antigrippaux) qui avait participé au débat de Mise au Point d'Olivier Maroye quelques mois plus tôt. GSK s'est alors médiatiquement effondrée... et c'est un euphémisme!

 

Le représentant interrogé, Mr Hanon, y niait alors qu'il y avait bien eu 7 morts sur 2000 patients dans les essais cliniques du vaccin Pandemrix, affirmant avec aplomb que si ça avait été le cas, jamais l'Agence européenne n'aurait donné son feu vert au vaccin. Ce déni était bien sûr contre-productif puisque GSK savait pertinemment, pour avoir  réalisé elle-même ces essais cliniques, que ces données étaient exactes, de même qu'elle savait aussi que l'Agence européenne avait cependant approuvé son produit dans ces conditions. La journaliste a ensuite démontré à l'écran peu après que le document de l'Agence européenne existait bel et bien et qu'il y avait bien eu ces 7 morts! Là encore donc, entre mauvaise foi de cette firme ou incompétence préoccupante de ce responsable (qui aurait donc ignoré ces données-clé à ce poste de directeur adjoint du développement des vaccins antigrippaux?!), on n'a de toute façon de quoi se scandaliser. Mr Hanon, de même que l'Administrateur général de l'Agence fédérale belge du Médicament (AFMPS) avaient alors rappelé peu après la journaliste, plus que probablement après s'être concertés entre eux, pour reconnaître qu'il y avait bien eu 7 morts mais que cela ne signifiait pas pour autant que ceux-ci étaient liés au vaccin.

 

En mai 2010, le contrat secret d'achat de vaccins conclu entre l'Etat belge et GSK était révélé. Ce texte surréaliste et scandaleusement en défaveur des citoyens, comportait plusieurs dispositions destinées à maintenir le secret et l'opacité sur tout ce dossier: opacité sur le contenu exact de l'adjuvant AS03 à base de squalène que l'Etat avait l'interdiction de tester en vertu dudit contrat mais aussi opacité sur la nature exacte des relations de copinage entre l'Etat et GSK qui devaient se garder chacun de donner l'impression d'une relation autre que celle entre deux cocontractants... Une fois le texte publié, GSK a admis qu'ils étaient "en grande partie demandeurs" de la confidentialité du contrat, ce qui laisse donc supposer que l'Etat l'était aussi.

 

Mais cela n'est pas tout puisqu'en 2002 déjà, le Dr Nathalie Garçon de cette société, qui n'est rien de moins que LA responsable et experte de la firme  en matière de développement d'adjuvants vaccinaux, avouait dans un symposium sur la sécurité des vaccins aux Etats-Unis que:

 

"En réalité, le seul adjuvant [aluminique] autorisé pour la consommation humaine, est le plus empirique. Personne ne sait comment il fonctionne, personne ne connaît sa biodistribution. [...] En fait, je crois que si l'alun arrivait maintenant, il ne serait pas accepté." [cfr page 220 de ce workshop aux USA]

 

Il est donc possible que le journaliste de la RTBF, qui avait été mis au courant de ces propos par nos soins, ait tenté d'avoir une réaction concrète de GSK quant à cet aveu lourd de conséquence. Plutôt que d'avoir à admettre pour eux l'inavouable, à savoir que nos critiques sur le manque de sécurité des vaccins sont plus que fondées, ils ont dû se souvenir que le silence est d'or. En attendant, le business continue comme si de rien n'était et tous les dirigeants et cadres de cette société qui savent se garderont bien d'accepter pour eux-mêmes ou pour leurs enfants, ces vaccins qu'ils fabriquent et qu'ils recommandent au monde entier.

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21 octobre 2012 7 21 /10 /octobre /2012 15:00

Ce samedi, Initiative Citoyenne diffusait un communiqué de presse aux médias sur ce récent "pacte de stabilité" conclu entre la Ministre Laurette Onkelinx et le secteur pharmaceutique.

 

Rien n'a encore filtré à ce jour... les médias occulteront-ils nos inquiétudes ou les relayeront-ils dans leurs pages cette semaine?

 

Il serait très grave et même hypocrite de taire nos inquiétudes à ce sujet compte tenu:

 

- du grave précédent du contrat secret d'achat de vaccins H1N1 (dont on ne semble tirer aucune leçon!)

 

- des aveux publiés sur le site du Sénat Français et selon lesquels les autorités publiques se considèrent comme "les partenaires naturels" , sans que le public ait bien sûr donné son aval.

 

- des médias qui semblent jouer un double jeu, comme le Vif, viennent verser des larmes de crocodiles sur les dangers que représentent l'influence des lobbyistes sur les élus, bien qu'ils avaient volontairement empêché toute réaction d'Initiative Citoyenne à leur précédent article mensonger du 23 décembre 2011 sur les sacrosaints vaccins.

 

A notre connaissance, il n'y a pas encore eu de réaction dans la presse à ce "pacte surraliste" conclu entre Laurette Onkelinx et les pharmas. Notre voix représente en réalité l'avis et l'opinion de milliers de sympathisants sans compter tous ceux qui ne connaissent pas l'existence d'Initiative Citoyenne mais qui approuvent en réalité totalement notre positionnement.

 

Il serait donc particulièrement scandaleux que ce pacte passe tranquillement sa route sans avoir écopé des dénonciations qu'il mérite.

 

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20 octobre 2012 6 20 /10 /octobre /2012 00:24

Le Gardasil détruit les ovaires d’une jeune fille

L’impact sur les ovaires n’aurait jamais été recherché !

 

Les ovaires d’une jeune-fille ont été détruits ; le Gardasil étant la seule cause possible. Pire encore, Merck n’aurait pas pris la peine d’examiner les effets potentiels du vaccin sur les ovaires ou les aurait camouflés – alors que ce fabricant avait fait des études sur les effets du vaccin sur les testicules des rats mâles.

 

Gardasil-ovaires-jeune-fille.jpg

Féminité volée

 

Le British Medical Journal (BMJ) a publié le cas d’une jeune australienne de 16 ans en parfaite santé dont la féminité semble avoir été volée par le vaccin Gardasil. Avant de devenir femme, cette jeune-fille a été propulsée dans un état de ménopause à part entière, ses ovaires s’étant définitivement arrêtés de fonctionner. Les auteurs, Deidre Therese Little et Harvey Rodrick Greenville Ward [1], ont directement attiré l’attention sur le fait que malgré que la jeune-fille avait été complètement examinée et testée, il n’y avait pas, à son état, d’explication connue autre que la série des trois vaccins Gardasil qu’elle avait reçus.

 

Le plus terrible, c’est qu’il y a peut-être beaucoup d’autres cas semblables, mais la plupart d’entre eux sont probablement masqués par le traitement de routine des menstruations irrégulières ou rares, au moyen de contraceptifs oraux. En effet, c’est parce que la jeune-fille a refusé ces traitements que la vérité sur son état de santé a pu être établie. Combien d’autres jeunes-filles ont, sans le savoir, perdu leur chance d’un jour pouvoir devenir mamans parce que la vérité sur leur état reste voilée ?

 

Les auteurs de l’article ont noté que, bien que la Therapeutic Goods Administration Australienne (TGA) fournisse, dans le rapport public d’évaluation pour le vaccin quadrivalent (Papilloma virus humain) des données sur l’histologie des testicules et l’épididyme du rat, aucune information n’est fournie concernant les ovaires de rats femelles.

 

Ils ont cependant envoyé une demande d’information sur l’histologie de l’ovaire du rat après vaccin quadrivalent HPV au cas où cette étude aurait été réalisée par le promoteur et transmise à la TGA

 

  • Note : il n’existe qu’un seul vaccin HPV quadrivalent. C’est le Gardasil

 

Voici leur rapport au sujet des ces importantes données manquantes :

On ne sait pas si cette insuffisance ovarienne prématurée est liée au vaccin quadrivalent contre le HPV. Une information plus détaillée concernant l’histologie de l’ovaire du rat, ainsi que de la fécondité après vaccination HPV a été demandée à la « Therapeutic Goods Administration ».

 

Bien que le rapport public d’évaluation du vaccin quadrivalent contre le HPV de la TGA australienne réalisé en février 2011 ait communiqué une information sur l’histologie des testicules des rats vaccinés et des épididymes, aucun rapport histologique n’a été disponible pour les ovaires des rats vaccinés…

 

Pourquoi le fabricant a-t-il fourni des informations sur les testicules des rats mâles, et pas sur les ovaires des rats femelles ? La chose est plus que choquante. C’est absolument accablant ! N’aurait-on pas le droit de remettre en question la sincérité tant du fabricant Merck et de la TGA – sans parler des autres organismes comme la FDA américaine et le MHRA Britannique.

 

Risque potentiel du Gardasil pour les ovaires

 

Est-il concevable que Merck n’ait pas envisagé la possibilité de dommages aux ovaires ?

 

En fait, il n’est pas raisonnable de penser qu’ils n’étaient pas au courant du risque potentiel pour les ovaires. Un ingrédient du Gardasil, le polysorbate 80 (appelé aussi Tween 80, Alkest ou Canarcel) est connu pour provoquer des déformations de l’ovaire, des follicules dégénératifs, des modifications hormonales, des modifications de l’utérus et du vagin chez les rats. [2], [3] Pire, il est connu que des injections de polysorbate 80 provoquent des dégâts aux ovaires – or c’est ce même produit qui est injecté avec le Gardasil.

 

Un autre ingrédient du Gardasil, la L-histidine, un acide aminé naturel, comporte aussi des risques significatifs et qui ressemblent à ceux que peut provoquer le squalène. C’est une substance qui est naturellement présente dans le corps humain, mais dont l’injection pourrait provoquer une réaction auto-immune vis-à-vis de cette substance où qu’elle se trouve dans le corps. Il y aurait encore plus à dire sur ce sujet, mais tout cela aurait dû être étudié et prévu.

 

Toute une partie de la vie de cette jeune-fille a été détruite, et la seule explication plausible est la vaccination avec le Gardasil. Ce vaccin est vendu pour protéger contre le cancer du col de l’utérus, bien qu’il n’ait jamais été démontré qu’il ait pu prévenir un cancer de quelque espèce que ce soit. La prévention du cancer n’a jamais été plus qu’une supposition fondée sur un lien possible entre le papilloma virus et le cancer du col de l’utérus. Aucune relation de cause à effet n’a jamais été documentée. Les rapports de décès et de complications ne cessent cependant d’affluer. Comme le montre le cas de cette jeune-fille, le Gardasil ne peut être considéré comme sûr. Les données manquantes sont hautement significatives et suspectes.

 

Nous ne savons évidemment pas si Merck a volontairement omis de faire des études sur les ovaires ou si la firme refuse de dévoiler les données au vu de leur caractère accablant.

 

Il est certain que la combinaison de tous ces éléments : la perte des ovaires chez cette jeune-fille, la probabilité d’autres cas semblables et le mépris tout à fait impitoyable pour les effets potentiellement dévastateurs de ce vaccin, représente une raison plus que suffisante pour éliminer le Gardasil du marché. Il doit en tout cas être éliminé des listes gouvernementales de vaccins obligatoires.

 

Heidi STEVENSON , 17 octobre 2012, Gaia Health

 

Heidi-Stevenson--1-.jpg

 

Sources :

 

1.Premature ovarian failure 3 years after menarche in a 16-year-old girl following human papillomavirus vaccination, BMJ Reports 2012, Deirdre Therese Little, Harvey Rodrick Grenville Ward, doi:10.1136/bcr-2012-006879

2.Polysorbate 80 Causes Infertility, An Emulsifier That Can Damage Your Reproductive Health

3.Delayed effects of neonatal exposure to Tween 80 on female reproductive organs in rats. Gajdová  M, Jakubovsky J, Války J.,  Food and Chemical Toxicology, 1993 Mar;31(3):183-90.

 

Voir aussi la suite de cet article: "Les effets secondaires graves étaient prévisibles" 

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