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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 23:59

L'essentiel à savoir et à comprendre sur l'idéologie vaccinale (que la RTBF n'aurait jamais osé diffuser...) expliqué en seulement un quart d'heure dans cette interview vidéo du pédiatre américain Dr Palevsky:

 

 

Immense merci au traducteur pour ce remarquable (et aussi rapide) travail de sous-titrage et pour ce cadeau ainsi offert à de nombreux parents francophones en manque d'informations...

 

Voir aussi le pdf avec des extraits d'interview de ce même pédiatre: ICI

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 23:33

Seralini.JPG

OGM: Séralini reçoit le soutien de chercheurs internationaux

 

11 octobre 2012. Nouvel Obs.

 

Des scientifiques dénoncent, dans une lettre ouverte, les obstacles dressés par les industriels et les Etats contre la recherche indépendante.

 

Des scientifiques dénoncent, dans une lettre ouverte, les obstacles dressés par les industriels et les Etats contre la recherche indépendante.

 

Le site d’information "Independent Science News" a décidé de prendre part au débat sur les OGM. Le 2 octobre, il a publié une "lettre ouverte" de soutien au chercheur français Gilles-Eric Séralini, auteur d’une étude sur la toxicité du maïs OGM NK 603 sur les rats, qui a déclenché une vive polémique dans la communauté scientifique et les médias.

 

Le texte, intitulé "Séralini et la science", rédigé par sept chercheurs internationaux, signé par une vingtaine d’autres et traduit en français, profite de l’affaire Séralini pour pointer les nombreux obstacles auxquels se heurtent les scientifiques qui souhaitent mener des études indépendantes, dès lors que d'importants intérêts économiques entrent en jeu. "L'étude de Séralini et l'attention médiatique qui en résulte font ressortir des difficultés fondamentales qui se posent à la science dans un monde de plus en plus dominé par l'influence des grandes sociétés".

 

Parmi les "difficultés fondamentales" pointées :

 

- Les "attaques de longue date contre les études faisant état de risques". Selon les auteurs, "Séralini et ses collègues ne sont que les derniers d'une série de chercheurs dont les travaux déclenchèrent des campagnes de harcèlement bien orchestrées". Parmi les victimes : Ignacio Chapela, le biochimiste Arpad Pusztai ou encore le professeur d'embryologie moléculaire Andres Carrasco.

 

- Le "rôle des médias scientifiques". Le texte souligne que dans leur couverture de l'étude de Séralini, "les segments incontestablement les plus prestigieux des médias scientifiques – "Science", le "New York Times", "New Scientist" et le "Washington Post" – omirent tous de faire contrepoids aux critiques".

 

- La "responsabilité réglementaire". Selon les auteurs, la plupart des organismes de contrôle (Efsa, FDA…) "ont avalisé des protocoles prévoyant peu ou pas de moyens de détecter les effets négatifs des OGM". Ce qui n'a pas empêché l'Efsa de juger l'étude de Gilles-Eric Séralini comme "de qualité scientifique insuffisante pour être considérée comme valable pour l'évaluation des risques". Cherchez l'erreur. 

 

- La complicité de l’Etat qui "utilise la science seulement quand cela l'arrange".

 

Ces critiques ont déjà été entendues dans le débat sur l'étude de Gilles-Eric Séralini. Mais elles proviennent cette fois de chercheurs qui se sont parfois heurtés aux mêmes obstacles, et qui en tirent l'implacable leçon suivante : "Si, au départ, l'évaluation scientifique d'un produit est un processus d'approbation biaisé en faveur du requérant, appuyé par l'élimination systématique du travail de scientifiques indépendants œuvrant dans l'intérêt public, cela exclut toute possibilité de tenir un débat honnête, raisonné ou scientifique." 

 

C’est triste à dire mais… après avoir lu cela, il faut vraiment être gogo pour penser que ces effets pervers épargneraient comme par magie le domaine des vaccins! Le tabou des effets secondaires et des risques est dénoncé depuis le début sur ce site. La partialité des médias au sujet des vaccins est également déplorée de longue date. Les conflits d’intérêts des agences officielles et leur non fiabilité aussi, de même que la collusion entre autorités dites « publiques » et industriels qui suinte littéralement de partout.

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 22:29

Publié le 18 octobre dernier dans les médias, cette information a de quoi faire hurler parce qu'elle témoigne de la véritable collusion qui existe entre le secteur pharmaceutique et les autorités publiques et qui s'exerce inévitablement au détriment de:

 

- la sécurité sanitaire de + de 11 millions d'habitants (qui passe donc après les 32 000 emplois agités par les pharmas dans le cadre de leur traditionnel chantage.)

 

- la liberté et le pluralisme thérapeutiques (puisque les autorités dont cela ne devrait pas être le rôle, favorisent certains au détriment d'autres fabricants de produits souvent moins toxiques et pas forcément moins efficaces)

 

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La ministre de la Santé publique, Laurette Onkelinx, a signé vendredi dernier un accord à long terme avec l'association sectorielle des entreprises pharmaceutiques innovantes belges, pharma.be, indique mercredi cette dernière dans un communiqué. L'objectif est notamment d'offrir aux entreprises pharmaceutiques "l'occasion de poursuivre leurs activités dans un cadre sécurisant et stable".


"Les autorités fédérales font face à un contexte économique particulièrement difficile, alors que le secteur pharmaceutique voit son marché national baisser de 2%", peut-on lire dans le communiqué. "De ce fait, les deux parties éprouvent le besoin de rendre plus prévisibles les développements futurs, au sein d'une relation de travail ouverte."

 

Le pacte implique en premier lieu que la ministre et pharma.be se rencontreront régulièrement. Le volet "budget des médicaments" constitue un aspect majeur de l'accord. "Lors de la préparation du budget, les évolutions du marché et les innovations attendues seront prises en compte (...) et on veillera à ce que la gestion budgétaire en matière de médicaments ne diverge pas significativement de l'évolution des dépenses pour les autres soins de santé entrant dans le cadre de l'assurance maladie fédérale."

 

En ce qui concerne l'accès pour les patients, des démarches seront discutées pour rendre plus efficace la procédure de demande de remboursement des médicaments.

 

Les moyens et conditions de fonctionnement de l'Agence fédérale des médicaments et des produits de santé (AFPMS) seront par ailleurs examinés et améliorés "si possible".

 

Enfin, pharma.be souligne que "la mise à disposition de moyens financiers suffisants est essentielle pour assurer dans le futur la pérennité des acquis actuels", notamment la préservation des 32.000 emplois du secteur, plus particulièrement en Recherche et Développement. (PVO)

 

Source : RTL INFO

 

Comment, dans ces conditions, les autorités peuvent-elles décemment communiquer au public des informations objectives sur ces médicaments qu'elles auront contribué à propulser au rang de "blockbusters", en dilapidant au passage les deniers des contribuables à qui on n'aura évidemment pas du tout demandé leur avis? On nage vraiment ici en plein délire. Après le scandale-fiasco du H1N1 et le contrat secret accordant l'impunité juridique quasi totale à GSK pour son vaccin expérimental, Laurette Onkelinx remet le couvert sans le moindre complexe au nom d'un contexte économique difficile et de la protection des emplois... bien que GSK, contrairement au taux d’imposition de la plupart des Belges n’avait été taxé qu’à 3% sur ses près de 1 milliard d’euros de profits entre autres permis grâce à cette fausse pandémie ! Ce pacte signifie donc que plusieurs médicaments inutiles et même potentiellement dangereux (puisque l'AFMPS est sous la coupe des pharmas, la preuve, celle-ci sera améliorée "si possible") seront remboursés avec l'argent des citoyens tout simplement parce qu'ils DEVRONT être écoulés, exigence des actionnaires oblige!

 

Voir aussi: Le secteur pharmaceutique, favorisé par Onkelinx?

 

Le secteur pharmaceutique favorisé par Onkelinx?

 

Publié le 20 octobre 2012 

 

 

Belgique

 

"Les intérêts économiques des industriels et la prétendue sauvegarde des emplois passeront plus que probablement avant la sécurité"

 

BRUXELLES A travers "le pacte de solidarité" signé entre la ministre de la Santé publique, Laurette Onkelinx et l'association sectorielle des entreprises pharmaceutiques innovantes belges, pharma.be, "l'Etat sort de son rôle en favorisant le secteur des médicaments chimiques", a réagi samedi le collectif Initiative citoyenne.

La ministre a signé un accord à long terme avec pharma.be, dans le but notamment d'offrir aux entreprises pharmaceutiques "l'occasion de poursuivre leurs activités dans un cadre sécurisant et stable". Vu le contexte économique difficile traversé par le gouvernement et le secteur pharmaceutique, "les deux parties éprouvent le besoin de rendre plus prévisibles les développements futurs", écrivait il y a quelques jours pharma.be dans son communiqué.


Concernant le volet "budget des médicaments", "les évolutions du marché et les innovations attendues seront prises en compte (...), relevait pharma.be. "La mise à disposition de moyens financiers suffisants est essentielle pour assurer dans le futur la pérennité des acquis actuels", et notamment l'emploi dans le secteur, soulignait encore pharma.be.


Le collectif Initiative citoyenne estime qu'avec ce pacte, l'Etat favorise "le secteur des médicaments chimiques au détriment d'autres fabricants de produits de santé naturels plus sûrs et pas forcément moins efficaces".


"Ce favoritisme va s'exercer au détriment du choix et de la liberté thérapeutiques et donc aussi au détriment des patients", poursuit le collectif. Ce dernier dénonce encore le fait que "les intérêts économiques des industriels et la prétendue sauvegarde des emplois passeront plus que probablement avant la sécurité sanitaire de plus de 11 millions d'habitants."


HIE/QUJ/

 

© La Dernière Heure 2012

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 22:00

COCA-COLA.jpg

Sanofi va s'associer à Coca-Cola pour la commercialisation de boissons "bien être" peut-on lire dans la presse.

 

Voici ce qu'en disait un article paru ce jour dans La Tribune.

 

Marina Torre

 

Le projet de boissons vendues en pharmacie et parapharmacie par Sanofi en partenariat avec Coca-Cola fait grincer des dents. Pourquoi une telle alliance alors que le groupe pharmaceutique se restructure et que le marché de "l'alicament" a connu un échec retentissant? Eléments de réponse.

 

Quand un géant de l’agroalimentaire se marie – ponctuellement – avec un géant de la pharmacie ça donne… Oenobiol Beauté. La boisson qui doit être commercialisée en France à partir de février 2013, sera disponible en pharmacie et parapharmacies après de premiers tests durant l’été. Début octobre, Rue89 dévoilait un document de travail interne détaillant le projet. La gamme sera déclinée en quatre boissons -"solaire", "cheveux et ongles", "topslim", ou "vitalité"- à un prix évalué entre 2 et 3 euros. Or, pour les syndicats, ce projet indique une stratégie de diversification du groupe pharmaceutique au détriment du secteur santé recherche. Et ce, à un moment où le groupe entame une restructuration qui menace plus de 900 emplois.

 

• Quelle stratégie?

  

Sur ce point, la direction tient à minimiser ce partenariat. “C’est un projet-pilote“, assure ainsi Laurence Bollack, porte-parole de Sanofi. “Coca-Cola est chargé de la formulation et Sanofi de la distribution en pharmacie et parapharmacie“, se contente-t-elle d’affirmer, en refusant de commenter plus avant le choix de ce partenaire renommé. Même discrétion chez Coca-Cola, où le service communication se borne à souligner qu’il s’agit “d’un projet pilote à petite échelle actuellement limité à un petit nombre de pharmacies en France“. En revanche, sur les raisons de cette alliance insolite, le groupe ne tient pas à s’exprimer.

 

Pour répondre aux inquiétudes des syndicats, l’équipe dirigeante de Sanofi tient à rappeler la différence d’échelle entre les activités du groupe et celles de sa filiale, Oenobiol, achetée en 2009 : celle-ci “réalise quelques dizaines de millions d’euros de chiffre d’affaires par an. Chez Sanofi, le secteur grand public enregistre 2,7 milliards“, met en avant la porte-parole. Et de marteler que “Sanofi ne compte pas se désengager de la recherche“ pour laquelle il investit près de 2 milliards d’euros par an.

 

SANOFI-PASTEUR.jpg

 

• Pourquoi un tel partenariat ?

 

Quelques éléments figurent dans le document interne publié par Rue89, et qui date de juin 2012. Il y est question “d’opportunité à saisir“ et de “nouvelle source de marge“ pour Sanofi. Le but déclaré, comme pour tout développement de produit, “générer du trafic“ en recherchant de nouveaux consommateurs. Outre la France, l’idée d’étendre le projet à l’Espagne, la Belgique et l’Italie étaient également à l'étude. Et, dans ce texte, il est bien question de “projet stratégique pour les deux compagnies“.

 

• Pourquoi se diversifier ?

  

Quels que soient les moyens investis dans ce projet, celui-ci s’inscrit bel et bien dans un projet de diversification. A ce sujet, la porte-parole de Sanofi rappelle que sa stratégie “a été entreprise en 2009“. Et de préciser que le rachat en 2011 de Genzyme, cette biotech américaine spécialisée dans les maladies rares, participait de cette stratégie.

 

Si Sanofi cherche depuis quelques années de nouveaux débouchés, c’est notamment en raison du déclin des recettes tirées des molécules qui tombent dans le domaine public. Un contexte qui contribue à pousser les grands laboratoires à réorienter leur stratégie, comme le décrit une étude du cabinet Xerfi.

 

• L’alicament, un bon filon ?

 

Parmi les possibilités de diversification testées par Sanofi, l’option de l’alicament peut donc surprendre. Certes, le marché mondial de ces aliments sensés faire du bien au corps est estimé à 150 milliards de dollars selon Reuters. Mais la réglementation contraignante et la méfiance des consommateurs en rendent l’accès difficile.

 

Le Coca-Cola a déjà été critiqué plus d’une fois pour ses effets nocifs sur la santé : diabète, obésité etc

 

Sanofi, qui se présente comme une multinationale « au service de la vie » avec ses vaccins (eux-mêmes source de maladies chroniques et dégénératives lourdes) trahit donc assez clairement ici sa philosophie fort peu crédible.

 

Les consommateurs, à en lire les commentaires sur les forums, semblent de moins en moins dupes sur ce genre de partenariats.

 

Après la vaccination obligatoire, va-t-on vers une consommation obligatoire de coca-cola ou de cette future boisson « bien être » pourrait-on demander sarcastiquement ?

 

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 21:45

MENTEUR.jpg

"Vaccins contre la grippe: la pénurie menace"; "Genève manque de vaccins contre la grippe." etc... Les médias suisses semblent avoir "tambouriné" plus fort que les autres au sujet de la prétendue "pénurie" de vaccins antigrippaux. Quoi de mieux, alors que débute à peine la collecte des signatures pour la tenue future d'un référendum destiné à empêcher la modification de la loi sur les épidémies (qui pourrait permettre de décréter une vaccination obligatoire pour certaines catégories de gens)? Voyez bonnes gens, les vaccins, le peuple en réclame et il y en a trop peu... l'argument de la pénurie pour tenter de présenter ces vaccins comme faussement indispensables!

 

En effet, il faut rappeler le contexte et les enjeux. La vaccination, ce sont des dizaines de milliards d'euros annuels or tout contexte pandémique fait encore grimper de façon conséquente ces bénéfices financiers, déjà astronomiques. On l'a bien vu avec la fausse pandémie H1N1.... Pouvoir vacciner de façon obligatoire, ça fait encore grimper les enjeux financiers.

 

Si on ajoute à cela le fait que les autorités s'estiment être et se comportent comme "les partenaires naturels" des pharmas au nom des prétendus bienfaits pour l'économie nationale et la sauvegarde des emplois du secteur et le contraste avec lequel un nombre croissant de gens critiquent les politiques vaccinales en place (20% de gens très critiques selon un sondage réalisé par Pfizer en Suisse en mars 2012), on ne peut qu'entrevoir alors l'importance cruciale d'une véritable "propagande de guerre".

 

Or nous sommes réellement dans un contexte de "guerre informationnelle": d'un côté, les informations sur le véritable rapport bénéfices/risques des vaccins filtrent de partout et un nombre croissant de gens vont inexorablement en entendre parler et d'un autre, la voie sans issue dans laquelle se sont hélas engagées tête baissée les autorités et qui consiste à aider quoi qu'il advienne l'industrie pharmaceutique (emplois obligent!) à introduire sans cesse ses nouveaux produits et vaccins sur le marché.

 

Fatalement, plus grand sera le nombre de vaccins et de gens vaccinés et plus nombreux seront les effets secondaires graves et tragiques vécus par des gens qui auront ainsi été sacrifiés au nom du prétendu "Bien commun". Or plus les gens entendront parler des risques et des effets secondaires et moins ils seront dupes et considérables, selon le jargon marketing, comme un "marché captif" potentiel... Les autorités se pensent donc contraintes au silence, garantes du maintien commercialement indispensable de ce tabou tellement évident.  Avec le temps toutefois, ce tabou va exploser car ce déni systématique des effets secondaires ne sera, à terme, plus crédible pour personne.

 

Et donc, un peu à la façon de ce qui se passe avec la "tectonique des plaques", "la plaque" autoritariste et finalement si peu humaine des autorités sanitaires & des pharmas, lancée à toute allure dans une spéculation vaccinale sans précédent, va tôt ou tard se heurter à la "plaque" des victimes conscientes de cette frénésie vaccinale et le choc promet d'être (très) rude quand il sera à son paroxysme!

 

Il reste un peu moins de 3 mois aux associations concernées pour récolter les 50 000 signatures indispensables à la validation de la tenue future d'un référendum qui sera soumis à la votation de tous les Suisses. Souhaitons leur bonne chance dans leurs démarches altruistes de protection du libre choix de chacun et de l'intégrité physique la plus élémentaire. Les gens qui tiennent absolument à se faire vacciner gagneraient quant à eux à se rendre compte de leur incohérence à vouloir éventuellement imposer à autrui la vaccination puisque si la vaccination avait une réelle GRANDE efficacité INDIVIDUELLE, ceux-ci devraient alors se sentir entièrement protégés et à l'abri de la moindre contamination, sans besoin de soumettre quiconque à leurs croyances.

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 20:58

LO.-Doigt-d-honneur--1-.jpg

Souvenez-vous, il y a quelques mois, Laurette Onkelinx, la Ministre fédérale belge de la Santé publique répondait aux questions de la députée écologiste Thérèse Snoy au sujet de la sécurité vaccinale et notamment quant à leur contenance en aluminium.

 

A en croire Laurette Onkelinx, tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes car les normes quantitatives européennes d'aluminium sont respectées pour tous les vaccins commercialisés en Belgique. Ses services lui ont donc indiqué qu'il n'y a aucun problème et même, qu'il n'existe aucun argument scientifique permettant de remettre en cause la présence d'aluminium dans les vaccins pédiatriques. Ben voyons!

 

Laurette Onkelinx argue dans sa réponse à Thérèse Snoy que, selon la pharmacopée européenne, la limite supérieure est fixée à 1,25 mg par dose de vaccin et que la plupart des vaccins en contiennent en moyenne 0,5 mg/dose.

 

Mais voyons à présent l'avis du célèbre pédiatre américain Dr Robert Sears qui n'est pas du tout anti-vaccin mais qui est perplexe par rapport à plusieurs incohérences en la matière.

 

Voici ce que celui-ci écrit notamment sur son site au sujet de l'aluminium vaccinal:

 

[Remarque préalable: 1miligramme (1mg) = 1000 microgrammes (1000 µg) et donc 10 µg= 0,01 mg; 25 µg= 0,025 mg]  FDA= Agence américaine du Médicament.

 

Dr Robert Sears

Si les bébés prématurés reçoivent  plus de 10 microgrammes par jour lors d’une injection intraveineuse (IV) contenant de l’aluminium, ce dernier peut, à des niveaux toxiques, s’accumuler dans les os et dans le cerveau…

 

L’ASPEN (The American Society for Parenteral and Enteral Nutrition) est une association qui surveille et contrôle la sécurité, ainsi que les effets secondaires des produits nutritionnels injectables ou administrés par voie orale. A propos de la sécurité de l’aluminium, ils expliquent dans « Nutrition in Clinical Practice » de 2004 qu’une accumulation d’aluminium peut se produire dans les tissus du corps des nouveau-nés qui reçoivent pendant de longues périodes des injections intraveineuses (IV) contenant de l’aluminium. Ils stipulent que la signification exacte de ce phénomène n’est pas connue. Ils rappellent cependant les recommandations de la FDA qui stipulent que les solutions nutritionnelles administrées en injections intraveineuses (IV) ne doivent pas contenir plus de 25 microgrammes d’aluminium par litre. Pour d’autres produits injectables qui contiennent de l’aluminium, aucune limite n’est exigée, mais ces produits doivent obligatoirement porter une étiquette avertissant : «  Ce produit contient de l’aluminium qui pourrait être toxique… »  L’avertissement évoque aussi les problèmes qui peuvent se poser avec des patients qui ont des problèmes rénaux,  la question des prématurés, ainsi que la limite de 5 microgrammes par jour et par kilo de poids corporel

 

D’où provient cette limite de sécurité de 4 ou 5 µg par kilo de poids corporel et par jour? C’est une étude du New England Journal of Medicine de 1997 qui a comparé le développement neurologique de 100 bébés prématurés qui ont reçu une solution nutritive standard par voie intraveineuse et qui contenait de l’aluminium, à 100 autres bébés prématurés qui ont reçu la même solution nutritive débarrassée de quasi tout son aluminium. Ce qui a déclenché cette étude, c’est la connaissance que l’aluminium injecté peut atteindre des niveaux toxiques dans le sang, les os, le cerveau. C’est aussi le fait que les prématurés ont souvent de faibles fonctions rénales et donc un plus grand risque de toxicité. C’est également le fait que des concentrations élevées d’aluminium ont, à l’autopsie, été retrouvées dans le cerveau d’un prématuré dont le décès subit est resté inexpliqué…Ces chercheurs ont tenté de prouver que l’aluminium pouvait être dangereux pour les prématurés. Il se fait qu’ils ont eu raison.

 

Les nourrissons qui reçurent des solutions injectables (IV) contenant de l’aluminium ont présenté des problèmes neurologiques et mentaux à 18 mois, comparativement aux nourrissons qui ont reçu des doses moins élevées d’aluminium…Il convient de noter qu’aucun de ces documents ou aucune de ces études ne mentionnaient les vaccins…

 

On ne comprend pas clairement pourquoi la FDA n’exige pas une étiquette d’avertissement en ce qui concerne l’aluminium qui se trouve dans les vaccins, alors qu’elle l’exige pour toutes les autres médications injectables. Il semblerait que les vaccins jouissent d’un régime d’exception.

 

Toutes ces mises en garde concernent principalement les prématurés et les personnes atteintes de troubles rénaux. Mais qu’en est-il pour les bébés en bonne santé et qui sont nés à terme ? En utilisant le critère de 5µg/kg/jour, la dose maximale qu’un nourrisson de deux mois et de 12 livres en parfaite santé puisse supporter sans problème serait de maximum 30 microgrammes d’aluminium par jour. Un bébé de 22 livres pourrait apparemment sans danger supporter au moins 50 microgrammes. Les bébés dont les reins sont en parfait état pourraient probablement supporter des doses plus élevées. Les études ne précisent cependant pas les doses maximales qui pourraient être administrées sans danger à un bébé en bonne santé. Cette information ne peut être trouvée nulle part. C’est probablement la raison pour laquelle l’ASPEN suggère, et la FDA exige que toutes les solutions injectables ne dépassent pas 25 µg, vu que ces doses sont considérées sûres.

 

Doses d’aluminium dans certains vaccins (par injection) :

 

Hib (seul le PedVaxHib) : 225 microgrammes par vaccin

Hépatite B :   250 microgrammes

DTaP (= diphtérie, tétanos, coqueluche acellulaire) : de 170 à 625 microgrammes selon le fabricant

Pneumocoque : 125 microgrammes

Hépatite A : 250 microgrammes

HPV : 225 microgrammes

Pentacel : (DTaP), HIB et Polio combinés)  330 microgrammes

Pediarix (DTaP, Hep.B, et Polio combinés) 850 microgrammes

 

Faisons quelques calculs. Un nouveau-né que l’on vaccine contre l’Hépatite B le premier jour de sa vie reçoit 250  microgrammes d’aluminium. Le scénario se répète à l’âge de un mois avec le deuxième vaccin contre l’hépatite B.

 

Quand un bébé reçoit toute la série de vaccins à l’âge de deux mois, la dose totale d’aluminium peut varier de 295 microgrammes  (si on utilise le vaccin HIB sans aluminium et le vaccin DTaP qui contient la dose la plus basse d’aluminium) à 1225 microgrammes (si les vaccins à plus haute teneur en aluminium sont utilisés avec le vaccin Hép.B.) Ces doses sont répétées à l’âge de 4 et 6 mois. L’enfant continuera de recevoir des doses d’aluminium pendant ses 2 premières années avec toute la série des vaccins.

 

En tant que médecin je m’inquiète tout d’abord de constater que ces taux d’aluminium  dépassent de loin les doses que l’on pourrait qualifier de sûres pour les bébés.

 

En second lieu, je suppose que ce problème a fait l’objet de recherches et que des études ont été réalisées sur des enfants en bonne santé afin de pouvoir déterminer la rapidité avec laquelle ces enfants peuvent éliminer cet aluminium de leur corps.

 

Ma troisième réaction a été de me mettre à la recherche de pareilles études. Je dois avouer ne pas en avoir trouvé une seule. Il est possible que la FDA estime que les reins des enfants en bonne santé fonctionnent suffisamment bien pour pouvoir excréter rapidement l’aluminium avant qu’il ne circule dans le corps, s’accumule dans le cerveau et ne produise des effets toxiques. En tout état de cause, je n’ai pas pu trouver la moindre référence dans les documents de la FDA qui démontreraient que l’aluminium utilisé dans les vaccins aurait été testé chez des nourrissons et aurait fait la preuve de son innocuité. »

 

On le voit, le public se trouve pris en otage par une classe politique qui rabâche des normes purement théoriques et jamais vérifiées mais simplement décrétées sous le poids des lobbies.  Cette même classe politique est-elle au moins seulement capable de faire preuve d’éthique, de bon sens et de logique, en vérifiant par exemple l’incohérence TOTALE entre les normes et avertissements émis pour une même substance de l’autre côté de l’Atlantique ? Il est hélas possible pour ces raisons que des générations entières puissent maudire d’ici quelques années ceux qu’ils considéreront comme les artisans d’une tragédie sanitaire sans précédent…

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19 octobre 2012 5 19 /10 /octobre /2012 19:46

Cinq long jours après que nous ayons posté l'information sur le retrait de lots de vaccins Infanrix en France, Sudpresse publiait (enfin!) un article à ce sujet.

 

Etrange donc que l'ANSM (agence française du médicament) disposait déjà de ces informations bien avant que le docile et crédule grand public ne puisse en être informé via la presse grand public belge et ce, alors que le siège mondial de production de ces vaccins de GSK se trouve... en Belgique!

 

Mais voici à présent  le contenu de cet article de Sudpresse publié le lendemain de l'émission partiale de la RTBF visant à nous assimiler à de dangereux fanatiques anti-vaccins... hors du champ de la Science!

 

Infanrix hexa & IPV: des vaccins pour enfants retirés de la vente

 

Partout dans le monde, des milliers de doses de vaccins pour enfants “ Infanrix Hexa ” et “ IPV ”ont été rappelées par leur fabricant, GlaxoSmithKline (GSK). En cause, la découverte d’une bactérie potentiellement dangereuse dans l’usine de production de Wavre.

Chez nous, en Flandre, 500 de ces doses avec risque théorique de contamination ont été rappelées. Même si aucune réelle contamination n’est à signaler pour le moment, les autorités de GSK n’ont pas transigé. Mais Julien Brabants, porte-parole, insiste: “ Le risque est purement théorique. ”

Et les enfants déjà vaccinés, avec les lots incriminés, ils risquent quoi? “ Pour l’instant, aucun symptôme ne nous permet de dire qu’un risque existe ”, continue Elysabeth Van Damme, responsable de communication chez GSK. “ Ces vaccins ont passé avec succès les tests internes et externes de qualité. Le retrait préventif est une initiative de GSK. Ni l’Europe ni d’autres gouvernements ne l’ont exigé. Si réellement il y avait eu contamination, nous l’aurions remarqué depuis longtemps.Et d’insister: “La situation est totalement sous contrôle, aucun enfant vacciné ne court de danger ”.

Une fois encore le déni : c’est potentiellement dangereux mais… aucun enfant déjà vacciné ne risque quoi que ce soit. Qui peut encore décemment croire ce genre d’affirmation qui ne repose sur rien d’autre qu’une insolente incohérence, uniquement destinée en réalité à sauver encore et toujours la fausse innocuité vaccinale de façade? On insiste, on insiste: vous DEVEZ continuer à avoir confiance et à rester des public-cibles potentiels pour de futurs vaccins, il y en a encore tellement en attente dans leur pipeline (près de 300)!

 

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17 octobre 2012 3 17 /10 /octobre /2012 19:00

Ce 17 octobre 2012, la RTBF diffusera un numéro de "Question à la Une" sur les vaccins.

 

Sans préjuger de l'objectivité de cette émission que nous n'avons pas encore vue, nous souhaitions partager avec vous un certain nombre d'informations de base.

 

Seuls 1 à 10% des effets secondaires graves des vaccins sont comptabilisés

 

= admis et publié par les instances et les revues médicales officielles.

 

Voir ICI (Revue du Praticien, novembre 2011)

 

Et ci-dessous, la façon dont l'Agence française du médicament représentait cette sous-notification dans un document de 2007:

AFSSAPS sous notification

 

Il est curieux de constater que les officiels ne tiennent jamais compte de la sous-notification des effets secondaires des vaccins (pourtant majeure) alors qu'ils effectuent pourtant un "redressement" des cas d'infections naturelles contre lesquelles il existe un vaccin... paradoxal n'est ce pas!

 

Cette sous-notification criante mais ignorée fait que le rapport bénéfices-risques prétendument favorable des vaccins n'est que POUDRE AUX YEUX!

 

Chaque échec des vaccins est systématiquement passé sous silence ou minimisé (avec, le plus souvent, conseil d'administrer une dose supplémentaire) alors que, dans le même temps, on dramatise les maladies infantiles pour justifier le vaccin.

 

Ainsi, quand le Pr Jack Lévy affirme que sans vaccination contre la rougeole, cela ferait 100 enfants avec une encéphalite chaque année en Belgique, c'est INEXACT!

  

La mortalité liée à la rougeole a baissé de 99,5% entre 1906 et 1983 selon l'annuaire statistique de France et ce, sans l'intervention du moindre vaccin. Et pour ce qui est de la fréquence de l'encéphalite, celle-ci est plutôt de l'ordre de 1/10 000 que de l'ordre de 1/1000. Ceci explique qu'il n'y avait "que" 20 à 30 encéphalites pour la France entière au début des années 80 soit avant l'introduction du vaccin. On voit donc mal comment la Belgique, qui connaissait un peu plus de 50 000 cas annuels de rougeole avant l'introduction du vaccin (selon le Pr Marc Van Ranst), pourrait proportionnellement être confrontée à 100 cas annuels d'encéphalite, ce qui reviendrait à une incidence de 1/500 pour l'encéphalite post-rougoleuse, chiffre jamais démontré sous nos latitudes!

 

Feu le Pr Robert Mendelsohn (également professeur de pédiatrie et de médecine préventive) écrit, en pages 126 & 127 de son livre, un avis bien différent de celui du Pr Lévy puisqu'il précise notamment au sujet du vaccin ROR (rougeole- oreillons-rubéole):

 

« Le vaccin ROR (MMR en anglais) contient un vaccin anti-rougeole. Les médecins pensent que ce vaccin est nécessaire pour prévenir l'encéphalite qui, disent-ils, frappe un enfant sur mille en cas de rougeole. Après des années d'expérience, je ne crois pas à cette statistique et je ne suis pas le seul pédiatre dans ce cas. II est possible que cette fréquence soit vraie pour des enfants qui vivent dans des conditions de pauvreté et de malnutrition mais pas dans les classes moyennes. Si l'on exclut la simple somnolence due à la rougeole, l'incidence d'encéphalite réelle est probablement plutôt de 1/10.000 ou de 1/100.000.

 

Après vous avoir effrayé avec ce risque d'encéphalite, le médecin peut difficilement vous parler des dangers associés au vaccin. Le vaccin lui-même peut également entraîner une encéphalite et d'autres complications telles qu'une panencéphalite sclérosante (toujours fatale), une méningite aseptique, une hémiparésie (paralysie d'une moitié du corps), ainsi que d'autres troubles graves du système nerveux central: ataxie, retard mental, épilepsie ou même sclérose en plaques. On peut observer aussi une nécrolyse épidermique toxique, un syndrome de Guillain-Barré, des troubles de la coagulation du sang, un diabète juvénile et l'on soupçonne une incidence sur la maladie de Hodgkin et le cancer...

 

Pour moi, les risques associés au vaccin anti-rougeole le rendent inacceptable, même si on pouvait me prouver qu'il agit. […]

 

Dans ces conditions, comment est-il possible que les médecins continuent à vacciner? La réponse se trouve peut-être dans cette anecdote qui se passe en Californie, quatorze ans après l'introduction du vaccin contre la rougeole. Los Angeles subissait une grave épidémie de rougeole cette année-là et on persuadait les parents d'enfants âgés de six mois ou plus de les vacciner, malgré l'avis du service de santé publique selon lequel vacciner un enfant de moins d'un an était inutile et probablement dangereux. La plupart des médecins vaccinèrent tous les enfants qui leur tombaient sous la main, mais quelques praticiens refusèrent de vacciner leurs propres enfants. Ces médecins savaient que les virus lents qui se trouvent dans tous les vaccins vivants, et particulièrement dans le vaccin de la rougeole, peuvent se cacher dans l'organisme pendant des années et se manifester plus tard sous forme d'encéphalite, de sclérose en plaques et même de cancer. Cependant, la connaissance de ces conséquences graves n'empêche pas ces-médecins de vacciner leurs patients. L'un d'eux dit même:« En tant que parent, je peux me payer le luxe de faire un choix pour mon enfant. En tant que médecin, légalement et professionnellement, je dois appliquer les recommandations de la profession. » Il est peut-être temps que tous les parents et leurs enfants jouissent du même« privilège» que les médecins pour leurs propres enfants. »

  

Les experts, incapables de répondre à nos questions sur la sécurité des vaccins!

 

Nous avons interrogé et interpellé de nombreuses instances et experts renommés au sujet du caractère expérimental des vaccins et de l'évaluation insuffisante de leur sécurité... ceux-ci n'ont jamais été capables de nous répondre (en ce compris l'ONE!). Parmi ces experts interrogés ou interpellés en vain, on retrouve le Pr Van Laethem, le Pr Ramet, le Dr Marie-Christine Mauroy, le Dr Kinda Schepers (infectiologue), Karin Rondia, etc

  

Les autorités de la Fédération Wallonie-Bruxelles (ex Communauté Française) qui ont la tutelle sur l'ONE, avaient quant à elles été sévèrement désapprouvées pour publicité trompeuse sur les vaccins par le Jury d'Ethique Publicitaire en novembre 2011.

 

Les vaccins contiennent des ingrédients toxiques... même à doses dites "infimes"!

 

Parmi ces composants, certains sont cancérigènes, comme le formaldéhyde or on n'évalue jamais le potentiel cancérigène des vaccins (cfr point 13.1 de cete notice mais ça vaut pour tous les vaccins!), contrairement à d'autres médicaments. Une majorité de vaccins contiennent aussi de l'aluminium qui est toxique pour le système nerveux et auquel les enfants sont encore plus fragiles.

 

Pour bien vous informer sur les divers composants des vaccins et leurs effets toxicologiques respectifs, vous pouvez vous rapporter à ces deux documents de synthèse du Dr Pilette:

 

- Maladies infectieuses & vaccins (détail des composants, vaccin par vaccin)

- Aluminium & vaccins

  

Les enfants non vaccinés, en meilleure santé que les enfants vaccinés: c'est prouvé

 

Les rares études indépendantes (1, 2, 3-4) qui ont vraiment fait l'effort de comparer des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés convergent toutes pour montrer que les enfants non vaccinés sont globalement en bien meilleure santé que les enfants vaccinés:

 

- ils consultent moins souvent le médecin

- ils consomment près de trois fois moins d'antibiotiques

- ils ont moins d'infections ORL

- moins d'asthme,

- moins de diabète

- moins de troubles du sommeil

- moins de troubles du comportement et d'autisme

etc etc

 

Ceci tend donc à confirmer le bienfondé du message suivant: on vaccine trop nos enfants, trop tôt et trop à la fois!

 

Les animaux, mieux traités que les humains en matière de vaccination !

 

Savez-vous qu'il est déconseillé de vacciner un chiot ou un chaton allaité, alors qu'on recommande de vacciner les bébés non encore sevrés. De même, les notices déconseillent de vacciner des animaux malades ou des femelles en gestation. Comment se fait-il alors qu'on recommande sans aucune précaution de vacciner les malades chroniques, des gens qui sortent à peine de chimio ou encore des femmes enceintes?

 

Vous avez des droits or en matière de vaccination, ils ne sont jamais respectés!

 

La loi du 22 août 2002 sur le droit des patients stipule très précisément à l'alinéa 2 de l'article 8 que:

 

« Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. Elles concernent en outre les conséquences possibles en cas de refus ou de retrait du consentement, et les autres précisions jugées souhaitables par le patient ou le praticien professionnel, le cas échéant en ce compris les dispositions légales devant être respectées en ce qui concerne une intervention. »

 

Votre médecin vous a-t-il déjà fait part des cas graves possibles après vaccination? Comme par exemple ce cas-ci, irréversible avec séquelles à vie, chez une ex infirmière après sa deuxième vaccination antigrippale annuelle.

 

Le plus souvent, les médecins n'évoquent que "douleur, rougeur ou fièvre" et C'EST TOUT!

  

Pourtant, si on prend les effets secondaires graves d'un vaccin comme celui contre la grippe recensés dans la littérature médicale, on voit que c'est très différent. Vos médecins ne vous disent donc pas tout car ils n'ont eux-mêmes pas le temps de se tenir au courant...



Les effets secondaires graves concernent aussi les vaccins pédiatriques: Prevenar, vaccin contre la méningite C, autant de vaccins dont le rapport bénéfices-risques apparaît clairement négatif sur base des chiffres officiels... mais qu'on continue à administrer quand même!!

 

Des liens pour aller plus loin

 

S'informer est essentiel. Chacun doit pouvoir choisir sur base d'une information suffisante s'il souhaite ou non se faire vacciner et ce d'autant plus qu'il n'existe aucun "filet" ni aucun système d'indemnisation des victimes. Un certain nombre de gens ayant perdu un proche croient parfois de bonne foi que la vaccination aurait permis d'éviter ces décès. Rien n'est moins sûr puisque certains cas (même mortels) peuvent survenir en dépit de toute vaccination. Il est donc important de s'informer rationnellement et pas sur base de l'émotion ou de la peur qui sont souvent mauvaises conseillères. Rappelons aussi, pour rassurer tout le monde, qu'Initiative Citoyenne n'a jamais milité pour empêcher quiconque de se faire vacciner mais simplement pour éviter qu'on impose des vaccins expérimentaux et insuffisamment testés à des gens non informés et donc par définition, non consentants. Il y va de notre démocratie et du respect des lois.

 

Articles et références d'ouvrages en complémentaires:

 

L'interview du pédiatre américain Dr Palevsky sur la sécurité des vaccins.

 

Les informations du Dr G. Buchwald pour reconnaître précocement des effets secondaires de vaccins chez les enfants.

  

Nos 3 articles:

 

"Sécurité des vaccins: on se fout carrément de vous!"

  

"La sécurité des vaccins n'a jamais été une priorité"

  

"Le public devrait être averti que les vaccins peuvent avoir des effets secondaires à long terme."

 

Le documentaire "Silence on vaccine" de la réalisatrice Lina Moreco.

 

De très nombreux ouvrages indépendants existent également sur le sujet.

Pour n'en citer que quelques uns:

 

"Vaccinations, les vérités indésirables", Michel Georget (éditions Dangles)

"Vaccins, mensonges & propagande", Sylvie Simon, (éditions Thierry Soucar)

"Autisme et vaccination", Sylvie Simon (éditions Guy Trédaniel)

"Qui aime bien vaccine peu", groupe médical suisse de réflexion sur les vaccins (Jouvence)

"La santé des enfants non vaccinés", Dr Françoise Berthoud (éditions Jouvence)

"Vaccinations, le droit de choisir", Dr François Choffat, (éditions Jouvence)

"Hold up sur la santé", Dr François Choffat (éditions Jouvence)

"Vaccins, Docteure maman en a assez!", Monique Morin, (éditions Covivia)

"Les vaccinations en question", synthèse du Colloque au Parlement européen (2002), sous la synthèse du député européen Paul Lannoye, (éditions Frison Roche)

"Faut-il faire vacciner son enfant?" de Virginie Belle (éd. Max Milo)

  

Pour agir et pour réagir

  

Prendre connaissance de nos propositions concrètes d'amélioration de:

  

- la sécurité des vaccins

- l'information sur le rapport bénéfices-risques des vaccins

- la liberté vaccinale

 

Logo IC grand

NB: Précisons aussi, si besoin en était, qu'Initiative Citoyenne n'a RIEN à voir avec la victimite de l'ONE, qui adopte peut-être cette posture parce qu'il est plus facile d'accuser autrui que d'assumer leur propre responsabilité de vacciner sans savoir répondre aux questions...

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 21:28

Extrait du JT de RTL de ce 16 octobre 2012

 

 

Toutes les réponses aux affirmations des médecins interrogés ci-dessous…

 

Les effets secondaires des vaccins antigrippaux peuvent être graves et variés : http://www.initiativecitoyenne.be/pages/Certains_effets_secondaires_graves_du_vaccin_contre_la_grippe_classique-1757037.html

 

Les cas d'effets secondaires graves sont tout à fait concrets, voyez le triste cas de cette ex-infirmière suite à sa deuxième vaccination antigrippale...

http://www.youtube.com/watch?v=tUXz1DOl46Y&feature=relmfu


Seuls 1 à 10% des effets secondaires GRAVES sont effectivement recensés et comptabilisés, cela est reconnu dans des revues médicales officielles comme ici:

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/2012-2013/Pharmacovigilance-vaccins-Jonville-Bera--Revue-du-Praticie.pdf


Même l'Agence française du Médicament a représenté à la façon d'un iceberg la sous-notification des effets secondaires de vaccins dans un document de 2007 (cfr p 5):

http://ddata.over-blog.com/xxxyyy/3/27/09/71/Pharmacovigilance-des-vaccins--Afssaps.pdf

 

61% de ceux qui administrent un vaccin antigrippal sont incapables de reconnaître des effets secondaires:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-61-de-ceux-qui-administrent-les-vaccins-sont-incapables-de-reconnaitre-un-effet-secondaire-94530911.html


Les vaccins contre la grippe n'ont pas 60 à 70% d'efficacité mais... 1,5% seulement, voici comment les pharmas truquent les statistiques et comment les médecins les relaient docilement:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-les-60-a-70-d-efficacite-du-vaccin-antigrippal-sont-un-mensonge-voici-ou-se-situe-le-trucage-111221300.html

 

Il n'y a pas de preuve scientifique de l'utilité de la vaccination antigrippale chez les patients âgés et les sujets dits "à risque", c'est une instance belge officielle qui l'avoue en catimini aux médecins (pas aux patients!) :

http://www.initiativecitoyenne.be/article-quand-le-cbip-prend-le-bon-sens-en-grippe-95146777.html

 

Les chiffres des décès liés à la grippe sont gonflés et sur-estimés:

http://www.initiativecitoyenne.be/article-grippe-surestimation-des-deces-pour-ecouler-les-vaccins-110161999.html

 

Il y a des solutions plus efficaces, plus sûres et plus judicieuses pour se prémunir de la grippe (tout en profitant d'autres avantages, notamment contre le cancer) comme par ex.:

faire doser son taux sanguin de vitamine D et veiller à une supplémentation adaptée, la plupart des gens étant carencés, cette vitamine étant utile en prévention de la grippe et aussi dans la prévention globale des cancers.

 

Grant WB, Goldstein M, Mascitelli L. Ample evidence exists from human studies that vitamin D reduces the risk of selected bacterial and viral infections. Exp Biol Med (Maywood). 2010 Dec;235(12):1395-6; discussion 1397. PubMed PMID: 21171208.

 

Aloia JF, Li-Ng M. Re: epidemic influenza and vitamin D. Epidemiol Infect. 2007 Oct;135(7):1095-6; author reply 1097-8. PubMed PMID: 17352842; PubMed Central PMCID: PMC2870688.

 

Urashima M, Segawa T, Okazaki M, Kurihara M, Wada Y, Ida H. Randomized trial of vitamin D supplementation to prevent seasonal influenza A in schoolchildren. Am J Clin Nutr. 2010 May;91(5):1255-60. Epub 2010 Mar 10. PubMed PMID: 20219962.

 

Effet anti-cancer prouvé de la vitamine D (réduction de 60% du risque de cancer, Université de Creighton):

http://www.creighton.edu/publicrelations/newscenter/news/2007/june2007/june82007/vitamindcancernr060807/index.php

 

 

Compte tenu de toutes ces informations validées ci-dessus et de l'article 8 de la loi du 22 août 2002 sur le droits des patients qui stipule expressément en son alinéa 2 que:

 

« Les informations fournies au patient, en vue de la manifestation de son consentement visé au § 1er, concernent l'objectif, la nature, le degré d'urgence, la durée, la fréquence, les contre-indications, effets secondaires et risques inhérents à l'intervention et pertinents pour le patient, les soins de suivi, les alternatives possibles et les répercussions financières. Elles concernent en outre les conséquences possibles en cas de refus ou de retrait du consentement, et les autres précisions jugées souhaitables par le patient ou le praticien professionnel, le cas échéant en ce compris les dispositions légales devant être respectées en ce qui concerne une intervention. »

 

... nous sommes en droit de nous demander si les médecins interrogés dans ce reportage ne sont tout simplement pas hors la loi?

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16 octobre 2012 2 16 /10 /octobre /2012 16:23

12 septembre 2012

 

Une nouvelle étude effectuée par une équipe de médecins du Québec remet en question l'âge auquel les enfants sont vaccinés contre la rougeole.

 

Cette étude arrive à la même conclusion qu'une autre menée en 2011 par les mêmes chercheurs québécois, qui laissait entendre que le vaccin serait plus efficace s'il était administré quelques mois plus tard qu'il ne l'est présentement.

 

L'auteur principal de l'étude, le Dr Gaston De Serres, de l'Institut national de santé publique du Québec, a présenté les résultats de ses recherches hier lors d'une conférence internationale sur les maladies infectieuses à San Francisco.

 

Le Québec a connu une éclosion de rougeole en 2011, durant laquelle plus de 700 cas ont été rapportés. Étonnamment, plusieurs adolescents infectés avaient reçu les deux doses du vaccin recommandées.

 

Une étude réalisée l'an dernier par le Dr De Serres avait montré que ceux qui avaient eu la première dose à 12 mois avaient trois fois plus de risques de contracter la maladie que ceux qui avaient reçu leur première dose à 15 mois.

 

La nouvelle étude parle maintenant d'un risque six fois plus important pour les enfants vaccinés à un an.

 

Une spécialiste de la rougeole du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies des États-Unis a toutefois affirmé que les autorités doivent viser juste en établissant le moment propice pour immuniser les bambins contre cette maladie.

 

La Dre Jane Seward a expliqué que la rougeole pouvait être fatale pour les bébés et que l'objectif était donc d'administrer le vaccin dès qu'il est efficace. Mais ce dernier ne fonctionne pas chez les très jeunes bébés parce que les anticorps qu'ils ont reçus de leur mère lorsqu'ils étaient dans son ventre le neutralisent.

 

Les risques et les avantages d'attendre quelques mois pour administrer la première dose ne seraient pas les mêmes au Canada, où les cas de rougeole sont rares, que dans des pays comme l'Inde, où la maladie demeure endémique.

 

Le Dr Gaston De Serres a tout de même affirmé que le Canada ne changerait probablement pas l'âge auquel les petits Canadiens sont vaccinés pour le moment, mais a conseillé aux autorités de continuer à surveiller la situation.

 

 Source: La Presse Canadienne, Toronto.

 

NB : En Belgique, les « grands experts » relayant les « bons conseils » de l’OMS et consorts recommandent l’administration de la première dose de ROR à l’âge de 12 mois, en même temps qu’un rappel du très lucratif mais inutile Prevenar. Pour les enfants fréquentant une collectivité (crèche ou gardienne agréée), ces bons experts recommandent même une vaccination ROR dès l’âge de 9 mois.

 

A 15 mois, la place est déjà prise pour d’autres vaccins, à savoir la quatrième dose de vaccin hexavalent et l’injection simultanée du vaccin contre le méningocoque C qui s’avère plus risquée que la maladie elle-même comme les chiffres officiels le montrent !

 

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