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29 octobre 2012 1 29 /10 /octobre /2012 00:30

seringues.jpg

A la lueur de divers exemples, nous pouvons hélas montrer que le réflexe vaccinal relève bien davantage d'un conditionnement idéologique que d'une saine logique scientifique. Nous prendrons pour ce faire l'exemple des campagnes françaises de vaccination contre le méningocoque (B et C), l'exemple d'un futur "vaccin anti-cancer" ainsi que l'actualité sur un nouveau vaccin contre l'hépatite E fraîchement mis sur le marché.

 

En France, plusieurs campagnes de vaccination contre le méningocoque C viennent d'être initiées, en réaction à quelques cas de méningites. C'est le cas notamment dans le Finistère mais aussi dans les Landes et les Hautes-Pyrénéesdes milliers de gens vont être vaccinés au nom du prétendu "Bien commun". Pourtant, les chiffres officiels eux-mêmes prouvent que ces vaccins contre le méningocoque C sont éminemment plus risqués que bénéfiques et, si l'on tient compte du fait que seuls 1 à 10% des effets secondaires graves sont recensés, on arrive à un rapport bénéfices/risques ultra-négatif, et donc même avec ces quelques cas de méningocoques supplémentaires, le jeu n'en vaut pas du tout la chandelle!! Sans compter le fait que le vaccin contre le méningocoque C ne se fait normalement que dès l'âge de 1 an et qu'il est ici préconisé dès l'âge de 2 mois... tout cela sans filet et dans le plus grand flou !!

 

Comment se fait-il alors que ces campagnes aient été décidées en haut lieu? Tout simplement parce qu'il y a un réflexe conditionné et beaucoup d'argent en jeu. On a donc la conjonction de la cupidité des lobbys et de la docilité irréfléchie des autorités dont les experts n'ont comme seule "proposition" concrète QUE de vacciner, encore et toujours. Maladie infectieuse = vaccin et quelques cas de maladies infectieuses signifient donc grosse vaccination à leurs yeux (étant donné leur croyance en l'immunité de troupeau). En revanche, que les cas d'effets secondaires graves soient supérieurs aux cas de méningites à méningocoques réellement survenus, cela ne les dissuade vraiment pas de continuer à recommander ces vaccinations. Car ce constat reste idéologiquement inacessible à ces gens dont l'endoctrinement a commencé dès les premières années de faculté. Admettre ces cas, en tenir compte, cela entraîne un phénomène de dissonance cognitive, c'est à dire une sorte d'ébranlement psychologique de ces personnes qui se retrouvent alors confrontées à des données qui entrent en contradiction avec leurs croyances initiales. En psychologie, on explique que la dissonance cognitive induit trois grands types de réactions possibles: la première, qui prime ici largement en matière de vaccination, est de rejeter en bloc les informations nouvelles qui viennent "perturber les croyances de départ", la deuxième est d'essayer d'intégrer et d'incorporer ces nouvelles données aux croyances de départ, la troisième étant la désintégration des croyances de départ au profit des données nouvelles, compte tenu de leur trop grande incohérence...

 

Si on prend le cas de la méningite à méningocoque B, là encore, on s'aperçoit qu'une récente campagne a été initiée dans la région de Dieppe, avec le vaccin MenBVac, clairement expérimental (mais bien entendu pas présenté comme tel au public concerné!), qui a d'ailleurs déjà été sévèrement dénoncé en Norvège, comme en Nouvelle-Zélande et tout cela, au nom de quoi?  Là encore de quelques cas minoritaires au nom desquels, les autorités font l'étrange choix d'exposer toute une génération de dizaines de milliers de personnes (de 2 mois à 24 ans) à un produit expérimental aux effets secondaires potentiellement très graves, mais tout en prétendant bien sûr que le vaccin est très sûr!!

 

Men-B-vac.JPG

 

Mais prenons à présent un autre cas témoignant du non sens de ce réflexe vaccinal conditionné: ce projet de "vaccin universel anti-cancer". Voilà un projet qui va sûrement réjouir plusieurs naïfs car le cancer fait peur et que le mot "vaccin" a pour certains une connotation quasi magique, synonyme de "protection". Aussi, ces gens-là s'imaginent que quels que soient les risques du vaccin, ils vaudront sûrement une protection "universelle" contre le cancer. Pourtant, si on décortique un peu cette actualité, on ne peut que déceler son absurdité. Pourquoi: parce qu'outre le fait que les vaccins contiennent plusieurs composants toxiques et notoirement cancérigènes (songeons au formaldéhyde par exemple...) bien qu'on ne teste cependant jamais leur potentiel cancérogène, contrairement à d'autres médicaments, outre le fait que la multiplication des vaccins induit une baisse du système de défense chez une quantité conséquente de gens et que les taux de cancers grimpent en parallèle de la hausse croissante du nombre de vaccins reçus dès le plus jeune âge, on planche actuellement sur... "un vaccin anti-cancer"! Mais le pire finalement, le plus "gros" dans tout ça, est que ce vaccin consistera à injecter l'antigène MUC-1 de façon à faire produire des anticorps anti-MUC1 alors même qu'une maladie naturelle et relativement anodine comme les oreillons offre justement à l'organisme ces anticorps anti MUC-1 de façon sure et durable! On supprime donc des maladies naturelles comme les oreillons qui apportent aux femmes qui les contractent une protection relative contre le cancer de l'ovaire mais on fera produire artificiellement aux gens avec des vaccins des anticorps anti-cancer qu'ils auraient naturellement produits s'ils avaient contracté ces maladies de façon naturelle! On marche donc une fois encore sur la tête et un nombre croissant de gens s'en rendent d'ailleurs bien compte.

 

Prenons enfin le cas de ce vaccin anti-hépatite E tout récemment mis sur le marché en Chine et fabriqué par une industrie nationale. Xiamen Innovax Biotech a ainsi obtenu le feu vert pour son vaccin Hecolin destiné à prévenir l'hépatite E, une maladie qui se transmet par l'eau et les aliments contaminés et qui, selon l'OMS, ferait 20 millions de malades annuellement dans le monde. Qu'en est-il des risques de ce vaccin? Là encore, aucune information sur la sécurité du produit ne filtre auprès des consommateurs mais, dans le même temps, l'OMS arrive déjà en renfort avec ses sirènes alarmistes - il faut dire que l'OMS a déjà affirmé, sans l'ombre d'une preuve fiable, que les vaccins prévenaient 300 Millions de morts dans le monde chaque année. En attendant, même pour une maladie qu'on pourrait entièrement prévenir par des mesures d'hygiène simples et sans danger, il va s'agir d'écouler un produit au seul motif qu'il aura été fabriqué et que des actionnaires attendent le "retour sur investissements"!

 

Faire encourir des risques tout à fait inconsidérés et disproportionnés à des populations au nom de prétendus bénéfices tout à fait opaques, marginaux voire inexistants, voilà un modus operandi hélas récurrent en vaccinologie! Et si on prend encore un autre exemple, celui du vaccin contre la grippe, on ne peut que confirmer cette analyse.

 

Un article récemment paru dans la presse canadienne prétendait (en relayant là encore unilatéralement l'avis de certains chercheurs) que le vaccin antigrippal réduirait le risque de crise cardiaque et même d'AVC de façon assez importante.

 

Cet article dit d'ailleurs notamment ceci:

 

« Les chercheurs ont examiné 3227 patients — dont 50 % qui n’étaient pas atteints de troubles cardiaques – et ont administré le vaccin antigrippal, à la moitié d’entre eux. Les personnes ayant reçu le vaccin ont été choisies de façon aléatoire. Selon les résultats des études, après un suivi d’un an, le vaccin contre la grippe a permis de réduire d’environ 50% le risque d’un événement cardiaque majeur (crise cardiaque, AVC, décès cardiaque), comparativement au groupe qui avait reçu un placebo. »

 

Cela pourrait à première vue sembler "merveilleux" mais voici ce qu'on ne vous rappelle pas (et qui concerne les données relevées par des chercheurs rattachés à plusieurs instances publiques américaines sur base des données issues du système de pharmacovilance vaccinale du pays):

 

"Entre 1990 et 2010, 306 cas d'AVC (âge moyen 42 ans, de 0,1 à 94 ans) survenus dans les six semaines après une vaccination  (mais dans les 2 semaines pour 257 patients ; 83,9 %) ont été signalés. Dans 120 cas (39,2%), l'AVC s'est produit après une vaccination antigrippale, dans 40 cas (13 %) après une vaccination contre l'hépatite B et dans 20 cas (6,5 %) après une vaccination antidiphtérique, antitétanique et anti-coqueluche (vaccin acellulaire). Douze patients (4 %) avaient eu au moins 2 vaccins. La répartition déséquilibrée des AVC dans les 6 premières semaines après la vaccination avec un pic dans les 2 premières semaines suggère que certains cas pourraient être déclenchés par la vaccination."

 

Al Qudah Z. : Stroke after Vaccination in United States. A Report from the CDC/FDA Vaccine Adverse Event Reporting System. [1990–2010]. 64th Annual Meeting of the American Academy of Neurology. (Nouvelle-Orléans) : 21– 28 Avril 2012.

 

Dans un pays comme la Belgique, il y a environ 15 000 cas annuels d'infarctus du myocarde dont la moitié décèderont à court ou moyen terme de cette condition. Chaque année, en Belgique, il y a 19 000 accidents vasculaires cérébraux (AVC) dont 9000 personnes mourront dans l'année et 6000 garderont une invalidité permanente. On devine cependant d'ores et déjà que certains experts viendront recommander la vaccination antigrippale au nom de la protection contre l'infarctus mais, on vient de le voir, combien de ces gens crédules pourront cependant se retrouver parmi les victimes d'AVC post-vaccinaux? Voilà le genre de questionnements qui semblent constamment échapper aux experts, tout simplement parce que ces gens ont des oeillères et qu'ils occultent en permanence tout risque grave évoqué dans leur propre littérature, dans la mesure où cela risque de faire de l'ombre aux prétendus bénéfices qu'ils s'ingénient à mettre en évidence par tous les moyens.

 

Lorsqu'on vous parle d'un vaccin, ne soyez pas hypnotisé, et essayez d'envisager l'ampleur de tout ce qui reste encore inconnu et insuffisamment étudié au sujet des vaccins... c'est alors qu'il vous suffit de répondre à cette simple question: êtes-vous prêt à jouer au cobaye?

 

hypnose-et-vaccins.png

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 22:06

Le Figaro. 25/ 10/ 2012. Stéphane Durand-Souffland.

 

Les laboratoires poursuivaient le quotidien pour la publication d'éléments sur l'affaire du Mediator.

 

La cour d'appel de Paris vient de rendre un arrêt important pour la liberté de l'information, en donnant raison au Figaro contre les laboratoires Servier.

 

Sous la plume d'Anne Jouan, Le Figaro a multiplié les révélations sur l'affaire - actuellement à l'instruction - du Mediator, ce médicament utilisé comme coupe-faim et soupçonné d'avoir causé le décès de nombreux patients depuis sa mise sur le marché. Un article du 7 février 2012 a conduit les laboratoires à poursuivre le journal. Il s'agit de la divulgation d'un procès-verbal dans lequel une ancienne employée de Servier raconte à sa façon les coulisses de la commercialisation du Mediator. Le témoin précise notamment: «Ce médicament était appelé, chez Servier, “le Merdiator”

 

Les laboratoires ont engagé des poursuites sur le fondement de l'article 38 de la loi sur la presse, qui réprime la publication d'actes de procédure avant leur lecture en audience publique. «Un délit commode qui peut permettre d'obtenir une condamnation sans débat au fond», relève Me Christophe Bigot, avocat du Figaro et d'Anne Jouan. De fait, Servier a obtenu gain de cause en première instance.

 

Analyse contraire

 

La cour d'appel, donc, impose une analyse contraire. Son arrêt du 24 octobre constate, certes, que l'article comprend «dix extraits» d'un procès-verbal d'audition dans le cadre d'une instruction visant Jacques Servier et plusieurs de ses sociétés pour «escroquerie, tromperie aggravée et obtention indue d'une autorisation administrative», extraits «qui ne peuvent être appréciés comme de courtes citations d'actes de procédure» (lesquelles échapperaient à l'article 38). Cependant, l'article s'inscrit «dans le cadre d'un large débat public préexistant sur la responsabilité des laboratoires Servier».

 

Pour la cour, «informer le public sur un sujet tel que l'affaire du Mediator (…) présente sans conteste un intérêt majeur». De surcroît, estiment les magistrats, «il ne peut valablement être prétendu qu'une telle publication portait atteinte au droit de (Servier) à bénéficier d'un procès équitable et à l'autorité et l'impartialité des juges alors qu'elle concernait le simple témoignage, non décisif, d'une de ses anciennes visiteuses médicales, recueilli au cours d'une information judiciaire complexe».

 

La cour considère que «l'application de l'article 38 de la loi du 29 juillet 1881 à la publication incriminée constitue une ingérence, dans l'exercice du droit à la liberté de la presse, disproportionnée», et non conforme à l'article 10 de la Convention européenne de sauvegarde des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Par conséquent, elle infirme le jugement de première instance et condamne les laboratoires Servier à payer les dépens ainsi que 10.000 euros au Figaro et à Anne Jouan.

 

Le groupe pharmaceutique dispose de deux mois pour former un pourvoi en cassation. Son avocat, Me Yves Baudelot, n'a pu être joint jeudi.

 

LIRE AUSSI:

» Servier a testé le Mediator sans avertir des risques

 

Compte tenu de ce genre d’actualités, la logique des choses serait maintenant que la justice puisse aussi lever la chape de plomb médiatique sur les risques graves des vaccins qui constituent encore bien davantage « un sujet d’intérêt majeur » pour le grand public compte tenu que, contrairement au Mediator, cela concerne potentiellement tout le monde.

  

Or tout démontre que ces risques sont constamment minimisés ou tus par une presse bridée et bâillonnée, qui n’a globalement JAMAIS traité ce sujet de façon strictement équilibrée. Le rôle de la presse est donc accablant et c’est là une des grandes raisons pour lesquelles nous avons atteint un degré si élevé de pressions, contraintes et de tyrannie vaccinales !

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 20:49

Voici ce qu'on pouvait lire le 24 octobre dernier sur le site du Nouvel Observateur:

 

Gastro-entérites: les pédiatres recommandent la vaccination généralisée

 

Publié le : 24 Octobre 2012 par Mélanie Gomez

 

vaccin-rotarix-bebe.jpg

Alors que les autorités de santé ne recommandent pas la vaccination contre le rotavirus responsable de la majorité des gastro-entérites virales, deux Sociétés savantes demandent que cet avis soit reconsidéré.

 

« Lorsque ma pédiatre m’a proposé l’hiver dernier de vacciner mon fils de 3 mois contre la gastro-entérite à rotavirus, au départ j’ai hésité. Je savais qu’une gastro chez un tout petit pouvait être dangereuse, mais lorsqu’elle m’a dit que ce vaccin n’était pas dans les recommandations vaccinales et qu’en plus il coûtait 150 euros non remboursés par la sécurité sociale, j’ai finalement refusé », explique Clémence, jeune maman parisienne. 


Pourquoi ferait-on un vaccin qui n’est pas recommandé par les plus hautes instances sanitaires de notre pays ? Une question que se posent  parents et médecins alors que le seuil épidémique des diarrhées aigües a été franchi il y a quelques jours (203 pour 100 000 habitants).  Deux vaccins, commercialisés en 2006, permettent aujourd'hui d'assurer une protection comprise entre 84 à 96% des formes sévères chez les nourrissons à partir de six semaines. 


Une question à laquelle répondent aujourd'hui deux Sociétés savantes de pédiatrie. Le Groupe de Pathologie Infectieuse Pédiatrique (GPIP) et l’Association Française de Pédiatrie Ambulatoire (AFPA) publieront dans les prochains jours un texte dans les Archives de Pédiatrie, que "pourquoidocteur" s’est procuré. Ces spécialistes estiment qu’il est temps de reconsidérer la position des autorités françaises et de recommander la vaccination généralisée des nourrissons contre le rotavirus.

 

Lire la suite de cet article: ICI

 

En Belgique, les autorités (et les lobbys) semblent avoir trouvé LA bonne solution : inclure l’immense majorité des vaccins dans ce qu’ils ont l’ironie d’appeler « le calendrier vaccinal de base » ! Manifestement, on ira donc vers cette tactique-là en France aussi : après avoir inclus dans les recommandations pour les enfants la vaccination contre les pneumocoques, celle contre le méningocoque C puis aussi l’usage du vaccin hexavalent (avec quelques années de retard par rapport à la Belgique), c’est bientôt le tour du vaccin anti-rotavirus.

 

Cette situation appelle à se pencher sur la question des conflits d’intérêts de ces sociétés savantes qui pressent à présent pour qu’on recommande officiellement la vaccination généralisée de tous les nourrissons : la recommandation officielle est le nerf de la guerre car qui dit recommandation officielle dit aussi remboursement partiel or sans remboursement et en temps de crise qui plus est, cela rend les parents nettement plus réticents à débourser de l’argent sans garantie et aussi « sans filet » en cas d’effets secondaires. Les lobbys en embuscade derrière ce genre de sociétés savantes le savent bien. Et c’est pourquoi ils agissent ainsi à présent, par l’intermédiaire de sociétés savantes et de leaders d’opinion.

 

Contrairement à ce que laisse croire à tort cet article sur le fait que ces vaccins anti-rotavirus ne seraient plus contaminés (aux circovirus porcins), l’auteure Virginie Belle qui a enquêté à ce sujet et a interrogé l’Agence Française du Médicament, relate au contraire que ces contaminations sont toujours bien présentes selon les aveux de l’Agence et ce jusque 2013 au minimum !! Par ailleurs, et comme il est également bien précisé dans le livre de V. Belle, il existe une solution sûre et nettement plus efficace que le vaccin pour prévenir les complications de la gastro-entérite: les solutés de réhydratation orale (SRO). Une boîte de 10 sachets de SRO coûte 6,2 euros, entièrement remboursés par la Sécu et avec une efficacité de 90% dans les cas de diarrhées tandis que les vaccins anti-rotavirus, dont on arrose à présent aussi le Tiers-Monde, n'ont qu'une efficacité de 50 à 64% pour un coût de 131 à 150 euros selon les marques!! Mais l'OMS, qui dit "manquer d'argent", n'hésite cependant pas à recommander ces vaccins plutôt que de diffuser en nombre suffisant ces solutés peu chers dans les pays les plus pauvres... cherchez l'erreur là encore!

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 20:27

Lire cet article (très inquiétant) de Bastamag en pdf: ICI   (Ca se passe... en France!!)

 

Et dire que ces apprentis-sorciers ont reçu les autorisations officielles d'agir ainsi...

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26 octobre 2012 5 26 /10 /octobre /2012 00:00

applaudissements.gif

Nous avions déjà publié il y a peu sur ce "pacte" extrêmement inquiétant conclu entre la Ministre fédérale belge de la Santé Laurette Onkelinx et le secteur pharmaceutique. Toutefois, après lecture de l'article titré "Pax Pharmaceutica" dans le Journal du Médecin du 19 octobre dernier, nous ne résistons pas à vous retranscrire quelques passages surréalistes qui témoignent du parti-pris éhonté de ce journal qui regorge de publicités en faveur des pharmas...

 

"Ce n'est pas vraiment une bombe, mais en ces temps économiques et institutionnels troublés, peu de gens se plaindront que la Ministre Onkelinx ait pu signer avec l'industrie pharma, un pacte qui offre une stabilité à leur relation."

 

"Les deux parties ont signé un véritable Pacte sous le titre "partenariat pour préserver la solidarité et l'innovation en matière de médicaments, au bénéfice des patients."

 

(Ben voyons...ça fait penser aux vaccins qu'on préconise aveuglément toujours pour notre Bien ou "le Bien commun"!)

 

"Figure également à l'agenda, la mise sur pied, en concertation avec pharma.be, de projets "pour l'usage approprié des médicaments et l'amélioration de l'observance thérapeutique."

   

(Nul doute que ce genre de concertation "servira" le citoyen: pour Big pharma, l'usage le plus approprié des médicaments est celui qui est le plus large à leur profit, idem pour "l'amélioration de l'observance" car des personnes qui cessent des traitements aux effets secondaires trop nombreux sont autant de clients perdus...)

 

"La Ministre vise à ne pas majorer les cotisations spéciales du secteur  pharmaceutique et, au contraire, à réduire celles-ci dans la mesure du possible."

 

(Tiens, c'est marrant, Laurette Onkelinx nage de + en + à contre-courant puisqu'en France, ils font l'inverse, ils augmentent ces taxes sur les pharmas... mais il faut dire que contrairement à la plupart des Belges, taxés à près de 60%, GSK n'avait pas payé plus que 3% d'impôts sur près d'1 milliard de profits. Pourquoi donc en effet s'arrêter en si bon chemin avec tous ces passe-droits?!)

 

"En contrepartie, l'accès aux médicaments est facilité en rendant plus efficace la procédure de demande de remboursement de ceux-ci. [...] Le volet économique pur offre à l'industrie un environnement plus stable. [...] Pour conserver la réputation mondiale de la Belgique en matières d'études cliniques, les industriels obtiennent "une concertation étroite avec les autorités, entre autres concernant la simplification et l'accélération des procédures."

 

(Voici par contre ce qui semble se faire en France:

 

« Les firmes accusent aussi les pouvoirs publics de saper leur activité et, à terme, de menacer l’emploi. « L’industrie du médicament est très proche du point de rupture »,  affirmait en juin le Leem, en dénonçant le durcissement des critères d’évaluation des médicaments, l’encadrement des prescriptions à l’hôpital ou la multiplication des taxes sur le chiffre d’affaires. » )

 

 " Autant de raisons suffisantes pour pharma.be "d'acclamer cette nouvelle collaboration avec la ministre et sa cellule stratégique, qui, par son caractère synergique, laisse présager un épanouissement accru du secteur pharmaceutique en tant qu'acteur du bien-être général et de l'économie en Belgique."

 

 

Formidable, pas à dire ! La Belgique peut être « fière » se troquer la sécurité sanitaire de ses 11 millions d’habitants contre la prétendue sauvegarde de 32 000 emplois, superbe calcul, particulièrement légitime et logique !

 

Il faut vraiment être maladivement naïf pour encore croire que toutes ces tractations se font « au bénéfice des patients » ! Si c’était le cas, il est clair que les pharmas n’auraient pas ce genre de collaboration !  Mais il faut dire qu’on arrive vraiment ici au sommet de ce jeu de dupes dans lequel Laurence Bovy, la chef de cabinet de Laurette Onkelinx, tentait de nous faire croire que « l’industrie pharmaceutique est un partenaire comme un autre » et que « leur devoir d’information, c’est de recevoir tout le monde. » Le mépris de Mme Onkelinx et son absence de réponse sur la question du forcing vaccinal via les remboursements sélectifs de vaccins (malgré notre recommandé postal !) démontrent au contraire que le public n’est ni reçu ni entendu et qu’il n’est in fine même pas considéré comme « un partenaire » face aux influents VIP pharmaceutiques.

  

Applaudissements noirs jaunes rouges pour ces mesures absurdes... puisqu'on est quand même au pays du surréalisme pour quelque chose!

 

 

Voir ICI la réaction d'Initiative Citoyenne à ce pacte aberrant.

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 23:23

RILATINE ET  CONCERTA: PARENTS ABUSES, ENFANTS DROGUES 

 

rilatine (1)

 

Aujourd'hui en Belgique la Ritaline se prescrit aux enfants comme une vitamine C, voire mieux.  

 

L'été dernier sur une troupe de 18 enfants du brabant wallon partant en camp louveteaux, 9 étaient sous Rilatine (dont plusieurs tellement assommés qu'ils ont du mal à participer aux activités).

 

Dans presque chaque école il y a des enfants sous Rilatine, dans certaines classes plus d'un tiers des enfants et ceci inclut les écoles les plus huppées de la capitale.

 

La Rilatine et le Concerta sont des drogues ni plus ni moins.  La substance active, le méthylphénidate, s'inscrit dans la catégorie pharmacologique des stupéfiants dans la classe des amphétamines.  Son mode d'action est assez semblable à la cocaïne: période de performance au début...et dégradation vertigineuse à long terme.

 

Les parents ignorent ce qui se cache derrière ce 'léger stimulant' que réclament les enseignants dépassés, pendant que Big pharma organise soigneusement ses 'campagnes d'information' pour 'diagnostiquer les troubles de l'attention.'  Une formule qui arrange parfois tout le monde la famille, l'école, les médecins...et surtout Novartis Enfin la paix....mais à quel prix et pour combien de temps??? 

 

Lorsque l'on prend conscience de l'ampleur de ce phénomène on se rend compte que c'est toute une génération qui est en péril.  

 

Rilatine, effets secondaires: crise cardiaque, dépression, anorexie, psychose, troubles du sommeil, nausées, anorexie, troubles cardiaques, accoutumance, dépression nerveuse, hallucinations visuelles, épilepsies, troubles psychotiques, états suicidaires.

Un examen cardio-vasculaire devrait être systématiquement prescrit car il y a chaque années des décès par arrêt cardiaque

 

Extraits de la notice:

 

Chez les enfants psychotiques, la Rilatine peut aggraver les symptômes des troubles comportementaux et des troubles de la faculté de penser.

 

L'utilisation chronique abusive de Rilatine peut entraîner une accoutumance marquée et une dépendance psychique associées à des degrés divers de comportement anormal. Il est également possible que se produisent des épisodes psychotiques francs.

 

La Rilatine devrait être utilisée avec prudence chez les patients souffrant d'épilepsie parce que l'expérience clinique montre qu'elle peut provoquer une augmentation de la fréquence des crises chez un petit nombre de ces patients. 

 

La Rilatine doit être utilisée avec prudence chez les sujets émotionnellement instables tels les personnes présentant des antécédents de dépendance médicamenteuse ou d'alcoolisme, parce que ces patients risquent d'augmenter la posologie de leur propre initiative.

 

La prudence est de rigueur chez les patients atteints d'hypertension, et l'hypertension grave constitue une contre-indication relative à l'utilisation de Rilatine. Il convient de pratiquer régulièrement des contrôles de la tension artérielle chez tous les patients traités par Rilatine, en particulier chez les hypertendus.

 

Les profils de sécurité et d'efficacité à long terme de la Rilatine ne sont pas complètement connus. Aussi les patients qui requièrent un traitement prolongé doivent être suivis attentivement: il est conseillé d'effectuer périodiquement une numération sanguine complète et différentielle, ainsi qu'une numération plaquettaire.

 
Un contrôle soigneux est requis pendant la période d'arrêt du traitement. Chez certains patients, un suivi prolongé peut s'avérer nécessaire. Par analogie avec des produits du même genre, il faut tenir compte de la possibilité qu'il se produise un syndrome de sevrage caractérisé par de la dépression, de la léthargie, une récupération de sommeil, un appétit important, des bouffées d'agressivité, un suicide éventuel et, dans de très rares cas, des symptômes physiques.

 

www.freewebs.com/medicaments/medicament_rilatine.htm  pour la notice complète en français

 

www.fda.gov/cder/offices/ods/MG/methylphenidate_RtabletsMG.pdf, le guide de prescription de la FDA (Federal Drug Administration) souligne les dangers de cette drogue de manière bien plus claire   

ritalintdah.com/index.php/2008/01  Encore un site sur les dangers de la rilatine.

 

On cite aussi un rétrécissement du cerveau et des troubles hormonaux liés au dysfonctionnement de l'hypophyse: www.enfantshyperactifs.com/ritaline/

 

Ritaline, étude 2009: dégats irréversibles au cerveau plus importants que la cocaïne

 

Nouvelle étude (février 2009) de l'université de Rockfeller montrant que plus encore que la cocaïne le Ritaline affecte les synapses de notre cerveau avec un impact sur certains type de protéines. 

 

www.sciencedaily.com/releases/2009/02/090204193314.htm  

 

Ritaline, le moins efficace parmi tous les traitements : 45% d'aggravation chez les enfants traités

 

Selon les statistiques effectuées auprès de plusieurs milliers de parents la Rilatine est au plus bas du tableau parmi toutes les interventions possibles dans les domaines de troubles TED, hyperactivité, TDAH et autisme. Même parmi les médicaments, la Rilatine (le méthylphénidate) reste au bas de l'échelle!!!

 

Une étude chez 4127 parents cite 29% d'amélioration, 26% sans effets et 45% d'aggravation des troubles de leur enfant pour la Rilatine.  Sur la cinquantaine de médicaments évalués, seuls les phénobarbituriques font pire (mais ceux-ci sont actuellement rarement prescrits).  

 

En tête de liste, le Diflucan 57% d'amélioration, 38% sans effet et 5% aggravation.

Le Diflucan est un médicament qui soigne les candidoses intestinales!

 

www.autism.com/treatable/form34qr.htm  pour le tableau d'évaluation des parents des traitements médicamenteux et non-médicamenteux

 

TDAH, un faux diagnostic pour un faux traitement: du sur mesure pour la Rilatine

 

Le professeur Peter Breggin est psychiatre en exercice, directeur de l’International Center for the Study of Psychiatry and Psychology (ICSPP – Centre international pour l’étude de la psychiatrie et de la psychologie). Cet expert mondial a déclaré à ce sujet devant le Congrès américain, en septembre 2000 : « Il est important de comprendre que le diagnostic de TDAH a été développé spécifiquement dans le but de justifier l'utilisation des drogues visant à modifier le comportement des enfants en classe. […]De plus, alors que certains comportements sont inhibés pour une durée de quelques semaines, il n'existe aucune preuve tangible de l'amélioration du comportement scolaire, social ou psychologique. Au contraire, les preuves existent démontrant une altération des fonctions cognitives, un retrait social et l'existence d'un état dépressif.»[Témoignage du Dr. Breggin devant le Sous-comité de surveillance et d’enquêtes, Comité sur l’éducation et la main-d’oeuvre, Congrès des Etats-Unis d’Amérique, 29 septembre 2000.]

 

psychotrope.canalblog.com/archives/ritaline/index.html  Aide ou trahison, un site sur la supercherie de la Rilatine.  Les décès cachés, les faux diagnostics, les témoignages des victimes etc.:

www.ccdhmtl.org/TDAH_Parent_sous_pression_enfants_drogues.html 

www.breggin.com site américain sur les dérives de la pharmacopsychiatrie 

 

Ainsi l'APA, assocation de psychiatrie américaine, ainsi que la fondation pour les enfants et adultes souffrant de TDAH ....sont financées directement par la société Novartis.

 

Quelques parents courageux entreprennent des poursuites judiciaires pour dénoncer cette gigantesque arnaque: www.allbusiness.com/legal/3586783-1.html 

 

Troubles de comportement, hyperactivité, autisme : les vrais problèmes médicaux et les meilleurs traitements

 

Aujourd'hui plus d'un millier d'enfants 'autistes', donc incurables selon la psychiatrie, ont récupéré une vie normale et perdu leur étiquette/diagnostic.  Encore bien plus d'enfants hyperactifs ou TDAH ont également retrouvé une vie harmonieuse grâce à une approche dite biomédicale, principalement nutritionniste.  Cette approche consiste à identifier tous les problèmes de santé de l'enfant et à y remédier.  Tout le contraire de la filière Rilatine qui formule des suppositions médicales à partir d'un comportement.  En effet il n'existe pas de test permettant d'identifier un problème médical qui puisse être soigné par la Rilatine.  Il n'y en aura jamais car de toutes façons la Rilatine ne soigne rien, elle masque le symptôme.  

 

La quasi totalité des troubles du développement des enfants est due à un problème de métabolisme lié à une intoxication multiple: pollution air(le maximum partout en Belgique), eau et sol, vaccins, abus d'antibiotiques, produits toxiques dans la maison, pollution éléctromagnétique (antennes, GSM, DECT, microondes) qui affaiblit aussi la qualité de l'air et stimule certains pathogènes et surtout la très faible qualité de la nourriture (pesticides, colorants, conservateurs, phosphates, OGM, antibiotiques) qui est irradiée et est extrêmement pauvre en nutriments.  Aujourd'hui on nait avec plus de quarante substances toxiques dans le corps (de l'aluminium, du mercure, du Teflon, des phosphates etc.).  Il y a aussi les toxiques dans la maison, les détergents, les plastiques, les peintures, les composants cancérigènes dans les produits de beauté et ceux qu'il y a dans les vêtements et les jouets (plasticine, plastique, métaux).  Enfin l'appauvrissement de l'air en ions et l'augmentation des UV qui ont des effets sur le système immunitaire. A cela il faut encore ajouter les dizaines d'heures d'abrutissement télévisuel, de publicité, de bruit, de GSM, de Gameboy et de microondes.

 

L'enfant qui réussit à rester calme et concentré malgré tout cela est tout simplement un miracle d'adaptation.

 

Si le médicament le plus efficace pour traiter les troubles de comportement (voir plus haut) est le Diflucan c'est parce la quasi totalité des enfants en question souffrent de candidose chronique, d'intolérances alimentaires et d'intoxication.  Un régime sans lait, sans gluten, sans soja  (si vraiment pas possible des enzymes Trienza) et très pauvre en sucre et la supplémentation en acides gras et vitamines rétablira sans doute la moitié des enfants hyperactifs ou TDAH. 



Pour les autres il y a un traitement bien plus complexe selon l'approche DAN Defeat Autism Now. Il faudra peut-être éliminer les métaux comme le mercure, le plomb ou l'aluminium ou traiter des pathogènes type streptocoques, clostridia, voire la maladie de Lyme ou d'autres affections virales.  Toutefois ce traitement fait ses preuves (y compris chez l'auteur de ce message), et parfois avec des cas très lourds dits 'incurables' (syndrome de Kanner par exemple).  D'autres alternatives comme l'homéopathie (par ex. séquentielle pour les suites de vaccins) et l'ostéopathie complètent très bien cette approche.  De même, un questionnement sur le vécu émotionnel de l'enfant et de ses proches apportera une aide précieuse.

 

Pour en savoir plus sur l'approche biomédicale consultez le portail très complet:

www.autism.com site de l'Autism Research Institute, Approche Defeat Autism Now, certaines pages en français: www.filariane.org est le site d'un médecin français suivant cette approche.

 

Si des cas 'incurables' sont en rémission cela veut dire qu'on a traité les troubles qui étaient à l'origine du problème.  Cela veut aussi dire que des drogues psychiatriques qui masquent les symptômes sans traiter les causes sont absolument inutiles et vous l'aurez compris, nocives.  

 

Enfin pour ceux qui restent vraiment bloqués à l'argument 'dopamine' (sur laquelle agit la Rilatine), il existe plusieurs autres moyens pour la réguler (suppléments nutritionnels, vitamines, acides aminés, homéopathie).

 

IL N'Y A PAS UN SEUL CAS QUI JUSTIFIE LA PRISE DE RILATINE  

 

LES DROGUES COMME LES AMPHETAMINES OU LE METHYLPHENIDATE OU TOUT AUTRE DERIVE (LP, Attenta, Metadate, Methylin, Penid et Rubifen) DEVRAIENT TOUT SIMPLEMENT DISPARAÎTRE, CAR ELLES SONT DANGEREUSES ET INEFFICACES.

 

CHAQUE PRESCRIPTION DE RILATINE EST UN ECHEC ET UNE ERREUR MEDICALE

 

Dernier témoignage à vif...

 

forum.doctissimo.fr/medicaments/Neuroleptiques/rilatine-abattu-sujet_287_1.htm  « La ritaline m'a abattu »...

 

Commentaire d’IC : Pendant qu’on démolit des enfants avec ces produits toxiques en prétendant les aider, on ne s’occupe sûrement pas d’une des grandes causes de ces prescriptions accrues de Rilatine que sont les vaccinations qui ont un impact particulièrement délétère sur le système nerveux des enfants. Masquer les vraies causes en ne s’occupant que des conséquences très rentables pour la minorité des pharmas, voilà à quoi semble pouvoir entre autres contribuer ce pacte scandaleux récemment conclu entre la Ministre Onkelinx et le secteur pharmaceutique, un pacte en vertu duquel les autorités collaboreront avec les pharmas pour faire en sorte que les patients suivent de façon plus rigoureuse et consciencieuse leurs traitements souvent pourvoyeurs de lourds effets secondaires mal tolérés que les patients ne pensent pas toujours à connecter avec les médicaments consommés !

 

Mme Onkelinx a, de par le passé, déploré la trop grande consommation de Rilatine dans notre pays… alors ferait-elle sans doute bien mieux d’OSER VOIR CLAIR sur les dangers avérés de l’aluminium vaccinal (notamment pour le système nerveux des enfants) dont elle semble si peu se soucier, suite aux conseils très avisés de ses experts attitrés. Plus qu'étonnant en tout cas qu'elle ait critiqué la distribution de Rilatine tous azimuts en s'indignant qu'on n'évoque pas assez ses effets secondaires alors que la politique actuelle qu'elle mène (ainsi que sa collègue Laanan) consiste à banaliser les vaccins pour en faire tous azimuts, tout au long de la vie et sans jamais évoquer leurs graves effets secondaires possibles! Dans le même temps, toutes les alternatives aux vaccins et aux médications comme la Rilatine restent savamment occultées parce que la défense du pluralisme thérapeutique semble loin des priorités de Mme Onkelinx et de sa "cellule stratégique"...

QUELLE INCONSEQUENCE !!!

 

MERCI A LA MAMAN QUI NOUS A COMMUNIQUE CETTE SYNTHESE!

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 20:38

Jdm-logo.jpg

Voici ce qu'a publié le Journal du Médecin le 19 octobre 2012 au sujet d'Initiative Citoyenne notamment... un contenu qui a beaucoup fait rire Initiative Citoyenne ainsi que plusieurs médecins sympathisants à qui ce genre de contenu surréaliste n'a pas échappé...

 

Voici le droit de réponse qui a été envoyé ce 25 octobre au JdM par Initiative Citoyenne.

 

Et voici ci-dessous, quelques propos additionnels qui complètent fort bien notre droit de réponse mais que nous n'avons pas inclus dans le texte lui-même, de façon à ne pas dépasser les 1000 caractères, une des exigences mentionnées dans la loi du 23 juin 1961 sur le droit de réponse:

 

Le Journal du Médecin et le lobby du vaccin s’accrochent à un combat d’arrière-garde qui nous semble anti-démocratique et qui consiste à faire croire à tort à la fausse unanimité médicale derrière la vaccination, tout en évitant la possibilité d’un débat équilibré qui aborderait les questions qui fâchent.  Initiative Citoyenne avait d’ailleurs à ce propos envoyé par mail plusieurs questions pertinentes à des prétendus experts infectiologues et microbiologistes comme le Dr Kinda Schepers et le Pr Youri Glupzynski (cfr notre site), mais ceux-ci n’ont hélas jamais été capables de répondre. Ces questions portaient notamment sur la sous-notification avérée et officiellement admise des effets secondaires graves de vaccins (seuls 1 à 10% étant comptabilisés selon la Revue du Praticien de Novembre 2011), et sur tous les passe-droits dont bénéficient les vaccins en termes d’évaluation (pas d’évaluation contre vrai placebo ni d’analyse pharmacocinétique, aucune étude à long terme pas plus qu’une évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène). Avant de traiter les gens d’illuminés, les gens du JdM devraint d'abord tâcher de démontrer, dans ces conditions, toute la scientificité des personnes qu'ils considèrent comme expertes !

 

Notre droit de réponse, tel que publié dans le JDM du 31 octobre 2012:

 

Droit de réponse IC, JDM 31 oct. 2012 

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 20:36

Medscape (10/23, Keller) rapporte : L’essai d’un vaccin expérimental contre le staphylocoque doré pour prévenir les infections bactériennes et l’infection des plaies après chirurgie a donné des résultats décevants, en dépit du fait que le vaccin a suscité une forte réponse immunitaire au cours des premiers essais cliniques. Les résultats présentés au cours  de la dernière session du colloque ID Week de 2012 ont montré que chez 4.005 patients (avec contrôle placebo), le vaccin de Merck V710 «  a généré des anticorps phagocytaires de l’opsonisation, lorsqu’il a été administré avant la chirurgie cardio-thoracique, mais il n’a pas réduit l’incidence du staphylocoque doré dans la circulation sanguine ou les graves infections des plaies sternales après chirurgie. Pire encore, la défaillance multiviscérale et la mortalité se sont avérées plus élevées parmi le groupe des patients qui avaient reçu le vaccin V710 que parmi ceux qui avaient reçu un placebo.

 

Tiens, on croit rêver… un vrai placebo pour une fois ?!

Ne voit-on pas plus clair ainsi ?!

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25 octobre 2012 4 25 /10 /octobre /2012 12:54

Le Journal du Médecin n°2271 du 19 octobre dernier qualifiait de "véritable désastre en termes de santé publique" le simple relai médiatique des positions d'Initiative Citoyenne en matière de vaccination, déplorant même à tort que RTL aurait donné le même temps de parole au Pr Glupzynski qu'à Initiative Citoyenne, ce qui bien sûr est faux puisque les deux médecins défendant le vaccin envers et contre tout ont eu droit à plus du double du temps d'antenne que celui concédé à Initiative Citoyenne.

 

Mais intéressons-nous à présent à ce Pr Youri Glupzyncki de l'UCL (Mont-Godinne), présenté par le Journal du Médecin comme le défenseur des séniors et des personnes fragilisées face aux dangereux "illuminés" d'Initiative Citoyenne (sic!)...

 

Pr-Youri-Glupczynski.JPG

 

Dès le lendemain de ce reportage de RTL sur la vaccination antigrippale, Initiative Citoyenne envoyait un mail de questions à ce Professeur en mettant bien sûr en copie le journaliste concerné, Christophe Clément.

 

Bien que ces questions étaient absolument logiques et fondamentales, il s'avère que ce Pr Glupzynski n'a pas daigné à ce jour répondre à Initiative Citoyenne, un indice extrêmement fort selon nous, de son incapacité à répondre à ce genre de questions gênantes, exactement comme d'autres confrères/consoeurs avant-lui, prétendûment experts eux aussi, n'ont pas été capables de répondre à ces mêmes interrogations sine qua non !

 

Cela n'est donc plus suffisant que des journaux médicaux ou la presse grand public auto-proclament telle ou telle blouse blanche "experte" au seul motif d'un diplôme en infectiologie, encore faut-il que ces gens démontrent dans les faits qu'ils ne recommandent pas à l'aveugle aux patients des produits dont ils ne maîtrisent pas suffisamment tous les tenants et aboutissants. Sinon, cela reviendrait tout simplement à conseiller au public, sur base de seuls arguments d'autorité, d'acheter un chat dans un sac.... ou d'accepter une vaccination sans les garanties minimum de scientificité qui devraient aller de pair!

 

Les conseilleurs ne sont donc définitivement pas les payeurs...

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24 octobre 2012 3 24 /10 /octobre /2012 22:36

labo_roche.jpg

24/ 10/2012. Par Delphine Chayet & Damien Mascret. Le Figaro.

 

Le laboratoire pharmaceutique suisse n'aurait pas analysé plusieurs milliers de rapports concernant les effets secondaires de ses médicaments. Il s'expose à une amende record à l'issue de la procédure.

 

Pour ne pas avoir traité des données de pharmacovigilance, le laboratoire suisse Roche risque une amende gigantesque: jusqu'à 5 % de son chiffre d'affaires européen. 

 

C'est la première fois que l'Agence européenne du médicament (Emea) lance une procédure d'infraction contre un laboratoire depuis que la disposition légale a été mise en place en 2007. Il est vrai que la faute, si elle est avérée à l'issue d'une procédure qui devrait durer jusqu'en avril 2014, est sans précédent.

 

Elle a été découverte par l'Agence du médicament anglaise lors d'une inspection de routine sur le site du géant suisse à Welwyn (Royaume-Uni). Les inspecteurs ont mis en évidence une défaillance de la pharmacovigilance (surveillance des médicaments) que le laboratoire est censé exercer sur ses produits.

 

19 médicaments concernés

 

Roche commercialise notamment des médicaments majeurs en cancérologie tels que l'Avastin, l'Herceptin, le Tarceva et le Xeloda, mais aussi des antiviraux comme le Tamiflu (contre la grippe). 

 

Au total, 19 médicaments du laboratoire seraient concernés. Les inspecteurs anglais ont découvert que 80.000 rapports issus d'un programme de surveillance des patients avaient été négligés par le laboratoire.

 

Dans ces rapports étaient signalés 15.161 décès, sans qu'il soit toutefois possible d'affirmer un lien de cause à effet avec les 19 médicaments en question. Pour l'instant, les différentes agences nationales n'ont pas modifié le rapport bénéfice/risque des médicaments de Roche. Le laboratoire suisse assure coopérer pleinement avec les autorités de régulation.

 

Toujours le même discours couru d’avance : « le laboratoire assure coopérer pleinement avec les autorités ». Ben voyons… bien sûr qu’ils coopèrent, c’est justement parce que les deux coopèrent trop que le patient en sort perdant !!

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