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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 21:06

L’allaitement peut transmettre de dangereux virus vaccinaux aux nourrissons

 

Ethan A. Huff, 6 juin 2012

 

Maman-enfant-Nat.-newss.jpg

Les mamans qui ont reçu des vaccins à virus vivants pourraient transmettre ces virus à leurs enfants par l’allaitement. Une nouvelle étude publiée par le Journal de l’Association Médicale Canadienne (CMAJ) met en évidence le cas particulier d’un jeune garçon qui a été infecté par une souche de vaccin contre la fièvre jaune par le lait de sa mère. Il s’agit du deuxième cas connu où le lait maternel semble être responsable de la transmission d’une maladie qui trouverait son origine dans la vaccination.

 

Le Dr Susan Kuhn et collègues ont examiné le cas d’un petit garçon canadien de cinq semaines qui était en parfaite santé et qui brusquement a fait des crises d’épilepsie, une congestion nasale ; il a présenté des paramètres anormaux du liquide cérébro-spinal, une numération anormale des plaquettes et des leucocytes peu de temps après que sa mère ait été vaccinée contre la fièvre jaune. Le petit garçon et sa mère s’étaient rendus au Venezuela, et avant leur départ, la maman s’était fait vacciner contre la fièvre jaune.

 

Les investigations ont montré qu’il a finalement été précisé que le petit garçon avait vraisemblablement fait une méningo-encéphalite, une inflammation du cerveau qui ressemble à la fois à la méningite et à l’encéphalite; cette maladie est accompagnée de fortes fièvres. Sur base des circonstances, ainsi que de l’évolution de la maladie, il fut déterminé que la seule cause logique de cette infection ne pouvait être que le lait infecté de la maman vaccinée.

 

Les auteurs ont précisé  que « l’aspect clinique, la relation temporelle avec la vaccination de la maman, l’absence d’autres agents pathogènes, ainsi que la preuve de ceci, tant dans le sérum que dans le liquide cérébro-spinal de l’enfant, suggèrent fortement une infection aiguë du système nerveux central par la souche vaccinale de la fièvre jaune. Etant donné l’absence de toute histoire de vaccination de l’enfant, la seule explication possible est que cet enfant ait été infecté via l’allaitement, après que la maman ait été vaccinée. »

 

L'intégralité de cette publication scientifique peut être lue ICI.

 

Un cas semblable s’est produit il y a quelques années au Brésil, où un garçonnet d’environ cinq ans avait fait des convulsions qui avaient nécessité une hospitalisation. Comme le petit canadien de cinq semaines, le garçonnet Brésilien avait fait une méningo-encéphalite alors que sa mère qui avait reçu le vaccin contre la fièvre jaune lui avait transmis les éléments du virus par le lait. (Ce qui fait que le Ministère brésilien de la Santé recommande à présent de différer la vaccination des femmes allaitantes jusqu’à ce que l’enfant ait au moins atteint l’âge de 6 mois)

    

La fièvre jaune n’est pas le seul virus vivant qui ait pu être transmis à un enfant par l’allaitement. La Food And Drug Administration (FDA) reconnaît que le virus du vaccin contre la rubéole peut parfois être transmis de la mère à l’enfant par l’allaitement après que la mère ait été vaccinée contre la rubéole ou avec un vaccin combiné comme le ROR.

 

La morale de cette histoire est qu’il y a intérêt à faire bien attention aux vaccins que vous décidez de vous faire injecter. Serait-il prudent de choisir de se faire vacciner alors que l’allaitement est en cours ? Beaucoup de vaccins contiennent des virus vivants qui peuvent être transmis à l’enfant par le lait maternel et qui pourraient provoquer des dommages potentiellement irréversibles.

 

Source: Naturalnews 

 

 

Qu’en est-il des conseils donnés aux femmes enceintes en Belgique ?

 

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6 juin 2012 3 06 /06 /juin /2012 14:32

Par Christina England, 13 avril 2012. Publié sur Vactruth.

 

Enfant paralysée (1)

 

La petite fille a développé une paralysie après ses injections de vaccins.

 

** Les noms ont été modifiés pour protéger l’identité de cette famille. Toutes les citations sont les mots exacts de la maman et il faut avoir à l’esprit que l’anglais n’est pas la langue d’origine de la mère.

 

Emma est une petite fille de six ans qui souffre de sévères dommages vaccinaux, tels que plusieurs experts réputés ont pu le vérifier. Emma est totalement paralysée et incapable de bouger la moindre partie de son corps. Elle ne peut pas parler et respire grâce à l’aide d’un mince tube inséré dans sa trachée (trachéotomie).

 

Au lieu de l’aide et de l’indemnisation auxquelles la famille devrait recevoir, Emma a été volée à sa mère par l’Etat et passe ses journées dans ce que sa mère décrit comme « une terrible institution pour handicapés ». Au lieu du soutien dont la maman d’Emma a besoin pour venir à bout de ce qui est arrivé à sa fille, elle a été accusée de chercher des réponses avec trop d’insistance pour trouver l'aide de professionnels qu’elle pensait les plus utiles pour sa fille.

 

Mme X, la mère d’Emma, est dévastée et déclare qu’elle n’a rien fait de mal. Elle m’a raconté :

 

« J’ai un casier judiciaire vierge, je n’ai pas d’antécédents d’usage de drogues ou de quelque autre substance, jamais aucune cure de désintoxication, rien ! Tout ce qu’on me reproche c’est de parfois agir avec la peur que les jours de ma fille soient comptés. 

 

Je veux qu’elle sorte de là TOUT DE SUITE !

 

Quand j’ai été lui rendre visite hier, sa peau puait, l’orifice de trachéotomie était sale et sanguinolent, elle se trouvait dans une petite chambre surchauffée sans ventilateur ou air conditionné, on ne lui permet pas de prendre un bain, de sortir en promenade, le personnel ne sait pas ce qu’est un insufflateur/exsufflateur (un appareil qui sert à aspirer les sécrétions respiratoires des gens qui ne savent pas tousser de façon autonome, de façon à éviter qu'ils puissent s'étrangler), un dispositif pourtant vital pour ma fille. Ne pas savoir comment fonctionne ce genre de machine est inacceptable parce que s'il arrive quelque chose et qu'ils ne savent pas comment l'utiliser, Emma pourrait mourir! Elle présente en outre une sale coupure au niveau du coup, que les infirmières ont dû lui faire par négligence, en chipotant de façon imprudente à son orifice de trachéotomie.

 

La manière dont ils ont kidnappé ma fille qu'ils m’empêchent à présent de voir relève d’une situation cauchemardesque. »

 

Hélas, Emma n’est qu’un de ces 10 000 enfants, en Grande-Bretagne, qui ont été enlevés à leurs parents pour être « placés », depuis avril 2011. Aujourd’hui, le Daily Mail (1) a rapporté que beaucoup de ces enfants faisaient partie de statistiques sans cesse croissantes qui effraient les professionnels et selon lesquelles un grand nombre d’enfants vulnérables sont enlevés inutilement à leurs parents pour aller languir dans des systèmes de soins qui ne leur conviennent pas.

 

Comment est-il possible qu’un enfant gravement endommagé par les vaccins puisse figurer dans ces statistiques épouvantables ?

 

La façon dont tout s'est déroulé

 

Enfant-paralysee--2--copie-1.jpg

 

Emma était une enfant heureuse

 

Emma  n’a pas commencé sa vie comme une handicapée ; elle était tout à fait normale ; c’était une petite fille audacieuse qui aimait  trottiner, qui adorait ses jouets. Mais bien qu’étant née tout à fait normale, elle était souvent malade ; son système immunitaire était affaibli ; elle faisait des infections à répétition qui nécessitaient à la fin la prise d’antibiotiques pendant des semaines.

 

Madame X pense que les problèmes d’Emma ont vraiment commencé avec ses premières vaccinations de routine. Dans les heures qui suivaient les vaccinations, elle s’affaiblissait, faisait de la fièvre et refusait de manger. Inquiète, Madame X transporta Emma à l’hôpital le plus proche. Les médecins expliquèrent qu’Emma avait attrapé un virus et se sentirait bientôt mieux.

 

N’établissant pas encore de lien avec les vaccinations et ignorant fort heureusement que cette situation n’était que le début de tous les déboires de sa fille, Madame X ramena son bébé à la maison.

 

Au fil des mois, Madame X  remarqua que c’était après chaque vaccination qu’Emma devenait malade, bien qu’elle était toujours convaincue que les vaccins étaient ce qu’il y avait de mieux pour son enfant. Sur les conseils de son médecin, elle continua à faire vacciner sa fille. Madame X avoue :

 

"Il ne m’est jamais venu à l’esprit que les problèmes de ma fille pouvaient avoir été provoqués par les vaccinations. Dans mon entourage, personne ne m’avait jamais dit que les vaccins pouvaient avoir des effets secondaires."

 

Les véritables problèmes d’Emma n’ont vraiment commencé à devenir apparents qu’après sa vaccination ROR à 13 mois. Jusqu’alors, Emma s’était développée normalement, elle avait commencé à marcher, à parler, elle était bien vivante.

 

Après avoir reçu son vaccin ROR, Emma est devenue très malade ; elle avait fait une très mauvaise réaction au vaccin. C’est alors que Madame X commença à établir des liens et commença à réaliser que c’étaient bien les vaccinations qui avaient causé les problèmes de sa fille. Malheureusement pour la petite Emma, c’était déjà trop tard ; le dommage était fait.

 

A 15 mois, Emma commença à perdre l’équilibre. Elle tombait régulièrement sur sa figure sans pouvoir se protéger de ses bras et de ses mains. Très inquiète, Madame X conduisit Emma chez un neurologue. Tous les tests standards réalisés montraient que la situation était normale.

 

Petit à petit, Emma perdit le contrôle de ses bras comme du haut du torse et en juin 2008, alors qu’elle avait à peine deux ans, elle ne parvenait plus à respirer. C’est alors qu’elle fut dirigée vers les soins intensifs pédiatriques.

 

Madame X  explique :

 

« Peu de temps après, le neurologue me fit comprendre qu’ Emma était malade, mais qu’il ne possédait pas de preuves par rapport à un diagnostic précis. Aucun traitement ne fut donc entrepris. J’étais dévastée, j’avais peur que ma petite ne meure. J’étais envahie par le désespoir et la tristesse. J’ai ainsi passé plusieurs semaines comme hébétée. Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais après deux mois, quelque chose m’a dit intérieurement qu’Emma n’allait pas mourir et que je ne pouvais pas continuer ainsi sans savoir ce qui avait rendu ma fille aussi malade. J’ai senti que je devais me reprendre et continuer la lutte. Il fallait que je prenne conseil ailleurs. J’ai alors conduit Emma chez les plus grands spécialistes de Grande- Bretagne. Ils ont fait des tas de tests, mais toujours aucune réponse !! »  

 

Comme Madame X commençait à réaliser que les vaccinations étaient vraiment le problème, son instinct maternel lui souffla de ne plus autoriser la moindre vaccination. Cependant, comme nous le savons tous, les médecins savent se montrer extrêmement persuasifs, surtout quand on est seule, paniquée et qu’on a besoin de faire confiance à quelqu’un pour sauver la vie de son enfant. C’est alors qu’il est très facile de croire ce que ces gens vous racontent.

C’est ainsi qu’en dépit de ce qu’avait pensé et décidé Madame X, le vaccin anti- grippal fut malgré tout administré à Emma dont l’état se détériora immédiatement.

 

Madame X raconte ce qui s’est passé dans la suite :

 

« Le jour suivant, ses yeux n’arrêtaient pas de bouger de gauche à droite  et, comme elle perdait du sang sans raison apparente, elle dut subir une transfusion de 500 ml. Elle continua à être si malade que j’ai cru qu’elle allait mourir. C’est alors que j’ai eu l’impression d’une voix et d’une guidance invisible qui voulaient me faire comprendre que l’état de santé de ma fille était vraisemblablement dû aux vaccins. J’ai commencé alors à réfléchir très sérieusement à la chose, et tout est finalement devenu très clair : les symptômes que présentaient ma fille étaient bel et bien dus aux effets secondaires des vaccinations. ! »

 

Quatre experts reconnaissent que l’état de santé d’Emma a été provoqué par les vaccinations

 

Craignant le pire pour sa fille, Madame X entreprit tout ce qui était en son pouvoir pour venir en aide à sa fille. Elle commença à voyager ; elle consultait médecin après médecin pour pouvoir obtenir un avis, de l’aide et un traitement. Les médecins qu’elle consulta lui expliquèrent que l’état de santé d’Emma avait été provoqué par les vaccinations. (VID, Vaccine Induced disease ce qui veut dire en français Maladie induite par les vaccins)

 

Madame X  fit alors l’impossible pour obtenir le rapport de quatre des meilleurs experts mondiaux. Ces quatre experts déclarèrent que la santé d’Emma s’était détériorée à la suite des vaccinations.

 

Ci-dessous quelques extraits de ces rapports :

 

Expert n°1

 

23.01.2012

 

Mon diagnostic, pour la maladie d'Emma, née le ___________-2006 repose sur des constatations cliniques mais qui sont corroborées par certaines investigations au sujet de sa polyneuropathie sensitivo-motrice impliquant les nerfs du tronc cérébral et les nerfs périphériques. Ce diagnostic a été accepté par d'autres avant que je ne me penche sur ce cas et Emma avait reçu des traitements substantiels à base d'immunoglobulines et de corticoïdes. Selon moi, il s'agit le plus probablement d'une réponse auto-immune suite à la vaccination. Un diagnostic suggestif d'une certaine forme d'atrophie musculaire n'a jamais été confirmé et fut écarté par la suite.

 

Expert n°2

 

31.03.2010

 

Aujourd’hui la patiente est complètement paralysée. Elle ne peut plus contrôler  que ses yeux et ses paupières. Elle a besoin d’une aide respiratoire 24h sur 24. La patiente a été examinée par différents experts et son état clinique ne correspond à aucun syndrome neurologique connu. Cependant, l’anamnèse minutieuse et le fait que ses symptômes se sont produits après la vaccination suggèrent une haute probabilité que l’état de santé actuel de la patiente puisse être la conséquence d’un syndrome induit par la vaccination (VIDS, Vaccination Induced Damage Syndrome)

 

Faute d’une meilleure explication du diagnostic de ma fille, il me semble que l’explication VIDS est très vraisemblablement la cause de son état de santé.

 

Expert N°3

 

12.12.2011.

 

Je joins une copie de mon rapport sur le cas d’Emma__________.Elle est gravement atteinte par ce qui est le plus vraisemblablement le résultat d’une neuropathie sensitivo-motrice ayant fait suite à l’immunisation. Les membres et le corps lui-même sont dans une grande faiblesse ; les nerfs du tronc cérébral sont aussi affectés. L’alimentation gastrique, et l’assistance respiratoire nécessitées par l’état de l’enfant ne sont plus suffisants. Il est nécessaire de pratiquer une trachéotomie suite à l’oedème visible dans la région laryngée.

 

Expert N°4

 

28.02.2012.

 

Emma________. J’ai été satisfait de constater que les médecins consultés ont tous été d’accord pour déclarer que la maladie autoimmune d’Emma était la résultante des vaccinations infantiles de routine, le vaccin ROR ayant constitué l’élément final de son handicap.

 

En dépit de toutes ces preuves et alors qu’Emma était désespérément malade et handicapée, les autorités décidèrent que la santé d’Emma n’avait pas du tout été altérée par les vaccinations. Dans leur rapport, ils écrivent qu’Emma souffre  d’atrophie musculaire spinale, maladie qui avait déjà été exclue, comme indiqué dans le premier rapport des experts.

 

Dans le but de calmer l’un des experts repris ci-dessus qui avaient fait trop de bruit au sujet des problèmes de santé d’Emma, les autorités le menacèrent de retirer sa licence s’il ne se tenait pas tranquille. Malheureusement ce médecin courageux et déjà âgé, mourut d’une attaque cardiaque peu de temps après. Cette crise cardiaque fatale fut-elle le résultat de la manière dont ce médecin avait été traité ? Cette question ne trouvera malheureusement jamais de réponse.

   

Enfant paralysée (3) 

Emma paralysée après avoir été vaccinée

 

Les derniers rapports sur la santé d’Emma disent qu’elle souffre d’une anomalie génétique qui l’empêche d’assimiler la vitamine B2, ainsi que d’autres vitamines. Elle reçut donc un traitement comprenant cette vitamine B2.

 

Les autorités qui avaient reconnu que Madame X était une femme charmante qui comprenait bien les problèmes de sa fille, qu’elle faisait tout son possible pour la soigner, déclarèrent cependant qu’elle ne pourrait pas s’occuper à plein temps d’un cas comme celui de sa fille qui engendrerait un stress trop important. Ces autorités finirent par faire entendre que Madame X devait avoir des problèmes de santé mentale.

 

Ce genre de situation se passe régulièrement dans la majorité des cas où une complication vaccinale s’est produite. Je n’ai pas encore rencontré de famille où les choses ne se sont pas produites de cette façon.

 

Madame X, comme beaucoup d’autres parents, a finalement dû se soumettre à des heures de tests et d’évaluations psychiatriques.

 

Les services sociaux ont alors déclaré que Madame X était négligente vis-à-vis de sa fille, qu’elle mettait en fait la vie de sa fille en danger en courant d’un expert à l’autre pour obtenir des évaluations, des réponses et des traitements qui n’existaient pas en Grande Bretagne.

 

A ces accusations, Madame X rétorqua que le traitement qu’elle a finalement pu trouver à l’étranger a, en fait, bel et bien sauvé la vie de sa fille et que tout ce dont elle est coupable est d’avoir tenté l’impossible pour sauver son enfant qui était quasi mourante.

 

A la suite des accusations dont elle avait fait l’objet, Madame X reçut l’interdiction de photographier son enfant, et n’était autorisée à lui rendre visite que tous les 7 à 10 jours, sous stricte surveillance.

 

Charles Pragnell qui est un consultant indépendant en gestion, défenseur des familles, expert en protection de l’enfance, a déjà pu apporter plusieurs éléments de preuve dans des procès en Angleterre, Ecosse et Nouvelle Zélande.

 

Dans son article « Harcèlements obligatoires des enfants et des familles » (2), il explique :

 

« La recherche montre que plusieurs centaines de milliers d’enfants, ainsi que leurs familles sont placés, sans raisons valables, sous la surveillance d’organismes de Protection de l’Enfance. Ces personnes qui sont ainsi soumises à des enquêtes inquiétantes, se voient évidemment stigmatisées dans leur entourage et finissent par se retrouver complètement isolées. Beaucoup de familles signalent que ces enquêtes inutiles ont dévasté et même détruit leurs vies. D’autres recherches ont aussi montré que les enfants ont souffert de graves et longs troubles émotionnels à la suite de ces types d’enquêtes. »

 

Dans un autre article (3), il est fait état du nombre important d’enfants qui ont souffert de graves troubles à la suite des effets secondaires des vaccinations. Il pense que de nombreux parents sont faussement accusés d’abus d’enfants après une vaccination. Il poursuit en disant que très souvent ces parents sont montrés du doigt par les agences de protection de l’enfance pour négligence ou excès d’anxiété. Il déclare :

 

« Ces parents sont accusés d’être hyper anxieux, et s’il leur arrive de demander plusieurs avis médicaux, ils sont également épinglés. Au Royaume Uni, ces parents sont convoqués à des conférences organisées par la Protection de l’Enfance après avoir été soumis à des enquêtes extrêmement invasives. Ils ne sont pas autorisés à être représentés bien qu’ils soient accusés d’infraction pénale pour avoir négligé leur enfant. Ils sont ensuite sommairement déclarés coupables en fonction des opinions et des suppositions des professionnels présents dont beaucoup ne les ont jamais rencontrés.»

 

Ceci est exactement ce dont Madame X a été accusée. L’opinion de Monsieur Pragnell correspond parfaitement à celle de Lisa Blakemore-Brown, psychologue auteur et expert en matière d’autisme. Dans un article « L’arnaque du vaccin contre la rougeole » paru dans le journal « The Independent Newspaper », elle déclare :

 

« Le professeur Elisabeth Miller, chef du département « Immunisation » au Royaume- Unii a travaillé en étroite collaboration avec Bob Chen au CDC quand les premières études sur le Thimérosal furent « arrangées ». Cette personne siégeait dans le « Committee for Vaccination and Immunisation/Adverse Reactions Sub Committee » avec le Dr David Salisbury et le professeur Roy Meadow quand le vaccin ROR fut introduit.

 

Dans le cas de Sally Clark, le professeur Meadow l’accusa de tuer ses deux enfants qui venaient juste d’être vaccinés ; l’un de ses enfants avait juste été vacciné 5 heures auparavant. A ma connaissance, en tant que psychologue spécialisé dans les cas d’autisme depuis 1993 et travaillant en tant que psychologue spécialisée dans ces questions depuis 1984, je puis affirmer que beaucoup de parents dont les enfants ont mal réagi à un vaccin ont été faussement accusés du Syndrome de Munchhausen par procuration (MSBP). Des effets secondaires connus de vaccins ont été transformés en abus d’enfants. On a enseigné aux services à voir les choses de cette manière et à agir en conséquence. Certains parents se sont vus arracher leurs enfants, d’autres ont été mis en prison et Sally Clark a perdu et ses enfants et la vie. »

 

Il semble que quand une complication vaccinale se produit, le gouvernement et la profession médicale font l'impossible pour étouffer l'affaire et protéger les programmes de vaccination. N’est-il pas plus facile de rejeter la faute sur les parents ? Quand un enfant est victime de complications vaccinales, les parents sont automatiquement accusés de négligence ou d’abus d’enfants, ce qui détourne l’attention des vaccinations en la dirigeant directement sur les parents.

 

Au Royaume Uni, c’est ce qu’on appelle sans rire la  « Protection de l’Enfance» . Personellement, je parlerais plutôt de protection des programmes vaccinaux et des soldes bancaires.

 

Références

 

1. Laura Clark Daily Mail ‘10,000 children taken into care: Numbers have doubled in the past four years’ Read more: http://www.dailymail.co.uk/news/article-2128465/10-000-children-taken-care-Numbers-doubled-past-years.html#ixzz1rpeFpIM9 

 

2. Charles Pragnell – Mandatory Persecution of Children and Families http://www.fassit.co.uk/persecution_of_children.htm

 

3. Charles Pragnell – Vaccines and Child Abuse Accusations http://www.fassit.co.uk/vaccines_child_abuse.htm

 

4. Lisa Blakemore-Brown – The Independent Newspaper Measles Vaccine http://www.theoneclickgroup.co.uk/news.php?id=2739#newspost

 

 

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4 juin 2012 1 04 /06 /juin /2012 14:11

Peut-on encore faire aveuglément confiance aux experts, aux autorités publiques ou même à son médecin traitant dès lors que les liens d'intérêts puis les inévitables conflits qu'ils engendrent, pourrissent tout?

 

Sur base de trois exemples concrets, nous allons montrer qu'il est hélas devenu ultra-risqué de se déresponsabiliser en tant que patient pour s'en remettre innocemment aux seules mains du corps médical et de ses bons conseils, le plus souvent "soufflés" ou inspirés par les "grands experts" d'en haut...

 

Le premier exemple est donné par cet article du Monde du 2 juin dernier qui explique que l'industrie (ici les cigarettiers) a rémunéré plusieurs laboratoires publics (Strasbourg, l'INSERM, Polytechnique,...) ainsi que plusieurs chercheurs en vue. Mais cet article rappelle aussi que le Conseil Supérieur d'Hygiène Publique (CSHP) a autorisé la présence de toute une série de substances chimiques qui rendent accro dans la cigarette alors qu'un des chercheurs dont le labo avait été financé par les cigarettiers figurait parmi les 8 experts du groupe de travail de ce même CSHP. Pour celui qui connaît un peu les règles de la psychologie sociale, ce n'est donc guère difficile de comprendre comment un seul expert en conflits d'intérêts a pu influencer tous les autres en détournant ainsi l'avis public de ses missions premières.

 

Le reste de cet article du Monde reprenait les noms et les réactions de ces experts dont les recherches ont été financées et les carrières boostées par ces industriels du tabac. Parmi eux, le Pr Molimard, fondateur de la Société française de tabacologie dont les aveux devraient vraiment faire réfléchir tous nos dirigeants politiques toujours prêts à se prosterner devant l'OMS, puisqu'il concède allègrement qu'"il y a une infiltration par l'industrie pharmaceutique de tous les organismes de décision, dont l'Organisation mondiale de la Santé."

 

On peut remarquer que ces experts qui ont ainsi été financés par ces grands cigarettiers minimisent encore aujourd'hui ou tentent de "faire amende honorable" ("je ne ferais plus ça aujourd'hui").

 

Cet exemple montre donc que le discours public est hypocrite et que l'addiction des fumeurs à la cigarette est en fait très intéressante en termes de rentrées fiscales. De même, les autorités disent vouloir éviter des maladies infectieuses mais savent aussi toute la plus-value que les vaccins occasionnent en termes d'emplois et d'effets secondaires nombreux qu'ils occasionnent et qui sont donc un des maillons forts de ce système de maladie qui fait vivre tant de travailleurs dans le secteur des soins de santé. Et tout cela continue bien sûr au prétexte du modèle actuellement promu et encouragé partout dans le monde, et notamment par l'Union européenne, d'un indispensable partenariat "public-privé". On voit ce que ça donne, depuis déjà de trop nombreuses années!

 

Le deuxième exemple est celui qui nous est fourni par une page du site france-science.org (le site de la Mission Science & Technologie de l'Ambassade de France aux USA), au sujet d'un expert pédiatre infectiologue français qui est co-découvreur d'un vaccin anti-hépatite B, le Pr Jacques Drucker. Cette page est tout a fait emblématique de ce pernicieux mélange des genres. On y voit un bref exposé du parcours professionnel de ce professeur et en bas de la page, divers logos: celui de l'Ambassade de France, du CNRS, de l'Inserm mais aussi de Sanofi. L'homme en question a été à la fois Directeur de l'Institut Mérieux (celui-là même qui finance la chaire de vaccinologie de l'Université de Genève de Mme Siegrist) et consultant pour l'OMS. En 1992, il est nommé par le Ministre français de la Santé à la tête de l'Institut de Veille Sanitaire (InVs) et il y restera 10 ans, jusqu'en 2002.

 Jacques Drucker

 

En dépit du scandale du vaccin anti-hépatite B et de la mise en examen des laboratoires fabricants pour tromperie aggravée début 2008 et de ses responsabilités promotionnelles à l'époque de cette campagne vaccinale, l'expert en question n'a jamais été inquiété par la justice.

 

Le troisième exemple, est donné par un dessin qui vaut 1000 mots en quelque sorte. Quelle confiance peut-on encore avoir dans nos médecins?

Pour rappel, l'industrie pharmaceutique dépense en moyenne 25 000 euros par an et par médecin, pour influencer leurs prescriptions...

  Transparence info médicale

Mais, à côté de ces liens économiques, qu’en est- il des liens idéologiques? Des liens corporatifs, des liens honorifiques, des liens de prestige, des liens d’influence ?

 

 

La conclusion nous vient du Dr Marcia Angell, ancienne éditrice de la prestigieuse revue médicale New England Journal of Medicine. A la question de départ "Peut-on encore faire confiance?", voici sa réponse:

 

« Il n’est tout simplement plus possible de croire grand-chose  aux publications  de la recherche clinique, de se fier au jugement des médecins, ou aux lignes directrices que donnent les autorités médicales. Ce n’est évidemment pas par plaisir que j’arrive à pareilles conclusions. C’est lentement et à contre cœur que j’y suis arrivée après les vingt années que j’ai passées en tant qu’éditrice du New England Journal of Medicine. »

Dr Marcia Angell, M.D

 

« Au vu de ce contrôle et des conflits d’intérêts qui infiltrent l’industrie, il n’est pas surprenant que les essais de médicaments sponsorisés par l’industrie et publiés dans les journaux médicaux favorisent toujours les sponsors – en grande partie parce que les résultats négatifs ne sont pas publiés, que les résultats positifs sont répétés sous des formes légèrement différentes, et que même les résultats négatifs parviennent à être présentés sous un angle favorable. Un exemple : Une revue de septante-quatre essais cliniques d’antidépresseurs, a montré que trente-sept des trente-huit études positives ont été publiées. Quant aux trente-six études négatives, trente-trois n’ont, soit pas été publiées, soit publiées sous une forme qui a présenté un résultat positif. » 

Dr Marcia Angell, MD

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 21:56

Visionnez ces deux vidéos et comprenez ce qui est en train de se mettre en place dans votre dos, avec les traités européens d'austérité et le MES (mécanisme européen de stabilité). C'est de votre avenir et de celui de toutes les générations futures dont-il s'agit.

 

Interview du député wallon Bernard Wesphael devant le Parlement wallon:

 

  Marie-Rose Cavalier à la 1ère assemblée d'Occupy Charleroi:  

 

Alors, ne vous laissez pas déposséder de vos droits élémentaires à la prospérité et au contrôle de votre propre nation. Informez-vous et agissez à votre échelle. Un vote papier ou électronique peuvent déjà faire la différence.

 

Une Assemblée constituante se tiendra le samedi 23 juin à Bruxelles.

 

Programme et inscription pour mieux comprendre les enjeux financiers: ICI

 

Possibilité de voter par procuration, par internet: ICI

 

Carte postale de VOTE à imprimer et à renvoyer par voie postale: ICI 

 

L'AUSTERITE N'EST PAS UNE FATALITE: REAGISSEZ ET VOUS Y ECHAPPEREZ!

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3 juin 2012 7 03 /06 /juin /2012 15:01

Des médecins écoeurés nous ont fait parvenir le Journal du Patient de Mai 2012, tant il est emblématique des dérives promotionnelles actuelles des médicaments et ici en l'occurence, des vaccins.

 

La question de la publicité déguisée est véritablement importante parce qu'au fur et à mesure que les industries pharmaceutiques apparaissent telles qu'elles sont et inspirent donc de plus en plus la méfiance, les pouvoirs dits "publics" compensent de façon fallacieuse ce déficit publicitaire, comme on l'a notamment vu avec la publicité trompeuse de la Fédération Wallonie-Bruxelles, sévèrement désapprouvée par le Jury d'Ethique Publicitaire.

 

Il s'agit par conséquent d'une publicité plus insidieuse encore qui insistera sur le côté officiel des recommandations ou encore sur la gratuité mais qui élude évidemment totalement les risques.

 

La communication des officiels se marie en réalité fort bien avec les revues médicales qui regorgent de publicités pharmaceutiques puisque tant les officiels que les industriels vont minimiser voire taire les risques et exagérer les avantages, tout en dramatisant bien sûr énormément les maladies, de façon à créer de faux besoins de protection dans la population.

 

VACCINS: quelles sont les caractéristiques du discours publicitaire officiel?

 

- le recours à des expressions accrocheuses et simplistes

- les affirmations toujours très générales, tournant sans cesse autour du mot "protection"

- l'absence de toute preuve à l'appui des affirmations (= arguments d'autorité)

- la démagogie ("vos craintes sont tout à fait compréhensibles, c'est normal" etc)

- l'inversion, l'incohérence (prétendre vouloir "bien informer" ou "assurer la santé" alors que c'est exactement l'inverse qui se passe dans les faits)

- l'inconscience de la démesure (toujours + de vaccins et d'enfants à vacciner, dans l'esprit consumériste actuel, sans voir que cela est tout à fait exagéré et anormal)

- l'incapacité à se remettre en question, même lorsqu'on leur met "le nez dedans" avec toutes les preuves à l'appui (ils évoquent que ce sont "des mythes" ou des "fantasmes" etc)

- le recours à des arguments secondaires en lieu et place des vraies réponses essentielles sur la sécurité et l'efficacité (on parle de la "gratuité" ou du "confort de l'enfant" avec moins d'injections etc)

- la culpabilisation, en évoquant le prétendu effet altruiste de la vaccination ("vous protégez, c'est protéger la collectivité" et autres slogans moralisateurs du même accabit)

- la dramatisation soudaine, par des expressions bien choisies, de maladies dont on ne parlait pas avant et pour lesquelles un vaccin a été mis récemment sur le marché (tout d'un coup alors, ces nouveaux vaccins sont présentés comme indispensables, comme "un vrai progrès" etc)

 

Maintenant que ces repères ont été expliqués, passons donc à la pratique avec un exemple tout à fait concret de publicité déguisée, dans le Journal du Patient de Mai 2012.

 

L'article a donc été réalisé avec la collaboration du Dr Liliane Gilbert qui se trouve également être (même si ce n'est pas mentionné) la présidente du Collège des pédiatres de l'ONE... vous savez cette instance de 9 conseillers pédiatres qui se permettent de décider à distance si les certificats médicaux de contre-indication dûment établis pour vos enfants sont valables ou pas.

 

Repassons ensuite en revue tous ces critères, à la fois propres au discours des pharmas et à celui des autorités officielles, à la lueur dudit article:

 

- Slogans simplistes et accrocheurs:

 

Ici, ça commence par "La vaccination, une assurance santé pour votre enfant"

 

- Le recours exclusif à des affirmations générales en lien avec la notion de protection:

 

"Les vaccins protègent votre enfant et réduisent le risque d'épidémies";

 

"La vaccination est également essentielle chez l'adolescent";

 

"En une seule injection et en toute sécurité"

 

"La mise à disposition d'un vaccin hexavalent permet d'immuniser les nourrissons contre six maladies, avec un niveau de sécurité très élevé."

 

- L'absence de toute preuve à l'appui des affirmations

 

Ici, l'article affirme par exemple que vacciner son enfant apporte un bénéfice à celui-ci mais aussi "pour la communauté et les générations futures".

Il n'existe bien au contraire pas la moindre preuve que cela apporte le moindre bienfait aux générations futures que de vacciner son propre enfant. C'est plutôt l'inverse qui est à craindre, le potentiel mutagène des vaccins (c'est à dire leur capacité à altérer notre génome avec des altérations susceptibles de se transmettre à la descendance) n'étant jamais évalué, tel qu'on peut hélas le lire sur les notices.

 

De même, l'affirmation gratuite sur la sécurité des vaccins hexavalent ne repose sur rien de valable, dès lors que les essais cliniques sont biaisés dès le départ et ne font jamais appel à de véritables groupes placebos ou encore que les effets secondaires de vaccins restent largement sous-notifiés. Mais le Dr Gilbert en a-t-elle seulement conscience?   

 

- La démagogie

 

Ici, on le formule ainsi "Beaucoup personnes peuvent douter de la sécurité des vaccins ou avoir peur des effets secondaires qui leur sont associés. Avoir peur de la vaccination ou y être réticent est tout à fait compréhensible."

 

- L'inversion et/ou l'incohérence

 

L'article ici parle d'"être bien informé" bien qu'il désinforme totalement les gens.

 

Par exemple, l'article affirme péremptoirement que "Seul votre pédiatre peut vous donner une information exacte et actualisée sur les vaccins à administrer à votre enfant."

 

Or, rien n'est plus inexact puisqu'aucun médecin ne reçoit la moindre formation en vaccinologie et la vaste majorité des médecins ignorent complètement la totalité des composants des vaccins (et leurs effets toxicologiques respectifs) qu'ils injectent à leurs patients. Les pédiatres plus encore que les autres médecins, sauf rares exceptions, sont encore moins objectifs dès lors qu'une belle part de leurs consultations et de leurs revenus découlent directement des visites nécessaires à l'administration des vaccins (et à leurs suites). Pour avoir une idée et selon les propres aveux de l'ONE et de Provac, il faut savoir que 5% de tous les enfants vaccinés doivent consulter un médecin endéans les 48h après vaccination pour effets secondaires (cfr p43/54). 1 enfant sur 20 donc pour ce qui est des effets secondaires immédiats, alors si on rajoute les effets secondaires différés et toutes les administrations incessantes de vaccins au cours des premières années de vie, on conçoit qu'une majorité de pédiatres n'auraient financièrement nullement envie d'arrêter de vacciner ou de vacciner moins. Un pédiatre X ou Y est donc hélas, en termes de probabilité, loin d'être la personne la mieux à même d'informer les parents sur le véritable rapport bénéfices/risques des vaccins, contrairement aux apparences ou aux croyances populaires sur les connaissances supposées de ces praticiens en la matière. En revanche, les pédiatres sont bien drillés à répéter de façon stéréotypée les détails concrets du calendrier vaccinal et à piquer à la chaîne les enfants. Ca oui, on leur apprend, l'acte concret d'injection. Mais c'est largement insuffisant.

 

En outre, une majorité de médecins ne savent tout simplement pas reconnaître les effets secondaires de vaccins quand ils surviennent et bien souvent, c'est important de le savoir, les médecins ont tendance à nier le lien entre un médicament et un effet secondaire et ce, même lorsque ces effets secondaires figurent dans la notice. C'est ainsi que des experts officiels comme le Dr Swennen ou le Dr Van Laethem s'exprimaient par exemple dans un article du Vif du 23 décembre dernier qui assimilait la paralysie de Guillain-Barré après vaccination antigrippale à une "légende" alors que cet effet figure pourtant en toutes lettres dans la notice!

 

De même, l'ONE affirme aussi dans son Guide de Médecine Préventive que le vaccin hépatite B n'a aucun lien avec l'apparition de sclérose en plaques, tout en insistant sur l'importance de lire les notices des vaccins or il se trouve précisément que les notices de vaccins anti-hépatite B indiquent en toutes lettres là aussi le mot "sclérose en plaques" parmi les effets graves possibles du vaccin! Et toute cette belle incohérence est cosignée par plusieurs pédiatres de l'ONE. Croyez-vous donc encore que les pédiatres soient vraiment "les seuls qui puissent vous donner une information EXACTE et actualisée sur les vaccins à administrer à votre enfant"?

C'est peu probable puisque ces gens apportent en fait surtout la preuve qu'ils ne sont même pas capables de lire une simple notice médicamenteuse et ce, malgré leurs beaux diplômes.

 

- l'inconscience de la démesure (toujours + de vaccins à + d'enfants comme si ça allait de soi!)

 

Toute nouveauté et tout "vaccin en plus" est en fait de facto assimilé à "un plus" ou à un progrès. Dans ce genre d'optique d'ordre scientiste, les médecins perdent en fait toute capacité de réflexion élémentaire, comme par exemple se rendre compte de l'aberration de dramatiser soudainement des maladies qui n'avaient jamais suscité la moindre médiatisation au préalable, et d'enjoliver artificiellement l'intérêt de vaccins sans lesquels eux, en tant qu'enfants, avaient très bien vécu, sans le moindre problème.

 

Cet article ici vise surtout à "râtisser large" en ce sens qu'il fait majoritairement la promotion de vaccins non strictement obligatoires pour la fréquentation de crèches ONE (pneumocoques, rotavirus, varicelle).

 

La multiplication incontrôlable de ces vaccins dont ils ont pourtant conscience (puisqu'ils écrivent "pas facile de se souvenir des dates de tous les vaccins à effectuer") semble être envisagée comme une fatalité.

 

- l'incapacité à se remettre en question

 

Au lieu de répondre concrètement aux questions sur la sécurité des vaccins que nous avions envoyées par recommandé en décembre dernier à l'ONE (et dont le Dr Gilbert a dû avoir connaissance), ces gens-là continuent de rejeter la responsabilité de la défiance envers les vaccins sur l'existence de "certains sites internet et médias qui font naître ou entretiennent beaucoup d'inquiétudes dans la population en mettant l'accent sur les liens, établis à tort, entre les vaccins et bon nombre de maladies, comme l'autisme et la sclérose en plaques."

 

Pourtant, ces liens existent bel et bien et n'ont pas été établis à tort. Plusieurs équipes de chercheurs sont arrivées à des résultats convergents en la matière (pas que Wakefield pour l'autisme mais d'autres aussi). Seulement comme ces résultats dérangent, l'ONE et ses porte-paroles préfèrent faire comme si ça n'existait pas et mettre ça "sous le tapis". C'est ainsi que le Pr Tardieu qui a mis en évidence un sur-risque de sclérose en plaques de l'enfant dans les trois ans qui suivent une vaccination hépatite B (aussi incluse donc dans le vaccin hexavalent gratuit que l'ONE fait en masse et prétend très sûr) a été "interdit de conférence de presse", comme relaté dans le journal Libération le 14 octobre 2008. Il ne faut donc jamais confondre "résultats existants mais dérangeants et donc niés ou non reconnus par des instances comme l'OMS ou l'ONE" et "absence de liens scientifiquement établis". Ces pédiatres qui croient en fait parler en connaissance de cause, se pensent les détenteurs et les interprétateurs de ce qui est scientifique ou de ce qui ne l'est pas. Ils s'autorisent alors par arrogance et par comodité, à plier tout débat, en classant toute objection à laquelle ils sont incapables de répondre, dans la catégorie des "mythes ou des fantasmes".

 

Quant à la prétendue responsabilité des sites internet, ça rappelle franchement l'attitude de l'OMS qui attribuait le fiasco vaccinal du H1N1 à "internet" sans quoi, dans l'esprit de l'OMS, les gens ne se seraient pas méfiés du divin vaccin et auraient donc été docilement se faire vacciner. Cela gêne surtout beaucoup l'establishment que nombre de victimes graves témoignent désormais sur internet et cela fait donc très légitimement naître des inquiétudes qui sont donc avant tout dues aux effets des vaccins eux-mêmes et non aux sites internet qui s'en font l'écho (on peut comparer cette réalité aux agences de notation qui ne sont pas en elles-mêmes la cause de la crise financière ou encore au thermomètre qui n'est que le témoin d'une fièvre anormale mais qui n'en est en rien responsable).

 

- le recours à des arguments secondaires histoire de faire diversion de l'essentiel

 

Ici l'article écrit "En une seule injection et en toute sécurité". On prend donc comme argument le caractère prétendument "pratique", ce qui est en fait un argument secondaire.

Il est important de voir et de comprendre que les arguments principaux et donc ceux qui intéressent le plus le public (efficacité, sécurité) sont les points faibles des pharmas comme des officiels qui n'ont pas de réponses solides à apporter, que du contraire. Pour masquer ces faiblesses de taille, ils tablent sur "les points forts du business" à savoir les recettes qui marchent pour faire durer autant que possible cette bulle vaccinale dont l'explosion reste inéluctable. Ca englobe des arguments fallacieux comme la gratuité ou la facilité des "6 vaccins en un".

 

- la culpabilisation

 

Celle-ci peut être directe ou indirecte. Par exemple, dans l'article du Vif du 14 nov. 2008, une pédiatre du CHU Tivoli de la Louvière disait qu'il était "égoïste de ne pas faire vacciner son enfant". Ici, l'article insiste sur les "bénéfices pour l'enfant lui-même mais aussi pour la communauté et pour les générations futures", sous-entend donc implicitement aussi un égoïsme en cas de non vaccination. Le résultat est donc le même, bien que la formulation et la technique manipulatoire diffèrent.

 

- la dramatisation des maladies par des expressions bien choisies

 

Cet article est un excellent exemple au vu des sous-titres affichés:

 

"Le pneumocoque est PARTOUT";

 

"La rougeole contre-ATTAQUE";

 

"La varicelle, bénigne mais pas toujours";

 

" La gastro-entérite, REDOUTABLE chez les nourrissons"

 

Tant le Journal du Patient que l'ONE ont cru ce genre d'articles utile alors qu'en réalité, ce type de publication est véritablement de nature à desservir la crédibilité du journal, celle des médecins interrogés, de l'ONE, et même celle des annonceurs qui y font de la pub (cfr p. 4 du pdf= dernière de couverture du maga, grosse pub de Sanofi pour les vaccins tout au long de la vie). Par des allusions à des sites très dérangeants pour l'ONE comme le nôtre, ce genre d'articles s'apparente un peu au "coup de poing sur la table du directeur" qui ne souffre pas que ses diktats puissent être contestés ou même débattus par ceux qu'il considère comme des subalternes. Et pourtant, les patients seront sans doute à l'avenir... de moins en moins patients avec ce genre de communication non fiable et infantilisatrice. Qu'on se le dise!

 

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 23:46

A côté des vaccins combinés, qui sont UN des grands moyens de retarder l'éclatement inéluctable de la bulle vaccinale, il y a également l'invention des "piqûres sans aiguilles", une autre ficelle que les vaccinalistes comptent exploiter à bon compte pour tenter d'éluder le très dérangeant débat sur les questions de sécurité auxquelles ils sont incapables de répondre.

 

Voici, ci-dessous, un article éclairant de Futura-Sciences à ce sujet (par Janlou Chaput)

 

Piqûres: bientôt on aura plus besoin d'aiguilles!

 

Les piqûres hypodermiques, c'est-à-dire sans aiguilles, sont déjà commercialisées mais ne sont pas aussi efficaces que les seringues traditionnelles. C'est sans compter sur un nouveau dispositif qui nous vient des États-Unis et qui corrige les défauts de ses prédécesseurs. Une seringue potentiellement capable de s'imposer dans les années à venir.

 

« Aïe, j'ai mal ! » Ce cri du cœur encore fréquent dans les cabinets médicaux quand vient l'heure de la piqûre pourrait disparaître, à en croire des scientifiques américains du MIT, qui annoncent avoir développé une seringue hypodermique capable d'injecter des médicaments dans l'organisme à travers la peau, sans aiguille.

 

Une bonne nouvelle qui doit réjouir tous ceux qui craignent cet acte douloureux, mais ils ne seraient pas les seuls bénéficiaires directs de la nouveauté. Une étude menée par les Centres de contrôle et de prévention des maladies aux États-Unis a révélé que chaque année, 385.000 accidents sont comptabilisés chez le personnel de santé, à cause des aiguilles. Ce dispositif pourrait également faciliter le quotidien des personnes diabétiques, devant s'injecter chaque jour leur dose d'insuline.

 

Ces dernières décennies, des alternatives aux piqûres traditionnelles ont été proposées. Les patchs, comme pour la nicotine en sont un parfait exemple. Cependant, ils ne concernent que des molécules suffisamment petites pour passer au travers des pores de la peau, ce qui ne constitue pas la majorité des médicaments. Des seringues hypodermiques ont d'ores et déjà été développées et certains modèles sont disponibles dans le commerce. Mais ils connaissent certaines limites, car étant constitués d'un ressort, ils ne permettent l'injection que d'une seule dose de médicament, à une profondeur particulière. De ce fait, le vieux système, qui a fait ses preuves, est toujours majoritairement utilisé.

 

Une seringue sans aiguille qui fonctionne à l'électricité

 

Le dispositif proposé dans la revue Medical Engineering and Physics pallie ces défauts. Il se compose d'un petit aimant puissant entouré d'une bobine, elle-même reliée à un piston. Lorsqu'on applique un courant, on modifie le champ magnétique et grâce à la force de Lorentz, le piston est éjecté à une vitesse proche de celle du son (340 m/s), entraînant avec lui le principe actif, envoyé dans la peau par l'intermédiaire d'un tube minuscule, pas plus épais que le proboscis (la trompe) d'un moustique.

 

En contrôlant l'intensité du courant, on régule la vitesse de propulsion du piston, faisant varier la profondeur de pénétration du médicament dans la peau. Sur du tissu gélifié et des animaux morts, les auteurs ont atteint jusqu'à 16 mm de profondeur. Leur modèle est également capable de distribuer des doses différentes, jusqu'à 250 µL. 

 

L'injection se déroule en deux phases. La première, à haute pression, permet au principe actif de traverser le derme à la profondeur souhaitée. La seconde, à basse pression, laisse le temps au médicament de diffuser dans les tissus environnants. 

 

Des seringues hypodermiques plus efficaces

 

Ainsi, les médecins ont la possibilité d'adapter leur dispositif à leurs patients. Catherine Hogan, l'une des coauteurs de l'étude, précise que la puissance nécessaire pour faire pénétrer un vaccin dans la peau d'un bébé est bien plus faible que chez un adulte et qu'il est donc important de pouvoir maîtriser la pression dans la seringue.

 

Les scientifiques ne comptent pas s'arrêter là et ont une autre innovation en tête. Ils planchent désormais sur la mise au point d'un vaccin en poudre qui, sous l'effet de vibrations électromagnétiques, pourrait se fluidifier et devenir injectable.

 

Une avancée qui constituerait une solution intéressante pour les pays en voie de développement. En effet, les vaccins sous forme liquide nécessitent d'être gardés au frais pour être efficaces. Malheureusement, il arrive que les réfrigérateurs tombent en panne, rendant les traitements inutilisables. La poudre, elle, n'a pas besoin d'être congelée.

 

Source: Futura-Sciences 

 

Comment comprendre et interpréter ce genre de nouvelles ?

 

Si ce genre de nouveautés peut apporter certains avantages indéniables en termes de confort à certaines catégories de gens (ex :diabétiques), l’establishment va avoir cependant tendance à y trouver des bienfaits secondaires sur ce qu’on appelle la compliance, c'est-à-dire l’acceptation et le suivi des recommandations officielles d’administration d’un traitement donné.

 

Avec les vaccins, c’était évidemment LA grande occasion à ne pas laisser filer puisque ceux-ci sont de plus en plus boudés et suscitent de plus en plus la méfiance, à juste titre d’ailleurs, compte tenu de leurs risques largement sous-évalués et totalement incontrôlables. Dévier le débat sur la « peur de la piqûre » constitue donc un moyen très commode d’éluder les « questions qui fâchent » sur la sécurité même du procédé. On contribue du même coup à banaliser le procédé « puisque ça ne fait même pas mal », mais cela risque de contribuer à hélas à faire oublier aux gens que les risques les plus graves (et irréversibles) des vaccins ne sont pas d’avoir mal au moment de l’injection mais bien de court-circuiter les voies d’entrée immunologiquement prévues pour la pénétration des diverses substances étrangères.

 

Les enfants ne pleureront donc peut-être plus au moment des injections mais les vaccins ne seront pas plus sûrs pour autant, puisque les substances étrangères (avec leur cocktail de produits chimiques) continueront d’être administrées selon une voie non prévue (le derme alors que dans la Nature, cela n’est pas notre derme qui est l’interface prévue pour les microbes). En matière de vaccins, il s’agira donc très clairement d’un faux progrès, y compris pour les enfants les plus vulnérables des pays pauvres d’ailleurs car ceux-ci sont littéralement « gavés de vaccins », bien que mourrant surtout de faim et de soif. Notre société ne cesse donc hélas de s’illustrer par l’occultation des vrais problèmes et le développement de fausses solutions ou de pseudo-progrès qui finissent alors souvent après, par créer de nouveaux problèmes, encore pire que précédemment.

 

C’est ainsi qu’une maladie comme le diabète de type 1 (insulino-dépendant), qui reste une maladie grave et qui peut, entre autres causes, être provoquée par la vaccination infantile ou adulte, risque elle aussi d’être banalisée, au seul motif que la contrainte des injections au quotidien s’en trouvera largement amoindrie. En revanche, les conséquences graves possibles de ce genre de déséquilibre métabolique (sur les vaisseaux, les reins, la vue, les nerfs etc), elles, resteront peu changées par le nouveau système d’injection lui-même. Méfions-nous donc des apparences de « grands progrès » qui sont souvent aussi des grandes tentatives de diversion, hélas.

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1 juin 2012 5 01 /06 /juin /2012 22:14

Souvenez-vous, le 27 décembre dernier, Initiative Citoyenne introduisait une plainte auprès du Conseil de Déontologie Journalistique (CDJ) en raison de l'article scandaleusement partial du Vif du 23 décembre sur les vaccins.

 

Pour nous, il s'agissait et il s'agit bien sûr toujours d'un article partiel et partial, trompeur et absolument non objectif.

 

Le 21 mai dernier, le CDJ nous faisait enfin parvenir sa décision (datée du 16).

 

Comme nous allons le voir, il s'agit d'une décision très étrange. Non pas en soi, parce qu'elle nous donne tort mais parce que cette décision repose sur plusieurs affirmations gratuites non étayées et parce qu'elle est, en plusieurs points, très incohérente.

 

Si vous lisez cet article en question du Vif tout d'abord et le contenu de notre plainte, particulièrement argumentée ensuite, vous ne pourrez que vous rendre compte du caractère éminemment anti-déontologique d'un tel article, compte tenu de tout ce qu'il occulte d'essentiel.

 

La première impression quand on lit la décision du CDJ, c'est qu'il ne semble pas avoir lu notre plainte et les éléments accablants et prouvés que nous avions soulevés.

 

Le fait que l'avis du CDJ ait à ce point suivi la pseudo-argumentation du Vif fait tout de même se poser la question de la faisabilité générale de pouvoir désavouer des articles de presse dès lors que le financement même du CDJ provient de contributions des éditeurs et des journalistes (qui n'apprécieraient sans doute guère de payer pour une instance qui critiquerait leurs productions, quand bien même il y aurait d'excellentes raisons de le faire).

 

L'argumentation du Vif, telle que synthétisée dans le document du CDJ, est assez affligeante en ce sens qu'elle repose uniquement sur des affirmations gratuites, des insinuations mais aussi et surtout parce qu'elle manifeste un mépris préoccupant envers le lectorat de cet hebdomadaire.

 

Deux exemples parmi d'autres. Le Vif avait intitulé son article "Tout sur les vaccins" mais a cependant eu le culot de prétendre après coup que "le but de l'article n'était pas de donner un aperçu de toutes les discussions scientifiques pro et contra". Pourquoi alors, si cet article était vraiment indépendant de la moindre pression commerciale, avoir intitulé un tel article de la sorte? 

 

Autre exemple d'argumentation du Vif quant au caractère partiel et trompeur de l'article:

 

" L'information sur les conflits d'intérêts à propos des experts n'était pas nécessaire, dans la mesure où l'article n'était pas une étude scientifique, et n'avait pas pour but de donner un aperçu complet de la situation scientifique. La question sur les conflits d'intérêts ne se pose pas. Par ailleurs, l'influence éventuelle de l'industrie doit être nuancée (c'est Roularta Medica qui parle bien sûr, ne l'oublions pas, note d'Initiative Citoyenne). [...] Néanmoins, le Vif a fait une petite analyse sur les reproches des plaignantes. Le manque de rigueur n'est pas du côté que l'on croit. Les extraits critiqués sont sélectionnés et sortis de leur contexte."

 

Des insinuations donc mais aucune réponse valable aux points concrets et essentiels que nous avions pourtant soulevés. En revanche, venir affirmer que "la question des conflits d'intérêts ne se pose pas" et que l'information relative à cette question n'était pas nécessaire, témoigne d'un mépris certain vis-à-vis des lecteurs, finalement considérés comme des citoyens de seconde zone au regard des "nobles scientifiques" qui, eux, pourraient avoir accès à ces informations essentielles sur l'influence de l'industrie pharmaceutique  et ainsi arbitrairement décider de ce qu'ils acceptent, fort opportunément, de lâcher ou non aux patients, ces derniers devant donc à tout prix rester dans l'illusion d'une fausse unanimité médicale au sujet de la vaccination!

 

Ces propos du Vif ne font par conséquent que nous renforcer dans la conviction qu'il est indispensable que le législateur légifère pour imposer aux médias de communiquer aux lecteurs, non pas forcément dans le détail, mais au moins de mentionner si tel ou tel expert interrogé présente des conflits d'intérêts avec les fabricants de vaccins ou d'autres produits sur lesquels ils sont interrogés car manifestement, les médias n'auront pas spontanément, de leur propre initiative, ce geste de respect élémentaire vis-à-vis du lectorat.

 

Mais venons-en à présent aux réflexions du CDJ. Celui-ci, de peur sans doute de voir un jour le vent tourner en matière de vaccination, prend la précaution de dire qu'il "ne prend en aucune manière position dans le débat sur la vaccination." Soit mais est-ce vraiment le cas?

 

Après avoir un peu tiré par les cheveux l'argumentation sur le titre ambigu et contradictoire de cet article, en déclarant qu'il recouvre l'ensemble du sujet grâce à "l'ampleur des neuf questions abordées", le CDJ détaille trois normes déontologiques qui sont ici débattues, celle de la recherche de la vérité, celle de l'occultation de faits essentiels et enfin celle de la tromperie du public.

 

En trois lignes seulement, le CDJ arrive à affirmer (mais sur quelle base?) que "la recherche de la vérité n'est pas prise en défaut". Rien que le seul fait de ne pas avoir cherché spontanément à récolter les deux points de vue, alors que ladite journaliste ne pouvait décemment ignorer l'existence d'une controverse scientifique, suffit à démontrer qu'elle  n'avait nullement la volonté de "rechercher la vérité" et qu'elle (ou sa rédaction) avai(en)t donc manifestement un parti-pris préalable.

 

Pour ce qui est de l'occultation de faits essentiels, le CDJ ose sans rire affirmer "qu'il n'y a pas non plus d'occultation de faits essentiels dans le débat de fond."

 

Pourtant, des faits aussi essentiels que la sous-notification gravissime des effets secondaires des vaccins (d'ailleurs reconnue par des instances officielles comme l'Afssaps) et l'absence de tout véritable groupe placebo dans les essais cliniques des vaccins, sont tus alors qu'ils auraient donné un tout autre éclairage sur l'affirmation péremptoire de l'article selon laquelle il y a infiniment plus de bénéfices que d'inconvénients aux vaccins. La vérité c'est que cela n'est pas prouvé, que c'était l'opinion de deux experts influencés par l'industrie et que cette journaliste ne s'est même pas donné la peine de vérifier, au seul prétexte qu'ils sont "experts" et que plusieurs médecins lui auraient renseigné ces deux seuls experts comme "références en la matière". Quelle rigueur, y a vraiment pas à dire!

 

Mais cela n'est pas tout. Quand le Dr Van Laethem affirme que les vaccins ne surchargent pas le système immunitaire, là aussi il était faisable pour la journaliste de vérifier si d'autres éléments extrêmement essentiels à la compréhension de cette hypothèse n'étaient pas justement occultés par ledit expert, à savoir le mode d'introduction de ces substances étrangères du quotidien qui diffère de façon fondamentale du mode d'administration des antigènes des vaccins (par injection, soit en court-circuitage des voies cutanées et muqueuses physiologiquement prévues). Par conséquent, occulter une différence aussi essentielle conduit immanquablement à désinformer le public, exactement comme quand les journalistes relayaient la prétendue sécurité du squalène du vaccin, tout en négligeant la différence majeure entre l'ingestion et l'injection du squalène (ce qui change pourtant radicalement la donne au niveau des risques!).

 

Pour ce qui est du troisième élément, celui de la tromperie du public, le CDJ se limite à déplorer la confusion entre l'opinion des experts (entre guillemets) et le reste de leur interview (qui n'est pas mis entre guillemets et donne ainsi l'impression que c'est l'avis de la rédaction).

 

Le CDJ précise pourtant que "le second élément qui pourrait éventuellement constituer une tromperie est la crédibilité des experts interrogés", tout en rajoutant "le choix des interlocuteurs appartient aux journalistes, sauf si ce choix vise à tromper délibérément le public. En l'espèce, les experts ont été renseignés à la journaliste comme compétents".

 

C'est un peu court CAR précisément, l'argumentation simpliste qui a, entre autres, été reprise par le Dr Van Laethem, qui a comparé la vaccination au port de la ceinture de sécurité, était déjà celle du spot publicitaire de la Fédération Wallonie-Bruxelles qui avait pourtant déjà été reconnu antérieurement comme trompeur et "de nature à induire le consommateur en erreur".

Par conséquent, reprendre encore la même argumentation fallacieuse postérieurement à cette date (alors que la journaliste ne pouvait pas ignorer la décision du JEP du 9 novembre dernier, puisque répercutée dans la presse) est plutôt de nature à constituer un indice de tromperie volontaire, pas forcément de la part de la journaliste mais peut-être de sa rédaction avec l'emprise de Roularta Medica derrière bien entendu.

 

La distanciation du CDJ par rapport à l'avis du JEP constitue en fait un véritable coup de canif dans leur volonté affichée de dissocier journalisme et publicité, puisqu'il est ici déontologiquement permis de reprendre sans contradiction dans un article de presse des affirmations simplistes déjà antérieurement reconnues comme trompeuses dans le cadre d'une publicité. Dans les deux cas, il n'y a absolument aucune différence quant au but commercial et au but d'adhésion poursuivis, même si le CDJ doit faire le grand écart pour se justifier en prétextant qu'un article de presse fait appel à l'"intelligence des lecteurs", supposant ainsi implicitement que les lecteurs du Vif qui auraient gobé ce genre de bobards simplificateurs sont des idiots. Ceux-ci apprécieront...

 

Par ailleurs, avec le précédent du H1N1, et les articles de presse que cela a suscité (notamment dans le Monde, "le Timisoara des Experts"), les journalistes ne peuvent décemment plus ignorer que la parole des experts n'est pas forcément vraie et crédible à priori et encore moins qu'elle est considérablement influencée par leurs conflits d'intérêts. Or c'est pourtant l'hypothèse naïve et plutôt invraisemblable qui est ici retenue par le CDJ, à savoir que la journaliste pouvait légitimement ne s'en référer qu'à ces deux seuls experts.

 

Pourtant, il est tout à fait évident que la journaliste pouvait vérifier assez facilement la crédibilité des experts interrogés.

 

Par exemple, lorsqu'ils essaient de faire passer le syndrome de Guillain-Barré comme "une légende", il n'était guère difficile pour la journaliste d'aller chercher un compendium médical, d'aller jeter un oeil aux notices professionnelles de plusieurs vaccins antigrippaux, ce qui lui aurait permis de s'apercevoir de la discordance phénoménale entre la parole des experts ("c'est une légende") et la réalité puisque cet effet secondaire est explicitement repris dans la notice. La preuve du caractère trompeur de cet article pourrait même d'ailleurs déjà se résumer à ce seul élément puisqu'il assimile ainsi les effets secondaires REPRIS PAR LES FABRICANTS EUX-MÊMES à une légende, outre que cela constitue tout de même un fameux manque de respect de la dignitité humaine, vis-à-vis de toutes ces victimes de Guillain-Barré après vaccination antigrippale notamment. Mais apparemment, cela non plus ne semble guère anti-déontologique pour le CDJ. Etrange.

 

Autre élément de vérification possible pour la journaliste de la sacrosainte parole expertale: les affirmations sur le caractère protecteur contre le cancer de la vaccination anti-papillomavirus. Là encore, la journaliste aurait pu initier une recherche par mots-clés et qui sait, tomber sur la décision OFFICIELLE de l'Agence française du médicament d'interdire une publicité du vaccin Gardasil, au motif précisément qu'il était FAUX en l'état actuel d'oser affirmer que cela prévient réellement le cancer! Mme Swennen a donc affirmé une ineptie au regard des données les plus actuelles de la science et la journaliste, Barbara Witkowska, ne s'est même pas donné la peine de vérifier. Ce genre de contradiction ahurissante n'a pas non plus fait frémir le CDJ. Etrange, là aussi.

 

Mais il y a encore ceci d'énorme. Une contradiction qui devrait faire bondir jusqu'aux médecins les plus timorés:

 

Rapport du CSS de déc. 2007 sur la vaccination HPV (dont Mme Swennen est co-auteur):

 

« Les effets de la vaccination systématique des pré-adolescentes sur l’incidence et la mortalité par cancer du col de l’utérus ne seront visibles que dans un délai de 20-30 ans. » 

 

Affirmations du Dr Swennen dans le Vif du 23 décembre 2011:

 

« Le vaccin protège des cancers causés par les papillomavirus 16 et 18.[…] Cependant, le recul de neuf ans permet d’affirmer qu’en terme de santé publique, il est très important que les filles se fassent vacciner. »

 

Le fait que Mme Swennen se soit RADICALEMENT contredite elle-même entre le contenu du rapport du Conseil Supérieur de la Santé qu'elle a cosigné en 2007 sur cette vaccination et ses propos du Vif n'ont visiblement interpellé ni la journaliste, ni même sa rédaction, qui auraient donc pu au minimum, donner droit à une réplique circonstanciée et parfaitement rigoureuse de notre part. Au lieu de cela, ils ont couvert une experte non crédible pour lui éviter un sévère camouflet et ce, avec la triste bénédiction du CDJ semble-t-il.

 

Si tout cela n'est donc pas une énorme tromperie du public, sur base d'une occultation de faits  particulièrement essentiels, on se demande alors vraiment ce que c'est.

 

Et par conséquent, nous devons l'avouer, on a, à ce stade, un certain mal à comprendre la sincérité d'affirmations du CDJ sur l'importance d'un "journalisme pertinent et responsable", de "donner une information citoyenne correcte" ou encore des phrases comme "le journaliste a une responsabilité envers la société à laquelle il s'adresse" etc etc

 

On a aussi du mal à comprendre pourquoi le CDJ a effectué une traduction française des principes de déontologie journalistique, codifiés par le Conseil Journalistique flamand, et qui énonce notamment des principes ostensiblement bafoués ici:

 

"Le respect des autres droits humains fondamentaux imposent aux journalistes des normes desquelles découlent les obligations de:

 

- diffuser des informations véridiques

- recueillir et diffuser une information indépendante

- agir loyalement

- garantir le respect de la vie privée et de la dignité humaine."

 

Autre extrait assez révélateur et  pourtant en totale contradiction avec la décision du CDJ:

 

"Informer dans le respect de la vérité

 

1. Le journaliste recherche la vérité en raison du droit du public à connaître celle-ci.

 

2. Le journaliste ne diffuse que des informations dont l'origine lui est connue.

Il vérifie la véracité des informations. [...]

 

3. Il n'élimine ou ne déforme aucune information essentielle [...]

 

4. Le journaliste indique clairement aux yeux du public la distinction entre ses informations factuelles et son commentaire.  Dans la transmission des informations, le journaliste distingue clairement aux yeux du public les faits, les interprétations, les affirmations et les opinions.

 

5. Le journaliste corrige de façon loyale les informations factuelles pertinentes données erronément.

 

6. Le journaliste donne loyalement le droit de réplique pour corriger ou compléter une information factuelle pertinente. Une demande de réplique ne peut être refusée que pour des raisons sérieuses. "

 

C'est donc peu dire que nous avons été étonnés par une telle décision qui constitue donc, à nos yeux, une occasion manquée de faire coïncider les discours médiatiques du CDJ sur sa mission avec ses décisions concrètes. Mais c'est aussi un risque sérieux de créer un précédent très préjudiciable en matière de gestion des informations dans le domaine de la santé publique en général car dans ce domaine sérieux par excellence, tout citoyen peut comprendre l'énorme sécurité et la plus-value réelle de donner la parole aux différents points de vue (les modes en Science ayant déjà changé si souvent, l'Histoire en témoigne...). Le débat contradictoire, à fortiori quand il est de notoriété publique qu'il existe une controverse scientifique, doit donc faire partie intégrante de toute déontologie journalistique digne de ce nom. A défaut, elle sera boiteuse et la recherche de la vérité n'aura même jamais vraiment commencé.

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 23:50

ORDI-PORTABLE-GIF.gif

30 mai 2012, par Sam Rolley

 

Grâce à la loi sur la liberté de l'Information, des blogeurs et des usagers des réseaux sociaux savent maintenant les centaines de mots qu'ils devraient éviter d'utiliser sur internet pour éviter d'être scrutés par le Département de la Sécurité Intérieure (Department of Homeland Security).

 

Les mots sont inclus dans la version 2011 du "Classeur de bureau de l'Analyste" du Département de la Sécurité Intérieure, qui est utilisé par les travailleurs du Centre d'Opérations National où on apprend aux agents à identifier les "données médiatiques qui reflètent les réponses défavorables aux interventions du Département de la Sécurité Intérieure". L'objectif de l'agence est de traquer tous les signes de désaccord général envers le gouvernement et ses agences, bien que les officiels du Département de la Sécurité Intérieure insistent sur le fait qu'il s'agisse d'une collection de données uniquement destinées à évaluer les menaces (c'est fou comme on les croit, pas à dire!)

 

Le Centre d'Information pour le Respect de la Vie Privée sur Internet a critiqué cette liste de mots, estimant celle-ci "large, vague et ambiguë" et soulignant que celle-ci inclut "de vastes parties du Premier Amendement qui protège la liberté d'expression, ce qui est un aspect sans relation avec la mission du Département de la Sécurité Intérieure qui est de protéger le public contre le terrorisme et les catastrophes."

 

Voir la liste des "mots pisteurs", secteur par secteur: ICI

 

NB: On remarquera que pour le domaine de la santé et des épidémies, on "râtisse large".

 

Freedom-from-surveillance.jpg

Quelques exemples:

 

"Epidémie", "Contamination", "Exposition", "Virus", "Bactérie", "Evacuation", "Rappel", "Ebola", "Grippe, "H1N1", "Aviaire", "H5N1", "Variole", "Influenza", "Santé publique", "FDA", "Tuberculose", "Salmonelle", "Peste", "Symptômes", "Mutation", "Résistant", "Antiviral", "Vague", "Pandémie", "Infection", "Malade", "Porcin", "Tamiflu", "OMS", "Fièvre virale hémorragique", "Quarantaine", "Vaccin", "Souche",  "H1N1".

 

Source: Personal Liberty Digest

 

 

 

Qu’est-ce qu’elle a bon dos en tout cas cette « Sécurité Intérieure » !

 

On est en fait toujours ici dans ce qu’on a déjà appelé la « stratégie des prétextes ».

 

En fait et toujours « pour votre bien », un petit groupe de gens opaque et que vous ne verrez jamais, décident des critères de « la Sécurité Nationale » en excluant ainsi tout ce qui serait susceptible de remettre en cause les décisions tyranniques du gouvernement (bonjour la démocratie et le côté incontrôlable des prétendus représentants du peuple !). Les gens élisent donc des dirigeants qui sont par la suite épaulés dans leur volonté maladive de contrôle par des travailleurs financés avec l’argent des contribuables mais qui s’assureront surtout que ceux-ci ne pourront jamais se révolter contre les décisions des décideurs, au prétexte que cela mettrait à mal « la Sécurité intérieure » ?! Mais où va-t-on, dans quel monde vivons-nous ?

 

Ce genre de dispositif est réellement la preuve que les autorités ne travaillent pas en priorité à l’intérêt des citoyens et cette défiance originelle des autorités pour « leurs sujets » est la marque indélébile de gens insincères, malhonnêtes et qui savent que leurs abus de pouvoirs sont susceptibles de susciter une contestation massive et incontrôlable. Ce flicage inadmissible des internautes pourrait se comparer à un tour de clé de plus dans la serrure de leur tour d’Ivoire, de la part des dirigeants indignes qui gouvernent si mal nos pays mais qui souhaitent tellement rester confortablement installés aux manettes, à l’abri, et assurés de leur pleine et entière impunité.

 

Et lorsqu'on sait les plans de vaccination obligatoire qui étaient "dans les cartons" à l'occasion de la fausse pandémie de H1N1 et la véritable volonté d'une élite non élue de vacciner les humains "comme du bétail" (écoutez-vous même la vidéo de cette femme de la Commission européenne, on ne peut plus claire...), ce genre d'auto-verrouillage n'a absolument rien de rassurant ni de légitime.

 

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 23:19
MEDICAMENTS: RAPPORTS FAUSSES
 
EFFETS SECONDAIRES : LES PREUVES QU'ON NOUS CACHE
  

Le 28 août 2007, nous apprenions par l’agence Reuters que, très souvent, les médecins éliminent les déclarations de leurs patients sur les effets secondaires des médicaments.

Anne Harding, journaliste de l’agence, a mené une enquête et a découvert que lorsque les consommateurs de médicaments pensent qu’ils sont victimes d’effets secondaires, la plupart du temps, les médecins rejettent leurs plaintes. Au cours d’une enquête concernant 650 patients, qui prenaient des statines pour faire baisser leur niveau de cholestérol, la majorité des patients ont déclaré que leurs médecins ont nié qu’il pouvait  y avoir un rapport entre ces médicaments et les symptômes qu’ils leur rapportaient.

Le Dr Béatrice A. Golomb, de l’université de Californie à San Diego, a déclaré : «Cela semble se produire même lorsque les effets sont officiellement connus au sujet des médicaments très largement utilisés. Nous avons besoin d’une meilleure éducation des médecins au sujet des effets contraires, et d’un plus important engagement des patients pour signaler ces effets »

Les conséquences les plus graves des statines sont des atteintes du foie, et des problèmes musculaires, sans compter que les statines sont impliquées, parmi d’autres dommages, dans les pertes de mémoire, de concentration, et les sautes d’humeur.


La réaction des médecins est primordiale car les problèmes musculaires risquent de s’aggraver jusqu’à une condition rare mais fatale appelée « rhabdomyolyse » si la prise du médicament n’est pas immédiatement arrêtée.


Les chercheurs ont constaté, au cours de leur investigation, que c’est presque toujours le malade et non le médecin qui soulève ce problème.
 
Parmi les patients avec des pathologies musculaires ou cognitives, 47 % d’entre eux signalent que leurs médecins ont vigoureusement nié que les symptômes rapportés pouvaient avoir un lien avec les statines, alors que 51 % des patients ayant des neuropathies périphériques – un type de douleurs musculaires affectant les extrémités – ont constaté les mêmes dénégations.
 
Dans l’ensemble, 32 % des patients ont rapporté que leurs médecins ont affirmé qu’il « ne pouvait y avoir de lien » , 39 % ont estimé que « cela pouvait être possible » et que 29 % n’ont ni admis ni rejeté cette possibilité ».
 

Les enquêteurs ont été surpris d’apprendre qu’autant de médecins avaient refusé cette possibilité.

 

Bien que cela n’ait pas été le but de l’enquête, le Dr Golomb a noté qu’il n’existe de la part de l’industrie pharmaceutique « aucun intérêt parallèle d’être certaine que les médecins sont avertis des effets secondaires » alors qu’elle est certaine d’avoir le dernier mot au sujet des bénéfices engendrés par les médicaments qu’elle vend.

Le Dr Golomb a ajouté : « les patients devraient être prévenus des risques engendrés par les médicaments qu’ils absorbent et ceux qui constatent que leurs médecins ne remplissent pas leurs devoirs devraient s’adresser ailleurs pour être soignés. Ils devraient toujours choisir un médecin qui semble les écouter ». (cf.Drug Safety, août 2007)

Malheureusement c’est loin d’être le cas, car la parole du médecin est souvent considérée comme celle de Dieu lui-même, et l’on ne met jamais en doute la parole de Dieu.

Quoi qu’il en soit, si les médicaments étaient testés sérieusement et non sur des animaux, différents de l’homme comme nous le répétons sans cesse, ces médicaments n’auraient jamais été acceptés sur le marché. C’est bien là le problème, le « marché » et la « croissance » étant bien plus importants que la santé humaine.

Sylvie Simon
 
Source: Action Santé Libertés

Voilà un article qui ne risque hélas pas de s’être démodé avec les années, bien au contraire ! Ces chiffres, relayés à l’époque par l’agence Reuters, ne nous étonnent hélas pas, ils sont le reflet de la peur panique des médecins d’être l’objet de plaintes et autres poursuites en justice ou plus simplement de « perdre des clients », insatisfaits de leurs prescriptions.

 

Il s’agit donc principalement de la peur d’avoir une responsabilité et d’être mis en cause, en tant que prescripteur d’un médicament qui a fait « plus de tort que de bien » et surtout, qui n’avait même pas averti ses patients de tels risques, conformément à ses obligations légales (loi d’août 2002 sur les droits du patient). Cela explique déjà en grande partie ce déni face à l’évidence.

 

Et bien sûr, les effets secondaires de vaccins n’échappent pas à la règle, au contraire, c’est un sujet encore plus « sensible » et tabou.

 

Ainsi, même si un vaccin tue votre enfant ou le rend par exemple épileptique à vie, ne doutez pas une seule seconde que cet effet ne sera jamais reconnu comme « pouvant avoir été causé par un vaccin », tout au plus, vous aurez seulement droit, à une dérogation médicale pour que l'enfant soit (enfin) dispensé de vaccination mais quand il sera trop tard toutefois et que le mal sera déjà fait, hélas !

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30 mai 2012 3 30 /05 /mai /2012 15:33

Dans Le Soir du 14 mai dernier, on pouvait lire un grand article qui aura sans doute fait croire à tort à nombre de lecteurs à l'avènement d'une "grande révolution" en Belgique, en matière de conflits d'intérêts.

 

Il faut dire que l'article- signé par un journaliste habitué au relais d'articles plus que complaisants et très peu objectifs en matière de vaccination- commence de façon assez racoleuse par le sous-titre suivant "Santé/Le Conseil supérieur de la santé oblige ses 500 experts à se dévoiler".

 

Toutefois, si on lit attentivement, on se rend compte de l'énorme confusion, difficilement excusable de la part d'un journaliste quel qu'il soit, et qui consiste à amalgamer volontairement la déclaration des conflits d'intérêts à la résolution des conséquences néfastes qu'ils occasionnent (qu'ils soient déclarés OU PAS).

 

Cette confusion volontaire, c'est bien sûr aussi celle du CSS qu'il aurait fallu ne pas relayer sans le moindre esprit critique mais il faut dire que ces instances ont toutes leurs entrées dans la presse et qu'elles sont championnes pour présenter les affligeants statu quo en grandes révolutions et autres "faux progrès".  

 

Car pour le CSS, contrairement à ce que dit le chapeau de l'article, l'objectif des déclarations de conflits d'intérêts des experts n'est pas de "garantir qu'ils n'ont pas de lien contractuel ou moral qui puisse les influencer" mais surtout de donner l'illusion de se remettre en question suite au mécontentement public après le scandale du H1N1. On se situe donc là à 100% dans le registre de la communication, de façon à présenter le statu quo comme "inévitable" et même "souhaitable".

 

C'est ainsi que l'article reprend les propos de Jean Nève, Président du Conseil Supérieur de la Santé, selon qui "Dans certains domaines, un expert qui ne participerait à aucune étude clinique serait un piètre expert" et bien entendu parmi ces domaines, figure celui de la vaccination. Comme par hasard! Vu le marché de la vaccination et les enjeux financiers, on comprend qu'il serait éminemment risqué que quelques experts internationaux et plutôt critiques sur les vaccins puissent jamais siéger dans ce genre de comité et révéler au public la teneur des discussions qui s'y tiennent, notamment eu égard à la sécurité de ces produits!

 

La Ministre Onkelinx renchérit et vole ainsi au secours de Jean Nève (ils se tiennent tous): "L'indépendance totale est un mythe, seule le transparence permettra de maintenir sa crédibilité."

 

"Un mythe". Cela traduit assez bien le manque de volonté et de courage politique de la Ministre. Mais il faut dire que c'est là, la simple poursuite d'une attitude de fuite de ses responsabilités qui avait déjà eu cours avec le H1N1 puisqu'elle déclarait, en guise de "pirouette" fin septembre 2009 et pour répondre à la question d'une journaliste qui l'interrogeait sur notre insatisfaction par rapport à sa réponse sur la vaccination H1N1, "qu'il y a toujours des fantasmes liés à la vaccination".

 

La déclaration des experts du CSS sera disponible sur Internet. Et celle-ci s'étendra également aux proches de l'expert. Soit. Mais tant que les citoyens n'auront pas le pouvoir de récuser eux mêmes ces experts et que les médias n'auront pas l'obligation d'informer tous leurs lecteurs des conflits d'intérêts des experts qu'ils interviewent, cette mesure n'aura que peu d'impact sur l'information et la protection réelles des citoyens. De même, tant que les citoyens n'auront pas la liberté d'imposer dans ces mêmes comités d'autres experts d'autres types de préventions (que la seule idéologie vaccinale mise à toutes les sauces), il n'y aura jamais de véritable discussion possible dans l'intérêt premier des patients et cela restera toujours un vernis de scientificité plaqué sur une idéologie commerciale lucrative, mais sans le moindre réel contre-pouvoir.

 

En fait, dans une démocratie digne de ce nom, il serait tout bonnement impensable d'aller appointer avec de l'argent public des experts qui sont déjà plus que gavés aux rémunérations des industriels. De même, il serait tout aussi impensable que des instances dites officielles puissent pendant autant d'années tenir des discours aussi schizophrènes en disant d'un côté qu'elles décident en toute connaissance de cause d'inclure pour leurs avis des experts en conflits d'intérêts et d'un autre qu'elles "ont toujours tenu à leur indépendance".

Parce que c'est bien de cela dont il s'agit, c'est bien cela que le Conseil Supérieur de la Santé a fait: dire extérieurement exactement l'inverse de ce qu'il choisissait de faire dans ses coulisses et ses "sphères de travail". Est-ce vraiment tolérable? Est-ce là une preuve de respect pour vous, chers visiteurs?

 

Analysons deux exemples concrets qui seront sans doute bien nécessaires pour comprendre l'indispensable réalisme à avoir face aux beaux discours médiatiques de telles instances:

 

Décembre 2007: le Conseil Supérieur de la Santé rend son rapport sur la vaccination HPV.

4 des 5 experts qui ont rédigé ce rapport avaient ou avaient eu des conflits d'intérêts avérés avec les deux fabricants de vaccins concernés bien qu'ils avaient tous les cinq signé une déclaration de conflits d'intérêts précisant qu'ils estimaient pouvoir agir en toute indépendance dans ce dossier.

Réponse de la secrétaire scientifique du CSS (Katty Cauwerts) dans le Vif du 14 nov. 2008 à ce sujet:  "Ces gens ont été choisis pour leur expertise dans ce domaine, tout en sachant que ceci pouvait donner lieu à des conflits d'intérêts. Jusqu'à un certain point, c'est inévitable. Il faut aller chercher les données là où elles se trouvent." 

 

Ce printemps 2012, dans un droit de réponse du CSS qui fait suite au Colloque du 20 janvier dernier sur l'Indépendance de l'Expertise, le CSS affirme, en espérant ainsi séduire les plus crédules, que "Le Conseil Supérieur de la Santé (CSS) se préoccupe depuis toujours d'assurer son indépendance, et a mis pour ce faire en place une procédure de gestion des conflits d'intérêts (COI). L'obligation pour les experts de remplir une déclaration d'intérêts existe depuis longtemps et a été inscrite dans le Règlement d'Ordre Intérieur du CSS en 2007."

 

Octobre 2010: le Conseil Supérieur de la Santé rend son rapport sur la vaccination contre les pneumocoques. Parmi les rédacteurs de ce rapport, il y avait de nombreux experts en conflits d'intérêts avérés avec les industriels concernés. Le CSS indique même à la fin dudit rapport :

 « Le CSS tient à indiquer que certains experts liés à cet avis ont déclaré avoir des intérêts susceptibles d'amener une mise en cause de leur indépendance. Ces intérêts ont été évalués et considérés par le Conseil comme pouvant entraîner un risque majeur de conflit d’intérêts. Néanmoins, compte tenu de l’expertise disponible en Belgique et des délais à respecter, le Conseil, en pleine connaissance de cause, a jugé leur participation nécessaire à l'élaboration de l'avis au sein du groupe de travail dédicacé. Le Collège, organe décisionnel final du CSS, a été dûment informé de cette situation et a porté une attention particulière à cette problématique. ».

 

Un peu plus bas, dans LE MÊME RAPPORT du CSS, on peut lire dans l'encadré:

« En tant qu'organe officiel, le Conseil Supérieur de la Santé estime fondamental de garantir la neutralité et l'impartialité des avis scientifiques qu'il délivre. A cette fin, il s'est doté d'une structure, de règles et de procédures permettant de répondre efficacement à ces besoins et ce, à chaque étape du cheminement des avis. Les étapes clé dans cette matière sont l'analyse préalable de la demande, la désignation des experts au sein des groupes de travail, l'application d'un système de gestion des conflits d'intérêts potentiels (reposant sur des déclarations d'intérêt, un examen des conflits possibles, un comité référent) et la validation finale des avis par le Collège (ultime organe décisionnel). Cet ensemble cohérent doit permettre la délivrance d'avis basés sur l'expertise scientifique la plus pointue disponible et ce, dans la plus grande impartialité possible. »

 

Peut-on dès lors attendre monts et merveilles des tenants de ce genre de double discours aussi intense?

 

En réalité, cet article-ci du Soir n'est que le remake d'un précédent papier du même journal qui se résumait déjà à un faux débat entre Jean Nève du CSS et Yves Van Laethem (de ce même CSS), lesquels chantaient alors à l'unisson qu'il n'y avait rien à cacher et que les conflits d'intérêts étaient inévitables. Comme à son habitude donc, le journaliste Soumois n'a pas jugé bon d'aller interroger le moindre observateur extérieur de ce sérail, à l'atmosphère si entendue.

 

Le seul vrai mérite de cet article est en fait de relayer, entre autres propos du CSS, des affirmations qui révèlent en réalité l'hypocrisie du discours de gens comme Mme Mauroy, directrice médicale de l'ONE, qui osait par exemple affirmer dans le JT de la RTBF du 5 mai dernier que "Il faut savoir que les effets secondaires de vaccins sont contrôlés en permanence par une agence des Médicaments qui est une agence indépendante qui existe, au niveau de la Belgique et au niveau européen, et que, bien sûr, nous tenons tout cela à l'oeil, bien sûr que si des informations inquiétantes apparaissaient, on rééxaminerait la situation."

 

Ces propos de Mme Mauroy de l'ONE étaient donc un mensonge de plus, non seulement au niveau belge mais aussi au niveau européen. D'une part parce que le journal Le Monde révélait encore récemment les nombreux conflits d'intérêts qui règnent au sein de l'Agence européenne du Médicament mais aussi parce que le Conseil Supérieur de la Santé, en se profilant comme pionnier dans la révélation des conflits d'intérêts existant en son sein et en disant espérer que d'autres instances belges comme le KCE (le Centre fédéral d'Expertise des Soins de Santé qui se prétendait lui aussi indépendant), l'INAMI ou l'Agence fédérale du Médicament finissent par les imiter, a ainsi démontré lui-même que Mme Mauroy ne disait pas la vérité sur la prétendue indépendance de notre agence belge du Médicament.

 

Du bluff donc, continuellement, sur tous les aspects de la sécurité des vaccins, produits qu'on administre pourtant à tous dès le plus jeune âge et de façon répétée tout au long de la vie!

Si cela n'est pas gravissime, on se demande alors vraiment ce qui le serait.

 

Quant aux propositions de loi destinées à "encadrer les conflits d'intérêts", on ne doit, là encore, guère se faire d'illusion, hélas.

 

La proposition de Marie-Claire Lambert (PS) constitue le prototype de proposition de loi, certes tape à l'oeil, mais manquant complètement le coeur de la problématique, puisqu'il axe tout sur la seule déclaration des conflits d'intérêts avec sanctions pénales à la clé (amende, prison) et possibilité à posteriori d'annulation de la décision en cas d'occultation par les experts concernés. Ce genre de proposition, on ne peut plus consensuelle, ne fera donc au final que conforter les experts en conflits dans leurs confortables pantoufles locales, pourvu qu'ils aient bien tout notifié avant le début des festivités. 

 

L'autre proposition d'Ecolo, est déjà plus contraignante, avec la création d'un registre national de l'Expertise dans lequel les pouvoirs publics pourraient aller piocher des experts "propres", bien qu'on se doute que les autorités trouveront toujours à se justifier en arguant après coup qu'il n'y avait pas assez d"experts disponibles" que pour avoir choisi tel ou tel. Cette proposition implique cependant la création d'une Xième instance (inutile selon nous, si on fait preuve de bon sens et de fermeté), le Conseil Supérieur de l'Expertise dont les 10 membres seront nommés... par le Gouvernement! On ne sort donc pas de l'ornière et ce d'autant plus que cette proposition d'Ecolo établit déjà une "classification des conflits d'intérêts selon leur gravité", ce qui n'est hélas pas sans rappeler les tentatives du CSS, dans son précédent droit de réponse, de jouer sur les mots entre "conflits d'intérêts", "intérêts" et "conflits d'intérêts mineurs ne donnant pas lieu à l'exclusion de l'expert".

 

Que les intérêts soient passés ou présents, que l'expert soit plus ou moins impliqué au sein d'une entreprise donnée, ne change hélas rien à l'impossibilité psychologique qu'il aura de ce fait de pouvoir être réellement objectif.

 

En outre, si on ajoute que tous ces experts, même ceux qui n'auraient jamais eu aucun lien d'aucune sorte, ont été idéologiquement formatés, depuis le début de leurs études, à croire que les bénéfices de la vaccination sont énormes et sont infiniment plus nombreux que ses effets secondaires, on comprend qu'on ne change pas le coeur du problème et que ces gens n'auront jamais l'indépendance intellectuelle suffisante pour être à même de se rendre compte des insuffisances méthodologiques abyssales qui président depuis des décennies à la prétendue évaluation de la sécurité des vaccins, arriver à ne pas s'en satisfaire et surtout à comprendre que cela rend, par définition, toute évaluation du rapport bénéfices/risques d'une vaccination, scientifiquement impossible.

 

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