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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 20:43

Après le scandale du Mediator et des implants PIP, l'industrie pharmaceutique tente de redorer le blason des médicaments. Le syndicat des entreprises du médicament (LEEM) vient de lancer une campagne pour dépeindre à sa façon ce que serait un monde sans médicaments.

 

Et bien entendu, un spot est consacré aux sacrosaints vaccins en focalisant sur un fort mauvais exemple: celui de la coqueluche. Même si cette maladie peut être invalidante, il ne faut pas oublier la fréquence importante de cas chez des gens et des enfants qui avaient été dûment vaccinés (encourant ainsi le caractère désagréable de la maladie en plus des effets secondaires à court, moyen et long terme du vaccin!).

 

 

 

La vaccination contre la coqueluche est peu efficace. Une firme comme GSK n'a ainsi aucune idée de la durée réelle de la protection du vaccin chez les enfants vaccinés entre 4 et 6 ans, pour la simple et bonne raison qu'ils n'ont jamais étudié ni évalué cette donnée (aveux de GSK à l'agence Reuters). Par ailleurs, il faut aussi savoir que la vaccination n'empêche pas forcément de contracter et de transmettre le microbe mais a surtout pour effet de rendre l'infection inapparente, laissant ainsi les vaccinés être des vecteurs silencieux et d'autant plus insidieux de la maladie, susceptibles de transmettre sans le savoir la bactérie à des individus vulnérables (très jeunes nourrissons, immunodéprimés etc) 

 

Tout vaccin anti-coquelucheux contient de l'aluminium qui est une substance toujours toxique pour le système nerveux et qui, une fois injectée par l'intermédiaire d'un vaccin, migre notamment dans le cerveau sans plus jamais pouvoir en ressortir et en s'y accumulant, faisant ainsi le lit de plusieurs maladies neurodégénératives (cfr recherches de l'équipe du CHU Henri Mondor). Le groupe d'étude sur la vaccination de l'Assemblée Nationale avait donc par conséquent conseillé il y a peu un moratoire sur tous les vaccins à base d'aluminium.

 

Selon une récente recherche des scientifiques de l'Université de Laval, il s'avère que la vaccination des ados et jeunes adultes contre la coqueluche est inefficace dans la protection des nouveaux-nés (effet cocoon inefficace), démentant ainsi les "bons conseils" des pseudos experts officiels, de l'OMS ou des pharmas, ce qui revient strictement au même en réalité.

 

Enfin, l'affirmation finale de l'Institut Pasteur selon lequel la chute de 95% de la mortalité coquelucheuse serait due à la mise en place des programmes généralisés de vaccination est tout bonnement fausse. En effet, voici ce que le Précis de Médecine Infantile précisait déjà en 1975:

 

"Il ne faut pas cependant attribuer à la vaccination la baisse considérable de la mortalité [coquelucheuse] observée depuis quelques dizaines d’années. Un taux très bas était déjà obtenu avant la généralisation de la vaccination" (P. Grenet et F. Verliac, Paris, Masson, 1975, p 185 tel que rappelé par le Dr Marc Girard sur son site, cfr sa référence n°7)

 

Au vu des éléments ci-dessus, et volontairement omis par cette industrie, peut-on encore décemment lui accorder la moindre confiance quant aux affirmations et aux spots promotionnels en faveur de ses produits ou de son image? 

   

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 18:19

Alors que la Ministre Laanan disait, de façon provocante, dans le Soir du 14 juin dernier vouloir encore obtenir de plus hauts taux de vaccination HPV dans le cadre scolaire l'année prochaine, il est indispensable de rappeler ici les derniers chiffres officiels des effets secondaires des vaccins anti-HPV aux USA.


Voici ainsi quel était le triste palmarès morbide de Gardasil & Cervarix aux USA en Mai 2012:

 

Description

Total

Infirmes

872

Décès

114

N’ont pas récupéré

5318

Frottis du col anormaux

490

Dysplasies du col de l’utérus

195

Cancers du col de l’utérus

56

Cas où le pronostic vital a été engagé

493

Visites aux urgences

9706

Hospitalisations

2669

Séjours hospitaliers prolongés

220

Effets secondaires graves

3584

Effets secondaires

26 050

 

Sources: Sanevax & Vaers (Vaccine Adverse Event Reporting System)



A noter aussi que:



a) Ces chiffres ne sont que la partie émergée de l'iceberg (seuls 1 à 10% des effets secondaires étant effectivement rapportés... multiplier ces chiffres par un facteur 10 à 100 donne donc une idée plus objective du problème.)

 

b) A l'époque où nous avions écrit à Mme Laanan au sujet de ces vaccins, c'est à dire en août 2011, les chiffres de décès et d'effets secondaires étaient respectivement de 97 et de 22 194.

 

Mise à jour des chiffres au mois de janvier 2014:

 

Description

Total

Infirmes

1.048

Décès

157

N’ont pas récupéré

6.653

Frottis du col anormaux

554

Dysplasies du col de l’utérus

234

Cancers du col de l’utérus

72

Cas où le pronostic vital a été engagé

606

Visites aux urgences

11.223

Hospitalisations

3.424

Séjours hospitaliers prolongés

244

Effets secondaires graves

4.557

Effets secondaires

32.995

 

Voir aussi les articles suivants:

 

Le Japon exige la divulgation des effets secondaires du vaccin HPV

 

Israël: des citoyens demandent l'interdiction des vaccins contre le HPV

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 16:44
22 juin 2012- Conscience du Peuple
 
Une Américaine de Tulsa cultivait plus de 100 variétés de plantes médicinales dans son jardin situé dans sa cour arrière. Elle utilisait notamment ces plantes pour soigner de façon autonome et économe son diabète, son hypertension et son arthrite. 
Elle cultivait aussi des fruits, des légumes, des noix, des épices, depuis qu'elle a perdu son travail.  Aucune plante illégale n'était cultivée par la dame, rien que le nécessaire pour lui procurer un minimum de survie alimentaire et médicinale.
 
Elle s'est retrouvée devant le tribunaux, suite à des actions entreprises par les autorités, mais des hommes sont tout de même venus détruire presque tout son jardin, allant jusqu'à couper ses arbres fruitiers et arbres à noix.
 
L'ordonnance disait que les plantes ne pouvaient dépasser 12 pouces de haut pour la consommation humaine...

 

 
Jusqu'où ces abus iront-ils?
Qui osera encore croire après ça que les autorités "publiques" protègent nos intérêts?!
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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 14:01

Suite à l'article du Soir du 14 juin dernier, signé Frédéric Soumois, Initiative Citoyenne a adressé un mail de questions à son confrère Ricardo Gutierrez, pour la simple et bonne raison que Mr Soumois ne daigne en réalité même pas répondre aux autres mails de questions que nous lui avions déjà envoyés.

 

Vous pouvez lire cet important mail de questions ICI (cela vous donnera une plus juste idée de la rigueur et/ou de la partialité de la presse ainsi que de l'irresponsabilité grave du monde politique)

 

Monsieur Gutierrez, qui a au moins eu la politesse de nous répondre, nous a invités à prendre directement contact avec Monsieur Soumois dont il ignore les sources et les vérifications quant aux pourcentages avancés et nous a fait savoir que le journal reviendrait de toute façon sur le sujet et ne manquerait pas d'éclaircir ces chiffres. Nous en prenons bonne note mais avons toutefois dû répondre qu'il nous paraissait vain de nous adresser encore principalement ou directement à ce Monsieur Soumois puisque celui-ci n'a encore jamais daigné répondre sur le fond à aucun autre mail que nous lui avions adressé, laissant ainsi supposer un grave problème de partialité de sa part....

 

NB: Il semble évident qu'avec la prise de conscience croissante du public sur les risques et les non-dits en matière de vaccins, l'enjeu se situera encore bien davantage sur le terrain de la communication des officiels, où il s'agira ainsi pour eux d'essayer de "remonter le moral des troupes", à l'instar de ce qui se passe dans la communication de guerre où on minimise aussi les pertes et les échecs. Par conséquent, à la lueur de cette réalité, il n'est que peu surprenant que l'establishment s'arrange pour faire paraître des chiffres faussement élevés de couverture vaccinale, préférant ainsi faire croire qu'une majorité de jeunes filles ont été vaccinées (60%), plutôt qu'une minorité (moins de 40%) et éviter ainsi toutes les autres critiques sur le gaspillage que cela a inutilement suscité.

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24 juin 2012 7 24 /06 /juin /2012 11:55

Le 19 juin dernier, paraissait dans le British Medical Journal une lettre du Dr d'Costa intitulée de façon évocatrice « Peu de preuves apportées par Big Brother en faveur de la vaccination obligatoire des professionnels de santé » ("Big brother with little evidence for mandatory vaccination of healthcare professionals").

 

Et le Dr d'Costa ne mâche pas ses mots par rapport à un précédent article qui recommandait l'obligation vaccinale des professionnels de santé contre la grippe:

 

"L'article sur l'obligation vaccinale des professionnels de santé constitue une véritable provocation et s'apparente à une recommandation autoritariste étayée par peu de preuves d'efficacité. [...] Etant donné l'insuffisance de preuves d'efficacité, l'efficacité limitée chez les gens sains et la possibilité de prendre le pas sur l'autonomie individuelle, il est probablement impossible de prédire le nombre de personnes à vacciner pour éviter une seule infection nosocomiale. Par conséquent, la recommandation de vaccination des professionnels de santé doit rester seulement une recommandation."

 

Une telle réplique est salutaire. Elle témoigne de la véracité et confirme ce que nous affirmons depuis le début, à savoir qu’il n’existe pas d’unanimité du corps médical derrière le bienfondé de la vaccination de divers publics-cibles. En outre et étant donné qu’il y a un nombre non négligeable de médecins qui appliquent la politique du « faites ce que je dis, pas ce que je fais » et qui épargnent ainsi leur progéniture des vaccins qu’ils administrent cependant à la chaîne à leurs patients, il est à prévoir que la moindre nouvelle obligation vaccinale destinée aux professionnels de santé, ne pourra qu’engendrer une résistance bruyante.

 

 

 

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23 juin 2012 6 23 /06 /juin /2012 20:06

17 juin 2012. SaneVax

 

GSK.jpg

 

Le vaccin MenHibrix du fabricant GSK vient tout juste d'obtenir son autorisation de mise sur le marché américain sur base des données recueillies après l'inoculation de 7521 nourrissons et jeunes enfants issus de 5 pays et ayant reçu "au moins une dose". Le problème, c'est que ce vaccin s'administre selon un schéma de 4 doses. Comment l'agence de régulation américaine FDA a-t-elle donc pu déterminer que le vaccin était sûr et efficace avec un schéma de 4 doses alors que les participants aux essais cliniques ont seulement reçu "au moins une dose"?

 

Croyez-le ou non, il aura fallu à GSK pas moins de 3 tentatives pour obtenir l'autorisation de commercialiser ce vaccin. Il serait intéressant de savoir quel était le contenu et la base de leurs deux précédentes demandes d'autorisation de mise sur le marché. Au service de qui est véritablement l'agence de régulation FDA, on peut encore une fois se le demander.

 

Le charme de Glaxo en trois temps.

Zack de Equity Research

 

Pour qui la FDA travaille-t-elle vraiment?

Récemment, GSK a annoncé que l'agence de régulation américaine (FDA) a approuvé son vaccin combiné MenHibrix (contre les méningocoques des groupes C et Y ainsi que l'haemophilius influenzae de type b, conjugué à l'anatoxine tétanique). La FDA a homologué le MenHibrix qui est administré selon un schéma en 4 doses, pour la prévention des infections correspondantes.

 

L'approbation a été octroyée sur base des données provenant d'essais cliniques effectués sur une période de 7 ans aux Etats-Unis, au Mexique, en Australie, en Belgique et en Allemagne. Les essais ont porté sur un total de 7521 nourrissons et enfants en bas-âge ayant reçu au moins une dose.

 

Ces faits sont éminemment révélateurs du LAXISME coupable et osons-le dire, criminel, des agences dites « publiques » qui se sont en fait prostituées pour mieux servir les intérêts privés. Cela démontre donc à souhait le caractère absolument non fiable du label « approuvé par telle ou telle autorité de régulation » bien qu’une approbation américaine soit le plus souvent considérée comme « le label à suivre » de la part des affligeantes autorités sanitaires européennes.

 

Par conséquent, tous les médecins qui ferment les yeux en estimant que « si c’est approuvé officiellement, ils peuvent le prescrire tranquillement » se fourrent le doigt dans l’œil jusqu’au coude, en hypothéquant du même coup la santé des patients trop crédules qui leur font encore confiance.

 

Une autorisation de mise sur le marché ne constitue donc plus du tout une garantie de fiabilité ou de crédibilité d’un produit donné alors que quantité de produits naturels qui n’obtiendraient jamais, par pur opportunisme et jeux d’intérêts, une telle autorisation, peuvent cependant s’avérer infiniment plus sûrs !

 

Il est très important de rappeler aussi le mépris des autorités publiques pour les propres décisions d’approbation et d’AMM qu’elles ont-elles-mêmes octroyées ou qu’elles cautionnent car c’est là un aveu particulièrement criant de non fiabilité de la part de ceux-là même qui voudraient pourtant nous y faire croire.

 

Ainsi, en France où on continue d’imposer la vaccination DTP (diphtérie, tétanos polio) et où l’ancienne version du DTP sans aluminium a été retirée du marché en 2008 pour un étrange prétexte de « surplus de réactions allergiques », le seul vaccin DTP restant sur le marché est le Revaxis, riche en aluminium, mais surtout qui ne dispose d’aucune autorisation de mise sur le marché pour les enfants de moins de 6 ans, mettant du même coup les autorités qui l' imposent et les médecins qui l’administrent hors la loi, en réalité.

 

Autre exemple, les aveux accablants émanant de la revue VaxInfo du 26 avril 2012, et selon lesquels les autorités cautionnent et recommandent un schéma vaccinal « hors AMM » sur les enfants britanniques, ce qui revient en réalité à pratiquer sur eux une expérimentation illégale car sans consentement éclairé ! Ainsi, dans ce pays, le vaccin Menveo de Novartis qui n’est normalement pas prévu avant l’âge de 2 ans et qui ne comporte qu’une seule injection est déjà administré dès l’âge de… 2 mois avec un rappel seulement un mois plus tard et parfois encore un autre à l’âge de 12 mois « si le risque persiste » (la belle affaire !) et le plus grave est que ces bons experts de VaxInfo, revue sponsorisée par les pharmas rappelons-le, conseillent et suggèrent un tel schéma pour les jeunes enfants belges expatriés ou ceux qui voyagent alors que les autorités européennes et la Haute Autorité Française de Santé ne recommandent ce même vaccin qu’à partir de l’âge de 11 ans selon l'autorisation accordée par l'Union Européenne… là aussi, cherchez l’erreur !

 

Il est évident que ces gens qui conseillent et encouragent ainsi des expérimentations illicites sur des enfants, dont les parents ne seront bien entendu jamais informés que ces schémas sont « hors AMM », devraient être poursuivis et condamnés sans délai car ce serait cela, la véritable justice, la véritable démocratie et la véritable protection de la santé publique !

Mais, qu'à cela ne tienne, les firmes auront tôt fait de demander et obtenir les extensions d'AMM souhaitées, c'est en fait si simple et si facile, même quand le nombre de participants est infiniment trop faible et permet ainsi de ne pas déceler des effets dits "rares" mais graves qui risqueront ainsi d'impacter la santé de centaines de gens une fois que de telles vaccinations auront été aveuglément généralisées.

 

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 19:00

Un communiqué de presse néerlandophone du 18 juin dernier tente de profiler le Centre de Vaccinologie de l'Université de Gand (le CEVAC) comme unique partenaire belge académique impliqué dans un consortium relatif à la sécurité des vaccins.

 

Que dit ce communiqué? (et puis nous verrons ensuite COMMENT le décrypter)

 

Ce communiqué précise tout d'abord que l'agence européenne pour l'Initiative de Médicaments Innovants a investi 17,4 millions d'euros dans cette entreprise.

 

Il s'agit d'un consortium de recherche sur les marqueurs biologiques destinés à améliorer la sécurité vaccinale et appelé "BioVacSafe", prétendument destiné à développer de nouveaux outils améliorés d'évaluation de la sécurité des vaccins.

 

Le communiqué évoque aussi une "nouvelle approche de la sécurité vaccinale".

 

A ce sujet, il est affirmé que l'on va étudier la façon dont les gens réagissent aux différents composants des vaccins, au niveau cellulaire, génétique et moléculaire. Ce faisant, ils espèrent ainsi identifier et codifier des marqueurs biologiques en mesure de prévoir si des nouveaux candidats vaccins pourront engendrer des effets secondaires.

 

Ce consortium serait en outre aussi en mesure de développer de nouvelles manières d'identifier et de classifier les effets secondaires des vaccins. Par ailleurs, l'équipe de BioVacSafe indiquera comment les maladies et les infections - en particulier les troubles du système immunitaire- interragissent avec les vaccins.

 

Bio Vac Safe compte mettre au point de nouvelles méthodes pour identifier et mieux comprendre les mécanismes qui sont à la base de tous les stades de développement de réactions aux vaccins. Ce qui fait dire à ce consortium qu'il va contribuer à un développement et une introduction plus rapides d'une nouvelle génération de vaccins plus efficaces et plus sûrs. Mais surtout, ce communiqué précise que "ces nouveaux instruments plus adaptés doivent aider à renforcer la confiance du public dans la sécurité des vaccins."

  

Le communiqué se termine par le refrain lancinant bien connu selon lequel "les vaccins sont un des moyens les moins chers et les plus efficaces de combattre les maladies infectieuses tant dans les pays développés que dans les pays en voie de développement. Chaque année dans le monde, des milliards de doses de vaccins sont administrées." Et ce communiqué de prétendre aussi que la sécurité vaccinale est et reste par conséquent une des premières priorités des autorités et des industriels, tout en affirmant qu'il est grandement nécessaire de mettre en place de nouvelles méthodes et outils d'évaluation.

 

Sur le plan des informations liées au financement et aux partenaires de cette initiative, il est dit que l'agence européenne pour l'Initiative de Médicaments Innvovants finance le projet à concurrence de 17,4 millions d'euros et que la dite agence collabore avec l'EFPIA (la Fédération européenne des industries et associations pharmaceutiques). Parmi les partenaires de ce partenariat public-privé, on retrouve notamment GSK, Sanofi Pasteur et Novartis, trois des principaux fabricants mondiaux de vaccins.

 

Comment décrypter un tel communiqué (à la lueur de plusieurs faits incontestables)?

 

Il est somme toute assez curieux de vouloir améliorer la sécurité des vaccins qui est pourtant déjà présentée comme parfaite et irréprochable depuis des années par les officiels, au point justement de ne reconnaître comme seuls effets secondaires prouvés des vaccins que fièvre et douleur au point d’injection. On peut donc s’étonner à présent de lire dans un communiqué officiel que l’on va classer les effets secondaires de vaccins puisqu’il y en avait déjà si peu à en croire le discours lénifiant de l’establishment.

 

Certains, parmi ceux qui ne sont encore au courant de rien, pourraient s’enthousiasmer d’un tel enfumage mais les autres, à juste titre, ne pourront que déplorer, par contraste, que les officiels aient pu prétendre aveuglément et à tort  les vaccins aussi sûrs pendant des décennies alors que les prétendus scientifiques aux commandes n’avaient en réalité aucune idée des différents effets des composants de ces mêmes vaccins au niveau cellulaire, génétique et moléculaire ! Car il faut dire que cela fait déjà des années que les notices des vaccins le précisent, il n’existe absolument aucune évaluation des potentiels cancérogène, mutagène et tératogène des vaccins, c'est-à-dire de leur capacité à provoquer le cancer, des mutations génétiques et des effets néfastes sur la descendance, ce qui n’a du reste jamais gêné ces mêmes pouvoirs publics de recommander la vaccination aux gens déjà cancéreux ou encore aux femmes enceintes… cherchez l’erreur !

 

Lorsqu’on parle de « nouvelle approche de la sécurité vaccinale », il faut surtout entendre et comprendre qu’on escompte faire du neuf avec du vieux, c'est-à-dire promouvoir de nouveaux DISCOURS promotionnels sur le même vieux terreau vicié de conflits d’intérêts et de collusions. Car le but et les moyens sont on ne peut plus clairs, il suffit de lire et de décrypter tout ça : le but est de regagner la confiance du public (beaux discours, belles paroles) car les nouveaux vaccins sont toujours en train de s’accumuler dans le pipeline de l’industrie pharmaceutique qui collabore, comme par hasard, à ce genre de projet bon enfant… ben voyons ! Il est manifeste, comme nous l’avons déjà démontré plus d’une fois sur ce site, que la sécurité des vaccins n’a jamais été la priorité ni des officiels ni des industriels et ce pour plusieurs raisons. Parmi celles-ci, il faut surtout citer le fait que les effets secondaires des vaccins en termes d’explosion des maladies chroniques qu’ils engendrent, constituent une véritable aubaine pour les pharmas en ce sens que les vaccins boostent et entretiennent donc du même coup les ventes des médicaments palliatifs coûteux aussi produits par ces mêmes firmes. Il n’a donc jamais été dans l’intérêt des firmes de faire des médicaments plus sûrs et ce d’autant plus qu’ils bénéficient de tous les passe-droits juridiques possibles et imaginables, au point de se faire octroyer l’impunité juridique par la Cour Suprême des Etats-Unis ou encore par les gouvernants nationaux via l’infâme contrat d’achat de vaccins H1N1. Le Dr Deborah Novicki de Novartis l’avait d’ailleurs déjà très clairement exprimé (cfr p. 391) : « Nous n’avons pas testé le potentiel cancérogène du squalène MF59 de notre vaccin H1N1 ni d’aucun autre de nos vaccins et nous n’avons pas l’intention de le faire. » Et, bien entendu, il n’est jamais venu à l’idée d’aucune autorité politique corrompue d’obliger à réaliser ce genre de test, sans laisser ces firmes dicter leur loi aux citoyens qui se font injecter leurs produits hasardeux à longueur d’années !

 

Ce genre de communiqué ne doit donc duper personne car même si des effets secondaires graves étaient mis en évidence, ils ne seront bien entendu jamais communiqués par voie de presse, ce serait bien trop dissuasif. Nous nous trouvons donc encore à présent dans cette même tentative déjà évoquée de retarder au maximum l’éclatement inéluctable de la bulle vaccinale : tantôt avec la méthode des vaccins combinés (qui permettent de faire entrer de nouveaux vaccins superflus sans que les parents finissent par se rendre compte que « trop c’est vraiment trop »), tantôt avec diverses tentatives de banaliser la vaccination (vaccination avec des seringues sans aiguilles, par nanopatch etc) ou encore nouveau discours relifté sur la sécurité. En fait, les officiels et les industriels ont fort bien compris que ce mouvement de prise de conscience au sujet des risques vaccinaux ne fera que croître, que c’est irréversible et que, pour eux « le vers est dans le fruit ». Il s’agit par conséquent pour eux de « courir » derrière les arguments citoyens de bon sens qui ne cessent d’émerger (vous vous interrogez sur la sécurité ? nous allons y travailler !). Trop tard… c’était bien avant de vacciner la terre entière qu’il fallait s’en préoccuper ! La vérité, c’est que ces gens-là espèrent à tout prix conserver cette méthode de vaccination envers et contre tout et d’ailleurs, toute l’immunologie est en réalité biaisée depuis ses origines par l’étude des vaccins. C’est notamment ce qu’explique le Dr Tetyana Obukhanych, docteur en immunologie, qui décrit à quel point l’immunologie actuelle est conditionnée et moulée sur le seul dogme possible des vaccins. Par conséquent, tout est conçu et envisagé sur base des effets de la vaccination mais pas de ce qui se passe réellement dans un organisme confronté à des maladies vraies et naturelles. Tout est donc biaisé, ce qui explique qu’ici aussi, il s’agira de voir comment les malades réagissent aux inamovibles vaccins qui doivent absolument rester le cadre de référence, le clou fixé une fois pour toutes et auquel il s’agira d’adapter les organismes qui devront décidément tous les recevoir !

 

Au final, il convient de se rappeler un chiffre : 2,5 MILLIARDS de dollars. C’est le montant des indemnisations versées par les autorités américaines aux victimes de vaccins depuis 1986 et encore, il faut savoir que 2/3 des plaintes sont rejetées ! Pendant ce temps, alors que les autorités indemnisent discrètement des victimes, elles continuent de prétendre au public que les vaccins sont très sûrs et de nier tout lien entre vaccination et effets secondaires graves. Tout menteur vit aux dépend de ceux qui le croient aurait pu dire ici Lafontaine...

 

  

 

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22 juin 2012 5 22 /06 /juin /2012 18:19

fast-food-Fotolia.jpg

°Des associations ont dénoncé jeudi 21 juin le partenariat entre McDonald’s, Coca-Cola et un congrès de médecine générale à Nice.

 

°Mise en cause pour ses liens d’intérêt avec l’industrie pharmaceutique, la médecine est aussi de plus en plus soumise à l’influence des firmes agroalimentaires.

 

« Non à la médecine McDonald’s ! » C’est avec ce mot d’ordre que plusieurs associations ont manifesté jeudi 21 juin au 6e congrès de médecine générale qui se tient jusqu’au vendredi 22 à Nice. « On a voulu dénoncer le fait que la médecine n’est pas uniquement soumise au lobby pharmaceutique mais aussi, de plus en plus, à celui de l’industrie agroalimentaire », explique Benjamin Cohadon, porte-parole du Mouvement de désaliénation des médecins, une association créée en mai « par un petit groupe de citoyens concernés ».

 

« Un mélange des genres malsain »

 

Organisé sous le parrainage du ministère de la santé, ce congrès compte, parmi ses multiples sponsors, McDonald’s et Coca-Cola. En échange de leur soutien, ces deux firmes ont obtenu le droit d’organiser une « session » lors du congrès : jeudi après-midi, la première invitait les médecins à venir débattre du « contenu nutritionnel du repas » tandis que vendredi la seconde s’intéressera aux « comportements hydriques » des Français.

 

« C’est un mélange des genres malsain », estime Benjamin Cohadon. « C’est malheureusement impossible d’organiser un congrès médical sans sponsor. Et nous contrôlons le contenu scientifique des communications de nos partenaires », répond le professeur Pierre-Louis Druais, conseiller exécutif du congrès.

 

Des étudiants aux praticiens, tous concernés

 

L’épisode de la grippe H1N1 et le scandale du Mediator ont mis en lumière les liens d’intérêt entre les experts et l’industrie pharmaceutique. Mais aujourd’hui, de plus en plus de voix s’élèvent pour dénoncer l’omniprésence des firmes agroalimentaires dans le secteur de la santé. Tout en défendant leur indépendance, de nombreux spécialistes, notamment hospitaliers, participent à des études financées par des industriels désireux d’apposer un « label santé » sur leurs produits.

 

Lundi 18 juin, par exemple, était organisée à Paris, avec une praticienne d’un grand hôpital parisien, une conférence de presse pour vanter les « grandes qualités nutritionnelles » de ce « produit noble » qu’est le surimi.

 

Parfois, cette influence s’exerce très en amont. En 2005, par exemple, le Centre d’information des viandes (CIV) s’était associé avec l’Association des étudiants en médecine de France pour organiser un grand Quiz visant à compléter les connaissances nutritionnelles des futures blouses blanches. « Les firmes interviennent aussi dans la formation des nutritionnistes. Quand j’étais en BTS, je me souviens d’une intervention faite par une représentante des fabricants de céréales de petit déjeuner. C’était présenté comme un cours parmi les autres pouvant même faire l’objet d’une question lors d’un contrôle », raconte Paul Scheffer, président de l’Association de diététique et nutrition critiques.

 

Un gage de crédibilité pour les firmes

 

Président du Formindep, autre association en pointe sur les conflits d’intérêts, le docteur Philippe Foucras reconnaît « l’habileté » de la stratégie des firmes agroalimentaires. « Certes, un généraliste ne prescrit pas directement des hamburgers ou des sodas à ses patients. Mais c’est un vecteur d’opinion qui peut aussi donner des conseils de vie quotidienne », constate-t-il. « C’est surtout une question d’image. Pour des sociétés souvent attaquées sur le profil nutritionnel de leurs produits, c’est un gage de sérieux et de crédibilité de participer à un congrès médical », ajoute Paul Scheffer.

 

Chef du service de nutrition pédiatrique du CHU de Lille, le professeur Dominique Turck dénonce, lui, le « double discours » des pouvoirs publics. « On est écartelé entre le ministère de la santé qui, désormais, hurle devant le moindre lien d’intérêt, et celui de la recherche, qui nous encourage à monter des partenariats public-privé pour faire tourner nos laboratoires », constate-t-il.  PI

 

Source: La Croix 

 

 

En fait, les autorités ne hurlent pas du tout en cas de conflits d’intérêts, elles les encouragent même, en les présentant comme inéluctables. De même, l’Union européenne  a fait de ces fameux partenariats « public-privé » le seul modèle de recherche et d’investissement à promouvoir ! En refusant de financer à 100% avec de l’argent propre (l’argent des contribuables) les recherches réellement nécessaires, les autorités forcent en quelque sorte les laboratoires dits « publics » à se prostituer et trahissent profondément les citoyens.

 

Le fait que les autorités publiques s’associent à ce genre de Congrès ainsi sponsorisé –alors qu’elles dépensent l’argent du contribuable dans des pubs du genre « Manger-bouger » etc- démontre avec brio toute leur schizophrénie et leur profond mépris du public. Cette véritable attitude de Judas de la part des pouvoirs publics est finalement très similaire à celle qui consiste à dénoncer le tabac tout en se réjouissant des recettes fiscales qu’ils peuvent en retirer ou encore à promouvoir la vaccination tous azimuts tout en prônant de réduire les dépenses de santé et la consommation médicamenteuse (cfr cette autre campagne schizophrène des autorités belges de régulation du médicament « Un médicament n’est pas un bonbon » alors que la vaccination, elle, qui constitue pourtant aussi un médicament aux effets particulièrement incontrôlables, est encouragée du berceau à la mort !)

 

 

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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 22:23

Les médecins dénoncent : vos données non protégées

 

Journal Belge « Le Soir » du mercredi 20 Juin 2012, p 6

 

 

L'ESSENTIEL

  

° La confidentialité de vos données de santé sera-t-elle préservée dans la future plate forme électronique d’échange E-Health ?

 

° Les généralistes et les associations de patients ont des doutes , suite à de récentes modifications des règles.

 

° La députée fédérale Ecolo, Muriel Gerkens interpelle la ministre de la santé.

 

 

Un tir de barrage nourri… associations de médecins et de patients dénoncent l’évolution récente du projet eHealth, vaste plate-forme numérique censée faciliter l’échange  de données médicales privées entre les multiples acteurs de soins de santé. 

 

Dans leur ligne de mire : la santé publique, l’Institut national d’assurances maladie invalidité (INAMI) , les mutuelles, les responsables des réseaux télématiques flamand,wallon et bruxellois, mais surtout ceux de eHealth dont les médecins dénoncent « l’arrogance totalitaire » et le « refus du dialogue ».

 

Depuis le lancement du projet « eHealth » , pas toujours mené dans la transparence, milieux académiques, médecins et patients ferraillent pour que ce « Big Brother » médical préserve la vie privée des citoyens, la confidentialité de leurs données de santé. Un combat permanent qui se solde ces derniers jours par une bataille perdue aux yeux du forum des associations de généralistes (FAG) : son assemblée générale se déclare « profondément scandalisée » par le revirement du groupe de concertation de la plateforme eHealth (le G19) sur les garanties offertes aux patients…

 

Concrètement, le recours aux services d’eHealth et le partage de données médicales supposent un « consentement éclairé du patient ». Alors que le G19 s’était accordé, en mars, sur une formule « conforme à la déontologie, au droit du patient et à la protection de la vie privée », les responsables d’eHealth ont exigé un assouplissement de la formule dans un sens nettement moins favorable à la protection des données privées…

 

1° Qui peut consulter vos données de santé ?

 

La première version des dispositions sur le consentement du patient évoquait la possibilité de consulter ses données de santé « dans le cadre de la continuité des soins » . Letexte amendé n’évoque plus qu’un objectif plus large « afin que je puisse recevoir une prestation de soins optimale ». « Cette nuance subtile mais importante ouvre la porte à un partage des données de santé avec des personnes ou organisations n’ayant aucun lien thérapeutique avec la personne concernée », s’insurge le Dr Soupart , président du FAG.

 

2° Comment pouvez-vous contrôler qui a consulté vos données de santé ?

 

Autre amendement de taille : alors que le texte initial précisait que « je peux contrôler quel prestataire de soins a déjà eu accès à mes données de santé », la disposition amendée prévoit un contrôle moins direct : « Je peux demander de contrôler quel prestataire de soins a déjà eu accès à mes données de santé ».

 

Interpellé par la Ligue des usagers des services de santé (Luss), fédération indépendante des associations de patients , le patron d’eHealth, FrankRobben, prétend qu’il n’est pas prévu pour l’instant d’octroyer aux citoyens un accès direct par voie informatique à la liste des personnes ou organismes qui ont consulté leur dossier. Seul un contrôle indirect serait permis, par le biais notamment de la commission pour la protection de la vie privée.

 

« Une fois de plus, Monsieur Robben veut placer ses interlocuteurs devant le fait accompli »,réagit le Docteur Roland Lemye à l’association belge des syndicats médicaux (Absym).

 

La députée Ecolo Muriel Gerkens s’interroge sur l’éthique des responsables d’eHealth, dans la question orale qu’elle a soumis mardi à la ministre fédérale de la santé, Laurette Onkelinx (PS).Elle exige des explications  sur le « rôle excessivement dominant et les conflits d’intérêts de M. Robben », à la fois patron d’eHealth et membre de la commission de protection de la vie privée.

 

Riccardo Gutiérez

 

En encadré

 

Repères : Un Big Brother médical

 

La plate forme eHealth , lancée  en 2005 est une institution publique chargée de mettre en place les dispositifs électroniques qui permettront aux acteurs des soins de santé (médecins, pharmaciens, hôpitaux, mutuelles…) d’échanger et de consulter les données personnelles de santé des patients.

 

Concrètement, le professionnel de la santé, après identification,  pourra consulter le dossier médical d’un patient, stocké par exemple dans les archives électroniques d’un hôpital. L’accès au système est sécurisé : le numéro de registre national permettra d’authentifier le demandeur d’informations.

 

De multiples opérations seront possibles : gestion des dossiers électroniques des patients, enregistrement de données dans le registre du cancers ou celui des vaccins, échange de données entre prestataires de soins et mutuelles…RG

 

°°°

 

https://www.ehealth.fgov.be/fr

 

Rappel : dans la continuité de cette prise de pouvoir inacceptable sur la santé de la population viendra tout naturellement, sans opposition forte, l’invitation d’abord, l’obligation ensuite à l’implantation électronique en lien avec ce dossier médical en ligne.

 

Cfr : La puce RFID et l’information médicale

http://www.sixi.be/La-puce-RFId-et-l-information-medicale_a643.html

 

Publicité officielle de la firme VeriChip

http://vimeo.com/44261058

 

Où vous pouvez constater que l’on prépare les esprits du public...

 

Fin Mars 2007,  une « lettre ouverte aux intervenants médicaux » avait été envoyée, signée par 60 citoyens belges , par courrier postal, à plus de 150 adresses dont Ministre de la santé, INAMI, fédérations de mutuelles, associations professionnelles , directions d’hôpitaux, présidents de partis. Elle avait reçu, en tout et pour tout, deux réponses fort peu convaincantes… http://www.stoppuce.be/docs/Lettre_ouverte.pdf

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20 juin 2012 3 20 /06 /juin /2012 22:08

La vaccination et notamment la vaccination des enfants fait de plus en plus débat.

 

C'est ce que reflète de façon pertinente et équilibrée cet article de Sandra Evrard paru dans la revue de la Ligue de l'Enseignement et de l'éducation permanente de juin 2012.

 

Initiative Citoyenne se réjouit que le corps enseignant et les parents soient ainsi mieux informés de la controverse et des objections solides et objectives qui existent par rapport au discours officiel dogmatique et de moins en moins crédible.

 

Bien entendu, il n'est guère difficile d'imaginer qu'un tel article doit fortement déplaire à l'establishment vaccinaliste officiel dont un des grands objectifs a toujours été de faire croire à la fausse unanimité médico-scientifique derrière la sacrosainte vaccination!

 

Le mur du silence est véritablement en train de s'effriter et c'est là un euphémisme.

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